Pourquoi je suis candidat

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24bis Rue St Roch 16000 ANGOULÊME | 09 83 98 88 95 | 07 62 20 20 14 | [email protected] www.cazenave2014.org Pourquoi je suis candidat ? - Vous êtes élu d’Angoulême depuis 2001. Quel bilan tirez-vous de ces 12 années comme conseiller municipal, dans la majorité, puis dans l’opposition ? Je suis un enfant d’Angoulême avant tout. Mes repères familiaux sont ici. Et j’ai aussi quelques repères tirés de notre histoire charentaise. Je les crois utiles, notamment les plus récents : Félix GAILLARD, Georges CHAVANES ou Philippe MOTTET. Ils inspirent ma démarche. De 2001à 2008, mon expérience au côté de Philippe MOTTET, c’est celle du bonheur d’exercer une responsabilité ou plutôt d’être un facilitateur au service d’un des vecteurs principaux du rayonnement de notre ville : ses festivals. L’expérience d’un élu d’opposition est toute autre. C’est la nécessité de représenter la population sans pour autant avoir le pouvoir de faire. Il faut être critique, honnête et humble, toujours dans le respect de chacun, sans jamais rien lâcher de ses convictions et de ses valeurs. - Pourquoi souhaitez-vous aujourd’hui mener la liste d’alternance au maire sortant ? Angoulême est à la croisée des chemins. Au-delà de toute considération politicienne, et de tout jugement à l’emporte pièce, mon constat c’est celui d’une gestion au fil de l’eau, sans véritable perspective. Or, quand rien ne va plus, il faut faire plus et mieux que cela. Il faut imaginer plutôt que reproduire. Il faut co-construire plutôt que de s’enfermer dans une tour d’ivoire. Sinon, c’est la chute en pente douce. C’est pour moi une conviction profonde ! L’alternance est aujourd’hui nécessaire : qui peut le nier ? Et, au fond, qui ne l’attend pas ? A 45 ans, cette candidature est pour moi naturelle, personnellement et politiquement. C’est la candidature de la maturité, de la conviction et de l’ambition saine pour notre ville. Mais on ne porte pas seul un projet d’envergure pour sa ville. Je le porterai, avec toutes celles et tous ceux qui me rejoindront tout au long des semaines et des mois à venir. Un tel choix, sur le fond comme sur la méthode, n’a pas été proposé aux Angoumoisins depuis près de 25 ans. - Sur le fond », cela signifie quoi ? Angoulême a besoin aujourd’hui d’une nouvelle ambiance, d’un autre état d’esprit, d’un changement radical. On y reviendra tout au long de la campagne. Ce réveil collectif, il faut le rendre possible. J’ai donc décidé de me présenter aux suffrages de mes concitoyens et de conduire une liste de vaste rassemblement, de la droite, des centres, des indépendants et d’ouverture à tous les talents, les envies, sincères et utiles pour l’avenir de notre ville. Au-delà de l’alternance politicienne, classique, mécanique, brutale, stéréotypée, nous voulons proposer une alternative utile, une ambition nouvelle, une vraie renaissance. - Quelle est la nature de votre démarche ? Angoulême a besoin aujourd’hui d’une nouvelle ambiance, d’un autre état d’esprit, d’un changement radical. On y reviendra tout au long de la campagne. J’ai donc décidé de me présenter aux suffrages de mes concitoyens et de conduire une liste de vaste rassemblement, de la droite, des centres, des indépendants et d’ouverture à tous les talents, les envies, sincères et utiles pour l’avenir de notre ville.

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Samuel Cazenave : découvrez pourquoi je suis candidat aux élections municipales à Angoulême en 2014.

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Pourquoi je suis candidat ?

- Vous êtes élu d’Angoulême depuis 2001. Quel bilan tirez-vous de ces 12 années comme conseiller municipal, dans la majorité, puis dans l’opposition ?

Je suis un enfant d’Angoulême avant tout. Mes repères familiaux sont ici. Et j’ai aussi quelques repères tirés de notre histoire charentaise. Je les crois utiles, notamment les plus récents : Félix GAILLARD, Georges CHAVANES ou Philippe MOTTET. Ils inspirent ma démarche.

De 2001à 2008, mon expérience au côté de Philippe MOTTET, c’est celle du bonheur d’exercer une responsabilité ou plutôt d’être un facilitateur au service d’un des vecteurs principaux du rayonnement de notre ville : ses festivals.

L’expérience d’un élu d’opposition est toute autre. C’est la nécessité de représenter la population sans pour autant avoir le pouvoir de faire. Il faut être critique, honnête et humble, toujours dans le respect de chacun, sans jamais rien lâcher de ses convictions et de ses valeurs. - Pourquoi souhaitez-vous aujourd’hui mener la liste d’alternance au maire sortant ? Angoulême est à la croisée des chemins. Au-delà de toute considération politicienne, et de tout jugement à l’emporte pièce, mon constat c’est celui d’une gestion au fil de l’eau, sans véritable perspective. Or, quand rien ne va plus, il faut faire plus et mieux que cela. Il faut imaginer plutôt que reproduire. Il faut co-construire plutôt que de s’enfermer dans une tour d’ivoire. Sinon, c’est la chute en pente douce. C’est pour moi une conviction profonde ! L’alternance est aujourd’hui nécessaire : qui peut le nier ? Et, au fond, qui ne l’attend pas ? A 45 ans, cette candidature est pour moi naturelle, personnellement et politiquement. C’est la candidature de la maturité, de la conviction et de l’ambition saine pour notre ville. Mais on ne porte pas seul un projet d’envergure pour sa ville. Je le porterai, avec toutes celles et tous ceux qui me rejoindront tout au long des semaines et des mois à venir. Un tel choix, sur le fond comme sur la méthode, n’a pas été proposé aux Angoumoisins depuis près de 25 ans. - Sur le fond », cela signifie quoi ? Angoulême a besoin aujourd’hui d’une nouvelle ambiance, d’un autre état d’esprit, d’un changement radical. On y reviendra tout au long de la campagne. Ce réveil collectif, il faut le rendre possible. J’ai donc décidé de me présenter aux suffrages de mes concitoyens et de conduire une liste de vaste rassemblement, de la droite, des centres, des indépendants et d’ouverture à tous les talents, les envies, sincères et utiles pour l’avenir de notre ville. Au-delà de l’alternance politicienne, classique, mécanique, brutale, stéréotypée, nous voulons proposer une alternative utile, une ambition nouvelle, une vraie renaissance. - Quelle est la nature de votre démarche ? Angoulême a besoin aujourd’hui d’une nouvelle ambiance, d’un autre état d’esprit, d’un changement radical. On y reviendra tout au long de la campagne. J’ai donc décidé de me présenter aux suffrages de mes concitoyens et de conduire une liste de vaste rassemblement, de la droite, des centres, des indépendants et d’ouverture à tous les talents, les envies, sincères et utiles pour l’avenir de notre ville.

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- Quel est votre agenda de campagne ? Dans les prochaines semaines, nous dirons ce qui fonctionne à Angoulême, ce qui doit être amélioré et ce que nous changerons si les Angoumoisins nous font confiance. Nous dirons quoi, nous dirons pourquoi, nous dirons quand et comment, nous dirons combien. Nous serons précis, transparents et prêts à nous mettre au travail dans la foulée de l’élection. Nous dirons tout pendant la campagne pour que chaque électeur puisse se prononcer en conscience. D’ores et déjà, les groupes de travail se sont mis en place avec celles et ceux qui ont souhaité contribuer à cette réflexion. Tous les citoyens angoumoisins sont les bienvenus. Ils peuvent nous contacter à tout moment. Je propose aux Angoumoisins de devenir les actionnaires du projet et de cette campagne dès maintenant ! L’équipe, les candidats qui composeront la liste, ce n’est évidemment pas le sujet du jour. Le calendrier est simple : une déclinaison du projet très bientôt à l’automne, la présentation du programme de mandature en janvier. La présentation de l’équipe dans la foulée. - Vous croyez que vous pouvez gagner ? Je ne suis pas là pour faire de l’animation politicienne quelques semaines. J’ai pris ma décision en conscience. Je l’ai partagé avec ma famille. Mais c’est une décision personnelle. Je l’assume. C’est une affaire entre les citoyens et moi. C’est aux angoumoisins que je veux parler. C’est eux que je veux écouter. C’est à eux que je veux dire les choses. C’est tout le sens de cette démarche aujourd’hui et c’est aussi ma façon d’être. - Qu’en est-il de la situation politique au centre et à droite ? Êtes-vous investi par un parti politique ? La question de l’investiture de tel ou tel parti est une question naturelle, je la comprends. Je suis d’ailleurs investi depuis juin dernier par l’UDI, le parti de Jean-Louis BORLOO. Je m’inscris là dans le simple respect de mes engagements depuis des années au centre droit. Les partis, quoi qu’on en pense, sont les outils de la démocratie et je respecte celles et ceux qui s’y engagent. Pour autant, je pense que les Angoumoisins n’attendent pas un militant qui soit maire, mais un maire qui soit le premier militant de notre ville. Dans la période difficile que nous traversons, ce que nous devons à nos concitoyens, c’est de les écouter sincèrement et rigoureusement pour leur proposer des solutions concrètes : je déteste les idées formatées, les postures apprises ou les projets cosmétiques, à la mode, qui s’inscrivent dans un microcosme sans prise avec le réel. Et je veux être exigeant avec la dépense publique. Angoulême est une ville singulière, elle a besoin de réponses singulières. Avec l’équipe que nous proposerons, que ça plaise ou non, nous serons dans cet état d’esprit là. - Un dernier mot ? Angoulême, c’est ma ville. Ma ville, c’est ma vie. Je veux pérenniser cet engagement de toujours. Et je donne rendez-vous aux Angoumoisins aujourd’hui, pour qu’en mars, on redonne ensemble du sens à la belle devise de notre ville : Fortitudo Mea civium fides (la fidélité de mes concitoyens est ma force).