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LE GUIDE INDISPENSABLE • Savoir repérer les symptômes • Les solutions pour chaque plante • Tous les conseils de prévention • Les bons gestes pour traiter bio 1OO % bio Plus de 9OO photos et dessins LE TRAITÉ DES MALADIES ET PARASITES DU JARDIN

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Disponibles dans la même collection Sommaire

LE GUIDE INDISPENSABLE• Savoir repérer les symptômes• Les solutions pour chaque plante• Tous les conseils de prévention• Les bons gestes pour traiter bio

1OO % bioPlus de 9OO photos et dessins

LE TRAITÉDES MALADIES ET PARASITES

DU JARDIN

DES

LE T

RA

ITÉ

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PAR

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DIN

1OO %

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www.rustica.fr

Véritable mine d’informations, pratique et innovant, le Traité Rustica des maladies et parasites du jardin constitue une aide particulièrement précieuse pour tous les jardiniers, néophytes ou plus expérimentés.

La description plante par plante des atteintes possibles (mala-dies, parasites, carences...) vous permet un diagnostic rapide et sûr. Vous trouverez notamment des solutions pour chaque problème et tous les bons gestes pour limiter les traitements, même bio. Vous apprendrez à privilégier la prévention naturelle pour protéger notre environnement.

Près de 9OO photos et dessins viennent à l’appui des textes pour aider à bien reconnaître les symptômes et faire de ce Traité Rustica un outil indispensable au jardin.

L’AUTEUR Ingénieur agronome de formation, spécialisée en horticulture, Valérie Garnaud travaille depuis une trentaine d’années comme journaliste horti-cole pour différentes revues spécialisées. Auteur de nombreux ouvrages sur le jardin, elle traduit également des livres de langue anglaise ou allemande traitant de jardinage ou de botanique. Elle vit et jardine en Lorraine depuis plus de vingt ans.

◆ Le traité Rustica des arbres fruitiers

◆ Le traité Rustica des techniques du jardin

◆ Le traité Rustica des fleurs

◆ Le traité Rustica des variétés potagères

◆ Le traité Rustica du potager

◆ Le traité Rustica de la permaculture

◆ Le traité Rustica du jardin

◆ Le traité Rustica des orchidées

◆ Le traité Rustica des plantes d’intérieur

◆ Le Traité Rustica du jardinage avec la Lune

◆ Le traité Rustica de la conservation

◆ Le traité Rustica des savoir-faire cuisine maison

◆ Le traité Rustica de la bonne cuisine maison

◆ Le traité Rustica des oiseaux du jardin

◆ Le traité Rustica de l’apiculture

◆ Le traité Rustica de la ferme familiale

◆ Le traité Rustica du petit élevage

◆ Le traité Rustica du chat

◆ Le traité Rustica du cheval

◆ Le traité Rustica de la basse-cour

UN JARDIN EN BONNE SANTÉQuels types d’atteintes ?Quelle démarche adopter ? Comment choisir le bon produit ?Les clés d’un beau jardinL’importance de la préventionLes bons réflexesComment lutter contre les maladies et les ravageurs

DIX ATTEINTES INÉVITABLES DANS NOS JARDINSCinq types de maladies à bien identifier Cinq types de parasites incontournables

AU JARDIN FRUITIERQuelques atteintes spécifiques Les espèces fruitières courantes Autres espèces fruitières

AU JARDIN POTAGERQuelques atteintes spécifiquesLes espèces potagères courantesQuelques plantes aromatiques Autres espèces potagères

AU JARDIN D’ORNEMENTQuelques atteintes spécifiquesLes espèces ornementales courantesLes ennemis de votre pelouseAutres espèces ornementales

AU JARDIN FLEURIQuelques atteintes spécifiquesLes espèces florales courantes

COUV_TRAITE_RUSTICA_Maladies_v7.indd 1 16/01/2019 16:01

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Inévitablement, les plantes de votre jardin sont atteintes certaines années par

des parasites ou des maladies. Comment identifier le problème, comment savoir

pourquoi le feuillage de tel arbuste jaunit brutalement, pourquoi des taches apparaissent

sur les pommes ou pourquoi des gousses de pois sont déformées ? Et que faire pour

y remédier, préserver la récolte si possible ou la floraison à venir, ou au moins éviter

la contamination d’autres plantes ?

L’objet de ce livre est d’aider le jardinier néophyte ou confirmé à identifier avec

précision et le plus rapidement possible les problèmes auxquels sont confrontées

les plantes de son jardin, qu’il s’agisse de celles du verger, du potager, du jardin

d’ornement ou des fleurs. Tout en étant faciles à mettre en œuvre, les solutions

proposées visent à respecter au mieux notre environnement, la faune sauvage

du jardin et les auxiliaires du jardinier.

C’est pourquoi vous trouverez dans ce Traité Rustica des maladies et parasites du jardin

une présentation détaillée et très illustrée des principales atteintes qui peuvent toucher

telle ou telle plante et des remèdes appropriés. Cet ouvrage met aussi l’accent sur

l’importance de la prévention pour éviter la réapparition année après année du même

problème. L’essentiel à retenir en matière de prévention est qu’une plante cultivée dans

des conditions d’environnement (sol, climat, exposition…) favorables sera plus robuste

et donc résistera mieux aux attaques de maladies ou de parasites qu’une plante déjà

fragilisée par des conditions difficiles.

Le Traité Rustica des maladies et parasites du jardin a aussi pour objectif d’encourager

le jardinier à accepter, dans des limites raisonnables, la présence de certaines maladies

ou de certains parasites. Ceci est notamment possible pour les inévitables pucerons

par exemple, en favorisant la présence d’auxiliaires qui permettront de maintenir

à un niveau « acceptable » les populations de ces parasites sans autre intervention.

Avant-propos

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Petit guide d’utilisation du Traité 10

z Un jardin en bonne santé 12

Protéger son jardin 14

Quels types d’atteintes ? 15

• Les maladies

Qu’est-ce qu’une maladie virale ? 15

Qu’est-ce qu’une maladie bactérienne ? 16

Qu’est-ce qu’une maladie cryptogamique 16

• Les parasites ou ravageurs 17

« Parasite » ou « ravageur » ? 17

Les insectes 17

Les acariens 18

Les nématodes 18

Les autres animaux 18

Quelle démarche adopter ? comment choisir le bon produit ? 19

les clés d’un beau jardin 20

Tenir compte du sol et du climat 20

Choisir le bon emplacement pour les plantes 21

La rotation des cultures dans le potager 21

Un entretien régulier 21

l’importance de la prévention 22

Les variétés résistantes ou tolérantes 22

Assurer une bonne circulation de l’air 22

Arroser à bon escient 22

Pas d’excès d’engrais 22

Les traitements préventifs 23

Des mesures de protection efficaces 23

Quelques règles d’hygiène 23

Choisir les bonnes compagnes 23

les bons réflexes 24

La surveillance régulière des plantes 24

Les premières mesures 24

Que faire des organes ou plantes atteints ? 24

comment lutter contre les maladies et les ravageurs 25

• La lutte biologique 25

Les avantages de la lutte biologique 25

Les difficultés de mise en œuvre 25

Les auxiLiaires du jardinier 25

– Quelques exemples d’auxilliaires 25

– Comment favoriser leur présence dans le jardin 26

La Lutte intégrée 27

– Quelques exemples d’appâts et de répulsifs 27

– Les pièges à phéromones 27

– Les pièges englués 27

Les produits préconisés en jardinage bioLogique 28

– Des remèdes naturels à préparer soi-même 28

– Les purins, autres préparations 29

– Quelques produits courants acceptés

– en jardinage biologique 30

Sommaire

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Sommaire • 7

z Dix atteintes inévitablesdans nos jardins 32

cinQ types de maladies à bien identifier 34

Mildious 34

Oïdiums ou « blancs » 35

Pourridié 36

Pourriture grise 37

Rouilles 38

cinQ types de parasites incontournables 39

Araignées rouges 39

Chenilles 40

Cochenilles 41

Escargots et limaces 43

Pucerons 44

z PARTIE 1 • Au jardin fruitier 46

QuelQues atteintes spécifiQues 48

Les insectes xylophages 48

Les carences du sol 50

les espèces fruitières courantes

• Abricotier 52

• Actinidia (Kiwi) 56

• Agrumes 58

• Amandier 62

• Cerisier 66

• Cognassier 70

• Figuier 72

• Fraisier 74

• Framboisier 77

• Groseillier, cassissier, groseillier à maquereau 82

• Noisetier 85

• Noyer 88

• Olivier 91

• Pêcher, nectarinier 94

• Poirier 100

• Pommier 104

• Prunier 110

• Vigne 114

autres espèces fruitières 120

Arbousier, châtaignier, grenadier, kaki (plaqueminier),

myrtillier, nashi, néflier, passiflore (grenadille),

physalis (coqueret du Pérou).

z PARTIE 2 • Au jardin potager 122

QuelQues atteintes spécifiQues 124

Les parasites présents dans le sol 124

Les atteintes spécifiques aux semis 127

les espèces potagères courantes

• Ail, échalote 128

• Artichaut 130

• Asperge 133

• Aubergine 136

• Betterave 140

• Carotte 143

• Céleri 147

• Chicorées : frisée, scarole 150

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8 • Sommaire

• Choux 153

• Concombre, cornichon 158

• Courges : citrouille, courgette, pâtisson, potiron 161

• Endive 164

• Épinard 166

• Fenouil bulbeux 168

• Fève 170

• Haricot 172

• Laitue 176

• Mâche 180

• Maïs 182

• Melon 184

• Navet 187

• Oignon 190

• Panais 194

• Piment, poivron 196

• Poireau 198

• Poirée (Bette) 201

• Pois 204

• Pomme de terre 207

• Radis 211

• Tomate 214

QuelQues plantes aromatiQues 218

Aneth, basilic, cerfeuil, estragon, laurier-sauce, livèche,

menthe, persil, romarin, sauge.

autres espèces potagères 220

Angélique, crambe, crosne du Japon, ficoïde glaciale,

lentille, oseille, pois-asperge, rhubarbe, roquette, rutabaga,

salsifis, scorsonère, tétragone cornue, topinambour.

z PARTIE 3 • Au jardin d’ornement 224

QuelQues atteintes spécifiQues 226

Les maladies 226

Les parasites 228

les espèces ornementales courantes

• Arbre de Judée 230

• Aubépine 232

• Aulne 235

• Azalée 237

• Berbéris, épine-vinette 240

• Bouleau 242

• Buis 245

• Camélia 248

• Catalpa 251

• Cerisier à fleurs et autres Prunus 253

• Charme 256

• Chêne 258

• Chèvrefeuille 261

• Clématite 264

• Cognassier du Japon 266

• Conifères 268

• Cornouiller 274

• Cotonoéaster 276

• Cytise 278

• Érable 280

• Forsythia 284

• Frêne 286

• Fuchsia 288

• Fusain 292

• Glycine 295

• Groseillier à fleurs 298

• Hêtre 300

• Hortensia, hydrangéa 303

• Houx 306

• Laurier-cerise 308

• Laurier-rose 310

• Lilas 312

• Mahonia 316

• Marronnier 318

• Orme 321

• Palmiers 324

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Sommaire • 9

• Peuplier 327

• Platane 330

• Pommier à fleurs 333

• Pyracantha (Buisson ardent) 336

• Rhododendron 340

• Rosier 343

• Saule 348

• Tilleul 351

• Troène 354

• Viorne 357

les ennemis de votre pelouse 359

• Gazon 360

autres espèces ornementales 364

Althéa, bignone, buddléia, céanothe, daphné, deutzia,

genêt, lavande, lierre, magnolia, oranger du Mexique,

seringat, spirée, sumac, vigne vierge, weigelia.

z PARTIE 4 • Au jardin fleuri 368

QuelQues atteintes spécifiQues 370

Les maladies 370

Les parasites 371

les espèces florales courantes

• Anémone 372

• Aster 373

• Bégonia 374

• Campanule 375

• Capucine 376

• Centaurée 377

• Chrysanthème 378

• Dahlia 380

• Delphinium 381

• Géranium 382

• Giroflée 384

• Glaïeul 385

• Gypsophile 386

• Hellébore 387

• Impatiens 388

• Iris 390

• Jacinthe 391

• Lis 392

• Lupin 393

• Muflier 394

• Muguet 395

• Œillet 396

• Œillet d’Inde 398

• Pavot, coquelicot 399

• Pensée, violette 400

• Pétunia 401

• Phlox 402

• Pivoine 403

• Pois de senteur 404

• Primevère 406

• Reine-marguerite 407

• Rose trémière 408

• Rudbeckia 409

• Sauge 410

• Souci 411

• Tulipe 412

• Zinnia 413

z Annexes 414

Glossaire 416

Adresses utiles 419

Index 421

Crédits photographiques 430

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10

Un jardin en bonne santé (pages 12 à 31)

Ces quelques pages permettront notamment aux jar-diniers peu expérimentés de mieux connaître les types de maladies et de parasites qui peuvent s’attaquer aux plantes du jardin.

Le lecteur y trouvera aussi de très nombreux conseils généraux d’aménagement et d’entretien qui sont « les clés d’un beau jardin », l’accent étant mis sur la préven-tion et les bons réflexes à acquérir pour limiter autant que possible les dégâts dus aux maladies et parasites.

Les différents moyens de lutte à la disposition des jardi-niers sont ensuite rappelés, suivis de quelques recettes de remèdes naturels à préparer soi-même. Enfin, l’ouvrage reprend, sous forme de tableaux, une liste des princi-paux produits phytosani taires naturels proposés aux jardiniers dans le commerce.

Dix atteintes inévitables dans nos jardins (pages 32 à 45)

Pour ces quelques pages, nous avons choisi de détailler cinq maladies (ou groupes de maladies) et cinq parasites (ou groupes de parasites) qui sont :

– soit très fréquents dans les jardins et auxquels tout jardinier est inévitablement confronté un jour ou l’autre (par exemple, les pucerons) ;

– soit susceptibles d’attaquer une très large gamme de plantes.

Ces atteintes sont bien entendu reprises par la suite dans les différentes parties de cet ouvrage, mais elles sont regroupées ici comme un préalable indispensable à prendre en compte.

Les maladies et parasites du jardin en quatre parties (pages 46 à 413)

Le corps principal de l’ouvrage est ensuite organisé en quatre parties, plus ou moins conséquentes selon le type de plantation.

• Partie 1 : Au jardin fruitier• Partie 2 : Au jardin potager• Partie 3 : Au jardin d’ornement

(arbres, arbustes, grimpantes, gazon)• Partie 4 : Au jardin fleuri

AvertissementLes atteintes présentées dans cet ouvrage, qu’il s’agisse de maladies ou de parasites, ne peuvent bien sûr constituer un « état des lieux » exhaustif de tous les problèmes phytosani-taires qui peuvent se manifester sur une plante.

Nous avons essayé de sélectionner les atteintes les plus courantes qui concernent les plantes de nos jardins, mais d’autres peuvent aussi se déclarer, selon les régions, les années, les conditions climatiques, tandis que de nouveaux parasites sont introduits par le biais d’échanges com-merciaux, comme ce fut le cas pour le phylloxéra ou plus récemment pour un parasite qui attaque les palmiers.

Petit guide d’utilisation du TraitéCet ouvrage, très illustré, consacré aux maladies et ravageurs qui peuvent affecter couramment les plantes de nos jardins, s’attache à la description détaillée des symptômes, à l’identification de l’agent responsable et aux moyens de lutte et de prévention appropriés. Afin d’aider le lecteur, jardinier amateur ou professionnel, à déceler puis traiter les problèmes rencontrés sur les végétaux, le Traité Rustica des maladies et parasites du jardin propose successivement :

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Petit guide d’utilisation du Traité • 11

Grâce à cette distinction entre les atteintes courantes et les atteintes secondaires, le lecteur peut aller directement au problème concerné et établir facilement son diagnos-tic à l’aide des différentes rubriques proposées systéma-tiquement pour chaque atteinte : « Quand », « Parties atteintes », « Symptômes » et enfin « Que faire ».

❙ Pour clore la ficheUne rubrique « Se déclarent parfois » signale d’autres atteintes qui peuvent apparaître, mais qui demeurent malgré tout assez rares.

❙ Les informations complémentairesÀ ces textes viennent s’ajouter s’il y a lieu des informa-tions concernant la prévention et le choix des variétés, ainsi que de nombreux conseils.

En outre, des renvois permettent au lecteur curieux d’aller consulter, par exemple, pour davantage de détails, les petits chapitres sur « Les 10 atteintes inévitables au jardin » ou « Les atteintes spécifiques ».

z Quelques autres espèces…À la fin de chaque partie, d’autres plantes moins cou-ramment cultivées sont abordées succinctement. Par ailleurs, dans la partie « Au jardin potager », deux pages sont consacrées aux plantes aromatiques.

2. L’organisation de la partie « Au jardin fleuri »Cette dernière partie est présentée de façon plus suc-cincte. En effet, nous avons considéré que même si les fleurs méritent autant de soins attentifs que toute autre plantation au jardin, leur croissance rapide permet de les arracher plus facilement pour les remplacer, ce qui n’est pas le cas d’un arbuste, par exemple, qui demande plusieurs années pour se développer. Comme pour les pages précédentes, le lecteur y trouvera cependant de nombreux conseils et illustrations.

En bref…Par cette présentation, nous espérons apporter un outil précieux pour le jardinier, qu’il soit confirmé ou encore débutant. Outil d’identification d’abord, puis d’interven-tion, chaque fiche a pour objectif de déterminer facile-ment les mesures à mettre en œuvre pour résoudre au mieux le problème rencontré. Que ce soit à titre curatif ou préventif, nous préconisons uniquement des traite-ments naturels afin de préserver notre environnement et de respecter la nouvelle législation concernant les jardins et les espaces verts.

Quelle structure pour chaque partie ?

Pour davantage de clarté et permettre une recherche rapide sans avoir à se reporter sans cesse à d’autres par-ties de l’ouvrage, chaque plante est traitée sous forme de fiche, de 2 à 6 pages.

1. L’organisation des trois premières partiesLes parties « Au jardin fruitier », « Au jardin potager » et « Au jardin d’ornement » sont organisées selon la même structure.

z Les atteintes spécifiquesChaque partie s’ouvre par la description détaillée de quelques atteintes spécifiques aux végétaux concernés, et qui peuvent toucher de nombreuses espèces.

Par exemple : les insectes xylophages et les carences du sol (bore, magnésium, fer…) pour les arbres fruitiers, les insectes présents dans le sol pour le potager…

z Les fiches plante par planteViennent ensuite les fiches, classées par ordre alphabé-tique, pour lesquelles nous avons sélectionné les plantes qui nous semblaient les plus couramment cultivées au jardin. Leur nombre diffère d’une partie à l’autre.

Afin de permettre un repérage rapide et efficace, quel que soit le type de plantation, le lecteur retrouvera tou-jours les mêmes informations.

❙ En début de ficheNous proposons un texte de présentation illustré, puis une fiche d’identité de la plante, qui inclut la liste de ses principaux ennemis. Ceux-ci ne sont pas donnés par ordre alphabétique, mais selon leur ordre d’apparition dans la fiche générale.

❙ Le corps du texte• Nous abordons tout d’abord « Les atteintes les plus courantes », c’est-à-dire celles que nous avons considé-rées comme revenant fréquemment, parfois tous les ans ou presque pour certaines plantes sensibles.• Viennent ensuite « Les atteintes secondaires », c’est-à-dire celles que nous estimons moins fréquentes, mais pouvant survenir régulièrement, notamment dans de mauvaises conditions de culture.

Ces deux rubriques que nous avons voulues facile-ment accessibles et rapides à consulter sont enrichies de nombreuses illustrations montrant les symptômes ou les agents responsables des différentes atteintes.

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Un jardinen bonne

santé

Un jardinen bonne

santé

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14 • Un jardin en bonne santé

Tous les jardiniers sont confrontés

à l’apparition de maladies et de

parasites sur les plantes de leur jardin.

Après avoir cru, pendant quelques

décennies, au « tout chimique », à la

possibilité pour les jardiniers, comme

pour les agriculteurs, de préserver

totalement le jardin des parasites

ou des maladies à grand renfort de

traitements curatifs ou préventifs, on

mesure aujourd’hui l’inefficacité et les

méfaits d’une telle démarche. Maladies

et parasites sont toujours présents, sols

et nappes phréatiques sont pollués,

la faune auxiliaire est décimée.

Protéger son jardinUne nouvelle philosophie s’impose désormais au jar-dinier du xxie siècle : protéger les plantes de son jardin le mieux possible, certes, mais aussi et surtout préser-ver notre environnement. Une double exigence qui implique de la part du jardinier des interventions rai-sonnées et limitées.

Le jardinier doit apprendre la tolérance dans son jar-din. Il n’est en effet pas toujours indispensable ni envisa-geable de lutter contre les parasites et les maladies.

L’un des outils les plus précieux du jardinier, ce sont ses yeux. À force d’observation attentive de ses plantes, il apprend à détecter précocement une attaque de para-sites ou les symptômes d’une maladie.

L’objectif de cet ouvrage est simple : vous permettre d’identifier l’atteinte repérée et de déterminer ensuite quelles sont les meilleures solutions à mettre en œuvre, non pas pour éradiquer nécessairement le moindre insecte ou la moindre tache foliaire, mais pour atteindre un « seuil de tolérance » acceptable, le but étant de pré-server autant que possible l’aspect esthétique de la plante (dans le jardin d’ornement) ou les promesses de récolte (dans le potager ou le verger).

Si vous découvrez des larves de coccinelles dans votre jardin, protégez-les, elles vous aideront à lutter contre les pucerons !

Soyez tolérant !

• Une maladie comme l’oïdium, qui se manifeste en début d’automne, disparaîtra avec la chute des feuilles : il vous suffira de ramasser celles-ci, sans autres traitements.

• Les grands arbres sont impossibles à traiter à l’échelle du jardin et du jardinier et, souvent, ils sont assez robustes pour résister aux pucerons ou aux taches foliaires !

• Vous ne parviendrez jamais à éradiquer totalement et durablement des ravageurs comme les pucerons. Apprenez à tolérer leur présence en faible nombre et surtout favorisez le développement dans le jardin de prédateurs naturels comme les chrysopes, les coccinelles, les syrphes, etc.

• Préservez le jardin de tout traitement peu avant la récolte. Mieux vaut perdre quelques pommes ou laitues que de consommer des produits du jardin présentant des résidus de pesticides !

• Une plante – qu’il s’agisse d’une culture légumière ou d’une espèce ornementale – qui présente chaque année la même attaque de maladie ne se plaît sans doute pas là où vous l’avez semée ou plantée. Plutôt que de la traiter chaque année, remplacez-la par une ou des plantes qui s’adapteront mieux aux conditions de culture.

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Un jardin en bonne santé • 15

QUELS TYPES D’ATTEINTES ?• LES MALADIESDans un jardin, les agents pathogènes, c’est-à-dire les agents responsables des maladies des plantes, sont pour la plupart des champignons microscopiques, parfois des bactéries ou des virus.

Qu’est-ce qu’une maladie virale ?Les viroses ou maladies virales sont, comme leur nom l’indique, causées par des virus, des micro-organismes microbiens qui ne sont visibles qu’au microscope élec-tronique, mais dont les symptômes sont souvent bien perceptibles. Il s’agit la plupart du temps de décolora-tions du feuillage ou de panachures en mosaïque ou en marbrures ; des panachures apparaissent parfois aussi sur les fleurs. Ces symptômes s’accompagnent généra-lement d’une perte de vigueur.

La transmission des viroses se fait :

• lors de la reproduction, par les graines ou les boutures par exemple, si celles-ci sont virosées ;

• par des blessures accidentelles de la plante ou par des outils utilisés pour la taille ;

• par des vecteurs spécifiques, très souvent des insectes piqueurs et suceurs de sève comme les pucerons ou les cicadelles.

Quelques exemples Le nanisme buisson-nant du framboisier, la mosaïque du concombre (voir p. 160), la jaunisse de la laitue (voir p. 178), la marbrure nanifiante de la carotte.

Les moyens de lutte Il n’existe aucun moyen curatif efficace, aussi est-il indispensable d’élimi-ner les plantes malades et d’éviter autant que possible la contamina-tion d’autres plantes.

Les pesticides prochainement interdits dans les jardinsDans le cadre de la loi sur la transition énergétique, adoptée le 22 juillet 2015 par l’Assemblée Nationale, et dans un souci de préserver santé publique et envi-ronnement, les pesticides seront interdits d’utilisation dans les espaces verts (collectivités territoriales) dès 2017, puis d’achat et d’utilisation dans les jardins à par-tir du 1er janvier 2019.

Les produits qui seront toujours autorisés :• Les produits autorisés en agriculture biologique (par

exemple bouillie bordelaise, pyréthrine naturelle, huile de colza…) – produits qui ne sont pas pour autant inoffensifs.

• Les produits de biocontrôle (mode de protection des végétaux par des mécanismes naturels), répartis en quatre groupes : les animaux auxiliaires (insectes, acariens ou nématodes utilisés pour la lutte biolo-gique) ; les micro-organismes tels que champignons, virus ou bactéries utilisés pour protéger les cultures ou stimuler les défenses naturelles des plantes ; les médiateurs chimiques de type phéromones ; les subs-tances naturelles (d’origine végétale, minérale ou ani-male) utilisées pour le biocontrôle.

• Les produits qualifiés « à faible risque » (ou prépara-tions naturelles peu préoccupantes, PNPP), de type purin d’ortie ou décoction de prêle.

D’ores et déjà, certaines jardineries ont décidé depuis quelques années de ne plus proposer aux jardiniers amateurs que des produits naturels et organisent même des collectes de pesticides, désherbants et autres.

Si les décennies suivant la seconde guerre mondiale ont été celles du « tout chimique », avec la découverte d’une infinité de substances de synthèse utilisées dans les champs et les jardins, les maisons, les véhicules, les textiles et tout notre quotidien, nous mesurons main-tenant les effets négatifs de ces produits sur notre envi-ronnement et notre santé.

Tout jardinier responsable se doit de réaliser qu’il est pré-férable de renoncer aux pesticides chimiques qui, même s’ils peuvent certes éradiquer le ravageur ou la maladie qui attaque ses plantes, ont des effets très négatifs sur la faune du jardin, la terre et la qualité de l’eau.

Accepter quelques déboires – quelques pieds de tomates détruits par le mildiou, des boutons de roses envahis de pucerons (temporairement !)… – c’est toute la sagesse du jardinier qui veut faire de son jardin un endroit pré-servé, riche en biodiversité, en fleurs, légumes et fruits poussés sainement et non un lieu de lutte contre quan-tité d’ennemis… dont il faut relativiser l’importance !

ZÉRO PHYTO

Présents dans les tissus de la plante malade, les virus sont transmis lors du bouturage.

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16 • Un jardin en bonne santé

Qu’est-ce qu’une maladie bactérienne ?Les bactérioses, ou maladies bactériennes, sont causées par des bactéries pathogènes qui envahissent localement les tissus végétaux. Cela se traduit le plus souvent par leur dégradation rapide, sous forme de flétrissement et/ou de pourriture, de suintement, de chancre. Les tissus attaqués peuvent dégager une odeur nauséabonde.

La transmission des bactérioses se fait :

• par l’eau, les éclaboussures ;

• les outils de taille ;

• plus rarement par les insectes.

Quelques exemplesLe feu bactérien (voir p. 51), le chancre bactérien (voir p. 226), la bactériose du lilas (voir p. 313).

Les moyens de lutte Il n’existe pas de produits phytosanitaires spécifique-ment bactéricides.

Il ne faut pas hésiter à rabattre les parties malades, voire arracher et brûler la plante entière si nécessaire.

Qu’est-ce qu’une maladie cryptogamique ?Les maladies cryptogamiques sont dues à des champi-gnons microscopiques qui se développent rapidement dans les tissus de la plante-hôte ou à leur surface.

Ces maladies, qui sont très nombreuses, comptent les oïdiums, les rouilles, les mildious, les fusarioses, la cladosporiose, les cloques…

Les symptômes sont multiples : taches ou feutrage sur les feuilles, taches ou chancres sur les tiges, flétrisse-ment, pourriture, etc.

La transmission des spores des champignons pathogènes peut se faire par :

• l’eau, les éclaboussures (pluie, arrosage), les courants d’air ;

• les outils de taille (maladies vasculaires) ;

• les animaux (par exemple, les insectes pollinisateurs) ;

• le sol (les spores du champignon pathogène persistent dans le sol, contaminant les cultures qui se succèdent sur la même parcelle, surtout au potager).

Quelques exemplesLa moniliose (voir p. 53), la verticilliose (voir p. 137), la maladie du plomb (voir p. 255).

Les moyens de lutte On recourt essentiellement aux fongicides, produits phyto sanitaires spécifiques, d’origine naturelle, par exemple à base de soufre ou de cuivre. Certaines pré-parations naturelles comme la décoction de prêle, pré-sentent également des propriétés fongicides. Une taille sévère peut aussi permettre d’éliminer les tissus malades.

Les outils de taille peuvent être vecteurs de maladies. Désinfectez soigneusement les lames de coupe après utilisation.

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Un jardin en bonne santé • 17

• LES PARASITES OU RAVAGEURSLes ravageurs rassemblent tous les animaux dont l’activité est nuisible pour les plantes du

jardin, qu’il s’agisse par exemple des pucerons qui ponctionnent la

sève de leurs piqûres, des chenilles qui dévorent le limbe des feuilles ou des larves du hanneton qui s’attaquent aux racines. Ces ravageurs sont en majorité des insectes, mais les jardiniers doivent aussi faire face à des acariens, à des nématodes, ainsi qu’à des animaux plus gros, escargots et limaces, parfois oiseaux ou rongeurs.

« Parasite » ou « ravageur » ?Le parasite est au sens strict du terme un organisme qui vit aux dépens d’un autre, sans nécessairement le détruire. Les champignons pathogènes, responsables des maladies des végétaux, sont donc des parasites au même titre que des insectes comme les pucerons.

La dénomination « ravageur » serait donc a priori plus exacte pour englober ici tous les organismes animaux nuisibles (pucerons, limaces, etc.) aux plantes du jardin. Cependant, nous avons préféré employer généralement le terme de « parasite », car c’est le plus usité et aussi le plus familier peut-être des jardiniers.

Les insectesLes insectes sont sans doute les rava-geurs les plus courants dans nos

jardins, où ils sont représentés par de très nombreuses espèces !

À cette grande diversité s’ajoutent des cycles de vie très variés, depuis l’œuf

jusqu’au stade adulte. On distingue essentiellement deux grands groupes : les insectes à métamorphose incomplète et ceux à métamorphose complète.

• Chez les insectes à métamorphose incomplète, on compte depuis l’œuf jusqu’à l’adulte plusieurs stades larvaires, chacune des larves ressemblant à l’adulte et se nourrissant comme lui. Les espèces phytophages sont donc nuisibles à tous les stades de leur transformation, puisque les larves se nourrissent aussi sur les plantes. Figurent notamment dans ce groupe les cicadelles, les cochenilles, les pucerons, les punaises et les thrips.

Dès le début de leur évolution (plusieurs stades larvaires), les larves des insectes à métamorphose incomplète ont une morphologie et un mode d’alimentation quasiment identiques à ceux des adultes.

Tout au long de leur évolution (plusieurs stades larvaires) les larves des insectes à métamorphose complète ont une morphologie et un mode d’alimentation nettement distincts de ceux de l’adulte.

Œuf

Stades larvaires

Piéride du chou adulte

Nymphe ou chrysalide

Œuf

Stades larvaires

Punaise adulte

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18 • Un jardin en bonne santé

• Chez les insectes à métamorphose complète, les stades larvaires sont nettement distincts de l’adulte et celui de la nymphe (inactive) intervient entre la larve et l’adulte. Chez ces insectes, la larve et l’adulte peuvent avoir un régime alimentaire différent, et seul un de ces stades peut se révéler nuisible au jardin. C’est le cas par exemple des chenilles de papillons.

Font partie de ce groupe, les coléoptères (hannetons, charançons…), les lépidoptères ou papillons (piérides, noctuelles…), les diptères (mouches, cécidomyies…).

Les acariensLes acariens, dont les représentants les plus connus des jardiniers sont les minuscules araignées rouges ou tétranyques tisserands, ne sont pas des insectes, mais représentent un ordre de la classe des Arachnides.

Les acariens phytophages, qui se nourrissent sur les plantes, possèdent généralement quatre paires de pattes ; ils sont ovipares et mesurent moins de 1 millimètre, ce qui les rend peu visibles à l’œil nu.

Trois principaux groupes d’acariens sont actifs dans le jardin : les phytoptes, responsables des érinoses (l’éri-nose de la vigne, par exemple), les tarsonèmes (sur fraisier et plantes ornementales surtout), et bien sûr le groupe des tétranyques, comme les acariens des arbres fruitiers ou des conifères. Tous se nourrissent en piquant l’épi-derme des feuilles. Ils provoquent des déformations des tissus ou entraînent des marbrures ou des décolorations du feuillage.

N’étant pas des insectes, les acariens ne doivent pas être combattus avec n’importe quel insecticide polyvalent, d’autant plus que certains de ces insecticides favorisent au contraire la pullulation des acariens.

Attention, de nombreux autres acariens sont des prédateurs naturels d’insectes ou d’acariens ravageurs des plantes.

Les nématodesLes nématodes ou anguillules sont des vers microsco-piques qui envahissent les racines ou les bulbes des plantes. Certains gagnent aussi les parties aériennes. Les nématodes sont généralement présents dans le sol et infectent ainsi les plantes.

Il n’existe pas de remède véritablement efficace contre ces parasites. Un conseil, donc : veillez à arracher et à brûler toutes les plantes atteintes, nettoyez soigneuse-ment le sol et surtout respectez une rotation suffisante (4 ans) avant de cultiver des plantes sensibles sur un même emplacement.

Les autres animauxLes plus courants dans les jar-dins demeurent les escargots et les

limaces. Outre les pièges à bière ou les barrières physiques (écorces, coquilles

d’œufs…), il existe pour combattre ces mol-lusques des produits spécifiques appelés molluscicides, généralement vendus sous forme de granulés à base de phosphate ferrique, autorisé en agriculture biologique.

Certains oiseaux, dont les merles et les étourneaux, peuvent s’attaquer aux fruits du jardin ; les pigeons, quant à eux, sont amateurs des semis de pois. La pose de filets constitue la meilleure protection.

Parmi les rongeurs, les redoutables campa-gnols grignotent aussi bien les écorces que les racines.

La taupe est nuisible en raison des galeries qu’elle creuse dans la terre, mais utile aussi puisqu’elle se nourrit de nombreuses larves d’insectes ravageurs.

Enfin, il arrive que chevreuils et lièvres causent eux aussi des dégâts dans les jardins situés en bordure de forêt : l’hiver, ils s’attaquent souvent aux écorces et aux bourgeons.

Des araignées rouges, vues au microscope.

Les rongeurs (ci-contre un lérot) et les lièvres (ci-dessous) sont à surveiller.

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Un jardin en bonne santé • 19

Tant que les dégâts sont limités, privilégiez les interven-tions mécaniques (supprimez les feuilles ou les pousses atteintes, écrasez les ravageurs ou collectez-les pour les détruire…) et associez si possible à cette intervention l’application d’un remède naturel, comme le purin de fougère contre les pucerons ou une décoction de prêle contre les maladies (voir p. 29).

Si les dégâts sont déjà importants, voyez si une inter-vention plus lourde s’impose vraiment et laquelle. Il est souvent préférable d’arracher les plantes très touchées pour épargner les autres.

Avant d’opter pour un traitement, même autorisé en agriculture biologique, assurez-vous que les autres méthodes de lutte (introduction de prédateurs naturels, lutte intégrée) n’offrent aucune possibilité.

Réservez l’usage des traitements aux cas les plus diffi-ciles, quand il n’existe pas d’autre solution. Prenez tou-jours le temps de réfléchir au préalable avant de décider d’une intervention (voir p. 25 à 31).

Dès que vous repérez des doryphores sur le feuillage de vos pommes de terre, éliminez-les sans attendre.

Après chaque utilisation, prenez le temps de nettoyer les outils et le matériel. Vous limiterez ainsi les risques de transmission des maladies.

QUELLE DÉMARCHE ADOPTER ? COMMENT CHOISIR LE BON PRODUIT ?Une fois le diagnostic établi (attaque de pucerons ou de chenilles défoliatrices, feutrage blanchâtre de l’oïdium ou autre), que faire ?

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L’AUTEUR Ingénieur agronome de formation, spécialisée en horticulture, Valérie Garnaud travaille depuis une trentaine d’années comme journaliste horti-cole pour différentes revues spécialisées. Auteur de nombreux ouvrages sur le jardin, elle traduit également des livres de langue anglaise ou allemande traitant de jardinage ou de botanique. Elle vit et jardine en Lorraine depuis plus de vingt ans.

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UN JARDIN EN BONNE SANTÉQuels types d’atteintes ?Quelle démarche adopter ? Comment choisir le bon produit ?Les clés d’un beau jardinL’importance de la préventionLes bons réflexesComment lutter contre les maladies et les ravageurs

DIX ATTEINTES INÉVITABLES DANS NOS JARDINSCinq types de maladies à bien identifier Cinq types de parasites incontournables

AU JARDIN FRUITIERQuelques atteintes spécifiques Les espèces fruitières courantes Autres espèces fruitières

AU JARDIN POTAGERQuelques atteintes spécifiquesLes espèces potagères courantesQuelques plantes aromatiques Autres espèces potagères

AU JARDIN D’ORNEMENTQuelques atteintes spécifiquesLes espèces ornementales courantesLes ennemis de votre pelouseAutres espèces ornementales

AU JARDIN FLEURIQuelques atteintes spécifiquesLes espèces florales courantes

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