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Dans ce numéro
Arts 2
Remerciements 3
Reportage 4
Activités estivales 5
Grandes entrevues 6
Environnement 8
Sports 10
Coin lecture 12
L’intimidation 14
Le secondaire 15
Profils de profs ! 15
Critique littéraire 17
Cinéma 18
Journal étudiant de l’École du Plateau Juin 2016 Vol. 2 No. 2
QUOI DE NEUF PLATEAU
Les olympiades d’été Par Britanie Morissette, groupe 053
QNP : Est-il difficile de planifier les
olympiades?
M. Eric : C’est beaucoup de planifica-
tion, surtout pour écrire le tableau de
pointage.
QNP : Depuis combien d ’années
organises-tu les olympiades?
M. Eric : Quatorze ans en tout.
QNP : Quelle est ton épreuve pré-
férée?
M. Eric : Ma favorite est
la course à relais.
QNP : Qu’est-ce qui t’a donné l’idée
d’organiser les olympiades?
Monsieur Éric : Quand j’étais jeune,
on en faisait et j’avais envie de re-
vivre l’expérience.
QNP : Quelles sont les épreuves
des olympiades 2016?
M. Eric : Il y a trois sortes de sauts,
trois lancers, trois courses et bien
entendu la course à relais.
Le savais-tu?
Savais-tu que chaque anneau olympique représente un
continent? Eh oui, le jaune est l’Asie, le bleu l’Europe, le
rouge l’Amérique, le noir l’Afrique et le vert l’Océanie. Les
Jeux olympiques de 2016 se dérouleront à Rio au Brésil
du 5 au 21 août. Les mascottes de ces jeux se nomment
Vinitus et Tom. Savais-tu que les médailles des Jeux
olympiques de 2014 avaient quelque chose d’exception-
nel? Elles incorporaient un morceau de météorite, car
cette année-là, une météorite avait frappé la Terre. Gé-
nial non?
Enfin les moyens de pression ont cessé, et nous pouvons nous amuser! Plu-
sieurs activités sont proposées par nos chaleureux enseignants, entre autres
les olympiades d’été dirigées par nos enseignants d’éducation physique, mon-
sieur Éric et madame Christine. Pour les olympiades, les élèves sont divisés
en plusieurs équipes qui portent des noms de pays. Chaque enseignant s’oc-
cupe d’un pays. Il reçoit une feuille où toutes les épreuves sont inscrites en
ordre chronologique. Ainsi, tous les élèves de l’école doivent participer aux
épreuves plus amusantes les unes que les autres. Finalement, des médailles
d’or, d’argent et de bronze récompenseront tous les membres des équipes ga-
gnantes qui sauteront de joie avant de passer leur médaille au cou.
Photos : M. Denis, enseignant de 6e année
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Une artiste inconnue, mais très proche de nous Par Flavie Landreville et Camély Rouleau, groupe 063
Voici une entrevue avec la fille de madame Pascale, professeur de sixième année.
Très talentueuse, Maxance, âgée de seulement 18 ans, nous parlera de sa passion.
QNP : Quelle est ta forme d ’art préférée?
Maxance : J’aime bien utiliser le pastel sec, la
sculpture et aussi la photographie.
QNP : Combien de temps as-tu consacré à la
réalisation du portrait de James Franco?
Maxance : Je dirais environ 10 heures en
tout.
QNP : Pourquoi aimes-tu l’art?
Maxance : J’aime l’art, car cela me permet de
m’évader et de relaxer. J’exprime mes senti-
ments et mes rêves de cette manière.
QNP : Quelle source d ’inspiration utilises-tu
pour faire tes œuvres?
Maxance : Des photos, et aussi des pay-
sages de la nature.
QNP : Quelle est ton œuvre préférée?
Maxance : J’en ai deux. La première est celle
de James Franco, pour sa complexité et le fait
que j’ai réussi à le représenter. La seconde est
mon projet personnel avec les élèves de ma
mère l’an dernier pour tout le travail que cela
représente.
Viens jouer de’Arts Par Laurianne Adam et Camély Rouleau, groupe 063
Le 10 mai dernier, nous avons eu la chance de participer à une activité artistique colorée. Seul ou en équipe de deux,
chaque élève devait mettre toute son imagination sur la tuile de trottoir qui lui avait été attribuée. En plus, un beau gros soleil
nous attendait pour cette activité. Des policiers ont surveillé le tout pour assurer la sécurité des enfants. Des parents béné-
voles ont aussi contribué au bon déroulement de l’activité. Ce jour-là, les trottoirs étaient multicolores!!! C’était magnifique!
L’activité Viens jouer de'Arts a été un grand succès, et tous les passants ont trouvé ça splendide. Certains ont même dit
qu’ils auraient aimé que ce soit permanent. Malheureusement, quelques jours après, la pluie a effacé les œuvres faites à la
craie, mais heureusement notre photographe officiel M. Denis a réussi à immortaliser ce beau moment.
Photos : M. Denis, enseignant de 6e année
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Cueillette pour les
réfugiés
Par Flavie Landreville, groupe 063
Vous avez été nombreux à participer à la col-
lecte de dons pour la famille de réfugiés sy-
riens qui s’installera dans notre quartier. Vous
avez répondu à notre demande en très grand
nombre, et je suis certaine que tous les
membres de la famille furent ravis de recevoir
tous ces précieux dons.
Mille remerciements pour autant de générosité
de votre part.
L’équipe de votre école!
Vous ne le saviez peut-être pas, mais les parents bénévoles travaillent
fort à l’école du Plateau. Ils préparent les décors de scène, ils nettoient
les plates-bandes, ils s’occupent de la vente de livres usagés, ils font la
cueillette de jouets, ils sont là pour les activités aux Olympiades, ils
replacent les livres de la bibliothèque et encore plus. Les parents de
l’organisation de participation parentale ou OPP ne chôment pas. Ils
aiment faire du bénévolat à l’école de leurs enfants. Nous sommes très
chanceux d’avoir des parents bénévoles, car sans eux plusieurs activi-
tés ne seraient pas possibles. Au nom des élèves de l’école du Pla-
teau : MERCI!
Les parents bénévoles Par Ariane Laurendeau, groupe 052
L’équipe du journal étudiant compte plusieurs élèves de cinquième et sixième année. Chaque jeudi midi, nous allons à la
bibliothèque de l’école pour manger et ensuite au local informatique pour écrire des articles. Tous les membres du journal
travaillent très fort, mais une personne en particulier travaille vraiment fort, et cela bénévolement. Sans elle, le journal étu-
diant de l’école du Plateau n’aurait pas vu le jour et nous n’aurions jamais eu cette magnifique chimie entre journalistes. Eh
oui, il s’agit de madame Julie Gunville, une mère bénévole qui tous les jeudis midis vient ici, à l’école du Plateau, donner son
précieux temps aux journalistes pour que le journal étudiant fonctionne bien. Madame Julie s’occupe aussi de la mise en
page du journal et s’assure que tout soit dans l’ordre. Elle donne aussi plein de bons trucs aux journalistes et a de bonnes
idées d’articles. Peut-être que vous ne le saviez pas, mais madame Julie travaille extrêmement fort, c’est même probable-
ment le membre du journal étudiant qui travaille le plus fort… Enfin, ce que nous voulons dire, c’est que nous apprécions
madame Julie et tous les efforts qu’elle met à la création du journal étudiant de notre école. Au nom de toute l’équipe « Quoi
de neuf Plateau », madame Julie, nous vous disons mille fois merci!
Voici quelques petits messages des journalistes qui veulent remercier madame Julie pour tout ce qu’elle a fait pour
nous…
Merci! Par toute l’équipe du journal étudiant
Ariane : Merci Julie de m’avoir permis d’écrire mes premiers
articles. J’espère que cela me servira plus tard.
Laurianne : Julie, tu es une inspiration pour nous, merci pour
tout ton temps!
Camille : Chère Julie, je voulais te remercier pour tout le
temps que tu donnes et l’attention que tu nous donnes. Merci
d’être parmi nous et de pouvoir bien nous guider dans tous
ces domaines.
Sophie : Julie est toujours de bonne humeur et toujours pré-
sente pour nous, elle est toujours prête à nous aider.
Flavie : Julie est toujours là pour nous aider, elle est super!
Camély : Julie, merci pour tout le temps que tu nous donnes
et pour tous les bons conseils.
Justine : Merci beaucoup pour tout ce que tu as fait pour
nous au journal cette année.
Rowen : Merci Julie de nous avoir aidés et guidés à travers la
création de ces beaux journaux.
Britanie : J’ai vraiment adoré travailler au journal avec toi!
Danica : Merci de prendre le temps de nous aider chaque
jeudi.
Autour du monde! Par Camély Rouleau, groupe 063
L’année passée, j’ai eu la chance de faire un voyage de 309 jours. J’ai visité neuf pays sur quatre continents. Ce voyage me
restera dans la tête à tout jamais. Une expérience inoubliable. Les pays que j’ai visités sont : l’Islande, la Norvège, la Fin-
lande, la Suède, le Danemark, les Maldives, la Nouvelle-Zélande, l’Australie et les États-Unis (Floride). Vous trouverez ci-
dessous des péripéties que j’ai vécues tout au long de mon voyage et l’adresse du blogue que ma famille et moi avons ali-
menté tout au long de notre superbe voyage. Un blogue, c’est un site Web où l’on peut écrire des articles et mettre des pho-
tos, un peu comme un journal de voyage électronique. Jetez-y un coup d’œil, vous y trouverez beaucoup plus d’information
et de péripéties : https://rouleaulandry.wordpress.com/
L’Islande
L’Islande est un magnifique
pays qui est fantastique. Là-
bas, j’ai visité des glaciers, des
montagnes et vu une multitude
de paysages différents. J’ai sur-
tout adoré le blue lagoon.
La Norvège
La Norvège est un pays
superbe. J’ai eu la
chance, là-bas, de faire
une croisière d’une se-
maine et d’y célébrer
mon anniversaire!
La Suède
En Suède, j’ai habité à
Stockholm, la capitale du pays.
J’ai particulièrement aimé ma
visite au musée Vasa, le musée
d’un bateau qui a sombré à
peine une minute après son dé-
part.
La Finlande
La Finlande est merveilleuse.
Ce que j’ai le plus aimé là-
bas, c’est la forteresse de
Suomenlinna.
Les Maldives
Les Maldives, c’est un pays
vraiment beau, il y a des pois-
sons partout! J’ai vraiment
adoré faire de la plongée en
apnée.
Le Danemark
Le Danemark est un pays fa-
buleux. Ce que j’ai le plus aimé
là-bas : les parcs d’attractions
Legoland et Tivoli.
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Voilà, cette aventure ma donnée la piqûre des voyages! Je vous souhaite d’avoir la chance
de voyager!
La Nouvelle-Zélande
La Nouvelle-Zélande compte deux
îles, l’île du Nord et l’île du Sud.
C’est simple, j’ai vraiment tout adoré.
L’Australie
L’Australie, c’est fantas-
tique! J’ai adoré visiter le
FeatherDale Wildlife Park
où j’ai pu voir les kangou-
rous et toucher à des koa-
las. L’Opéra de Sydney est
encore plus incroyable que
sur les photos..
La Floride
En Floride, nous
sommes allés à Disney
World! Que dire de
plus!!!
Des activités pour cet été !
Par Sophie Kalachnikov, groupe 061
Randonnée dans les sentiers du parc de la Gatineau
Pour la première activité, je vous pro-pose de faire une randonnée dans les sentiers du parc de la Gatineau. Je vous conseille de faire le sentier de la Chute-de-Luskville, car c’est l’un de mes préférés! J’aime beaucoup le défi de monter jusqu’à la tour à feu! Cette randonnée est d’une durée d’environ 2 h 30 aller-retour, mais ne vous lais-sez pas décourager par ça, car tout au long du sentier il y a des belvédères avec de magnifiques vues! Je dirais que le sentier est accessible à tous, mais il faut avoir de bons souliers et être prêt à grimper sur des roches!
Pique-nique chez le gouverneur gé-néral
Pour la deuxième activité, je vous pro-pose de faire un pique-nique dans le parc de la résidence du gouverneur général ou à l’arboretum d’Ottawa. Ces
endroits sont magnifiques grâce à leurs arbres. Vous pouvez pique-niquer à l’ombre des grands arbres, puis vous promener et admirer la na-ture. Aussi, dans le parc de la rési-dence du gouverneur général, vous trouverez plus de 10 000 arbres dont certains ont été plantés par des invités tels quedes chefs d’État ou même des membres de la famille royale!
Spectacle Lumières du Nord
Pour la troisième activité, je vous pro-pose d’assister au spectacle sons et lumière projeté sur la façade du Parle-ment. Ce spectacle présenté en soirée est accessible à tous et se passe en plein air. Le spectacle raconte l’histoire du Canada. Les effets spéciaux sont super impressionnants. Moi, j’adore aller le voir chaque été! Mais ce qui est le plus amusant, c’est que vous pou-vez y assister aussi souvent que vous voulez, car c’est gratuit! À compter du 9 juillet.
Belvédère Champlain
Pour la quatrième activité, je vous pro-pose d’aller faire un tour au belvédère Champlain. Ce belvédère est situé à Chelsea, au cœur du parc de la Gati-neau. La vue est super belle, on peut voir des terres agricoles, des routes et même la rivière au loin. On peut même emprunter un sentier de randonnée qui nous fait descendre un peu plus bas dans les rochers. C'est seulement au belvédère que l'on peut retrouver une roche qui ne vient pas de la région! Le meilleur moment pour s’y rendre est en fin de soirée afin d’observer de très beaux couchers de soleil.
J’espère que l’une de ces activités fera partie de votre calendrier estival! Je vous souhaite de passer un merveil-leux été en compagnie de votre famille. Bon été!
L’été approche à grands pas et vous ne savez pas encore quoi faire pendant vos journées de congé? Eh bien, je suis là pour vous aider! Je vous propose quatre activités que j’ai testées pour vous. Elles sont toutes gratuites et situées à Gatineau ou Ottawa. J’espère qu’elles vous aideront à passer un bel été!
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Un écrivain à l’école ?
Par Sophie Kalachnikov, groupe 061
Saviez-vous qu’un écrivain travaille dans notre école? En effet, j’ai eu le plaisir de le rencontrer afin de discuter du lance-ment de son troisième livre. Ne vous inquiétez pas, je vais vous révéler son nom, je parle de nul autre que de Monsieur Dany, enseignant au préscolaire!
QNP : Depuis quand avez-vous la passion d’écrire des livres?
M. Dany : En fait, c ’est une bonne question et une drôle de question. Mon premier livre, j’ai commencé à l’écrire quand j’avais 7 ans. Donc, j’étais en deuxième année, à l’école primaire. Évidemment, ce livre-là, je ne l’ai ja-mais fini. J’ai toujours un peu écrit. Quand j’étais au cégep, je tentais de suivre des cours en littérature et en poésie. On s’amusait à écrire des chansons juste pour le plaisir. L’été, quand on faisait des feux de camp, on s’inventait des histoires d’horreur au-tour du feu. Donc, il y a toujours eu des histoires dans ma vie. J’ai par contre publié mon premier livre lorsque j’étais âgé de 36 ans. Donc, tu vois, le premier, je l’ai commencé à 7 ans, et ça m’a pris quand même beaucoup de temps avant de me faire publier!
QNP : Combien de temps cela vous prend-il pour écrire un livre?
M. Dany : Évidemment, je n ’y tra-vaille pas tous les jours parce que j’enseigne. Par contre, lorsque j’ai pris congé de l’enseignement afin d’écrire mon livre, ça m’a pris un an. Tous les matins, je me levais, je déjeunais, j’al-lais travailler à l’ordinateur de trois à quatre heures. Idées ou pas, je restais à l’ordinateur pour travailler. Ensuite, en après-midi, je relaxais un peu parce que tu ne peux pas écrire pendant douze heures de temps. J’allais faire du ski ou d’autres activités pour me changer les idées.
QNP : D’où vient votre inspiration?
M. Dany : L’inspiration, ça vient d’un peu partout. Parfois, ça vient de choses que j’entends, parfois de choses que j’observe, de choses que j’ai vues et dont je me souviens. Dans le dernier livre qui vient de sortir, Re-viens de mourir, il y a une phrase que j’ai écrite qui m’a été inspirée par un élève qui est maintenant en secon-daire 1. Il m’avait dit « je suis vraiment chanceux ». Je lui ai demandé pour-quoi. Il avait l’air super content et il m’avait dit que c’était parce que ce soir-là, il allait manger du maïs soufflé et écouter la télé. Je trouvais ça très
drôle qu’il me dise ça et qu’il soit si émerveillé de manger du maïs soufflé avec ses parents devant la télé. Je me suis toujours souvenu de ça, et ça a ressorti dans le roman dix ans plus tard.
QNP : De quoi parle votre nouveau livre?
M. Dany : C’est l’histoire d’un gars qui ne va pas très bien. Il est en arrêt de travail et a des problèmes de santé. Puis, il trouve un livre quelque part dans un cimetière et sur les premières pages du livre est inscrit « enfin tu m’as trouvé ». C’est le début de son aventure. Grâce à celle-ci, l’homme va sortir de sa maladie et guérir.
QNP : Quand vous étiez jeune, lisiez-vous beaucoup? Si oui, cela a-t-il influencé votre écriture?
M. Dany : Je lisais tout le temps. Je lisais le matin en me levant, en fait, je lisais tout le temps. Cela a sûrement influencé mon écriture, parce qu’à force de lire, on voit des choses qui sont bien écrites et des choses qui sont moins bien écrites. Étant donné que je lisais tout le temps, j’ai lu des romans policiers, des romans d’hor-reur, des romans d’aventures, mais je n’écris pas de romans d’horreur ni de romans policiers. Un jour, j’ai décou-vert certains auteurs français, et aussi avec la philosophie, des choses qui m’ont fait réfléchir. J’écris des histoires de quêtes intérieures, des histoires sur des gens qui transforment leur vie.
QNP : Votre ou vos écrivains préfé-rés?
M. Dany : Mon écrivain préféré entre tous les écrivains, c’est un écrivain français qui s’appelle Christian Bobin et qui fait de tout petits livres. Je trouve que ses livres sont magnifiques. J’aime beaucoup aussi un autre au-teur, qui est l’auteur français le plus lu dans le monde, Éric-Emmanuel Schmidt. C’est un auteur qui a fait un doctorat en philosophie. Ensuite, il a écrit plusieurs pièces de théâtre et plusieurs romans.
QNP : Planifiez-vous écrire un ro-man jeunesse?
M. Dany : Ah, bonne question! En fait, mon ancien éditeur (j’ai changé d’éditeur parce que mes premiers livres avaient été publiés aux Éditions David, et le troisième livre a été publié aux Éditions Vents d’Ouest) m’a de-mandé d’écrire un livre pour les ado-lescents, mais j’ai refusé. J’ai refusé parce que peu importe si on me de-mandait d’écrire un livre pour les en-fants ou pour les ados, ou un roman policier, pour moi, l’écriture, c’est la liberté totale. On travaille ici, on a des cloches, je n’ai pas le choix d’arriver à l’heure, j’ai des bulletins à faire, on a des choses à faire, comme tu as des choses à faire comme étudiante aussi. Donc, quand je me mets à l’ordinateur et que j’écris, c’est moi qui décide de tout, je suis complètement libre, je peux inventer tout, l’histoire, les per-sonnages, les noms. C’est pour cela que je n’ai pas accepté de faire le ro-man jeunesse qu’on me demandait, parce que c’était comme une com-mande. Il y aurait eu des contraintes et des choses que j’aurais dû faire ou ne pas faire. Mais ça ne veut pas dire que je n’en écrirai pas un jour!
QNP : Pour vous, écrire est une pro-fession ou un passe-temps?
M. Dany : Ce n’est pas avec ça que je gagne ma vie parce qu’au Québec, c’est très difficile de gagner sa vie avec la littérature. C’est plus facile, par exemple, comme journaliste, parce que c’est quotidien. Si tu écris des scénarios de films, cela peut être payant. Mais vivre de sa plume, de ses livres, il y a très peu d’auteurs au Qué-bec qui le font. Souvent, ils ont un autre travail. Michel Tremblay écrit des pièces de théâtre. Pour moi, c’est une passion, un passe-temps, mais ce n’est pas ma profession, ce n’est pas avec ça que je vis.
Merci beaucoup!
6
Chat ou chien?
Chien
Chocolat ou vanille?
Vanille
Café ou thé?
Thé
Hiver ou été?
Été
Cinéma ou lecture?
Cinéma et lecture !
Natation ou marche?
Marche
Merci Mme Sylvie de bien prendre
soin de nous!
QNP : Cela fait combine d’années
que vous êtes secrétaire à l’École
du Plateau?
Mme Sylvie : Huit ans
QNP : Avez-vous déjà travaillé dans
une autre école?
Mme Sylvie : Oui, à l’école du Lac-
des-Fées, durant neuf mois.
QNP : comment se déroule une jour-
née typique pour vous?
Les journées typiques n’existent pas!
C’est une surprise chaque jour! Bien
sûr, il y a la prise des absences des
élèves, les appels pour les absences
non motivées et les enseignants sup-
pléants à trouver, mais les tâches pla-
nifiées sont souvent reportées au len-
demain ou accomplies de façon mor-
celée pour répondre aux demandes de
la direction, des parents, des ensei-
gnants, etc. Alors, disons que je vis au
jour le jour.
QNP : Est-ce que c’est exigeant
d’être secrétaire d’école?
Il faut être capable de faire plusieurs
choses à la fois tout en gardant le sou-
rire et la tête sur les épaules. Ce n’est
pas toujours facile!
QNP : Est-ce qu’il y a des moments
dans l’année qui sont plus occu-
pés?
Oui, le début et la fin de l’année sco-
laire.
QNP : Quelle est la réalisation dont
vous êtes le plus fière?
Difficile à dire. Je peux dire que je suis
fière du travail d’équipe et de la bonne
atmosphère de travail qui existent au
secrétariat. Mme Guylaine et moi
avons beaucoup de plaisir à travailler
ensemble.
QNP : Quels sont vos activités pré-
férées à l’extérieur de l’école?
Le jardinage, l’aquaforme, le pilates, la
plongée sous-marine, le cinéma et la
lecture.
Une magicienne à l’école? Par Danica Bertrand, groupe 063
À l’école du Plateau, il y a beaucoup de personnes. Nous comptons des élèves, des enseignant(e)s, le personnel du service
de garde, le personnel de soutien et la direction de l’école. À tous les jours, nous nous côtoyons dans les salles de classe et
dans les corridors. Mais saviez-vous que nous avons une magicienne parmi nous? Son nom est Mme Sylvie et elle est la
secrétaire de l’école.
Pourquoi je l’appelle la magicienne? Parce qu’elle réussit à jongler plusieurs choses en même temps et, en plus, elle arrive
même à prendre soin des élèves et répondre à toutes les demandes des parents et du personnel de l’école. Elle fait plu-
sieurs tâches toute la journée et je me demande comment elle y parvient! Tout d’abord, elle est responsable de l’accueil de
l’école. Elle coordonne les courriels et les messages d’envoi aux parents, elle prend les présences et absences des élèves et
elle s’occupe des inscriptions des nouveaux élèves. Aussi, Mme Sylvie coordonne plusieurs tâches entourant les examens et
les bulletins.
Mme Sylvie a aussi des talents de magicienne parce qu’à chaque fois qu’un élève a une blessure ou juste un petit bobo,
c’est elle qui nous console et qui nous aide à retrouver notre sourire.
En bref, Mme Sylvie utilise sa baguette magique à tous les jours pour le bon déroulement de l’école. Sans elle, l’École du
Plateau ne fonctionnerait pas aussi bien!
Pour apprendre à mieux connaître Mme Sylvie, voici mon entrevue avec elle :
7
Le panda géant
Par Sophie Kalachnikov, groupe 061 et Camille Payet, groupe 063
Cette année, nous ajoutons un nouvel
article à notre série sur les animaux en
voie d’extinction. Malheureusement, ce
ne sont pas les choix qui manquent.
Nous avons donc opté pour le panda.
Alimentation et habitat
Ce mammifère se nourrit surtout de
bambou, de lait, de semoule, de riz, de
farine, de maïs et de canne à sucre. Le
panda géant mange de 10 à 15 kilo-
grammes de bambous par jour. Au
zoo, le panda se fait nourrir que deux
fois par jour, mais en pleine liberté, il
se nourrit de 10 à 12 heures par jour.
Comme le panda géant n’aime pas les
changements climatiques, il monte les
montagnes pour s’éloigner de la cha-
leur en été. Par contre, pendant les
très beaux jours, il sort de sa grande
forêt et va se mettre au bout d’une
branche. Nous pouvons dire qu’il
change d’endroit selon les saisons.
Pourquoi est-il menacé?
Depuis plusieurs années, le nombre de
pandas n’a pas arrêté de diminuer
notamment en raison de la déforesta-
tion. Les gens détruisent les forêts de
bambous en rabattant le bois, ce qui
réduit la quantité de bambous dispo-
nible pour nourrir les pandas.
Autres précautions prises
Des scientifiques capturent les pandas
et leur mettent un collier spécial pour
suivre leurs déplacements. Aussi, la
Chine a recréé des forêts de bambous
pour donner aux pandas ce dont ils ont
besoin pour qu’ils vivent plus long-
temps. De plus, une loi interdit de
chasser ou de capturer un panda.
Faits intéressants
sur le panda
Il ne reste que 1 000 pandas en
liberté.
Le panda est un véritable trésor
pour la Chine.
Un panda a battu un record en
vivant 34 ans (ils vivent habituel-
lement 25 ans).
Les zoos avec des pandas sont
très rares.
Il y a deux pandas au zoo de To-
ronto. Ils se nomment Da Mao et
Er Shun.
Plus de bananes ?!?!?!?!
Par Sophie Kalachnikov, groupe 061
Saviez-vous que les bananes sont en voie de disparition? Comme vous allez le constater, il n’y a pas juste les ani-maux qui sont en voie d’extinction, il y a aussi de simples fruits comme les bananes! Allons en apprendre davan-tage sur la disparition des bananes.
La variété la plus populaire et la plus cultivée est la variété Cavendish. C’est aussi sûrement celle que vous dépo-sez le plus souvent dans votre panier d’épicerie, mais bientôt, vous ne pour-rez plus le faire. Ce qui cause sa dis-parition vous me demandez? La mala-die de Panama. Cette maladie est en
fait un champignon dans le sol qui des-sèche les bananiers, les fait jaunir et les fait mourir. Il n’existe aucun re-mède. C’est comme si les bananiers étaient atteints d’un cancer incurable.
La maladie de Panama n’en est pas à sa première attaque! En effet, c’est en 1940 que l’on en prend connais-sance. À cette époque, on cultivait la variété Gros Mitchel. Malheureuse-ment, cette variété a disparu à cause de cette maladie. Un des plus gros problèmes est que les pays qui culti-vent les bananes tirent leurs revenus de cette culture. La banane est la cin-
quième denrée alimentaire la plus culti-vée après les céréales, le sucre, le café et le cacao.
Comment réagissez-vous à cette nou-velle? Comment les singes pourront-ils se passer de leur dessert préféré? Espérons que les chercheurs trouve-ront une solution, sinon il ne nous res-tera plus qu’à manger les bananes plantains!
Sources :
1. lapresse.ca
2. Huffingtonpost.fr
3. Rcinet.ca
8
École du Plateau = 100% écolo ?
Par Sophie Kalachnikov, groupe 061
Depuis quelque temps, je pense à la Terre. Je pense aux déchets que je jette, à la pollution, au réchauffement climatique,
etc. J’ai une question pour vous : est-ce que vous pensez que l’école est 100 % écolo? Moi, personnellement, je crois que
oui, sauf pour un petit détail...
Le traiteur! Je m’explique. Disons que
vous passez une commande au trai-
teur. Votre commande génèrera en
moyenne quatre articles (contenant,
fourchette, pellicule plastique pour le
dessert et sac brun pour transporter le
tout). Imaginez maintenant que la moi-
tié des élèves de l’école fasse comme
vous, cela ferait environ
1 100 déchets… pour une journée!
Imaginez toute la semaine, toute l’an-
née! Moi, je pense que nous devrions
revenir à la bonne vieille méthode : de
vraies assiettes, de vrais ustensiles et
des cabarets. Pourquoi? Pour moins
polluer. À l’école, ce n’est pas tout le
monde qui sait trier leurs déchets.
Même moi j’oublie parfois que le recy-
clage existe! Quand on jette nos dé-
chets, on doit se poser cette simple
question : « avant de le mettre au recy-
clage ou à la poubelle, est-ce que je
peux le réutiliser une fois nettoyé? ».
Cette simple question peut nous aider
à bien trier les objets. Peut-être vous
vous en fichez de tout ce tri, du trai-
teur, etc., mais la planète Terre elle,
elle en a assez de tous ces déchets
que l’on jette. Il y a plein de gestes que
nous pouvons faire pour ne pas pol-
luer. En voici quelques exemples : se
rendre à l’école en marchant ou en
vélo si cela est possible, apporter nos
collations dans des pots lavables au
lieu des sacs de plastique, prendre
moins de papier quand on se sèche les
mains, etc. Si tout le monde fait ces
petits gestes nous aiderons la planète!
Du Plateau en action
Est-ce que vous saviez que nous
avons un comité environnement à
l’école? Ce comité est formé de
membres de l’OPP qui ont l’environne-
ment à cœur. Cette année, le comité a
notamment évalué la possibilité de
composter à l’école. Moi, je trouve que
c’est une excellente idée, car plein
d’élèves à l’école mangent des
pommes, clémentines, bananes, etc.
Tous ces élèves jettent leur cœur ou
pelure à la poubelle. Il n’y a rien de mal
à ça vous me direz, mais cela serait
encore mieux si nous pouvions les
composter. Qu’en pensez-vous? Le
comité a également mis sur pied un
programme de récupération des
crayons-feutres Crayola. Une boîte
Colour Cycle a été déposée dans la
rotonde afin de recueillir les vieux
crayons. Vous en avez à la maison? Il
suffit de les apporter à l’école, et les
membres du comité s’occuperont de
les faire recycler. Les membres du
comité ont également procédé au net-
toyage des plates-bandes de l’école le
14 mai dernier.
En conclusion, nous avons tous un rôle
à jouer pour sauver la planète. Peut-
être qu’en triant nos déchets, nous
serons plus proches du 100 % écolo!
C’est en faisant plein de petits gestes
que nous pourrons changer les
choses!
Photos : Benoit Tourangeau, groupe 062
Le bottin vert
Connaissez-vous le bottin vert de la ville de Gatineau ? Cette ressource en ligne vous permet d’obtenir les points de chute
afin de vous départir de produits chimiques, meubles, petits ou gros appareils ménagers, etc. Vous n’avez qu’à visiter
l’adresse suivante et sélectionner le type de matériaux. Une liste d’adresses vous sera fournit afin que vous puissiez vous
débarrasser de ces items de façon responsable. N’hésitez pas à vous y référer ! C’est gratuit et écologique !
www.gatineau.ca
Cliquez sur Compostage, recyclage et ordures sur la page principale
Cliquez sur l’icône Bottin Vert
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Nos athlètes Par Sophie Kalachnikov, groupe 061
Athlète : Rosalie Savoie-Tremblay
Niveau : 6e année
Sport : la ringuette
QNP : Pourquoi pratiques-tu ce sport?
Rosalie : Parce que j’ai déjà essayé le hockey, mais que je n’aime pas ça. Puis,
mon père a lu un article dans le journal sur la ringuette, et j’ai décidé de tenter ma
chance.
QNP : Depuis quand pratiques-tu ce sport?
Rosalie : Depuis que j’ai 5 ans
QNP : Quelle est ta source d’inspiration?
Rosalie : L’équipe canadienne de ringuette.
Athlète : Tomaz Talayer-Leme
Niveau : 6e année
Sport : le soccer
QNP : Pourquoi pratiques-tu ce sport?
Tomaz : Parce que c ’est le sport de mon pays (le Brésil) et que j’aime beaucoup
écouter les parties à la télévision. J’ai décidé d’essayer ce sport.
QNP : Depuis quand pratiques-tu ce sport?
Tomaz : Depuis que j ’ai 4 ans
QNP : Quelle est ta source d’inspiration?
Tomaz : Givanildo Vieira de Souza surnommé « Hulk », un joueur de football
brésilien qui est membre de l’équipe Zénith de Saint-Pétersbourg
Athlète : Méane Larochelle
Niveau : 5e année
Sport : le triathlon
QNP : Pourquoi pratiques-tu ce sport?
Méane : Parce que mon frère en faisait déjà. Puisque j ’aime faire du vélo, de
la course et de la nage, je me suis dit que je pourrais essayer.
QNP : Depuis quand pratiques-tu ce sport?
Méane : Depuis que j ’ai 5 ans.
QNP : Quelle est ta source d’inspiration?
Méane : Mon frère
À l’école du Plateau, plusieurs élèves pratiquent des sports, et ce à un très haut niveau de compétition. Nous avons le plaisir
de vous présenter cinq athlètes dans le but de vous faire découvrir leur univers respectif!
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Athlète : Ève Berthiaume
Niveau : 6e année
Sport : la nage synchronisée
QNP : Pourquoi pratiques-tu ce sport?
Ève : Parce qu’il n’y a pas beaucoup de personnes qui font ce sport et que je voulais
découvrir quelque chose de nouveau.
QNP : Depuis quand pratiques-tu ce sport?
Ève : Depuis que j ’ai 7 ans.
QNP : Quelle est ta source d’inspiration?
Ève : Karine Thomas, membre de l ’équipe olympique canadienne de nage synchro-
nisée.
Athlète : Coralie Lavoie
Niveau : 6e année
Sport : le ski alpin
QNP : Pourquoi pratiques-tu ce sport?
Coralie : Parce que quand je fais du ski alpin, j’ai une sensation de liberté. C’est aussi
le sport où je réussis le mieux!
QNP : Depuis quand pratiques-tu ce sport?
Coralie : Depuis que j’ai 3 ans.
QNP : Quelle est ta source d’inspiration?
Coralie : Les sœurs Dufour-Lapointe et Mikaël Kingsbury, des skieurs acrobatiques
québécois.
Cet été, osez essayer quelque chose de nouveau. Qui sait, vous développerez peut-être une nouvelle passion !
Saviez-vous que nous avons des équipes de mini-volley à l’école du Plateau? Cette activité est organisée par M. Éric. Cette
année, il y avait 48 élèves qui y participaient. Il y avait quatre équipes de 5e année et cinq équipes de 6e année. Les équipes
s’entraînaient dans le gymnase de l’école quelques fois par semaine. Au total, 37 équipes de différentes commissions sco-
laires font partie du réseau de mini-volley. Cinq équipes du Plateau se sont classées parmi les 20 meilleures équipes, quatre
parmi les 10 meilleures. Le mini-volley du Plateau en était à sa deuxième année d’existence. En tout, les équipes ont partici-
pé à trois tournois qui ont tous eu lieu au collège St-Alexandre. Fait à noter, l’une de nos équipes s’est taillée une place en
finale cette année. Longue vie au mini-volley du Plateau!
Le mini-volley Par Ariane Laurendeau, groupe 052
Photos : Benoit Tourangeau, groupe 062
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Les découvertes de Martin - Sports d’hiver Par Laurianne Adam, groupe 063 et Rowen Yo, groupe 053
Martin regarde la télévision sur le sofa. Sa
mère veut faire une activité dehors, mais
Martin trouve qu’il fait trop froid. Le lende-
main, il fait un peu plus chaud, et sa mère
l’emmène faire de la raquette, mais Martin
n’aime pas ça. Ensuite, il va au bal de
neige, mais il n’aime pas ça, car il y a trop
de monde. Martin va patiner avec ses amis. À son retour, sa mère lui demande
s’il a aimé ça. Il répond non, car il tombait toujours. Finalement, Martin va glisser
et il aime ça, car il n’y a pas beaucoup de monde et que c’était amusant.
Saviez-vous que... Par Laurianne Adam, groupe 063
1. Avant de dormir, 90 % de votre esprit commence à imaginer les choses que vous souhai-
teriez voir se produire dans votre vie.
2. Écouter de la musique tout en travaillant aide à créer une ambiance positive et vous aide
à devenir plus productif.
3. Les mois qui commencent par un dimanche auront toujours un « vendredi 13 ».
4. Pour produire un kilo de miel, les abeilles cumulent près de 16 000 heures de travail.
5. Les personnes nées entre 1995 et 1999 ont vécu trois décennies, deux siècles, deux mil-
lénaires et n’ont même pas encore 18 ans!
Source : saviezvousque.net
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Mange-Mots Par Camély Rouleau, groupe 063
Mange-mots est un petit monstre qui se nourrit non seulement de nourriture,
mais aussi de mots. Chaque matin, Mange-mots plonge dans un nouveau livre
pour aller à la chasse aux mots. Son mot préféré est « bonbon ». Mange-mots
adore manger des mots, c’est son repas préféré.
Un matin, Mange-mots est à court de livres. Pour essayer de résoudre son pro-
blème, Mange-mots se rend à la bibliothèque pour trouver un nouveau livre.
Malheureusement, il ne reste plus de mots dans aucun des livres. Mange-mots
les a déjà tous mangé la semaine d’avant.
Déçu, Mange-mots retourne à sa caverne. Deux heures plus tard, Mange-mots
entend des pas. Il sort alors de sa caverne pour voir ce qui se passe. Lorsque
Mange-mots arrive dehors, il tombe
nez à nez avec J.K. Rowling, une des
plus grandes auteures de tous les
temps. Lorsque J.K. Rowling aperçoit
Mange-mots, elle voit qu’il a l’air triste.
Elle lui demande ce qui ne va pas.
Mange-mots lui raconte tout ce qui ne
va pas, et J.K. Rowling propose de lui
écrire un livre. Une heure plus tard, la
célèbre auteure lui donne un livre de
777 777 mots. Le livre est intitulé
« BONBONS ». Depuis ce jour, Mange
-mots ne manque plus jamais de mots.
L’intimidation Par Flavie Landreville, groupe 063 et Justine Bérubé, groupe 061
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L’intimidation… un sujet dont on pourrait parler pendant des heures. Le but de notre article est de vous inciter à dire « non
à l’intimidation »!
Qu’est-ce que l’intimidation?
L’intimidation est une forme d’insultes à répétition qui sont physiques ou verbales. Les paroles sont aussi blessantes que
les gestes. Malheureusement, l’intimidation est présente dans toutes les écoles. Essayons d’arrêter ça!
Comment réagir?
Ne reste pas là à ne rien faire et surtout n’empire pas la situation en riant. Cela ne peut qu’aggraver les choses. Si tu as-
sistes à une scène d’intimidation, va voir un adulte pour qu’il vienne en aide à la personne intimidée.
Suis-je un témoin, une victime ou un complice?
Tu es un témoin si tu assistes à la scène d’intimidation. Tu es victime si tu es atteint par l’intimidation. Toutefois, ne
t’inquiète surtout pas sur ce point, car il existe de l’aide. Dénonce la situation à un adulte de confiance (parent, professeur,
directeur, etc.) pour qu’elle cesse. Si la situation s’aggrave, de plus grandes conséquences viendront. N’oublie pas que tu
es complice lorsque tu ne viens pas en aide à une victime d’intimidation ou que tu encourages l’agresseur en riant ou en
ajoutant des commentaires.
Comment se manifeste l’intimidation?
L’intimidation se manifeste de plusieurs façons. La cyberintimidation est une sorte d’intimidation. Elle a lieu par courriel ou
sur les réseaux sociaux. La cyberintimidation est très fréquente. Afficher des messages méchants sur Internet, Facebook
ou un autre réseau est un exemple de cyberintimidation. L’intimidation physique, c’est par exemple faire trébucher quel-
qu’un, briser ses choses, le frapper ou le voler. L’intimidation sociale implique plutôt de ridiculiser quelqu’un devant un
groupe, de l’exclure, de répandre de fausses rumeurs, etc. Finalement, il y a l’intimidation verbale. Dans ce cas-ci, il s’agit
de menaces, de commentaires blessants, d’insultes, etc.
Pour conclure cet article, comprenez que ce n’est pas une bonne chose d’intimider quelqu’un, peu importe la manière
utilisée. Disons NON à l’intimidation!
Voici quelques ressources à l’école du Plateau qui peuvent vous aider en cas d’intimidation :
Votre professeur
Mme France et Mme Arianne,
techniciennes en éducation
spécialisée
Mme Chantale, directrice ad-
jointe de l’école du Plateau
M. Guitard, directeur de l’école
du Plateau
Illustration : Lexi Caron-Proulx, groupe 063
Le Secondaire Par Justine Bérubé, groupe 061
Mon nom est Justine. Je suis une élève de 6e année. L’année prochaine, je fréquenterai e Collège Saint-Joseph. Étudier à
St-Jo était un rêve pour moi. Afin de le réaliser, j’ai dû travailler très fort. Je vous présente les étapes franchies cet automne
afin d’atteindre mon but.
Le début de l’aventure
Durant l’été, j’ai commencé à étudier
pour les examens du secondaire. J’uti-
lisais un cahier avec plein de questions
à choix multiples. On y retrouvait diffé-
rentes matières comme les mathéma-
tiques, le français, les connaissances
générales, etc. Je te suggère de com-
mencer à étudier vers la fin de l’été.
Visite des écoles
À l’automne, les écoles secondaires
organisent des journées portes ou-
vertes. Tu peux visiter les locaux et
rencontrer les gens qui y travaillent.
J’étais super excitée, car j’attendais ce
moment depuis longtemps.
Cibler les écoles
Pour choisir ta nouvelle école, tu dois
prendre en compte plusieurs choses,
la plus importante étant si tu veux étu-
dier à l’école publique ou privée. Si tu
décides d’aller au privé, tu peux visiter
le Collège Saint-Joseph (filles seule-
ment), le Collège Saint-Alexandre et le
Collège Nouvelles Frontières. Si tu
veux aller au public, l’école du Plateau
organisera des visites des écoles se-
condaires Mont-Bleu et de l’Île au cou-
rant de l’année. Les visites te permet-
tent de faire un choix éclairé.
Comment faire son choix
Je te recommande de faire une liste de
priorité des écoles visitées. Tes cri-
tères de classement peuvent être ba-
sés sur ce que tu recherches à ta pro-
chaine école : programme de sport,
d’arts ou de multimédia, la proximité de
l’école ou les heures de classe, etc.
S.O.S étude ou pas
Moi, j’ai décidé de faire S.O.S Études
pour mieux me préparer pour les exa-
mens des écoles. Selon moi, c’est le
choix à faire, parce que tu apprends de
nouveaux trucs et que ça peut te don-
ner confiance.
Examens d’admission
L’examen d’admission est nécessaire
seulement si tu veux fréquenter une
école privée ou si tu veux t’inscrire au
programme international de l’école
secondaire de l’Île. Les examens d’ad-
mission se passent le matin de 8 h à
midi. Tu ne fais l’examen qu’une seule
fois même si tu as plusieurs écoles sur
ta liste. Tu n’as qu’à coordonner l’envoi
des résultats aux écoles choisies.
Réponse des écoles
Une fois l’examen terminé, c’est la
période d’attente qui commence! Tu
recevras la ou les réponses des écoles
un mois plus tard. J’espère que tu se-
ras accepté à l’école secondaire de ton
choix.
Faire son choix
Tu as reçu tes résultats et plusieurs
écoles ont dit oui? Super! C’est main-
tenant le moment de faire ton choix
décisif. Selon moi, tu devrais faire une
liste des avantages et des inconvé-
nients pour chaque école. Après tu
pourras mieux voir l’école qui te con-
vient le mieux. Bien sûr, il y a d’autres
façons. Par exemple, mon amie So-
phie a plutôt regardé les différents pro-
grammes offerts dans les écoles et a
basé son choix sur ce critère.
Inscription
Ton choix est fait? Tu peux maintenant
aller t’inscrire à ta nouvelle école.
Bonne chance!
Profils de prof. ! Par Flavie Landreville, groupe 063
Cette année, le personnel enseignant de l’école du Plateau a accueilli de nouveaux professeurs au sein de leur équipe.
Voici le profil de deux d’entre eux : M. Jean-Philippe Houle (musique) et Mme Marie-Ève Dupont (2e année).
QNP : Où avez-vous enseigné aupara-vant?
M. J-P : J’ai enseigné à plusieurs écoles, entre autres aux écoles primaire et secondaire Mont-Bleu.
Mme M-È : À l’école Jean-de-Brébeuf.
QNP : Avez-vous un fait cocasse à nous raconter?
M. J-P : À quelques re-prises, j’ai enseigné à des jumeaux et j’avais toujours de la difficulté à les différen-cier.
Mme M-È : À ma deuxième journée à l’école du Plateau, je devais aller surveiller à la récréation et puis j’ai glissé pour ensuite tomber devant tous les élèves de l’école.
QNP : Avez-vous un beau moment à partager avec nous?
M. J-P : Lorsque je suis allé patiner avec les élèves de 3e année cet hiver. C’était su-per amusant!
Mme M-È : Nous avons fait du savon au micro-ondes dans le cadre d’un cours de science. Je crois que ça va être un souvenir mémorable puisque mon four sent encore le savon!
QNP : Pouvez-vous nous dé-crire votre expérience à l’école du Plateau?
M. J-P : J’adore les élèves, car ils sont très gentils. Je trouve aussi que l’école a beaucoup de matériel. Donc, enseigner pour moi ici est une expérience amu-sante!
Mme M-È : Pour moi, cette expérience demeurera à jamais gravée dans ma mémoire, car je trouve qu’elle est superbe jus-qu’à présent! J’adore l’entraide et la complicité entre tous les professeurs.
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Faits cocasses ! Par Flavie Landreville et Camille Payet, groupe 063
Madame Anne (maternelle)
« J’étais à l’école St-Paul, et mes élèves étaient en train de faire
leur relaxation. À ce moment précis, l’alarme de feu s’est dé-
clenchée, mais un de mes élèves s’était endormi! Prise de pa-
nique, je l’ai pris dans mes bras pour ensuite le transporter jus-
qu’à l’extérieur! Ce n’est seulement qu’après quelques minutes
qu’il s’est réveillé. »
Madame Mariane (2e année)
« En mathématique, je vou-
lais expliquer le concept de la
symétrie à mes élèves. J’ai
pris ma règle et je l’ai placée
au milieu de mon visage.
J’avais oublié que plus tôt
dans la journée, je l’avais
utilisée pour faire des lignes
avec des crayons Sharpie. À
la fin de la journée, je me
suis regardée dans le miroir
et devinez ce qu’il y avait au
milieu de mon visage depuis
plusieurs heures? Une ligne
de Sharpie qui faisait mal-
heureusement le diamètre
complet (verticalement) de
mon visage! »
Madame Janie (3e année)
« À l’ancienne école où j’en-
seignais, nous avions enlevé
nos souliers pour nous as-
seoir confortablement dans la
bibliothèque et puis là, mal-
heureusement, l’alarme de
feu a commencé à sonner!
Nous avons dû évacuer
l’école avec nos chaussettes.
Et savez-vous quoi? Il venait
juste de pleuvoir! »
Madame Sabrine (5e année)
« J’adore les animaux. Et
j’aime bien les recevoir en
visite dans ma classe. Nous
avons déjà reçu un lapin, un
poisson, un canard, un
hamster, un oiseau, un pous-
sin et, finalement, une
chèvre! Ce fut des journées
mémorables. »
Madame Martine (5e année)
« Sur l’ordinateur, je faisais la
liste des élèves de ma classe
et puis rendu au nom d’un de
ceux-ci, Anis, j’ai honteuse-
ment fait une erreur de
frappe. Maintenant, regardez
sur le clavier, quelle lettre se
trouve juste à côté du I? »
Monsieur Éric
(éducation physique)
« Un jour, j’ai mis un élève
dans la poubelle (rires)! »
Juliette à Paris Par Camille Payet, groupe 063
Juliette à Paris est un roman d’aventures rempli de folies et de plaisir. Il fait partie de la célèbre
collection « Juliette ». Tous ces livres sont illustrés par Géraldine Charrette et écrits par Rose-
Line Brasset. Dans ce livre, on y retrouve une très belle histoire d’amitié et même d’amour. Oh,
là, là!!! Chaque été, la mère de Juliette trouve toujours une raison pour partir en voyage avec sa
fille. Comme vous vous en doutez, cette fois-ci, elles partent pour Paris!
Attention : après la lecture de ce roman, vous pourriez avoir une envie soudaine de voyager!!!
Bref, je vous recommande fortement ce livre puisqu’il est rempli d’actions et qu’il est très diver-
tissant. J’accorde quatre étoiles à ce livre.
Mon premier livre de recettes par Ricardo Par Emile Labelle, groupe 051 et Flavie Landreville, groupe 063
Recette : Brownie
Critique : Chef Flavie
Je trouve que ce brownie est vraiment parfait lorsque vous avez un petit creux ou une envie de sucre! J’ai beaucoup aimé
cuisiner ce dessert, car j’adore expérimenter les recettes du super Ricardo. Cette recette est très facile à réaliser, même
pour les débutants en cuisine.
Bonne chance et bonne dégustation!
Recette : Pancakes
Critique : Chef Émile
J’ai aimé cuisiner des pancakes car c’est facile à faire et
habituellement on a tous les ingrédients nécessaires a la maison:
farine, lait, oeufs et vanille. Cette recette fait le bonheur de chaque
personne de la famille. La recette va bien accompagnée de coulis,
de sirop d’érable, de fruits, etc. J’espère que vous allez aimer ça au
revoir et bonne cuisine!
Source : ricardocuisine.com
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Zootopia est un film d’animation et d’aventure qui est sorti le 4 mars 2016 der-
nier. Ce film est le 135ᵉ long-métrage d'animation et le 55ᵉ « Classique d'ani-
mation » des studios Disney réalisé par Byron Howard qui est reconnu pour son
travail sur Raiponce (2010) et Rich Moore qui lui, est connu pour son travail
dans les mondes de Ralph (2012). De plus, nous pouvons entendre la voix de
Sharika dans le rôle de Gazelle, une chanteuse célèbre dans la ville de zooto-
pia.
En résumé
Zootopia est une grande ville où tous les animaux y vivent en harmonie. Tout le
monde à sa place, des plus immenses éléphants jusqu’au plus petites souris.
Le rêve de Judy Hopps est de devenir la première lapine dans la police. Lors-
qu’elle fait son entrée, elle découvre qu’il est bien difficile de s’imposer chez les
gros rhinocéros, surtout quand on est une adorable petite lapine. Elle est bien
décidée à faire ses preuves. Quand elle apprend que la loutre M. Otterton a
disparu, elle fait équipe avec un renard nommé Nick Wilde afin de le retrouver
et peut-être résoudre du même coup le mystère des nombreuses disparitions
récentes survenues dans la ville.
Ma critique
Zootopia est un excellent film autant pour les jeunes que pour les adultes. Per-
sonnellement, j’ai vraiment trouvé que le film était très instructif car il prouve
qu’il faut travailler fort pour obtenir des résultats. Ce long-métrage est très di-
vertissant et je suis sûre que même les adultes auront quelques petits fou-rires
.
En conclusion, j’ai vraiment adoré ce film et si vous désirez passer de beaux mo-
ments en famille, Zootopia est le film idéal.
Le film Zootopia est sorti en DVD et Blu-Ray le 9 juin dernier.
Je donne à Zootopia 4 étoiles.
Zootopia Par Laurianne Adam, groupe 063
Illustration : Lexi Caron-Proulx, groupe 063
Sortie cinéma
Angry Brids—le film
20 mai 2016
Le monde de Dory
22 juin 2016
Comme des bêtes
27 juillet 2016
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L’équipe de Quoi de neuf Plateau 2015-2016
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