Projet Migration3G 4G
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PLAN
Introduction
A-GENERALITES
I-RAPPELS SUR LA 3G
II-RAPPELS SUR LA 4G
B-MIGRATION 3G/4G
I-MIGRATION DANS LA 3G
II- MIGRATION 3G VERS 4G
Conclusion
A-GENERALITES
I-RAPPELS SUR LA 3G
La troisième génération (3G) de systèmes cellulaires est une génération
de systèmes mobiles labellisé IMT 2000 par l’UIT. Ce système permet des
services de communications plus rapides notamment pour la voix, la télécopie,
l’Internet de n'importe quel endroit et à tout moment. La norme internationale
IMT-2000 de la 3G a ouvert la voie à de nouvelles applications et services
comme par exemple le divertissement multimédia, la localisation des services.
La troisième génération de systèmes cellulaires (3G) utilise notamment les
standards suivants : UMTS (Universal Mobile Telecommunications System).
La troisième génération de normes de téléphonie mobile (UMTS)
propose d’échanger à 1,9 mb par seconde, soit environ 5 fois plus rapide que
la génération précédente. Cette technologie plus performante permet
notamment des accès à internet avec des débits supérieurs. Elle s’appuie sur
un nouveau réseau d’antennes relais, pour l’instant dans la gamme des
2100MHz en France, mais la pénurie de ressources amènera à l’utilisation de la
bande des 900MHz (canaux libérés par le GSM dont la charge va baisser). Coté
mobile les points marquants sont l’absence de pulsations basses fréquences et
une régulation de la puissance beaucoup plus performante qu’en GSM (donc
champs électriques bien plus bas).
Le HSDPA (3.5G ou 3G+) est une évolution plus performante en termes
de vitesse de transmission.
Comme tout réseau mobile, le réseau de troisième génération est constitué
d’un réseau d’accès et d’un réseau cœur.
Le réseau d’accès 3G s’appelle UTRAN (UMTS Terrestrial Radio Access
Network). Il supporte les technologies radio W-CDMA, HSDPA, HSUPA et
HSPA+ qui sont des différentes évolutions de la 3G. Il est composé des
entités NodeB et RNC (Radio Network Controller) dans la première
recommandation de la 3GPP (3G Partnership Project) la Release 99. Dans
la Release 4/5, un autre réseau d’accès cette fois basé sur le EDGE le
GERAN (GSM/EDGE Radio Acces Network) est adoptée.
Le réseau cœur 2G/3G consiste en deux domaines : Domaine circuit et
domaine paquet. Le domaine circuit offre des services de téléphonie. Au
départ constitué de commutateurs voix MSC/VLR (Mobile Services
Switching Centre / Visiting Location Register), GMSC (Gateway MSC) et
HLR (Home Location Register), il a évolué vers une structure NGN
Mobile appelée R4 où les MSC/VLR et GMSC deviennent des MSC
Servers / MGWs (Media Gateway). Le domaine paquet appelé GPRS
(General Packet Radio Service) offre un accès plus (3G) ou moins (2G)
haut débit au monde IP et à ses services. Il est constitué d’entités SGSN
(Serving GPRS Support Node) et GGSN (Gateway GPRS Support Node)
reliées entre elles par un réseau IP.
La téléphonie mobile de 3ème Génération (UMTS) a évolué en parallèle en
suivant dans un premier temps le principe de séparation de la signalisation et
du transport des informations. Il s’agit de la Release 4 de la 3GPP (UMTS R4)
défini en mars 2001. Le MSC (et le GMSC) sont découpés en 2 entités
distinctes : Un serveur traitant de la signalisation et d’un commutateur. On
passe ainsi :
Au niveau signalisation :
D’un MSC en un MSC server
D’un GMSC en un GMSC server et un CS-MGW
Au niveau transport :
D’un MSC et d’un GMSC en un CS-MGW (Circuit
Switched Media Gateway)
Les Releases 5 et 6 de l’UMTS permettent l’établissement de sessions
multimédias. Il s’agit de l’IMS, un nouveau réseau qui se superpose au CS et
au PS.
o Dans le réseau mobile : Le MSC-Server s’occupe des fonctions de
contrôle d’appel. Il commande ainsi le CS-MGW permettant
l’établissement, le maintien et la libération de sessions afin d’assurer le
trafic (la bande passante) des informations à transmettre et le choix des
protocoles sur le CS-MGW : Il est possible de passer une communication
en mode circuit sur une interface A vers une communication en IP sur du
SCTP. Le MSC-Server contrôle également la mobilité du MSC et de ce
fait, il est connecté au VLR.
o A l’interface du réseau fixe, afin de permettre l’interconnexion entre le
réseau mobile et le réseau fixe, l’équipement MSC-Server se nomme
GMSC-Server, indiquant ainsi son rôle de passerelle (G = Gateway ou
passerelle). Son rôle est donc identique au MSC-Server, c’est-à-dire il
s’occupe des fonctions de contrôle d’appel. Il commande ainsi le CS-
MGW permettant l’établissement, le maintien et la libération de sessions.
Par contre, il est connecté au HLR pour savoir dans quelle région
géographique est situé le mobile (autrement dit dans quel VLR est
sauvegardé le profil de l’abonné)
o Le CS-MGW est un commutateur et une passerelle de média, il permet
de router les communications (Information : Média ou Données) du
réseau téléphonique (2G/3G) vers le réseau IP (IP/Ethernet, IP/ATM/SDH,
IP/SDH). Il est contrôle par le MSC-Server ou MGSC-Server selon le
protocole MEGACO/H.248.
Architecture réseau 3G :
L’évolution de l’architecture a permis d’optimiser les débits entre les
équipements (TRAU : Transcodeur). Initialement, la station mobile encode la
voix selon le protocole AMR (Adaptative Multi Rate Codec), avec un débit de 5
à 12 kbit/s. Le MSC utilisait la technologie : TDM, la voix était décodée et
recodée à un débit de 64 kbps (G.711). En utilisant le réseau IP (RTP/UDP/IP), la
voix peut être transportée de bout en bout avec le codec AMR sur le backbone
IP/ATM.
Bon à savoir :
La puissance n’est souvent pas (ou mal) régulée en WiFi et Bluetooth. On a
donc de fortes chances d’être plus exposé lors d’une connexion internet par
WiFi que par 3G. Sachant que la fréquence du WiFi (2,4GHz) a la réputation
d’être particulièrement nocive il est vivement conseillé d’éviter ce mode de
connexion !
Les fréquences basses comme le 900MHz sont plus robustes que les
fréquences plus élevées. Elles sont plus pénétrantes (passent plus facilement
les murs) et sont donc moins absorbées par les corps traversés. Les
fréquences élevées passent moins facilement les obstacles et sont plus
absorbées par les corps exposés. Elles génèrent plus d’énergie et cela se
retrouve au niveau du DAS, qui augmente en proportion de la fréquence. Il
faut donc baisser la puissance, ce qui explique qu’en GSM on émet 2 fois
moins fort en 1800 qu’en 900MHz. Le 2100MHz de l’UMTS actuel est plutôt
AVANTAGES INCONVENIENTS
Interopérabilité GSM et UMTS Changement de UE
Accès internet haut débit depuis un
UE
Coût d’installation opérateur
Visiophonie
Téléphonie sur IP
Débit de 2Mbps en large bande sur
5Mhz
IMS
fragile (on s’en rend compte en observant les barrettes, surtout en intérieur).
C’est pour cela qu’on lorgne vers les fréquences libérées en 900MHz pour la
3G, et 800MHz pour la 4G. Le 2400MHz utilisé pour le wifi correspond à la
fréquence utilisée par les micro-ondes (forte absorption).
II-RAPPELS SUR LA 4G
Avec la quatrième génération (4G LTE), l’échange de données peut
dépasser les 100 mb par seconde si ce n’est plus, et ainsi lancer le très haut
débit mobile. En réalité, la bande passante est partagée entre les utilisateurs.
Moins il y a d’utilisateurs utilisant le réseau et plus le débit est donc élevé.
Cette génération utilise la bande des 800MHz (fréquences libérées par le
passage à la TV numérique TNT). Les performances de transfert sont encore
supérieures. La quatrième génération de systèmes cellulaires (4G) utilise
notamment les standards suivants : WIMAX (Worldwide Interoperability for
Microwave Access) et LTE (Long Term Evolution).
Le réseau d’accès 4G s’appelle LTE (Long Term Evolution of 3G). Il supporte les
technologies radio OFDMA et SC-FDMA. Il est constitué d’entités eNodeB.
Le réseau cœur 4G appelé ePC (Evolved Packet Core) consiste en un seul
domaine paquet composé d’entités MME (Mobility Management Entity),
Serving GW, PDN GW
(Packet Data Network GW) et HSS (Home Subscriber Server). Il offre un accès
très haut débit au monde IP, c’est-à-dire Internet/Intranet, et à ses services.
Tous les services sont offerts sur IP, y compris les services de la téléphonie.
Architecture réseau 4G :
AVANTAGES INCONVENIENTS
Débits (montant et descendant)
1Gbps
Changement de UE
Interactivité : réduction de la latence Coût
Meilleure efficacité
spectrale (l’opérateur couvre une plus
grande densité de population en
exploitant une bande de fréquence
identique à la 3G)
Télévision
Optimisation automatique du réseau
(Les équipements se configureront
automatiquement pour améliorer la
qualité de service)
B-MIGRATION 3G/4G
I-MIGRATION DANS LA 3G
Lors de la planification initiale (ou de la phase conception nominale), le
nombre de sites nécessaires pour couvrir la zone cible est estimée afin de
s'assurer que les exigences relatives à la fois la couverture et la capacité sont
respectées. Les exigences de couverture peuvent être vérifiées avec budgets de
liens et Radio Fréquence (RF) modèles.
Lors de la planification détaillée du réseau, la mise en place du site est
estimé à veiller à ce que la couverture et des besoins en capacité sont remplies.
Cela se fait avec l'aide d'outils de planification de réseau, avec des apports les
plus étendus pour fournir des résultats précis. Grâce à ces outils, la couverture
peut être estimé à la fois en termes de niveau de signal et les interférences. Le
principal avantage de ces outils est qu'ils peuvent utiliser la méthode Monte
Carlo ou des simulations similaires pour estimer l'interaction entre la
couverture et la capacité. Enfin de compte, l'étape de la planification du réseau
régit où et la façon dont les nœuds sont déployés dans le réseau. Une fois le
réseau déployé, son comportement doit être testé par rapport aux exigences
et attentes. Un processus graduel est recommandé. On commence par vérifier
que les conditions nécessaires pour démarrer l'optimisation ont été mises en
place. Tout d'abord les conditions de RF, les services de bas niveau (voix), puis
les services de niveau supérieur (comme la téléphonie vidéo et commutation
de paquets [PS] données) sont mesurés et ajustés. Cette approche simplifie
l'optimisation processus en veillant à ce que seul un nombre limité de
paramètres sont pris en compte lors chaque étape.
1. Migration réseau d’accès
Les Réseaux GSM offrent une architecture de réseau de pointe, où
macrocellules, microcellules et cellules intérieures interagissent ensemble.
Cette flexibilité est améliorée par les nombreux produits disponible, à partir de
la manipulation d'une douzaine de modules émetteurs-récepteurs (TRX) d'une
macro BTS par secteur, à la pico BTS qui manipule seulement quelques TRX sur
un seul secteur. De même, depuis que le WCDMA a été conçu pour interagir
étroitement avec le GSM déployé réseau, il suivra la tendance du GSM en
termes d'ubiquité et les options de déploiement. Les déploiements WCDMA de
points de vue pratiques et économiques ne sont pas initialement justifiés en
dehors des zones à fort trafic, généralement les centres villes.
3G overlay GSM, réseau Macro
Une superposition de WCDMA sur un réseau GSM, a été jusqu'à présent l'une
des plus options de déploiement populaires, mais pas nécessairement la
meilleure. Le principal avantage qui explique sa popularité est que cette
approche simplifie largement le processus d’acquisition du site, la seule
acquisition nécessaire est une antenne supplémentaire à l'intérieur de la
structure existante. Cette option est parfois encore simplifiée, d'un point de
vue d'acquisition du site, en remplaçant l'antenne existante avec une antenne
multi bande ou à large bande. Dans ce cas, les options de conception et
d'optimisation pour le réseau WCDMA sont assez limitées, conduisant ainsi à la
performance sous-optimale. Cette situation s'applique à toute réutilisation du
site entre le GSM et WCDMA. D'un point de vue network planning, les
différences techniques d’interface air entre les deux réseaux il est difficile de
partager les sites. Les principales différences incluent la couverture,
principalement en raison de bande de fréquence WCDMAs plus élevées, et la
capacité, en raison principalement de l'amélioration de l’efficacité spectrale du
WCDMA. En outre, avec la réutilisation de fréquence universelle en WCDMA, il
est difficile de déployer des Structure Hiérarchique Cellulaire (HCS) dans les
réseaux WCDMA, alors qu'il est largement utilisé dans le GSM. En GSM,
l’utilisation des HCS est bénéfique parce que les grandes cellules (avec hautes
antennes) peuvent fournir la couverture, tandis que les petites cellules (avec
des antennes à petite ou moyenne hauteur) peuvent fournissent des capacités.
Avec la réutilisation des fréquences de WCDMA, le déploiement HCS
permettrait à un UE de sélectionner à nouveau la couche la plus appropriée,
mais, en mode connecté, l'UE serait en constant transfert entre les couches, ou,
si les paramètres sont définis pour empêcher la remise, le résultat
d’interférence intercellulaire diminuerait l'avantage des capacités.
En conséquence, une superposition de WCDMA sur un réseau GSM n'est
généralement pas 1 : 1 , mais serait exclu des sites les plus hauts du réseau
ainsi que les microcellules, du moins au début. De plus, initialement la
superposition n'est pas effectuée sur l'ensemble de la zone de couverture du
réseau GSM, mais seulement où les exigences de capacité sont les plus élevés.
Deux questions déterminent habituellement ce choix : l'économie et la
couverture. Ceux-ci peuvent être liés dans une certaine mesure. Du point de
vue de la couverture, le premier déploiement WCDMA se produit à 2100 MHz
(1900 MHz en Amérique du Nord), tandis que GSM est largement déployé à
900 MHz (850 MHz en Amérique du Nord). Cela donne au GSM 10 à 15 dB
d’avantage dans le budget des liens en termes de propagation RF. Cela peut se
traduire à un site compté pour WCDMA, la couverture uniquement, de quatre
à sept fois le nombre de site GSM. Cette compensation n’offre aucune
justification économique pour le déploiement WCDMA dans les zones rurales,
où les exigences en couverture sont élevées, mais les besoins en capacité sont
faibles. En raison de cette limitation, les planificateurs peuvent compter sur la
couverture GSM à l'extérieur des centres urbains. Malheureusement, le
mécanisme de transition inter-système, même s’il est simple dans son principe,
exige une planification et une optimisation soignée.
3G overlay GSM, Macro, Micro et intérieur
La discussion précédente sur l'application d'un revêtement de WCDMA à un
réseau macro pourrait s’appliquer facilement à toutes les couches, si les micros
et pico Node B sont disponibles. Dans les premières années de la croissance de
WCDMA, seuls les hôtes de nœuds macro NodeB étaient disponibles, mais que
cette situation a rapidement évoluer. Pour introduire une micro couche ou
couche intérieure, il est nécessaire d'avoir des porteuses multiples disponibles.
Dans ce cas, la couche macro fonctionne sur une porteuse, tandis que la
couche micro et intérieur couches fonctionnent avec des porteuses distinctes.
Cette méthode isole les couches, fournissant ainsi d’importants avantages en
termes d'utilisation des ressources. L'inconvénient, bien sûr, est que la gestion
de la mobilité entre les couches - par sélection de cellule ou transfert - devient
plus complexe. Non seulement la gestion de la mobilité devient plus complexe,
mais un 1 : 1 superposition avec le GSM peut également utiliser la capacité
disponible de manière inefficace. Dans le GSM, le spectre la capacité peut être
alloué à des surplus de 200 KHz. Mais en WCDMA, les augmentations sont
fixées à 5 MHz, ce qui pour la plupart des opérateurs représente 33 à 50 % du
spectre disponible. Pour cette raison, les opérateurs pourraient décider de
déployer les couches micro ou intérieur sur le même support. Cependant, ils
doivent alors envisager l'isolement spatial entre les couches, ce qui pourrait
affecter la capacité.
Plan de réseau WCDMA spécifique
Une autre option pour surmonter les limitations rencontrées dans le
déploiement overlay GSM est de créer un plan de réseau spécifiquement pour
le WCDMA. Ici, on ne s’appuie pas sur la localisation des sites GSM capacité,
mais seulement sur les exigences du trafic WCDMA et de couverture attendus.
Tant que les questions de couverture et de capacité et les questions intérieures
seront correctement réglées, le résultat de déploiement WCDMA dans un
réseau sera plus facile à optimiser. Malheureusement, à cause des obstacles
toujours plus vers le site d’acquisition, cette option n'est que partiellement
possible. Une solution possible est de commencer avec un plan spécifique
WCDMA, puis sélectionnez les sites à partir d'un portefeuille de sites GSM
existant lorsqu'ils remplissent les objectifs de couverture et de capacité pour le
réseau WCDMA.
2. Migration niveau transport
À l'heure actuelle, la technologie de transport principal utilisé pour la
transmission dans réseaux cellulaires repose sur la technologie de multiplexage
temporel (TDM). Au regard des nouveaux réseaux nous passons des réseaux de
circuits vers des réseaux de données. Les technologies émergentes à
commutation de paquets (PS) telles que le General Packet Radio Service
(GPRS), doivent adopter des moyens de transport existants. Ainsi, divers
services sont véhiculée par des technologies de transmission classiques, tels
que Plesiochronous Digital Hierarchy (PDH) et Synchronous Digital Hierarchy
(SDH). Comme les réseaux évolue vers le multimédia et les données qui
doivent être acheminés plus rapidement, le backhaul de transport actuel ne
peut pas répondre aux besoins des services de données. TDM, technologie de
transport a été développée à l'origine pour les services à commutation de
circuits (CS) et, par conséquent, est trop limitée pour s'adapter à la flexibilité et
l'efficacité nécessaires pour les services de données. La technologie TDM
alloue les ressources de transport basée sur l'approche de répartition dans le
temps et traite les services vocaux et de données de la même façon en termes
de partage de bande passante, sans tenir compte de la nature inhérente du
trafic dans les services de données. L'augmentation du trafic de données
nécessitera le réseau de transport soit capable de gérer paquet de flux de
données plus flexible et efficace. L'égalité de traitement dans le TDM de
données et de services vocaux et son schéma d’allocation de bande passante
ne garantisse pas une bonne optimisation et, par conséquent, provoque des
pertes de bande passante. D'autre part, le point de départ pour l'élaboration
d'un CDMA large bande (WCDMA) : interface air, était basée sur l'hypothèse
que la majorité des demandes de services exploseraient, mais que les services
vocaux devront encore être traitées simultanément. Cela a conduit à un accès
radio souple d’architecture de porteur pour l'UMTS qui à son tour nécessite
également une technologie de transport flexible. Les limitations mentionnées
ci-dessus ont conduit au développement du transport alternatif technologies
pour les réseaux UMTS. Deux solutions ont été envisagées: au début du
développement du réseau le choix privilégié était la technologie Asynchronous
Transfer Mode (ATM), mais après la technologie IP (Internet Protocol) a été
préférée.
Contrairement à la technologie TDM, le principal avantage de la
technologie ATM est le transport des informations dans un flux de cellules.
Cela supprime les limitations des réseaux de transport existants et l'adapte aux
exigences de la flexibilité de l’interface air UMTS. Les normes 3GPP et 3GPP2
précisent que tous les éléments du réseau d'accès radio doivent être
interconnectés en utilisant un réseau de transport ATM. En conséquence,
actuellement UMTS Radio Access Network (RAN) disponible d’éléments
provenant de différents fabricants et sont équipés de la technologie ATM.
Pratiquement, cela signifie que les éléments RAN incluent un port d'accès ATM
et utilisent les protocoles de signalisation et de commutation la technologie
ATM. Il est également possible d'utiliser IMA (Inverse Multiplexing for ATM)
dans le RAN. Ce tour entraîne la possibilité d'acheminer du trafic de l'interface
lub sur les voies de transmission GSM, permettant aux opérateurs de réseau de
réutiliser actuellement les réseaux de transport disponibles.
Avec la croissance rapide et la bonne convergence des télécommunications
et des services IP, l'utilisation du transport IP dans le réseau cellulaire est
devenue de plus en plus courante. Le transport basé sur IP est déjà devenu
monnaie courante dans les réseaux fixe. De cette façon, il a prouvé sa
robustesse et sa capacité à soutenir un plus architecture fonctionnelle distribué
et couplé à une topologie de réseau plus souple que ce qui est pratiqué dans
les réseaux TDM ou ATM. Les avantages des prestations de transport IP sont
sur les économies de l'échelle, l'ouverture, la simplicité et facilité à être
déployer. Bien qu’il réponde aux exigences du réseau UMTS, il apaise aussi les
limites d'une technologie de transport ATM.
3. Migration vers HSDPA
La Release 99 définie à l'origine trois techniques pour permettre la
liaison descendante (DL) de données par paquets. Le plus souvent, la
transmission de données est prise en charge pour le Dedicated Channel
(DCH) ou le Forward Access Channel (FACH). Le Downlink Shared Channel
(DSCH) a également été défini, mais n'a pas été largement adopté ou mis
en œuvre pour FDD et a finalement été retiré des spécifications.
CELL DCH (DCH) est considéré comme le principal moyen de soutenir
toute importante transmission de données. Chaque DCH est transmis sur un
Dedicated Physical Channel (DPCH). Les utilisateurs individuels sont
attribués un Code unique Orthogonal Variable Spreading Factor (OVSF),
selon le débit de données requis. Ceci, cependant, se fait au détriment de la
couverture et de la capacité, puisque le gain d'étalement est réduite (une
limitation de couverture) et le nombre de codes OVSF sont limitées (une
limite de capacité). Le contrôle de puissance en boucle fermée rapide est
utilisé pour s'assurer que l'objectif de rapport signal sur interférence (SIR)
est maintenu, si nécessaire, pour maintenir un taux d'erreur de bloc requise
(TEB). La diversité macro est également prise en charge pour le DPCH avec
soft handover.
Le transfert de données par paquets peut être pris en charge dans l'état
de CELL_FACH, en utilisant le canal FACH sur le DL et le random Access
Channel (RACH) sur la liaison montante (UL). Le FACH est un canal
d'informations transmis sur le Secondary Common Control Physical Channel
(SCCPCH), qui emploie un code OVSF de longueur fixe avec un facteur
d'étalement configurable de 4 à 256. Parce qu'il doit généralement être
reçu par tous les UE dans la zone de couverture d'une cellule, un facteur
relativement élevé d'étalement (128 ou 256) est utilisé. En conséquence,
que les taux de données relativement faibles sont pris en charge, de 4 à 16
kbps. La diversité macro n'est pas prise en charge et le canal fonctionne
avec une allocation de puissance fixe (ou le changement lent). Bien que de
multiples canaux de SCCPCH puissent être définis par cellule pour
augmenter la capacité, l'absence de diversité macro ou du contrôle
puissance rapide rendrait ce dernier inefficace.
Il y a deux motivations pour le déploiement de HSDPA, tous deux
associés à des limitations d'utiliser soit CELL DCH ou FACH CELL pour les
applications de données par paquets. Le premier est le pic débit de
données. Bien que la version 99 permet des débits de données allant
jusqu'à 2.0 Mbps ( avec DSCH ) , il n'a été mis en œuvre qu’avec un débit de
données de DL maximum de 384 kbps (avec MPC). Bien que ce taux de
données soit suffisant pour de nombreuses applications existantes, le cours
substantielle la croissance des services de données implique une demande
croissante pour débit de données élevé, riche en contenu multimédia
services. HSDPA répond à ce besoin en offrant des données de pointe
nettement plus élevé que ceux de la Release 99, théoriquement jusqu'à 14
Mbps pour un équipement utilisateur entièrement capable (UE) (catégorie
10).
La deuxième et la plus importante avantage de la technologie HSDPA
concerne à la capacité de la cellule par rapport à la version 99. L'incapacité
indiquée précédemment d'utiliser FACH_CELL pour tous importants
transferts de données des ressources dédiées doit être utilisés pour
satisfaire les demandes de majorité des demandes de données par paquets.
Cependant, l'utilisation des ressources dédiées est intrinsèquement
inefficace pour de nombreuses applications, où la demande change
rapidement, de manière sporadique. Pour le DCH, considérons d'abord la
gestion de l'arborescence du code où chaque DCH utilise un seul code
OVSF. Les codes courts sont utilisés pour des débits plus élevés et des
codes plus longs pour des débits inférieurs. Quand un code OVSF de
longueur particulière est utilisé, tous les codes plus longs dérivés
deviennent indisponible. Les codes courts au-dessus du code attribué sur la
même branche de l'arbre sont également disponibles. Cela limite le nombre
d'utilisateurs simultanés qu’une cellule donnée peut supporter. L'absence
de codes pourrait être traitée à l'aide d'un code de brouillage secondaire,
mais ceci introduit une non-orthogonalité entre les canaux ce qui limite la
capacité du point de vue puissance. Par exemple, considérons un porteur
384kbps qui utilise un code OVSF avec un facteur d'étalement de 8. Ceci
limite le nombre maximum d'utilisateurs simultanés à sept après que les
requises minimales de canaux communs DL (CPICH, PCCPCH, SCCPCH,
AICH, et PICH) sont comptabilisés. En vertu de cette limitation, le
changement de canal doit être utilisé pour soulager la limitation de l'espace
de code OVSF et donc la limitation de la capacité, mais seulement si les
utilisateurs n'ont pas besoin de transmission des données en continu. En
outre les déploiements typiques introduit des limites, le contrôle
d'admission, l'espace de code, les interférences UL, et la puissance DL réduit
la capacité de deux à trois paquets simultanée commuté (PS). Même
lorsqu'il est utilisé, l'efficacité de la commutation de canal limite l'ensemble
réalisable de l’efficacité. Deux facteurs déterminants sont: le temps
nécessaire pour passer le taux ou le type, et l'événement ou mesure qui
déclenche le changement. Le changement se prend entre 80 et 160 ms,
selon le type de commutation et l'infrastructure spécifique. Il s'agit d'une
intrinsèque retard, causé par l'échange de messages et les 40 ms
d'intervalle de temps de transmission (TTI) de la Radio Porteurs de
signalisation (CSR), quel que soit apparente de la sensibilité de la gâchette
utilisé pour initier l'interrupteur. Les événements ou mesures uniques ou
multiples peuvent déclencher le changement, y compris les rapports de
mesure de la UE, occupation du tampon de données DL, l'inactivité du
réseau minuteries ou l'utilisation du code NodeB / puissance. Pour une
application de données en paquets avec une prédominance profil de trafic
en rafales, la nature réactive de ces déclencheurs avec le temps à compléter
le changement fait une grande utilisation difficile à réaliser sans affecter la
perception des utilisateurs.
En revanche, HSDPA répond à la commutation de canal, la vitesse ou le
type, à l'aide d'un canal commun pour le transfert de données avec le
nodeB ordonnancement. Dans cette mise en œuvre le NodeB, le Radio
Ntework Controler (RNC), n’est pas responsable de la planification un
ensemble de canaux à haut débit entre plusieurs utilisateurs. Cette
allocation utilise un 2 ms TTI, significativement plus faible que ceux
disponibles dans la Release 99. Cette planification rapide de partage
ressources est bien adaptée à la nature sporadique de données par
paquets. Une autre limitation de la capacité de la Release 99 se rapporte au
régime de codage et de modulation utilisé avec des ressources dédiées
DCH. Pour la modulation, une seule option Quadrature Phase Shift Keying
(QPSK) est disponible, où un symbole de modulation représente deux bits
d'information. Forward Error Correction (FEC) en utilisant R = 1/2 ou R =
1/3 convolution, ou R = 1/3 codage turbo, est autorisé, même si ce dernier
est toujours utilisé pour plus évaluer les services de données en raison de sa
plus grande efficacité. Ces deux facteurs peuvent être restrictifs, en
particulier dans de bonnes conditions radio où utilisant la modulation
d'ordre supérieur ou taux de codage supérieur pourraient augmenter de
manière significative l'efficacité spectrale. HSDPA traite à la fois les
questions en permettant la modulation 16-QAM (où un symbole de
modulation représente quatre bits d'information) et les taux de codage
efficaces entre R = 1/3 et à proximité de la théorie limite de R=1. Dans
HSDPA, la modulation et le codage sont adaptés à la condition de canal.
Cela nécessite des connaissances précises et récentes de l'état du canal, qui
est atteint avec retour rapide à partir de l'équipement utilisateur à
l'ordonnanceur Node B d'une prétendue Channel Quality Indicator (CQI).
Pour HSDPA, Adaptive Modulation and Coding ( AMC ) , souvent appelé
que liaison d’adaptation, remplace le contrôle de puissance rapide . La
limitation du mécanisme de commande de puissance utilisé pour la Release
99 DCH se rapporte à la boucle externe relativement lente. La boucle
interne rapide fait varier la puissance d'émission du NodeB à un débit de
1500Hz de telle sorte qu'un rapport SIR cible de DL soit obtenue. La boucle
externe varie alors la SIR cible sur la base du BLER atteint. Conditions de
radio différentes produisent différents SIR à Bler mappages. La fréquence et
la manière dont le SIR cible est modifiée peut entraîner un gaspillage de
ressources. La vitesse à laquelle le SIR cible est changé n'est pas défini dans
les spécifications, mais sera clairement un rythme beaucoup plus lent que la
boucle interne.
HSDPA Concepts
Pour HSDPA, quatre nouvelles chaînes sont définis. La charge utile de
données est effectuée sur un canal de transport appelé le High Speed
Downlink Shared Channel (HS-DSCH), qui fonctionne sur un TTI fixe de 2
ms. Au niveau physique, le HS-DSCH est mappé sur la liaison descendante
High Speed Physical Downlink Shared Channel (HS-PDSCH). Ce canal
commun, qui est capable de transmission multicode, est partagé entre les
utilisateurs en utilisant une combinaison de temps et par répartition de
code multiplexage. La planification et contrôle de l'information relative à
chaque transmission HS-PDSCH est communiqué à une UE sur l'un des
nombreux High Speed Shared Control Channel (HS-SCCH). Lors de chaque
TTI de 2 ms, un seul HS-SCCH porte des informations de contrôle pour un
UE. Par conséquent, le nombre de canaux nécessaires HS-SCCH est définie
par le nombre d'UE qui aura transmissions HS-PDSCH simultanées.
Pour la modulation, la Release 99 offre uniquement QPSK, où deux bits
d'information sont représentés par un symbole de modulation unique.
HSDPA offre à la fois modulations QPSK et 16-QAM. 16-QAM double le
débit de données par rapport à QPSK, en représentant quatre bits
d'information par symbole de modulation. Bien avantageux, la demande de
16-QAM est limitée aux zones avec de bonnes conditions de RF, car les
informations de grandeur précises et des informations de phase sont tous
deux nécessaires pour discerner correctement la position du symbole dans
la constellation qui en résulte.
HSDPA planification
Scénarios de déploiement HSDPA
La stratégie de déploiement est un élément clé pour la mise en œuvre
HSDPA. Cette section examine trois scénarios de déploiement distincts:
• One-to-one overlay
• Support unique partagé entre la Release 99 et HSDPA
• Déploiement dans les hotspots
1. Scénario 1: One-to-One Overlay
Lorsque l'opérateur a un réseau opérationnel de Release 99 existant, la
technologie HSDPA sera probablement déployé initialement comme une
superposition d'un-à-un à des sites existants, soit dans l’ensemble du
réseau ou dans une zone sélectionnée. Cette approche permet une
utilisation efficace du spectre progressivement des services de PS, ainsi les
dispositifs HSDPA compatibles sont introduites progressivement dans le
marché et de la Release 99 existant.
Les utilisateurs PS migrent vers HSDPA. En fin de compte, tous le trafic
PS utilisant HS-se déplaceraient à un seul support, le support initial utilisé
uniquement pour commutation de circuits (CS) du trafic. Dans un premier
temps, ce type de déploiement permet une utilisation limitée du support
HSDPA, mais ne provoque pas d’impact significatif sur les utilisateurs de la
Release 99. Un tel déploiement permet également de réduire de façon
significative le besoin pour gérer la mobilité dans les deux modes veille et
Connecté, parce que les utilisateurs, indépendamment de leurs capacités,
peuvent utiliser les systèmes déjà en place sur le support initial. Le
handdown au porteur SH peut être fait facilement par la reconfiguration du
canal physique lorsque les utilisateurs HSDPA capable sont déplacés à l'état
HS, sans impact sur les utilisateurs existants.
2. Scénario 2: porteuse unique partagée Release 99 et HSDPA
Dans les premiers stades d'une superposition one-to-one, le spectre est
utilisé relativement inefficace. Pour éviter cela, un deuxième scénario de
déploiement part le support unique d'abord déployé entre tous les types de
trafic (CS et PS, CELL DCH, et SH). Dans ce scénario, il est important
d'estimer l'impact à la fois sur la nouvelle UE de HS et l'héritage et le trafic
domaine. En outre, la gestion de l'arborescence du code OVSF et allocations
de puissance HPA devient importante. Non seulement HSDPA utilise plus
de ressources, mais des problèmes d’implémentation peuvent exister. Par
exemple, les spécifications ne définissent pas la question de la manière
dont la puissance HPA est allouée à HSDPA. Une infrastructure peut exiger
que le pouvoir HSDPA fixée en pourcentage du total, tandis qu'un autre
peut allouer dynamiquement rapidement pouvoir sur la base de l'utilisation
par d'autres services. La répartition de puissance fixe bénéficie aux
utilisateurs HSDPA, parce un minimum de débit de bord de cellule peut être
prévu parce que la puissance disponible est limitée arbitrairement,
cependant, ce paramètre peut limiter la capacité de trafic héritage. D'autre
part, une allocation dynamique de puissance peut laisser peu de puissance
disponible pour les utilisateurs du SH, limitant la performance et entravant
ainsi l'adoption commerciale de la technologie. Dans les deux cas, la
gestion de l'arbre de code OVSF sera probablement limiter au tarif
maximum pour un utilisateur de données HS. La gestion de la mobilité est
simple, parce il repose exclusivement sur la libération des paramètres
réseau existants de la Release 99. La seule supplémentaire question est de
reconfigurer les utilisateurs du SH dans la cellule DCH quand ils atteignent
la limite de la Cellules SH-permis. Toutefois, cela s'applique à tous les
scénarios de déploiement.
3. Scénario 3: déploiement de hotspots
Une autre alternative de déploiement de la superposition one-to-one est
de déployer HSDPA seulement dans configurations hotspot , où les petits ,
les zones à forte demande localisées sont servis par des microcellules ou
pico-cellules (pour une plus grande mesure que dans un réseau macro
typique ) , ou par dédié en construction de systèmes. Le scénario de
hotspot offre l'avantage suivant : son environnement radio, avec
généralement la géométrie de la cellule supérieure et les multi-trajets
inférieurs, permettent d'augmenter la modulation 16-QAM et gains de
codage élevés. Ces facteurs produisent significativement plus élevée
disponible données de pointe taux et une meilleure efficacité spectrale pour
HSDPA rapport à un environnement macro déploiement. L'inconvénient de
cette approche est centré sur le contrôle de la transition des utilisateurs
HSDPA compatibles entre macro et micro couches. L’utilisation des
Hierachical Control Structure (HCS) dans WCDMA est pratique quand un
seul transporteur est utilisé, ce qui limite les options de déploiement pour
les microcellules et picocellules. En conséquence, les déploiements de
points d'accès les plus appropriées seraient sur une fréquence dédiée, avec
soit HS seulement ou partagé HS et Release 99. Le partage de la fréquence
assure une couverture similaire pour les CS et PS trafic, mais cela se fait au
détriment de débit pour les utilisateurs HSDPA et aptes PS. La gestion des
capacités est moins critique dans ce cas parce que les conditions de canal
améliorées améliorent également l'ensemble capacité. La gestion de la
mobilité peut être atteinte assez facilement par inter-fréquence reselection
ou transfert. D'autre part, si un HS dédié support est déployé dans les zones
sensibles, la gestion de la mobilité est affectée de façon significative.
L'équipement utilisateur UE aurait besoin de camper sur le réseau macro et
être dirigé vers le support de HS que lors de l'activation du service de HS.
Le principal inconvénient est que, dans les environnements intérieurs
notamment, HS ne peut être activé pour les utilisateurs qui ont le service
sur le réseau macro. Quand un support dédié est utilisé pour le
fonctionnement HSDPA, le DCH associée sera toujours supportée par le
support HSDPA. Le canal DCH effectué par la porteuse de Release 99 serait
celui de CS ou trafic PS héritage.
HSDPA Déploiement
De toute évidence, les facteurs à la fois techniques et commerciaux
influencent la façon dont l'exploitant choisit de déployer HSDPA. Les
configurations de superposition et hotspot décrites ci-dessus offrent des
avantages pour situations spécifiques, mais ceux-ci viennent avec des
problèmes de performance associés. Sur le plan technique, examiner les
questions suivantes lorsque l'on commence à planifier pour un déploiement
HSDPA :
• Réseau Release 99 existante. Quelle est l'étendue de la couverture?
Quelle est la profondeur en termes de la construction en pénétration ?
• Combinaison de services avec la Release 99. Quelle est la répartition de
l'utilisation actuelle entre les services CS et PS offerts ?
• Spectre disponible. Combien de transporteurs sont disponibles ? Quels
sont les coûts et les problèmes sont associés à la mise à niveau d'un réseau
multi-porteuses ?
• Services HSDPA prévus. Quels sont les services PS qui seront offerts une
fois HSDPA déployé ? Comment ceux-ci diffèrent de celles offertes avec la
Release 99 ? Quels sont les taux moyens de disponibilité HSDPA pour les
utilisateurs ? Quel pourcentage du trafic PS sera pris en charge sur la
Release 99 et HSDPA ?
• Mobilité de l'utilisateur HSDPA. Quel est le mode prédominant dans
lequel les utilisateurs HSDPA fonctionneront ? Serais-ce l'arrêt d'immeuble
(avec les cartes de données d'ordinateurs portables), ou mobile (piétons ou
véhicules) ?
L'analyse initiale devrait se concentrer sur le déploiement de réseau
existant. Le courant du réseau utilisation et toute expansion future prévois à
la fois de déterminer comment déployer HSDPA. Initialement, le
déploiement de HSDPA sur le même support que les services existants de
Release 99 est rentable. Comme l’utilisation du HSDPA augmente,
cependant, la qualité des services existants peuvent finir par se dégrader,
comme les utilisateurs HSDPA exigent plus de la puissance disponible. Pour
évaluer l'impact de partage HSDPA avec les utilisateurs actuels, le
dimensionnement doit tenir compte à la fois le réseau actuel et le trafic PS
prévu que HSDPA soutiendra. Dans ce processus, il est important de garder
à l'esprit que beaucoup de réseaux déployé sur la Release 99 soutiennent
un important nombre de services à circuit commuté, sous la forme de 12,2
kbps AMR voix et 64 kbps circuit commutation vidéo - téléphonie. La
demande et l'utilisation de ceux-ci seront probablement affectés par
l'introduction de la technologie HSDPA , par conséquent, CS chargement à
la fois actuelle et prévue devrait être considéré . Un autre problème de la
circulation PS est l'impact des utilisateurs de PS existants qui migrent vers
HSDPA. Les débits de données disponibles ont augmenté, ainsi que tout
changement dans le taux de facturation pourraient affecter la structure de
la demande et doivent être considérés. La mobilité de l'utilisateur et la
distribution jouent également un rôle clé dans le déploiement HSDPA et à
évaluer son avantage relatif. HSDPA offre la modulation 16-QAM, ce qui
double le débit par rapport à QPSK. Comme discuté précédemment, la
modulation et le codage possibles avec HSDPA sont les mieux adaptés à
des scénarios où l'UE est en ligne de mire du NodeB et les conditions de
propagation sont caractérisées par un chemin à forte dominante. En
conséquence, HSDPA propose des rendements spectraux nettement plus
élevées si elles sont déployées dans un environnement de micro-cellule.
Par conséquent, lors de la planification du déploiement, examinez le mode
prédominant de fonctionnement et la position des utilisateurs HSDPA, car
cela pourrait influencer le choix de scénario.
II- MIGRATION 3G VERS 4G
Il a été montré que l'ensemble des trois précédentes générations de réseau
mobile ont eu leur avantages et les inconvénients, mais aucun d'entre eux
avaient la capacité de remplacer complètement l'autre. Même IMT-2000, une
norme mondiale, n'était pas en mesure de briser le goulot d'étranglement de
débit de données élevé et la capacité, et si ce conduit à la formation d'une
nouvelle génération, dénommé au-delà de 3G ou 4G, mais il y a pas de
définition claire pour elle. Cependant, on a pensé qu’a la place de développer
de nouvelles interfaces radio et nouvelle technologie, il serait préférable
d'intégrer les systèmes sans fil existants et nouvellement développés comme
les GPRS, EDGE, Bluetooth, WLAN et Hiper-LAN. Ainsi, dans le dix-huitième TG-
8/1, un nouveau travail groupe WP8F a été créé en 1999 pour examiner les
efforts visant à développer les systèmes au-delà de l'IMT-2000 . Il a été estimé
que les réseaux de prochaine génération offriront des possibilités
intéressantes, telles que :
o Performance. Les systèmes 4G sont destinés à fournir des services vidéo
de haute qualité fournissant des données transférer des vitesses
d'environ 100 Mbps.
o La bande passante. La technologie 4G offre des vitesses de transmission
de plus de 1Gbps et est capable d’offrir des services à haut débit à la
portée de réseau local (LAN) de hotspots, installé dans les aéroports, les
maisons et les bureaux.
o L'interopérabilité. L'existence de plusieurs normes pour la 3G, il est
difficile de se déplacer et d'interopérer à travers les réseaux. Il existe
donc un besoin pour une norme mondiale offrant une mobilité et un
service mondial portabilité afin que les fournisseurs seul système
d'équipement propriétaire ne lient pas les clients.
o Technologie. Plutôt que d'être une norme entièrement nouvelle, 4G
ressemble essentiellement un conglomérat de technologies existantes et
une convergence de plusieurs technologies.
Aperçu de la planification pour les réseaux 4G
Chacun des réseaux individu GSM, EGPRS et UMTS ont été prévues dans
leurs domaines respectifs, par exemple, radio, de transmission ou de noyau.
La planification du réseau dans les réseaux 4G, il faudra une compréhension
de plus technologies, dont un feware, et leur interfonctionnement avec
d'autres technologies. Comme le réseau 4G sera un système sans fil intégré
qui permet une itinérance transparente entre les technologies, un utilisateur
peut fonctionner dans un réseau de technologie cellulaire et ensuite être
remis à la base satellite réseau et de nouveau à un réseau sans fil fixe, en
fonction de la couverture du réseau et l'utilisateur de préférence de charge.
Planifier un réseau consiste essentiellement à une mise en page initiale de
la structure du système, qui comprend le spectre, le rayon de la cellule et de
la zone de service hiérarchique.
Spectre
Les systèmes 4G devront fournir des bandes passantes supérieures à 100
Mbps et à accueillir une manière significative augmentation de la quantité de
trafic, les ressources de fréquences afin suffisantes seront nécessaires. Etant
donné que la plus faible bande de fréquence considérée appropriée pour les
communications mobiles est fortement utilisée, une bande de fréquences pour
la 4G communication doit être proposé dans le 3G à bandes 5G.
Cellule Radius
Comme prévu, la bande passante d'être offerts dans les systèmes 4G est de
trois ordres de grandeur supérieure à celle des systèmes 2G. Le rayon de la
cellule couverte par une station de base (BS) diminue généralement le cas, en
supposant que toutes les autres conditions pour être le même, les signaux
radio sont transmis à des débits plus élevés que lors d'une transmission plus
faible le débit binaire de manière à compenser le niveau de bruit accru. En
outre, les systèmes 4G peuvent être exploités dans une bande de fréquence
plus élevée de sorte que la perte du signal sans fil de propagation est
supérieure à celui de la 2G et 3G systèmes. L'utilisation d'un ensemble
complexe d'équations, l'augmentation de la perte de propagation provoquée
par la fréquence de fonctionnement et la vitesse de canal peut être converti en
une diminution de rayon de cellule (en supposant que la hauteur de l'antenne
soit 23 m ) dans le cas d'autres conditions de transmission sont supposés être
les mêmes que celles des systèmes 3G . Ce moyen qui en couvrant la même
zone que dans les systèmes 3G, les systèmes 4G nécessiteront quatre fois le
nombre de BS. La hauteur de l'antenne de la BS dans une zone urbaine tend à
être plus faible lorsque la taille de la cellule est plus petite. Par conséquent, il
peut y avoir plusieurs zones d'interruption, même dans le rayon de cellule
calculée, et on constate que l'on solutionne pour améliorer la capacité est de
diminuer le rayon de la cellule de la BS.
Zone de service Hiérarchique
Bien que tous les objets soient connectés à un réseau via des liaisons sans
fil, il peut être difficile pour les petits appareils à raccorder directement à des
systèmes 4G en raison de la consommation d'énergie et l'antenne taille. Les
dispositifs compacts pourront accéder aux systèmes 4G grâce à une base
miniature qui va agir comme un terminal mobile (MT) pour les systèmes 4G.
Utilisant un tel résultat de configuration dans les zones de services composés
de plusieurs cellules qui se chevauchent.
Pour SFR, renouveler l’intégralité du site de transmission (carte électronique
et antennes).
Pour Bouygues, partie électronique des 3G+ compatible dual carrier
42Mbps (équipements multi standard Ericsson RBS6000) peut être utilisé pour
émettre un signal de 100Mbps, 120, 240 et 360Mbps.
Quel que soit les opérateurs, les plus grands changements se situent
surtout en amont de l’antenne.
L’opérateur historique fait évolué les sites 2G/3G existants en ajoutant des
équipements radio et cartes électroniques 4G. Sur d’autres sites, on peut
remplacer les installations existants par des équipements neufs (généralement
mieux optimisé) pouvant fournir les trois systèmes radio 2G/3G/4G.
Côté radio, on a le enodeB. Il utilise les protocoles OFDMA (liaison
descendante) et CS-FDMA (liaison montante) pour communiquer par radio
avec les terminaux mobiles LTE. Les protocoles et codages radio permettent de
plus haut débits que le codage W-CDMA utilisé par les nodeB en 3G.
Cœur du réseau 4G: les enodeB sont directement connecter au cœur de
réseau via un réseau (accès) de backhaul généralement constituer de liaison en
FO supportant des protocoles IP (IPv6), ils sont aussi reliés aux autres enodeB
via une liaison X2, utilise notamment pour gérer le handover d’un mobile d’une
cellule radio vers une autre.
L’interface S1 vers le cœur du réseau (ePC) supporte des protocoles et flux
de données suivants :
-les protocoles S1-AP/SCTP vers le MME pour le trafic de signalisation et de
contrôle,
-SCTP
Les protocoles S1-4/GTP vers le SGW pour le trafic utilisateurs (voix et
données) distants ou venant des terminaux mobiles ;
Certains enodeB sont aussi capables de gérer le protocole 3G (HPSA) et
HPSA+ et donc faire fonction de nodeB.
1. Migration réseau d’accès
L
2. Migration niveau transport
L
3. Migration cœur de réseau
L
Conclusion