portfolio 09-11

32
09-11 Jeffrey Perron

description

portfolio 09-11

Transcript of portfolio 09-11

Page 1: portfolio 09-11

09-11Jeffrey Perron

Page 2: portfolio 09-11
Page 3: portfolio 09-11

PROJETS ACADÉMIQUES

PLIS, COUPES ET MOUVEMENTS: ESPACES DIVERSIFIÉSLA MÉTAMORPHOSE DU CUBELA BANLIEUE RÉSIDENTIELLE NORD-AMÉRICAINE LA MAISON DU COLLECTIONNEURMATÉRIALITÉ: RECHERCHES ET EXPÉRIMENTATIONSBIBLIOTHÈQUE MARC-FAVREAUARCHIPEL: UTOPIE NOUVELLECENTRE DE VILLÉGIATURE ET D’ACÉRICULTURE

PROJETS PROFESSIONNELS

BIBLIOTHÈQUE SAUL-BELLOWCENTRE CULTUREL GUY-GAGNON, VERDUN

2461012141820

2426

Page 4: portfolio 09-11

L’ARCHITECTINIQUE DE L’ESPACEPLIS, COUPES ET MOUVEMENTS : ESPACES DIVERSIFIÉS

thème imposétuteur: Christian de Coninckdéveloppé individuellement4 semaines année de réalisation: automne 2009 1ère année baccalauréat

Le projet met principalement l’accent sur le potentiel morphologique et le développement de l’espace, dimension essen-tielle au processus de conception architectural. Pour ce faire, une transformation d’une plaque 2D en une maquette 3D offrant différentes qualités spatiales sera la base de la conception de ce projet. Les seules transformations permises pour le transfert 2D , 3D seront le pliage, les coupes droites et le collage. Différents tests de pliages sont réalisés, permettant des jeux plus aléatoires vers une concentration d’essais sur un même thème pour finalement en arriver à un dernier dispositif qui sera le final. Ce dernier sera étudié spatialement à l’aide de différents rendus, soit la couleur, le tramé et le bi-colore. Finalement, cette dernière maquette est introduite dans son contexte, selon les qualités spatiales qu’elle offre. Station glaciaire est donc un centre de bains glaciaux en Norvège. En effet, grâce au tremplin qui est l’élément clé du concept, Station glaciaire est un espace qui propose une transition spatiale vers une excitation dynamique. À leur arrivée, les usagers auront un espace plus clos pour se préparer mentalement et physiquement à l’expérience qui les attends. La descente vers le tremplin fait d’ailleurs gage de transition dans le parcours.

2

Page 5: portfolio 09-11

STATION GLACIAIRE

Page 6: portfolio 09-11

LA MÉTAMORPHOSE DU CUBEUN LIEU D’OBSERVATION ET DE DÉTENTE

thème imposétuteur: Christian de Coninckdéveloppé individuellement6 semaines année de réalisation: automne 2009 1ère année baccalauréat

L’objectif de ce projet est l’étude des relations entre l’espace intérieur et l’espace extérieur. Pour ce faire, un cube ayant comme arête 2,4 m doit se déployer pour accueillir trois occupants. Une fois le cube déployé, celui-ci doit offrir une spatialité ayant comme but de permettre aux usagers des espaces de méditation distincts. L’intention est donc de permettre un déploie-ment simple qui offrirait un maximum de spatialité. Dans ce cas, le site est une falaise rocheuse située en Russie. Le sol est rocheux, rien n’est vivant , il est donc préférable d’avoir le minimum de contact avec le sol. Pour ce faire, un détachement du sol et une élévation vers le haut est idéal. On peut donc penser à une cabane dans un arbre ou à une fleur. Matriochkas signifie poupées russes. En effet, les trois éléments proviennent de la même forme de base, soit le cube . Refermés, ils forment un tout, comme les trois générations de femmes que représentent les usagers. Chaque génération est associée à un espace bien particulier, l’usager plus âgé est près du sol puisqu’elle est plus sage, la mère au centre , qui veille sur sa fille qui elle est au sommet. Dans le même ordre, une croissance est visible sur l’ouverture au paysage. Un espace commun est prévu au niveau 0 pour que les trois occupants puissent parler des leurs expériences.

4

Page 7: portfolio 09-11
Page 8: portfolio 09-11

HABITER LE TERRITOIRE GÉNÉRIQUELA BANLIEUE RÉSIDENTIELLE NORD-AMÉRICAINE

thème imposétuteur: Marc Papedéveloppé individuellement12 semaines année de réalisation: hiver 2010 1ère année baccalauréat

La banlieue résidentielle nord-américaine est une préoccupation de plus en plus grandissante au sein des réflexions des architectes contemporains. En effet, celle-ci se développe de plus en plus rapidement et les bases fondamentales, d’autrefois, qui régissait le bon fonctionnement de la banlieue ne semblent plus s’appliquer à cette nouvelle réalité. La <maison patio> est une voie intéressante à développer. Elle sera donc la base de ce complexe de 16 habitations sur un site carré ayant comme superficietotale 2304 m2 . Une remise en question de la domesticité contemporaine est au centre de ce projet, qui doit offrir lumière, es-paces domestiques et publics. La proposition est donc une grille rigide composée de 16 blocs ayant comme grandeur 6 m x 10 m . Elle est alternée sur les trois différents niveaux de manière à constituée les habitations. Le bloc souterrain, celui qui aura le moins de lumière naturelle, accueille les espaces de repos et d’hygiène tandis que les niveaux supérieurs sont constitués de l’espace de préparation de repas et l’espace de divertissement. Des puits de lumière de part et d’autre de ces blocs permettront un approvisionnement de lumière pour tous les espaces, mais sont aussi qualifiés de jardins contemplatifs. Des espaces extérieurs privés sont aussi présents, pour la famille , certains minéraux d’autres végétals. Le mobilier est aussi d’importance, il remet en question le minimum d’espaces pour chaque usage, ainsi il maximise la supperficie totale.Pour desservir les 16 habitations, deux ruelles piétonnes sont incrites dans la banlieue. Elles permettent un échange entre voisinage pour une vie communautaire. La clé de cette proposition est sans aucun doute l’organisation qu’offre la grille de module qui se retrouve à différentes échelles dans le projet. Ainsi, il y a possibilité d’agrandissement ou de modification dans un futur pour permettre une évolution de celle-ci.

X16

6

Page 9: portfolio 09-11
Page 10: portfolio 09-11

8

Page 11: portfolio 09-11
Page 12: portfolio 09-11

L’ARCHITECTURE DANS LA VILLELA MAISON DU COLLECTIONNEUR

thème imposétuteur: Cecile Bairddéveloppé individuellement4 semaines année de réalisation: automne 2010 2ième année baccalauréat

Ce projet a pour sujet une maison de ville pour un collectionneur et sa famille. La parcelle de terrain est située sur la rue Baile , au nord du Centre canadien d’architecture. Le propriétaire de cette maison est photographe amateur et est passioné par l’architecture moderne. La parcelle de terrain mesure environ 7m x 18 m. il n’est possible d’occuper que 60 % du terrain et la résidence est mitoyenne. Il est donc nécessaire de travailler la pénétration de lumière ainsi que la dilation verticale du projet. La transition entre espaces publics et privés doit aussi être pris en compte. La maison propose donc pour le propriétaire un espace d’importance pour l’exposition de ses photographies. En effet, la circulation verticale accueille la collection, elle est donc pièce maîtresse dans le projet. Composée uniquement de rampes, l’espace central ralentit le rythme du parcours pour mieux apprécier l’exposition. Cet espace central sépare la maison en deux, offrant de part et d’autre des espaces uniques à chaque niveaux, certains double hauteur, et permet aussi la quasi totalité de l’én-trée de lumière naturelle par le toit. Les espaces se définissent aussi par une gradation, passant au plus bas de la résidence par des espaces publics à des espaces privés. De la rue, la maison se referme sur elle même pour garder une privauté, mais aussi pour amplifié ce caractère muséal unique. Par contre, elle se prolonge vers la ruelle, offrant ainsi des espaces d’une matérialité plus légère, au contraire de l’intérieur où béton et acier dominent.

10

Page 13: portfolio 09-11
Page 14: portfolio 09-11

12

MATÉRIALITÉ : RECHERCHE ET EXPÉRIMENTATION L’ARTÉFACT

thème imposétuteur: Manon Asselindéveloppé individuellement2 semaines année de réalisation: hiver 2011 2ième année baccalauréat

Ce travail de recherche fondamentale sur la matière en tant qu’élément fondateur du projet et son incidence sur l’expé-rience de l’espace architectural mène à une redéfinition de la construction comme condition la plus élémentaire et catalytique de l’architecture. Cette approche axée sur la matière, dans le cas échéant le bois, engendre un questionnement vis-à-vis de la perception et la mise en forme de l’espace architectural. L’étude de l’expérimentation sur le bois porte d’abord sur une recherche des différents éléments qui modifient les pro-priétés de celui-ci. L’eau fût l’un des plus intéressant puisque le bois peut ainsi devenir courbe, une caractéristique qui est peut probable. En effet, une écorce, ou dans le cas échéant un placage, s’avère à prendre des formes courbes qui peuvent être contrô-lées ou non. Dans le cas de l’artéfac, quatre séries de six feuilles de placage ont été répétées pour offrir un élément final se ca-ractérisant par une filtration de l’espace et de la lumière. L’intégration de cet artéfact à plus grande échelle a été de l’incorporer sur une rivière comme barrage filtrant. Naturellement, le bois a été transformé et modifié par l’eau, qui résulte en des espaces de cachette pour les enfants ou encore à des assises pour les pêcheurs.

Page 15: portfolio 09-11
Page 16: portfolio 09-11

PROJET MUNICIPALBIBLIOTHÈQUE MARC-FAVREAU

thème imposétuteur: Manon Asselindéveloppé en équipe (2)12 semaines année de réalisation: hiver 2011 2ième année baccalauréat

La nouvelle bibliothèque publique enrichit plusieurs générations de citoyens en facilitant l’accès à un vaste champ d’infor-mations et de connaissances. Le projet de la bibliothèque Marc-Favreau est plus qu’un réceptacle de livres: elle est avant tout un milieu de vie pour la communauté en permettant une véritable accessibilité à la culture et à l’information. Une lecture critique du quartier en évolution permet de plus de <tirer de la matrice de la ville, une matière rêvée> afin que l’architecture de la nouvelle bibliothèque puisse être en lien avec le quartier Rosemont Petite-Patrie. Dans ce sens, l’essence même de la proposition fut d’offrir un espace intérieur et extérieur pour le quartier qui n’offre aucun espace public propre à la communauté. Le site, ayant déjà une construction à conserver (700 Rosemont) a été programmé pour accueillir la biliothèque, une extension du 700 Rosemont, ainsi qu’un centre de la petite enfance et un parc pour le quartier. La bibliothèque est donc un nouveau pivot du quartier. C’est pourquoi un geste de déploiement de la surface a été réalisé, pour aller chercher tous les extrêmes du quartier, créant ainsi une relation entre eux. Étant non seulement une biliothèque mais aussi ce nouveau centre, elle devient lanterne, de jour comme de soir pour permettre de tenir en action le quartier. La bibliothèque elle même est réfléchie et étudiée de manière à permettre de nombreuses relations avec son quartier, son site mais aussi entre ses différents espaces. En effet, la fluidité de celle-ci permet une communication continue plutôt que d’offrir de petites poches d’isolement. La communauté et l’échange se perçoit dans l’ensemble. Un souçit de la lumière naturelle est une autre corde du projet. Le déploiement permet en effet des espaces traversants continue peut importe sur le niveau auquel on se trouve.

14

Page 17: portfolio 09-11

700 rosemontCPE

PARC

BIBLIOTHÈQUE

Page 18: portfolio 09-11

16

Page 19: portfolio 09-11
Page 20: portfolio 09-11

FORME ET CONTEXTEARCHIPEL, UTOPIE NOUVELLE

thème imposétuteur: Sinisha Brdardéveloppé en équipe (3)5 semaines année de réalisation: été 2011 3ième année baccalauréat

La culture architecturale des Pays-Bas est une des plus remarquables et prolifiques au monde, notamment dans le do-maine de l’habitation où les vagues successives d’expérimentation et de réalisation ont généré une variété de typologies excep-tionnelles. Partant de ce contexte expérimental, l’atelier vise à explorer et à développer des scénarios contemporains d’habita-tion. Plus particulièrement, l’atelier examinera le paradigme de « low-rise high-density ». En poursuivant la conquête des zones marines, le projet d’atelier proposera une île à teneur principalement résidentielle. L’ensemble des interventions constituera un archipel - un nouveau paysage urbain et un fragment d’une utopie nouvelle. Cette île artificielle est contituée et manipulée de manière à offrir à tous les résidents un espace personnel, dirigé vers l’eau, mais aussi un espace communautaire, dirigé vers des jardins thématiques. Cette double réalité permet un juste milieu aux logements collectifs qui peuvent souvent devenir étouffants par le peu d’espace personnel ou encore par le manque de rappro-chement face à la nature. La forme circulaire est celle qui nous permet de rencontrer ces deux conditions. Les logements sont diversifés et non pas catégorisé mais répartis de manière à ce qu’une personne du troisième âge et qu’une jeune famille partage le même anneau. Les différents anneaux de logements sont reliées par un deck public qui propose différents éléments animants , comme une marina, un café, un marché et autres. Cette île est rattachée à la berge permettant non seulement aux résidents de l’île, mais aussi au voisinage de profiter de cette aire publique ludique offrant un nouveau mode de vie axé sur l’échange et la communauté. Ne pouvant évacuer la réalité de l’automobile, le stationnement sera situé sous la plate-forme, permettant ainsi un accès direct au logement par le stationnement à fin pratique.

18

Page 21: portfolio 09-11
Page 22: portfolio 09-11

FORME ET FONCTIONCENTRE DE VILLÉGIATURE ET D’ACÉRICULTURE

thème imposétuteur: Stéphan Chevalier et Sergio Moralesdéveloppé individuellement12 semaines année de réalisation: automne 2011 3ième année baccalauréat

La cabane à sucre traditionnelle québécoise est remise en question, est-il nécéssaire de conserver l’image de celle-ci sans en perdre l’essence même, la culture et les traditions qui l’accompagne? Une réfl exion à la fois sur le contexte culturel de la cabane à sucre mais aussi sur le site (Sutton) sont des points à prendre en compte. La matérialité fait aussi parti intégrante de cette réfl exion pour permettre de proposer un projet qui sera à la fois répondre à une tradition québécoise mais aussi à une nouvelle architecture de terroir plus contemporaine. Ce centre d’acériculture se compose de deux plaques orthogonales, rappelant la simplicité de l’image de la cabane à sucre tel que l’on la connait. L’un de ces éléments accueillera la partie de transformation, passant de l’eau d’érable à la table du restaurant présentant une cuisine moléculaire basée sur les produits de l’érable. Cet espace s’ouvrira complètement grâce à une terrasse qui se prolongera vers la vallée de Sutton. Dans la deuxième partie, on retrouve davantage une section de villégiature qui comprend un hôtel. Reliant ces deux plaques, une fente extérieure qui pénètre l’ensemble, lien qui apporte lumière mais aussi ambiguité entre intérieur et extérieur. Cette espace permettera aussi de se rendre sous le bâtiment, puisque celui-ci est en porte-à-faux. La sixième face accueille des bains thermiques, élément qui permettra une exploitation de l’édifi ce tout au long des quatre saisons. L’enveloppe du bâtiment est basée sur la culture de la cabane à sucre. Une double peau est constituée d’une plaque d’acier peint rouge, rappelant le toit, ainsi que d’un carreautage en bois d’épinette qui formera l’imagerie de la chemise à carreaux ou encore de la nappe traditionnelle.

20

Page 23: portfolio 09-11
Page 24: portfolio 09-11

22

Page 25: portfolio 09-11
Page 26: portfolio 09-11

BIBLIOTHÈQUE SAUL-BELLOWFINALISTE

Manon Asselin architecte + Jodoin Lamarre Pratteparticipation à la conception du projet et réalisation des plans et de la coupe développé en équipe (4)4 semaines année de réalisation: été 2011

Cet agrandissement de la bibliohèque actuelle de Lachine se propose plus contemporain où technologie et ancien savoir sont réunis dans un même espace. La superfi cie fi nale sera le double de celle actuelle, ce qui en fera le nouveau point d’impor-tance dans le domaine culturel de la ville. Elle doit aussi offrir ue nouvelle approche avec l’intersection qui est maintenant dictée par la circulation automobile. Elle doit aussi être développée dans une idéologie de développement durable, il est donc de mise de récupérer l’ancienne enveloppe. L’agrandissement proposé est d’abord axé sur un nouvel espace communautaire dialoguant avec avec l’intersection. En effet, l’entrée plus accueillante offrira un nouveau mode à la bibliothèque soit un espace café, un espace d’exposition, qui s’ou-vrira à la fois vers la bibliothèque mais aussi vers le parvis extérieur qui sera le prolongement de l’intérieur. Ce parvis, mainte-nant occupé par la population, permettra à la communauté de reprendre pocession de l’intersection, ralentissant ainsi le rythme, permettant d’exploier le plein potentiel de l’imaginaire qu’offre la bibliothèque. Les deux niveaux sont aménagés et positionnés de manière à offrir une pénétration maximale de la lumière naturelle.

24

Page 27: portfolio 09-11

PO

LIOC

IER

PÉRIODIQUESPÉRIODIQUESPÉRIODIQUESPÉRIODIQUESPÉRIODIQUESPÉRIODIQUESPÉRIODIQUESPÉRIODIQUESPÉRIODIQUESPÉRIODIQUESPÉRIODIQUESJARDINJARDINJARDINJARDINJARDINJARDINJARDINJARDINJARDIN

POSTESINFORMATIQUES

DOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRESDOCUMENTAIRES

MULTIDÉMIANOUVEAUTÉS

AIRES DELECTURE

ADOSADOSADOSADOSADOSADOSADOSCAFÉCAFÉCAFÉCAFÉCAFÉCAFÉCAFÉCAFÉBANDES DESSINÉES

MUSIQUEFICTION

JEUNESSE

Page 28: portfolio 09-11

26

CENTRE CULTUREL GUY-GAGNONEN ÉTUDE

Manon Asselin architecte + Jodoin Lamarre Pratteparticipation à la conception du projet et réalisation des plans et de la coupe développé en équipe (5)4 semaines année de réalisation: automne 2011

Cet ancien aréna, abordant le bord du fl euve St-Laurent sera agrandit et totalement réaménagé pour offrir au quartier un nouveau centre de diffusion des arts de la scène et du cirque, qui comprend une studio dédié à l’école de cirque de Verdun ainsi qu’une salle de spectacle et une salle d’exposition. Cette reconfi guration abordera une nouvelle esthétique extérieure qui doit dialoguer avec le fl euve. L’ensemble du projet doit être pensé et réfl échit pour un développement durable et projeter une image artistique contemporaine. Dans ce même courant d’idée, le projet doit présenter une matérialité réinventée. Cette proposition offre un nouvel espace culturel intérieur comme extérieur qui réanimera le quartier. En effet, le bâti-ment, nouveau phare d’importance de la berge du fl euve St-Laurent, apportera une salle de spectacle polyvalente et une école de cirque résoluement contemporaine. Ces <deux frères> seront visibles par un détachement en hauteur de l’ancienne aréna, les mettants ainsi en scène dans le paysage urbain. Le site, quant à lui, est traité de manière à ne pas brimer l’idéologie du parc. Pour ce faire de nouveaux points d’attraits, comme le toit servant de station balnéaire ou encore la cafétéria et le foyer, s’ouvriront sur le fl euve, lors des événements. De nuit, ce centre culturel deviendra nouveau bijoux lumineux, tel une aurore béréale, illuminant le ciel de manière invitante pour la communauté mais aussi en réponse au centre-ville non-loin.

Page 29: portfolio 09-11
Page 30: portfolio 09-11

Jeffrey Perron

606 rue du val d’oise Terrebonne, Québec J6Y1V4

514.886.6515

[email protected]@28

Page 31: portfolio 09-11
Page 32: portfolio 09-11