PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL …¨s verbal... · VU la note de synthèse adressée aux...
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PROCES-VERBAL DE LA SEANCE
DU CONSEIL MUNICIPAL
DU 17 DECEMBRE 2015 SA/MB/LA
Étaient présents : M. BUF Jean-Michel, Mme GUIHOT Nathalie, M. MORMANN Cédrick, Mme
GUIHO Marie-France, M. POINTEAU Jean-Luc, Mme DUBOURG Yolande, M.
CAILLON Philippe, Mme LE BORGNE Véronique, MM. FLIPPOT Jacky,
RICARD Jean-François et CODET Stéphane, Mme CAMELIN Christine, M.
COLIN Arnaud, Mmes COOREVITS Catherine, DENIEL Brigitte, GILLET
Maryline, GUILLAUME Marie-Hélène et GUINEL Marie-Jeanne, M.
MORMANN Nolann, Mme PELÉ LEGOUX Laurence, MM. PLANTARD
Thierry et PLUMELET Jean-Luc, Mme POYER Audrey, M. RICHARDEAU
James et Mme SCHLADT Rita.
Excusés : Mme AUBRY Sylvie (pouvoir à Mme SCHLADT Rita), M. BROUTIN Ludovic
(pouvoir à Mme GUIHOT Nathalie), Mme ORDRONNEAU Séverine (pouvoir à
Mme COOREVITS Catherine) et M. PONTAC Serge (pouvoir à M. Philippe
CAILLON).
Secrétaires de séance : Mmes DENIEL Brigitte et PELÉ LEGOUX Laurence.
M. le Maire ouvre la séance à 20H00.
A. DESIGNATION DES SECRETAIRES DE SEANCE
Après avoir procédé à l’appel, M. le Maire désigne ensuite les deux secrétaires de séance
(Mesdames Laurence PELÉ LEGOUX et Brigitte DENIEL) puis il décline l’ordre du jour
de la séance.
B. APPROBATION DU COMPTE RENDU DE LA SEANCE
DU 26 NOVEMBRE 2015.
Le procès-verbal de cette séance est approuvé à l’unanimité.
C. FINANCES – R-H. – INTERCOMMUNALITE –
ÉCONOMIE :
1. AVANCE SUR TRESORERIE A DIVERSES ASSOCIATIONS
EMPLOYANT DU PERSONNEL :
Rapporteur : Cédrick MORMANN
Comme chaque année, il est proposé au Conseil municipal d’effectuer une avance sur la
subvention relative au financement de la masse salariale des associations employant du
personnel que sont les Amis de BLAIN (Musée) et le C.E.V. (centre de loisirs sans
hébergement). Pour information, la fixation du montant définitif de la subvention
interviendra au Conseil municipal du mois de Février ou de Mars, selon les modalités
définies dans les conventions signées avec ces structures.
Il est proposé de verser, courant Janvier 2016, les mêmes montants d’avance que les
années antérieures.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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DELIBERATION N° 2015/12/01
OBJET : Avance sur trésorerie à diverses associations employant du
personnel
Après avoir évoqué les contraintes de trésorerie de certaines
associations qui emploient du personnel, il est proposé au Conseil
municipal d’allouer une avance forfaitaire de la subvention annuelle à
ces 2 structures.
VU le Code Général des Collectivités Territoriales,
VU la convention pluriannuelle d’objectifs et de moyens passée entre la
Ville de Blain et le C.E.V. le 14 Mars 2015,
VU la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation,
Sur proposition de Monsieur le Maire, le Conseil municipal, après en
avoir délibéré, décide d’octroyer pour 2016 les avances sur subventions
suivantes, à savoir :
7 000 € pour « Les Amis de Blain »,
5 000 € pour le C.E.V.
Le versement interviendra courant Janvier 2016.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
2. AVANCE DE TRESORERIE A L’AMICALE DU PERSONNEL :
Rapporteur : Cédrick MORMANN
L’Amicale du Personnel municipal et communautaire est chargée principalement de
l’organisation du repas de Noël, de sorties et d’activités diverses pour les agents des deux
collectivités. Par ailleurs, l’association verse pour le compte de la Ville des primes à
l’occasion des départs en retraite ou des remises de médailles aux agents.
Ces primes, versées au moment des vœux, sont donc avancées sur les fonds de
l’association, ce qui lui occasionne des problèmes de trésorerie. Elle a perçu à ce titre une
subvention globale de la ville qui s’est élevée à 1 516 € en 2015 (1 136 € au titre du
fonctionnement, et 380 € au titre du remboursement des primes versées).
Il est proposé d’octroyer à l’Amicale du Personnel une avance de 1 270 € sur la subvention
annuelle de 2016, correspondant au montant des primes à verser par l’Amicale début 2016.
DELIBERATION N° 2015/12/02
OBJET : Acompte de subvention pour l’Amicale du Personnel.
Après avoir évoqué les difficultés structurelles de trésorerie de l’Amicale
du Personnel, il est proposé au Conseil municipal d’adopter le principe
de versement d’une avance forfaitaire de la subvention annuelle.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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VU le Code Général des Collectivités Territoriales,
VU la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation,
Sur proposition de Monsieur le Maire, le Conseil municipal, après en
avoir délibéré :
décide d’octroyer à l’Amicale du Personnel une avance de 1 270 € sur
la subvention annuelle de 2016.
Le versement interviendra courant Janvier 2016.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
3. SUBVENTION AU BUDGET AUTONOME DU C.C.A.S. :
Rapporteur : Cédrick MORMANN
Par délibération, et sur demande des services du Trésor Public, le budget annexe du
C.C.A.S. avait été transformé en budget autonome. Réglementairement, ce budget dispose
donc d’une trésorerie propre, distincte de la trésorerie commune aux budgets général,
assainissement et lotissements. Principalement financé par une subvention d’équilibre du
budget général de la Ville dont le montant sera fixé au moment du vote du budget primitif,
le budget du CCAS nécessite le vote d’un acompte sur cette subvention, à verser en début
d’année, pour acquitter les factures.
Il est proposé de verser un acompte de 35 000 € sur la subvention du budget général au
budget du C.C.A.S, comme les années antérieures.
DELIBERATION N° 2015/12/03
OBJET : Acompte de subvention au budget C.C.A.S.
Monsieur le Maire rappelle au Conseil Municipal que le budget du
C.C.A.S. est un budget autonome disposant d’une trésorerie propre.
VU le Code Général des Collectivités Territoriales,
VU la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation,
Compte tenu du défaut structurel de trésorerie de ce budget en début
d’exercice, sur proposition de Monsieur le Maire, le Conseil municipal,
après en avoir délibéré :
décide de verser un acompte de 35 000 € sur la subvention du budget
général au budget du C.C.A.S.
Le versement interviendra courant Janvier 2016.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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4. MISE A DISPOSITION D’UN VEHICULE DE FONCTION :
Rapporteur : Cédrick MORMANN
Un véhicule de fonction peut être attribué par nécessité absolue de service au Directeur
Général des Services d’une Commune de plus de 5 000 habitants. Depuis le 13 Octobre
2013, la loi prévoit que l’organe délibérant peut mettre à disposition des agents un véhicule
lorsque l’exercice de leurs fonctions le justifie, dans les conditions fixées par délibération.
L’organe délibérant de la collectivité territoriale est donc compétent pour fixer les règles
relatives à l’attribution d’un véhicule de fonction. La délibération précise les emplois ou
missions qui permettent l’octroi d’un véhicule, ainsi que les conditions de son utilisation.
Elle définit notamment la possibilité d’avoir un usage privé d’un véhicule de fonction. Elle
peut fixer un périmètre de circulation et éventuellement la possibilité d’y déroger. La
délibération détermine aussi les dépenses liées à l’utilisation et à l’entretien du véhicule
prises en charge par l’employeur (Loi 2013-907 du 11.10.2013 - art 34).
L’utilisation privée d’un véhicule mis à disposition d’un agent de façon permanente
constitue un avantage en nature.
DELIBERATION N° 2015/12/04
OBJET : Attribution de véhicule de fonction pour le Directeur Général
des Services
Un véhicule de fonction peut être attribué par nécessité absolue de
service au Directeur Général des Service d’une Commune de plus de
5000 habitants. Depuis la Loi du 11 Octobre 2013, la loi prévoit que
l’organe délibérant peut mettre à disposition d’un agent un véhicule
lorsque l’exercice de ses fonctions le justifie, dans les conditions fixées
par délibération.
Vu la Loi du 2013-907 du 11 Octobre 2013 relative à la transparence de
la vie publique,
Vu l’avis favorable de la Commission Finances – Ressources Humaines
– Intercommunalité – Économie du 12 Novembre 2015,
VU la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation,
Sur proposition de Monsieur le Maire, le Conseil Municipal, après en
avoir délibéré, décide :
de confirmer l’autorisation donnée au Directeur Général des
Services d’utiliser un véhicule de fonction mis à sa disposition de
façon permanente et exclusive pour son usage professionnel, ainsi que
pour ses déplacements privés,
de définir cette autorisation, sur la durée du détachement de
l’agent dans l’emploi fonctionnel de DGS, soit jusqu’au 04/01/2020.
d’une prise en charge par la collectivité des frais liés à
l’utilisation du véhicule (entretien, carburant, réparations, assurance,
…),
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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de retenir comme calcul de l’avantage en nature valorisé sur le
bulletin de salaire, l’évaluation forfaitaire annuelle, soit 9 % du coût
d’achat TTC (le véhicule ayant moins de 5 ans), plus les frais réels
(sur facture) de carburant utilisé à titre privé,
la prise en compte des kilomètres parcourus par le véhicule à
titre privé calculée de la façon suivante : kilométrage total effectué
par le véhicule moins le kilométrage parcouru à titre professionnel.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
5. MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS :
Rapporteur : Cédrick MORMANN
Certains mouvements de personnels récents, impliquent une modification du tableau des
effectifs pour l’adapter aux recrutements à venir. D’autre part, la charge de travail
croissante d’un agent conduit à faire évoluer son temps d’emploi :
- Service espaces verts : suite au départ d’un agent de maîtrise à temps complet, il est
proposé de lancer un recrutement sur le grade d’adjoint technique à temps non complet 80
% et d’augmenter le temps de travail d’un adjoint technique actuellement à 80 % vers un
temps complet au 01/01/2016.
- Service voirie : suite au départ à la retraite d’un adjoint technique principal de 1ère
classe, il est proposé de lancer un recrutement sur le grade d’adjoint technique à temps
complet au 01/01/2016.
- Service restauration scolaire : suite à la reprise de l’activité du restaurant scolaire, un
salarié de l’association n’a pas souhaité être embauché par la ville. Un recrutement sur le
grade d’adjoint technique à 16,89/35ème a été lancé (candidatures jusqu’au 13/11) pour une
prise de poste au 04/01/2016.
- Pôle ressources : au vu de la charge de travail, il est proposé d’augmenter le temps de
travail d’un adjoint administratif de 2ème classe à temps de complet de 80 % à 100 %, au
01/01/2016. Ce changement de quotité n’a pas d’incidence budgétaire, puisque l’agent
travaille déjà à 100 % avec l’octroi d’heures complémentaires.
DELIBERATION N° 2015/12/05
OBJET : Modification du tableau des effectifs
Monsieur le Maire informe l’assemblée que conformément à l’article 34
de la loi du 26 Janvier 1984, les emplois de chaque collectivité ou
établissement sont créés par l’organe délibérant de la collectivité ou de
l’établissement.
Il appartient donc au Conseil municipal de fixer l’effectif des emplois
nécessaires au fonctionnement des services.
Vu le Code général des collectivités territoriales,
Vu la loi n° 83-634 du 13 Juillet 1983 modifiée, portant droits et
obligations des fonctionnaires,
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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Vu la loi n° 84-53 du 26 Janvier 1984 modifiée, portant dispositions
statutaires relatives à la Fonction publique territoriale,
Vu le tableau des effectifs au 1er Novembre 2015,
Vu l’avis de la Commission Finances-Ressources Humaines-
Intercommunalité et Economie en date du 12 Novembre 2015,
Vu l’avis du Comité Technique en date du 7 Décembre 2015,
Vu la note de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers municipaux
à l’appui de leur convocation.
Considérant que suite au départ d’un agent du service espaces verts à
temps complet, il est proposé d’augmenter le temps de travail d’un
adjoint technique 2e classe à temps non complet 80 % vers un temps
complet, et de recruter un adjoint technique 2e classe à temps non
complet 80 %,
Considérant que suite au départ à la retraite d’un agent du service voirie
à temps complet, il est proposé son remplacement par un adjoint
technique 2e classe à temps complet,
Considérant que suite au départ d’un agent du service restauration
collective à temps non complet 25,96/35 , il est proposé son
remplacement par un adjoint technique 2e classe à temps non complet
16,89/35e,
Considérant la charge de travail au sein du Pôle Ressources, il est
proposé d’augmenter le temps de travail d’un adjoint administratif
2e classe à temps non complet 80 % vers un temps complet,
Monsieur le Maire propose au Conseil municipal :
- la création d’un poste d’adjoint technique 2e classe à temps
complet par suppression d’un poste d’adjoint technique 2e classe à
temps non complet 80 %,
- la création d’un poste d’adjoint technique 2e classe à temps non
complet 80 % par suppression d’un poste d’agent de maîtrise à
temps complet,
- la création d’un poste d’adjoint technique 2e classe à temps
complet par suppression d’un poste d’adjoint technique principal
1e classe à temps complet,
- la création d’un poste d’adjoint technique 2e classe à temps non
complet 16,89/35e par suppression d’un poste d’adjoint technique
2e classe à temps non complet 25,96/35e,
- la création d’un poste d’adjoint administratif 2e classe à temps
complet par suppression d’un poste d’adjoint administratif à temps
non complet 80 %.
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, décide :
- d’adopter la proposition du Maire,
- d’approuver le nouveau tableau des effectifs,
- d’inscrire au budget les crédits correspondants.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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GRADES OU EMPLOIS (1) CAT.
EMPLOIS BUDGETAIRES (3)
BUDGET COMMUNE
EFFECTIFS POURVUS
SUR EMPLOIS
BUDGETAIRES EN
ETPT (4)
EMPLOIS
PERMANENTS A
TEMPS COMPLET
EMPLOIS
PERMANENTS A
TEMPS NON
COMPLET
TOTAL AGENTS TITULAIRES
OU EN CDI
EMPLOIS FONCTIONNELS (a) 1,00 1,00 1,00
Directeur général des services A 1,00 1,00 1,00
FILIERE ADMINISTRATIVE (b) 21,00 2,00 23,00 17,50
Attaché Principal A 1,00 1,00 0,00
Attaché A 3,00 3,00 2,80
Rédacteur Principal 1e classe B 1,00 1,00 1,00
Rédacteur Principal 2e classe B 3,00 3,00 1,00
Rédacteur B 3,00 3,00 1,80
Adjoint Administratif Principal 1e classe C 2,00 2,00 1,50
Adjoint Administratif Principal 2e classe C 1,00 1,00 1,00
Adjoint Administratif 1e classe C 5,00 1,00 6,00 5,60
Adjoint Administratif 2e classe C 2,00 1,00 3,00 2,80
FILIERE TECHNIQUE ( c ) 52,00 18,00 70,00 63,27
Ingénieur A 1,00 1,00 1,00
Technicien Principal 1e classe B 2,00 2,00 2,00
Technicien Principal 2e classe B 1,00 1,00 0,00
Technicien B 3,00 3,00 3,00
Agent de Maîtrise Principal C 1,00 1,00 2,00 0,74
Agent de Maîtrise C 3,00 3,00 3,00
Adjoint Technique Principal 1e classe C 12,00 12,00 11,80
Adjoint Technique Principal 2e classe C 10,00 10,00 10,00
Adjoint Technique 1e classe C 6,00 2,00 8,00 7,51
Adjoint Technique 2e classe C 13,00 15,00 28,00 24,22
FILIERE MEDICO-SOCIALE ( e ) 8,00 0,00 8,00 7,60
Assistant Socio-Educatif Principal B 1,00 1,00 1,00
ATSEM Principal 1e classe C 1,00 1,00 1,00
ATSEM Principal 2e classe C 5,00 5,00 4,80
ATSEM 1e classe C 1,00 1,00 0,80
FILIERE CULTURELLE ( h ) 5,00 1,00 6,00 5,65
Assistant de Conservation Pal 1e classe B 2,00 2,00 1,80
Adjoint du Patrimoine 1e classe C 1,00 1,00 2,00 1,85
Adjoint du Patrimoine 2e classe C 2,00 2,00 2,00
FILIERE ANIMATION ( i ) 1,00 6,00 7,00 5,85
Adjoint d'Animation 2e classe C 1,00 6,00 7,00 5,85
FILIERE POLICE ( j ) 2,00 0,00 2,00 1,00
Brigadier Chef Principal C 1,00 1,00 1,00
Gardien de Police Municipale C 1,00 1,00 0,00
TOTAL 90,00 27,00 117,00 101,87
COLLABORATEUR DE CABINET 1,00 1,00 1,00
Collaborateur de cabinet 1,00 1,00 1,00
TOTAL GENERAL 90,00 28,00 118,00 102,87
GRADES OU EMPLOIS (1)
CAT
EGO
RIES
(2)
EMPLOIS BUDGETAIRES (3)
BUDGET ASSAINISSEMENT
EFFECTIFS POURVUS
SUR EMPLOIS
BUDGETAIRES EN
ETPT (4)
EMPLOIS
PERMANENTS A
TEMPS COMPLET
EMPLOIS
PERMANENTS A
TEMPS NON
COMPLET
TOTAL AGENTS TITULAIRES
FILIERE TECHNIQUE 3,00 0,00 3,00 3,00
Technicien B 1,00 1,00 1,00
Agent de Maîtrise C 1,00 1,00 1,00
Adjoint Technique Principal 2e classe C 1,00 1,00 1,00
TOTAL GENERAL 3,00 0,00 3,00 3,00
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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6. MODIFICATION DU REGIME INDEMNITAIRE :
Rapporteur : Cédrick MORMANN
L’abrogation des décrets instituant la PFR (Prime de Fonction et de Résultat) et l’IFRSTS
(Indemnité Forfaitaire Représentative de Sujétions et Travaux Supplémentaires) au 31
Décembre 2015, ont des conséquences sur certains grades, en terme de rémunération au 1er
Janvier 2016.
Afin de pouvoir garantir le maintien de salaire aux grades concernés (Attaché principal et
Assistant socio-éducatif principal), la collectivité doit instaurer pour ces grades le
RIFSEEP (Régime Indemnitaire lié aux Fonctions, Sujétions, Expertise et à l’Engagement
Professionnel), au 01/01/2016. Cette modification est sans incidence budgétaire.
L’application de ce nouveau régime sera généralisée à l’ensemble des agents au
01/01/2017.
DELIBERATION N° 2015/12/06
OBJET : Ressources humaines - Modification du régime indemnitaire
VU le Code Général des Collectivités Territoriales,
VU la loi n°83-634 du 13 Juillet 1983 modifiée portant droits et
obligations des fonctionnaires, et notamment son article 20,
VU la loi n°84-53 du 26 Janvier 1984 modifiée portant dispositions
statutaires relatives à la fonction publique territoriale et notamment son
article 88,
VU la loi n°2010-751 du 5 Juillet 2010 relative à la rénovation du
dialogue social et comportant diverses dispositions relatives à la fonction
publique ;
VU le décret n° 91-875 du 6 Septembre 1991 modifié pris pour
l’application du premier alinéa de l’article 88 de la loi 84-53 du 26
Janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction
publique territoriale ;
VU le décret n° 2014-513 du 20 Mai 2014 portant création du RIFSEEP
dans la Fonction Publique d’Etat ;
Vu le décret n°2015-661 modifiant le décret n° 2014-513 du 20 Mai 2014
portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions,
des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la
fonction publique de l'Etat ;
VU l’arrêté ministériel du 3 Juin 2015 pris pour l’application aux corps
interministériels des attachés d’administration de l’Etat des dispositions
du décret 2014-513 du 20 Mai 2014,
VU l’arrêté ministériel du 3 Juin 2015 pris pour l’application aux corps
des assistants de service social des administrations de l’Etat des
dispositions du décret 2014-513 du 20 Mai 2014,
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
9
VU l’arrêté du 27 Août 2015 pris en application de l'article 5 du décret
n° 2014-513 du 20 Mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire
tenant compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de
l'engagement professionnel dans la fonction publique de l'Etat,
VU la délibération du Conseil municipal en date du 05 Février 2015,
VU l’avis du Comité Technique en date du 07 Décembre 2015,
Considérant que les corps de référence de certains cadres d’emplois
territoriaux ne sont pas encore listés en annexe des arrêtés ministériels ;
que cette liste est nécessaire à l’application du dispositif ;
Considérant que le décret n°2008-1533 du 22 Décembre 2008 instituant
la prime de fonction et de résultat (PFR) est abrogé au 31/12/2015 ;
Considérant que le décret n°2002-1105 du 30 Août 2002 relatif à
l’indemnité forfaitaire représentative de sujétions et de travaux
supplémentaires (IFRSTS) est abrogé au 31/12/2015 ;
Considérant que le nouveau dispositif présenté ci-dessous ne sera
applicable pour la ville de Blain en 2016, que pour les deux agents de la
collectivité impactés par la suppression de leur régime indemnitaire,
correspondant au cadre d’emplois des Attachés territoriaux occupant un
emploi de Directeur Général de Services et au cadre d’emplois des
Assistants territoriaux socio-éducatifs ;
La collectivité engagera une réflexion globale pour l’ensemble de ses
agents au cours de l’année 2016 en fonction de la publication des textes
d’application, pour une entrée en vigueur prévisible au 01/01/2017.
Il est présenté le nouveau régime indemnitaire :
Le nouveau régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel (RIFSEEP) mis
en place pour la fonction publique de l’Etat est transposable à la
fonction publique territoriale. Il se compose :
- d’une indemnité liée aux fonctions, aux sujétions et à l’expertise (IFSEE) ;
- d’un complément indemnitaire tenant compte de l’engagement
professionnel et de la manière de servir (CIA).
L’instauration du RIFSEEP a pour objectifs :
- la prise en compte de la place dans l’organigramme ;
- la reconnaissance des spécificités de certains postes ;
I. Bénéficiaires
Au vu des dispositions réglementaires en vigueur, une telle prime a été
instaurée pour le corps ou services de l’Etat servant de référence à
l’établissement du régime indemnitaire pour les cadres d’emplois des
attachés territoriaux et des assistants territoriaux socio-éducatifs.
La prime pourra être versée aux fonctionnaires stagiaires et titulaires.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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II. Montants de référence
Pour l’Etat, chaque part de la prime est composée d’un montant de base
modulable individuellement dans la limite de plafonds précisés par
arrêté ministériel. Les montants applicables aux agents de la collectivité
sont fixés dans la limite de ces plafonds.
Chaque cadre d’emplois est réparti en groupes de fonctions suivant le
niveau de responsabilité et d’expertise requis ou les sujétions auxquelles
les agents peuvent être exposés :
Attachés territoriaux :
Groupe Emplois IFSE - Montant
maximal mensuel
CIA – Montant
maximal
annuel
Groupe 1 Direction Générale 36 210 € 6 390 €
Groupe 2 32 130 € 5 670 €
Groupe 3 25 500 € 4 500 €
Groupe 4 20 400 € 3 600 €
Assistants territoriaux socio-éducatifs :
Groupe Emplois IFSE - Montant
maximal mensuel
CIA – Montant
maximal annuel
Groupe 1 11 970 € 1 630 €
Groupe 2 Responsable
CCAS
10 560 € 1 440 €
Les montants de base sont établis pour un agent exerçant à temps
complet. Ils sont réduits au prorata de la durée effective du travail pour
les agents exerçant à temps partiel ou occupés sur un emploi à temps non
complet.
Ces montants évolueront au même rythme et selon les mêmes conditions
que les montants arrêtés pour les corps ou services de l’Etat.
III. Modulations individuelles
A. Part fonctionnelle
La part fonctionnelle peut varier selon le niveau de responsabilités, le
niveau d’expertise ou les sujétions auxquelles les agents sont confrontés
dans l’exercice de leurs missions.
Le montant individuel dépend du rattachement de l’emploi occupé par un
agent à l’un des groupes fonctionnels définis ci-dessus.
Ce montant fait l’objet d’un réexamen :
- en cas de changement de fonctions ou d’emploi ;
- en cas de changement de grade ou de cadre d’emplois à la suite d’une
promotion, d’un avancement de grade ou de la nomination suite à la
réussite d’un concours ;
- au moins tous les quatre ans en fonction de l’expérience acquise par
l’agent.
La part fonctionnelle de la prime sera versée mensuellement sur la base
d’un douzième du montant annuel individuel attribué.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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B. Part liée à l’engagement professionnel et à la manière de servir
Il est proposé d’attribuer individuellement aux agents un coefficient de
prime appliqué au montant de base et pouvant varier de 0 à 100%.
Ce coefficient sera déterminé à partir des résultats de l’évaluation
professionnelle selon des modalités.
La part liée à la manière de servir sera versée annuellement.
Le coefficient attribué sera revu annuellement à partir des résultats des
entretiens d’évaluation.
Cette part n’est pas mise en place pour l’année 2016.
IV. Modalités de retenue pour absence ou de suppression
L’autorité territoriale pourra, au vu de la gravité des faits commis par un
agent et des dysfonctionnements engendrés sur la bonne marche du
service, réduire, suspendre ou supprimer la part indemnitaire liée aux
fonctions exercées.
Sur proposition de Monsieur le Maire, le Conseil municipal, après en
avoir délibéré, décide:
D’INSTAURER une prime de fonctions, de sujétions, d’expertise et
d’engagement professionnel versée selon les modalités définies ci-dessus,
à compter du 1er Janvier 2016.
D’AUTORISER Monsieur Le Maire à fixer par arrêté individuel le
montant perçu par chaque agent au titre des deux parts de la prime dans
le respect des principes définis ci-dessus.
DE PREVOIR ET D’INSCRIRE au budget les crédits nécessaires au
paiement de cette prime.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
7. CONSULTATION DE LA COMMUNE SUR LE TRANSFERT
D’ACTIVITÉS DE L’EHPAD DE L’ISAC A L’EHPAD
MARGUERITTE DE ROHAN :
Rapporteur : Jean-Michel BUF
Depuis 2011, l’EHPAD Margueritte de ROHAN et le CHS de Blain (EHPAD de l’Isac) se
sont regroupés au sein du GCSMS Isac/Rohan, qui a pour missions de :
- Rapprocher les deux structures, c’est-à-dire les EHPAD,
- Construire la Résidence Vert Pré (80 places et 6 places d’accueil de jour).
Ce rapprochement se fera sous la forme d’un regroupement d’activités (Résidents et agents
de l’EHPAD) de l’Isac à Margueritte de ROHAN.
Le CHS de Blain, établissement public de santé, peut donc coopérer avec l’EHPAD
Margueritte de ROHAN, établissement médico-social, dans le cadre d’un regroupement
d’activités des deux EHPAD.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
12
La transformation d'un ou de plusieurs établissements publics de santé, prévue à l'article L.
6141-7-1 du Code de la Santé Publique, est décidée par arrêté du directeur général de
l'agence régionale de santé de la région où est situé le siège de l'établissement qui en est
issu, après avis du conseil de surveillance du ou des établissements concernés et de la
commune où est situé le siège de l'établissement.
M. le Maire : « L’avis de la Commune vient après les votes du CHS et de Margueritte de
Rohan. Ce transfert va se passer au 1er Septembre 2016. 50 lits du CHS, 30 lits de
Margueritte de Rohan qui vont constituer les 80 lits de l’établissement. A l’ouverture de
l’établissement, il y aura réhabilitation de la Maison de retraite qui devrait commencer en
Novembre 2016 pour une durée de 48 mois. »
Mme Rita SCHLADT : « Je demande confirmation du contenu du vote du Conseil
municipal sur le principe du transfert ? Le document reçu évoque un projet social, des
changements au niveau des emplois, une blanchisserie qui serait externalisée, etc… toutes
ces choses nous inquiètent, mais ce n’est pas là-dessus que nous votons ce soir ? »
M. le Maire : « Les personnels sont sur des régimes différents. La volonté est de travailler
sur le projet social avec les différents agents des deux EHPAD pour avoir une cohérence
complète sur le nouvel établissement. Les documents qui évoquent toutes les
problématiques traitées dans les différentes réunions ont été intégrés à la consultation. »
DELIBERATION N° 2015/12/07
OBJET : Consultation de la Commune de Blain sur le transfert
d’activités de l’EHPAD de l’ISAC à l’EHPAD Margueritte de
Rohan.
Depuis 2011, l’EPHAD Margueritte de ROHAN et le CHS de Blain
(EHPAD de l’Isac) se sont regroupés au sein du GCSMS Isac/Rohan, qui
a pour missions de :
- Rapprocher les deux structures, c’est-à-dire les EHPAD,
- Construire la Résidence Vert Pré (80 places et 6 places d’accueil de
jour).
Ce rapprochement se fera sous la forme d’un regroupement d’activités
(Résidents et agents de l’EHPAD) de l’Isac à Margueritte de ROHAN.
Le CHS de Blain, établissement public de santé, peut donc coopérer avec
l’EPHAD Margueritte de ROHAN, établissement médico-social, dans le
cadre d’un regroupement d’activités des deux EPHAD.
La transformation d'un ou de plusieurs établissements publics de santé,
prévue à l'article L. 6141-7-1 du Code de la Santé Publique, est décidée
par arrêté du directeur général de l'agence régionale de santé de la
région où est situé le siège de l'établissement qui en est issu, après avis
du conseil de surveillance du ou des établissements concernés et de la
commune où est situé le siège de l'établissement.
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu le Code de la Santé Publique et notamment son article L.6141-7-1.
VU la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation,
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
13
Le Conseil Municipal
- DONNE un avis favorable au transfert d’activités de l’EHPAD de
l’ISAC à l’EHPAD Margueritte de Rohan.
- AUTORISE Monsieur le Maire à signer toute pièce se rapportant à
cette affaire.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
D. URBANISME – AGRICULTURE - TRAVAUX :
1. EVOLUTION DES STATUTS DU SYDELA :
Rapporteur : Philippe CAILLON
Au-delà de sa compétence « originelle » d’autorité organisatrice de la distribution
d’énergie électrique, le SYDELA a souhaité progressivement proposer à ses adhérents de
nouveaux services dans le souci permanent d’une mutualisation des moyens et des
compétences techniques. Après la gestion des investissements en éclairage public et la
distribution publique de gaz, en 2005, le SYDELA a ainsi étendu ses compétences en 2012
à la maintenance des installations d’éclairage public.
Dans cette continuité, il souhaite aujourd’hui faire évoluer ses statuts pour s’inscrire
pleinement dans le cadre de la transition énergétique et s’engager aux côtés des
collectivités en leur proposant notamment d’organiser un réseau cohérent d’infrastructures
de charge pour véhicules électriques ou hybrides rechargeables ou fonctionnant au gaz afin
de promouvoir la mobilité électrique ou au gaz. Il propose également d’élargir le champ de
ses compétences optionnelles à la production d’énergie ainsi qu’à la construction et à la
gestion des réseaux de chaleur ou de froid.
Enfin, le SYDELA souhaite assister ses collectivités adhérentes dans le recensement et la
gestion de leur patrimoine téléphonique en exerçant pour leur compte la compétence
« réseaux et services locaux de communications électroniques ».
Le projet de modification statutaire permettra au SYDELA d’offrir ces nouveaux services à
ceux de ses adhérents qui le souhaiteront, sous forme de compétences optionnelles, et de
mettre en adéquation le cadre juridique de ses interventions avec les évolutions législatives
récentes.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
17
Mme Rita SCHLADT : « C’est important d’avoir cette solidarité au niveau des territoires
ruraux, évidement. Le SYDELA n’est pas concerné par la diminution du nombre de
syndicats, puisqu’il a déjà une taille suffisante. Je ne comprends pas pourquoi on laisse à
une société privée les stations et les bornes qui seront rentables comme à Blain, alors que
le SYDELA prend en charge uniquement ce que le privé ne veut pas. D’une certaine
manière, on finance une société privée. »
M. Philippe CAILLON : « Je précise que le SYDELA ne prendra pas en charge
uniquement les villes où la société privée ne veut pas s’implanter. La différence, c’est que
le contrat national n’est pas de la compétence du SYDELA. Aujourd’hui, la société privée
a déjà déterminé les zones où elle souhaite s’implanter, on constate que certaines villes ne
sont pas alimentées par cette société, la priorité sera donc donnée à ces zones, mais les
villes alimentées pourront être complétées si nécessaire. »
Mme Rita SCHLADT : « Est-il possible de connaître le nom de cette société ? »
M. Philippe CAILLON : « La société n’est pas officiellement connue mais ne devrait pas
tarder à apparaître dans la presse. »
DELIBERATION N° 2015/12/08
OBJET : Modification des statuts du Sydela
Vu le code général des collectivités territoriales et notamment les articles
L. 5211-17, L. 5211-20 et L. 5711-1 et suivants,
Vu la loi n°2015-991 du 7 Août 2015 portant Nouvelle Organisation
Territoriale de la République,
Vu la loi n°2015-992 du 17 Août 2015 relative à la Transition
Energétique pour la Croissance Verte,
Vu la délibération n°2015-27 du 29 Octobre 2015 adoptée par le comité
syndical du SYDELA et portant modification statutaire.
Vu la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation.
Considérant la volonté du SYDELA de voir évoluer ses statuts pour
s’inscrire pleinement dans le cadre de la transition énergétique et
s’engager aux côtés des collectivités en leur proposant :
d’organiser un réseau cohérent d’infrastructures de charge pour
véhicules électriques ou hybrides rechargeables ou fonctionnant
au gaz afin de promouvoir la mobilité électrique ou au gaz,
d’élargir le champ de ses compétences optionnelles à la
production d’énergie ainsi qu’à la construction et à la gestion des
réseaux de chaleur ou de froid,
d’assister ses collectivités adhérentes dans le recensement et la
gestion de leur patrimoine téléphonique en exerçant pour leur
compte la compétence « réseaux et services locaux de
communications électroniques ».
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
18
Le projet de modification statutaire examinée aujourd’hui par
l’assemblée permettra au SYDELA d’offrir ces nouveaux services à ceux
de ses adhérents qui le souhaiteront, sous forme de compétences
optionnelles, et de mettre en adéquation le cadre juridique de ses
interventions avec les évolutions législatives récentes.
Après en avoir délibéré, le Conseil municipal :
APPROUVE les nouveaux statuts du SYDELA et leurs annexes.
La présente délibération sera notifiée à M. le Président du SYDELA.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
E. EDUCATION - ENFANCE - JEUNESSE - FORMATION :
1. PARTICIPATION AUX FRAIS DE FONCTIONNEMENT DES
ECOLES PRIVEES BLINOISES SOUS CONTRAT D’ASSOCIATION
ET DOTATIONS PARTICULIERES – ANNEE CIVILE 2016 :
Par délibération du 26 Septembre 1985, le Conseil municipal de Blain a décidé de
participer aux dépenses de fonctionnement des établissements privés du premier degré sous
contrat d’association, pour les seuls enfants domiciliés sur le territoire de la commune de
Blain,
Dès lors, la prise en charge financière des dépenses de fonctionnement est une dépense
obligatoire pour les classes élémentaires, à concurrence des enfants domiciliés dans la
commune. La participation doit être égale au coût moyen d'un élève des classes de même
nature de l'école publique.
Si la Commune a donné son accord, elle doit financer les classes maternelles à hauteur du
coût d'un élève de l'école maternelle.
En Juin 2015, des négociations ont été engagées avec les 3 OGEC de Blain pour convenir
des modalités de financement sur les 5 années à venir et élaborer les termes des
conventions de financement à intervenir entre les établissements et la Ville.
Ces négociations n’ont pu aboutir avant la fin 2015, mais pourront se poursuivre en 2016.
Dans l’immédiat, et afin de garantir aux OGEC un financement pour 2016, il est proposé
de maintenir le mode de calcul pratiqué en 2015 et de revaloriser de 2% le forfait
communal, la participation financière instaurée comprend :
- un forfait communal de base de 573,68€ (cf. la délibération prise le 18 Septembre 2014),
- une dotation informatique de 10,00€ visant à développer l’équipement des établissements
scolaires,
- et, pour les écoles Notre-Dame et Sainte-Philomène, une dotation transport de 18,00 € qui
permet de financer les déplacements vers les équipements publics situés en centre-ville, et
ainsi de compenser l’éloignement de ces deux établissements
Il est proposé pour 2016 d’actualiser le forfait communal de 2%, soit 585,15 € et d’y
ajouter le crédit accordé pour les fournitures scolaires (partie intégrante du forfait selon les
dispositions réglementaires).
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
19
Ainsi, la participation totale de la Ville de Blain se décline comme suit :
Forfait 2016 Maternelles Elémentaires
Forfait communal (forfait 2015 +2%)
(délibération du 17 Décembre 2015) 585,15 € 585,15 €
Fournitures scolaires
(délibération du 26 Novembre 2015) 46,50 € 42,60 €
Sorties scolaires
(délibération du 26 Novembre 2015) 12,75 € 12,75 €
Dotation informatique
(délibération du 17 Décembre 2015) 10,00 € 10,00 €
TOTAL St Laurent 654,40 € 650,50 €
Dotation Transport (St Omer et St Emilien)
(délibération du 17 Décembre 2015) 18,00 € 18,00 €
TOTAL St Omer et St Emilien 672,40 € 668,50 €
DELIBERATION N° 2015/12/09
OBJET : Participation de la Commune aux frais de fonctionnement
des écoles privées blinoises sous contrat d’association – Année
2016.
Monsieur le Maire rappelle au Conseil municipal que les écoles privées
de la Commune ont conclu avec l’État un contrat d’association à
l’enseignement public et que des négociations ont été engagées avec les 3
OGEC blinois pour conventionner l’évolution des dotations versées pour
la période 2016 - 2020.
Ces négociations n’ayant pas pu aboutir en fin d’année, elles se
poursuivront en 2016 afin de donner de la visibilité aux OGEC dans
l’évolution de leurs dotations.
Vu la délibération du Conseil municipal en date du 26 Septembre 1985
fixant les modalités de financement des frais de fonctionnement des
écoles privées blinoises sous contrat d’association,
Vu le contrat d’association conclu le 28 Septembre 1978 entre l’Etat et
l’école St Laurent,
Vu le contrat d’association conclu le 28 Septembre 1978 entre l’Etat et
l’école Notre Dame de St Emilien,
Vu le contrat d’association conclu le 21 Août 1979 entre l’Etat et l’école
Ste Philomène de St Omer,
Vu la délibération du Conseil municipal en date du 18 Septembre 2014,
fixant le montant du forfait communal versé au titre de la participation
2015,
Vu l’avis favorable de la Commission Education – Enfance – Jeunesse -
Formation en date du 5 Novembre 2015,
Vu la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation,
Considérant que les fournitures scolaires sont des dépenses de
fonctionnement qui doivent être intégrées au forfait communal,
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
20
Après en avoir délibéré, sur proposition de M. le Maire, le Conseil
municipal décide :
DE FIXER le montant de la participation aux frais de fonctionnement
des élèves blinois scolarisés dans les écoles privées blinoises sous
contrat d’association :
Maternelles Elémentaires
Forfait de référence 585,15 € 585,15 €
Fournitures Scolaires 46,50 € 42,60 €
Forfait communal 2016 631.65€ 627,75€
DIT que le montant total de la dotation est calculé sur la base des
effectifs d’enfants blinois scolarisés dans les établissements au 1er
Novembre 2015.
APPROUVE le versement en trois fois du montant total.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
DELIBERATION N° 2015/12/10
OBJET : Dotations aux écoles privées blinoises sous contrats
d’association – Année 2016.
Vu la délibération du Conseil municipal en date du 18 Septembre 2014,
fixant le montant des dotations informatique et transport versées au titre
de l’année civile 2015,
Vu l’avis favorable de la Commission Éducation – Enfance – Jeunesse -
Formation du 5 Novembre 2015,
Vu la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation,
Après en avoir délibéré, sur proposition de M. le Maire, le Conseil
municipal décide :
DE FIXER le montant de dotation informatique versée par élève
blinois scolarisé dans les écoles privées blinoises sous contrat
d’association :
Maternelles et Elémentaires
Dotation informatique 10€
DE FIXER le montant de dotation transport versée par élève blinois
scolarisé dans les écoles privées blinoises de St Omer et de St Emilien,
sous contrat d’association :
Maternelles et Elémentaires
de St OMER et de St Emilien
Dotation transport 18 €
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
21
Cette dotation permettra de financer les déplacements vers les
équipements publics situés en centre-ville et ainsi de compenser
l’éloignement de ces deux établissements.
DIT que le montant total de ces dotations est calculé sur la base des
effectifs d’enfants blinois scolarisés dans les établissements au 1er
Novembre 2015.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
2. CONTRIBUTION DES COMMUNES DE RESIDENCE AUX
FRAIS DE SCOLARITE DES ENFANTS NON BLINOIS SCOLARISES
AU GROUPE SCOLAIRE ANATOLE-FRANCE– ANNEE 2016
Conformément à l'article L 212-8 du Code de l’Éducation, la Commune de résidence doit,
si elle a donné son accord à la scolarisation d’un enfant dans une autre Commune,
contribuer aux frais de scolarité engagés par la Commune d’accueil.
DELIBERATION N° 2015/12/11
OBJET : Contribution des Communes de résidence aux frais de
scolarité des enfants non blinois scolarisés au Groupe Scolaire
Anatole-France – Année 2016 :
Conformément à l'article L 212-8 du Code de l’Éducation, la Commune
de résidence doit, si elle a donné son accord à la scolarisation d’un
enfant dans une autre Commune, contribuer aux frais de scolarités
engagés par la Commune d’accueil.
Le coût d’un élève de l’école publique a été calculé, dans le cadre du
forfait attribué aux écoles privées sous contrat. Ce calcul sert de base à
la contribution des communes de résidences dont les enfants non blinois
sont scolarisés au GSAF.
Vu l’avis favorable de la Commission Éducation – Enfance – Jeunesse -
Formation du 5 Novembre 2015,
Vu la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation,
Compte tenu de l’évolution du coût des dépenses de fonctionnement du
Groupe Scolaire Anatole France, établissement de référence retenu pour
le calcul du forfait accordé aux établissements privés, le Conseil
municipal, après en avoir délibéré :
FIXE le montant de la participation des Communes de résidence des
enfants non blinois scolarisés au Groupe Scolaire Anatole-France au
1er Novembre 2015 à :
Maternelles Elémentaires
Frais de fonctionnement 2016 631.65€ 627,75€
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
22
décide que cette mesure prendra effet à compter du 1er Janvier 2016.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
3. PARTICIPATION AUX OGEC EXTERIEURS – CONVENTIONS :
Rapporteur : Nathalie GUIHOT
Conformément à l'article L 442-2-1 du Code de l’Éducation (article 1 de la loi 2009-1312
du 28 Octobre 2009) : « La contribution de la Commune de résidence pour un élève
scolarisé dans une autre Commune dans une classe élémentaire d'un établissement privé
du premier degré sous contrat d'association constitue une dépense obligatoire lorsque
cette contribution aurait également été due si cet élève avait été scolarisé dans une des
écoles publiques de la Commune d'accueil.
En conséquence, cette contribution revêt le caractère d'une dépense obligatoire lorsque la
Commune de résidence ou, dans des conditions fixées par décret, le regroupement
pédagogique intercommunal auquel elle participe, ne dispose pas des capacités d'accueil
nécessaires à la scolarisation de l'élève concerné dans son école publique ou lorsque la
fréquentation par celui-ci d'une école située sur le territoire d'une autre Commune que celle
où il est réputé résider trouve son origine dans des contraintes liées :
1° aux obligations professionnelles des parents, lorsqu'ils résident dans une Commune qui
n'assure pas directement ou indirectement la restauration et la garde des enfants ;
2° à l'inscription d'un frère ou d'une sœur dans un établissement scolaire de la même
commune;
3° à des raisons médicales.
Lorsque la contribution n'est pas obligatoire, la Commune de résidence peut participer aux
frais de fonctionnement de l'établissement sans que cette participation puisse excéder par
élève le montant de la contribution tel que fixé au dernier alinéa.
Pour le calcul de la contribution de la Commune de résidence, il est tenu compte du
coût moyen par élève calculé sur la base des dépenses de fonctionnement de
l'ensemble des écoles publiques de la Commune d'accueil, sans que le montant de la
contribution par élève puisse être supérieur au coût qu'aurait représenté pour la Commune
de résidence l'élève s'il avait été scolarisé dans une de ses écoles publiques. »
Depuis Janvier 2014, il est demandé aux familles blinoises souhaitant scolariser leur enfant
dans un établissement privé hors de la Commune de remplir un formulaire de contribution,
sur le principe de la demande de dérogation pour la scolarisation dans une école publique
hors commune. Les mêmes critères sont appliqués pour l’acceptation ou non de la
contribution financière de la Ville pour la scolarisation de cet enfant.
A noter que les demandes doivent être faites à l’inscription de l’enfant ou lors de son
passage en CP. Le passage dans les autres classes ne nécessite pas de demande, le principe
étant de ne pas interrompre la scolarité d’un enfant en cours de cycle.
M. le Maire : « Cela va permettre d’établir des conventions et de financer les
établissements sous couvert de ces conventions. »
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
23
DELIBERATION N° 2015/12/12
OBJET : Participation aux dépenses de fonctionnement des écoles
privées hors commune accueillant des enfants blinois - 2016
Vu la loi n°2009-1312 du 28 Octobre 2009 tendant à garantir la parité
de financement entre les écoles élémentaires publiques et privées sous
contrat d’association,
Vu le décret d’application n°2010-1348 du 9 Novembre 2010,
Vu l’avis favorable de la Commission Éducation - Enfance – Jeunesse –
Formation du 5 Novembre 2015,
Vu la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation,
Le Conseil Municipal :
APPROUVE la participation de la Ville de Blain selon les conditions de
l’article L 442-2-1 du Code de l’Éducation :
pour les enfants des écoles élémentaires des écoles privées sous
contrat d’association.
lorsque la commune de résidence ou, dans des conditions fixées
par décret, le regroupement pédagogique intercommunal auquel
elle participe, ne dispose pas des capacités d'accueil nécessaires
à la scolarisation de l'élève concerné dans son école publique ou
lorsque la fréquentation par celui-ci d'une école située sur le
territoire d'une autre commune que celle où il est réputé résider
trouve son origine dans des contraintes liées :
1° aux obligations professionnelles des parents, lorsqu'ils
résident dans une commune qui n'assure pas directement ou
indirectement la restauration et la garde des enfants ;
2° à l'inscription d'un frère ou d'une sœur dans un
établissement scolaire de la même commune;
3° à des raisons médicales.
Lorsque la contribution n'est pas obligatoire, la Commune de
résidence peut participer aux frais de fonctionnement de
l'établissement sans que cette participation puisse excéder par
élève le montant de la contribution tel que fixé au dernier alinéa.
Le montant de la participation est calculé sur la base des
dépenses de fonctionnement de l'ensemble des écoles publiques
de la Commune d'accueil, sans que ce montant ne puisse dépasser
le coût de fonctionnement dans la Commune de résidence (Blain).
AUTORISE Monsieur le Maire à signer les conventions de participation
financière pour les classes élémentaires sous contrat d’association.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
24
4. TARIFS RESTAURANT SCOLAIRE ET PERISCOLAIRES
Rapporteur : Nathalie GUIHOT
a) Tarifs 2016 du restaurant scolaire du Groupe scolaire Anatole France :
Par délibération du 2 Avril 2015, le Conseil Municipal de BLAIN a approuvé la création
d’un Service Public Administratif de restauration scolaire et collective à l’école Anatole-
France, et la reprise en régie directe de ce service.
Conformément au décret n°2006-753 du 29 juin 2006, « les prix de la restauration scolaire
fournie aux élèves des écoles maternelles, des écoles élémentaires, des collèges et des
lycées de l'enseignement public sont fixés par la collectivité territoriale qui en a la charge
conformément aux articles L. 212-4, L. 213-2, L. 214-6, L. 215-1 et L. 422-2 du code de
l'éducation ».
Par délibération du 28 Mai 2015, le Conseil municipal a décidé de maintenir les tarifs
appliqués par le Comité de Gestion du Restaurant Scolaire, à la rentrée de Septembre 2015
et jusqu’à la fin de l’année.
Parallèlement, le travail enclenché par le Service Education pour la mise en place d’une
tarification au taux d’effort, n’a pu aboutir pour permettre son application en 2016.
Pour autant, un travail avec la CAF a été entrepris et la demande d’habilitation dérogatoire
de la pause méridienne pour 2015 et 2016 a été acceptée.
Cette demande prend en compte le prix estimé du temps d’animation sur la pause
méridienne (hors TAP et hors temps de repas).
Dès lors, il est proposé au Conseil Municipal de maintenir les tarifs votés en 2015 pour
l’année 2016.
M. le Maire : « Je précise que la CAF vient de confirmer par courrier sa participation
dérogatoire PSO- APS pause méridienne.
M. Thierry PLANTARD : « Je reconnais le travail réalisé sur la fixation des tarifs au taux à
l’effort. Cependant, les tarifs 2016 sont annoncés un peu tard, ce qui a provoqué quelques
inquiétudes chez les parents qui commençaient à craindre une augmentation en 2016. »
DELIBERATION N° 2015/12/13
OBJET : Service de restauration scolaire - Tarifs 2016 :
Par délibération du 2 Avril 2014, le Conseil municipal de Blain a décidé
la création d’un Service Public Administratif de restauration scolaire et
collective à l’école Anatole-France, et la reprise en régie directe de ce
service.
Conformément au décret n°2006-753 du 29 Juin 2006, « les prix de la
restauration scolaire fournie aux élèves des écoles maternelles, des
écoles élémentaires, des collèges et des lycées de l'enseignement public
sont fixés par la collectivité territoriale qui en a la charge conformément
aux articles L. 212-4, L. 213-2, L. 214-6, L. 215-1 et L. 422-2 du Code de
l'éducation ».
Les tarifs municipaux sont votés pour l’année civile.
Il est proposé au Conseil municipal de maintenir les tarifs votés en 2015
pour l’année 2016,
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
25
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu le décret n°2006-753 du 29 Juin 2006 relatif aux prix de la
restauration scolaire pour les élèves de l’enseignement public,
Vu l'avis favorable de la Commission Éducation – Enfance – Jeunesse -
Formation en date du 5 Novembre 2015,
Vu la note de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers municipaux
à l’appui de leur convocation,
Le Conseil Municipal,
APPROUVE les tarifs du restaurant scolaire pour l’année 2016
comme suit :
TYPES DE REPAS TARIFS
2016
Tarif régulier 3,36 €
Dont coût animation 0,20 €
Tarif dégressif (pour le 3ème enfant) 2,90 €
Dont coût animation 0,20 €
Panier repas (en cas de PAI ; correspond à
l’encadrement de l’enfant) 1,08 €
Tarif adulte 4,97 €
DECIDE d’appliquer ces tarifs au 1er Janvier 2016.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
b) Tarifs 2016 de l’accueil périscolaire du Groupe scolaire Anatole France :
La tarification au taux d’effort a été décidée lors du Conseil municipal du 12 Décembre
2013.
Cette tarification sociale est pondérée selon le nombre d’enfants à charge pour favoriser les
familles, et prend en considération les situations familiales particulières (veuvage,
monoparentalité, familles d’accueil) tout en cherchant à maintenir la mixité sociale des
publics fréquentant le même service.
Le quotient familial (QF), est une base de calcul adaptée à la tarification, qui prend en
compte la composition familiale. De ce fait, il n’y a pas de tarification dégressive selon le
nombre d’enfant fréquentant le service. Un prix plancher et un prix plafond sont appliqués
de manière à ce que chaque famille, y compris la plus modeste, apporte une contribution au
financement du service, et que les tarifs ne soient pas prohibitifs pour les foyers à hauts
revenus, et ainsi maintenir la mixité sociale.
Lors de la Commission Éducation du 5 Septembre 2014, il a été proposé de passer à une
tarification au ¼ heure et de conserver en 2015 les tarifs de 2014.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
26
Par délibération du 25 Juin 2015, le Conseil municipal a approuvé le règlement intérieur de
l’accueil périscolaire et l’intégration d’un quart d’heure de TAP en périscolaire facturé.
le matin : de 7H30 à 8H45
Le mercredi midi de 11h55 à 12h30.
le soir : de 16H15 à 18H30
Il est rappelé qu’un quart d’heure est facturé 0,35€.
Sachant que le quart d’heure supplémentaire a eu un impact de + 0,35 € par famille,
il est proposé de maintenir les tarifs du service périscolaire pour l’année 2016 : - le 1/4 d’heure d’accueil est facturé selon le principe suivant : Quotient Familial multiplié
par un taux de 0,055%,
- sachant que le tarif minimum par 1/4 d’heure est de 0,10 €,
- et que le tarif maximum par 1/4 d’heure est de 0,75 €.
Pour les non-allocataires CAF ou MSA, le tarif sera majoré de 0,125 €.
DELIBERATION N° 2015/12/14
OBJET : Accueil périscolaire du Groupe Scolaire Anatole France :
- Tarifs 2016.
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu l’avis favorable de la Commission Education – Enfance – Jeunesse et
Formation du 5 Novembre 2015.
Vu la note de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers municipaux
à l’appui de leur convocation,
Sur proposition de Monsieur le Maire, il est proposé au Conseil
municipal de conserver une tarification au taux d'effort et de maintenir
les tarifs votés en 2015 pour l’année 2016.
Après en avoir délibéré, le Conseil municipal décide de retenir les tarifs
suivants, applicable à compter du 1er Janvier 2016 :
- le 1/4 d’heure d’accueil est facturé selon le principe suivant : Quotient
Familial multiplié par un taux de 0,055 %,
- sachant que le tarif minimum par 1/4 d’heure est de 0,10 €,
- et que le tarif maximum par 1/4 d’heure est de 0,75 €.
Pour les non-allocataires CAF ou MSA, le tarif sera majoré de 0,12 €.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
27
F. CENTRE-VILLE – COMMERCE – ARTISANAT –
PROFESSIONS LIBERALES :
1. DEROGATIONS D’OUVERTURES DOMINICALES ACCORDEES
AUX COMMERCES DE DETAIL - 2016 :
Rapporteur : Véronique Le BORGNE
Dans les commerces de détail non alimentaires, où le repos hebdomadaire a lieu
normalement le dimanche, ce repos peut être supprimé les dimanches désignés, pour
chaque commerce de détail, par décision du Maire (ou, à Paris, par décision du Préfet de
Paris) prise après avis du Conseil municipal.
Seuls les salariés volontaires ayant donné leur accord par écrit à leur employeur peuvent
travailler le dimanche dans le cadre des « dimanches du Maire ». Une entreprise ne peut
prendre en considération le refus d’une personne de travailler le dimanche pour refuser de
l’embaucher. Le salarié qui refuse de travailler le dimanche ne peut faire l’objet d’une
mesure discriminatoire dans le cadre de l’exécution de son contrat de travail. Le refus de
travailler le dimanche pour un salarié ne constitue pas une faute ou un motif de
licenciement.
Ces garanties offertes aux salariés résultent de la loi du 6 Août 2015 citée en référence et
s’appliquent depuis le 8 Août 2015.
La LOI N°2015-990 DU 6 AOÛT 2015 POUR LA CROISSANCE, L’ACTIVITÉ ET
L’ÉGALITÉ DES CHANCES ÉCONOMIQUES a porté de 5 à 12 au maximum le nombre
des « dimanches du Maire ». Cette disposition s’applique à compter de 2016. La liste des
dimanches est arrêtée avant le 31 Décembre, pour l’année suivante et, pour la première fois
avant le 31 Décembre 2015 pour l’année 2016.
- Lorsque le nombre de ces dimanches n’excède pas 5, la décision du Maire est prise
par arrêté après avis simple de l’organe délibérant de la Commune.
- Lorsque le nombre de ces dimanches excède 5, la décision du Maire est prise après
avis conforme de l’organe délibérant de l’établissement public de coopération
intercommunale (EPCI) à fiscalité propre dont la Commune est membre. A défaut
de délibération dans un délai de 2 mois suivant sa saisine, cet avis est réputé
favorable. Cette disposition, issue de la loi du 6 Août 2015, s’applique à compter de
2016.
- Lorsque le repos dominical a été supprimé le jour d’un scrutin national ou local,
l’employeur prend toute mesure nécessaire pour permettre aux salariés d’exercer
personnellement leur droit de vote. Cette disposition, issue de la loi du 6 Août 2015
précitée, est entrée en vigueur le 8 Août 2015.
Pour les commerces de détail alimentaire dont la surface de vente est supérieure à
400 m², lorsque les jours fériés légaux mentionnés à l’article L. 3133-1 du code du
travail, à l’exception du 1er Mai, sont travaillés, ils sont déduits par l’établissement
des dimanches désignés par le Maire, dans la limite de trois. Cette disposition, issue
de la loi du 6 Août 2015 citée en référence, s’appliquera à compter de l’année 2016.
Chaque salarié ainsi privé de repos dominical perçoit une rémunération au moins
égale au double de la rémunération normalement due pour une durée équivalente et
bénéficie d’un repos compensateur équivalent en temps.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
28
L’arrêté municipal (ou préfectoral pour Paris) détermine les conditions dans
lesquelles ce repos est accordé, soit collectivement, soit par roulement dans la
quinzaine qui précède ou suit la suppression du repos.
Si le repos dominical est supprimé un dimanche précédant une fête légale, le repos
compensateur est donné le jour de cette fête.
Mme Rita SCHLADT : « Quelles organisations ont été consultées préalablement à la
délibération ? »
Mme Véronique LE BORGNE : « Le CERB a été consulté. Plus exactement, la
Commission Centre-ville, qui est un regroupement de commerces du centre-ville. Il
était souhaité de leur proposer d’engager une dynamique globale en terme
économique pour ces quatre dimanches. »
Mme Rita SCHLADT : « Ce qui signifie que les commerçants qui n’adhèrent pas au
CERB n’ont pas été consultés ? »
Mme Véronique LE BORGNE : « Le CERB représente plus de trois quarts des
commerçants. »
Mme Rita SCHLADT : « Les syndicats ont-ils été consultés ? »
M. le Maire : « La délibération n’est pas soumise à consultation, c’est dans le cadre
de l’arrêté que les avis sont requis. »
Mme Rita SCHLADT : « Pour autant, c’est important, dans le cadre du vote, de
savoir si les syndicats ont donné leur accord. »
M. le Maire : « La délibération est un préalable. Indépendamment, il est nécessaire
qu’il y ait cohérence entre le Centre-ville et l’extérieur. Cette disposition n’est ni
définitive, ni permanente, il est proposé d’expérimenter cette proposition sur deux
périodes déterminantes : les fêtes de fin d’année et la période des soldes. »
M. Jean-Luc PLUMELET : « L’ouverture permise ne contente ni les salariés, ni les
commerçants et encore moins les usagers. L’argument par lequel les salariés seront
payés le double, etc… n’est pas recevable, les citoyens ont autre chose à faire le
dimanche, y compris en famille, que d’aller dans les grandes surfaces. Cela ne
correspond pas à ce que pensent les gens et cela se traduit par l’expression de mal
être de nos concitoyens.
Dans le passé, nous avons été confrontés à ces demandes, mais sans commune
mesure.
Le vrai sujet, aujourd’hui, concerne le centre-bourg et la sauvegarde de ces
commerces. Nous ne souhaitons pas déplacer le centre de gravité commercial sur les
zones extérieures au centre-bourg. »
M. le Maire : « Je rappelle la nécessaire cohérence entre le centre et le reste de la
Commune. »
Mme Rita SCHLADT : « J’insiste sur la nécessité de maintenir les dimanches non
travaillés. Je salue néanmoins le travail de concertation fait. »
Mme Laurence PELÉ LEGOUX : « Il y a eu des échanges en commission, je
souhaite qu’une dynamique s’instaure, porteuse de cohérence au niveau des
commerçants. »
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
29
DELIBERATION N° 2015/12/15
OBJET : Dérogations d’ouvertures dominicales accordées aux
commerces de détail – 2016.
L’article L.3132-26 du Code du travail, tel que modifié par la loi
« Macron », confère au Maire le pouvoir de supprimer le repos
dominical des salariés dans la limite maximale de douze dimanches par
an à partir de 2016 et ce, au bénéfice de chaque catégorie de commerce
de détail.
La loi « Macron » a introduit l’obligation pour le Maire d’arrêter la liste
des dimanches avant le 31 Décembre pour l’année suivante.
De ce fait, la désignation des dimanches de l’année 2016 sur lesquels
portera la dérogation municipale devra intervenir avant le 31 Décembre
2015.
La dérogation municipale ne peut être accordée qu’à des établissements
commerciaux où des marchandises sont vendues au détail au public.
Sont donc exclus tous les établissements qui n’exercent pas à titre
principal un commerce de détail.
La dérogation que peut octroyer le Maire doit obligatoirement bénéficier
dans tous les cas à la totalité des établissements situés dans la Commune
se livrant au commerce de détail concerné.
Depuis l’intervention de la loi du 6 Août 2015, seuls les cinq premiers
dimanches demeurent « à la main » du Maire. Il doit toutefois désormais
procéder à la consultation du Conseil municipal avant de prendre sa
décision et doit toujours, en amont, recueillir les avis des organisations
professionnelles et des organisations syndicales concernées.
La Commission municipale Centre Ville – Commerce – Artisanat –
Professions Libérales réunie le 7 Décembre 2015, propose de déroger au
principe du repos dominical pour 4 dimanches en 2016 :
Pour les périodes de soldes : 10 Janvier 2016
26 Juin 2016
Pour la période des fêtes de fin d’année : 11 et 18 Décembre 2016
Vu la loi n°2015-990 du 6 Août 2015 pour la croissance, l’activité et
l’égalité des chances économiques.
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu le Code du Travail,
Vu l'avis favorable de la Commission Centre Ville – Commerce –
Artisanat – Professions Libérales en date du 7 Décembre 2015,
Vu la note de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers municipaux
à l’appui de leur convocation.
Le Conseil Municipal,
DONNE un avis favorable au principe d’une dérogation municipale
portant sur 4 dimanches en 2016.
VOTE : 23 pour – 2 contre – 4 abstentions.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
30
G – CULTURE – TOURISME - PATRIMOINE :
1. CONVENTION AVEC L’ASSOCIATION L’ENVOL DES LIVRES :
Rapporteur : Jacky FLIPPOT
L’association l’Envol des Livres s’est créée en 2008 pour gérer et animer la bibliothèque
annexe de Saint-Émilien-de-Blain. Ouverte au public les mercredi, samedi et dimanche de
11h00 à 12h00, les bénévoles travaillent avec des moyens mis à disposition par la Ville
pour contribuer à la diffusion culturelle, notamment dans le domaine de la lecture
publique, sur le secteur de Saint-Émilien.
Suite à une convention triennale signée en Janvier 2010, le Conseil Municipal avait
autorisé Monsieur le Maire par délibération en date du 20 Mars 2014 à renouveler pour 1
an la convention visant à définir le contexte de l’activité associative et les obligations
respectives des 2 partenaires.
Cette convention étant arrivée à échéance, il convient de la renouveler.
Mme Rita SCHLADT : « Je fais part de notre soutien du travail de l’association. La
présentation faite par l’association en Commission était très intéressante et très claire. Par
contre, la convention n’a pas été présentée, nous demandons donc que soit retiré le passage
« Vu l’avis favorable de la Commission… »
M. le Maire : « Je me félicite des relations avec l’association et rappelle l’intervention
auprès du Conseil départemental pour maintenir et consolider l’action de l’association. »
DELIBERATION N° 2015/12/16
OBJET : Convention avec l’association l’Envol des Livres.
Monsieur le Maire rappelle au Conseil Municipal que l’association
L’Envol des Livres créée en 2008 contribue, avec la Médiathèque
municipale, à l’animation culturelle notamment dans le domaine de la
lecture sur le secteur de Saint-Émilien-de-Blain.
Vu la délibération du 21 Janvier 2010 par laquelle le Conseil Municipal
avait autorisé Monsieur le Maire à signer une convention triennale
visant à définir le contexte de l’activité associative et les obligations
respectives des 2 partenaires,
Vu la délibération du 20 Mars 2014 par laquelle le Conseil Municipal
avait autorisé Monsieur le Maire à renouveler la convention pour une
année,
Vu la note de synthèse adressée aux Conseillers municipaux à l’appui de
leur convocation,
Sur proposition de Monsieur le Maire, le Conseil Municipal, après en
avoir délibéré :
Approuve les termes de cette convention,
Autorise Monsieur le Maire à signer cette convention triennale avec
l’association l’Envol des Livres.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 18 Décembre 2015
Date de télétransmission en Préfecture : 22 Décembre 2015
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
31
CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE
L’ASSOCIATION
« L’ENVOL DES LIVRES » ET LA COMMUNE DE BLAIN
Par délibération en date du 28 Septembre 2000 avec entrée en vigueur au 1er
Janvier 2001, la Commune de Blain a créé un service public de lecture à l’occasion de la
municipalisation de la bibliothèque associative « Le Puits au Chat », devenue
médiathèque municipale en 2009.
Dans le cadre de sa politique culturelle, la Municipalité souhaite faciliter l’accès aux
livres et à la lecture pour le plus grand nombre de ses habitants, et notamment pour les
plus éloignés du centre-ville de Blain. Dans ce but, elle souhaite continuer à valoriser et à
soutenir les initiatives de l’équipe de bénévoles qui s’est constituée en association sous le
nom « L’Envol des Livres » pour gérer la bibliothèque de Saint-Emilien de Blain.
Selon ses statuts, l’association a pour but de prêter des livres à ses adhérents et de gérer la
bibliothèque de Saint-Emilien. Plus globalement, l'association s'est constituée dans le but
d'offrir un service de proximité de prêt de livres gratuit aux habitants de Saint-Emilien et
de ses environs.
Après avoir informatisé le fonds, les objectifs de l'association « L'Envol des Livres » sont
désormais :
- de poursuivre l'accroissement de la diffusion culturelle en milieu rural, notamment par
la mise en place d'animations relayées par les médias locaux autour de la lecture,
- de poursuivre l’informatisation et la diversification de son fonds documentaire,
- de favoriser les rencontres de milieux sociaux différents grâce aux livres, de lutter
contre l'isolement et de tisser du lien intergénérationnel,
- d’engager un partenariat avec la Médiathèque de Blain sur les actions suivantes : les
ateliers RAM (sous réserve de la disponibilité des membres de l’association) et les
réservations de la Bibliothèque Départementale.
OBJET
La présente convention a pour but de déterminer les conditions dans lesquelles la
Municipalité de Blain accompagne l’association « L’Envol des Livres » dans ses missions
et dans ses objectifs sur le territoire de Saint-Émilien.
Cette convention est conclue entre la Commune de Blain représentée par son Maire,
Monsieur Jean-Michel BUF d’une part, et l’association de bénévoles « L’Envol des
Livres » représentée par sa Présidente, Madame Valérie BREHIER-JAUNATRE d’autre
part.
Entre, la Commune de Blain, représentée par son Maire Monsieur Jean-Michel BUF,
autorisé par délibération en date du 17 Décembre 2015,
Et l’Association « l’Envol des Livres », représentée par sa Présidente, Madame Valérie
BREHIER-JAUNATRE,
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
32
IL A ETE CONVENU CE QUI SUIT :
La bibliothèque associative « L’Envol des Livres », gérée de manière autonome, est
ouverte au public dans un local municipal situé rue Jean Garçon, à Saint-Emilien de Blain.
L’Association de bénévoles administre l’activité de la bibliothèque de Saint-Emilien en
exerçant notamment les missions suivantes:
l’accueil et l’information du public par la tenue de permanences lors des plages
d’ouverture de la bibliothèque,
les opérations de prêt et de retour des documents,
le choix des ouvrages et l’entretien des collections (équipement, rangement),
l’animation et la promotion de la bibliothèque,
l’accueil de classes et de groupes divers.
ENGAGEMENTS DE LA COMMUNE
ARTICLE 1 : SUBVENTION DE FONCTIONNEMENT
Le versement d’une subvention à une association est soumis à un certain nombre de
conditions d’attribution et d’utilisation. En tout état de cause, la subvention doit être
sollicitée et les collectivités publiques disposent d’un pouvoir discrétionnaire pour
l’accorder ou pour la refuser. Toute association légalement déclarée exerçant une activité
d’intérêt général peut, en principe, demander des subventions, mais elle doit répondre à
certaines conditions : association déclarée et attestant de sa capacité juridique (récépissé
de déclaration et extrait du Journal officiel) comme le stipule la loi n° 87.571 du
23/07/1987.
Afin de soutenir les missions de l’Association « L’Envol des Livres » qui sont
mentionnées ci-dessus, la Commune s’engage à lui verser une subvention annuelle de
fonctionnement au moins égale à 2 100 € dans le cadre de la procédure blinoise en
vigueur pour toutes les associations. Cette demande devra obligatoirement être
accompagnée d’un bilan, d’un budget prévisionnel et d’un détail des activités de
l’Association (cf. dossier de demande de subvention).
Le montant de la subvention allouée chaque année fera l’objet d’une délibération du
Conseil Municipal et son versement s’effectuera courant Juin ou Juillet
L’Association s’engage à respecter son programme détaillé et son budget prévisionnel, et
à mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour les respecter.
ARTICLE 2 : SUBVENTION D’INVESTISSEMENT
Une subvention d’investissement peut exceptionnellement être sollicitée pour un achat de
matériel ou de mobilier, en utilisant le formulaire de demande annuelle de subvention et
en respectant son calendrier.
ARTICLE 3 : MISE A DISPOSITION DE LOCAUX
La Commune met gratuitement à la disposition de l’Association un local situé 12 rue Jean
Garçon à Saint-Emilien de Blain. Cette mise à disposition fait l’objet d’une valorisation
annuelle et ses modalités sont détaillées à l’annexe numéro 1.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
33
ARTICLE 4 : MISE A DISPOSITION DE MOYENS MATERIELS
La Commune met gratuitement à la disposition de l’Association les moyens matériels
désignés en quantité et en qualité à l’annexe numéro 2.
Ces biens demeureront en tout état de cause la propriété de la Commune qui aura à tout
moment la possibilité de procéder à un inventaire contradictoire.
A l’expiration de la présente convention, par suite de la survenance du terme fixé, de la
résiliation ou de toute autre cause, ces biens seront immédiatement et gratuitement
restitués à la Commune en état normal d’entretien. Ils lui seront également restitués en
cas de dissolution de l’Association.
ARTICLE 5 : MISE A DISPOSITION DE MOYENS EN PERSONNEL
Cet article est sans objet dans la présente convention.
ARTICLE 6 : ACCES AU FONDS DE LA MEDIATHEQUE
Conformément au règlement intérieur de la Médiathèque, la Commune accorde le statut
de collectivité à l’Association « L’Envol des Livres ». Dans ce cadre, celle-ci bénéficiera
d’un abonnement spécifique à titre gratuit, et elle pourra emprunter des documents
appartenant au fonds de la Médiathèque pour assurer ses animations.
ARTICLE 7 : FORMATION DES BENEVOLES ASSOCIATIFS
Les membres actifs de l’Association peuvent participer à des actions de formation
(dispensées par la BDLA, etc.), après accord du Maire de la Commune.
ENGAGEMENTS DE L’ASSOCIATION
ARTICLE 8 : OUVERTURE AU PUBLIC
Des permanences d’ouverture au public sont organisées par les bénévoles de l’Association.
L’accès à la bibliothèque (donc son utilisation) n’est pas soumis à adhésion à
l’Association.
ARTICLE 9 : REGLEMENT INTERIEUR
L’Association élabore un règlement intérieur qui fixe les modalités d’accès et d’utilisation
de la bibliothèque, ainsi que les droits et les devoirs de ses utilisateurs. Les bénévoles de
l’Association sont responsables de son application.
ARTICLE 10 : COLLECTIONS
Les bénévoles de l’Association sont responsables du suivi administratif de tous les prêts de
documents (gestion des retards, remplacement et/ou remboursement des ouvrages perdus
ou détériorés). Ils ont également la charge des documents prêtés par la Bibliothèque
Départementale de Loire-Atlantique. La gestion du fonds est informatisée sur un logiciel
propre à l’Association.
ARTICLE 11 : PROPRIETE ET RESTITUTION DU FONDS
L’Association est propriétaire de son fonds. En cas de dissolution de l’Association, le
fonds sera cédé à une autre association assurant la promotion du livre et de la lecture à
Saint-Emilien ou, à défaut, restitué à la Commune.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
34
ARTICLE 12 : ASSURANCES
L’Association exerce ses activités sous sa responsabilité exclusive. Elle s’engage à
justifier de la souscription de toutes les polices d’assurance nécessaires pour garantir sa
responsabilité (RC, etc.) et pour que la responsabilité de la Commune ne puisse être
recherchée.
ARTICLE 13 : CONTROLES
Contrôle des actions
L’Association rendra compte régulièrement à la Commune de ses actions au titre de la
présente convention. Elle lui transmettra notamment, au plus tard le 1er Juillet, un rapport
d’activité portant sur la réalisation des actions prévues au titre de l’année N –1 (si
l’Association dépose la demande de subvention habituelle, cette pièce n’est pas
obligatoire).
Contrôle financier
Au plus tard le 1er Juillet, l’Association transmettra à la Commune, après leur
approbation, les comptes annuels de l’exercice écoulé (si l’Association dépose la
demande de subvention habituelle, cette pièce n’est pas obligatoire).
Contrôle exercé par la Collectivité
L’Association s’engage à faciliter le contrôle par la Commune tant d’un point de vue
quantitatif que qualitatif, de la réalisation des actions prévues, de l’utilisation des aides
attribuées et d’une manière générale de la bonne exécution de la présente convention.
A cet effet, les services municipaux sont chargés du contrôle de l’Association.
Cependant, la Commune pourra procéder ou faire procéder par les personnes de son
choix aux contrôles qu’elle jugera utiles. L’Association devra informer la Commune des
modifications intervenues dans ses statuts, dans la composition de son Conseil
d’administration et de son Bureau.
ARTICLE 14 : INFORMATION DE LA COMMUNE
L’association s’oblige à inviter l’élu municipal en charge de la lecture publique lors de ses
Assemblées Générales.
ARTICLE 15 : COMMUNICATION
En terme de communication, l’Association recherche à faciliter la coopération avec la
Commune.
DISPOSITIONS COMMUNES
ARTICLE 16 : PRISE D’EFFET – DUREE
La présente convention est conclue pour une durée de 3 ans et elle prend effet au 1er
Janvier 2016.
ARTICLE 17 : MODIFICATION ET RESILIATION
Toute modification à cette convention fera l’objet d’un avenant.
En cas de non-respect par l’Association de ses engagements contractuels, ainsi qu’en cas
de faute grave de sa part, la Commune pourra résilier de plein droit la présente
convention, à l’expiration d’un délai de 2 mois suivant l’envoi d’une lettre recommandée
avec accusé de réception. La résiliation dans les conditions précitées implique la
restitution des subventions versées par la Commune.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
35
En cas de non-respect par la Commune de ses engagements contractuels, ainsi qu’en cas
de faute grave de sa part, l’Association pourra résilier de plein droit la présente
convention, à l’expiration d’un délai de 2 mois suivant l’envoi d’une lettre recommandée
avec accusé de réception.
ARTICLE 18 : BILAN DU PARTENARIAT
La Commune et l’Association s’engagent à se rencontrer au moins une fois par an pour
effectuer le bilan de leur partenariat en matière de lecture publique et pour définir les
perspectives d’évolution de celui-ci.
ARTICLE 19 : PIECES ANNEXES
Les pièces suivantes sont annexées à la présente convention :
- mise à disposition de locaux (annexe 1)
- liste détaillée des matériels mis à disposition (annexe 2)
Fait à Blain le
Pour la Commune de Blain, Pour l’Association « L’Envol des Livres »,
Le Maire, M. Jean-Michel BUF. La Présidente, Mme Valérie BREHIER-
JAUNÂTRE
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
36
ANNEXE 1 - OCCUPATION D’UN LOCAL COMMUNAL ------
sis, 12, rue Jean Garçon – Saint Emilien de Blain
------
ARTICLE 1 :
ARTICLE 2 :
ARTICLE 3 :
ARTICLE 4 :
ARTICLE 5 :
ARTICLE 6 :
La Municipalité de BLAIN met à la disposition de l’Association L’Envol des
Livres à titre gratuit un local situé 12, rue Jean Garçon Saint Emilien 44130
BLAIN pour les activités de la bibliothèque.
Dans le cadre de ses obligations de propriétaire, la Commune s’engage à la
conservation du clos et du couvert, et à assurer l’immeuble. Elle prend
également en charge les frais de fluides et de nettoyage des locaux.
Les locaux sont occupés par l’Association d’une manière permanente.
L’Association est informée qu’elle prend les locaux dans l’état où ils se trouvent,
et qu’aucuns travaux ni aménagements n’y sont envisagés, sauf si la sécurité des
personnes l’impose.
L’Association s’engage à prendre soin des locaux mis à sa disposition par la
Commune. Toute dégradation fera l’objet d’une remise en état aux frais de
l’organisme. Aucune transformation ou amélioration des lieux ne pourra être
décidée ou réalisée sans l’accord écrit de la Commune.
L’Association souscrira toutes polices d’assurances nécessaires pour garantir sa
responsabilité civile et ses biens. Elle paiera les primes et les cotisations de ses
assurances sans que la responsabilité de la Commune puisse être mise en cause.
Elle devra justifier à chaque demande de l’existence de telles polices
d’assurances et du règlement des primes correspondantes.
La mise à disposition des locaux est valorisée…..
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
37
ANNEXE 2 – MATERIEL MIS A DISPOSITION ------
ARTICLE 1 :
ARTICLE 2 :
ARTICLE 3 :
La Municipalité de BLAIN met à la disposition de l’Association « L’Envol des
Livres » à titre gratuit du matériel pour les activités de la bibliothèque situé 12,
rue Jean Garçon Saint Emilien 44130 BLAIN.
La liste du matériel mis à disposition est la suivante :
- 1 table et 4 chaises pour enfants,
- 1 bureau et 1 caisson,
- 4 chaises,
- 1 fauteuil,
- 5 chauffeuses,
- 7 bacs à albums,
- 1 meuble à revues,
- 2 rayonnages hauteur 180 cm,
- 2 rayonnages hauteur 150 cm,
Le matériel mis à disposition de l’Association est placé sous sa responsabilité.
En cas de perte ou de vol, l’Association s’engage à le remplacer.
H - INFORMATIONS DIVERSES :
1. Population :
Monsieur le Maire indique que la population blinoise au 1er Janvier 2016 (Insee 2013) est
de 9.733 habitants.
1. Agenda :
- Vendredi 18 Décembre 2015 à 20H30 à la Scierie : Concert free-jazz par le trio YA SO
MA.
- Samedi 19 Décembre 2015 dès 10H00 : Animation sur le marché avec le Concours de
soupes organisé par MBCBG.
- Samedi 19 Décembre 2015 à partir de 14H00 à la salle des Fêtes : Père Noël vert
organisé par le Secours populaire.
- Jeudi 7 Janvier 2016 à 17H30 en Maire : Vœux au personnel.
- Jeudi 14 Janvier 2016 à 19H00 à la Salle des Fêtes : Vœux à la population.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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- Conseil interne le Mardi 19 Janvier 2016 à 20H00 : Règlement intérieur.
- Conseil municipal le Jeudi 28 Janvier 2016 à 20H00.
I – QUESTIONS DIVERSES :
Question du Groupe minoritaire :
Les toilettes publiques de Saint Émilien ont subi des dégradations importantes empêchant
leur utilisation. Quelle(s) suite(s) avez-vous donné à cette incivilité? Une remise en état
est-elle prévue ?
M. Philippe CAILLON : « J’ai effectué une visite du site et des sanitaires qui ont été
incendiés dans la partie WC. Ils sont actuellement inutilisables sauf la partie urinoirs.
Les avis divergent au niveau du Conseil de Village. Les sanitaires sont utilisés par les
cyclistes qui circulent dans le secteur. Les services de la Mairie vont consulter le
constructeur pour faire une expertise et faire un devis de réhabilitation. En fonction du
devis, il y aura réparation ou reconstruction. Ces sanitaires font l’objet de nombreuses
interventions (lumière, portes…) et sont utilisés. »
Mme Rita SCHLADT : « La Commune a-t-elle porté plainte ? »
M. Philippe CAILLON : « Oui, suite à mon passage, la Police municipale a déposé une
main courante. Il faut savoir que ces sanitaires servent de salle de réunion, c’est un lieu de
regroupement pour les jeunes. »
Fin de la séance à 21H05.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal
du 17 Décembre 2015
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J-M. BUF N. GUIHOT C. MORMANN
M-F. GUIHO J-L. POINTEAU Y. DUBOURG
P. CAILLON V. LE BORGNE J. FLIPPOT
J-F. RICARD S. CODET C. CAMELIN
A. COLIN C. COOREVITS B. DENIEL
M. GILLET M-H. GUILLAUME M-J. GUINEL
N. MORMANN L. PELÉ LEGOUX T. PLANTARD
J-L. PLUMELET A. POYER J. RICHARDEAU
R. SCHLADT