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Colloque pour la célébration du40-ème anniversaire du CODESRIA, à partir de mardi

Dakar, 3 juin (APS)- Le Conseil pour le développement de la re-cherche en sciences sociales en Afrique (CODESRIA) organise mardi et mercredi un colloque pour célébrer son 40-ème anni-

versaire, annonce un communiqué transmis à l’APS.

Le texte signale que le CODESRIA tiendra sa quatorzième assemblée générale en décembre sur le thème ‘’Créer l’Afrique de demain dans un contexte de transformations mondialisées : enjeux et prospectives’’.

http://www.aps.sn/articles.php?id_article=129327

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Date: Le 03 Juin 2014

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3http://www.panapress.com/CODESRiA-marks-40th-anniversary-with-seminar--13-877813-0-lang2-index.html

CODESRIA marks 40th anniversary with seminar

Date: Le 26 Juillet 2013

CODESRIA marks 40th anniversary with seminar

Dakar, Senegal (PANA) - The Dakar-based Council for the Development of Social Science Research in Africa (CODESRIA) will mark its 40th anniversary with a seminar on 31 July at the council’s headquarters.

According to CODESRIA’s communications officer Abdarahmane Wone, the seminar will centre on the changes in the global environment and the challenges of self-determination in Africa.

Key speakers will include N’Dri Thérèse Assié-Lumumba, an Ivorian and a member of the CODESRIA scientific committee, who is also a professor in the Africana Studies and Research Centre at Cornell Uni-versity in USA.

Another speaker is Chamil Jeppie, a CODESRIA scientific committee member, who is also a lecturer in the Department of History at the Uni-versity of Cape Town, South Africa.

Prof. Maati Monjib from Morocco and Dr Ebrima Sall, the Executive Secretary of CODESRIA, are also among key speakers at the event.

CODESRIA is a pan-African research body established in 1973 with the main aim of promoting, facilitating and disseminating research in Africa, as well as creating a community in which this can take place.

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4http://lesoleil.sn/index.php?option=com_content&view=article&id=40316:dr-ebrima-sall-secretaire-executif-du-co-desria-l-sans-la-contribution-des-sciences-sociales-on-ne-fera-pas-davancees-r&catid=140:actualites

Le Conseil pour le développe-ment de la recherche en sciences sociales en Afrique (Codesria)

organise, du 10 au 11 juin prochains, un colloque dans le cadre de la célébration de ses 40 ans. Son Secrétaire exécutif, le Gambien Ebrima Sall, fait le bilan et évo-que les perspectives.

Vous allez tenir, les 10 et 11 juin pro-chains, un colloque dans le cadre de la cé-lébration des 40 ans du Codesria. Pouvez-vous nous rappeler les objectifs qui ont guidé la mise en place de cette structure en 1973 ?

Le Codesria a été établi pour faire la promotion de la recherche en sciences so-ciales et la solution de savoir en Afrique et par les Africains. C’était une manière pour les intellectuels africains d’accompagner les indépendances africaines et les déci-deurs africains. on a besoin de savoir pour formuler les politiques sur le plan écono-mique et social. Avec la colonisation, ces politiques étaient formulées de manière à servir les intérêts des pays colonisateurs. Avec les indépendances, on devait recon-sidérer tout cela et penser le monde autour de nous à partir de nos propres perspecti-ves et en tenant compte des intérêts straté-

Dr. Ebrima Sall, Secrétaire exécutif du Codesria: « Sans la contribution des sciences sociales, on ne fera pas d’avancées »

Date: Le 07 Juin 2014

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giques des peuples africains.

La recherche était nécessaire et les in-tellectuels africains ont considéré que dans le combat du développement de l’Afrique, la recherche devrait être au premier plan. Pour cela, il fallait s’organiser. C’est ainsi qu’ils se sont mis ensemble pour mettre en place le Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afri-que (Codesria).

Quarante ans après, avez-vous l’im-pression que les objectifs que le Codesria s’était fixés ont été atteints ?

On peut dire que ces objectifs ont été atteints. On ne pense plus, on ne regarde plus les réalités économiques et on ne re-garde plus le monde avec les outils que nous ont légués les colonisateurs. Nous avons beaucoup de personnes présentes dans les instances de décision, dans les gouvernements ici au Sénégal comme ailleurs en Afrique, des intellectuels qui dirigent des organisations internationales et qui sont sortis du Codesria, qui en font toujours partie d’ailleurs, et qui formulent des politiques. Ils ont tous participé et par-

tagé cette ambition de voir l’Afrique chan-ger et négocier une meilleure place dans le monde, de voir les populations africai-nes vivre mieux, les économies africaines décoller pour atteindre des niveaux de développement que l’on voit ailleurs. Le Codesria a beaucoup contribué dans cette prise de conscience.

Le Codesria est un outil pour accélérer le développement de l’Afrique, vous dites ; mais là on attend toujours l’essor du conti-nent noir. N’y a-t-il pas de paradoxe ?

Il y a des choses qui ont quand même changé. Il y a des domaines où l’on peut voir des améliorations. De ce point de vue, le secteur de l’éducation est un bon exem-ple. La colonisation nous a laissé très peu d’écoles et très peu d’institutions univer-sitaires. Or, aujourd’hui, il y en a un peu partout. Dans le domaine de la santé, le bien-être s’est amélioré et même l’espé-rance de vie a augmenté. Ce ne sont pas les intellectuels qui doivent affecter les crédits, mais ils ont participé à la réflexion pour mieux comprendre la situation et les défis pour formuler des politiques qui per-mettent de changer les conditions de vie

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des populations africaines.

Les intellectuels réfléchissent sur des politiques, mais leur application est du res-sort des autorités gouvernementales. Quels sont vos rapports avec les décideurs ?

Nos rapports avec les décideurs politi-ques ont évolué. Au début, c’était des rap-ports de méfiance parce que l’intellectuel, quand il joue bien son rôle, il dérange par-fois. Il dit des choses qu’on n’aime pas en-tendre. Alors que les politiciens gèrent les urgences, car subissant d’énormes pres-sions venant de partout. Et avoir en face d’eux des gens qui disent parfois « atten-tion », ce n’est pas toujours facile à suppor-ter. Donc nos rapports ont été des rapports de méfiance pendant longtemps. Dans la plupart des pays africains, à l’époque, et c’est l’une des raisons qui expliquent la présence du siège du Codesria au Sénégal, c’était des régimes autoritaires qui étaient en place. Ce sont des régimes qui n’étaient pas ouverts à la pensée critique, ne sup-portaient pas la contradiction. Or ce n’était pas le cas au Sénégal où le président Sen-ghor et ses différents successeurs, jusqu’au président Macky Sall, ont soutenu et conti-nuent de soutenir le Codesria. Les autori-tés sénégalaises ont permis la création de cet espace qui permet d’avoir un rapport critique et un dialogue franc avec tout le monde. Aujourd’hui, le contexte politique a bien changé, il y a beaucoup de pays où il est possible maintenant de s’exprimer sans craindre d’être arrêté. Des progrès sur le plan politique, économique et social sont

notés. Sans des universités fonctionnelles, des institutions de recherche fonctionnel-les et sans une meilleure compréhension approfondie du monde qui nous entoure, le combat pour le développement est perdu.

Pensez-vous que les sciences sociales gardent encore leur importance dans un contexte où d’aucuns disent que ce sont les sciences et les techniques qui constituent le moteur de tout développement ?

Effectivement ! Il y a beaucoup de gens qui considèrent que ce sont les sciences, les techniques et les mathématiques qui sont les principaux moteurs du développement. C’est important d’avoir des médecins, des ingénieurs, des architectes etc., mais le développement, comme le disait le profes-seur Ki-Zerbo, n’est pas quelque chose que l’on peut acheter clé en main, c’est plutôt un processus dans lequel les clés sont dans les têtes, il parlait de « développement clé en tête ». Autrement dit, c’est la réflexion, la manière de concevoir les choses et de formuler les politiques qui fait la différen-ce. Et qui dit penser, qui dit être humain, qui dit acteurs sociaux, qui dit décideurs, parle des rapports sociaux donc de scien-ces sociales. Pour dire qu’aujourd’hui, et c’est un heureux développement d’ailleurs, même dans les domaines qui semblent les plus techniques a priori comme le Sida, les changements climatiques, il est reconnu que sans la contribution des sciences so-ciales, on ne fera pas d’avancées. De nos jours, le facteur humain est encore plus dé-terminant et plus critique.

http://lesoleil.sn/index.php?option=com_content&view=article&id=40316:dr-ebrima-sall-secretaire-executif-du-co-desria-l-sans-la-contribution-des-sciences-sociales-on-ne-fera-pas-davancees-r&catid=140:actualites

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7http://lesoleil.sn/index.php?option=com_content&view=article&id=40389:40-ans-du-codesria-le-premier-ministre-salue-la-clairvoyance-des-fondateurs-&catid=78:a-la-une&Itemid=255

40 ans du Codesria : Le Premier mi-nistre salue la clairvoyance des fon-dateurs

Dans le cadre des célébra-tions de ses 40 ans, le Conseil pour le dévelop-

pement de la recherche en sciences sociales en Afrique (Codesria) tient, depuis hier, un colloque sur le thème : « Quarante ans de recherche et de production de connaissances pour l’Afrique ». A cette occasion, le Pre-mier ministre Aminata Touré a sa-

lué la contribution remarquable de cet institut aux efforts du continent pour le progrès social et le dévelop-pement.

Il y a un peu plus de quarante ans, des intellectuels africains de renom comme Samir Amin, Cheikh Anta Diop, Thandika Mkandawire, Fa-tou Sow, etc., mettaient en place le

Date: Le 11 Juin 2014

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Conseil pour le développement de la recherche économique et sociale en Afrique devenu Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (Co-desria). Objectifs : par des travaux de recherche, mettre à la portée des décideurs africains comme des mou-vements sociaux des éléments d’ap-préciation bien renseignés leur per-mettant de faire des choix politiques éclairés par une expertise africaine

de qualité. Quatre décennies plus tard et des centaines de publications scientifiques et d’ouvrages sur des questions intéressant les sociétés afri-caines et relatives à la gouvernance, au développement économique, au genre et à la santé, vues sous l’angle des sciences humaines et sociales, cet objectif que s’étaient fixés ces fondateurs semble être atteint. Pour fêter ces quarante ans de recherche et de production de connaissances

http://lesoleil.sn/index.php?option=com_content&view=article&id=40389:40-ans-du-codesria-le-premier-ministre-salue-la-clairvoyance-des-fondateurs-&catid=78:a-la-une&Itemid=255

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pour l’Afrique, le Codesria organise, depuis hier, et ce pour deux jours, un colloque au cours duquel il s’agit de revisiter ces quatre décennie de re-cherche et de dégager des perspecti-ves.

Venue présider la cérémonie d’ouverture, le Premier ministre a sa-lué la clairvoyance des fondateurs du Codesria qui ont « très tôt compris que la production d’une science sociale, par et pour les Africains, était partie intégrante de la quête d’autonomie et d’indépendance pour l’Afrique.

A cette clairvoyance des fonda-teurs, a répondu celle du Président Léopold Sédar Senghor qui a décidé, selon Aminata Touré, de faire bénéfi-cier à la nouvelle structure qui venait d’être créée d’un accord de siège qui lui confère un statut avec des avan-tages diplomatiques et consulaires fa-vorables à son développement. « Cela fait donc quarante années pendant lesquelles cet engagement premier ne s’est jamais démenti. Le Sénégal s’est toujours efforcé de respecter les privilèges et immunités dont jouit le Codesria», a-t-elle rappelé. Et le chef du gouvernement de féliciter le Co-

desria qui toujours été à la hauteur de la mission qu’il s’est assigné depuis sa création. Mme Touré préconise à cette institution panafricaine de conti-nuer à assumer sa noble mission avec plus d’efficacité et d’efficience.

La présidente du Codesria, Pr Fa-tima Harak, a déclaré que le travail de recherche va continuer car il y a d’autres défis à relever. « On est fier de ce que le Codesria a fait, mais le travail de recherche continue, il ne s’interrompt pas. Il y a encore des dé-fis à relever mais le Codesria est habi-tué à relever les défis », a soutenu le Pr d’Histoire à l’université Mohamed 5 de Rabat.

De son côté, le Secrétaire exécutif, Ebrima Sall, a rappelé que le Codesria a travaillé pratiquement sur toutes les questions qui intéressent le dévelop-pement de l’Afrique. Mais, a-t-il tenu à préciser, ce regard ne s’est pas porté uniquement sur les aspects probléma-tiques, puisque des travaux ont essayé de faire ressortir des choses et des ex-périences réussies.

http://lesoleil.sn/index.php?option=com_content&view=article&id=40389:40-ans-du-codesria-le-premier-ministre-salue-la-clairvoyance-des-fondateurs-&catid=78:a-la-une&Itemid=255

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Journal Télévisé de la Radiodiffusion Télévison du Sénégal(RTS)CODESRIA : 40 ans de production de connaissances

http://www.rts.sn/televisions/journaux-televises/journaux-20h/jt-20h-10-juin-2014.html

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La recherche, le parent pauvre en Afrique

Le Conseil pour le Dévelop-pement de la Recherche en sciences sociales en Afrique

(Codesria) a fêté hier, mardi 10 juin à Da-kar, ses 40 années de recherche et de pro-duction de connaissances pour l’Afrique. Une occasion pour les chercheurs de tirer un bilan satisfaisant dans la recherche et la production de connaissances en Afri-que même s’ils déplorent la part minime qui lui est accordée par beaucoup de pays africains.

Quarante ans d’existence, ça se fête.

Le 40ème anniversaire du Conseil pour le développement de la recherche en scien-ces sociales en Afrique (Codesria) fêté hier, mardi 10 juin, à Dakar, a été l’occa-sion d’examiner le chemin parcouru mais aussi de discuter de l’expérience accumu-lée dans la production de connaissances en Afrique, par les Africains, et principa-lement pour le bien-être des Africains.

http://www.sudonline.sn/la-recherche-le-parent-pauvre-en-afrique_a_19332.html

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Date: Le 16 Juin 2014

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Une conférence de deux jours orga-nisée à cet effet autour du thème : «40 ans de recherche et de production de connaissances pour l’Afrique» a regrou-pé les membres des Comités exécutif et scientifique du Codesria, les anciens présidents et secrétaires exécutifs, ainsi que des membres de la communauté qui ont activement soutenu le travail du Co-desria. La cérémonie a été ponctuée par la lecture d’une foultitude de messages de soutien, venant d’Instituts de recher-che ainsi que d’Ong.

Faisant l’économie de la recherche et

de la production de connaissance pour l’Afrique, réalisée par son institution, Ebrima Sall, Secrétaire Exécutif du Co-desria, a tiré un bilan satisfaisant de ces 40 années de recherche et de production de connaissances au service de l’Afri-que. A l’en croire, 10% du personnel en-seignant, dans le domaine des sciences humaines et sociales, sont passés par le réseau du Codesria, ainsi que la produc-tion de centaines d’ouvrages de qualité et la publication de nombreuses revues re-connues au niveau international pour leur sérieux et leur qualité. «Il y a des milliers de gens qui ont réussi à faire leur thèse et leur mémoire grâce à l’appui du Co-desria», s’est-il réjouit.

Cependant, il s’est désolé de la place

accordée à la recherche dans beaucoup de pays africains, notamment dans cer-tains Etats d’Afrique, où l’on considère toujours la recherche comme un luxe. A

l’en croire, «on tire des conclusions très erronées et on dit puisqu’on est dans la pauvreté et des difficultés économiques, c’est un luxe de soutenir les universités et la recherche».

Pire, selon lui, les budgets alloués

aux universités africaines pour la recher-che sont minimes. Fort de ce constat, il a déclaré que «la recherche est le parent pauvre en Afrique». Toutefois, il a jugé nécessaire de changer de paradigme, si l’Afrique veut compétir avec ses parte-naires occidentaux et asiatiques.

De son coté, Aminata Touré, Pre-

mier ministre, qui présidait la cérémonie d’ouverture de la conférence, a indiqué que le Codesria a toujours été à la hauteur de la mission qu’il s’est assigné depuis sa création en 1973. Une mission consis-tant en la production du savoir, du savoir scientifique, en Afrique, sur l’Afrique, par et pour les africains.

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Poursuivant, elle a estimé que «le Co-desria a permis à nombre d’universitaires et de chercheurs de démontrer qu’il fallait compter avec une présence africaine dans le monde de la production de connaissan-ces». Mieux, l’institution de recherche a mis à la portée des décideurs africains, comme des mouvements sociaux, des éléments d’appréciation bien renseignés, leur permettant de faire des choix politi-ques éclairés par une expertise africaine de qualité. «Le Codesria a fini d’adminis-trer la preuve que l’intégration africaine est bien possible», a-t-elle souligné.

Elle a par ailleurs indiqué qu’il est

impératif que les Africains investissent

massivement dans l’éducation, la forma-tion et la recherche pour des transfor-mations socio-économiques qualitatives de nos sociétés. A l’en croire, le Séné-gal est conscient de ces enjeux. D’où la construction de la Cité du Savoir dans le pôle urbain de Diamniadio, preuve résolue d’une option pour un futur à construire en s’appuyant sur le savoir, a-t-elle soutenu. Elle a par ailleurs réitéré la volonté du Sénégal de soutenir le projet d’écriture de l’Histoire générale du Sé-négal, dont le secrétariat est hébergé par le Codesria, qui le codirige avec l’IFAN Cheikh Anta Diop, le département d’his-toire de l’UCAD et la FASTEF.

http://www.sudonline.sn/la-recherche-le-parent-pauvre-en-afrique_a_19332.html

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«Venue présider la cérémonie d’ouverture, le Premier minis-tre a salué la clairevoyance des fondateurs du CODESRIA

qui ont «trés tot compris que la production d’une science so-ciale, par et pour les Africains, était partie intégrante de la

quete d’autonomie et d’indépendance pour l’Afrique»»15

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Afrique - le développementpasse par la recherche

20https://www.youtube.com/watch?v=Xn2TUcTNQY8

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«Le président de la Républi-que a adressé

de vrais encou-ragements au Conseil pour le Dévelop-pement de la Recherche en Sciences So-

ciales en Afri-que» 21

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40 years of research and KnowledgeProduction for Africa

40 ans de recherche et de productionde connaissances pour l’Afrique

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Le CODESRIA pour le bien-être des po-pulations (Aminata Diaw Cissé)

Dakar, 26 juin (APS) – Le Conseil pour le développement de la recher-che en sciences sociales en Afrique (CODESRIA) est ‘’une institution forte, consciente des défis et enjeux et qui a en ligne de mire l’avenir’’

du continent et ‘’le bien-être’’ de ses populations, selon le Professeur Aminata Diaw Cissé.

S’exprimant sur la célébration des 40 ans de cette structure de recherche dans un document transmis à l’APS, le Professeur Cissé a déclaré : ‘’Ce qu’on garde de cette célébration, c’est une institution forte, consciente des défis et enjeux et qui a en ligne de mire l’avenir de ce continent et le bien-être de ses popula-tions’’.

Le CODESRIA a organisé récemment un colloque pour célébrer son 40-ème anniversaire. La structure tiendra sa quatorzième assemblée générale en décem-bre prochain sur le thème : ‘’Créer l’Afrique de demain dans un contexte de transformations mondialisées : enjeux et prospectives’’.

‘’Le contexte dans lequel a été créé le CODESRIA a beaucoup changé’’, a relevé le chef du Programme formation, bourses et subventions au CODESRIA.

‘’Les universités et institutions de recherche se sont multipliés mais les dé-fis épistémologiques et théoriques sont toujours là ... Comment repositionner le CODESRIA dans un tel contexte et comment y penser l’Afrique ?’’, s’est-elle interrogé.

‘’Ce qui était important avec cette célébration, c’était de se projeter dans l’ave-nir et pas seulement de magnifier tout le travail pionnier fait par le CODESRIA pour penser le politique en Afrique, l’ajustement structurel, la question ethnique, la démocratie et la citoyenneté, le genre, l’enfance et la jeunesse, le militarisme, le foncier, la santé, l’enseignement supérieur et les libertés académiques, etc’’, a dit le Professeur Cissé.

http://www.aps.sn/articles.php?id_article=130238

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Date: Le 26 Juin 2014

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Date: Le 26 Juin 2014

Basé à Dakar, le CODESRIA a reçu le prix 2013 de l’intégration régionale de l’Amérique Latine et de Caraïbes. Il été primé en marge du sixième Institut Sud-Sud et du 29ème congrès de l’Association latino-américaine de sociologie organi-sés le 3 octobre 2013 à Santiago, au Chili.

Le CODESRIA est une institution panafricaine née en 1973 de la volonté des chercheurs africains ‘’de construire une communauté scientifique autonome capa-ble de penser et interpréter les réalités sociales en Afrique et contribuer à la ré-flexion sur les questions qui intéressent le monde dans sa globalité’’.

Pour ce quarantième anniversaire, le chef de l’Etat sénégalais a magnifié son ac-tion et sa présence remarquée au Sénégal, avant de rendre hommage aux membres fondateurs pour leur vision.

OID/AD