Projet 4 - Prise en main des équipements de...

Serveur de comm

Switch L2

Switch L3

Switch L2

Serveur d'appli

Serveur de fichiers

RouteurRouteur

Switch L2

Station1

Snifer portable

Station n

...

VLAN1 VLAN2 VLAN1 VLAN2

VLAN1

VLAN2

Wireless

Station portable Station portable

RNIS

LS

100 Mb/s 4x100 Mb/s

4x100 Mb/s

4x100 Mb/s

1 Gb/s 1 Gb/s

100 Mb/s 100 Mb/s 100 Mb/s 100 Mb/s100 Mb/s

100 Mb/s10 Mb/s

100 Mb/s

Agence 1 Agence 2

- Projet 4 - Prise en main des équipements de

réseaux du CHU Le but est de vous proposer à travers une série de TP tournants (à partir de tp1 )une première prise en main :

- des switch de la marque MRV, - des routeurs de la marque CISCO, - e td’ un système UNIX

3, boulevard Edouard Herriot B.P. 373 82003 MONTAUBAN Cedex tél : 0563926300 fax : 0563926347 http://www.montauban.mrim.net

J. BLANC & J. MUSSEAU – 2005

TP- 1 - Commutation Technologie sept.-05

J.Blanc - T MRIM – MONTAUBAN Projet 4 - Prise en main des équipements de réseau

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1 - Caractéristiques et console de gestion d’un commutateur – vues d’ensemble

Compétences : C3 ; C5

: 4 heures : Compte rendu à remettre.

Objectifs : Etre capable de : - déterminer le numéro de modèle d'un commutateur Ethernet et son adresse MAC., ainsi que les interfaces

physiques (ports) dont il est équipé. - vérifier et/ou modifier les paramètres de configuration du logiciel HyperTerminal, - se connecter au commutateur via sa console à l'aide du PC et du logiciel HyperTerminal. - explorer les menus de l'interface utilisateur de la console de gestion du commutateur. - de configurer les paramètres IP. - vérifier les paramètres réseau de la station de travail pour s'assurer qu'ils sont compatibles avec les paramètres

du commutateur. - configurer les options de port d’un commutateur.

1.1-) Examen d’un commutateur LAN :

Q1) Quel est le numéro de modèle du commutateur ?

Q2) Quel est le numéro de série du commutateur ?

Q3) Voyez-vous un port console ? (O/N) Quel alors le port connecté au terminal de la console?

Q4) De quel type est le câble console (câble à paires inversées, câble d'interconnexion ou câble droit) ?

Q5) Voyez-vous un port AUI ? (O/N)

Que signifie AUI et à quoi pourrait servir ce port ? Quels types de câble ou d'adaptateur peuvent être utilisés dans le cas d'un port AUI ?

Q6) Y a-t-il un interrupteur de mise sous tension/hors tension ? (O/N) Comment mettre le commutateur sous tension pour le réseau d’Electricité De France (EDF)?

Q7) Parmi les ports situés à l'avant du commutateur, combien peuvent servir à connecter des stations de travail, des serveurs, des routeurs, des concentrateurs ou d'autres commutateurs ?

Q8) Combien de ports ont une capacité Ethernet de 10 Mbits/s et Fast-Ethernet de 100 Mbits?

CI 1



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Q9) Ces ports Ethernet et Fast-Ethernet sont-ils des ports croisés ? Comment pouvez-vous le savoir ?

Q10) Quels sont les types de connecteur utilisés pour ces port Ethernet et Fast-Ethernet?

Q11) Combien de ports ont une capacité Gigabit-Ethernet de 1000 Mbits/s ?

Q12) Ces ports Gigabit Ethernet sont-ils des ports croisés ? Comment pouvez-vous le savoir ?

Q13) Quels sont les types de connecteur utilisés pour le Gigabit Ethernet?

Q14) Quels sont les témoins lumineux (LED) situés à l'avant du commutateur ?

1.2-) Examen de la configuration du logiciel HyperTerminal installé sur votre station de travail :

Il s’agit maintenant de

• Rentrer en communication avec l’équipement de réseau par la liaison série.

Lancer le logiciel HyperTerminal.

Q15) Complétez le tableau ci-dessous à l'aide des informations fournies.

Option de configuration Paramètre(s) actuel(s)

Port COM

Bits par seconde

Bits de données

Parité

Bits d'arrêt

Contrôle de flux

Q16) Peut-on rentrer en communication avec l’équipement par un autre moyen ? Si non, pourquoi ?


• Travailler avec les menus de l'interface utilisateur de la console de gestion afin de déterminer le numéro de modèle du commutateur, l'adresse MAC et le numéro de révision de microprogramme.

1.3-) Connectez la station de travail au port console du commutateur et mettez le commutateur sous tension.

Q17) Quel est le numéro de modèle du commutateur ? Indiquer la commande pour obtenir ce renseignement.



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Q18) Quelle est l'adresse Ethernet (adresse MAC de couche 2) du commutateur ?

Q19) Quels sont le numéro de révision et le type de microprogramme (firmware) du commutateur ?

Q20) Remplissez le tableau suivant à l'aide des options du menu principal. (Les réponses varieront en fonction du modèle de commutateur et du microprogramme.)

Options de menu d'un commutateur Ethernet

Opt. de menu Description des options de menu Options de sous-menu (indiquez deux options ou plus)

1.4-) Utilisez les options de menu de la console de gestion pour configurer l'accès IP. :

L'adresse IP du commutateur peut être utilisée pour lui envoyer une requête " ping " et pour communiquer avec lui via Telnet. Vous n'êtes pas obligé d'attribuer une adresse IP à un commutateur, mais cette attribution peut s'avérer utile pour la gestion à distance d'un commutateur. Sur certains commutateurs plus récents, l'adresse IP peut être utilisée pour accéder au commutateur via l'interface de gestion d'un navigateur Web.

Q21) Sélectionnez IP Configuration dans les menus. À l'aide du tableau ci-dessous, indiquez les paramètres du menu de configuration IP, ainsi que leur valeur.

Options de menu d'un commutateur Optiswitch MRV (10/100 Mbits/s)

Paramètre Description du paramètre / de l'action Valeur du paramètre Adresse IP

Masque de sous-réseau

Passerelle par défaut

Adresse IP du serveur DNS 1

Ping

Q22) Attribuez une adresse IP et un masque de sous-réseau au commutateur. Veillez à utiliser une adresse IP et un masque de sous-réseau qui sont compatibles avec le réseau ou le sous-réseau du commutateur actuellement sous tension.



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Q23) Placer le commutateur dans la baie ou le coffret et Configurez une station de travail avec des paramètres de réseau TCP/IP afin qu'elle soit compatible avec l'adresse IP du commutateur.

Q24) Retirer le câble console et rentrer en communication avec le commutateur par telnet @ip. Qu’obtient t-on ?

Q25) Taper dans le menu console du commutateur get-port-cfg. Quel est le résultat de cette commande ?

Q26) Entrer maintenant en communication avec le commutateur par http://@IP. QU’obtient t-on ? Pourquoi ?


• Utiliser le menu de configuration du système pour programmer une commutation en mode Fragment Free.

• Utiliser le menu de configuration Port pour activer le mode full duplex. • Utiliser le menu de configuration Port pour activer le mode Port Fast.

1.5-) Configurez un port afin qu'il fonctionne en mode full duplex.

Q27) Dressez la liste des ports parmi lesquels vous pouvez faire votre sélection. Identifiez le port :

Q28) Fonctionne-t-il en mode full duplex ? Quelle option est utilisée pour l'activer ?

1.6-) Configurez le commutateur afin qu'il fonctionne en mode Fragment Free

Q29) Quel est le mode de commutation configuré ? Noter la procédure pour avoir la réponse.

Q30) Quelle option de menu vous permettra de changer de mode ?

Q31) Quelles sont les options disponibles ?

1.7-) Configurez un port afin qu'il fonctionne en mode Port Fast

À partir du menu de configuration de port, sélectionnez l'option de configuration Port Fast.

Q32) Quelle option permet de sélectionner le mode Port Fast ?

TP- 2 – Routeurs Cisco Technologie sept.-05


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2 - Caractéristiques et console de gestion d’un routeur CISCO – vues d’ensemble

Compétences : C5.1 ; C5.2 ; C5.3

:3 heures : Compte rendu à remettre.

Objectifs : Etre capable de : - Déterminer le numéro de modèle les interfaces physiques (Ports) d'un routeur Cisco, - Connecter la console au routeur à l'aide du PC et du programme Hyper Terminal, - Passer d’un mode de configuration à l’autre, - Déterminer le nom de fichier et la version de la plate forme logicielle IOS, - Déterminer le type de processeur, ainsi que la quantité de mémoire RAM, NVRAM et flash.

2.1-) Inspection d'un routeur :

Q1) Quel est le numéro de modèle du routeur ?

Q2) Voyez-vous un port console ? (O/N) Quel alors le port connecté au terminal de la console (station de travail)?

Q3) De quel type est le câble console ? S'agit-il d'un câble à paires inversées, d'un câble d’interconnexion, d’un câble série ou câble droit ?

2.2-) Consignez toutes les interfaces dont est pourvu le routeur :

Q4) Complétez le tableau suivant.

Interface de routeur / Identificateur de port

Type de câble / connecteur Unité et port auxquels le câble est connecté

CI 2



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2.3-) Examinez la configuration du programme Hyper Terminal de la station de travail et connectez vous afin de visualiser l’aide.

Q5) Lancez le logiciel Hyper terminal, complétez le tableau ci-dessous à l'aide des informations fournies et rentrez en communication avec l’équipement ?

Option de configuration Paramètre(s) actuel(s)

Port COM

Bits par seconde

Bits de données

Parité

Bits d'arrêt

Contrôle de flux

Q6) Quelle est la valeur du prompt (ou de l’invité) ? Que signifie t-elle ? Avec cette valeur, toutes les commandes sont-elles disponibles ?

Q7) Que répond le routeur à l’issu de l’exécution router>? ?

Q8) Quelle est la différence entre les commandes router>s? et router>show ? ?

2.4-) Les Changements de mode :

Q9) Entrez en mode privilégié et notez la commande ?

Q10) Un mot de passe est-il demandé ? Mieux vaut-il paramétrer un mot de passe ? Pourquoi ?

Q11) Quelle est la valeur du prompt à l’issu de l’exécution router#configuration terminal ? Que signifie t-elle ?

Q12) Entrez dans le mode approprié pour paramétrer une interface réseau de votre choix ? Notez la commande ?

Q13) Descendre 1 niveau de la hiérarchie et notez la commande ?

Q14) Revenez au mode interface en rappelant les commandes précédentes ? Notez l’action ?

Q15) A partir du mode interface revenez directement au mode privilégié ? Notez la commande ?



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2.5-) Affichez la version de la plate-forme logicielle IOS, ainsi que d'autres informations importantes sur la mémoire flash, RAM et NVRAM

Q16) Indiquez la commande permettant d’afficher les informations relatives à la plate-forme IOS ainsi que le mode dans lequel elle sera exécutée. Exécutez cette commande.

Q17) Quelle est la version de la plate-forme logicielle IOS ?

Q18) Quel est le nom du fichier de l'image système (IOS) ? En vous aidant de l’annexe, commentez les informations

connues dans le nom ?

Q19) À partir d'où l'image IOS du routeur a-t-elle été initialisée ?

Q20) Quel est le type de processeur de ce routeur et quelle est la quantité de RAM installée ?

Q21) Combien d’interfaces Ethernet et série le routeur possède-t-il ?

Q22) Le fichier de configuration de sauvegarde du routeur est stocké en mémoire NVRAM (Non-Volatile Random Access Memory). De combien de mémoire NVRAM ce routeur dispose-t-il ?

Q23) Le système d’exploitation du routeur (IOS) est stocké en mémoire flash. De combien de mémoire flash ce routeur

dispose-t-il ?

Q24) Quelle est la valeur du registre de configuration ?

2.6-) Affichez les informations relatives à la mémoire flash

Q25) Placez dans le mode approprié afin d’exécuter show flash

Q26) Quelle est la quantité de mémoire flash disponible et déjà utilisée ?

Q27) Quel fichier est stocké en mémoire flash ?

Q28) Quelle est la taille de la mémoire flash en octets ?



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Notes personnelles :

TP- 2 – Linux Technologie sept.-05


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3 - Première approche avec Linux Compétences : C5.1 ; C5.2 ; C5.3

:4 heures : Compte rendu à remettre.

Objectifs : Etre capable en autoformation : - d’installer un système Unix, - de découvrir certaines fonctionnalités

3.1-) Présentation :

A partir du magazine mensuel « Linux pratique »

La configuration matérielle sur laquelle vous allez installer Linux doit répondre à certaines exigences spécifiques. Même s'il existe des versions pour processeur Alpha, la version que vous trouverez sur les CD accompagnant les magazines ne concerne que les machines à base processeurs Intel. Si l'on a l'habitude -d'entendre dire que Linux fonctionne à partir des processeurs 386 et avec 4 Mo de mémoire vive (ce qui est vrai !), il faut toutefois mieux envisager une configuration un peu plus conséquente pour faire tourner Linux de manière efficace. Ceci est d’autant plus vrai avec les évolutions graphiques du ce système d’exploitation.

3.2-) Quelques précautions matérielles :

La recherche d’un court tableau récapitulant les configurations minimales est souhaitable pour Linux. Sur la plupart des distributions Linux les bus ISA, PCI et AGP (pour les cartes graphiques) sont supportés, de même que, l'architecture MCA (MicroChannel) de certaines machines plus anciennes (IBM). Elles supporte un grand nombre de bus SCSI, réseau, son, ISDN ou TV ainsi que des imprimantes, modems, scanners ou graveurs CD. Pour une configuration spécifique (notamment de la carte graphique ou de la carte SCSI), nous vous recommandons fortement (dans la mesure où vous avez une connexion Internet) d'aller visiter la base de données des composants (CDB), disponible sur le site de votre distribution Il faut ici noter que certains matériels spécifiques ne sont pas supportés par Linux, dans le cas notamment des périphériques faisant appel plus particulièrement à un certain système d'exploitation. En général, ces types de périphériques ne contiennent aucune intelligence et tout le travail est alors effectué par le système d'exploitation lui-même, comme par exemple les winmodems ou les winprinters dédiés Windows. Toutefois, il y a certaines exceptions et quelques imprimantes GDI sont tout de même supportées par Linux (vérifiez aussi sur les sites distributeur de l’OS).

3.3-) Partitionnement :

Une fois que vous vous êtes assuré que votre matériel est supporté, il va falloir réfléchir à la répartition en différentes partitions de votre disque dur avant de lancer toute la procédure d'installation. Cette notion est peut-être la moins évidente à comprendre pour un nouvel utilisateur de Linux. Ce qu'il faut retenir, c'est que Linux fonctionne de manière optimale lorsque les fichiers et programmes utilisés sont répartis sur différentes partitions. Un système Linux de base requiert au strict minimum deux partitions :

- Une partition de base, la partition racine, sur laquelle seront installés tous les fichiers du système ainsi que vos propres documents,

- et une partition Swap, laquelle est considérée comme une extension virtuelle de la mémoire physique (la RAM) de votre ordinateur. Le système Linux accèdera exclusivement à cette zone qui restera invisible au niveau de l'utilisateur.

Pour l'installation de Linux, l'idéal sera de procéder à l'installation sur un disque vierge. Vous pouvez toutefois installer Linux sur une partition préexistante, mais attention, cette procédure effacera tous les fichiers qui s'y trouvaient : veillez donc à bien les sauvegarder au préalable. La dernière solution est d'utiliser un utilitaire tel que Partition Magic, qui permet de redimensionner la taille de votre partition.



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Dans le processus d'installation où on laisse l’assistant s’occuper de lui-même de la création des partitions, trois partitions seront crées. Une première de petite taille correspondant à /boot, une deuxième pour le swap et une troisième pour tout le reste du disque (pour l’arborescence /). Cependant, si vous souhaitez créer vous-même vos partitions, voici quelques petites choses qu'il vous faudra savoir au départ.

• Concernant la partition de Swap : Classiquement, on crée une partition de swap de une à deux fois la taille de celle la mémoire vive RAM (par exemple, avec 128 Mo de RAM, on crée une partition Swap de 256 Mo). Notez aussi que la grande majorité des cas, une seule partition swap suffit, mais si vous voulez une machine avec des fonctionnalités et des services réseaux plus évolués, et qui devra supporter une charge réseau, on peut aussi créer plusieurs partitions Swap. Jusqu’à huit partitions Swap peuvent alors être crées.

• On peut créer une petite partition pour /boot, c’est là que se trouvera le noyau de démarrage. On peut aussi y

mettre d'autres noyaux recompilé. Une taille de quelques Mo est souvent amplement suffisante pour cette partition.

• Pour la partition principale, la partition / ou la partition (répertoire) racine, n'hésitez pas à y dédier une grande

partie de votre disque dur car elle nécessite un maximum de place.

• On peut aussi créer une partition /home, qui va contenir les répertoires home (les répertoires personnels) de tous les utilisateurs, avec leurs données. Ici, la taille dépend du nombre d'utilisateurs que vous prévoyez loger sur votre système.

• De même, vous pouvez créer une partition pour /root contenant tous les fichiers du super-utilisateur « root ».

Là, encore, vous pouvez respecter la même répartition que pour les répertoires des utilisateurs. Cependant, nous ne le répéterons jamais assez, dans la mesure du possible, n'utilisez le compte « root » que pour des tâches d'administration du système. Si vous faites une partition spéciale pour /root, n'utilisez pas cet espace pour y stocker n'importe quoi !!!

• Vous avez également la possibilité de créer une partition /opt. C'est à cet endroit que s'installent notamment

nombre de programmes commerciaux. On peut y trouver également KDE ou Netscape, par exemple. Si vous créez une telle partition séparée de l'arborescence racine (/), réservez-lui aussi une place conséquente.

Conseil : Par exemple, nous utilisons un disque dur :

- de 1,6 Go, pour lequel nous allons adopter un système de partitionnement relativement simple

/boot Swap / (la racine) /home

1 Mo 128 Mo 1,2 Go 250 Mo

- de 30 Go

/boot Swap / (la racine) /home

2 Mo 512 Mo 28 Go 1 Go Mo

Bien sûr, ceci n'est qu'un exemple indicatif. Adaptez ces informations en fonction de la taille totale' du disque dur que vous souhaitez dédier à Linux. N'hésitez pas à prendre un papier et un crayon pour y noter la répartition que vous avez convenu, avec les tailles des partitions que vous souhaitez créer. Ultérieurement, vous reprendrez ces informations lorsqu'il sera nécessaire de procéder au partitionnement, lors de la phase d'installation de Linux.



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3.4-) Mise en service d’un système Linux :

a-) Préparation de l’installation Avant d’installer linux veuillez remplir le tableau ci-dessous

Marque Modèle Modes supportés Compatible linux

Carte Graphique

Carte son

Carte réseau PCI

Carte réseau interne

Ecran

Puis vérifier si votre matériel est compatible sur le site suivant et compléter la dernière colonne du tableau ci-dessus. http://www.mandrakelinux.com/fr/hardware.php3

b-) Le partitionnement Vous utiliserez l’assistant Mandrake (Mandriva). Recopier dans les tableaux ci-dessous les partitions crées par l’assistant pour une station puis pour :

Une Station

Une Station

c-) Installation de linux en station Lister les paquetages proposés par défaut Faut-il en rajouter ? Si oui lesquels Paramètres d’installation :

Type de bureau gnome Mot de passe root admin Utilisateur normal eleve Mot de passe azerty

Windows

Go

Windows

Go



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3.5-) Utilisation de linux

a-) Test : Redémarrez en insérant la disquette de démarrage DOS. Lancer FDISK. Que voyez apparaître dans l’affichage des partitions du disque dur ? Pourquoi ?

b-) Naviguer dans le système Nous vous conseillons de manipuler et de vous déplacer dans l'environnement LINUX pour vous familiariser à ces commandes de base. Aidez vous de l'aide en ligne pour connaître la syntaxe des commandes. Suivre également le chapitre premier pas de compétence Micro

3.6-) Configuration d’Internet

Donner votre démarche pour configurer Internet sur votre poste Poste pair :

Réseau defpu-p (@ réseau 193.57.216.0/24 passerelle .254) Poste impair :

Réseau purp-i (@ réseau 193.57.209.0/24 passerelle .254)

@ du proxy 193.57.200.72

3.7-) Test de Linux :

b) Retirez la disquette de démarrage DOS et Redémarrez. LINUX vous demande tout d'abord de choisir un nom d'utilisateur et un mot de passe. Utilisez celui fourni lors de l'installation. Ne prenez surtout pas l'habitude de travailler en tant qu'Administrateur système. Cela peut coûter cher en cas de fausses manipulations, comme cela vous a déjà été recommandé. Une fois cette étape franchie avec succès, vous vous trouvez dans l'interface en ligne de commande LINUX (le prompt $ apparaît). Les commandes ci-dessous sont similaires à celles du S.E. DOS que nous avons étudiées lors d'un TP précédent. Sachez que les commandes du système LINUX sont plus flexibles, puissantes et donc complexes que celles proposées par le système DOS.



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ANNEXE COMMUTATEUR CISCO

Données de base sur les commutateurs : Un commutateur est une unité réseau de couche 2 (couche liaison de données) qui agit comme point de concentration pour le raccordement de stations de travail, de serveurs, de concentrateurs et d'autres commutateurs. Le " concentrateur ", l'un des premiers types d'unité de concentration mis sur le marché, fournit des ports multiples, à l'instar d'un commutateur, sauf que, dans le cas du concentrateur, toutes les stations de travail partagent la bande passante (10 Mbits/s dans un réseau Ethernet standard) et des collisions se produisent. Comme ils doivent être capables de détecter les collisions, les concentrateurs fonctionnent en mode half-duplex (ils ne peuvent que transmettre ou recevoir). Un commutateur fournit une connexion point à point (circuit virtuel) entre deux unités (telles que des stations de travail, des serveurs et des routeurs) qui est exempte de collision. Comme les commutateurs n'ont pas besoin de détecter les collisions, ils peuvent fonctionner en mode full duplex (transmettre et recevoir simultanément), ce qui a pour effet de multiplier le débit par deux. Les commutateurs Ethernet sont disponibles en plusieurs débits, y compris 10 Mbits/s (Standard Ethernet), 100 Mbits/s (Fast Ethernet) et 1 000 Mbits/s (Gigabit Ethernet). Les commutateurs sont parfois appelés ponts multiports. Ils constituent la technologie la plus récente pour les LAN Ethernet connectés en étoile. Tout comme les routeurs, les commutateurs sont des PC spécialisés qui comportent une unité centrale, de la mémoire vive (RAM) et un système d'exploitation (IOS). Comme dans le cas d'un routeur, un commutateur peut être géré par le biais d'une connexion au port console qui vous permet de consulter et de modifier la configuration. Parmi les nouveaux commutateurs, nombreux sont ceux qui intègrent un serveur Web (HTTP) et qui peuvent être gérés via leur adresse IP à l'aide d'un PC et d'un navigateur tel que Netscape ou Internet Explorer. Il convient de bien comprendre la notion de commutateur et d'être en mesure de configurer ce type d'unité pour assurer la maintenance des réseaux. Fonctionnement en mode Fragment Free Les commutateurs peuvent fonctionner dans trois modes différents : 1) " cut-through " ou " FastForward ", 2) " Store and Forward " ou 3) " Fragment Free ". En mode de commutation FastForward, le commutateur ne fait que lire l'adresse MAC de destination dans l'en-tête de la trame, puis il achemine immédiatement la trame. Ce mode est le plus rapide. Toutefois, il peut également acheminer des fragments de collision dont la taille est inférieure à 64 octets (un rebut). Le mode de commutation Store and Forward attend que la trame entière ait été reçue (jusqu'à 1 518 octets) avant de l'acheminer. Il s'agit du mode de commutation le plus lent, mais aussi de celui qui entraîne le moins d'erreurs. Le mode de commutation Fragment Free réduit la latence en prenant des décisions relatives à l'acheminement après réception des 64 premiers octets. Cela signifie qu'aucun rebut ne sera acheminé. Les rebuts constituent le type le plus répandu de trame Ethernet erronée. Le mode de commutation Fragment Free constitue le meilleur compromis entre vitesse et erreurs. Les commutateurs Cisco peuvent, selon le modèle, être programmés afin de fonctionner en mode Store and Forward, Fragment Free ou FastForward. Fonctionnement en mode full duplex Lorsque le mode Full Duplex est activé sur un port, il peut doubler la bande passante en permettant à celle-ci de transmettre et de recevoir simultanément. Cela signifie qu'un port Ethernet de 10 Mbits/s peut fonctionner à 20 Mbits/s pour autant que l'interface réseau de l'unité connectée (interface de carte réseau ou de routeur) puisse, elle aussi, fonctionner en mode full duplex. Comme un commutateur fournit un circuit virtuel exempt de collision jusqu'à l'unité, il s'agit d'une bande passante réservée pour l'unité. Un port Fast Ethernet de 100 Mbits/s peut fonctionner à une bande passante spécialisée de 200 Mbits/s. Le fonctionnement en mode full duplex doit être défini pour chaque port. Fonctionnement Port Fast Lorsqu'un port de commutateur entre en fonction, il traverse habituellement les états normaux du protocole Spanning Tree 820.1d, à savoir : le blocage, l'écoute, l'apprentissage et l'acheminement. Ce processus peut prendre jusqu'à 45 secondes. Lorsque le mode Port Fast (Spanning Tree) est activé, le protocole Spanning Tree peut faire passer l'état du port de blocage à acheminement sans passer par les états intermédiaires d'écoute et d'apprentissage. Cela peut être avantageux, surtout dans le cas des environnements réseau Novell IPX dans lesquels la requête d'un client peut parfois subir une temporisation causée par le temps de réponse du port de commutateur.



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ANNEXE ROUTEUR CISCO

Caractéristiques de la plate-forme logicielle Cisco IOS La convention d’attribution de noms des différentes versions de l’IOS comprend trois parties :

• la plate-forme sur laquelle l’image est exécutée,

• les fonctions spéciales prises en charge dans l’image,

• l’endroit où l’image s’exécute avec un indicateur précisant si elle est zippée ou comprimée.

Nommage Le nom comporte Trois parties séparées par un tiret :

• xxxx = plate-forme • yyyy = fonctions • ww = format - emplacement si compréssé

Nommage Plate-forme (matériel) (liste partielle) c1005 1005 c1600 1600 c1700 1700, 1720, 1750 c2500 25xx, 3xxxx, 5100, AO (11.2 and later only) c2600 2600 c2800 Catalyst 2800 c2900 2910, 2950 c3620 3620 c3640 3640 c4000 4000 (11.2 and later only) c4500 4500, 4700 Fonction (liste partielle) b Appletalk boot boot image c CommServer lite (CiscoPro) drag IOS based diagnostic images g ISDN subnet (SNMP, IP, Bridging, PPP, IPX, Atalk i IP subset (SNMP, IP, Bridging, WAN, Remotr Node, Terminal Services) n IPX q Async t Telco return (12.0) y Reduced (SNMP, IP RIP/IGRP/EIGRP, Bridging, ISDN, PPP) (C1003/4) z Managed modems 40 40 bits encryption 56 56 bits encryption Format (emplacement d’exécution de l’image dans le routeur) f flash m ram r rom l relocatable Type de compression z Zip compressed (note lower case) x M Zip compressed w “STAC” compressed

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