Comprendre les espaces géographiques au travers des milieux sonores grâce à des

outils nomadesUne expérimentation en géographie, au

lycée

Cadre du projet

• Nouveau programme de géographie de seconde

• Chapitre “aménager la ville”• Travail sur la pollution sonore et

les bruits de la ville commecadre d’étude

Mise en place

Deux activités réalisés par deuxclasses différentes de seconde :• Cartographie simplifiée du bruit de

Nantes et Paris à partir de cartesexistantes.

• Une sortie de terrain pour réaliserune cartographie du bruit quantitative et qualitative.

Un travail collaboratif à

différentes échelles 1/2

Professeur

d’Histoire-

Géographie

Professeur

d’éducation

musicale

IFE: Institut Français de

l’Education- Eductice

Groupe EDD et

géomatique

Un travail collaboratif à

différentes échelles 2/2

classe de 2ème:Simplification des cartes de

Paris et Nantes

classe de 2ème:

Sortie de terrain

à Limoges

Classe de 3ème :

Choix des

applications

mobiles

Intervention ville

de Limoges sur

les nuisances

sonores

Synthèse: analyse de

l’étalement urbain en zone

périphérique; le centre ville .

Choix délicat des outils

Choix 1: Les outils les plus adaptés à ce travail

Choix délicat des outils

Choix final: les téléphones portables

accessibles par tous et un outil unique

Rôle de la classe de troisième

Travail sur les applications mobiles à proposer aux secondes.Rôle d’experts

application pour smartphone: My tracks

Application pour smartphone d'enregistrement vidéogéolocalisé:Kinomap

Application pour smartphone de

relevés sonore: sonomètre

• La cartographie simplifiéedes deux agglomérations

• La réalisation d’une carte de synthèse après la sortie de terrain

Les réalisations des deux classes

Synthèse des deux études

• Comparaison des niveaux sonoresentre ces trois agglomérations

• Importance des infrastructures routières

• Le calme relatif des espacespériphériques

• Quelles solutions envisagées ?

Un typologiesimple des sons

Les sons ont commencé à être classés selon des typologies simples:• Sons ordinaires/ sons extraordinaires• Sons naturels/sons mécaniques

prédominance des sons mécaniques ordinaires, liés surtout aux traffics routiers.Si on exclut les sons des traffics routiers, on découvre, y compris en centre-ville, une prédominance des sons naturels, modifiant considérablement la perception sonore.C'est une conclusion conforme à celle de Catherine Semidor.

Année scolaire 2011-

2012: un élargissement du

projet

• Création d’un groupe de travail:

Espace, sonorités, mobilités au sein du

groupe Eductice

• Plusieurs autres expérimentations à

différents niveaux avec des

temporalités différentes

Conclusion: les liens

possibles avec la

recherche