Produits JD Edwards EnterpriseOne

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Configuration et traitements spécifiques aux pays de JD Edwards EnterpriseOne, version 9.0, secteur Amériques Septembre 2008

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Configuration et traitementsspécifiques aux pays de JDEdwards EnterpriseOne, version9.0, secteur Amériques

Septembre 2008

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Configuration et traitements spécifiques aux pays de JD Edwards EnterpriseOne, version 9.0, secteur AmériquesSKU E190ACS-B 0908_fra

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Table des matières

Préface généraleÀ propos de cette documentation .... . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .viiÉtapes préliminaires associées aux applications JD Edwards EnterpriseOne.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .viiNotions essentielles.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .viiMises à jour de la documentation et téléchargement de documents.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .viii

Recherche des mises à jour de la documentation.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . .viiiTéléchargement de documents.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . .viii

Sources supplémentaires de renseignements.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .ixRègles typographiques et repères visuels.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .x

Règles typographiques.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . .xRepères visuels.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . .xiCodes de pays, de régions et de secteurs d’activité.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . .xiCodes monétaires.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . .xii

Commentaires et suggestions.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .xiiÉléments communs utilisés dans les guides.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .xii

PréfaceAvant-propos sur la configuration et les traitements spécifiques aux pays, secteurAmériques.... . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .xvProduits JD Edwards EnterpriseOne... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .xvDonnées de base des applications JD Edwards EnterpriseOne.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .xvChamps communs utilisés dans ce guide.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .xvi

Partie 1Fonctionnalité propre aux pays

Chapitre 1Préparation à l’utilisation de la configuration et des traitements spécifiques auxpays, secteur Amériques.... .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .3Aperçu de la configuration et des traitements spécifiques aux pays.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .3Implémentation du paramétrage et des traitements spécifiques aux pays.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .8

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Table des matières

Chapitre 2Configuration du système pour l’utilisation des fonctions spécifiques aux pays.. . . . . . . . . . . .11Considérations en matière de conversion dans les environnements multilingues.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .11Sous-programmes de conversion.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .12Paramétrage des préférences d’affichage de l’utilisateur.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .13

Préférences d’affichage de l’utilisateur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . .13Écran utilisé pour définir les préférences d’affichage de l’utilisateur.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . .14Paramétrage des options de traitement du programme Révision du profil d’utilisateur (P0092).. . . . . . . .14Paramétrage des préférences d’affichage de l’utilisateur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . .14

Chapitre 3Présentation des fonctions communes aux pays d’Amérique latine.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .17Mode de validation des codes de taxe dans les pays d’Amérique latine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .17(ECU, PER et VEN) Taux et zones de taxe pour l’Équateur, le Pérou et le Venezuela. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .18(COL et ECU) Types de taxe pour la Colombie et l’Équateur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .20(CHL et PER) Traitement de la TVA non remboursable pour le Chili et le Pérou.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .20

Partie 2Canada

Chapitre 4Fonctions spécifiques au Canada..... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .23Configuration et traitements spécifiques au Canada.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .23

Glossaire de termes JD Edwards EnterpriseOne..... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .25

Index ... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .43

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À propos de cette documentation

Les guides qui accompagnent les applications JD Edwards EnterpriseOne contiennent les renseignements dont vousaurez besoin en vue de leur mise en œuvre et de leur utilisation.

L’avant-propos traite des sujets suivants :

• étapes préliminaires associées aux applications JD Edwards EnterpriseOne;• notions essentielles des applications;• mises à jour de la documentation et téléchargement de documents;• sources supplémentaires de renseignements;• règles typographiques et repères visuels;• commentaires et suggestions;• champs communs utilisés dans les guides.

Remarque : Les guides ne traitent que des éléments qui doivent être expliqués en détail, tels les champs et les cases àcocher. Si un élément relié à une tâche ou à un traitement n’est pas présenté, c’est qu’il ne nécessite aucune explicationsupplémentaire ou qu’il est déjà expliqué dans la section portant sur les éléments communs. Les champs qui sontcommuns à toutes les applications JD Edwards EnterpriseOne sont présentés dans l’avant-propos.

Étapes préliminaires associées aux applicationsJD Edwards EnterpriseOne

Pour profiter pleinement des renseignements contenus dans les guides, vous devez avoir une connaissance debase du fonctionnement des applications JD Edwards EnterpriseOne.

Nous vous recommandons également de suivre au moins un cours d’initiation, le cas échéant.

Vous devez pouvoir naviguer dans le système et être capable d’ajouter, de mettre à jour et de supprimer desdonnées à partir des menus, des écrans et des fenêtres des applications JD Edwards EnterpriseOne. Vous devezégalement connaître Internet et l’interface utilisateur graphique Windows ou Windows NT de Microsoft®.

Les guides ne passent pas en revue la navigation et les notions de base du système. Ils contiennent lesrenseignements que vous devez connaître pour pouvoir utiliser le système et mettre en œuvre les applicationsJD Edwards EnterpriseOne de manière efficace.

Notions essentiellesChaque guide fournit des renseignements sur la mise en œuvre et les différents traitements des applicationsEnterpriseOne.

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Préface générale

Dans le cas de certaines applications, le guide sur les notions essentielles des applications apporte uncomplément d’information essentiel sur la définition et le paramétrage du système. La plupart des gammes deproduits font chacune l’objet d’un guide sur les notions essentielles. L’avant-propos de chaque guide indiqueles guides sur les notions essentielles qui s’y rapportent.

Les guides sur les notions essentielles traitent de sujets importants qui s’appliquent à de nombreusesapplications EnterpriseOne. Que vous implémentiez une seule application, une combinaison d’applications oula gamme de produits en entier, vous devez connaître le contenu des guides sur les notions essentielles desapplications pertinentes. Ils vous donnent un point de départ quant aux tâches de mise en œuvre fondamentalesà exécuter.

Mises à jour de la documentation et téléchargementde documents

La présente section traite des sujets suivants :

• recherche des mises à jour de la documentation;

• téléchargement de documents.

Recherche des mises à jour de la documentationVous trouverez les dernières mises à jour de la documentation de la présente version et des versions antérieuresainsi que de la documentation supplémentaire sur le site Web PeopleSoft Customer Connection d’Oracle. À larubrique Documentation de ce site, des fonctions vous permettent de télécharger des fichiers que vous pouvezajouter à votre bibliothèque de guides. Vous y trouverez divers renseignements utiles et opportuns, notammentles mises à jour de toute la documentation contenue sur le cédérom des guides JD Edwards EnterpriseOne.

Important ! Avant de procéder à une mise à niveau, il est impératif de consulter le site Web PeopleSoftCustomer Connection d’Oracle pour prendre connaissance d’éventuelles modifications apportées auxdirectives de mise à niveau. Des mises à jour sont publiées régulièrement, à mesure que le processus de miseà niveau gagne en précision.

Voir aussiSite PeopleSoft Customer Connection d’Oracle, http://www.oracle.com/support/support_peoplesoft.html

Téléchargement de documentsEn plus de la documentation complète qui est fournie avec votre guide sur cédérom, la documentation deJD Edwards EnterpriseOne est mise à votre disposition sur le site Web d’Oracle. Vous pouvez téléchargerdes versions PDF de la documentation de JD Edwards EnterpriseOne en ligne à partir du site OracleTechnology Network. Ces fichiers en format PDF sont offerts en ligne pour chaque version principale peuaprès la livraison du logiciel.

Voir le site Oracle Technology Network, http://www.oracle.com/technology/documentation/psftent.html

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Préface générale

Sources supplémentaires de renseignementsVous trouverez les sources de renseignements présentées dans le tableau qui suit sur le site Web PeopleSoftCustomer Connection d’Oracle.

Source de renseignements Navigation

Données sur la mise à jour de l’application Updates + Fixes

Diagrammes de processus d’affaires Support, Documentation, Business Process Maps

Dépôt de services interactifs Support, Documentation, Interactive Services Repository

Exigences en matériel et en logiciel Implement, Optimize + Upgrade, Implementation Guide,Implementation Documentation and Software, Hardware andSoftware Requirements

Guides d’installation Implement, Optimize + Upgrade, Implementation Guide,Implementation Documentation and Software, InstallationGuides and Notes

Renseignements sur l’intégration Implement, Optimize + Upgrade, Implementation Guide,Implementation Documentation and Software, Pre-BuiltIntegrations for PeopleSoft Enterprise and JD EdwardsEnterpriseOne Applications

Exigences techniques minimales (ETM) Implement, Optimize + Upgrade, Implementation Guide,Supported Platforms

Mises à jour de la documentation Support, Documentation, Documentation Updates

Politique en matière de soutien sur les guides Support, Support Policy

Notes préliminaires Support, Documentation, Documentation Updates, Category,Release Notes

Feuille de route des versions de produits Support, Roadmaps + Schedules

Notes sur les versions Support, Documentation, Documentation Updates, Category,Release Notes

Proposition de valeur pour des versions Support, Documentation, Documentation Updates, Category,Release Value Proposition

Énoncé de l’orientation Support, Documentation, Documentation Updates, Category,Statement of Direction

Renseignements sur le dépannage Support, Troubleshooting

Documentation sur la mise à niveau Support, Documentation, Upgrade Documentation and Scripts

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Page 10: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Préface générale

Règles typographiques et repères visuelsLa présente section traite des sujets suivants :

• règles typographiques;

• repères visuels;

• indicatifs de pays, de régions et de secteurs d’activité;

• codes monétaires.

Règles typographiquesLe tableau ci-dessous présente les règles typographiques en usage dans les guides.

Règle typographique ou repère visuel Description

Gras Il fait ressortir les noms des fonctions PeopleCode, desfonctions de gestion, des événements, des fonctionssystèmes et des méthodes, ainsi que les éléments delangage et les mots en PeopleCode qui doivent être entréstels quels dans les appels de fonction.

Italique Il fait ressortir les valeurs de champs, les mots importantset les titres de grandes publications de JD EdwardsEnterpriseOne ou autres. Dans la syntaxe PeopleCode,les éléments en italique servent de marques deréservation aux arguments du programme.

Il sert également à mettre en relief un mot à titre de mot,ou une lettre à titre de lettre, comme dans l’exemplesuivant : Entrez la lettreO.

TOUCHE+TOUCHE Cette formule désigne une combinaison de touches duclavier. Le signe «+» entre deux touches signifie qu’ilfaut tenir la première touche enfoncée tout en appuyantsur la deuxième. Ainsi, dans le cas de ALT+W, vousdevez appuyer sur W sans relâcher la touche Alt.

Police de caractères à espacement fixe Elle met en évidence un programme PeopleCode oud’autres codes.

«» (guillemets) Ils encadrent les titres de chapitres dans les renvois et lesmots utilisés dans un sens inhabituel.

. . . (points de suspension) Ils indiquent que le dernier élément (ou la dernière série)peut être répété autant de fois qu’il est nécessaire dans lasyntaxe PeopleCode.

x Copyright © 2003, 2008, Oracle et ses sociétés liées. Tous droits réservés.

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Préface générale

Règle typographique ou repère visuel Description

{ } (accolades) Elles indiquent un choix entre deux options dans lasyntaxe PeopleCode. Une barre verticale ( | ) sépare cesoptions.

[ ] (crochets) Ils indiquent des éléments facultatifs dans la syntaxePeopleCode.

& (perluète) Lorsqu’elle précède un paramètre dans la syntaxePeopleCode, elle indique que le paramètre est un objetdéjà instancié.

Elle figure également devant toutes les variablesPeopleCode.

Repères visuelsLes guides contiennent les repères visuels ci-dessous.

RemarquesLes remarques contiennent des renseignements auxquels vous devez porter une attention particulière lorsquevous utilisez le système JD Edwards EnterpriseOne.

Remarque : C’est ainsi que se présente une remarque.

Une remarque précédée de la mention Important ! est cruciale, puisqu’elle comprend des renseignements surles mesures que vous devez prendre pour que le système fonctionne correctement.

Important ! C’est ainsi que se présente une remarque importante.

Attention !La mention Attention ! est très importante, car elle signale des questions de configuration cruciales. Prêtez-luiune attention toute particulière.

Avertissement ! C’est ainsi que se présente une mention d’attention.

RenvoisLes guides contiennent des liens sous la rubrique «Voir aussi» ou sur une ligne précédée du mot Voir. Cesrenvois mènent à des renseignements qui sont directement liés au texte qui les précède.

Codes de pays, de régions et de secteurs d’activitéLes données concernant uniquement un pays, une région ou un secteur d’activité particuliers sont généralementprécédées d’un code entre parenthèses. Ce code est généralement affiché au début d’un en-tête de section, maispeut également être affiché au début d’un commentaire ou d’un autre texte.

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Page 12: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Préface générale

Exemple d’en-tête propre à un pays : «(FRA) Embauche d’un employé».

Exemple d’en-tête propre à une région : «(Amérique latine) Paramétrage de l’amortissement».

Codes de paysLes codes employés pour désigner les pays sont ceux de l’Organisation internationale de normalisation (ISO).

Codes de régionsLes régions sont désignées par leur nom. Les guides peuvent contenir les codes de régions suivants :

• Asie et Pacifique;• Europe;• Amérique latine;• Amérique du Nord.

Codes de secteurs d’activitéLes secteurs d’activité sont désignés par leur nom habituel ou par une abréviation correspondante. Les guidespeuvent contenir les codes de secteurs d’activités suivants :

• USF (gouvernement fédéral des États-Unis);• ASG (administration scolaire et gouvernementale).

Codes monétairesUn code monétaire ISO accompagne toute somme monétaire.

Commentaires et suggestionsNous accordons beaucoup d’importance aux commentaires des utilisateurs des applications JD EdwardsEnterpriseOne. Faites-nous part de ce qui vous a plu dans les guides ainsi que dans les autres ouvragesde référence et de formation d’Oracle, de même que des modifications souhaitables. N’hésitez pas à faireparvenir vos suggestions à votre responsable de la documentation à l’adresse suivante : Oracle Corporation,500 Oracle Parkway, Redwood Shores, CA 94065, É.-U. Vous pouvez également communiquer avec nouspar courriel à l’adresse [email protected].

Bien qu’il nous soit malheureusement impossible de répondre à tous les courriels, soyez assuré que nousétudierons très attentivement vos commentaires et suggestions.

Éléments communs utilisés dans les guidesCentre de coûts Entrez un code alphanumérique qui désigne une entité distincte au sein d’une

société pour laquelle vous souhaitez effectuer le suivi des coûts. Dans certainssystèmes, ces entités sont appelées magasin/usine.

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Préface générale

Code de catégorie Entrez un code qui désigne une catégorie précise. Les codes de catégorie sontdes codes définis par l’utilisateur que vous personnalisez pour effectuer lesuivi des besoins de votre organisation et élaborer des états.

Code de devise desimulation

Entrez un code à trois caractères pour préciser la devise que vous souhaitezutiliser pour consulter les montants de transaction. Ce code vous permet deconsulter les montants comme s’ils avaient été entrés dans la devise indiquéeplutôt que dans la monnaie ou la devise utilisée au moment de la saisieinitiale de la transaction.

Code monétaire Entrez un code à trois caractères qui représente la devise de la transaction. Lessystèmes de la gamme EnterpriseOne vous fournissent les codes monétairesqui sont reconnus par l’Organisation internationale de normalisation (ISO). Lesystème enregistre les codes monétaires dans le fichier F0013.

Date d’effet Entrez la date à laquelle une adresse, un article, une transaction ou unenregistrement devient actif. La signification de ce champ varie selon leprogramme. Par exemple, la date d’effet peut représenter l’une des datessuivantes :

• date à laquelle un changement d’adresse entre en vigueur;• date à laquelle un bail entre en vigueur;• date à laquelle un prix entre en vigueur;• date à laquelle un taux de change entre en vigueur;• date à laquelle un taux de taxe entre en vigueur.

Date du Grand Livre Entrez la date qui désigne la période financière à laquelle la transaction seracomptabilisée. Le système compare la date entrée dans la transaction aumodèle d’exercice assigné à la société pour extraire la période comptable etl’exercice pertinents ainsi que pour valider les dates.

Date du lot Entrez la date à laquelle le lot a été créé. Si vous laissez ce champ vide, ladate du système sera entrée comme date de lot.

Magasin/usine Entrez un code qui désigne une entité distincte telle qu’un emplacementd’entrepôt, un travail, un projet, un centre de charge, un magasin ou une usinedans lesquels des activités de distribution et de fabrication ont lieu. Danscertains systèmes, ces entités sont appelées centre de coûts.

Numéro de document Affiche un numéro qui désigne le document original qui peut être une piècejustificative, une facture, une écriture de journal, un relevé d’heures, etc. Dansles écrans de saisie, vous pouvez assigner le numéro du document original, oule système l’attribuera à l’aide du programme Numéros suivants.

Numéro de lot Affiche un numéro qui désigne un groupe de transactions que le système doittraiter. Dans les écrans de saisie, vous pouvez assigner le numéro de lot, ou lesystème l’attribuera à l’aide du programme Numéros suivants (P0002).

Numéro de référence durépertoire d’adresses

Entrez un numéro unique qui désigne l’enregistrement principal de l’entité.Le numéro de référence du répertoire d’adresses peut désigner un client, unfournisseur, une société, un employé, un postulant, un participant, un locataire,un emplacement, etc. Selon l’application, le champ de l’écran peut renvoyer àun numéro de référence du répertoire d’adresses comme le numéro de client, lenuméro de fournisseur ou de société, le code d’employé ou de postulant, lenuméro de participant, etc.

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Préface générale

Période comptable etExercice

Entrez un numéro qui désigne la période et l’exercice du Grand Livre. Vouspouvez laisser ces champs vides dans bien des programmes pour utiliser lapériode comptable et l’exercice courants définis dans le programme Noms etnuméros de sociétés (P0010).

Société Entrez un code qui désigne une organisation, un fonds ou une autre entitédéclarante. Le code de société doit être défini dans le fichier F0010 et doitdésigner une entité déclarante qui produit un bilan complet.

Société du document Entrez le numéro de société associé au document. Ce numéro, utiliséconjointement avec le numéro de document, le type de document et la date deGrand Livre, désigne de façon unique un document original.Si vous assignez les numéros suivants par société et exercice, le systèmeutilisera la société du document pour extraire le numéro approprié pourcette société.Si au moins deux documents originaux ont le même numéro et type dedocument, vous pourrez utiliser la société du document pour afficher ledocument que vous souhaitez.

Statut du lot Affiche un code extrait du fichier des codes définis par l’utilisateur (système98, type IC) qui indique le statut de comptabilisation d’un lot. Les valeursde ce champ sont les suivantes :Blanc — le lot n’est pas comptabilisé et l’approbation est en attente.A — le lot est approuvé pour la comptabilisation, ne comporte aucune erreur etest équilibré, mais il n’est pas encore comptabilisé.D — le lot a été comptabilisé correctement.E — le lot contient une erreur. Vous devez la corriger avant de pouvoircomptabiliser le lot.P — le lot est en cours de comptabilisation. Il est donc indisponible jusqu’àla fin du traitement. Si une erreur survient au cours du traitement, le statutdu lot passera à E.U — le lot est temporairement indisponible, car il est en cours d’utilisation ouparce qu’il a été suspendu en raison d’une panne de courant.

Type de document Entrez le code à deux caractères défini par l’utilisateur (système 00, type DT)qui désigne l’origine et le but de la transaction, comme une pièce justificative,une facture, une écriture de journal ou un relevé d’heures. Le systèmeEnterpriseOne réserve ces préfixes aux types de documents suivants :P — documents de comptes fournisseurs;R — documents de comptes clients;T — documents d’heures et de paie;I — documents de stocks;O — documents de commande fournisseur;S — documents de commande client.

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Avant-propos sur la configuration etles traitements spécifiques aux pays,secteur Amériques

Le présent chapitre traite des sujets suivants :

• produits JD Edwards EnterpriseOne;• données de base des applications JD Edwards EnterpriseOne;• champs communs utilisés dans ce guide.

Produits JD Edwards EnterpriseOneLe présent guide traite des produits JD Edwards EnterpriseOne suivants offerts par Oracle :

• Comptabilité fournisseurs;• Comptabilité clients;• Répertoire d’adresses;• Comptabilité analytique avancée;• Tarification avancée;• Comptabilité générale;• Gestion des immobilisations;• Gestion des stocks;• Gestion de la production;• Gestion des achats;• Gestion des données sur les produits;• Gestion des commandes clients.

Données de base des applications JD Edwards EnterpriseOneLe guide intitulé JD Edwards EnterpriseOne Financial Management Application Fundamentals 9.0Implementation Guide apporte un complément d’information primordial grâce à sa description de laconfiguration et de la conception du système.

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Page 16: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Préface

Les clients doivent se conformer aux plates-formes prises en charge par cette version, qui sont décrites endétail dans les exigences techniques minimales du système JD Edwards EnterpriseOne. De plus, le système JDEdwards EnterpriseOne peut s’intégrer, interfacer ou fonctionner avec d’autres produits Oracle. Consultez lesréférences croisées dans la documentation de programme à l’adresse http://oracle.com/contracts/index.htmlpour connaître les étapes préliminaires du programme et les documents de références croisées de la versionpour assurer la compatibilité de votre version avec les différents produits Oracle.

Champs communs utilisés dans ce guideDeuxième numéro d’article,Troisième numéro d’articleet Numéro d’article

Entrez le numéro d’identification de l’article. Le système fournit troisnuméros d’article différents plus une fonction étendue de références croiséesavec différents numéros d’article. Les trois types de numéro d’article sontles suivants :

Numéro d’article (système) — numéro à huit chiffres attribué par le système.

Deuxième numéro d’article — code alphanumérique à 25 caractères définipar l’utilisateur.

Troisième numéro d’article — code alphanumérique à 25 caractères définipar l’utilisateur.

Outre ces trois numéros d’article de base, le système offre une fonctionétendue de recherche des références croisées. Vous pouvez définir denombreuses références croisées pour des numéros de pièce divers. Ainsi, vouspouvez créer des numéros d’article de substitution, des remplacements, descodes-barres ou des numéros de client ou de fournisseur.

Entrez *ALL dans le champ Numéro d’article pour indiquer que tous lesarticles du fournisseur proviennent du pays de provenance et du pays d’origine(pays de fabrication).

Numéro d’immobilisation Entrez un numéro à huit chiffres qui désigne l’immobilisation.

Date du Grand Livre Entrez la date qui désigne la période financière à laquelle la transaction seracomptabilisée. Les périodes comptables sont définies pour un code de modèled’exercice affecté à l’enregistrement de la société. Le système compare ladate entrée pour la transaction au modèle d’exercice affecté à la société pourextraire le numéro de période correct et valider la date.

Numéro d’immobilisationprincipal

Entrez le numéro d’identification de l’immobilisation dans l’un des formatssuivants :Numéro d’immobilisation — numéro de contrôle à huit chiffres attribuépar le système.

Numéro d’unité — code alphanumérique à 12 caractères.Numéro de série — code alphanumérique à 25 caractères.Un numéro d’immobilisation est attribué à chaque immobilisation. Vouspouvez utiliser le numéro d’unité et le numéro de série pour qualifier plusprécisément les immobilisations au besoin. S’il s’agit d’un champ de saisie, lepremier caractère entré indique s’il s’agit du format principal (par défaut),défini pour le système, ou d’un des deux autres formats. Un caractère spécial(tel que / ou *) entré en première position indique le format de numéro

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Préface

d’immobilisation que vous utilisez. L’affectation de caractères spéciaux auxformats de numéro d’immobilisation s’effectue dans l’écran des constantes dusystème Gestion des immobilisations.

Objet Entrez la partie d’un compte du Grand Livre faisant référence à la divisiondu code de coût (par exemple, main-d’œuvre, matières et équipement) ensous-catégories. Par exemple, vous pouvez diviser le code de coût pour lamain-d’œuvre en heures standard, en heures supplémentaires et en chargessociales.

Remarque : Si vous utilisez un plan comptable souple et que l’objet est définià l’aide de six chiffres, vous devrez saisir les six chiffres. Par exemple,000456 est différent de 456. En effet, si vous entrez 456, le système inséreratrois espaces pour remplir l’objet.

Sous-livre Entrez le code qui désigne un compte auxiliaire détaillé au sein d’uncompte du Grand Livre. Un sous-livre peut représenter un numéro d’articled’équipement ou un numéro de référence. Si vous entrez un sous-livre, vousdevrez également spécifier son type.

Type de sous-livre Entrez un code défini par l’utilisateur (système 00, type ST) qui est utiliséavec le champ Sous-livre pour désigner le type de sous-livre et son mode devalidation. Dans l’écran Codes définis par l’utilisateur, la deuxième ligne dedescription contrôle le mode de validation. Cette fonction peut être codéeprogramme ou définie par l’utilisateur. Les valeurs sont les suivantes :A — champ alphanumérique, sans validation.N — champ numérique, justifié à droite et rempli avec des zéros.C — champ alphanumérique, justifié à droite et sans remplissage.

Sous-compte Entrez la sous-division d’un objet. Les sous-comptes incluent lesenregistrements détaillés de l’activité comptable d’un objet.

Remarque : Si vous utilisez un plan comptable souple et que l’objet est définià l’aide de six chiffres, vous devrez saisir les six chiffres. Par exemple,000456 est différent de 456. En effet, si vous entrez 456, le système inséreratrois espaces pour remplir l’objet.

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Préface

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PARTIE 1

Fonctionnalité propre aux pays

Chapitre 1Préparation à l’utilisation de la configuration et des traitements spécifiques auxpays, secteur Amériques

Chapitre 2Configuration du système pour l’utilisation des fonctions spécifiques aux pays

Chapitre 3Présentation des fonctions communes aux pays d’Amérique latine

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CHAPITRE 1

Préparation à l’utilisation de la configurationet des traitements spécifiques aux pays,secteur Amériques

Le présent chapitre traite des sujets suivants :

• aperçu de la configuration et des traitements spécifiques aux pays;

• implémentation de la configuration et des traitements spécifiques aux pays.

Aperçu de la configuration et des traitementsspécifiques aux pays

Le présent guide comporte plusieurs parties vous permettant de localiser rapidement les pays pour lesquels ilexiste des paramètres ou fonctions spécifiques. Chaque partie est divisée en chapitres offrant un aperçu desfonctions d’un pays ou des renseignements précis sur le paramétrage ou l’utilisation de ces fonctions.

Chapitres d’aperçuLe chapitre d’aperçu d’un pays inclut la liste des paramètres et des fonctions qui lui sont propres ainsi quedes liens vers la documentation. Vous pouvez donc prendre connaissance de la configuration requise et destraitements disponibles, puis les vérifier à l’aide de la documentation.

Documentation sur les fonctions spécifiques aux paysLe tableau ci-dessous dresse la liste des paramètres ou des programmes spécifiques à certains pays et del’endroit où ils sont documentés.

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Préparation à l’utilisation de la configuration et des traitements spécifiques aux pays, secteur Amériques Chapitre 1

Pays Fonctions

Argentine Les fonctions spécifiques à l’Argentine qui sont documentées dans ce guide sont lessuivantes :

• retenue des fournisseurs;

• traitement des pièces justificatives;

• traitement par lots des pièces justificatives;

• traitement des paiements;

• traitement des factures;

• traitement des pièces justifiant un crédit;

• traitement par lots des factures;

• traitement automatique et manuel des réceptions;

• traitement des effets de comptes clients;

• traitement des frais de retard;

• traitement des commandes clients;

• saisie des articles;

• immobilisations;

• gestion des stocks;

• production de déclarations;

• traitement des taxes.

Les fonctions suivantes sont également offertes :

• données supplémentaires sur le fichier Fournisseurs;

• données supplémentaires sur le fichier Clients.

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Chapitre 1 Préparation à l’utilisation de la configuration et des traitements spécifiques aux pays, secteur Amériques

Pays Fonctions

Brésil Les fonctions spécifiques au Brésil qui sont documentées dans ce guide sont lessuivantes :

• calcul des retenues des fournisseurs;

• traitement automatique des paiements;

• traitement automatique des réceptions;

• traitement des pièces justificatives;

• traitement des factures;

• factures électroniques;

• registres fiscaux;

• élaboration d’états GIA électroniques;

• gestion des stocks;

• traitement des commandes clients;

• traitement des achats;

• traitement des taxes;

• traitement des taxes Ato COTEPE 70 de 2006;

• traitement des taxes Ato COTEPE 11 de 2007;

• élaboration d’états financiers;

• élaboration des déclarations fiscales IN86/IN89.

De plus, il existe pour le Brésil une fonctionnalité pour les enregistrements derépertoires d’adresses.

Canada Les fonctions spécifiques au Canada qui sont documentées dans ce guidecomprennent le traitement de la TPS et de la TVP.

Les fonctions suivantes sont également offertes :

• Comptes bancaires des fournisseurs.

• Gestion de la paie.

Voir JD Edwards EnterpriseOne Canadian Payroll 9.0 ImplementationGuide.

• Démarrage rapide d’Oracle.

Voir http://www.peoplesoft.com/corp/en/iou/implement/rapid_start/rapid_start_prtr_notes.jsp

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Préparation à l’utilisation de la configuration et des traitements spécifiques aux pays, secteur Amériques Chapitre 1

Pays Fonctions

Chili Les fonctions spécifiques au Chili qui sont documentées dans ce guide sont lessuivantes :

• paramétrage du répertoire d’adresses;

• traitement par lots des enregistrements de répertoire d’adresses;

• paramétrage des sociétés légales;

• traitement des pièces justificatives;

• traitement des factures;

• traitement des effets de comptes clients;

• immobilisations;

• traitement des commandes clients;

• gestion des stocks;

• élaboration d’états du Grand Livre;

• états financiers;

• traitement des taxes.

De plus, il existe pour le Chili une fonctionnalité pour les enregistrements derépertoires d’adresses.

Colombie Les fonctions spécifiques à la Colombie qui sont documentées dans ce guide sontles suivantes :

• traitement des paiements;

• traitement des taxes;

• immobilisations;

• traitement des pièces justificatives;

• traitement des factures;

• traitement des taxes.

De plus, il existe pour la Colombie une fonctionnalité pour les enregistrements derépertoires d’adresses.

Équateur Les fonctions spécifiques à l’Équateur qui sont documentées dans ce guide sont lessuivantes :

• traitement des paiements;

• traitement des taxes.

De plus, il existe pour l’Équateur une fonctionnalité pour les enregistrements derépertoires d’adresses.

Mexique Les fonctions du Mexique comprennent le calcul de la TVA sur les paiements et lesréceptions.

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Page 25: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Chapitre 1 Préparation à l’utilisation de la configuration et des traitements spécifiques aux pays, secteur Amériques

Pays Fonctions

Pérou Les fonctions spécifiques au Pérou qui sont documentées dans ce guide sont lessuivantes :

• traitement par lots des enregistrements de répertoire d’adresses;

• paramétrage des sociétés légales;

• retenue des fournisseurs;

• traitement des pièces justificatives;

• traitement des factures;

• traitement des effets de comptes clients;

• traitement des paiements;

• immobilisations;

• traitement des commandes clients;

• gestion des stocks;

• élaboration d’états du Grand Livre;

• états financiers.

La fonction suivante est également offerte :

• Traitement des taxes.

Voir Chapitre 3, "Présentation des fonctions communes aux pays d’Amériquelatine," (ECU, PER et VEN) Taux et zones de taxe pour l’Équateur, le Pérou et leVenezuela, page 18.

• Données supplémentaires sur les répertoires d’adresses.

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Préparation à l’utilisation de la configuration et des traitements spécifiques aux pays, secteur Amériques Chapitre 1

Pays Fonctions

Venezuela Les fonctions spécifiques au Venezuela qui sont documentées dans ce guide sont lessuivantes :

• retenue des fournisseurs;

• traitement des pièces justificatives;

• traitement des factures;

• traitement des taxes.

De plus, il existe pour le Venezuela une fonctionnalité pour les enregistrements derépertoires d’adresses.

États-Unis Le paramétrage et les traitements spécifiques aux États-Unis s’appliquent auxfonctions suivantes :

• Paramétrage des comptes bancaires.

• Gestion de la paie.

Voir JD Edwards EnterpriseOne U.S. Payroll 9.0 Implementation Guide.• Démarrage rapide d’Oracle.

Voir http://www.peoplesoft.com/corp/en/iou/implement/rapid_start/rapid_start_prtr_notes.jsp

Les fonctions propres aux pays sont également décrites dans les guides suivants :

• JD Edwards EnterpriseOne Address Book 9.0 Implementation Guide;• JD Edwards EnterpriseOne Accounts Payable 9.0 Implementation Guide;• JD Edwards EnterpriseOne Financial Management Application Fundamentals 9.0 Implementation Guide;• JD Edwards EnterpriseOne Fixed Assets 9.0 Implementation Guide;• JD Edwards EnterpriseOne Canadian Payroll 9.0 Implementation Guide;• JD Edwards EnterpriseOne U.S. Payroll 9.0 Implementation Guide;• JD Edwards EnterpriseOne Tax Processing 9.0 Implementation Guide.

Implémentation du paramétrage et des traitementsspécifiques aux pays

Outre la configuration présentée dans ce guide, vous devez paramétrer le logiciel de base du traitement àimplémenter. Par exemple, vous devez suivre les étapes de paramétrage du système Comptabilité fournisseursde JD Edwards EnterpriseOne en plus de paramétrer les fonctions spécifiques aux pays dans ce même système.

Au stade de la planification de l’implémentation, vous disposez de nombreuses sources de renseignementsoffertes par JD Edwards EnterpriseOne, entre autres les guides d’installation et les directives de dépannage. Laliste complète de ces ressources figure dans l’avant-propos du guide À propos des guides, qui vous indique oùvous procurer la version courante de chaque document.

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Chapitre 1 Préparation à l’utilisation de la configuration et des traitements spécifiques aux pays, secteur Amériques

Pour déterminer les mises à jour logicielles électroniques (ESU) à installer sur vos systèmes JD EdwardsEnterpriseOne, utilisez l’assistant de mise à jour EnterpriseOne et World. Cet outil Java réduit d’au moins 75 %le temps de recherche et de téléchargement des ESU et permet d’installer plusieurs mises à jour en même temps.

Voir JD Edwards EnterpriseOne Tools 8,98 Software Update Guide.

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Préparation à l’utilisation de la configuration et des traitements spécifiques aux pays, secteur Amériques Chapitre 1

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CHAPITRE 2

Configuration du système pour l’utilisationdes fonctions spécifiques aux pays

Le présent chapitre donne un aperçu des considérations en matière de conversion dans les environnements multilinguesainsi que des sous-programmes de conversion, et traite du paramétrage des préférences d’affichage de l’utilisateur.

Considérations en matière de conversion dans lesenvironnements multilingues

Les menus, écrans et états du système peuvent être affichés dans différentes langues. Tous les logiciels sontofferts avec l’anglais comme langue de base, mais vous pouvez installer d’autres langues au besoin. Parexemple, si vous utilisez plusieurs langues d’affichage dans un même environnement, chaque utilisateur pourrachoisir sa langue en paramétrant ses préférences.

Outre les menus, écrans et états standard, vous pouvez convertir d’autres éléments du logiciel, par exemple lenom des comptes d’une société ou les valeurs de certains codes définis par l’utilisateur (UDC).

Le tableau ci-dessous dresse la liste des éléments qu’il peut être utile de convertir lorsque vous utilisez unlogiciel dans un environnement multilingue.

Élément Considérations en matière de conversion

Description des centres de coûts Vous pouvez convertir la description des centres de coûtsparamétrés dans le système.

Les données de conversion sont stockées dans le fichierCentres de coûts – autres descriptions (F0006D).

L’état Traduction des centres de coûts (R00067) permet devérifier les descriptions dans la langue de base et dans touteautre langue installée.

Description des comptes Vous pouvez convertir la description des comptes dans uneautre langue que la langue de base.

Après avoir converti le plan comptable, vous pouvezimprimer l’état Traduction des comptes. Vous pouvezégalement paramétrer une option de traitement de façon àafficher la description des comptes dans la langue de base etdans toute autre langue utilisée.

Description des instructions de comptabilisationautomatique (ICA)

Vous pouvez convertir la description des ICA paramétréesdans le système.

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Configuration du système pour l’utilisation des fonctions spécifiques aux pays Chapitre 2

Élément Considérations en matière de conversion

Description des codes définis par l’utilisateur (UDC) Vous pouvez convertir la description des UDC paramétrésdans le système.

Texte des lettres de rappel Spécifiez le choix de langue de chaque client lorsque vouscréez des enregistrements dans le fichier Clients. Le champChoix de langue de l’écran Données supplémentaires durépertoire d’adresses détermine la langue d’affichage de lalettre de rappel et du texte complémentaire lorsque vousutilisez le mode final. En mode préliminaire, les donnéessont imprimées dans la langue affectée au client dans lesystème Répertoire d’adresses.

Le logiciel de base comprend des lettres de rappel traduitesen allemand, en français et en italien. Tout texte ajouté aubas de la lettre doit être traduit. Pour ce faire, suivez lesinstructions de paramétrage du texte des lettres de rappel etremplissez le champ Langue dans l’écran Identification dutexte de la lettre.

Les conversions que vous paramétrez s’appliquent également à la langue spécifiée dans le profil de chaqueutilisateur du système. Par exemple, lorsqu’un utilisateur de langue française accède au plan comptable, lesystème affiche la description des comptes en français plutôt que dans la langue de base.

Sous-programmes de conversionLe système fournit plusieurs sous-programmes de conversion des montants en mots. Ces sous-programmessont généralement utilisés dans le cas des formats de paiement, des formats d’effet et des chèques, pour lesquelsles programmes produisent des données numériques en format numérique et textuel. Les sous-programmes deconversion à utiliser sont paramétrés dans les options de traitement de ces programmes.

Les sous-programmes de conversion offerts par le système sont les suivants :

• X00500 – montants en dollars américains;• X00500BR – mots en portugais du Brésil;• X00500C – montants incluant les cents;• X00500CH – montants en monnaie chinoise (RMB);• X00500D – montants en marks allemands;• X00500ED – montants en euros (Allemagne);• X00500FR – montants en francs français;• X00500EF – montants en euros (France);• X00500I – montants en lires italiennes;• X00500EI – montants en euros (Italie);• X00500S1 – montants en pesetas espagnoles (féminin);• X00500S2 – montants en pesos espagnols (masculin);

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Chapitre 2 Configuration du système pour l’utilisation des fonctions spécifiques aux pays

• X00500S3 – montants en pesetas espagnoles (féminin, 0 décimale);• X00500S4 – montants en pesos espagnols (masculin, 0 décimale);• X00500S5 – montants en euros (Espagne);• X00500U – mots en anglais (Royaume-Uni);• X00500U1 – mots en anglais dans des cases séparées (Royaume-Uni).

Le sous-programme de conversion dépend parfois de la monnaie utilisée. Par exemple, si vous convertissezdes montants en euros en mots, utilisez un sous-programme conçu pour traiter les eurodevises. En Espagne, lesous-programme varie selon le genre de la monnaie (masculin ou féminin).

Paramétrage des préférences d’affichage de l’utilisateurLa présente section donne un aperçu des préférences d’affichage de l’utilisateur et traite des sujets suivants :

• paramétrage des options de traitement du programme Révision du profil d’utilisateur (P0092);• paramétrage des préférences d’affichage de l’utilisateur.

Préférences d’affichage de l’utilisateurCertains logiciels JD Edwards EnterpriseOne sont munis de la technologie du serveur de pays, qui permetde distinguer les caractéristiques spécifiques au pays de celles du logiciel de base. Par exemple, si, au coursdu traitement normal d’une transaction, vous entrez des données supplémentaires sur un fournisseur ouvalidez un numéro d’identification fiscale par rapport aux exigences d’un pays, vous utiliserez un programmelocalisé plutôt que le logiciel de base. Le serveur du pays indique que le programme localisé doit être inclusdans le traitement.

Pour profiter pleinement des solutions localisées de votre société, vous devez paramétrer les préférencesd’affichage de l’utilisateur afin de spécifier le pays dans lequel vous travaillez. Le serveur du pays utilise cesdonnées pour déterminer les programmes localisés à exécuter.

Les codes de pays de localisation servent à indiquer le pays dans lequel vous travaillez. Ces codes, qu’ils soientà deux ou à trois chiffres, sont stockés dans le fichier des codes définis par l’utilisateur (système 00, type LC).

Les préférences d’affichage peuvent aussi servir à paramétrer d’autres fonctions, par exemple le formatd’affichage des dates (tel que le format JJMMAA habituellement utilisé en Europe) ou la langue qui remplacela langue de base.

Voir aussiJD Edwards EnterpriseOne Tools 8,98 System Administration Guide.

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Page 32: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Configuration du système pour l’utilisation des fonctions spécifiques aux pays Chapitre 2

Écran utilisé pour définir les préférences d’affichagede l’utilisateurNom du formulaire Code formulaire Navigation Utilisation

Révision des profilsd’utilisateurs

W0092A Menu EnterpriseOne, Mesoptions système

Dans l’écran Vérificationdes valeurs par défaut desutilisateurs, cliquez surle lien Révision profilsutilisateurs.

Sert à paramétrer lespréférences d’affichage.

Paramétrage des options de traitement du programmeRévision du profil d’utilisateur (P0092)Les options de traitement permettent de paramétrer les valeurs par défaut d’un traitement.

Validation R/A

Numéro de référence durépertoire d’adresses

Entrez la valeur 1 pour pouvoir valider le numéro de référence dans le fichierRépertoire d’adresses (F0101).

Paramétrage du serveur GRP

Serveur GRP Entrez la valeur D si vous utilisez un serveur Domino d’IBM ou la valeur X sivous utilisez un serveur Exchange de Microsoft.

Paramétrage des préférences d’affichage de l’utilisateurAccédez à l’écran Révision des profils d’utilisateurs.

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Page 33: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Chapitre 2 Configuration du système pour l’utilisation des fonctions spécifiques aux pays

Révision des profils d’utilisateurs

Code pays localisation Entrez un code défini par l’utilisateur (système 00, type LC) qui désigne unpays de localisation. Il est possible d’annexer une fonction spécifique àpartir de ce code en utilisant la méthodologie du serveur de pays défini dansle produit de base.

Langue Entrez un code défini par l’utilisateur (système 01, type LP) qui spécifie lalangue à utiliser dans les écrans et les états imprimés. Vous devez le définirdans le système ou dans les préférences utilisateur. De plus, le CD de lalangue en question doit être installé.

Format date Entrez le format de stockage de la date dans la base de données.

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Page 34: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Configuration du système pour l’utilisation des fonctions spécifiques aux pays Chapitre 2

Si vous laissez ce champ en blanc, la date s’affichera en fonction desparamètres du système d’exploitation de la station de travail. Sous NT, lesparamètres du système d’exploitation de la station de travail sont contrôléspar les paramètres régionaux du Panneau de configuration. Les valeursde ce champ sont les suivantes :Blanc — utiliser la date système;DME — jour, mois, année à quatre chiffres;DMY — jour, mois, année (JJMMAA);EMD — année à quatre chiffres, mois, jour;MDE — mois, jour, année à quatre chiffres;MDY — mois, jour, année (MMJJAA);YMD — année, mois, jour (AAMMJJ).

Séparateur de date Entrez un caractère permettant de séparer le jour, le mois et l’année d’unedate donnée. Si vous entrez un astérisque (*), le système utilisera un espacecomme séparateur de date. Si vous laissez ce champ en blanc, le systèmeutilisera le séparateur de date système.

Format décimales Entrez le nombre de positions à droite du séparateur de décimales que voussouhaitez utiliser. Si vous laissez ce champ en blanc, la valeur système serautilisée par défaut.

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CHAPITRE 3

Présentation des fonctions communes auxpays d’Amérique latine

Le présent chapitre traite des sujets suivants :

• mode de validation des codes de taxe dans les pays d’Amérique latine;

• (ECU, PER et VEN) taux et zones de taxe pour l’Équateur, le Pérou et le Venezuela;

• (COL et ECU) types de taxe pour la Colombie et l’Équateur;

• (CHL et PER) traitement de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) non remboursable pour le Chili et le Pérou.

Mode de validation des codes de taxe dans lespays d’Amérique latine

Pour les utilisateurs d’Amérique latine dont les pays offrent des solutions localisées, la logique de validationdes codes de taxe des clients et des fournisseurs est différente de la logique des utilisateurs d’autres pays. Lelogiciel JD Edwards EnterpriseOne accepte le logiciel localisé des pays d’Amérique latine suivants :

• Argentine;

• Brésil;• Chili;• Colombie;• Équateur;• Mexique;• Pérou;• Venezuela.

La logique standard de validation des codes de taxe utilise le code du pays du client ou du fournisseur avec lesvaleurs du fichier de codes définis par l’utilisateur (système 70, type TI) de validation des codes de taxe. Pourles pays d’Amérique latine, la logique utilise le code de pays de l’utilisateur tel qu’il a été paramétré dans leprogramme Révision des profils d’utilisateur (P0092) lorsque les conditions suivantes s’appliquent :

• le code de pays de l’utilisateur est différent du code de pays du fournisseur ou du client;• le code de pays de l’utilisateur correspond à un pays d’Amérique latine pris en charge par le système.

Par exemple, si le code de pays de l’utilisateur est AR (Argentine) et que le code de pays du fournisseur est IT(Italie), le système procédera de la façon suivante :

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Page 36: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Présentation des fonctions communes aux pays d’Amérique latine Chapitre 3

1. Il s’assurera que la valeur IT existe dans le fichier de codes définis par l’utilisateur (système 70,type TI).

2. Il utilisera le sous-programme de validation de l’Argentine plutôt que celui de l’Italie.

Remarque : Si le code de pays de l’utilisateur et le code de pays du fournisseur ou du client correspondenttous les deux à des pays d’Amérique latine pris en charge par le système, ne paramétrez pas le fichier de codesdéfinis par l’utilisateur (système 70, type TI) avec les valeurs des codes de pays du fournisseur ou du client.Par exemple, si l’utilisateur est au Brésil et que le fournisseur est en Argentine, ne paramétrez pas la valeur ARdans le fichier de codes définis par l’utilisateur (système 70, type TI). Étant donné que la valeur AR n’existepas dans le fichier de codes définis par l’utilisateur (système 70, type TI), le système utilisera la validation descodes de taxe du pays du fournisseur (Argentine).

(ECU, PER et VEN) Taux et zones de taxe pourl’Équateur, le Pérou et le Venezuela

Utilisez des types de zones de taxe pour préciser si une zone de taxe sert à la solidarité, aux retenues ou à laTVA. Les taux et les zones de taxe sont stockés dans le fichier F4008.

Vous devez paramétrer des taux et des zones de taxe dans une structure, par exemple, A BBB CCC D. Letableau qui suit indique la façon dont vous pouvez paramétrer la structure :

Caractère Exemple

A (type de taxe) G (TVA générale)

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Page 37: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Chapitre 3 Présentation des fonctions communes aux pays d’Amérique latine

Caractère Exemple

BBB (notion d’imposition) COM (achats)

HON (honoraires)

SER (services)

CMI (commissions)

ARR (location-acquisition)

M (règlement de taxe manuel)

Remarque : Utilisez la valeur M si aucun pourcentageprécis de TVA ou de retenues n’existe et que le calcul detaxe est entré manuellement.

CCC (sous-groupe de taxe) Pour COM (achats) :

• GEN (général);

• CMB (carburant);

• AGR (biens de nature biologique).

Pour SER (services) :

• GEN (général);

• VYA (contrôle et hygiène);

• HYR (hôtels, restaurants et logement);

• CON (immeuble).

Pour ARR (location-acquisition) :

• MUE (biens meubles);

• INM (biens immeubles).

Pour M (règlement de taxe manuel) :

• VAT;

• RET (retenues sources).

Dans cet exemple, les zones de taxe seraient les suivantes :

• GCOMGEN – TVA générale pour les achats généraux automatiques;

• EHONGENM – frais généraux exemptés manuels.

(ECU) Paramétrez la première ligne de la zone de taxe pour la retenue de location et la deuxième lignepour la retenue de TVA.

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Page 38: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Présentation des fonctions communes aux pays d’Amérique latine Chapitre 3

(COL et ECU) Types de taxe pour la Colombie et l’ÉquateurLa Colombie et l’Équateur utilisent quatre types de taxe du fichier de codes définis par l’utilisateur (système00, type EX) sur les types de taxe :

• C — TVA + taxe de vente;• V — TVA;• CT — TVA + taxe de vente, taxe seulement;• VT — TVA, taxe seulement.

Ces types de taxe sont codés programme pour les systèmes Comptabilité clients et Comptabilité fournisseursde JD Edwards EnterpriseOne.

(CHL et PER) Traitement de la TVA non remboursablepour le Chili et le Pérou

Selon les dispositions des lois sur la TVA, un crédit fiscal peut être obtenu uniquement au cours des quatrepériodes fiscales suivant la date d’émission de la facture, à condition que la validation du remboursement de laTVA soit définie dans les constantes de la société par mois ou par jour.

Vous devez définir les éléments suivants :

• Constantes des sociétés légales.

Paramétrez la quantité de jours et de mois pour le remboursement de la TVA ainsi que la date à utiliser pourvérifier les jours et les mois.

• Équivalence de la zone de taxe.Précisez quelle zone de taxe a un crédit fiscal non remboursable équivalent pour chaque crédit fiscal dezone de taxe.

• Taux/zone de taxe.Paramétrez la zone de taxe à utiliser pour entrer le crédit fiscal.

Si la différence de jours ou de mois d’une pièce justificative est supérieure à la date précisée dans les constantesde la société (TVA non remboursable), le système modifiera automatiquement la zone de taxe et le type de taxede façon qu’ils soient enregistrés comme des taxes non remboursables.

Pour chaque ligne de pièce justificative, la zone de taxe entrée est remplacée par sa zone corrélative dans lesconstantes de zones de taxe lorsque les conditions suivantes s’appliquent :

• la date de la facture dépasse la période légale;• le type de taxe correspond à la TVA;• le pourcentage de taxe de la zone de taxe est différent de 0.

Généralement, vous utilisez le type de taxe S pour la TVA non remboursable, car ce type ne distingue pas lestaxes. Vous pouvez également entrer des pièces justificatives avec un type de taxe et une zone de taxe nonremboursable, sans l’option de modification automatique du système.

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PARTIE 2

Canada

Chapitre 4Fonctions spécifiques au Canada

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Page 41: Produits JD Edwards EnterpriseOne

CHAPITRE 4

Fonctions spécifiques au Canada

Le présent chapitre donne un aperçu de la configuration et des traitements spécifiques au Canada qui viennent s’ajouterau paramétrage standard du logiciel de base.

Configuration et traitements spécifiques au CanadaLe tableau ci-dessous dresse la liste des paramétrages et des fonctions propres au Canada.

Paramétrage ou traitement Description

Données sur les comptes bancaires des fournisseurs Lorsque vous entrez des données sur les comptes bancairesdes fournisseurs, vous devez saisir des valeurs propres aupays.

Traitement de la TPS et de la TVP L’état TPS et TVP (R0018P8) présente les montants de taxedéclarés à chaque administration fiscale. De plus, la TVPest subdivisée en deux catégories : la TVP imposée par levendeur et la TVP auto-imposée.

Gestion de la paie Le logiciel JD Edwards EnterpriseOne d’Oracle comprendun système de traitement de la paie pour le Canada.

Voir JD Edwards EnterpriseOne Canadian Payroll9.0 Implementation Guide.

Démarrage rapide d’Oracle La solution Démarrage rapide d’Oracle est offerteau Canada ainsi que dans d’autres pays. Les donnéesprédéfinies dans la solution Démarrage rapide d’Oraclesont fondées sur des processus de gestion qui sont conçusen fonction des meilleures pratiques de gestion pour unpays et un secteur d’activité précis.

Voir http://www.peoplesoft.com/corp/en/iou/implement/rapid_start/rapid_start_prtr_notes.jsp

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Fonctions spécifiques au Canada Chapitre 4

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Page 43: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire de termes JD Edwards EnterpriseOne

accès rapide Invite de commande permettant à l’utilisateur de se déplacer rapidement dans lesmenus et les applications à l’aide de commandes spécifiques.

adaptateur de messagerie Modèle d’interopérabilité permettant aux systèmes de tierce partie de se connecterau système JD Edwards EnterpriseOne pour partager des données au moyen de filesd’attente de messagerie.

adaptateur HTTP Ensemble de services général servant à effectuer les opérations HTTP de base tellesque GET, POST, PUT, DELETE, TRACE, HEAD et OPTIONS avec l’URL fournie.

administrateur EnterpriseOne Acteur responsable du système de gestion EnterpriseOne.

adressage RT Données uniques désignant une session de navigateur qui lance la session hôte/sessiond’utilisateur du port à partir de la demande d’appel de services de gestion.

affectation des coûts Traitement du système Comptabilité analytique avancée qui permet d’effectuer le suivides ressources et de les affecter aux activités et aux axes d’analyse.

agent de planification avancée(APA)

Outil qui peut être utilisé pour extraire, transformer ou charger des données relatives àl’entreprise. L’agent de planification avancée prend en charge l’accès aux sources dedonnées sous forme de bases de données rationnelles, de format de fichier à plat etautres encodages de données ou de messages, tels que le format XML.

aide visuelle Écrans pouvant être appelés à partir d’un contrôle au moyen d’un déclencheur et aidantl’utilisateur à déterminer les données autorisées.

analyste de gestion Acteur qui détermine s’il est nécessaire de développer un service de gestionEnterpriseOne et, si tel est le cas, pour quelle raison.

application de contrôle Outil EnterpriseOne permettant à un administrateur d’obtenir des données statistiquesde différents serveurs EnterpriseOne, de réinitialiser des statistiques et de définir desavis.

artéfact de serveur de servicesde gestion

Objet à déployer dans le serveur de services de gestion.

artéfacts de déploiement Artéfacts nécessaires au traitement de déploiement, tels que des serveurs, des ports,etc.

artéfacts de service de gestion Fichiers sources, descripteurs, etc. qui sont traités aux fins de développement d’unservice de gestion et sont nécessaires pour le traitement de création de service degestion.

assistant Type d’extension de JDeveloper utilisé pour guider l’utilisateur à travers une séried’étapes.

authentification à deuxdocuments

Mécanisme d’authentification utilisé à la fois par le client et le serveur pours’authentifier en fournissant à l’autre ses certificats de protocole SSL.

autre devise Devise différente de la monnaie nationale (pour le traitement des transactionsnationales seulement) ou de la monnaie nationale et de la monnaie de transaction.

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Page 44: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

Dans le système Gestion financière, le traitement des autres devises permet la saisied’encaissements et de paiements dans une devise autre que celle dans laquelle ils ontété émis.

BPEL Abréviation de Business Process Execution Language, un langage d’orchestrationde services Web standard qui vous permet d’assembler des services en un flux detraitement de bout en bout.

BPEL PM Abréviation de Business Process Execution Language Process Manager, uneinfrastructure complète qui permet de créer, de déployer et de gérer des processus degestion BPEL.

calendrier des jours ouvrés Dans le système Gestion de la production, calendrier utilisé dans les fonctions deplanification qui ne contient que les jours ouvrables, de façon que l’ordonnancementdes composants et des bons de travail s’effectue selon le nombre de jours detravail disponibles. Cette notion est parfois désignée sous le nom de calendrier deplanification, calendrier de fabrication ou calendrier de production.

CallObject XML Capacité d’interopérabilité permettant d’appeler des fonctions de gestion.

catégorisation de propriété deservice de gestion

Façon de classer les propriétés de service de gestion. Ces propriétés sont classéespar service de gestion.

certificat de protocole SSL Message spécial signé par une autorité de certification qui contient le nom d’unutilisateur et sa clé publique de telle façon que toute personne peut «vérifier» que lemessage a été signé par nul autre que l’autorité de certification et qui bâtit ainsi laconfiance dans la clé publique de l’utilisateur.

chemin d’accès des promotions Chemin d’accès désigné pour la progression des objets et des projets dans un flux detravaux. Le chemin d’accès du cycle de promotion normal est le suivant :

11>21>26>28>38>01

Dans ce chemin, 11 équivaut à Nouveau projet en attente de vérification, 21 àProgrammation, 26 à Test AQ/Vérification, 28 à Test AQ/Vérification terminés, 38 àEn production et 01 à Terminé. Au cours du cycle de promotion de projets normal, lesdéveloppeurs vérifient les objets à l’intérieur et à l’extérieur du code de chemin dedéveloppement, puis les élèvent au rang de code de chemin de prototype. Les objetssont ensuite déplacés dans le code de chemin de production avant d’être considéréscomme terminés.

clauseWhere Partie d’une opération de base de données qui précise sur quels enregistrementsl’opération de base de données aura une incidence.

clé de propriété de servicede gestion

Nom unique servant à désigner la propriété de service de gestion dans l’ensemble dusystème.

client de développementEnterpriseOne

Historiquement appelé «client lourd», collection de composants installésEnterpriseOne nécessaire pour développer des artéfacts EnterpriseOne, y compris leclient Microsoft Windows et les outils de conception.

code d’édition Code indiquant comment une valeur spécifique pour un état ou un écran doit êtreaffichée ou formatée. Les codes d’édition par défaut associés à l’élaboration d’étatsnécessitent une attention particulière parce qu’ils représentent une quantité importantede données.

code souple Technique de codage permettant à un administrateur de manipuler des variablespropres à un site qui ont une incidence sur un traitement donné.

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Glossaire

compatibilité des segments Instruction logique établissant la relation entre les segments d’articles configurés. Lacompatibilité des segments est utilisée pour éviter la commande de configurationsimpossibles à produire.

composante de coût Élément de coût d’un article (par exemple, les matières, la main-d’œuvre ou les coûtsindirects) dans le système Gestion de la production.

compte de contrepartie/liaison Compte de grand livre de l’application Gestion financière qui est utilisé pouréquilibrer des écritures de journal. Par exemple, vous pouvez utiliser un compte decontrepartie/liaison pour équilibrer les écritures créées par les répartitions du systèmeGestion financière.

connecteur Modèle d’interopérabilité par composant permettant aux applications de tierce partieet au système JD Edwards EnterpriseOne de partager leur logique et leurs données.L’architecture du connecteur JD Edwards EnterpriseOne contient des connecteursJava et COM.

contrôle des versions d’unservice de gestion publié

Ajout de fonctionnalités et d’interfaces à des services de gestion publiés sans modifierles fonctionnalités et les interfaces existantes.

contrôle d’escalade Traitement par lots qui contrôle les demandes ou les activités en attente et qui lesredémarre ou les transfère à la prochaine étape ou au prochain utilisateur après unedurée d’inactivité spécifique.

conversion de fichiers Modèle d’interopérabilité permettant un échange de données entre le système JDEdwards EnterpriseOne et les systèmes de tierce partie à l’aide de fichiers de tiercepartie.

correction provisoire de logiciel(PTF)

Représentation des modifications apportées au logiciel JD Edwards EnterpriseOne quevotre organisation reçoit sur bandes magnétiques ou sur disques.

création de progiciels Application logicielle facilitant le déploiement des modifications apportées aulogiciel et des nouvelles applications pour des comptes utilisateurs existants. Dans lesystème JD Edwards EnterpriseOne, les versions de progiciels peuvent égalementêtre des versions compilées du logiciel. Par exemple, lorsque vous mettez à niveauvotre version du logiciel ERP, on suppose que vous allez vous procurer une versionde progiciels.

Considérez le texte suivant : «De plus, ne transférez pas les fonctions de gestion dansle code de chemin de production avant que le déploiement ne soit prêt, parce qu’unecréation globale de fonctions de gestion effectuée au moment de la création d’unprogiciel inclura automatiquement les nouvelles fonctions.»

cXML Protocole destiné à faciliter la communication entre des documents de gestion et desapplications de gestion des achats, ainsi qu’entre des concentrateurs et des fournisseursde commerce électronique.

cycle de traitement Critère en fonction duquel un objet passe d’un point à l’autre dans un flux.

déclencheur Un des événements propres aux articles du dictionnaire de données. Vous pouvezassocier à un article une logique qui sera traitée automatiquement lorsque l’événementse produira.

dénomination de devise Devise dans laquelle les états financiers de la société sont établis.

dépôt de données de servicesde gestion

Système de gestion source, par exemple ClearCase, dans lequel des artéfacts deservice de gestion et des fichiers de création sont stockés. Il peut également s’agird’un répertoire physique dans un réseau.

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Page 46: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

dépôt de donnéesd’enregistrement

Dépôt de données destiné aux développeurs pour enregistrer et extraire des artéfactsde service de gestion. Il existe plusieurs dépôts de données d’enregistrement, quipeuvent être utilisés individuellement à différentes fins (pour le développement,la production, les tests, etc.).

dépôt de données local Environnement de développement local du développeur servant à stocker des artéfactsde services de gestion.

dépôt de données source Dépôt de données pour les artéfacts de l’environnement de développement du serviced’adaptateur et de traitement d’écoute HTTP.

développeur d’intégration Utilisateur du système qui développe, exécute et débogue les services de gestionEnterpriseOne. Le développeur d’intégration utilise les services de gestionEnterpriseOne pour développer ces composants.

devis Dans les applications Gestion des achats et Gestion de la sous-traitance, demande derenseignements relative à un article et à son prix, émanant d’un fournisseur, à partirde laquelle une commande fournisseur peut être créée.

Dans l’application Gestion des commandes clients, demande de renseignementsrelative à un article et à son prix, émanant d’un client qui ne s’est pas encore engagépar commande.

Direct Connect Méthode de transaction par laquelle une application cliente communique de manièreinteractive et directe avec une application sur serveur.

Voir aussi traitement par lots immédiat et mode différé.

document de rapprochement Document associé à un document d’origine pour terminer ou modifier une transaction.Par exemple, dans l’application Gestion financière, un reçu constitue le document derapprochement d’une facture et un paiement constitue le document de rapprochementd’une pièce justificative.

document de transaction Transaction commerciale électronique (document standard d’échange de donnéesinformatisé) constituée de segments.

données d’authentification Ensemble valide formé d’un nom d’utilisateur/mot de passe/environnement/rôle de JDEdwards EnterpriseOne, de la session EnterpriseOne ou d’un jeton EnterpriseOne.

données d’authentification debase de données

Nom d’utilisateur/mot de passe de base de données valides.

données d’authentification duservice de gestion publié

Données relatives à un service de gestion publié servant à déterminer lesenregistrements d’autorisation pertinents. Les services de gestion publiés + le nom dela méthode, les services de gestion publiés ou *TOUS les enregistrements.

données d’authentificationEnterpriseOne

Code d’utilisateur, mot de passe, environnement et rôle servant à valider un utilisateurdu système EnterpriseOne.

données de corrélation Données utilisées pour relier les réponses HTTP aux demandes qui sont composéesd’un nom de service de gestion et d’une méthode.

données détaillées Données associées à chaque ligne des transactions du système (par exemple, les lignesrelatives aux postes de facturation de pièces justificatives et aux commandes clients).

données d’en-tête Données qui figurent au début d’un fichier ou d’un écran. Ces données sont utiliséespour désigner ou fournir les données de contrôle du groupe d’enregistrements qui suit.

données d’identification del’utilisateur

Code d’utilisateur, rôle ou *public.

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Page 47: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

données supplémentaires Tout type de données qui ne sont pas gérées dans un fichier principal. Les donnéessupplémentaires concernent les employés, les postulants, les demandes d’ouverture deposte et les emplois (comme les compétences professionnelles, les diplômes et leslangues parlées). Vous pouvez effectuer le suivi de tous les types de données dontvotre organisation a besoin.

Par exemple, en plus des données des fichiers principaux standard (Répertoired’adresses, Clients et Fournisseurs), vous pouvez gérer d’autres données dans desbases de données génériques distinctes. Ces bases permettent une entrée et une miseà jour standard des données supplémentaires dans tout le système JD EdwardsEnterpriseOne.

écart Dans l’application Gestion des actifs immobilisés, écart entre les produits générés parune pièce d’équipement et les coûts pouvant y être imputés.

Dans les applications Suivi analytique des projets et Gestion de la production, écartentre deux méthodes de valorisation d’un produit donné (par exemple, la différenceentre les coûts figés standard et les coûts actuels constitue un écart technique). Lescoûts figés standard proviennent du fichier Composantes de coût et les coûts actuelssont calculés à l’aide des taux actuels de la nomenclature, de la gamme et des coûtsindirects.

échange de données informatisé(EDI)

Modèle d’interopérabilité permettant un échange électronique entre ordinateurs dedonnées relatives à des transactions commerciales entre le système JD EdwardsEnterpriseOne et des systèmes de tierce partie. Les entreprises qui utilisent l’EDIdoivent posséder un logiciel permettant de convertir les données du format standardEDI au format de leurs systèmes informatiques.

emplacement du progiciel Emplacement dans la structure de répertoires du progiciel et des objetsreproduits associés. Il s’agit généralement du chemin suivant : \\serveur dedéploiement\version\chemin d’accès\progiciel\nom du progiciel. Les sous-répertoiresde ce chemin d’accès indiquent le futur emplacement des objets reproduits duprogiciel. Cela désigne également l’emplacement de création ou de stockage duprogiciel.

enregistrement de code souplede serviceWeb

Document XML contenant des valeurs qui sont utilisées pour configurer un serveurmandataire de serviceWeb. Ce document repère le point d’extrémité et peut incluredes données de sécurité.

enregistrements d’autorisationen double de services de gestionpubliés

Deux enregistrements d’autorisation de services de gestion publiés comportant lesmêmes données d’identification d’utilisateur et les mêmes données d’identification deservices de gestion publiés.

Enterprise Service Bus (ESB) Produits ou technologies d’infrastructure d’intergiciel fondés sur des normes deservices Web qui activent une architecture de service utilisant une structure demessagerie gérée par événements et basée sur XML.

environnement dedéveloppement de servicesde gestion

Structure dont un développeur d’intégration a besoin pour développer et gérer desservices de gestion.

environnement de production Environnement dans lequel les utilisateurs exploitent le logiciel JD EdwardsEnterpriseOne.

environnement initial Environnement JD Edwards EnterpriseOne utilisé pour tester des objets non modifiésà l’aide de données de démonstration ou destiné à des cours de formation. Vous devezdisposer de cet environnement pour comparer les objets initiaux qui sont modifiés.

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Page 48: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

espace de travail JDeveloper Artéfact que JDeveloper utilise pour organiser des fichiers de projet. Il peut contenirun ou plusieurs fichiers de projet.

événement déclencheur Événement spécifique du flux des travaux qui nécessite une action spéciale ou dont lesconséquences ou les actions résultantes sont définies.

événement en temps réel Message déclenché par la logique d’application EnterpriseOne aux fins deconsommation par des systèmes externes.

événement XAPI Service qui utilise des appels de système pour saisir les transactions au fur et à mesurequ’elles sont effectuées. Il avise ensuite les logiciels de tierce partie, les utilisateurset d’autres systèmes JD Edwards EnterpriseOne qui l’ont demandé dans le cas decertaines transactions.

événement Z Service qui utilise une fonctionnalité de fichier d’interface pour saisir les transactionset aviser les logiciels de tierce partie, les utilisateurs et d’autres systèmes JD EdwardsEnterpriseOne qui l’ont demandé dans le cas de certaines transactions.

extension EnterpriseOne Composante JDeveloper (module d’extension) propre à EnterpriseOne. Un assistantJDeveloper est un exemple d’extension.

famille de planification Moyen de regrouper les produits finis dont les similitudes de conception et defabrication facilitent la planification groupée.

fichier Abonnés Fichier F98DRSUB, enregistré sur le serveur de publication avec le fichierF98DRPUB, qui désigne toutes les machines abonnées à chaque fichier publié.

fichier de configuration Paramètres configurables figurant dans un fichier texte et qui sont utilisés par unprogramme de création servant à générer des scripts ANT. ANT est un outil logicielutilisé aux fins d’automatisation des traitements de création. Ces scripts créent desservices de gestion publiés.

fichier d’interface Voir fichier Z.

fichier principal Voir fichier publié.

fichier publié Également appelé fichier principal, il s’agit de la copie centrale à reproduire dans lesautres machines. Résidant sur le serveur de publication, le fichier F98DRPUB désignetous les fichiers publiés ainsi que les serveurs de publication associés dans l’entreprise.

fichiers de configuration deservice de gestion

Fichiers de configuration comprenant notamment interop.ini, JDBj.ini etjdelog.properties.

fichier source de services degestion ou classe de servicede gestion

Type d’artéfact de service de gestion. Fichier texte de type .java enregistré en vued’être compilé par un compilateur Java.

fichier Z Fichier de travail dans lequel des données de tierce partie peuvent être enregistréespuis traitées dans le système JD Edwards EnterpriseOne. Les fichiers Z peuventégalement être utilisés pour extraire des données JD Edwards EnterpriseOne. Ilssont aussi appelés fichiers d’interface.

file d’attente JMS File d’attente du service de messagerie Java servant à la messagerie point à point.

flux des travaux Automatisation complète ou partielle d’un processus de gestion, au cours duquel desdocuments, des données ou des tâches sont transmis d’un participant à un autre poureffectuer une action, selon un ensemble de règles procédurales.

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Page 49: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

fonction de gestion Ensemble donné de règles de gestion et de journaux définis par l’utilisateur etréutilisables qui peuvent être appelés à l’aide de règles d’événement. Les fonctions degestion permettent d’exécuter une transaction ou un sous-ensemble de transactions(vérification du stock, émission de bons de travail, etc.). Ces fonctions contiennentégalement les interfaces de programmation d’applications (API), ce qui permet de lesappeler à partir d’un écran, d’un déclencheur de base de données ou d’une applicationde tierce partie. Elles peuvent être combinées à d’autres fonctions de gestion, écrans,règles d’événement et composants pour former une application. Les fonctionsde gestion peuvent être créées à l’aide de règles d’événement ou de langages detroisième génération tels que C. La vérification du crédit et la disponibilité des articlesconstituent des exemples de fonctions de gestion.

fonction de gestion principale(MBF)

Fichier principal interactif servant d’emplacement central pour l’ajout, la modificationet la mise à jour des données d’une base. Les fonctions de gestion principalestransmettent les données entre les écrans de saisie et les fichiers appropriés. Cesfonctions fournissent un ensemble commun de fonctions qui contient toutes lesrègles par défaut et les règles de validation nécessaires aux programmes associés.Les fonctions de gestion principales contiennent une logique permettant d’assurerl’intégrité des données ajoutées, mises à jour et supprimées dans les bases de données.

fusion de la liste des versions Traitement préservant toute spécification de version autre que XJDE et ZJDE pourles objets corrects dans la nouvelle version ainsi que leurs données relatives auxoptions de traitement.

fusion des fichiers de contrôle Traitement intégrant les modifications des fichiers de contrôle apportées par le clientaux données qui accompagnent la nouvelle version.

fusion des objets centraux Traitement intégrant aux objets de la nouvelle version les modifications apportées parle client aux objets d’une version courante.

fusion des personnalisations del’utilisateur

Ajout de nouveaux enregistrements au fichier Personnalisations de l’utilisateur.

fusion des spécifications Traitement composé de trois fusions : gestionnaire des bibliothèques d’objets, liste desversions et objets centraux. Les fusions intègrent les modifications apportées par unclient aux données d’une nouvelle version.

fusion du gestionnaire desbibliothèques d’objets

Traitement intégrant aux objets de la nouvelle version les modifications apportées augestionnaire des bibliothèques d’objets d’une version précédente.

gestion de l’accès aux fichiers(TAM)

Composant du système JD Edwards EnterpriseOne qui traite l’enregistrementet l’extraction des données définies par l’utilisateur. Ce composant enregistreles données suivantes : définitions du dictionnaire de données, spécificationsd’applications et d’états, règles d’événement, définitions de fichiers, données relativesaux paramètres d’entrée et aux bibliothèques de fonctions de gestion, et définitionsdes structures de données pour l’exécution d’applications, d’états et de fonctionsde gestion.

gestionnaire des bibliothèquesd’objets

Dépôt de données de toutes les versions, applications et fonctions de gestionréutilisables pour la création d’applications. Il offre aux développeurs des fonctionsde retrait et d’enregistrement en plus de contrôler la création, la modification etl’utilisation des objets JD Edwards EnterpriseOne. Le gestionnaire prend en chargeplusieurs environnements (de production et de développement, par exemple) et facilitele déplacement des objets d’un environnement à l’autre.

gestionnaire des configurationsd’objets (GCO)

Courtier de demande d’objets et centre de contrôle de l’environnement d’exécution.Le gestionnaire effectue le suivi des emplacements d’exécution des fonctions de

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Glossaire

gestion, des données et des applications de traitement par lots. Lorsqu’un de ces objetsest appelé, le gestionnaire dirige l’accès à cet objet en fonction des valeurs par défaut etde remplacement définies pour un environnement et un utilisateur donnés.

graphique Tableau de données qui est affiché dans les écrans du logiciel.

groupe de services de gestion despropriétés de service de gestion

Classification des propriétés de service de gestion au niveau du service de gestion. Ils’agit généralement d’un nom de service de gestion. Un niveau de service de gestioncontient un ou plusieurs groupes de propriétés de service de gestion. Chaque groupe depropriétés de service de gestion peut ne contenir aucun enregistrement de propriété deservice de gestion ou en contenir plusieurs.

information utile du servicede gestion

Objet transmis d’un serveur d’entreprise à un serveur de services de gestion.Lorsqu’elle est transmise au serveur de services de gestion, l’information utile duservice de gestion contient les données du service de gestion. Lorsqu’elle est transmiseau serveur Enterprise, l’information utile du service de gestion contient les résultats duservice de gestion. Dans le cas d’avis, l’information utile du service de gestion qui estretournée contient l’accusé de réception.

ingénieur de création Acteur responsable de créer, de maîtriser et d’intégrer des artéfacts. Certainsingénieurs de création sont responsables de créer des artéfacts d’application etd’autres, des artéfacts de base.

installation Entité au sein d’une entreprise pour laquelle vous souhaitez effectuer le suivi des coûts.Il peut s’agir d’un entrepôt, d’un travail, d’un projet, d’un centre de charge ou d’unmagasin/usine. Les installations sont parfois appelées «centre de coûts».

instance de serveurd’applications intégrée

Instance OC4J lancée et exécutée entièrement dans JDeveloper.

instancier Terme Java signifiant «créer». Lorsqu’une classe est instanciée, une nouvelle instanceest créée.

intergiciel de base de donnéesJDEBASE

Intergiciel de base de données propre à JD Edwards EnterpriseOne offrant desinterfaces API indépendantes de la plate-forme ainsi qu’un accès client/serveur.

jargon Autre description d’article de dictionnaire de données qui est affichée selon le codede produit de l’objet.

JDBNET Pilote de bases de données permettant à des serveurs hétérogènes d’accédermutuellement à leurs données.

jde.ini Fichier JD Edwards EnterpriseOne (ou membre pour iSeries) fournissant lesparamètres d’exécution nécessaires à l’initialisation du système. Des versionsspécifiques du fichier ou du membre doivent résider dans chaque machine qui exécutele système JD Edwards EnterpriseOne, y compris les postes de travail et les serveurs.

JDEIPC Outils de programmation de la communication permettant au code de serveur deréguler l’accès aux mêmes données dans plusieurs environnements multitraitements,d’assurer la communication et la coordination entre traitements et de créer denouveaux traitements.

jde.log Principal fichier journal de diagnostic du système JD Edwards EnterpriseOne. Cefichier figure toujours dans le répertoire racine du lecteur principal et contient desmessages de statut et d’erreur enregistrés au démarrage et à l’exécution du système.

JDENET Intergiciel de communication propre à JD Edwards EnterpriseOne. Il s’agit d’unintergiciel multitraitement homologue, établi en fonction de messages et d’interfaces

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Page 51: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

de connexion. Il traite les communications client/serveur et serveur/serveur pourtoutes les plates-formes prises en charge par JD Edwards EnterpriseOne.

langageWSDL Format XML servant à décrire des services de réseau.

langageWSIL Format XML servant à inspecter un site pour connaître les services offerts et le jeu derègles indiquant comment les données d’inspection doivent être traitées.

liste XML Capacité d’interopérabilité permettant de demander et de recevoir par fragments lesrenseignements de la base de données JD Edwards EnterpriseOne.

meilleures pratiques Directives non obligatoires qui aident le développeur à prendre de meilleures décisionsen matière de conception.

message d’erreur Propriété au niveau de l’écran qui, lorsqu’elle est activée, entraîne l’affichage demessages d’erreur d’application dans l’écran.

messagerie Emplacement central d’envoi et de réception de tous les messages du systèmeJD Edwards EnterpriseOne (générés par le système et l’utilisateur), peu importel’application d’origine ou l’auteur.

messagerie des employés Emplacement central d’envoi et de réception de tous les messages du systèmeJD Edwards EnterpriseOne (générés par le système et l’utilisateur), peu importel’application d’origine ou l’auteur. Chaque utilisateur dispose d’une boîte aux lettrescontenant des messages de flux des travaux ou autres, notamment des messagesd’action.

méthode de classement desservices de gestion

Méthode qui accède aux ressources fournies par la structure de services de gestion.

méthode de traitement destransactions

Méthode liée à la gestion d’une limite de transactions de validation manuelles (parexemple, lancement, validation, retour en arrière et annulation).

méthode exposée ou objetde valeur

Fichiers sources de service de gestion publié ou parties de fichiers sources de servicede gestion publié qui font partie de l’interface publiée. Ces éléments font partie ducontrat avec le client.

méthode interne ou objet devaleur

Fichiers sources de service de gestion ou parties de fichiers sources de service degestion qui ne font pas partie de l’interface publiée. Il peut s’agir de méthodes privéesou protégées ou d’objets de valeurs non utilisées dans des méthodes publiées.

méthodesd’accesseurs/contrôleurs

Méthodes Java pour extraire et définir les éléments d’un objet de valeur ou d’unautre fichier source.

mise en œuvre SEI Classe Java qui implémente les méthodes déclarées dans une SEI (Service EndpointInterface).

mode d’ajout État d’un écran permettant aux utilisateurs de saisir des données.

mode différé Mode de traitement permettant aux utilisateurs qui sont déconnectés d’un serveur desaisir des transactions, puis de se connecter ultérieurement afin de les charger.

mode d’édition État d’un écran permettant aux utilisateurs de modifier des données.

mode final Mode de traitement des états d’un programme qui met à jour et crée desenregistrements de données.

modèle de code souple deserviceWeb

Document XML qui fournit la structure d’un enregistrement personnalisable.

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Page 52: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

modèle d’exercice Calendrier qui indique la date de début de l’exercice et la date de fin de chaque périodede cet exercice pour la comptabilité standard et celle qui s’étale sur 52 périodes.

modèle d’interopérabilité Méthode utilisée par les systèmes de tierce partie pour se connecter ou accéder ausystème JD Edwards EnterpriseOne.

modèle d’objet de valeur deservice de gestion

Représentation structurale d’un objet de valeur de service de gestion utilisé dans unefonction de gestion C.

modèles Solutions renouvelables générales à un problème fréquent en conception de logiciels.En matière de développement de services de gestion, l’importance est mise sur lesrelations et les interactions entre les objets. En matière d’orchestration, l’importanceest mise sur les modèles d’intégration (par exemple, demande/réponse synchrone etasynchrone, publication, avertissement et réception/réponse).

ne pas traduire Type de source de données devant se trouver dans iSeries en raison des restrictionsBLOB.

nota fiscal Au Brésil, document juridique devant accompagner toutes les transactionscommerciales à des fins fiscales et devant contenir les données requises par lerèglement fiscal.

nota fiscal factura Au Brésil, nota fiscal comportant des données relatives à la facture.

Voir aussi nota fiscal.

objet Call JDE Interface API utilisée par les fonctions de gestion pour appeler d’autres fonctionsde gestion.

objet de stockage des médias Fichiers utilisant une des conventions d’appellation suivantes qui ne sont pasorganisées dans un des formats de fichier standard : Gxxx, xxxGT ou GTxxx.

objet de valeur Type précis de fichier source contenant des données d’entrée ou de sortie, comme unestructure de données transmettant des données. Les objets de valeurs peuvent êtreexposés (utilisés dans un service de gestion publié) ou internes et être constitués dedonnées d’entrée ou de sortie. Ils sont formés d’éléments simples et complexes et desaccessoires de ces éléments.

objet EnterpriseOne Partie de code réutilisable permettant de créer des applications. Voici des exemplesde types d’objet : fichiers, écrans, fonctions de gestion, articles du dictionnaire dedonnées, traitements par lots, vues logiques, règles d’événement, versions, structuresde données et objets médias.

objet EnterpriseOne de servicede gestion

Collection d’artéfacts gérée par les outils EnterpriseOne LCM. Nommé et représentédans les outils EnterpriseOne LCM de façon similaire aux objets EnterpriseOne telsque les fichiers, les vues, les écrans, etc.

Open Data Access (ODA) Modèle d’interopérabilité permettant d’utiliser des instructions SQL pour extraire desdonnées du système JD Edwards EnterpriseOne pour les résumer et produire des états.

option de traitement Structure de données permettant aux utilisateurs de définir les paramètres quiréglementent l’exécution d’un programme de traitement par lots ou d’un état. Vouspouvez entre autres utiliser les options de traitement pour préciser les valeurs pardéfaut propres à certains champs, déterminer comment les données sont affichées ouimprimées, préciser les fourchettes de dates et fournir les valeurs qui réglemententl’exécution du programme.

outil de développement deservices de gestion

Aussi connu sous le nom de JDeveloper.

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Glossaire

outil de gestion des propriétés deservice de gestion

Application EnterpriseOne destinée aux développeurs et aux administrateurs pourgérer les enregistrements de propriétés de service de gestion.

Output Stream Access (OSA) Modèle d’interopérabilité permettant de paramétrer une interface pour le transfert dedonnées à partir du système JD Edwards EnterpriseOne vers un autre progiciel, tel queMicrosoft Excel, aux fins de traitement.

personnalisation desécrans/états

Autre description d’un article du dictionnaire de données qui est affichée dans un écranou un état du système JD Edwards EnterpriseOne.

point d’intégration (PI) Logique de gestion des mises en œuvre précédentes du système EnterpriseOne quiexpose une interface au niveau du document. Ce type de logique s’appelait alors XBP.Dans la version 8.11 du système EnterpriseOne, les PI sont implémentés dans lapasserelle de services Web de technologie webMethods.

profil de préférences Valeurs par défaut de champs spécifiques pour une hiérarchie définie par l’utilisateurcomposée d’articles, de groupes d’articles, de clients et de groupes de clients.

progiciel Les objets JD Edwards EnterpriseOne sont installés sur des postes de travail dansdes progiciels à partir du serveur de déploiement. Un progiciel est comparable àune nomenclature ou à un kit désignant les objets nécessaires au poste de travail etindiquant au programme d’installation l’emplacement de ces objets sur le serveur dedéploiement. Il s’agit d’un instantané à un moment donné des objets centraux sur leserveur de déploiement.

programme de création Fichier exécutable WIN32 qui lit des fichiers de configuration et génère un script ANTaux fins de création de services de gestion publiés.

programme de surveillancetransactionnel

Programme contrôlant le transfert de données entre les terminaux locaux et à distanceet leurs applications d’origine. Il protège également l’intégrité des données dansun environnement réparti et peut inclure des programmes validant les données etformatant les écrans des terminaux.

projet Conteneur virtuel des objets en cours de développement dans le Gestionnaire d’objets.

projet JDeveloper Artéfact que JDeveloper utilise pour classer et compiler des fichiers sources.

propriété du service de gestion Paires de données de valeurs clés utilisées pour contrôler le comportement ou lafonctionnalité des services de gestion.

protégé par défaut Modèle de sécurité supposant qu’un utilisateur n’est pas autorisé à exécuter un objet àmoins qu’un enregistrement précis contienne cette autorisation.

protocole SSL Protocole de sécurité qui assure la confidentialité des communications. Le protocoleSSL permet aux applications client et serveur de communiquer de façon à éviterl’écoute clandestine, l’altération et la falsification de messages.

QBE Abréviation de query by example (ligne de query). Dans le système JD EdwardsEnterpriseOne, la ligne d’interrogation est la ligne supérieure d’une zone-détailsqui est utilisée pour filtrer les données.

rafraîchissement Fonction utilisée pour modifier le logiciel JD Edwards EnterpriseOne ou un de sessous-ensembles, tels qu’un fichier ou des données de gestion, pour qu’il fonctionneà un nouveau niveau de version ou de modification temporaire de programme, parexemple B73.2 ou B73.2.1.

rapprochement à deuxdocuments

Dans les applications Gestion des achats et Gestion de la sous-traitance, traitementde comparaison des lignes d’une commande fournisseur aux factures pour créer despièces justificatives. Les données de la réception ne sont pas enregistrées.

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Page 54: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

rapprochement à troisdocuments

Dans les applications Gestion des achats et Gestion de la sous-traitance, traitementde comparaison des données de la réception aux factures fournisseurs pour créer despièces justificatives. Au moment d’un tel rapprochement, les enregistrements deréception sont utilisés pour la création de pièces.

références croisées de servicede gestion

Paire de données de base et de valeur utilisée pendant l’orchestration. Se rapportecollectivement à la référence croisée du code et de la clé dans le systèmeWSG/XPI.

règle de validation Méthode utilisée pour formater et valider les données entrées par un utilisateur parrapport à une règle ou un ensemble de règles prédéfinis.

règle d’événement Instruction logique ordonnant au système d’effectuer au moins une opération relative àune activité qui peut se produire dans une application spécifique, telle que l’entréedans un écran ou la sortie d’un champ.

règle d’événement de fichier Logique associée aux déclencheurs de la base de données qui sont activés chaquefois que l’action désignée est exécutée dans le fichier. Même si le système permetl’association de règles d’événement à des événements d’application, cette fonction estpropre à l’application. Les règles d’événement de fichier fournissent une logique quiest intégrée au fichier.

règle d’événement de fonctionde gestion

Voir règle d’événement nommé (REN).

règle d’événement intégrée Règle d’événement propre à une application ou à un fichier donné. Il peut s’agird’appels d’écran à écran, du masquage d’un champ en fonction de la valeur d’uneoption de traitement ou de l’appel d’une fonction de gestion. La règle d’événementintégrée s’oppose à la règle d’événement de fonction de gestion.

règle d’événement nommé(REN)

Logique de gestion encapsulée et réutilisable qui a été créée à l’aide de règlesd’événement plutôt qu’avec la programmation en langage C. Les règles d’événementnommé sont également appelées règles d’événement de fonction de gestion. Ellespeuvent être réutilisées à plusieurs endroits par différents programmes. Cettemodularité permet la simplification, la réutilisation des codes et l’allégement dutravail.

règles Directives obligatoires qui ne sont pas imposées par les outils mais doivent être suiviespour obtenir les résultats souhaités et respecter les normes précisées.

répertoire de codes de chemin Partie spécifique du système de fichiers dans le client de développementEnterpriseOne dans lequel les artéfacts de développement EnterpriseOne sont stockés.

reproduction à la demande duclient

Une des méthodes de reproduction de données sur des postes de travail. Ces machinessont paramétrées comme abonnés à la reproduction à la demande du poste clientà l’aide des outils de reproduction JD Edwards EnterpriseOne. Ces abonnés neseront prévenus des modifications, des mises à jour et des suppressions que s’ils enfont la demande. Cette demande se présente sous la forme d’un message envoyé,généralement au démarrage, de l’abonné au serveur stockant le fichier F98DRPCN.

ressource EnterpriseOne Fichier, métadonnées, fonction de gestion, données du dictionnaire de données ouautres données réservées aux utilisateurs autorisés.

retraitement en devise Traitement de conversion des montants d’une devise à une autre, généralement auxfins d’élaboration d’états. Vous pouvez entre autres utiliser ce traitement lorsqu’ungrand nombre de devises doivent être retraitées en une seule devise pour l’élaborationd’états consolidés.

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Page 55: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

sélection Fonctions auxquelles vous pouvez accéder à partir d’un menu JD EdwardsEnterpriseOne. Pour effectuer une sélection, entrez le numéro associé dans le champSélection, puis appuyez sur Entrée.

sérialiser Traitement consistant à convertir un objet ou des données dans un format destiné austockage ou à la transmission à un lien de connexion de réseau, avec la capacité dereconstruire les données ou les objets initiaux au besoin.

serveur d’applications Logiciel fournissant la logique de gestion d’un programme de l’application dans unenvironnement réparti. Il peut s’agir des serveurs d’application Oracle (OAS) ouWebSphere (WAS).

serveur d’applications Java Serveur par composant résidant au niveau médian d’une architecture centrée serveur.Ce serveur fournit des services d’intergiciel pour la gestion de la sécurité et de l’étatainsi que l’accès aux données et la persistance.

serveur d’applicationsWeb Serveur Web permettant aux applications Web d’échanger des données avec lessystèmes et bases de données dorsaux utilisés pour les transactions d’affairesélectroniques.

serveur BPEL/ESB au niveaumédian

Serveur BPEL/ESB qui est installé dans un serveur d’applications.

serveur BPEL/ESB autonomelocal

Serveur BPEL/ESB autonome qui n’est pas installé dans un serveur d’applications.

serveur central Serveur désigné pour contenir la version initialement installée du logiciel (objetscentraux) pour le déploiement dans les ordinateurs clients. Dans le cas d’uneinstallation standard du système JD Edwards EnterpriseOne, le logiciel est chargé surune machine, le serveur central. Ensuite, des copies du logiciel sont téléchargées surdivers postes de travail associés au serveur. De cette façon, si le logiciel est modifiéou corrompu sur les postes de travail, un jeu d’objets initial (objets centraux) esttoujours disponible sur le serveur central.

serveur de bases de données Serveur sur un réseau local hébergeant et mettant à jour une base de données etexécutant des recherches pour les ordinateurs clients.

serveur de déploiement Serveur utilisé pour installer, mettre à jour et distribuer un logiciel à un ou plusieursserveurs d’entreprise et postes de travail clients.

serveur de fichiers Serveur enregistrant les fichiers auxquels les autres ordinateurs du réseau doiventaccéder. Contrairement aux serveurs de disques, qui sont visibles pour l’utilisateurcomme des lecteurs de disques à distance, les serveurs de fichiers sont despériphériques complexes qui non seulement enregistrent les fichiers mais les gèrentet préservent l’ordre au fur et à mesure que les utilisateurs ouvrent des fichiers et yapportent des modifications.

serveur de fichiers qualitéproduction

Serveur de fichiers pour lequel l’assurance de la qualité a été testée et qui a étécommercialisé. Il accompagne généralement les services d’assistance destinésà l’utilisateur.

serveur de groupe de travail Serveur contenant généralement des sous-ensembles de données reproduites depuis leserveur principal du réseau. Ce serveur n’exécute pas d’application ou de traitementpar lots.

serveur de messagerie Serveur traitant les messages qui sont envoyés à d’autres programmes à l’aide d’uneinterface API. Les serveurs de messagerie ont généralement recours à un intergicielpour exécuter leurs fonctions.

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Page 56: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

serveur de publication Serveur responsable du fichier publié. Le fichier F98DRPUB désigne tous les fichierspubliés ainsi que les serveurs de publication associés dans l’entreprise.

serveur de reproduction Serveur responsable de la reproduction des objets centraux sur les machines clientes.

serveur de services de gestion Machine sur laquelle se trouvent les services de gestion. Les services de gestion sontexécutés sur une instance de serveur d’applications.

serveur d’entreprise Serveur contenant la base de données et la logique du système JD EdwardsEnterpriseOne.

serveur FTP Serveur répondant aux demandes de fichiers au moyen du protocole de transfertde fichiers.

serveur d’impression Interface entre une imprimante et un réseau permettant aux postes clients du réseaude se connecter à l’imprimante et d’y transmettre leurs travaux d’impression. Lesserveurs d’impression peuvent être des ordinateurs, des périphériques séparés oumême du matériel qui réside dans l’imprimante elle-même.

serveur d’intégration Serveur facilitant l’interaction entre différents systèmes d’exploitation et applicationsdes systèmes informatiques en réseaux externes et internes.

serveur logique Serveur dans un réseau réparti fournissant la logique de gestion d’un programmede l’application. Dans le cas d’une configuration courante, les objets initiaux sontreproduits sur un serveur logique à partir du serveur central. Le serveur logique, utiliséconjointement avec les postes de travail, effectue le traitement nécessaire lorsque lelogiciel JD Edwards EnterpriseOne est en cours d’exécution.

serveur mandataire Serveur agissant comme barrière entre un poste de travail et Internet pour assurerla sécurité, le contrôle administratif et le service de mise en mémoire cache del’entreprise.

serveur par lots Serveur désigné pour exécuter les demandes de traitement par lots. Les serveurspar lots ne contiennent généralement pas de base de données et n’exécutent pasd’applications interactives.

serveur terminal Serveur permettant aux terminaux, microordinateurs et autres périphériques de seconnecter à un ordinateur réseau ou hôte ou aux périphériques associés à l’ordinateurdonné.

serveurWeb Serveur utilisant le jeu de protocoles TCP/IP pour transmettre les données demandéespar un navigateur. Il peut également effectuer les mêmes tâches qu’un serveur régulier,telles que l’hébergement d’applications ou de données. Tous les ordinateurs peuventêtre convertis en serveur Web; il suffit d’installer le logiciel du serveur et de connecterla machine à Internet.

service de gestion Logique de gestion EnterpriseOne écrite en langage Java. Un service de gestion estune collection formée d’un ou de plusieurs artéfacts. À moins d’indication contraire,un service de gestion met en jeu à la fois un service de gestion publié et un servicede gestion.

service de gestion publié Logique et interface au niveau du service EnterpriseOne. Classification d’un servicede gestion publié indiquant l’intention d’être exposé à des systèmes externes (detierce partie).

service de traitement d’écoute Traitement d’écoute pour les messages XML sur HTTP.

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Page 57: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

service de transactions XML(XTS)

Service qui convertit un document XML dont le format est différent de celui dusystème JD Edwards EnterpriseOne en document XML qui peut être traité par cesystème. Il rétablit ensuite le format XML de l’auteur de la demande pour la réponse.

Service Endpoint Interface(SEI)

Interface Java qui déclare les méthodes qu’un client peut appeler dans le service.

service IServer Service de serveur Internet qui réside sur le serveur Web et accélère la livraison desfichiers de classe Java de la base de données au poste client.

services d’utilitaire de référencecroisée

Services d’utilitaire installés dans un environnement BPEL/ESB qui accèdent auxdonnées de référence croisée EnterpriseOne.

serviceWeb sur les services degestion publié

Composantes de services de gestion publiés, fournies sous le nom de Service WebJ2EE (notamment, un fichier J2EE EAR contenant des classes de services de gestion,une structure de base de service de gestion, des fichiers de configuration et desartéfacts de serviceWeb).

serviceWeb sur les services degestion publiés de production

ServiceWeb sur les services de gestion publiés déployé sur un serveur d’applicationsde production.

service XML Capacité d’interopérabilité permettant de demander des événements à une applicationJD Edwards EnterpriseOne et de recevoir une réponse d’une autre application JDEdwards EnterpriseOne.

SOA Abréviation de Service Oriented Architecture (architecture axée sur le service).

spécification Description complète d’un objet JD Edwards EnterpriseOne. Chaque objet possède sapropre spécification ou son propre nom, qui est utilisé pour créer des applications.

structure de base Structure qui doit être accessible pour que les services de gestion soient exécutés aumoment de l’exécution. Ils comprennent notamment Java Connector et JDBj.

structure de base du serveurmandataire de serviceWeb

Classes de base d’un serveur mandataire de serviceWeb qui doivent être comprisesdans un artéfact de serveur de service de gestion pour la consommation d’un serviceWeb sur le serveur d’applications WebSphere (WAS).

structure de service de gestion Portions de la structure de base du service de gestion nécessaires au développementdu service de gestion.

superclasse Notion héritée du langage Java selon laquelle une classe est une instance de quelquechose, mais est également plus spécifique. Par exemple, arbre peut être la superclassede chêne et d’orme.

tarification double Traitement d’établissement des prix pour les biens et les services dans deux monnaies.

taux ponctuel Taux de change entré pour une transaction. Ce taux remplace le taux de changeparamétré entre deux monnaies.

test de vérification Traitement complétant les procédures internes de mise en équilibre d’une société parla localisation et la consignation des problèmes d’équilibre et des incohérences dedonnées.

traitement à trois niveaux Tâche comprenant la saisie, la vérification et l’approbation, puis la comptabilisationdes lots de transactions dans le système JD Edwards EnterpriseOne.

traitement commun Traitement dans le système Gestion de la relation fournisseur dont les clés sontutilisées dans un autre traitement.

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Page 58: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

traitement de référence Traitement exécuté à une date précise pour résumer les transactions effectuées àce jour. Par exemple, vous pouvez exécuter divers états à une date précise pourdéterminer les soldes et les montants des comptes, des unités, etc.

traitement de simulation Traitement permettant de consulter les montants en devise comme s’ils avaientété saisis dans une devise différente de la monnaie nationale et de la monnaie detransaction.

traitement EnterpriseOne Traitement du logiciel permettant aux postes clients et aux serveurs JD EdwardsEnterpriseOne de gérer les demandes de traitement et d’exécuter les transactions. Lespostes clients exécutent un traitement et les serveurs peuvent gérer plusieurs instancesd’un même traitement. Les traitements du système JD Edwards EnterpriseOne peuventégalement être dédiés à des tâches spécifiques (par exemple, les messages du flux destravaux et la reproduction de données) pour garantir que les traitements critiques neseront pas mis en attente si le serveur est encombré.

traitement par lots Transfert d’enregistrements d’un système de tierce partie vers le système JD EdwardsEnterpriseOne.

Dans le système Gestion financière, le traitement par lots permet de transférer lesfactures et les pièces justificatives qui sont entrées dans un système différent deJD Edwards EnterpriseOne vers les applications Comptabilité fournisseurs etComptabilité clients, respectivement. Il est également possible de transférer lesdonnées du répertoire d’adresses, y compris les enregistrements clients et fournisseurs,dans le système JD Edwards EnterpriseOne.

traitement par lots immédiat Méthode de transaction permettant à l’application cliente de travailler sur un postede travail client, puis de soumettre le travail en une fois à une application sur serveuraux fins de traitement supplémentaire. Puisque le traitement par lots est exécuté sur leserveur, l’application cliente peut continuer à effectuer d’autres tâches.

Voir aussi Direct Connect et mode différé.

transaction d’auto-validation Connexion de base de données grâce à laquelle toutes les opérations de base dedonnées sont immédiatement enregistrées dans la base de données.

transaction de validationmanuelle

Connexion de base de données dans laquelle toutes les opérations de base de donnéesreportent l’enregistrement jusqu’à ce qu’un appel de validation ait lieu.

transaction explicite Transaction utilisée par un développeur de service de gestion pour contrôler de façonexplicite le type (automatique ou manuel) et l’étendue des limites de la transactiondans un service de gestion.

transaction XML Capacité d’interopérabilité permettant d’utiliser un type de transaction prédéfini pourtransmettre ou demander des données au système JD Edwards EnterpriseOne. Lestransactions XML utilisent la fonctionnalité de fichier d’interface.

transaction Z Données de tierce partie formatées de façon appropriée dans les fichiers d’interfacepour mettre à jour la base de données JD Edwards EnterpriseOne.

transmission XML Capacité d’interopérabilité fournissant un seul point d’entrée pour tous les documentsXML qui sont transmis au système JD Edwards EnterpriseOne aux fins de traitement.

utilitaire d’analyse Programme permettant aux utilisateurs d’accéder à un groupe de programmes reliés àpartir d’un seul point d’entrée. Généralement, les programmes auxquels vous accédezà partir d’un utilitaire d’analyse servent à exécuter un processus de gestion de grandeenvergure. L’utilitaire d’analyse du cycle de la paie (P07210), par exemple, permetd’accéder à tous les programmes utilisés par le système pour traiter la paie, imprimer

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Page 59: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

les données relatives aux paiements, créer des états de paie, créer des écritures dejournal et mettre à jour l’historique de la paie. Le système JD Edwards EnterpriseOnecomprend des utilitaires d’analyse pour la gestion du service client (P90CD020),l’ordonnancement de la chaîne de production (P3153), la planification (P13700), lavérification (P09E115), le cycle de la paie, etc.

utilitaire d’analyse deconversion de fichiers

Modèle d’interopérabilité permettant un échange de données entre le système JDEdwards EnterpriseOne et les systèmes de tierce partie à l’aide de fichiers de tiercepartie.

utilitaire d’analyse de fusion desfichiers de spécifications

Application qui, au moment de l’installation, exécute des applications de traitementpar lots qui mettent à jour les fichiers de spécifications.

utilitaire d’analyse desemplacements

Application qui, au cours de l’installation, copie tous les emplacements définis dans leplan d’installation du fichier Emplacements de la source de données de planificationvers celle du système.

utilitaire d’analyse desenvironnements

Application qui, au moment de l’installation, copie les données de l’environnementet les fichiers du Gestionnaire des configurations d’objets (OCM) pour chaqueenvironnement de la source de données de planification vers la source de données dunuméro de version du système. Elle met également à jour l’enregistrement détaillé duplan d’environnement pour indiquer la fin du traitement.

utilitaire d’analyse des fichiersde contrôle

Application qui, au cours de l’installation, exécute les applications de traitementpar lots pour les fusions prévues, mettant ainsi à jour les fichiers du dictionnaire dedonnées, des codes définis par l’utilisateur, des menus et des remplacements.

utilitaire d’analyse desprogiciels

Application qui, au moment de l’installation, transfère les fichiers de données desprogiciels de la source de données de planification vers celle du numéro de version dusystème. Elle met également à jour l’enregistrement détaillé du plan des progicielspour indiquer la fin du traitement.

utilitaire d’analyse des serveurs Application qui, au moment de l’installation, copie les fichiers de configuration duserveur de la source de données de planification vers celle du numéro de version dusystème. L’application met également à jour l’enregistrement détaillé du plan deserveurs pour indiquer la fin du traitement.

utilitaire d’analyse des sourcesde données

Application qui, au cours de l’installation, copie toutes les sources de données duplan d’installation dans la source de données du numéro de version du système. Lesdonnées copiées proviennent du planificateur, plus précisément des fichiers Sourcesde données et Dimensionnement de fichiers et de sources de données. L’utilitairemet également à jour l’enregistrement détaillé du plan des sources de données pourindiquer la fin du traitement.

utilitaire d’analyseMailMerge Application permettant de fusionner les documents Word (version 6.0 ou ultérieure)aux enregistrements du système JD Edwards EnterpriseOne pour imprimerautomatiquement les documents commerciaux. Cet utilitaire peut servir à imprimerdes documents tels que les lettres types relatives aux certificats de travail.

utilitaire de modèle d’objet devaleur de service de gestion

Utilitaire servant à créer un modèle d’objet de valeur de service de gestion à partir d’unobjet de valeur de service de gestion.

utilitaires de propriétés deservice de gestion

Utilitaire API utilisé en développement de services de gestion pour accéder auxdonnées des propriétés de service de gestion EnterpriseOne.

utilitaires de références croiséesde service de gestion

Services d’utilitaires installés dans un environnement BPEL/ESB et servant à accéderaux données de références croisées d’orchestration JD Edwards EnterpriseOne.

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Page 60: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Glossaire

valeur de propriété de servicede gestion

Valeur s’appliquant à une propriété de service de gestion.

vue logique Moyen de sélectionner des colonnes spécifiques dans au moins un fichier JD EdwardsEnterpriseOne dont les données sont utilisées par une application ou un état. Une vuelogique ne permet pas de sélectionner des lignes spécifiques et ne contient aucunedonnée physique. Il ne s’agit que d’une zone virtuelle qui permet de manipuler lesdonnées.

wchar_t Type interne de caractère générique utilisé pour l’écriture de programmes portablespour les marchés internationaux.

Windows Terminal Server Serveur à utilisateurs multiples permettant aux terminaux et aux ordinateurs dont laconfiguration est minimale d’afficher les applications Windows même s’ils sontincapables d’en exécuter les logiciels. Tous les traitements clients sont effectués defaçon centralisée dans le serveur et seules les commandes d’affichage, des frappes etde la souris sont transmises par le réseau au terminal client.

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Page 61: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Index

Chiffres/symboles70/TI (validation des codes de taxe) 18

AArgentinevalidation des codes de taxe 17

avertissements xi

BBrésilvalidation des codes de taxe 17

CCanadadonnées sur les comptes bancaires desfournisseurs 23gestion de la paie 23TPS et TVP 23

centres de coûtsconversion de la description 11

centres de coûts, autres descriptions 11Chilidéfinitionvalidation du remboursement de laTVA 20

validation des codes de taxe 17codes de pays de localisation 15Colombietypes de taxe 20validation des codes de taxe 17

communication xiiconversion 11description des centres de coûts 11environnements multilingues 11sous-programmes spécifiques auxpays 12texte des lettres de rappel 11

conversion des centres de coûts 11

Ddocumentationdocumentation connexe viiimises à jour viiitéléchargement viii

documentation connexe viii

documentation supplémentaire viii

Eéléments communs xiienvironnements multilinguesconsidérations en matière deconversion 11

Équateurparamétrage des retenues 19taux et zones de taxe 18taux/zones de taxe 19types de taxe 20validation des codes de taxe 17

étapes préliminaires vii

FF0006D (Centres de coûts – autresdescriptions) 11

Gguidescommande viii

MMexiquevalidation des codes de taxe 17

Nnotions essentielles vii

PP00065 (Conversion des centres decoûts) 11P0092 (Révision du profil d’utilisateur)options de traitement 14paramétrage spécifique aux pays 13

P03B2801 (Gestion du fichier Texte delettre) 11paramétrage du systèmepréférences d’affichage del’utilisateur 13

PeopleCode, règles typographiques xPéroudéfinition

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Page 62: Produits JD Edwards EnterpriseOne

Index

validation du remboursement de laTVA 20

paramétrage des taux et des zones detaxe 18validation des codes de taxe 17

préférences d’affichageinstallation 13

Rrègles typographiques xremarques xirenvois xirepères visuels xirévision des profils d’utilisateurs 14révision du profil d’utilisateuroptions de traitement 14paramétrage spécifique aux pays 13

Ssite Web Customer Connection viiisoumission de commentaires xiisoumission de suggestions xii

Ttéléchargement de documents viiitexte des lettres de rappelconversion 11

types de taxecodes utilisés en Colombie et enÉquateur 20

Vvalidation des codes de taxe 18pays d’Amérique latine 17

Venezuelaparamétrage des taux et des zones detaxe 18validation des codes de taxe 17

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