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1er objectif: Empêchement des pertes de chaleur Lors du réchauffement dans les chauffe-eau, chaudières à cir- culation, échangeurs thermiques etc. l’eau dure provoque inéluctablement l’entartrage des surfaces de transfert thermi- que. Il en résulte un véritable barrage de calcaire contre la chaleur (BCC) avec un énorme effet isolant. Ceci explique la comparaison des valeurs calorifiques de: p. ex. cuivre: 272 W/Km calcaire: 2,2 W/Km c’est-à-dire que la conductibilité thermique se détériore au facteur 170! Ceci provoque le prolongement du temps de chauffe et ainsi une consommation d’énergie plus élevée. Une couche de calcaire (BCC) d’une épaisseur de 2 mm seulement réduit le coefficient de transmission thermi- que d’un échangeur thermique à tube lisse de 90% et le degré de rendement de transmission thermique d’env. 60%. De tels cas sont fréquents dans la pratique en cas d’eau dure (25° fH) et exploitation de l’installation d’eau chau- de selon DVGW, fiche de tra- vail W 551 (infection thermi- que continue par les légio- nelles – Prophylaxie avec une température de l’eau de > 60°C). 2ème objectif: Energie positive - Bilan Les pertes d’énergie s’élèvent énormément avec l’augmenta- tion du barrage de calcaire contre la chaleur: La conséquence: un bilan énergétique négatif et de ce fait des coûts élevés. 2 mm de dépôt calcaire provo- quent une énorme perte et ainsi une consommation d’énergie de plus de 15%! Pour les installations solaires, les possibilités d’économie sont diminuées de manière drastique par les dépôts de calcai- re. Pour un dépôt de calcaire de 2 mm seulement, le degré de rendement de l’installation diminue d’env. 60% (voir fig. 1)! L’économie d’énergie et l’empêchement des pertes d’énergie sont des thèmes principaux du point de vue de l’utili- sation responsable, écologique et protectrice de nos ressources. Les ménages privés sont encore, avant le trafic et l’industrie, les plus gros consommateurs d’énergie. Le potentiel d’économie est de ce fait tout spécialement élevé dans ce domaine. La protection écologique contre le calcaire apporte une contribution active à l’économie Tenir le calcaire en main - Un exemple pour la nature Echangeur thermique à 36° fH, après 3 mois d’exploitation. Fig. 1: Degré de rendement et coefficient de transmission thermique dépendant de l’entartrage Fig. 2: Perte d’énergie dépendante de l’entartrage (chaudière à mazout avec fonctionnement à plein régime) Fig. 3: Installation solaire avec appareil anticalcaire JRG Coral force ® Efficience énergétique par la protection contre le calcaire Un management actif de l’énergie et par la même une contribution durable à la protection climatique et environnementale Diminution du degré de rendement par BCC Diminution du coefficient de transmission thermique Couche de calcaire en millimètre Couche de calcaire en millimètre Pertes d’énergie Branchement d’immeuble Eau froide Eau froide Echangeur ther- mique solaire Eau chaude Collecteur Chaudière à mazout Echangeur thermique

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  • 1er objectif: Empchement des pertes de chaleur

    Lors du rchauffement dans les chauffe-eau, chaudires cir-culation, changeurs thermiques etc. leau dure provoqueinluctablement lentartrage des surfaces de transfert thermi-que. Il en rsulte un vritable barrage de calcaire contre lachaleur (BCC) avec un norme effet isolant. Ceci explique lacomparaison des valeurs calorifiques de:

    p. ex. cuivre: 272 W/Km calcaire: 2,2 W/Km

    cest--dire que la conductibilit thermique se dtriore aufacteur 170! Ceci provoque le prolongement du temps dechauffe et ainsi une consommation dnergie plus leve.

    Une couche de calcaire (BCC) dune paisseur de 2 mmseulement rduit le coefficient de transmission thermi-que dun changeur thermique tube lisse de 90% et ledegr de rendement de transmission thermique denv.60%.

    De tels cas sont frquentsdans la pratique en cas deaudure (25 fH) et exploitationde linstallation deau chau-de selon DVGW, fiche de tra-vail W 551 (infection thermi-que continue par les lgio-nelles Prophylaxie avec unetemprature de leau de >60C).

    2me objectif: Energie positive - Bilan

    Les pertes dnergie slvent normment avec laugmenta-tion du barrage de calcaire contre la chaleur:

    La consquence: un bilan nergtique ngatif et de cefait des cots levs. 2 mm de dpt calcaire provo-quent une norme perte et ainsi une consommationdnergie de plus de 15%!

    Pour les installations solaires, les possibilits dconomiesont diminues de manire drastique par les dpts de calcai-re. Pour un dpt de calcaire de 2 mm seulement, ledegr de rendement de linstallation diminue denv.60% (voir fig. 1)!

    Lconomie dnergie et lempchement des pertes dnergie sont des thmes principaux du point de vue de lutili-sation responsable, cologique et protectrice de nos ressources. Les mnages privs sont encore, avant le trafic etlindustrie, les plus gros consommateurs dnergie. Le potentiel dconomie est de ce fait tout spcialement levdans ce domaine.

    La protection cologique contre le calcaire apporte une contribution active lconomie

    Tenir le calcaire en main - Un exemple pour la nature

    Echangeur thermique 36 fH,aprs 3 mois dexploitation.

    Fig. 1: Degr de rendement et coefficient de transmission thermiquedpendant de lentartrage

    Fig. 2: Perte dnergie dpendante de lentartrage (chaudire mazout avec fonctionnement plein rgime)

    Fig. 3: Installation solaire avec appareil anticalcaire JRG Coral force

    Efficience nergtique parla protection contre le calcaireUn management actif de lnergie et par la mme une contribution durable la protection climatique et environnementale

    Diminution du degr de rendement par BCC

    Diminution du coefficient de transmission thermique

    Couche de calcaire en millimtre

    Couche de calcaire en millimtre

    Pertes dnergie

    Branchementdimmeuble

    Eau

    fro

    ide

    Eau froide

    Echangeur ther-mique solaire

    Eau

    ch

    aud

    e

    Collecteur

    Chaudire mazout

    Echangeurthermique

  • Cela signifie quune surface solaire non utilise (et de ce faitles frais dinvestissement) correspondent 60%. Cette pertedoit nouveau tre compense par des producteurs deauchaude traditionnels onreux (p. ex. avec des combustiblesfossiles ou du courant lectrique).

    3me objectif: Amortissement de linstallationJRG Coral force pour Empchement de laformation de calcaire

    1. Economie dnergieLa part des gnrateurs deau chaude la consommationdnergie dans le mnage se situe entre 10% et 50% selon laralisation du btiment (btiment nergie constante resp.basse nergie) et est par exemple prs de 8 fois aussi leveque la consommation dnergie pour lclairage.

    2. Economie des frais de dtartrageSans une installation anticalcaire cologique homologueSVGW, un coteux dtartrage rptition de tous les chauf-fe-eau est ncessaire.

    3. Economie des frais de rparationLes frais de rparation ou de remplacement des rubans chauf-

    fants, robinetterie, pompes, machines etc. endommags parle calcaire peuvent tre rduits de manire drastique.

    4. Protection contre le calcaire du rseau de conduite

    5. Prolongation de la dure de vie des installations etappareils de production deau chaude

    Ces objectifs sont atteints par une installation de protectioncontre le calcaire moderne et cologique avec homologationSVGW et une contribution efficiente en matire dconomiednergie. Lenvironnement est soulag et les frais rduits.

    Ecologie et conomie main dans la main:

    La base fondamentale en matire de performance nergti-que des btiments (GEA) est fixe par la SIA laide de la fichede consultation 2031"Performance nergtique des bti-ments" et ceci pour les btiments se situant actuellementdans le communiqu.

    La performance nergtique de la SIA se prte la libre dcla-ration et celle prescrite lavenir par les autorits.

    Biominralisation

    Dans la nature, il existe unprocd, dans lequel le cal-caire dissout dans leau setransforme en petits cri-staux de calcaire. Les co-quillages et des coraux utili-sent cette biodminralisa-tion pour constituer leurcoquille de calcaire. Egale-

    ment chez ltre humain, la structure osseuse et lmail desdents sont constitus de la mme manire.

    Ce mode opratoire est dune simplicit stupfiante avec lap-pareil de protection contre le calcaire JRG Coral force. La for-mation excdentaire de calcaire en provenance du passage deleau est transforme en microcristaux grce la surface sp-ciale des granuls catalyseurs. La technologie de la biomin-ralisation a t dveloppe par lentreprise Watercryst

    GmbH.

    Aprs avoir atteint une taille de quelques millionimes de mil-limtre, ceux-ci sont nouveau remis dans le dbit deau, dis-tribus dans le rseau de conduite et deviennent des centresde cristallisation autonomes.

    De ce fait, il en rsulte un effet boulle de neige: sa croissancelimine lexcdent de calcaire et leau accde lquilibre, parlequel chaque processus de dveloppement de calcaire cesse.La formation de pierre de calcaire adhrente nest ds lorsplus possible et le calcaire dissout est limin avec leau sousforme de nombreux petits cristaux ayant une taille de quel-ques millionimes de millimtres. Et ds lors tous les minrauxsont maintenus dans leau.

    Source: BIOCAT

    JRG Coral force: Hightech en provenance de la natureLe calcaire fait partie intgrante de leau potable. Il est sain et important pour lorganisme humain. Toutefois, il est problmati-que et onreux dans les installations domestiques. Le mode opratoire de la technique anticalcaire JRG Coral force, conform-ment lexemple de la nature, ne modifie lors du traitement ni la composition ni la qualit de leau potable.

    Technologie Watercryst-patente: Modle de biodminralisation