la base de sous-marinsRaconte-moi

Lorient, Ville d’art et d’histoireJeunes publics 6-12 ans

de Keroman

Nous sommes sur la pointe de Keroman au sud de la ville de Lorient.

Comme tu peux le voir sur ces photos anciennes, cette presqu’île a beaucoup changé avec le temps !

K2

K1

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La presqu’île en 1930

La presqu’île en 2010

Début de la visite

Keroman : Ici, beaucoup de noms de lieux commencent par Ker. En breton cela signifie « village ». K1, K2, K3, K4 : Ces abréviations désignent les quatre blockhaus de la base de Lorient dans l’ordre où ils ont été construits : - Keroman 1,de février à septembre 1941

- Keroman 2,de mai à décembre 1941

- Keroman 3,de octobre 1941 à janvier 1943- Keroman 4, commencé en janvier 1943, les travaux sont arrêtés en juin 1944.

Blockhaus et Bunker : Les mots blockhaus en allemand et bunker en anglais désignent un abri fortifié.

K1

K4

K3

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La presqu’île en 1964

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Fin de la visite

Une base de sous-marins, qu’est-ce que c’est ?

Une base de sous-marins est un ensemble de bâtiments militaires où se font l’entretien, la réparation, l’armement et le désarmement des sous-marins. Ces bâtiments servent de garage aux sous-marins.

Les sous-marins sont des submersibles : ce sont des bateaux qui peuvent aller sous l’eau. Les premiers sous-marins qui arrivent à la base de Lorient sont des sous-marins allemands appelés U-Boote. Ils sont parfois surnommés « les loups gris » en raison de leur couleur et de leur tactique d’attaque en meute.

La base de Lorient, quelle histoire !

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands envahissent et occupent l’Europe, sauf la Grande Bretagne. Ils veulent alors la faire plier ! Un blocus est mis en place autour de cette île : le ravitaillement ne peut plus arriver d’Europe. Les Britanniques sont alors obligés de faire venir de la nourriture, des armes, du pétrole ou

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Un bassin du K3

encore des hommes par des bateaux qui arrivent de loin et qui traversent l’Océan Atlantique. Pour détruire ces convois de marchandises, les U-Boote sont envoyés : cela s’appelle « la bataille de l’Atlantique ».

L’Amiral Dönitz, le chef des sous-mariniers allemands, choisit Lorient pour y construire une grande base près de l’Atlantique et de la zone de chasse de ses sous-marins. Quatre autres bases ont été construites sur la côte atlantique en France par la Marine allemande.

Après la guerre, la base, que les Allemands ont laissée intacte, est tout de suite réutilisée par les Français. La Marine nationale y reste jusqu’en 1997, soit 52 ans !

Depuis plus de 10 ans, la base est dédiée au nautisme et à la course au large. Beaucoup des grands bateaux que l’on peut voir notamment dans les courses autour du monde sont construits, entretenus et appontés ici.

Les cinq bases françaisesBrest, Lorient, Saint-Nazaire, La Rochelle, Bordeaux

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L’amiral Dönitz

Méli-méloRemets les vignettes dans l’ordre chronologique

A B

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La construction du Festung KeromanLa base de sous-marins de Keroman est la plus grande forteresse du XXe siècle édifiée par les Allemands en dehors des frontières de leur pays. Les blockhaus K1 et K2 sortent de terre en un an tandis que, pour le seul bloc K3, il a fallu près d’un an et demi de travaux en raison de l’immensité du bâtiment, de la nécessité de creuser des fondations très profondes et du difficile approvisionnement en matériaux de construction acheminés par des trains sans cesse sabotés et bombardés.

Les matériaux

Les blockhaus de la base de sous-marins sont construits en béton armé. Il s’agit d’un mélange de ciment, de sable et de gravier. En ajoutant de l’eau, on obtient une sorte de pâte à gâteau. Ce béton est coulé dans un moule en bois ou en acier, appelé coffrage, dans lequel ont été disposées de grandes tiges de métal. Elles servent à armer la construction, à la rendre plus solide.

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Mots tordus

a) Dans le coffrage on coule : Du laiton ou du béton ?

b) Les bâtiments de la base s’appellent : Des crackers ou des bunkers ?

c) Les blocs K1 et K2 sont construits sur : Des pilotis ou des pissenlits ?

d) Qu’ajoute-t-on au ciment pour faire du béton : De la farine, du sucre et des œufs, Ou du sable, du gravier et de l’eau ?

Réponse : a) du béton - b) des bunkers - c) des pilotisd) du sable, du gravier et de l’eau

La construction d’un des blockhaus

Les hommes

Pour mettre en œuvre un tel chantier, une main d’œuvre considérable a été nécessaire. Il a fallu environ 15 000 hommes, venus de toute l’Europe, pour construire la base à cette vitesse.

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Le chantier de construction de la base de sous-marins en 1941

Festung : signifie forteresse en allemand

Jacques Stosskopf est un ingénieur français qui travaillait à l’arsenal de Lorient. Il n’a pas accepté la défaite de la France en 1940, et il a décidé de résister et de lutter contre l’occupation allemande avec ses

propres moyens.Grâce à lui les Anglais recevaient

des informations sur les sous-marins allemands qui quittaient Lorient. Les Alliés

peuvent ainsi se défendre plus efficacement contre les U-Boote. Mais Jacques Stosskopf est découvert et arrêté en 1944. Il est fusillé le 2 septembre 1944. La Marine nationale a donné son nom à la base de sous-marins de Keroman en hommage à son courage.

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Mais où est la mer ?Comment donc la Flore est-elle arrivée là ? A-t-elle des pattes pour sortir de l’eau ? Ou bien encore des ailes pour atterrir ici ?

Regarde l’énorme porte blindée de K1… Ce n’est pas la porte d’un alvéole, mais celle du slipway ! Et voilà, tu as trouvé la porte magique, celle du canal relié à la mer dans lequel s’engouffrait le sous-marin. Ensuite, il était tiré au sec, sur le plateau de translation.

Il s’agit de la grande esplanade entre les deux blockhaus K1 et K2. Observe bien : au sol, il y a des rails, comme pour les trains, sur lesquels le plateau est posé. Chaque bunker a de grandes portes. Le plateau de translation coulisse sur les rails et place le sous-marin devant l’une de ces portes. Ensuite, le sous-marin est tiré à l’intérieur avec un chariot tracteur. Le plateau est donc très important, sans lui les submersibles resteraient à la porte ou plutôt à l’eau !

Du slipway jusqu’à un alvéole, la manœuvre durait environ 40 minutes !

On dit de K1 et de K2 que c’est une base à sec. On y faisait l’entretien mécanique des sous-marins, surtout celui des moteurs.

Alvéole : comme dans les ruches des abeilles, un alvéole est une cavité. Ici, il est adapté à la taille d’un sous-marin. C’est un garaged’environ 20 mètres de large sur 100 mètres de long et 18 mètres de hauteur avec une grande porte d’acier.

Slipway : c’est une rampe qui permet de hisser le sous-marin au sec sur le plateau translation. Ici, il se trouve dans un canal à l’intérieur de K1.

Un sous-marin sur le plateau de translation

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Fonctionnement du Slipway

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Quel géant ! Voici le bloc K3 : c’est le troisième et le plus grand des blockhaus de la base.

Contrairement à K1 et K2, il est ouvert sur la mer et les sous-marins peuvent directement y entrer. A l’intérieur c’est comme un petit port : d’un côté les bassins, au milieu la rue, et de l’autre côté, les ateliers.

La rue centraleElle est l’axe central du bunker. Elle permet non seulement d’aller d’un bout à l’autre de K3 en desservant chaque bassin mais elle fait aussi le lien entre les ateliers et les sous-marins dans leur bassin. En rentrant, regarde l’énorme porte blindée. Il y a la même à l’autre extrémité de la rue. Il te faudrait 45 minutes à la manivelle pour la fermer !

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Le chantier de construction du bloc K3

Ateliers

Le Ter

rue centrale

Bassins

K3

Les bassinsEn te promenant, tu constates que les sept bassins ne sont pas identiques. Certains ont des portes qui leur permettent d’être vidés et complètement asséchés. Ainsi, il est possible de descendre au fond et d’accéder à la coque ou à l’hélice du sous-marin. Par contre, d’autres n’ont jamais eu de portes, mais ils sont très larges et accueillent jusqu’à trois sous-marins. En tout quatorze submersibles peuvent être abrités dans K3.

Les ateliersFace aux bassins, non loin des sous-marins, se trouvent les ateliers. Il y en avait plusieurs et surtout des ateliers pour les batteries. Avant de fonctionner à l’énergie nucléaire, les sous-marins avançaient grâce à des moteurs diesels et/ou électriques. Avec la Marine allemande puis avec la Marine française, les ateliers pour recharger les batteries des moteurs se trouvaient donc dans K3.

Réponses : a) vrai, b) vrai, c) faux, il est aussi vaste que 5 terrains de foot.

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Dis-moi tout ! Entoure la bonne réponse

a) Le bloc K3 est grand comme : 4 girafes superposées VRAI ou FAUX ?

b) Le bloc K3 est lourd comme : 1 300 000 éléphants VRAI ou FAUX ?

c) Le bloc K3 est vaste comme : 1 terrain de football VRAI ou FAUX ?

Les épaves du Crapaud et du Strasbourg…As-tu remarqué les deux épaves de bateaux devant la base ? En 1943, elles ont été coulées face au troisième bunker (le K3) pour le protéger des bombes anglaises. Il faut que tu imagines un filet métallique tendu entre 32 mâts plantés sur les flancs de ces bateaux, comme une sorte de paravent ou de « para bombes ». Le premier bateau que tu vois tourné vers la rivière du Ter s’appelle le Crapaud, le second s’appelle le Strasbourg.

Détail de l’une des portes blindées du bloc K3

12 Sous-marin de type Daphné au bassin A

Es-tu prêt à grimper au sommet du K3 ? Alors en route !Tu vas monter en plusieurs étapes. Regarde bien !

Première étape : le toit des ateliersTu traverses le premier toit en montant l’escalier et tu arrives dans une « chambre d’éclatement ». À ton avis, qu’est ce que c’est ? Choisis la réponse qui te semble correcte :

Un labyrinthe géant pour perdre les troupes ennemies Un système de protection du premier toit pour évacuer le souffle des bombes Un nichoir géant pour goélands

Seconde étape : le toit des bassins Il faut imaginer que pendant la guerre, le toit du K3 était tout le temps en chantier. Il fallait absolument protéger les sous-marins. Les Allemands n’hésitaient pas à rajouter des couches pour résister aux bombes de plus en plus destructrices !

Dernière étape : la tour de FlakTe voilà arrivé au sommet de la base à 24 mètres au-dessus de la mer ! Pendant la Seconde Guerre mondiale, un canon était installé sur cette petite tour de défense contre les avions.

Réponse : un système de protection du premier toit pour évacuer le souffle des bombes

13Vue aérienne du bloc K3

Lorient, ville aux 6 ports Depuis le sommet de la base tu peux voir tous les ports de la ville.

Le port de course au large est le plus récent. Il est installé sur la rivière du Ter au pied de la base. Il accueille de grands multicoques et d’autres voiliers qui participent aux grandes courses comme le Vendée Globe ou la Route du Rhum.

Le port de pêche de Keroman est construit en 1927. C’est un port très moderne. En 2014, Lorient était le 2e port de pêche en tonnage : 26 000 tonnes de poisson ont été débarquées par les navires lorientais. Il est spécialisé dans la pêche à la langoustine et aux merlus.

Le port de commerce de Kergroise est doté d’un terminal gazier et pétrolier. Il accueille principalement des vraquiers, c’est à dire des navires dont la cargaison est en vrac dans les cales, comme la farine de soja. De la base de sous-marins, tu peux voir ses grandes grues bleues qui permettent de vider les cales.

Quel bateau pour quel port ? Relie les bateaux au bon port avec une flèche

ARSENAL

PORT DE PLAISANCE

POLE DE COURSE AU LARGE

PORT DE COMMERCE

PORT PASSAGER

PORT DE PÊCHE

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Les habitants de la base de sous-marinsDepuis ton arrivée à Keroman, tu as sûrement remarqué les oiseaux marins.Les goélands et les mouettes aiment se poser sur le toit de la base de sous-marins. L’été, ils y installent leurs nids. Les plus communs sont la mouette rieuse et le goéland argenté. On les confond souvent. Attention ils sont très gourmands !

Le goéland brun est de la même taille que le goéland argenté et vit sur nos côtes en été.Le goéland marin est le plus grand des goélands. Il a les ailes noires à pointe blanche et les pattes roses. Il fréquente nos côtes toute l’année.Le goéland cendré est plus petit que le goéland argenté.La mouette tridactyle ressemble beaucoup au goéland cendré. Ses pattes sont noires. Elle confectionne son nid avec des algues, des herbes et de la boue.

Le port passager ou gare maritime permet aux habitants de l’île de Groix et aux visiteurs de gagner l’île toute l’année même quand le vent souffle fort. Du toit de la base, tu verras sans doute l’un des ces bateaux passer devant toi. Demande au guide de te montrer l’île de Groix.

Le port de plaisance est au centre de Lorient. Il comporte deux bassins séparés par un pont levant. Les quais sont toujours animés depuis la construction des bassins au XIXe siècle.

L’arsenal est le premier port construit à Lorient. Regarde bien, tu vois une tour ressemblant à un phare, c’est là ! La ville s’est développée autour de ce chantier de construction navale à partir de 1666. Des fabuleux navires de la Compagnie des Indes et de Louis XIV aux frégates si modernes d’aujourd’hui, l’arsenal a vu se construire tous les types de bateaux !

Mouette rieuse Goéland argentéDos Gris GrisVentre Blanc BlancAiles Grises, pointes noires GrisesTaille Fine (environ 40 cm) Grande (environ 60 cm)Bec Rouge et fin Jaune avec une tâche rougePattes Rouges RosesParticularité Capuchon brun au niveau des

yeux pendant l’étéLes jeunes ont un plumage tacheté de brun

Nourriture Insectes, vers, petits poissons. Elle ne vient sur le rivage qu’en août et avril, pour manger des poissons. Le reste du temps, elle niche dans les terres.

Poissons, mollusques, crustacés, détritus…Le goéland est vorace !

Quelle famille ! A l’aide de ces deux fiches, recherche sur le toit les goélands marins, les bruns et les autres

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Pièces détachées... A toi de retrouver la photo originale dans le livret !

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L’intrusQu’es-tu sûr de ne pas croiser à Keroman ?

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Avec les guides-conférenciers de la ville de Lorient, tu peux aussi : participer à une chasse au trésor ou à une vente aux enchères, t’initier à l’archéologie ou encore visiter le musée de la Compagnie des Indes et la citadelle, l’Enclos du port, l’abri de défense passive, la ville....

Et aussi, avec nos partenaires :> Le port de pêche de Lorient, la rade aux 3000 navires… avec l’espace des sciences, maison de la Mer tél. 02 97 84 78 00

> Le Musée Sous-Marin du pays de Lorient… avec l’équipage du musée - tél. 06 07 10 69 41

> Le sous-marin Flore S-645 et son musée tél. 02 97 65 52 87

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Un U-Boot dans un alvéole

Contact : Animation de l’architecture et du patrimoineHôtel Gabriel - Enclos du portCS30010 –56315 Lorient cedexpatrimoine@mairie-lorient.frTel. 02 97 02 23 29

Laissez-vous conter Lorient, Ville d’art et d’histoire…… en compagnie d’un guide-conférencier agréé par le Ministère de la Culture et de la Communication.

Le guide vous accueille. Il connaît toutes les facettes de Lorient et vous donne les clefs de lecture pour comprendre l’échelle d’une place, le développement de la ville au fil de ses quartiers. Le guide est à votre écoute. N’hésitez pas à lui poser vos questions.

Le service de l’animation de l’architecture et du patrimoine qui coordonne les initiatives de Lorient, Ville d’art et d’histoire, a conçu ce document de visite. Il propose toute l’année des animations pour les Lorientais et pour les scolaires. Il se tient à votre disposition pour tout projet.

Si vous êtes en groupeLorient ville d’art et d’histoire vous propose des visites toute l’année, sur réservation.

Le 16 mars 2006, Lorient signait avec le Ministère de la Culture et de la Communication la convention Ville d’art et d’histoire ; elle appartient désormais au réseau national des Villes et Pays d’art et d’histoire.

Le Ministère de la Culture et de la Communication, attribue l’appel-lation Villes et Pays d’art et d’histoire aux collectivités locales qui animent leur patrimoine. Il garantit la compétence des guides-confé-renciers et des animateurs de l’architecture et du patrimoine ainsi que la qualité de leurs actions. Des vestiges antiques à l’architecture du XXe siècle, les villes et pays mettent en scène le patrimoine dans sa diversité. Aujourd’hui, un réseau de 182 Villes ou Pays d’art et d’histoire vous offre un savoir-faire sur toute la France.

A proximitéConcarneau, Dinan, Dinard, Fougères, Morlaix, Quimper, Rennes, Vannes et Vitré bénéficient de l’appellation Villes ou Pays d’art et d’histoire.

Textes et dessins : Janick Duval, Mathilde Corbel - Recherches : Janick Duval, Mathilde Corbel, Jean-François Noblet, Léa Emo-DambryCrédits Photos : Archives municipales de Lorient, Alizés Marketing & Design, Sellor, Y. Zedda, Eric Courtet, Paul Le Bozec, DMPA, SHD-Lorient

Conception : Imprimerie municipale - Reimpression : IOV - 2017

In « Die deutschen u-boot bunker werften » de Neitzl Sönke, 1943-1944Plan d’ensemble des constructions projetées à la base de sous-marins