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( Puisque vous aimez jouer les indiscrets (tes) je serais encore plus facile à suivre et retrouver ! Pas de chance, je n’ai plus rien à cacher et à casser non plus ! encore , que ? Si ma pipe peut-être mais j’ai encore

tout mon temps pour cela)

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(Note d’estime personnelle : Maison extrêmement sérieuse, j’ai la réputation d’être très exigeant, ce

n’est pas la première fois que je travaille avec eux et j’ai attendu un temps suffisant d’épreuve pour

m’engager sans complexe )

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Ainsi que toute infidélité !

C’est vrai ce n’est pas gentil !D’éliminer de façon systématique !

Je l’admets   ! C’est tout à fait vrai ! :

Mais la TRICHERIE ne fait pas partie de la règle du jeu !

La GENTILLESSE non plus ! Je sais que la terre est une planète très confortable mais je

la préfère en surface   !

Je jette en vrac ! En direct sur l'ordinateur, simple vue de l'esprit et de l' expression des sentiments qui m'animent.

Qui sait ce qui se passe en nous en ce jeudi soir de 13 décembre 2007 !

Et au diable ce que cela donnera, je le recopierais sur papier demain matin.

Il portera donc le :N° 80.

Peut-être pas le meilleur d'inspiration, ni de rime, mais celui là non calculé, d'amour, et sera sans doute un de mes préférés,

sinon MON préféré, parce que écrit en pensant à quelqu'une que je chéris par dessus toute : Hélène Segara.

L' amour ?

De soi, de l'autre.La communion.

Des âmes.Des corps.

De ton corps ?La possession.

Qui n'est que de toi.Du mien la possession.

En toi tu es moi,En Moi ?Je suis toi.

L'apartenance de l'un .à l'autre ne seras demain

Que ce que nous promet ce demain.Qui à demain serons enfin.

Nos deux, biens serrées nos deux mains.

Que l'amour enfin m'accorde la tienne.Et de t'accorder de prendre la mienne.

Afin que de ma vie je n'ai plus.Aujourd'hui ni à plus.

Tard de voir ce que de tienne.

Ma vie sera à la tienne.

Afin qu'a l'unissons nos corps.De par l'amour de nos corps.Et l'espérance de nos âmes.

Nous amènes à l'enfin de l'âme.De l'amour qui uni nos formes.

Et de toujours en refuser les normes.DPorteboeuf.

Relecture et recopie le lendemain : à jeun, passons sur le sujet.C'est vrai que quand j'en ai un coup dans l'aile, je me mets

vraiment à déconner moi.Tant pis il est là je le garde, j'assume. ça m'apprendra à écrire des

conneries quand j'ai bu un tout petit coup de trop.Et dire que c'est moi qui ait écrit cela !

Ouais eh, bien je le recopierais plus tard. Pas de quoi être fier ! Peux mieux faire, et de loin.

Il vous manque à ce niveau le 81 dédié à la mémoire de mon père, et les N° 82 et 83 dédiés tous les deux, mais beaucoup plus

beaux, tendres, affectueux, oserais-je l'écrire, amoureux, à Hélène Segara.

J'ai aussi entre temps écris les N° 84 et 85, Caroline, ma petite Gouïne d'amour est pour l'instant la seule à avoir lu les 82 et 83,

Ne perdez pas espoir, ils viendront sous peu, j'ai d'ors et déjà prévu mes thèmes des N° 86, 87, 88, 89, 90, 91.

Ce texte a été inscrit nous sommes bien d'accord le 12 Janvier 2008. et qu'il vous manque certains éléments :

Dont acte, nous y venons, nous y voilà !POEMES manqant a suivre ?

Nous y voilà !

Attention les textes sis après auront été retransmit dans leurs INTEGRITE ? NE SERONT SOUS AUCUN PRETEXTE

SUJET A CAUTION, ou limite d'interprétation.

ATTENTIONJE M'EXPOSE.

N° 81.Il sera bien entendu très court puisque portant le N°81 et du

Lundi 17 décembre 2007.Jeté en direct sur le clavier.

Il sera court celui là !

Une épitaphe posthume à sa mémoire.

PAPA

Il fut un exemple.Pour eux un guide.

Pour nous un temple.D'amour, presque un druide.

Lorsqu'est la vie.Courte la mémoire.

De certains, de leurs vies,d'autres ne veulent voir.

Courte est la vie.Trop longue la mort.

Ne nous laisse de souvenirsque de ce que sa survie

en nous ne laisse que des sourires.De ce qu'un père fût .

DPorteboeuf.

Non ce n'est pas terminé :Les deux suivants sont dédiés à Hélène Segara.

Celle qui est pour moi la seule, l'unique digne d'être aimée.J'ai, ce n'est pas si stupide que cela peut y paraître dit aujourd'hui au super marché quelle était pour moi "L'extase" la femme douée de tout les pouvoirs, Une perfection dans la voix, le jeu de scène,

la grâce, tout en elle reflète la : PERFECTION !Je ne voudrais pas plagier Renaud, sans faute d'orthograghe,

mais si UNE est Vraiment la seule, c'est bien elle, elle a, comme je l'ai dit, tout, la voix, le jeu d'interprétation de scène, la beauté,

la douceur, elle nous fait respirer un air frais et pur de vouloir vivre, et tout est là, elle est au dessus de tout.

Les deux Poêmes suivant sont à son intention, Hélène Segara, et à mon HUMBLE avis mieux que le N° 80.

Du 22 décembre 2007. N° 82.

AMOUR.J'ai entendu parler d'amour.Moi aussi j'éprouve l'amour.

Parfois je parle encore d'amour.Mais toujours je prouve l'amour.

Que de répétition ici-bas.Ce jour nous parlons de là-bas.Jamais nous ne parlons ici bas.

que nous sommes si bas.

Un jour nous savons donner.D'apprendre que nous ne savons être né.

Qu'elle est la seule ce jour est donné.A ce que la souffrance du coeur est née.

En ce jour il n'est qu'un amour.De ce que tu es née de cet amour.

Que demeure cet amour ROI.Soit conforté par mon amour pour toi.

Ce jour tu sauras à vie.Que ma vie à toi est liée à vie.

Si de ma VIE je perds ma vie d'amour.Je saurais dire, c'est pour toujours.

Avons nous aimé ?Demain nous croirons aimer.Un jour vous penserez aimer.Plus tard vous saurez aimer.

Elle est là et prétendez l'aimer.Encore là elle vous demande d'aimer.Est la seule qu'il soit possible d'aimer.

Aujourd'hui, demain toujours de fidélité.

Plus tard vous comprendrez.Qu'il n'est un jeu d'aimer.

Plus tard, tant de jours vous brûlerez.D'apprendre un jour ce que veut dire aimer.

Si n'aimer que toi je ne peux.Pourras-tu me dire que de soi.L'amour de toi que je ne peux.

Ne pourra rien de l'amour de moi.

Que nos amours distants et séparés.Ne savent vivres que de nos âmes divisées.

Ne savoir qu'aujourd'hui à demain.Savoir un jour unir nos deux mains.

Elle est belle et ce soir c'est-elle.Que tu sauras que je l'aime.

Celle qui était de toi la haine.D'avoir su qu'avant d'autre elle aime.

DPorteboeuf.Titre du 27 12 2008,

Rédaction et composition du 28/ 12/ 2007.Dédié AUSSI A Hélène Ségara.

N° 83.

Des larmes à la honte.

Mourir de la vieillesse.assumées des ans en liesse.D'avoir vécu sans réserve.Ces années de conserve.Sans jamais de la muse.

Avoir enfin l'excuse.

Mort de l'épuisement.De n'avoir su mesurer.

Ce que là journellement.A fournir d'avoir peiné.Ne savoir qu'une bâche.

Couvre le devoir d'une tâche.

Mourir de l'armes.Des larmes de douceur.Qu'importe notre coeur.

Que nos armes.Sont vaines à la douleur.Ont l'issues des larmes.

Mourir d'orgueil.De ne pas aimer.

Au coeur rouge bouvreuil.Qui sera sacrifié.

De ne pas savoir lasser.Une âme crû blessée.

Mourir d'amour.D'avoir une fois réfutée.D'abaisser un toujours.

Ce que veut dire s'abaisser.A accepter son tour.

A être, et pouvoir, aimer.

Mourir de honte.Parce que tes pleurs.

Nous apportent des contes.De ne croire que les peurs.Que l'aveu l'amour compte.

Fait éloge, et non point honte.DPorteboeuf.

N° 84.Le 28 décembre 2007.

En prose : Quelques réflexions sur ??? : ; : ; L'amour !

Et de confusion des sentiments.de l'amour, à la compassion, à la pitié !

De l'amour qui ne tente qu'à aimer plus que soi même, mettre l'amour de l'autre au service de l'autre, aimer jusqu'à trouver son

propre bonheur dans l'asservissement de soi à être l'objet de construction du bon-heur, du bien être de l'autre.

De la compassion à une subjectivité d'amour ou de ressentit à travers l'autre de ce que nous savons déjà comme ressentit ou lût.De pitié : N'avoir connu ce que souffre l'autre mais approchant

plus ou moins de l'imaginer.C'est imaginer et croire que l'on ne peut qu'imaginer être le

parallèle de l'autre dans sa souffrance, avoir, moral, ou physique la Nième façon de ressentir !

Donc le même vécu !DPorteboeuf.

N° 85.Est déjà écrit, vous faudra-t-il l'attendre ?

En réalité qu'est-ce que vous en avez à foutre ?Pas grand chose, ?

J'avais bien compris.Que la beauté physique, avait plus d'importance que celle du

coeur.Cela est cela ?

L'amour ?Je suis déçu !

N° 85.10 Janvier 2008.

En prose.

Pensées stupides.

Mon esprit voit, mes yeux se posent.Différents, objets, vont, épars devant moi ; Partout ou je me trouve, je vois des produits ??? de la manufacturation de la

société.Des ustensiles, objets, tous plus ou moins utiles, plutôt moins

que plus d'ailleurs.Superflu d'une société de - - - communication, - - -

consommation, paraît-il, prétexte juste bonne à justifier une paresse de plus en plus présente et développée. [{ La politique du moindre effort }].Justification de nous encore et toujours,

nous simplifier la vie.Dehors passent eux aussi d'autres humains. Amnésiques;

instruments, mobiles, tous modelés sur, pour et par les mêmes nuls ou actifs.

Tous différents et lire le regard des autres et pourtant tous identiques, refflet de la société.

Je pense à tous, ce que je vois toute croyance, que je ne vois pas , et à celui, d'eux que je ne verrais jamais, un refflet.

Une composition.Un appât de soi.

Dans un miroir. Mais pouvoir surprendre, j'ai écris surprendre, comme il nous arrive de le faire de celui des autres, un de mes

regards, au hasard d'une de mes colères.Tristesses

Tendresses.Amour.

Chagrins.Passions.

Et de ne pas pouvoir se cacher à soi-même.L'instant immédiat.

Une introspection mentale est réfléchie, calculée, approfondie, même dans la plus profonde honnêteté.

Surprendre l'instantanée de notre propre regard dans la fugacité du moment de l'émotion, et le pouvoir se voir à nu dans tous ces

différents instants.DE QUOI SE FAIRE PEUR !

DPorteboeuf.

O.K. Et il y en a d'autres à venir.Dans l'immédiat J'ai prévu Six thèmes nouveaux et différents à

traiter.

Mais je prendrais tout le temps qu'il me faudra, il n'y a plus rien qui presse.

Lundi 22 Décembre 2008.

remise en service de l'ordinateur.

Nouvel ordinateur.

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à cette date en poèmes et textes choisis à rentrer, du n° 86 au N° 126 passés à 130 à la date du 12 février 2009, derniers poêmes

écrits à ce jour du 22 décembre 2008 composés, écrits en

manuscrit le N° 126 du 10 Novembre 2008.Voilà qui ne va pas faire plaisir ni à Caroline, ni à certaines personnes "bien".... pensantes, mais Caro avait vu juste en

analisant mes sentiments ils n'ont pas changés depuis maintenant plus d'un an, et mes aveux et confessions n'ont rien changés à ma situation morale, si ce n'est que j'ai pour de bon perdu tout espoir

de retrouver quelque chose que j'ai égaré depuis déjà quelque temps. Si vous entendez dire par quelqu'un que le fait d'être

séparé de la femme que l'on aime met le moral à zéro riez lui au nez, il est si bon d'aimer, que lorsque l'on en fait la découverte, il

devient impossible de remettre la main sur cette bon sang de dépression nerveuse.

Si la "RUE DES MORILLONS" à Paris à fait la main basse dessus, qu'ils la garde, c'est cadeau !Je par de ma dépression évidemment.

Dixit C.Q.F.D je rentre une auto analyse psy que je me suis faite il y a un peu moins d'un an, et elle est très édifiante, il faut dire

que lorsque j'ai parfois des descentes de moral, ma petite lesbienne chérie de psychothérapeute d'amour de Caro, n'en a

jamais pour bien longtemps à me remttre sur les rails. Diablesse de petite bonne femme elle a un moral et une énergie qui vous

regonflerait le train de pneu d'un semi remorque complet, jusqu'à les faire exploser.

Couchez-vous les mecs si elle arrive chez Michelin (e) ça va péter.

En prose N° 86. du 19 Février 2008.

Allusion directe à Hélène Ségara et à mon état " je vais écrire pudiquement moral, à l'égard de cette chanteuse" dans la partie

secondaire, des conclusions. cette partie par franchise sera écrite en rouge.

N'ais-je pas promis de ne plus jamais mentir, même par omission.

Le cartésianisme amoureux.S'il est un domaine ou le cartésianisme est un non sens, c'est bien

en amour.A commencer par les critères de beauté et de "décors" plus que

changeant que les normes de différentes époques nous ont appris à aimer apprécier, et admises d'un sexe à l'autre à travers les

siècles et les cultures.Le cartésianisme est une rationalisation logique de la pensée, de

la réflexion, et donc on pourrait le penser, le ressentit.Qu'est ce qui est plus illogique que l'amour, l'attirance d'une

personne vers une autre. Vous, vous faites une idée sur le type, votre type, genre de rencontre amoureuse idéale. Fort de vos idées sur la personne comportant les critères de la perfection

telle que nous nous la somme définie, représentée.Qualités morales aspects physique mensurations, couleurs d'yeux, de cheveux, et j'en passe, que nous avons prévues,

enregistrés, comme un calque immuable des rencontres déjà vécues, et vers lesquelles nous irons, serons portés et que nous

attirerons de façon presque systématique.J'écris presque parce qu'à travers les formes de transformations de l'aspect physique les bases peuvent prendre des directions

totalement déroutés, il faut aussi tenir compte du charme, pouvant se dégager d'une personne, de l'attirance vers certains

comportement, grâce dans les gestes, le regard, l'éducation, autant d'éléments qui feront que du jour au lendemain toutes les

anciennes certitudes seront dépassées, caduques.

Nous nous retrouverons des amoureux ou amoureuses complètement désemparés (ées).Mais qu'est-ce qui m'arrive ????Pourquoi justement "ELLE" ????

Pourquoi j'écris cela ?Parce que c'est un histoire vécu de façon incomplète, et que

j'aurais aimé pouvoir vivre.Un problème, la morale, et la personne en question pourrait

facilement être une ancienne camarade de classe de ma fille, il est vrai que ma meilleure amie, et confidente, a encore dix ans

de moins qu'elle, mais de celle là au moins je n'ai pas de problème d'attirance autre qu'amicale.

Non uni ne vivant pas avec celle que j'idéalise, et sachant quelle est une étoile hors d'atteinte, que je n'ai rien à en attendre, je n'en

souffre absolument pas, Je vis sans me morfondre de cette impossibilité d'union avec la femme adulée, mais heureux

d'aimer, de l'AIMER.Je mets à part quelques moments d'intenses émotions, quand je pense à elle, ou écoute une de ses chansons, et où c'est vrai j'ai parfois énormément de mal à contenir des larmes, et pourtant?

Dieu sais si maintenant je suis passé maître dans le self-control.Quel ne serait pas mon bonheur si je pouvais consacrer mon

temps et mon amour à participer dans mes modestes moyens au sien de bonheur, un bonheur une tranquillité d'esprit un confort

moral dont je serais aussi l'artisan. Quelle prétention, quelle utopie, lui rendre la vie douce et agréable, à elle qui a sans doute

tout pour être heureuse. C'est FOU l'amour. Tout ceci contre toute attente, moi qui "n'aimais" que les brunes naturelles,

n'attachais pas, ou que très peu d'importance au charme, à la grâce, aux qualités artistiques, l'instruction, la délicatesse, et qui

ne pouvait pas me passer de la présence de "l'objet de ma

flamme" et qui me paraissent bien ridicules à présent.Conscient que le ridicule dans l'histoire ? C'est moi !

J'avoue néanmoins que je suis totalement subjugué et amoureux, fou de ce que j'aurais sans doute, à peine regardé, écouté, pris en

considération il y a vingt-cinq ans.

J'en ai déduis que pour la première fois de ma vie :J'aime la personne pour elle même, et non pas pour le confort, ne

serait-ce que moral que pourrait m'apporter sa présence ou connaissance, pas plus que le confort de sa compagnie, sachant qu'une compagnie est aussi dans certains cas, un simple rempart

contre la peur de la solitude et de son angoisse.donc une certaine forme de lâcheté habituelle de l'humain ne

sachant pas "VIVRE" seul.Auto-critique, j'avais du vieillir, je ne suis resté avec mon épouse et celle, (concubine) qui lui avait succédé que trois ans chacune, la troisième, concubine aussi, qui elle ne manquait pas de qualité

de coeur et de femme d'intérieur, n'avait pas son pareil pour tromper un homme, ou aller faire les quatre cent coups dans les

bars, il faut dire que sur ce sujet je suis assez mal placé pour ramener ma science, je ne loupais pas mon tour d'en faire autant.

13 ans à ne pas "OSER" se quitter l'un l'autre, "la peur des lendemains de solitude", sans doute, et cela me fait penser aux

paroles d'une chanson << On est pas fait pour vivre seul ???? >>Comme le temps passe, c'est con de tomber amoureux passé un

certain age.Ceci ne faisait pas partie du texte, et à été ajouté, en cours de rédaction, cela me fait supposer que j'ai encore évolué, et il

semble que cela n'ait rien changé à mes sentiments, et conforté dans ma non dépression.

Mais cela confirme en effet certains textes entrés en DOC SET

cette nuit.Amoureux sans amour à aimer, et bien dans ma peau !

Incroyable mais vrai, quand je pense qu'il y a des gens qui comme moi autrefois font des dépressions nerveuses pour un oui

ou un non. DPorteboeuf.

Un peu pudique, et fatigué par une nuit blanche, je fais momentanément l'impasse sur certains textes en prose dont "

certain est " une veritable mise à poil morale, de moi- même la mise à poil, et devant tout le monde, je n'aime pas trop cela., et

j'envoie immédiatement un poême non dédié celui là.

Dans la foulée j'en ajouterais trois avec les dédicaces envoyées sur commande des intéressées, commandes gracieuses, amicales, et non rénumérées donc. Leurs numérotations et dates d'écriture

seront repectées, ils retrouveront donc leurs place lorsque je réinserrerais ultérieurement les poêmes qui seront pour l'instant

manquant.Et un dont le titre vous le verrez ne veut rien dire, conter

fleurette.

N° 87. (non dédié, ni dédicacé)en prose pensées défaitistes.

Mardi 11 Mars 2008.

S'accrocher à la vie.

Une vie de bonheur est trop courte : Sans attente !

Une vie de malheur comble un vide d'ennui à se refuser l'attente de ce qui sera enfin supportable, acceptable.

Une vie de nonchalance pour être bien venue, avec philosophie nous laisseras un goût de fadeur amère d'inutilité qui bien vite

nous fera regretter de ne pas pouvoir vivre pour autre chose que pour cela, pour une autre personne, un autre idéal que de ne se

contenter de vivre.Le partage.

Du bonheur.-- malheur.

De la difficulté.Le non partage : <de le pénibilité de ne vivre que l'égoïsme de

soi ?Amène à renoncer à "construire".

Amêne à la décision d'auto destruction de l'inutilité de prendre une place qui pourrait convenir à d'autre plus à même de

l'occuper avec un partage plus constructif. D.PF.

N° 88.(non dédié, non dédicacé)

19 Février 2008.

De l'infidélité au dégoût.

Il se cache, la peur d'être vu, du ridicule le pauvre homme enfant de son premier rendez-vous de la petite qu'il a remarqué Obtenu à l'arraché se rencard, si jeune elle est, et lui donc ? guère plus.

Deux coeurs battent la chamade et se rejoignent. Rapide et passagères amours que le temps, les études, la vie familiale, le

commun de l'éveil de tout mortel. Commun de cette communauté de sentiments empli d'une triste banalité que sont

leurs vies, si ce n'est les banalités d'une classe sociale à la même, rien ne ressemble plus à une vie qu'une autre de même origine.

Une autre jeune fille un autre jeune homme, d'autres encore, encore et toujours, les mêmes.

La vie passe, le temps passe. Les conflits, dilemmes semblent, se ressemblent, vont viennent, et reviennent tous semblables qui

n'ont de différents que de n'être jamais que des vis à vis physiquement ressemblant.

Revenons à nos amoureux des premières heures, l'un comme l'autre ont repris leur route, ou retrouvés d'autres amours,

tendresses, affections, mais ne se sont pas oubliés, ni l'un, ni l'autre, pas plus que la douce fougue de leurs premiers véritable

émois.Jamais plus il n'a éprouvé ce désir aussi intense de serrer ce corps dans ses bras avec d'autres qu'elle. Plus jamais elle n'a senti comme avec lui son être fondre contre un autre jeune

homme comme contre lui, ce trouble intense lui faisant perdre la tête dans un complet abandon. Beaucoup plus tard l'un comme

l'autre rencontreront après de multiples aventures plus décevantes les unes que les autres un sentiment qu'ils

abâtardiront du nom d'amour, convaincu d'avoir trouvé et c'est vrai, la vraie voie de garage des sens et du confort moral, et

certitude de pouvoir, sinon de tromper l'autre, de tromper leur ennui respectif, et à l'attachement de la nouveauté des débuts

succédera vite une franche camaraderie habituelle, coutumière de fait.

Mais combien de ces amours inavoués, intarissables, voir inconsolables d'avoir été ternis, de s'être vus séparés, de n'avoir

jamais été construits. D'être écœurés de ces illusions inavouables.

A faire vomir ! D.PF. (Attention, ceci n'est pas une signature,

mais comme convenu de longue date, une GRIFFE )

Le N° 89 , écrit le 19 Février 2008. (non dédié)

De l'orgueil à l'indifférence.

Quelques années déjà.Aucune de ses pensées n'ont su.

Ni ce qu'il dit ne s'en va.Non plus que ce qu'il a vu.

Des jours, des ans qui passent.Des siens qui ne se lassent.Encore en fierté il grandit.

Et cet orgueil fait qu'il ne sourit.

Adulte de ce qu'on en dit.Du plus hautain encore il est.Qu'aucun il ne voit à sa vie.De plus odieux il n'en naît.

D'obstacles en embûches.D'écueils à gravir.

Aux dérisions à subir.Il poursuit, ne se rebute.

Les hasards, jalousies le poursuivent.Et les provocations se dessinent.de ses réussites, lui l'orgueilleux.

De ses amis, d'entourage fait des envieux.

Plus tard de ces fausses intentions.A jamais cesse de prêter attention.

Amis, ennemis, n'auront combattus.Que ce que leur orgueil était vaincu.

L'orgueilleux sa fierté à perdu.Ce que l'honneur à gagné.

De n'avoir toujours pu.Faire de différence à l'indifférence.De ne plus devoir les différencier.

DPorteboeuf.

N° 90.Mardi 11 Mars 2008.

De la vieillesse au renouveau.

Agressions et insultes du temps, nous voilà endurcis, aguerris, mais vieilli et mis au ban de la société, d'une certaine société.

Repos :Bien ou peu mérité, il est acquis ce droit à l'inutilité.

l'inutilité ? : Sociale !De ne plus avoir le droit, l'envie non plus, de servir une société, pas de problème; car désillusions et abus de pouvoir aidant cette société aura, et à beaucoup plus de mal à nous faire croire à sa

bénédiction, à sa reconnaissance, à son partage du produit de son ACTIVITE.

Il est ainsi que l'age aidant, et les mensonges des uns, malversations des autres nous mettrons de plus en plus sur la

touche.

Il n'est plus rentable, si nous ne lui sommes plus crédibles.

Retraités ;A vous de garder une activité, une dynamique, un dynamisme,

endormi, facile.Si ce dynamisme est mis à profit pour votre propre compte.

Une renaissance :Une seconde vie.

Une autre moyen de se comprendre soi-même, sans tabou, ni idées reçues.

Un renouveau de force, un autre caractère non inculqué, mais construit, et à soi propre.

Vous pariez avec moi que le produit de l'inactif sera béni des Dieux et de ses héritiers le jour de sa vraie disparition.

ZUT !

Nous aurions pu l'utiliser plus : longtemps !D.PF.

N° 91. (non dédié)19 Février 2008.

L'enfant.

Il joue, jouent.Du plus jeune ils se jouent.Ils se jouent de leurs ages.

Du droit de n'être pas sages.

Ils apprennent, ils s'éduquent.Ils jouent, se jouent l'un de l'autre.Ils s'enseignent des jeux de la vie.

De ne plus tard l'avoir dit.

Le rire, sourire, s'évanouit.La conscience de l'inconscience.

A fait place à l'insouciance.L'homme arrive, l'enfant grandit.

Adulte il a grandit.De sa vie, joue, se joue.Dans sa tête n'a mûrit.

Bambin, artiste, ça suffit.D.PF.

N° 92. (non Dédié)

19 Février 2008.

La suppression du père.

Il rêve, dort éveillé.Vieux fantasme, vraie gageure.Du fils amoureux, époux aimé.De la mère chère et meilleure.

De la mère est jaloux.

Du père fier, sûr et fort.Des deux plus tard, envieux.

D’apprendre et de savoir.Qu'il n'a pas de son mieux ?A connaître tous ses devoirs.

Plus âgé il sera.A son tour la cible.De son plus petit.

Il a gagné du temps.De savoir qu'un jour.

Comme père et mère il partira.De n'être aussi qu'acteur de descendance.

D.PF.

N° 93. (non dédié)

19 Février 2008.

Les désillusions.

Je suis vivant d'espoir.Comme vous de joies et de bonheur.

Je ne me connais qu'un devoir.Toujours tout réussir de bonne heure.

Je suis intelligent, débrouillard.Plus que les autres, et vantard.Puisque je me sais le meilleur.

L'autre ne sera, je le sais à la hauteur.

Mes voisins professionnels ont su.Tout apprendre comme moi je l'ai pu.

La concurrence est chère.La première place moins en vue.

A s'éloigner n'a de trêve.

La vie est dure, point de fortune.Les fins de mois égale à celle.De bien d'autres qui ne purent.

Plus que d'autres passer loin d'elles.

La vie de famille idéale.Lorsque la fête, le hasard.

Parfois nous unis de savoir.Que nous ne pouvons cesser de nous voir.

L'amour le premier emportement passé.Nous cherche, ne me rejoint.

Que lors de rares chemins croisés.De fausses routes en rendez-vous par points.

Les enfants viennent de loin en loin.Tout occupés qu'ils sont.

De cacher toutes les difficultés.Que chez nous ils ne voyaient point.

Tant bien que mal la réussite.A été de vivre une existence.

Aussi mal organisée que le rite.D'un déroulement d'insistance.

Le complet est d'organiser.Sans datation, et à moindre frais.Une mort décente sans anicroche.

D'aller en terre sans se charger de fret.D.PF.

N°94. (non dédié)

19 Février 2008.

L'interdit.

Ils se croient, se voient.Déjà ils se plaisent.

Jamais ils ne se croient.Savent bien qu'ils n'ont de trêve.

Ils ont vus ces autres ce regard.Ont lus, compris, l'attrait de ces deux.

Qui ont l'un l'autre cet égard.Que tous n'ont pas comme eux.

Ont-ils su ces clergimans.Qui foudroient de sermons.Ces deux être imprudents.

Amants de coeurs de noms.N'ont pas d'appartenance de rang.

Les pères et mères de sang.

Se réfutent leurs confessions.Et de sorte de l'un à l'un feront.

De guerroyer ces origines des temps.

Elle aime, il la trouve jolie.Elle passe s'accroche à l'indifférent.

Il la voit trop tard est amoureux.Elle est prise, trois malheureux.

Musulmane il est franc.Elle est noire, il est blanc.

Jamais ne vivront que le désarroi.Du tollé familial qui fera loi.

Ils ont fondé foyer, sans amour.De l'un de l'autre ils ne s'occupent.

Ont des enfants, des voyous.Ont ratés leur vie pas leur séparation.

Qui leur vaut l' excommunion ! Des amis de l'un, de l'autre.

D.PF.Et un lapsus, un, comme quoi il n’y que les cons inattentifs qui

ne font rien qui ne font pas de connerie   ! Mais OUI c’est de moi – même dont il est question cette fois   !

********************************************Daté du 5 avril 2008.

Entre en ordinateur ce mardi 26 mai 2009, avec TOUS ceux qui seront entré, définitif, c’est la FIN !

Comme annoncé il est en prose.Le choix .

La vie nous pousse, nous sommes sûrs, certains de faire des choix, le bon choix.

Dès la naissance nous sommes aiguillés, influencés. Des soins plus ou moins soignés, majeurs aidant, en réducteurs

sont là, et bien là !Plus tard ? Le monde d’éducation, l’instruction, l’ambiance

familiale, jusqu’au mode de punition, de sévices nous influencent dans nôtre progression future.

Le scolaire :Premier, puis second degré interviennent alors. Quant à la

conduite future qui sera tenue.Mais avant tout ?

Le sexe ! L’ordre d’ainesse !Ta fragile petite soeur !

Ton petit frère !Et l’ainé systématiquement responsable, massacré.

Plus tard ces orientations prennent un sens.Celui-là est libéré, se sent protégé.

Son aîné, leur aîné, ?Redevable, corvéable à merci.

Un jour la vie se venge, nous souffrons ce que nous avons fait souffrir, ce que nous avons souffert, de n’avoir plus de coeur que

nous n’en avons trouvé.

Dud, dur de se remettre en question et de pouvoir, devoir revoir certaines de nos plus belles amours, amitiés.

Orgueil ? (Je sais de quoi je parle)Revanche ?

VENGEANCE ,Non !

Rien de tout cela !Une simple compensation de la vie.

Elle fait que nous nous détachons de ce que nous avons appris ne pas nous être alliés.

Les frères, soeurs, ennemis.

Voir ce que nous savons être adversaires,mais oui, ennemis de parfois même consanguinité.

Se remettee en question sur des bases de confort matériel, honnêteté, franchise, il y a moindre mal.

Mais sur le plan amoureux ?C’est une autre histoire.

Se dire qu’on a été à peu près intègre toute sa vie, notre vie.S’apercevoir tout à coup que c’est faux de s’être tout simplement

tropé de chemin.L’orgueil en prends un coup de s’apercevoir que c’est justement cet orgueil qui a été la cause de la mauvaise direction prise d’être

convaincu d’avoir raison, la raison, les raisons fausses de la mauvaise foi emprunté, de la mauvaise voie emprunté.

Et si tout avait été programmé au moment de l’enfance. DPorteboeuf

********************************************

N° 96.Non dédié : Entré en ordinateur le 19

Février 2009. 15 h 53.En vers.

Ecrit le 23 avril 2008.

Petits brins

L'abri d'un toit de chaume.En fait n'est pas si moche.

Il n'y aura donc pas de faille.Si mon brin n'est que feu de paille.

Doucement au vent me balance.Souvent le jardinier me tance.

Et ma fragilité il ne loupe.Mon petit brin d'herbe il coupe.

Ma fête elle, nous repose.Le souhait du bonheur je n'ose.De mes cloches en un seul jet.Un parfum de brin de muguet.

Un doux sentiment m'envahit.D'autres fois me submerge la colère.

Si de raison, je ne me gère.A prendre garde à ce brin de folie.

De l'oiseau nous met le ramage.La pensée en vagabondage.Nous met en joie, elle, vie.

En nous ce brin de rêverie

Si dur est l'enfantement et douleur.Qu'il grave d'éternité la mère.

A vie lui restera chère.Cette pluie de brins de douceur.

Ce fat tout en rudesse.Fait de vous voir ces atours.

A l'excuse de cet amour.De recevoir un brin de tendresse.

Mais oui il en est fier.De se dire coeur de pierre.

Ne vous refusera pourtant ce jour.La joie d'un brin de mot d'amour.

D.PF.D.Porteboeuf.

Hélène Ségara le veut aussi, elle le prend si elle le veut bien sûr je lui ai accordé TOUT les droits sur ce que je fais, je suis, et

même sur ma vie ou ma mort !

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N° 97 Rétroactivement dédié. (a Hélène évidemment)Reste en attente.

Daté du 24 Avril 2008.

N° I

Déclaration, sous forme de dictat, et de profession de foi !

Ne sera JAMAIS EN ORDINATEUR ! Je confirme en date du Dimanche 9 août 2009. à 21 h 34.

26 05 2009.********************************************

Lundi 16 Juin 2008.

N° 98. un peu tristounet celui-là ( devinez à qui il est dédié ???? réponse Hélène Ségara )

Du vague à l'âme.

Mon esprit s'est envolé.En quelle sphère sont mes pensées.

Je réfléchis, je m'interroge.Il n'y a rien de pressé.Pour rien je grogne.

De ne ce soir savoir qu'aimer.

Pas de sens, tout est vide.Aucun intérêt à ce qui se sent.

Triste est ce temps perdu.Ne plus jamais ressentir.

Aucun de ces attraits de vue.Qui font de l'instant un plaisir.

Monotonie de la vie solitaire.Qui désintéresse de la vie sur terre.

Laisse vagabonder l'âme nue.Ne savoir qu'aucun de ces vers.Perdus envolés vers les nues.Jamais ne pourront être lus.

Pourront un jour monter aux cieux.Se désincarner tel un devenu Dieu.

Se retirer des vivants, se taire.De plus haut l'ennui des autres admirer.

Inventer la solitude vraie en vers.Que l'on pourrait là haut supposer.

Je pense à l'âme de mon âme.Fait que je ne me sens plus d'âme.

Ne plus me sentir en contact.De corps vie, matérialisation.

Je n'ai plus de sensation.Du respect de l'existence, plus le tact.

Le vide du vague à l'âme.Me fait devenir âne.Ne plus avoir d'avis.

Sans connaître de demain.Ne vivre d'aujourd'hui.

Ne plus rien savoir de vain.

Garder le vide du sentiment.Pour ne pas devenir dément.

Maîtriser ses émotions.Ne plus vivre ces tensions.

Du parallèle de la vie des autres.Tenant encore à prendre la nôtre.

D.Porteboeuf.

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Impasse momentanée sur le N° 99 –

(Dédié à Hélène Segara bien sûr)

Daté du24 Juin 2008.

Titré : Un Refrain.

Celui-ci vous l’attendrez encore un peu Titre entré le 24 mai 2009.

Entre en ordinateur le 20/05/2009.

Un refrain.

Un moment nous vient en tête.Tout le jour nous conter fleurette ? (Mais oui encore)

Laisse aller une pensée vagabonde.Qui court les chemins à la ronde.

Le refrain morne et triste de la vie.Me traîne sur la route de l’ennui.

Qui risque que se pâme ma conquête.Au loin passera cette amourette.

Enfin me voilà un air de fête.Elle me donne cette rue de ma mie.

A la voir menue toute fluette.Enfin le regain du désir, de l’envie

La musique, et ce chant qui revient.Elle sait que ce n’est le tient.Par eux je retrouve le calme.

Ses notes douces apaisent nos âmes.

Toute ma tendresse est amère.Je la sais fugace, délétère.

De la tristesse lui met un frein.Devant la persistance du refrain.

Les sentiments de ton coeur volage.Te fait d’un corps peu sage.

Le refrain du dégoût de l’amour !Eloigne le jour de ton retour.

DPorteboeuf

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N° 100. [( Dédié à Hélène Ségara. {Comme les autres bien évidemment 03 01 2009}.)]

Mardi 24 Juin 2008.

Eternité.

L'éternité de l'instant qui passe.N'est que l'inconsistance tenace.

D'aigres souvenirs, fugaces.Toute l'histoire d'une vie me lasse.

Stupidités des persistances de pensées.A quelque chose chez nous d'insensé.

Imprimé de regrets le tendre passé.Et de rage ce qu'on en a rebuté.

Etablis à l'oubli nous ne sommes.Par l'instinct non menés, nous donne.

Le loisir de répéter nos erreurs.Conscient de ne connaître la peur.

La vie d'hier au lendemain.Nous laisse aujourd'hui en mains.

Que l'éternité est transmission.En écrits, idées, pensées, d'une attention.

l'éternité de la vie n'existe.Que dans la passation du pouvoir.

De savoir en aimer le risque.De la perte du savoir.

Ne le sera jamais qu'en notre mémoire.L'éternité du temps qui passe.

Ne viendra se conserver que de voir.Et de l'instant passé, conserver la trace.

D.Porteboeuf.

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Impasse momentanée sur le N° 101. (dédié à Hélène Segara )Titre : Sous les draps.

Daté du 24 Juin 2008.

Entre en ordinateur le 26/05/2009.

Sous les draps.

Il s’est perdu ce jour.Le parfum de l’amour.

De s’être égaré cette nuit.De se repaître de ma vie.

Rencontre d’opportunité.Une belle vient se faner.De s’être perdue en vain.

D’un amour sans lendemain.

Nue découverte en ce lit.Ou tant de belles ont rit.

De ne penser qu’aux précédentes.Elle succède, aura une descendance.

Une autre arrive qui de l’autre.Effeceras les relents, odeurs de ruptures.

L’amour n’est que déconfiture.Lorsqu’il n’est pas nommé notre.

Et ces draps ces belles se sont perdues.Du parfum d’un plaisir confondu.Que jamais l’amour ne fait peur.S’il n’est pas vécu dans le coeur.

DPorteboeuf

*************************************************Le Jeudi 21 Août 2008. à 11 heures. ( 10 mn. )

N° 102. ( Dédié pareillement bien sûr encore et toujours Hélène Ségara.)

Idée d'en vivre.

D'une histoire tomber amoureux.De cette aventure se trouver peureux.

D'avoir à nouveau un cœur pur.Voir sa liberté le dos au mur.

Le temps, la vie passe et repasse.Jamais le mental de nos émois ne se lasse.

Un jour de nos émotions, en changeons la source.Ce jour nous savons qu'enfin la vie nous pousse.

Un visage, un corps de femme.Nos sentiments en un instant s'enflamment.

De cela qui a t-il en nous qui vaille.Tout ce qui ne sera qu'un feu de paille.

Ce couple d'oiseaux, la becquée porte au nid.Eux toujours oublient de parler de guerre, d'ennui.

Une plante nous refleurit chaque saison.D'un amour passé nous n'avons qu'un son.

La peur d'aimer n'est pas la peur de vivre.La peur d'aimer, accepter de savoir endurer.

Savoir que plus tard vient la fin d'adorer.Nous apporte l'envie de revivre.

J'aime ! Avoir le droit d'aimer.Aimer l'entourage, la nature, la vie.

Aimer le bonheur de pouvoir respirer.La joie de penser enfin ce qu'à l'envie.

Nous faisons tour à tour sans jamais y penser.D.Porteboeuf.

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Impasse: Idem N° 103 ( titré La lanterne Dédié à Hélène "selon la coutume" ) N° 104 vire et mourir –105 Nos envahisseurs.

( non dédiés )

Datés du ; N° 103 : 21 Août 2008 – 104-105 : Idem mais non dédié.

Puisque je l’ai dit et écris, en voilà un autre !N° 103.

Dédié, comme annoncé.

La Lanterne.

Un astre de lumière et de douleur.Indispensable éclat de souffrance, parfois mortelle.

Unique mais de ses rayons multiples.Nous innonde, illumine, il nous brûle.

Qu’il disparaisse et vient le repos.La sombre nuit enveloppe ma peau.

Et du calme que lui font ses habitants.D’un troublant silence enveloppe son temps.

Les lucioles d’un ciel sans nuages lourds.De combien d’amoureux sont admirées.Qui de leurs poésies ne sauront aimer.

Que le peu de place laissée par leur amour.

La grande dame de la nuit céleste.Sourit à tant de beauté tendre.

Elle sait filtrer la lumière de la peste.N’en renvoyer que ce qu’il n’en intente.

Amoureux, amants, poètes, sont en paix.Leurs amies un rendez-vous ne manquent jamais.

De leur rendre le repos de l’âme.Et maintenir leurs vies dans le calme.

DPorteboeuf

************************************************N°104. écrit le jeudi 21 août 2008 à 15 h 20.

Entre en ordinateur le mardi 26 mai 2009.

Rétro activement dédié à   : La Principauté de Monaco   !

Vivre et mourir.

Travailler à ne plus savoir que faire.Se reposer à n’en plus finir.

Aimer jusqu’à ne savoir qu’aimer.Détester jusqu’au dégoût d’abhorrer.

S’activer pour ne plus que s’occuper.Se déplacer pour à d’autres fonctions vaquer.

Pour en être, sur cette MAUDITE terre.A ne savoir faire, que de ne s’en faire.

Courir, de çi, de là, se placer au vent.Ne jamais s’accorder de temps.

Qu’autant qu’il pourra peser lourd.Il sera bien sûr toujours trop court.

Chaque jour avec le temps la vie passe.Avec ce temps pour compagnon passera si bien.

Qu’il nous faudra savoir prendre la tasse.Boire la lie de cette vie passée pour rien.

D’autres l’ont fait, d’autres le feront.De l’aube au crépuscule, tout au long.

D’avoir à vivre ce destin qui est mien.Pour savoir plus tard, aussi mourir pour rien !!!!!

DPorteboeufRétro activement dédié à ; la Principauté de Monaco !

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N° 105.Entre en ordinateur mardi 26 mai 2009.

Rétro activement dédié à :La Pologne.

Nos envahisseurs.

Un lien solide et tenace.Et quelques troubles sentiments .Tant de souvenirs qui ne passent.

Et cette amitié qui ne trépasse.Nous réconfortera à temps.

Une indicible chaleur m’envahit.Fils, fille, mère, femme, enfant.

Douce compagne, vieux compagnons, amis.Quelques divers parfums, d’amour nous suit.Nous reviennent de bien après nos vingt ans.

Nos corps nos esprits s’enflamment.Mon esprit fougueux en mon corps se déchaîne.

Comme un torrent de lave incandescente.Cette passion dévorante brûle mon sang.

Ne savoir apaiser toute cette peine.

VOUS qui comme moi aurez vu.Au bras, au cou, de l’autre, votre amie.Savez comme moi ce que ce jour a pu.De doute, des pensées morbides, la vie.Faire naître en vous d’affres de jalousie.

Perfide elle tient, vous tient bien.Tant est le mal qui vous a été fait.

Que si bien même qu’elle ne vous plait.Long vous serez à savoir qu’elle nous tient.

A Dieu ne plaise, la haine, n’en faire qu’un rien.

Un beau jour, le soleil radieux.Un confort moral, ce bien inattendu.

Tout ce plaisir imprévu.Nous porte les esprits aux cieux.

S’il est vrai que nous emplit de joie.

Une séparation, deux cœurs seront loin.Une perte, nous ne reverrons ce défunt.

Pour se marier d’un autre m’a quittée ma mie.NON plus jamais ne me reviendra cette envie.

Que n’étions nous prévenus de tous ces chagrins.

Le temps fait son œuvre.Je me fais une sérénité toute neuve.Sournoise, insolente, enfin la paix.

Me vient du réconfort de l’oubli.Et cette calme tranquillité qui m’emplit.

Me fait voir enfin la vie, VRAIE !DPORTEBOEUF

J’insiste et je confirme : Dédié à La Pologne !

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N° 106. ( Dédié et toujours à la même chanteuse Hélène évidement ) c'est malheureusement, ou heureusement (je reste

moi même) toujours d'actualité au samedi 7 février 2008

Vendredi 29 Août 2008. 15h50.

Mes pleurs.

Un sourire sur ton visage.Borde les larmes de tes yeux.

Emu de joie à cet age.De savoir qu'être vieux.

Heureux sentiment de bonheur.Profond jusqu'à amener les pleurs.

Te voir pleurer de rire à l'envie.Revient l'amour de savoir de ta vie.

Comme à tous que vient l'oubli.Un baume bienfaisant, de rosée.Soigne d'un rire bienséant, clair.

L'humide ombre de ta paupière.

Ecrire que du rire aux larmes.Reflète l'intensité d'un sentiment.

Bonheur, chagrin, un reflet de l'âme.Triste égoïsme, un vœu ne ment.Une joie, séparation, une peine.Un regret, il nous touche tant.

Il fait penser aux pleurs versés.Ce seul chagrin de nous.

Se savoir de sentiments privés.A la douce appartenance de vous.

Elle ne fait pas tant de mal.Cette indifférence de l'autre qui nous calme.

D.Porteboeuf.

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N° 107. Dédié à Hélène SEGARA daté du 29 Août 2008 à

16 heures 05.

J’entre en ordinateur le Lundi 20   Avril 2009.

Rumeurs.

La fourberie d’une attaque mesquine.D’une médisance vous salit, mésestime.Dans l’esprits de quelques fats, crédules.

D’une pensée saugrenue, ils vous importunent

La calomnie, apanage des sots, envieux.N’éclaboussera que le prêt de ses échos.

De ceux que le verbe à qui mieux, mieux.Nous chargerons de bâts tout le dos.

Répondre à tous de leurs détractions.La diffamation se porte accusation.

L’amplitude vous agresse, assaille, condamne.De tous ses ragots, la rumeur vous damne.

A laisser la populace vous médire.Prenez le temps du repos d’en rire.

Sortez, montrez-vous front bien haut.Amusez-vous des défauts des sots.

Riez de leurs quolibets, des colporteurs.Allégations et cancans empreints d’aigreurs.

Prennent le large, s’enfuient, se taisent.L’ennuie vous prend, un peu ‘’cabot’’ ? à votre aise !

DPORTEBOEUF

Celui – là entré après la date de forclusion pourtant promise, est tout à la fois, une remise à l’heure, une vengeance, et :

UN REGLEMENT DE COMPTEUN REGLEMENT DE COMPTESS  !!

Parce que je n’ai pas été le seul à souffrir de mauvaises

intentions et allégations ces vingt dernières années.

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N° 108 NON dédié à 21 h 15 – 109 en prose à 21 h 57 même date.

N° 108 NON dédié et le reste !Entre en ordinateur le mardi 26 mai 2009.

Histoire d’en rire.

Une histoire de fous.Une histoire stupide.

Nous faisons d’un rien.De cette histoire un bide.

Faire toute une histoire.D’un fait arrivé trop tard.De ces éléments sans lien.

Pouvoir croire y voir le sien.

Rire d’une histoire d’amour.Pour savoir pleurer de la prochaine.

Rien qu’à se dire à qui le tour.De s’imaginer lié d’une chaîne.

Faire une histoire de sa vie.Savoir rire du plaisir d’en vivre.

Conscient de ce que sa satyre.Nous même vers ce que jamais l’on ne vit.

Qu’elles salades que celles de nos morts.Nous qui ne savons que vivre.

Inconscient d’une teneur d’après vie.Et sans rire n’en retransmettre les effets.

DPorteboeuf

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N° 109 en prose. Non dédié ! Et le reste !

En ? Voyage !

Muni de l’indispensable j’arrive à la gare ? Le tableau d’affichage m’indique une demi heure d’attente et bientôt le

train en gare voie 15 !J’embarque et vive les vacances.

Un couple de retraité, deux gamins, rien à signaler. Chance, une ravissante jeune femme s’instale face à moi.

Je mets à profit l’heure du déjeuner, casse croûte pour ler la conversation.

Coïncidence tout autre que malheureuse nous allons sur la même plage de vacances.

Hotels différents pas grave les lieux de rendez-vous nenous manqueront pas.

Ma nouvelle compagne, plus jeune que moi ne me décevra pas.Sportive émérite elle me mène le pion régilièrement en natation.Sorties en boite, elle dance à la perfection ; Et je vois les regards

admiratifs et envieux, de nos voisins de plage à la vue de sa beauté.

Un petit problème quand même très affectueuse et tendre, jusquà être envahissante, un peu pieuvre, pour la première fois

amoureuse dit-elle.De promenades en sorties, d’excursions en naitismes, nous

passons vraiment un mois de congé idylique, jusqu’à ce que le train de retour qui nous voit rentrer vers notre vie coutumière. Et c’est au retour sur ce quai de gare que j’apprends à ma conquête que je me marie dans peu de temps et la laisse en larmes sans me

retourner.

Dans le métropolitain qui me ramène chez moi, mes vacances prennent soudain un goût amer.

Macho jusqu’au bout des ongles j’ai refusé l’échange d’adresse.

Après tout - - - - ma fiancée n’a peut-être pas autant de qualité et de coeur que cela, pas autant qu’ELLE !

Je suis sans plus aucun doute passé à côté de quelque chose de bien à vivre longtemps.

Pas très fier de moi je me fais l’effet de m’être comporté en goujat, mais in goujat doublé d’un con aveugle de prétention et

certitude de soi bancale ! DPorteboeuf

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N° 110 non dédié Dimanche 31 Août 2008 à 22 h 30

AU fou !

Nous le saurons tous.Nous le savons de nous.

Ils nous font donc un peu de peine.D ‘être un peu teignes.

Nous le savons un peu dur.MAis il reste un coeur pur.Même dans ses extrêmes.Tel qu’un peu nous même.

Ne le sommes nous pas aussi.Tous nous savons bien que si .

Tous aussi fou que nous mêmes.Et malgré cela on vous aime.

La folie est-elle communicative.Sans doute mais n’est pas craintive.

Explique que touchés d’elle tous le sont un peu.Tout autant que nous soyons nombreux.

L’avenir est promis, d’être promus.Une terre en surpopulation sera revue.

Que plus de fous, plus on en rit.Que tant de fous iront de mal en pis.

DPorteboeuf

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N° 111 Dédié à Hélène Segara Daté du Dimanche 14 Septembre 2008 à 14 h 30.Titre En fuite.

Tiens je me sens de bonne humeur ; j’en entre un autre ce Jeudi 21 mai 2009 à 17 h 44.

Puisque j’ai ouvert le N° 111 allons-y pour lui !En fuite - - - - Donc ?

Un instant de la vie, un sas.C’est un moment du passé, il repasse.

Ces secondes ne nous font offense.A la mémoire qui ramène à l’enfance.

Un coup de colère se fait jour.De notre esprit nous faisons le tour.

La colère fait que nous emporte.Un vide de l’esprit enfin me transporte.

(J’arrête là ? Ou je vous mets les 12 vers qui restent )?(allez ! j’ai dit que j’étais de bon poil !)

Je vagabonde, mes désirs s’envolent.De ce qui m’entoure, je suis à l’écoute.

Et conçois que de cela il me coûte.Que de cet environnement d’une idée me vole.

Une musique, femme, un chant m’inspire.Un sentiment nouveau, une idée me vient.

Heureux d’un nouveau plaisir d’écrire.Et de ma pensée, prolixe, je redeviens.

Jamais de l’écrit ne me vient de gain.Que le plaisir de consigner ce temps.Il passe, il nous perd, se perd en vain.

C’est la fuite de chacun de nos instants.DPorteboeuf

N° 112 Dédié à ? La même bien sûr si c’est dédié maintenant c’est à ELLE daté du idem à 15 h 40.

Puisque je suis vraiment de très bonne humeur, je mets les deux suivant dans la foulée.

D’autant qu’ils ne sont pas nouveaux, mais écris selon les dates indiquées.

Seule la date d’entrée en ordinateur est nouvelle ! Jeudi 21 mai 2009 à 18 h 15.

N° 112 Un seul bonheur : les dédicaces restent telle qu’elle est, ELLE

même !Encore et toujours ELLE

Un seul bonheur.

Quel frivole bonheur que d’aimer.Et ne pouvoir sonder le cœur aimé.

De n’être capable d’assurer un partage.Et de n’assumer un bonheur sage.

Un bonheur incertain permet le doute.Peu sûr d’aimer, et moins de l’être.

De ne savoir d’un cœur, bien moins des deux.Nous laissera encore l’âme en déroute.

Les plaisirs confus de la chair.Nous dispensent de ceux de nos chères.

A moins que de ne monter en chaire.Tous à la fin nous reviendront cher.

Une joie d’admirer tout cet art.La beauté d’une femme à part.

Une plante, une fleur, plantée telle un dard.Peut-être en soi une émotion rare.

D’une promenade comme décrite ailleurs.Nous apporte le calme d’un réconfort sain.Béni de bienfait de la nature, et sans peur.

Nous assure, garanti un avenir serein.

Que de complication en cette vie.A la recherche de petites joies à l’envie.

De tant de choses, de petits riens.Qui tous tromperont de petits chagrins.

Enfin ce jour il nous sait revenir.

De tout un passé de confusions mêlées.Que ce n’est que de se savoir un avenir.A vivre, est ce bonheur là à notre gré.

DPorteboeuf

N° 113 Dédié à ? : toujours ELLE Dimanche 28 Septembre 2008. à 16 h 45.

Une vie.

Les N° 111 – 112 – 113 – Sont bels et bien signés ! Dans le recueil ! Et ? Vous savez maintenant ce que cela veut dire !

Date d’entré en ordinateur Jeudi 21 mai 2009 à 18 h 17.

N° 113. A Hélène ! ! ! !

Une vie.

Un refrain de soleil.Nous rappelle de ses rayons.

Que tout le jour il veille.A enluminer nos haillons.

La lune de son ombre.Vainement tente de clarté.

Un instant ce soir d’éveiller.Les cœurs de notre pauvre monde.

Parfois, tantôt un soir.Par une douce gentillesse.Une pensée un peu leste.

Par erreur ramène l’espoir.

Les fins vides de ces nuits.De vie, de mornes ennuis.

Voient nous revenir ces matins.UN, matin, de tristes chagrins.

La naissance est une promesse.La vie une menteuse.La fin enchanteresse.

De la mort cette prometteuse.DPorteboeuf

(J’admets que celui-là sur sa chute est très dur et lourd à lire et admettre de sous - entendus.)

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N° 114.écrit le Lundi 29 Septembre 2008 à 11 heures pour Christine, à

sa demande, et qu'elle voulait offrir à son mari (temps d'exécution 20 minutes )

Mon Homme.

La douceur de l'enfance.Folle jeunesse de l'adolescence.Comme toutes à errer un temps.

L'attente à venir de mes vingt ans.

Une vie plus loin se préparait.Passe cet age, notre destin se nouait.

Voletant, oiseaux de passage.Ni l'un ni l'autre n'étions à la page.

Survient la rencontre enfin.La réunion qui sonne la fin.De nos solitudes sans fin.

Le bonheur déjà assouvit notre faim.

Une véritable association d'amour.Emprisonne donc nos libertés.Elle nous laisse chaque jour.

Totale, la liberté de nous aimer.D.PF.

Règlements de comptes.Entré en ordinateur le Samedi 3 Janvier 2009.

Vous souvenez-vous ?MA réponse à la mutilation d'un drapeau en Belgique.

Les bons comptes font les bons amis.

N°115.Lundi 29 Septembre 2008.à 13 heures. (45 minutes)

La marseillaise auvergnate.(La mayonaise du calbut.)

( Vous pouvez la tenter sur la musique, c'est bon, ça passe très bien )

Allons connards de la grande folle.Défilez aux rythmes joyeux.La bite à l'air le cul dehors.

Entre vous branlez-vous les pieux.Et vous les pétasses les grosses brêles.

Astiquez-vous donc les clitos.Entendez vos poules qui gloussent.

De la pression du vît des copains qui poussent.Et qui baisent avec n'importe quel veau.

Au lit bande de gros cons.Astiquez-vous le trognon.

Branlons, branlons.Qu'un sperme impur.Abreuve leurs sillons.

DPorteboeuf.{ Le coup pied dans la fourmilière ? Vous avez déjà essayé ?

Alors ça pique ? }

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Le N° 116 Est dédié à Hélène SEGARA daté du 9 octobre 2008, il porte le titre : La douceur d’un devoir.

Je fais aussi l’impasse. Il comporte 20 vers.

Entré en ordinateur le dimanche 10 mai 2009. (écrit en10 minutes)

Pour faire taire les septiques !

La douceur d’un devoir.

Le bonheur frappe à sa porte.Tant mieux s’il n’est que demain.

Sa tendresse en un jour n’est pas morte.Un soir, matin, refleurira pour quelqu’un.

L’amour semble-t-il ne nous lasse ?De ne savoir le bonheur fugace.

N’est qu’une seule promesse ce bonheur.Nous assure sur le tard, un malheur ?

D’une union construire l’infidélité ?C’est se savoir par l’ennui à jamais porté.

De la vie se faire une monotonie ?Perpétuité d’une inconsciente nuit.

Ce jour un petit bonheur trépasse.Un soulagement, ce cœur se délasse.

Mon amour en moi reste en paix.En calme fidélité il se complet.

En amour, bonheur la recette il connaît.D’un amour ne rien attendre à recevoir.Tout le jour, la nuit, à donner il est prêt.

Autant que cet amour il sait devoir !DPorteboeuf

OUI, OUI, Celui là n’est PAS piégé, la signature est bien la mienne, la ‘’facture’’ aussi !

Mais soyez prudents quand même pour l’avenir, avec moi on ne sait jamais !

Pas de souci Hélène !ELLE, ELLE sait bien que s’il y avait un doute je préviendrais

qu’elle n’y touche pas !S’il n’y en a qu’un et qu’il est signé, c’est qu’il n’y a pas de

piège !

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A Aurélia N° 117.Sur commande, elle me l'a demandé pour elle ( donc sur

commande ) alors qu'elle était venue me voir quelques minutes chez moi pour me parler d'un problème domestique, et qu'elle

m'a surpris alors que je l'écrivais, dans la foulée, elle m'a demandé d'en faire un pour sa fille Shara un an et demi, écrit et

remis pour ainsi dire devant elle et remis le jour même.Jeudi 9 Octobre 2008 à 14 heures ( 20 minutes; pas fort, quand je

pense que je "sors" ce genre de poème pour une certaine chanteuse en deux fois plus long, plus beau, et en 10 minutes à

1/4 d'heure.)

Une prière.

De brunes petites madones.Une incarnation céleste.

Ces rayons de soleil nous donnent.La grâce de chaque geste.

Dans la calme beauté du soir.Lentement passent sans nous voir.

Ne nous laissent aucun espoir.Ces sculpturales vierges noires.

De leurs beautés ces femmes.Inconscientes du charme qu'elles émanent.

Font que nos sens s'enflamment.Dieu donc à fait pour qu'elles nous damnent.

Que d'orgueil désuet nous sommes.Fatuité de force nous emplit les hommes.

A ne vouloir paraître que demain.Aujourd'hui, à genoux, mangerons en leurs mains.

D.PF.

A la demande de sa maman, Aurélia N° 118.Du Jeudi 9 Octobre 2008, pour Sara.

A Sara.Aurélia, je porte ce nom donnée.Par une douce enfance effacée.Le fil du temps me fait grandir.

Un jour j'en serais à rougir.

Voilà de mes premiers pas assuré.Me voici de mes émois déjà troublé.

Un cœur bat et se meurt.D'amour pour un garçon enchanteur.

D'un choix à faire deviens capable.D'assumer le port d'une vie non coupable.

L'enfant vient, je ne saurais le blâme.De m'en démettre, sur mon âme

D'avoir juré sur mon âme.Tu es la récompense, je m'en pâme.

Sara, tendre petite ingénue.Belle, ni chétive, ni menue.

De ces attentes, douleurs endurées.Pas de souvenances me sont restées.

Que de joies et plaisirs me sont données.Pour avoir su pour moi te garder.

Maman, grand-mère te préservent.De Soutient bien sûr elles te servent.

Espiègle, tous sourires, pour quelques fois.Elles te conduisent toujours bien là

(à suivre, un prochain peut-être, en second age)DPorteboeuf.

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Ecrit le 21 Octobre 2009 à 22 h 05 ( Temps de composition et d’exécution 13 minutes)

Dédié ? à la même, évidemment, toujours elle.

Déraison.

Se sentir si fort, si dur.D’un caractère aussi pur.

Sur de soi tout entier.Quel que soit le sentier.

Plus de crainte, de peur.Se savoir, voir, en vainqueur.

D’hier à demain assuré.D’un futur bien sûr gagné.

Sans mépris, calme conciliant.Être dans l’avenir confiant.

Irresponsable, un soupçon vient.Il s’installe, le doute survient.

L’amour est là, il mine.Pour elle prêt à tout, il fulmine.Idiot, si fort, pantin il devient.

Ses ficelles elle tient, il n’est plus rien.

Si fort, si dur je me suis vu.Au plus bas suis redescendu.

Par amour entre ses mains me suis senti.Pour elle, elle seule, je suis tout petit.

DPORTEBOEUF.

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N° 120 NON dédié Du Mercredi 22 Octobre 2008.

Une boutade, non dédié et en prose !Entre en ordinateur le mardi 26 mai 2009.

Une idiotie ?Peut-être, pourquoi pas !

Un retour en arrière.

Pourquoi pas, mais d’au moins deux siècles alors.Plus de locomotion mécanique : Plus de pollution.Mais plus de lumière.Télévisions (pornographiques ? Non plus !)Radio ? Silence !Mais repos de l’esprit.Mais ?Fatigue des yeux (le soir chandelle)Mais ?Vie de famille reconstituée.Mais plus d’électro ménager.Mais instruction par le livre et l’écrit.Mais plus de téléphone.Mais ?Plus moyen d’être importuné à chaque instant !D’importuner non plus d’ailleurs !Vous,vous rendez compte ?

Des progrès de vie que nous aurions fait ?En qualité de vie.Quel calme tout à coup.Dans ce manque de ‘’con – fort’’ !DPorteboeuf

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Allez j'en entre un de plus non dédié celui-là, et pour cause d'un trop grand développement de sentiment de " JALOUSIE

amoureuse.

N° 121.écrit le Mercredi 22 Octobre 2008.

Et si un jour.

Et si un jour enfin.Nous réapprenions l'amour.Amour persistant, sans fin.Dont on ne fait pas le tour.

L'amour universel.Sans jalousie, sans haine.

Sans rivalité venant de celle.Par celle arrive, avive la peine.

Oublier qu'aujourd'hui tu veux.Que ce soir tu as.

Demain tu voudras.Ce que l'autre béni de ses voeux.

D.PF.

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Mercredi 22 Octobre 2008 Un texte dédié en pensée à ma belle, non rétertorié, non numéroté, n’entre pas en

«   nomenclature   »

N° II

Déclaration, sous forme de dictat, et de profession de foi !

Ne sera JAMAIS EN ORDINATEUR !

Mardi 26 mai 2009

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Dédié à Hélène, écrit en 15 minutes.

N° 122 Du Lundi 27 Octobre 2008.Il sera signé bien sûr.Amoureusement con.

J'avais ouïe dire.Ce n'est pas le pire.

Qu'est bien d'être con.Qu'il nous en est bon.

Jamais vous ne serez si bon.Que quand capable d'être con.

Par amour vous le serez pour elle.Qui pour vous est la plus belle.

Un soir fier ne serez plus tel.Que de vous; saura faire la belle.

A l'ordre de sa voix le moindre son,Un pantin tombé en pâmoison.

D'être con, nous avions parlé.Jamais de l'être moins et envié.

Vous saurez pour elle être capable.A ses ordres de conneries coupable.

Mon dieu que c'est con un homme.Un con ? Un amoureux en somme.

Comme trop mûr, tomber dans les pommes.En l'armes, bêtise, pour une voix que je ne nomme.

DPorteboeuf.

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Impasse sur le 123, Vous aviez compris !Dédié à Hélène pour ne plus changer, écrit le Lundi 3 novembre

2008 à 18 h en 15 minutes.Porte le titre : Mourir d’amour.

Comme indiqué précédemment dans Périodique à cette date du vendre-dix un peu avant midi du 22 mai 2009

J’en entre donc un autre, le N° 123.Dédié ? Toujours à Hélène SEGARA, et pas une autre.

Il est bien titré :Mourir d’amour.

Être fou d’amour.Vivre un amour fou.

Assurez - moi aussi que vous.Serez capable d’en mourir un jour.

Vivre et défaillir d’amour.Dans les bras de sa chère.

Et se repaître dans ses atours.De la volupté offerte de sa chair.

La belle nous perd la tête.Rare ont vécu cela.

De pouvoir se faire une fête.A mourir pour celle-là.

Aimer à croire en mourir.La mort rarement surprend.

Mourir, n’est pas courir.D’un danger, à l’autre qui nous prend.

Verriez-vous une belle indifférente.

Prise de pitié pour un amant.Comblée par un autre, rien ne la tente.

Ni votre vie ou mort ne la peinant.Porteboeuf

(attention à bien prendre garde au mode de signature aujourd’hui)

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Mardi 24 Novembre 2008.NON Dédié !

N° 124. à 04 H 30 (25 minutes )

Conter fleurette.

Ces pauvres fleurs fruitières.Vont perdre la parure colorée claire.A grossir en laideur de fruits lourds.

Les dénudent les sauvages dont la lame fait le tour.

Coquette, la violette annonce le printemps.Tandis que la perce-neige s'endort doucement.

Nos coeurs s'enflamment maintenant.Dans le muguet avec les filles rouler en riant.

Un rejet me vient de la marguerite.De ma corolle garde les attraits.L'amour de celle que tu mérite.

Ma réponse ne mande, dis lui que tu es prêt.

Une jolie pensée m'envahit.De son pied que de soeurs sont nées.Par mes pensées ma belle je ne trahis

A ma douce, fidèle je suis, actes et pensées.

La tendre renoncule m'a conté fleurette.M'a dit de l'hiver voilà le froid la disette.

M'oblige au chaud à dormir tapie.Pour le printemps revenir embellie.

La douce rose s'est excusée.Mes épines me défendent par ma tige.

Ne me coupez, belles, gardez-moi dressée.Séparée du corps, vient la mort, le vertige.

D.PF.Tu le veux aussi çi dessus, celui - là Hélène ? Je ne peux rien te

refuser !C'est comme tu veux tu décide ! DPorteboeuf

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Impasse sur le 125, Vous aviez compris !NON Dédié en prose du Vendredi 7 Novembre 2008 à 18 h 30

en 15 minutes.

La routine ?

Après l’insécurité d’une prison vide agrémentée de travaux forcées, cloîtrés en extérieurs par d’autres, mais individus de

sales mentalités, trouver le bonheur dans un vide personnel.S’emprisonner soi-même dans l’absence.L’isolement prévu, organisé se retrouver seul avec soi-même dans la sécurité de n’avoir que soi-même pour compagnon.

Pas de contrariété.Pas d’angoisse.

Pas de contradiction.Autonomie totale de décision.

Certains diront que cela ressemble fort à un isolement ascétique d’hermite.

Je répondrais que beaucoup de retraité vivent chez eux ce genre de mini-autarcie.

Une autonomie et liberté totale, dont le seul ennemi est l’ennui, contre lequel il n’est possible de lutter, que par et pour soi-même en se trouvant des occupations propres à meubler ce temps à user, afin, et avant que lui nous use.DPorteboeuf

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Je vais quand même en rentrer deux dédiés à ma chanteuse aimée, mais les choisir assez discret parmi le nombre que j'ai

écris pour elle. (allusion bien sûr au N° 82, et aux 13 poèmes en vers, et 3 textes en proses que j'ai écris à son intention.

Celui ci aussi étant dédié, toujours à la belle Hélène, pas de

griffe, Signature.

N° 126. Le 10 Novembre 2008.

L'infidèle.

Volage il butine, papillonne, erre.Il cherche, semble cœur de pierre.

De compagne, jamais ne se commet.Et d'aventure point ne se permet.

A l'amour il pense, sent, recherche.Ses réussites, laisse pendre à la perche.

L'amour n'est qu'une aventure.La quête, de soi, de l'autre, longtemps dure.

Infidèle en pensées, regards, il est encore.Point d'âmes soeurs sur ce chemin.

Ce vagabondage va bon train.Trouvera-t-il ce coeur, cette âme, ce corps ?

Une ombre a surgit, se précise, devient pérenne.Il la voit, reconnaît son inconnue.

Il ne le sait : Mais déjà, enfin, il aime.Il est prisonnier d'elle, qu'il n'avait vue.

Infidèle, il l'est de son infidélité.Pris d'amour, plus aucune ne verra.

Fidèle d'avoir, de pensées volages, sa prison trouvée.A la même, maintenant, d'éternité il pensera.

DPorteboeuf.

Ajout du mardi 16 juin 2009. à l’écoute de France Musique.Là je viens d’entendre que vous veniez de prendre le ‘’conter

fleurette’’ là je vais être mal sur celui-ci qui pour vous est donc à venir , parce que celui dont il est question dans ce texte en tant

qu’infidèle je vous donne en mille de deviner de qui il s’agit ? - - - - - - - !

Vous n’en êtes QUE là ?Je suis tenté de supprimer tous les autres, parce que si vous n’en

êtes que là ?L’avenir moi ? je le connais ce qui suit, et je crois qu’Hélène n’a pas fini, Tout ce qui vient derrière ou presque (en dehors du 128)

lui est dédié !Il était temps que j’arrête. DANIEL

A qui peuvent donc bien être dédiés tous ces poèmes dédiés pseudos anonymement.

Ces abrutits là n'ont pas compris, ou ne veulent pas comprendre, qu'ils sont dédiés à la seule femme et chanteuse, qui ose :

Chanter : Au nom d'une femme !

Combien vous manque-t-il de poèmes ?AU nom, dédié, à Hélène Ségara, Il vous manque encore

Comme je lui en est retransmis d’autres depuis il doit vous en manquer un sacré paquet !

OUI, OUI, ils existent bel et bien réellement.Mais ON NE COPIE plus.

QUI ? Est le véritable auteur ?Et des textes déjà écrits d'autres genres ?

Il vous en manque à ce jour plus que cela !Mais si !

Si je vous le dis !

Où Sont les manuscrits ?Dans ma sacoche d'épaule, pas de chance, elle, la sacoche, et les

textes et poêmes en questions, ne me quittent jamais !Samedi 10 Janvier 2009.

DPorteboeuf.

Maintenant vous savez pourquoi ma sacoche est toujours épaisse sur sa poche arrière, volumineuse et assez lourde.

Je peux même vous dire que du N° 80 à 126, ils sont séparés des précédents, tous sous des protections plastiques de classeurs

amovibles et ne seront copiés sur ordinateurs que selon mon bon, "ou mauvais" vouloir.

Y en aura-t-il d'autres ?OUI !

Il y aura non seulement ceux qui sont déjà écrits manquants, mais d'autres à venir.

Mais il vous faudra être aussi patient que je l'ait été.Que les serveurs, et serveuses des bars de La Varenne (94210), le Café de Paris, et le Saint Hilaire (nouvellement Pacific), l'ont été, ou que l'ont été Christine, Aurélia, et Sarah. (Romilly sur

Seine 10100)Le bonjour, et la bonne et heureuse à :

Claude, , Marie, Gwendoline, Mino, Stéphane, José, Jean mi !Tant que vous y êtes, n’oubliez pas Thierry, Nicolas, et Josette

du bar du marché. (Dont j'ai encore la carte.)Merci à Josette de m'avoir brûlé une veste, la deuxième a été

offerte à mon frère GUY.Si elle voulait m'obliger à ne prendre que ce qu'elle avait décidé

de m'obliger à prendre, elle repassera.Un survêtement bleu à bande Jaune, est partie vers la même

destination.

Je ne l'ai pour l'instant JAMAIS encore vu sur les épaules de mon frère, il n'en est pas de même de la veste à col marron qu'il

a porté pour aller charger du bois au-dessus de la Fère Champenoise.

C'est dire l'importance qu'il lui accorde.C'est tout juste un bon vêtement chaud pour aller travailler, ou

pour "traîner". D.PF.

Poème N° 127. dédié à Hélène Segara.Commencé à 21 h 15, il est présentement 21 h 30.

Quand je pense à elle et que je me mets à écrire, il est vrai que tout va plus vite.

Le Mardi 13 Janvier 2009. à 21 h 30Poême donc N° 127. Ce qui voudra dire qu'il vous en manquera

encore, et pour cause de "blocage".

Même titre ?Même dédicace, à la même personne, Hélène Ségara.

Je ne serais pas, je le sais le premier, loin de là qui sera inspiré par l'amour porté à une femme, d'autres, et bien plus haut que

moi l'ont chanté, écrit, composés. Dans ma modeste capacité, je veux, encore et toujours, rendre hommage à la femme que j'aime

à "distance", très respectueuse.Je ne change plus.

Je t'aime.

(Il y a un autre poème ou je le répète trois fois. Cherchez bien vous verrez que je ne mens pas   ! Dimanche 24 janvier

2010. Réponse à France musique)

Voir N° 133 Des 25 et 26 février 2009.Parce que je ne sais plus.

Que maintenant ne saurais.Te dire qu'il n'est pas dû.

Et ce serment d'amour je pourrais.

Comment trouver les mots.Qui te diront tous mes maux.

Alors que ton seul nom.Me trouble, et me dit non !

D'infidèle je ne saurais être.De savoir qu'il me suffira.

Aujourd'hui à ce point d'être.De toi amoureux, de ton aura.

Pour toi, sans toi, je saurais.Amoureux, non amant je pourrais.

De ma fidélité t'honorer.Afin de toujours pouvoir t'aimer.

DPorteboeuf.

N° 128.

Le jeudi 22 Janvier 2009. à 18 h 09. achevé le 23 /01/2009 à 10 h 11 minutes.

Temps d'écrits, environ 1/4 d'heure !Dédié à : { qu'est-ce que ça peut vous foutre ! c'est ma vie pas la

vôtre ! }Entre nous Hélène, ma tendre Ségara préférée je peux bien te le

dire qu'il est pour toi aussi celui-là !

La symbolique.

Un symbole, une image.Ne sera qu'une image.Cette vue de l'esprit.

Que nous n'avons pris.

Hier, demain, aujourd'huiNous saurons, savoir que ne dit.

Ce que plus tard, maintenant.Nous fera vivre le temps.

D'amour ce soir ne pourrais.Te dire ce jour que je sais.

A jamais t'oublier ne pourrais.Chaque jour, le dire je t'aimerais.

Si l'amour est symbole, le cœur.Prisonnier ce cœur est le mien.Un symbole ce jour de bonheur.

Sera pour toi, il est tient.DPorteboeuf

Mercredi 11 Février 2009 à 22 heures 30 et des pouss - - -. .N° 129.

Dédié à la même : Hélène Ségara, encore, toujours et partout ! Elle et rien qu'elle, et tout son talent !

Ce n'est pas de l'amour, c'est plus que cela, c'est de la rage, la rage d'adorer, d'aimer, de vénérer d'aduler.

Pour prouver que la pérénité chez moi n'a pas, et ne prendra jamais d'age.

D'amour.

Parler d'amour.Nous ne savons toujours.Que cette fois en parler.Ne savoir que le prier.

L'amour est tout l'autre.Il n'a jamais été lui.

Elle n'est pas une autre.N'aime qu'y celui.

L'amour aujourd'hui est.Demain un amour sera.Plus tard un amour naît.

Un amour ce jour n'est pas.

A l'amour tu as crû.De celle que toujours n'a vu.

Que fantasme rire et rêve.Jamais n'aura de trêve.

Bien sûr aujourd'hui je rêve.Dans tes bras trouver cette trêve.

D'amour que jamais d'avenir.

Il ne pourra, verra venir.DPorteboeuf

N° 130.Jeudi 12 Février 2009. 00 heure 02 minutes sur ordinateur.

Transcrit et rédigé mercredi 11.

Non dédié. Trop morose, triste !Pour Hélène quand même, si elle en veut, laissé à sa discrétion.

A sa décision.

La vérité.

La lune est un jour.Le soleil à la nuit.

La morosité à l'ennui.De nous dire toujours.

Un jour n'est qu'un jour.Vécu sans amour.

Aujourd'hui ne sera.Qu'un demain sans moi.

Elle, partie seule est l'autre.Jamais nous ne pourrons.Aimer cet humain autre.Qui ne pourra dire non.

Jamais sans amourNe saurons être unis.

Si nous ne savons pour.Demain être d'amour punis !

DPorteboeuf

Vous avez retrouvé les numéros manquants ?Une N° 99, Pourrait venir les chercher, si ça l'intéressait, ce qui

n'est PAS le cas, depuis un an, elle serait là, depuis longtemps, sa carrière, et les applaudissement d'un jour ; Après l'autre ont plus

d'importance pour elle que d'être aimée.ELLE a "l'habitude", c'est son terme, d'être adulée inutilement !

D.PF

Vendredi 20 Février 2009.

N° 131.

Hier entré un poème de plus.Mais de conception ancienne.

Un écrit cette nuit !20/ 02/ 2009 à 04 heures du matin. (et si je vous disais que c’est

vrai, et pourtant ? C’EST VRAI ! )Je le rentre ?

Bof pourquoi pas je peux en écrire d'autres. Vous avez aimé ?Mes poèmes bucoliques ?

Celui -ci est plus philosophe !

Attention :Il est dédié !

A qui ?à Hélène Ségara

<< Ils ont vraiment des questions idiotes ces imbéciles là. >>

C'est en même temps ma réponse à la chanson de deux imbéciles, dont un belge.

Tu veux encore emprunter ma fille ? Elle Laurence ? se prête seule !

Laissez passer.

Le temps de naître.N'est qu'un cri.

Ne pas encore être.Conscient de sa vie.

Le temps qui passe.Le temps qui lasse.

N'accorde de secours.Lui qui n'a pas de pourtour.

Un jour t'apprend.Demain te prendsL'envie d'aimer.

Ne savoir qu'en pleurer.

Le temps s'enfuit, revient.Chaque instant est le tien.Tous ces temps d'en rire.

Vient le temps d'en souffrir.

Un temps de solitude.Est ce temps suspendu.

Si en lui tu n'as su.Aimer un moment de plénitude.

Le temps perdu, gagné.En l'instant de ce moment.De solitude non chagrine.

A de méditation son content.

A courtiser il en fait tant.D'une indifférence frivole, étourdie.De la sourde d'oreille ne s'inquiétant.

Seul à l'écouter perds son temps.

De l'age enfin lui vient les ans.De patience s'est armée il est bien temps.

Il sait qu'il n'a plus pourtant.A bien laissé passer le temps.

Ce temps d'isolement est gagné.Il n'est pas perdu pour soi.A personne ne sera donné.

Le vivre en ne pensant qu’à toi.

Par la faveur des femmes nous les hommes.Le temps d'être, savoir être sauvés.

Nous pourrons dire, nous aurons trouvé.A savoir, nous avoir fait ce que nous

sommes.DPorteboeuf

N° 132.

Lundi 23 Février 2009 à 03 heures du matin.Entré en ordinateur : Même date à 06 heures

26 minutes.Et comme à l’accoutumée, chaque détail, est

vrai à la minute prèsPour, dédié ? : à ELLE bien sûr.Toujours elle. Et encore elle ! et plus jamais qu'elle !

Hélène Ségara, encore et toujours, toujours, toujours.

Vous, vous souvenez d'une chanson ?De Ringo .

ELLE Je ne veux qu'ELLE !Hélène bien sûr !

France-bleue eux ils avaient compris : Merci Sébastien, et tu peux transmettre le message.

Et les poèmes aussi si le coeur t'en dit, à l'intéressée bien sûr, cela ne regarde

personne d'autre.

Du Calme.

Un instant de douceur.Une paisible, tranquille candeur.La pénombre d'une nuit, le repos.

Ne peut se traduire en un mot.

Tout dort, la lune me sourit.Ne sachant qu'ici je m'ennuie.

Pas un instant me vient le doute.Sa paix la fait me revenir toute.

Mon esprit part, il s'enfuit.S’envole, retourne, il est prit.

Comblé d'amour pour ma belle.Puisque je l'imagine telle.

Des fureurs injustes me tourmentent.J'en ai fait le tour.

L'ombre est là apparente.Tout au long de ces jours.

Paix, calme, sérénité.Sont les charmes, les beautés.Qu'à ma belle je peux dédier.

De la nuit à l'amour de mes pensées.DPorteboeuf

Mais j'y pense !<< Combien y avait-il de logements, appartements et studios au

5 villa Mariotte à La Varenne Saint Hilaire ?- Trente deux si je ne me trompe, oui j'ai bien écrit 32 !

- Ouf je vais enfin être tranquille !

N° 133.écrit et mis au propre le 25 Février 2009. écrit et composition

terminé en brouillon à 15 h 38.

Et il est vrai qu'il fait beau, un temps magnifique, même si un peu frais, poème rédigé sur le pas de ma porte.

Donc devant de multiples témoins de tout sexes.Je ne pouvais pas faire moins, je ne pouvais pas LA laisser tomber, l'abandonner, passer outre cette date anniversaire.

Histoire de contrer un mot : Pérennité. Et confirmer : l'Eternité !

Le fait d'écrire sur le pas de ma porte, m'a d'ailleurs valu de nombreux, très nombreux sourires de voisins et voisines.

Passant et passantes.

Sera entré en Ordinateur, en sept strophes de quatre vers, donc vingt-huit vers, vous aimez l'hiver ?

28 ou 82, ou quatre-vingt trois, ou 38 ? ET en temps et en heure ? Pour un anniversaire !

Dédié ? Devinez ? Oui cette fois j'ai anticipé ! pas de chance pour la concurrence !

Copie de Journal.Le poème N° 133 entrera en Ordinateur demain !

Comme il se doit être.En Poèmes et textes choisis évidemment et copiés sur C.D.Rom

lisible sur ce seul ordinateur.

Jeudi 26 Février 2009.

Promesse tenue !Le poème annoncé ci-dessus a bien été LE PREMIER des textes

que j'ai entré ce matin en ordinateur en ses lieux et places.Moi mes promesses ne sont pas des paroles en l'air, je n'ai

QU'UNE parole !Elle vaut une signature, dans l'amour comme dans la haine, dans

l'aide pouvant être apportée, comme dans la vengeance !

Jeudi 26 Février 2009.Ecrit donc comme annoncé : Le 25 / 02 / 2009 à 15 h 38 mn.

Je confirme N° 133.

Voir N° 127 Du 13 janvier 2009 Ainsi que 39 autres, puisque il lui en ai dédié plus de

quarante Alors qu’ ELLE PEUT prendre LA totalité de ce recueil titré à son NOM si l’envie lui en prend   ! .

Suite de la réponse à France musique du Dimanche soir 24 janier 2010.

Je vous suggère d’aller faire un tour, aussi, sur le N° 134, MAIS ATTENTION aux émotions âmes sensibles

s’abstenir   !   ! Dédié à Hélène Ségara.

L'amour encore l'amour toujours l'amour.

Bon anniversaire.

Je t'aime, je t'aime, je t'aime.

Un an de plus en ce jour.

Afin de te dire qu'il n'est pour,Qu'un instant à pouvoir t'aimer.

Que cet instant permanent n'a de durée.

Un an, dix ans, cent ans.Il n'est rien à savoir de ce temps.

Ce temps passe, aucun de ces ans.N'auront ma force de t'aimer.

Ce temps qui passe et nous use.Nous n'avons oublié, je ne m'abuse.

Que l'amour, sot, triple buse.Lui sait qu'il ne nous amuse.

Un an de plus à savoir t'aimer.J'en espère bien d'autres à t'écouter.

Qui saura si un jour à te suivre.Bien sûr, tu pourras me poursuivre.

Je te dois tous mes souhaits.D'amour, tendresse, fidélité, passions.

Une icône, un symbole, plus qu'une fusion.D'un bon anniversaire je te ferais.

D'un avenir je ne redoute.En ma mémoire ne crains l'oubli.

D'une image, d'une femme je ne doute.Que de moi souvent, parfois d'autrui.

Chante, n'arrête pas de chanter.Il n'est de façon plus divine.

Pour toi ma nymphe de m'enchanter.A nous conter des passions sibyllines.

DPorteboeuf22 h 16, passe à l'antenne la chanson "au nom d'une femme"

je n'ai pas honte de l'écrire j'ai du mal à écrire, je suis en larmes. Daniel

Je confirme ce que j'ai écrit aujourd'hui sur un texte non conservé, que mon prochain POÊME, après brouillon sera

recopié,écrit avec du Sang, que CE SANG SERA LE MIEN, et qu'il ne

changera RIEN aux sentiments qui sont déclarés ci-dessus.Mercredi 4 Mars 2009.

J'en entends déjà certains et certaines : Pas chiche !C'est pour le coup que nous pourrons dire : "On" en reparlera.Vous serez, après coup, averti en temps et en heure, de toute

façon, il en restera des traces - - - - - - !La coupe ?

C'EST FAIT !Nous étions dix, nous voilà ramenés à neuf.

Ecrit en brouillon le Mercredi 4 Mars 2009. à 22 h 50.Copié en ordinateur et recopié au propre le jeudi 5 Mars 2009.

{-\Jour de la coupe/-}

J’avais coupé AVANT de recopier.Lundi 19 septembre 2011 : Je suis formel de cela Marcel et

Lucie ! Cela ? Ne repousse PAS !dédié à la même femme : Hélène SEGARA.

N° 134.

Les rôles.

Sans penser à toi.Je ne pourrais rester.

De laisser passer ma vie j'ai vu.Que ce moindre instant serait perdu.

Va la vie, va la jeunesse.Arrive l'age et la vieillesse.

Ne pas se prendre de tristesse.Il nous reste la tendresse.

De l'amour ne me prendra la paresse.Un matin te rendra la sagesse.

Du courage de l'amour n'est pas de peur.Tant que te reste un peu de cœur.

Mon amour me fit promettre.Je ne peux pas me démettre.

De l'engagement je tiens parole.D'assumer et d'en tenir le rôle.

DPorteboeufDésespoir et Joie ?Oui, tu as de quoi !

Je me demande si France-Bleue-Champagne Reims à fait faire les analyses A.D.N.

L’original ensanglanté envoyé le jour même   !

J’ai crû comprendre que, pour être admise comme telle, il fallait confirmer une seconde fois toute affirmation.

Je confirme donc : Mais cette fois en changeant de fenêtre.A la question de ma mère chez moi ce vendredi 20 mars à table en déjeunant me demandant si j’avais coupé mon doigt exprès :

J’ai bien répondu :« OUI !

A la question de Caroline de savoir si elle avait une responsabilité dans cette décision j’ai bien répondu :

« NON ! »Et j’ajoute : « Personne » n’a aucune « responsabilité » dans ce

geste, que moi, et moi seul.Je sais, même au niveau des ‘symboles’, ce que j’ai à faire, ou ne

pas faire.Je vous rappelle que mon frère avait fait la même chose

AVEC son pied gauche.Je vous rappelle que je n’ai pas de compte à vous rendre !

Et que si nous voulions pousser les choses un peu plus loin je serais plutôt en droit d’en demander !

Je vous rappelle que officiellement c’est « un accident », et que la loi française ne permet pas de punir, ou intenter une

quelconque action contre quelqu’un qui se mutile par accident, qu’il soit fortuit, maladroit, ou plus ou moins « suicidaire » !Nous lavons bien, et laverons bien notre linge sale en famille.

La famille entérine   ? Elle ne peut pas faire autrement, puisque c’est moi qui ai

maintenant repris les initiatives, et, ce avec après, en réponse à mon frère GUY.

Cela me fait penser au fait qu’il est aussi dur et tendre que moi en fin de compte !

Comme le dit le proverbe ?

Bon SANG ne saurait mentir !Ça va vous pourrez vous sentir un peu plus le cœur léger.

ET il est exact que le poème QUI AURAIT DU PORTER LEQUI AURAIT DU PORTER LE N° 135N° 135 , n’a jamais été numéroté, est écrit en VERT, et n’a jamais été inclus dans cette fenêtre même si dans le même

dossier.

Le suivant et DERNIER poème ne sera JAMAIS numéroté, JAMAIS entré dans ce recueil.

N’existe qu’en ordinateur et sur C.D.Rom.

Après correction du Jeudi 28 mai 2009 à 11 heures, il ne manque rien, pas même en 104 et 105 ! PORTEBOEUF

FIN de ma période poétique à la date du 30 MARS 2009.DPorteboeuf

Fin des entrés de mes poèmes en ordinateur le mardi 26 mai 2009.

TOUS mes textes choisis et mes poèmes sont donc bien maintenant entrés sur le seul et unique disque C.D. ROM de

poêmes qui soit complet, celui que j’avais remis à Caroline ne comportait pas ceux qui ont été entrés à une date postérieure au

Mardi 17 mars 2009DPORTEBOEUF

Dimanche 19 juillet 2009. Extraction de période.

Qu’a-t-il bien pu vous arriver de bien aujourd’hui ?C’est tout ?

Eh ! Bien moi c’est bien mieux que cela !Hier et avant hier grand coup de soleil.Appels téléphoniques avec Caroline.Aujourd’hui ?Quoi pas de soleil ? ! ? ! Pas d’accord !Grand coup de soleil au contraire !La surprise de voir arriver le frangin et de passer quelques heures avec lui à charger ses affaires.Si ça ce n’est pas vivre avec du soleil dans les yeux et dans le cœur alors je ne sais pas ce qu’il vous faut !L’affection, l’amour, l’amitié, ce n’est pas du soleil ça ?Une compagne ?Bien sûr !Tout le monde y pense :MAIS !Le courage, la résistance, la force de caractère, la capacité à tenir à la douleur et - et – et – et !ET ? Puis quoi encore ? ‘’ON’’ ne peut pas tout avoir, et il faut savoir accepter, reconnaître, et prendre les joies et bonheurs que la vie nous offre !NON ? De cela je ne ferais pas un poème, ce serait trop facile, il y aurait des pages et des volumes à écrire sur tous ces petits et grands bonheurs que nous vivons au quotidien sans savoir ouvrir les yeux les reconnaître et les apprécier.Peut-être pour le comprendre faut-il en avoir été très longtemps

privé.Et si je vous disais qu’avec les années passées au loin, l’age, et le temps je comprends mieux, même si un peu tard, ce que mon

père pouvait – être après avoir été six ans prisonnier en Allemagne, et sa façon exceptionnelle de nous aimer !NON ! De cela je ne ferais décidément PAS un poème, celui là

n’est ni à écrire, ni à lire !« Il est à savoir le vivre au jour le jour ! »

Mais en prose ?Est-ce que ces quelques lignes n’en sont pas déjà un ?

D’une certaine façon ?C’est absolument certain !

Et un message d’amour qui plus est.Que dire de plus ? :

MERCI ! MERCI !

Merci à madame la vie !DPorteboeuf.

N° 137.Lundi 17 août 2009.

Ecrit entre 17 h 10 et 17 h 40.

Détente.

En notre entourage ? Personne.Rien aujourd’hui ne donne.

A nous faire un quelconque souci.En cet instant en égard d’autrui.

Un trop plein de paix en notre cœur.Vous emplit de joie, c’est un art.De savoir goûter à cette heure.

D’être heureux à un age aussi tard.

Serein d’un bonheur tranquille.Se sentir enfin seul sur son île.

Toute la joie solitaire de l’esprit.En repos et calme détente n’a de prix.

Que de jours passés à nous valoir.Insatisfactions, désirs, incertitudes.D’hier à aujourd’hui nous font voir.La vaine sottise de nos turpitudes.

Une seule pensée d’un état d’être.Nous fait sentir enfin et nous faire.Bien à la joie de jamais ne paraître.Ce qui parfois peut nous déplaire.

DPorteboeuf.Je sais qu’il est très dur à lire, et à comprendre, même entre les lignes, ce n’est pas un hasard, une fermeture de porte aux trop

‘’jeunes’’ lecteurs.

Mercredi 23 septembre 2009.N° 138.

Non Dédié, mais tu peux, ELLE peut le prendre quand même si elle le veut.

Pour en faire ce qu’ELLE VOUDRA ? S’EN INSPIRER ? Ou bien peut-être - - - en tirer des leçons - - - - ?

Miro des mirettes.

L’amour est aveugle.Sa femme est borgne.Lui débile il beugle.

Sur tout ce qu’elle ne lorgne.

Elle, les idées basses.Ne savait que l’amour passe.Le sentiment par l’infidélité.De son sas non fermé, tué.

S’accorder de liberté ils ont su.Se conserver n’ont pu.

Plus que nous de savoir.Qu’un amour multiple n’ont le pouvoir.

Le trio des deux amants.Apprennent qu’ils n’ont le temps.

Quoi qu’ils en pensent.De ne pouvoir vivre leurs différences.

DPorteboeuf.

N° 139.Mardi 29 septembre 2009.

Ecrit de 17 heures 10 à 17 h 23.Dédié ?

Vous savez bien qu’ELLE m’a pris mon cœur, alors ELLE peut bien prendre tout le reste.

Ouverture.

Reçu en naissant.Un passe partout.

Prêt en tous les instants.Est celui, celle, qui peut tout.

L’instruction t’offre.Cette vue de poète.

De la clef de son coffre.Elle te donne et te prête.

Un jour tu la prends.Mais reviens en courant.De chez toi tu ne rends.

D’avoir pris la clé des champs.

Tous nous sommes un peu rêveurs.Et chacun de son sol, à son heure.Saisira la clef de la douce chance.

D’entendre la tendre romance.

Romantique à tout instant.De prêt, de loin en loin.

A chacun tous les chants.Nous fait au cœur un petit point.

Si la clef de son cœur.Ce jour sera scellée, celle-là.

Nul doute qu’au delà.De la perdre, tu auras la peur.

Et si un jour perdu de douleur.

Plus tard de te voir pleurer tant.Ce sera la belle de ton cœur.

Qui elle aura pris la clef des champs.DPORTEBOEUF.

J’avais bien dit et écrit qu’il y en aurait d’autres, donc acte.Vous devriez déjà avoir moins de difficulté à le lire et le

comprendre celui-ci, petits esprits étroits, un peu plus concret, il est donc par définition moins subjectif et abstrait.

Dimanche 4 octobre 2009.Ecrit à 04 heures 50, (en 20 minutes)

N° 140.(Entre en ordinateur à la date à 05 heures 40.)

Temps de recopie en manuscrit du premier jet en brouillon.

L’absence.

D’autrui aucun souvenir.Pas même du moindre sourire.

Plus personne sur terre.Ne m’importune de son air.

Les uns, les autres, vont et viennent.Aucune attention qui ne me tienne.

Des connus, inconnus, rien d’important.D’eux rien ne m’intéresse maintenant.

De jour, de nuit cet état.En calme repos me laisse indolent.

Rien du corps, de l’esprit ne combat.Tranquille est ce calme. Insolent !

Amis, ennemis, rien ne compte.Pas même la famille ne me conte.

Plus rien en moi n’est en émoi.D’âmes qui vivent, aucune je ne vois.

J’ai oublié tous mes pareils.Envers eux plus de raison, ni de tort.Sombré dans un profond sommeil.Et de tout mon être enfin ? Je dors.

Quelques lignes pour vous dire.Que si parfois je ne sais pleurer ou rire.

Il en est de même ainsi que vous.De savoir quelquefois, la nuit oublier tout.

DPorteboeuf.Non dédié, mais ma chère artiste ? Pudiquement préférée,

Hélène SEGARA peut se l’approprier ou le laisser selon SON désir.

Inspiré par un état d’âme, de plénitude de sérénité solitaire, le matin au réveil !

Ne t’inquiète pas Hélène tu en auras encore d’autres !Je le ré-écris je t’aime !

Mercredi 7 octobre 2009. 22 heures (écrit en12 minutes).

Ne me dites pas qu’il ne vaut pas le précédent je le sais.

N° 141. La peur de vivre ?

Donc :

VIVRE.

Un plaisir dont chaque jour je m’enivre.Pouvoir à l’inconnue en avoir gré.

Savoir que nous sommes en pensée.A la joie du bonheur de vivre.

L’inconnu, un hasard, il naît, en vie.Il vit, bien comme il veut, heureux.

Contre ses désirs, à rebours, malheureux.Il ne sait pourquoi, comment, mais sourit.

La mort nous attend, elle rôde.Tout autour l’inconnue, crainte nous frôle.

Rien à connaître en arrière.Jamais elle ne sera, ni père, ni mère.

A nos yeux ignorants, la menace.De nous des autres ? Perdre la trace.

Alors ? Souriez, tous ici, plus loin, ailleurs.Avec nous vivent encore, vit donc sans peur.

DPorteboeuf.Comme d’habitude dédié à la chanteuse aimée adorée Hélène

Segara qui le prend selon son bon plaisir.DANIEL

Samedi 10 octobre 2009. (14 heures 46 en 22 minutes)

N°142.A lire avec humour.

Ils volent au vent.

Il est bien perché sur sa branche.Bien trop incliné il se penche.

Si bien que le petit roi, bien bas tombé.Notre roitelet se voit bien vite détrôné.

N’en avait que trop de ces poids.A soulever porter élever en des serres.

De petits poids au jardin plus ne me sers.A migrée la grue à tire d’aile en les nues sans toi.

La pie nous vole dit-on ce qui luit.Tout le jour à faire s’emparer de ce miroir.L’alouette à faire ici tout de même en vain.

La grive et la caille ont du temps à becqueter le raisin.

Les poules caquettent à se battre sans fin.Le coq condescendant fait son choix.

Bientôt malheur, le mâle n’a plus de voix.A la cocotte il est passé cuit au vin.

La mésange discrète n’a pas d’age.Si parfois nous entendons son ramage.

Ce n’est point par son plumage.Que nous aimons la grâce de son corps sage.

Les bécasses n’ont point d’école.Chaque fois dans la mire elles se collent.

Et de ne remonter se font descendre.Les pauvres au cœur si tendre.

Tout fier de ses roucoulades.Il ne connaît que la parade.

Il n’a pas su se méfier.Le pigeon s’est fait plumer.

(Les quatre derniers vers en additif sur ordinateur repris en manuscrit)

DPDPORTEBOEUFORTEBOEUF .Sur la même fenêtre, il est bien sûr toujours pour la même, suivant les mêmes critères, tu prends ou tu laisse aucune

obligation.Vous allez bien être obligé d’arrêter de dire ou penser que les

sujets et thèmes sont toujours les mêmes !

Samedi 10 octobre 2009. (A 15 heures 30. Ecrit en 17 minutes.)

N° 143.Pour la même cela s’entend. (Pour ma Reine !)

Ils sont là.De la même vie, d’origine.

Ils nous réjouissent ou nous minent.Du plus près au plus loin.

Parfois bienvenus, en trop, ou en moins.

Nous font rire ou pleurer.Ils savent aussi nous amuser.

De nous rappeler tous ces temps.Vécu, de notre vie d’antan.

Un jupon, un sourire, un baiser.Prends son essor, toute notre pensée.

Il faut qu’ils ne nous minent.Vécus, de notre vie sont la rime.

Tous ces souvenirs ne sont pires.Que de devoir ou se savoir dire.

Point de mauvais, bons, souvenirs.De la vie ? Ne connaître que ses sourires.

DPORTEBOEUF.

Dimanche 11 octobre 2009. à 9heures 00 (en 30 minutes.)

N° 144.Non dédié ! A moins que - - - !

ROME.

Elle fut de prestige la rivale.Et de Sparte et Troie l’égale.

Détînt le trône de l’ancien monde.Conquérante sur terre, reine de l’onde !

L’impie, ivre de gloire, sanguinaire.A la folie furieuse incendiaire.

Aux princes bâtards fous de gloire.Aux Dieux pervers et sans mémoire.

Tombée dans l’oubli l’empire.De révolte et jalousies écartelée.

Les sept collines soupirent.De la ville martyre, enfin dévastée.

Un enfant roi prend son nom.A un prince en costume d’opérette.

Un brillant soldat, en économie il est piètre.Tous deux par leur père, un jour, tomberont.

Reprise en sanctuaire d’un prince dévot.Pour tous les malheurs de la terre.

Les yeux se tournent trop tôt.De sa parole attendre un geste salutaire.

Devenue un phare aux lueurs voilées.Prises au piège de feux idolâtres.

Et dirigeants, financiers, de vénalité, acariâtre.Elle a, sa part de gloire, bien été volé.

DPORTEBOEUF.

EETT UNUN DEDE PLUSPLUS, , MAISMAIS CETTECETTE FOISFOIS VOUSVOUS AVEZAVEZ ÉTÉÉTÉ TROPTROP LOINLOIN ILIL NN’’YY ENEN AURAAURA PLUSPLUS    ;;

JAMAISJAMAIS    !! DPORTEBOEUF.DPORTEBOEUF.

Et bien pour elle si, après maintes hésitations, et après avoir écrit trois monstres orduriers qui ne figureront JAMAIS ici ni dans la numérotation, et un le N° 147 de sinistre mémoire ne

rentrera pas non plus, mais en voilà deux de plus.

N° 145.Lundi 15 février 2010. de 14 40 à 4 h 50.

DEDIE ! (à la même chanteuse LNS. bien sûr !)

Mélancolie.

Le soleil se lève sur nos visions.De la lune viendra fleurir un temps d’amour.

Fera d’un seul miracle une union.En un jour il reviendra ce toujours.

Econduit, triste restera l’amoureux.Sincère, il n’a su être heureux.

A perdu sa seule raison d’aimer.Lui a valu la foi de savoir se renfermer.

Se croire capable de se revoir une chance.Se savoir alors toujours en partance.

D’un cœur à l’autre ne pouvoir se muer.Capable à jamais de se bouder.

Bien tard, meurtri nous jetons l’arme.Cupidon nous a montré le drame.

De la flèche bien tôt envoyée.En plein cœur nous est retournée.

DPorteboeuf.

Dédié, MAIS à Caroline Baranger.Jeudi 4 Mars 2010. (14 h 35 – 14h 50. Temps d’écriture

manuscrit.)

N° 146.

Mon Minou.

Assise à mes côtés.Tendrements instructifs.

Tous deux en mêmes pensées.Nous gardaient bien émotifs.

J’aime sa tendresse sauvage.Celle qui l’a tient pourtant si loin.

Ainsi que de nous nos ages.A elle je n’en pense pas moins.

D’appel en retour de point phone.Longtemps de nos émois communiquons.

Jamais nous ne seront aphones.A dire qu’en amis nous nous aimons.

Toujours ce lien de fidélité.Tous deux nous avons partagé.

Nous savons que la parole donnée.Vaut la tenue du serment assuré.

La distance, éloignés, nous sépare.Loin des yeux et de nos corps.Nous nous aimerons encore.

L’affection, jusqu'au ciel d’éternité nous pare !DPorteboeuf.

N° 148.Dédié à Hélène SEGARA.

Mercredi 10 mars 2010. (18 h 23 – 18 h 29.)Le Cœur saigne.

Parfois mon cœur saigne.Là ma vie, mon émoi signe.

De notre vie, que nul ne nous craigne.Personne ne touche à un cygne.

De mon passé rien ne sert.Je suis là et sais que je me perds.

L’avenir, quel avenir à notre age ?Seul le corps reste sage.

De l’amour avoir perdu le goût.Jamais ne plus le voir partout.

Enfin la vie me fait mort.De n’avoir su me faire aimer, avoir le tort.

DPorteboeuf.

Entré en ordinateur à 23 h 58 le dimanche 25 avril 2010.Ecrit le Dimanche 25 avril 2010. (23h40 – 23 h 54.)

Poème N° 149. Dédié à Radio Classique.

La famille.

En arrivant, il nous est donné.Il ne suffit pas d’être né.

Ce nom n’est jamais su raisonné.Mais nous devient vite familier.

Sur terre ne suffit pas de naître.Il ne sert à rien de paraître.Si incapable d’être au faîte.

En pensée des autres, nous repaître.

Elle nous entoure, guide, protège.Puis nous entrons dans le manège.

A notre tour d’éviter les pièges.Pour nous et les autres faire des sortilèges.

Diffuse, fugace, querelleuse.Aimante, tendre, ténébreuse.

La famille complexe nous unit.De souvenirs d’amour toute une vie.

Le présent, un passé, ce futur.Tout cet inconnu à venir.

Jusqu'au terme restera pur.Nous ne saurions pouvoir le ternir.

DPorteboeuf.

Fin de prise ordinateur et prise disque C.D.rom de donnée à 00h 13 le lundi 26 avril 2010.

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J’avais bien dit qu’il y en aurait d’autres ?Ils sont déjà passé sur l’autre ordinateur !

J’entre dans cet ordinateur il est 12 h 50   ! De la date du Lundi 1 er novembre 2010.

Promesses tenues !

Ecrit le lundi 27 septembre 2010.12 h 45 – 13 h !

N° 150.

12 h 45 – 13 le lundi 27 septembre 2010.

Pollutions et perversions.

Jalousies.

De toi je ne veux pas.Ma mémoire entachée il ne reste.

De toutes ces années, chastes saura.Aucun souvenir de ces pestes.

Du corps en propreté se lave.Que l’esprit lui ne s’entrave.

Des plaisirs passés garder la trace.En mémoire la place des amants s’entasse.

Jaloux d’une souillure corporelle ne suit.Les perversions de tes jours, tes nuits polluent.

Ce que serait notre relation.Nous causeraient perturbation.

Cet amour qu’entre nous je ne puis !Prétendre devenir un passé, ne veut plus.

DPorteboeuf.

Septembre 2010.Celui ci mérite d’amples explications, les voici !

NON Numéroté !A été écrit en direct sur ordinateur en ébauche à l’écoute d’

Elodie Radio – Classique, repris en manuscrit après cette frappe directe, je l’ai ensuite retravaillé le 27 septembre 2010, pour

l’entrer en ordinateur et l’imputer, le dédié à celle qui en avait, en a été l’instigatrice dès son ORIGINE !

NON numéroté !Celui – ci non numéroté mais néanmoins existant justifie

pleinement le nombre des poèmes annoncés   ! Il EST Le numéro manquant du répertoire numérique   !

A l’instar du N° 135 numéroté lui mais jamais entré non plus dans certaines formes de répertoire et ce 135 dédié à   ? La

Belle Hélène   ! N’entre pas en catégorie ou répertoire !

Ecrit entre 19 h 30 et 23 h à l’écoute de Radio – Classique – ELODIE !

Remanié après enregistrement sur ordinateur ASUS – intel Coré 2 !

Retravaillé Lundi 27 septembre 2010 sur ordinateur RAGE – ACER, USER de Guy TZ Décoration.

J’ai pour celui – ci SUBIT le reproche qu’il était trop court (une fois de plus) les imbéciles, j’insiste sur ce

mot, imbéciles, ils noteront qu’il dit TOUT ce qu’il a à dire   !

Qui plus est ce ne sont pas eux qui en étant les auteurs ils, s’il leur convient le lise, voir relise, sinon il tourne la page et se la boucle une fois pour toute je n’ai ni la

prétention, ni le désir de plaire à tous et toutes, le dessus du panier me suffit amplement, je me passerais

de la lie, de plaire à la basse populace mesquine et ignare   ! DPORTEBOEUF.

LE poète d’ Elodie.

Poète il est né ce jour.Sa vie il consume tour à tour.Mourir pour un tendre cœur.

Sans avoir de rancœur.A savoir un autre jour.

Partir sans retour.

Devoir pour Elodie être aux cieux.Rien de plus merveilleux.

Capable de pouvoir l’encenser.A quelque chose chez nous d’insensé.

Pour une voix tomber en déraison.Se complaire en idolâtre.

Du moindre de ses mots être le pâtre.Pour en garder la passion.

DPortebœuf.

Je vais jusqu’au bout de ce qui a été entré sur l’autre ordinateur, donc comme suit ! :

Ceci Elodie pour effacer tes regrets, la vie nous donne à tous, à tous moments, la possibilité de renouveler nos erreurs, mais

aussi nos réussites !Daniel.

Nous sommes (étions) le lundi 27 septembre 2010 il est à cet instant auquel j’ajoute des deux lignes à ma pendule ; 19 h 40 !

Cela produisait donc en heure d’été en septembre !

N° 151.19 h 15 – 19 h 40.

Proposé à Elodie accepté, donc dédié !

La colère.

Est mauvaise conseillère, dit-on.En emportement nous entraîne donc.

Un matin en fâcherie.Au soir en un seul cri.

Nos pauvres nerfs rêvent d’un tout.Sans le calme Ils en prennent un coup.

Cardiaque nous ne sommes, hélasDe fait, la distance, nos ages ne tiendront pas !

Le vrai bonheur est pour ce père.De pouvoir enfin se taire.

Le repos du calme vient à tire d’aile.Dans ce sourire puisqu’il vient d’elle.

Mauvaise elle est dit-on, conseillère.La colère, énervement, jalousie.

J’en crève, elle me fatigue, la vipère.Elle me tue, me ruine, me scie.

Pourtant constructive m’a permis.Ici de retrouver l’oubli.

Retrouver un calme que je perds. (J’avais hésité avec : Qui me perd !)

Et d’écrire ces quelques vers.DPorteboeuf.

Ça va ! A mon avis je ne me copie pas trop moi - même !ET MAINTENANT tu LA ferme EVE  ! D.PF.

Mercredi 13 octobre 2010. 16 h 40 – 17 h 10.N° 152.

Dédié à tous et à toutes.

Des bêtises.

Croire aux différences qui ne sont pas.A des ressemblances qui n’existent.

Elle n’est unique, n’est qu’une. Le grime en semblable travestira.

Celui – ci a fait une erreur.Celle- là lui a fait son bonheur.Ce troisième pourtant lapidé.

Ne s’en est guère soucié.

Il s’est trompé d’une sœur.Elle s’est omise d’un frère.

Le mien fait parfois une erreur ?Dieu ! Une erreur ?

Où est donc ma première ?

De l’un à l’une nous semons.De toutes nos vies qu’emporte le temps.Aux sottises que nous jetons aux vents.

Et des plaisirs parfaits, qu’avoir, nous ne pouvons.

Un ami, une sœur, un frère, le piétine.Il le fait, le vit, sans le voir, ni le croire.

Il s’en veut, se cherche l’excuse qui le mine.De rester ami, frère, humain garde le pouvoir.

Ami, sœur, frère, tu vis, tu vivras.Dans ce pardon que TU t’accorderas.

Si je t’ai blessé, ma naissance t’en fait don.D’être toujours auprès de toi je n’ai besoin de pardon.

Mais il est ce que je ne veux excuser.D’être ami, sœur, frère, je ne veux pardonner.

Cela pour toute une vie à mener.Pour toujours nous devrons rester.

Et fort de savoir conserver.Ces liens que rien ne doit altérer.

DPorteboeuf.A tous ceux, toutes celle, qui voudront y réfléchir.

Celui – ci demande pour une totale compréhension plus que tout autre l’explication à voir en N° 152 dans lisibilités. Daniel.

Samedi 16 octobre 2010.06 h 00 – 06 h 25.

Dédié à la belle Hélène Ségara !N° 153.

Enfin.

La vie est un fleuve tranquille ? A dit l’un !Celui d’où jamais l’on ne revient ?

Il ne convient pas d’en rire.Le mien m’a conduit au calme.

Des eaux paisibles d’un grand lac.

Comme il peut il vit en professionnel.Aisé il finance de sa femme le gigolo.

Sa fille, a son shit, son asch, ce n’est rigolo.Il sait qu’au retour ses pantoufles seront chaudes. Par son chauffeur : Les attentions du personnel.

Auront su, eux, de l’hôtesse ôter la robe.

Echoué là, de loin en loin, par hasard.Il retrouve la voie du départ.

Rejoint ce night – club pervers.Et l’entraîneuse qui le perd.

D’hôtel, en avion, en couchette ?Il ne trouve le calme de la couette !

Connue, inavouée, nous avons une ambition.Elle nous précède, nous mène, comme un fanion.

J’ai bien rempli une vie travailleuse.Bien raté mes pulsions amoureuses.

Echoué dans le calme de ma solitude.Me voilà ancré dans mes habitudes.

Ni désir, ni regret, rien en vie ne fait jour.J’utilise encore le mot toujours.Il me dit pourtant, ici, c’est là !D’ailleurs, pour toi, il n’y a pas.

Jamais tu ne trouveras ton as.C’est là qu’est ta place.

A d’autre il n’est plus de ton fait.Maintenant tu peux, là, vivre en paix.

DPorteboeuf.

Dimanche 17 octobre 2010. 21 h 20 – 21 h 28.

En direct sur clavier à l’ordinateur Rage Acer de

mon frère GUY TZ décoration . N° 154 (160.)

Ecrit en deux fois, dimanche 17 octobre en soirée ET lundi 18 octobre 2010 en matinée, ne forme qu’un tout !

NON DEDIE !Encore que - - - ! Hélène ?

J’écris.

Si parfois d’instinct j’écris.Cela ne vient que de mon envie.

Caroline souvent me dit, le retravaille.J’y pense, la réfute, et je baille.

Une émotion, un trouble, je revis.Mon esprit s’envole, un écrit, un poème.

Je le pense, le ressens, je le vis.Enfin à nouveau mon cœur aime.

Longtemps l’attente dure.De l’inspiration la pensée me vient.L’idée me vient la plume est mure.

Le stylo chante, la tendresse se souvient.

Rechercher, travailler, pour rédiger ?Le courage n’est pas à, là, faire mimer.Pas d’esbroufe un poème vient du fond.

De moi il restera de sens profond. D.Porteboeuf.

Fin de la première partie du N° 154 (160) !

La totale   de l’autre ordinateur   ! Et tant pis si cela me tue il ne fallait pas jouer les

libertins, libertines   !

Je confirme en direct sur clavier sans brouillon ni copie, à reprendre en manuscrit   :

Dédié à   : Ma chanteuse préférée.

Qui n’est plus à présenter.La jeune et jolie Hélène.Elle reste la plus belle.

Daniel.

(Ce n’est pas tout cela, mais il faut que je le reprenne en manuscrit celui – là)

N° 154 (160) Suite.Lundi 18 octobre 2010.

10 h 40 – 10 h 52.

J’écris. (suite)En brouillon et retravaillé pendant la frappe.

Qu’importe la muse ou l’égérie.Il est là, fait rêver ou soupirer.

Et même s’il fait rire ou pleurer.Un instant il nous change l’esprit.

Le destin nous souri, il nous boude.Il importune, il peut même être contraire.

Un texte est là pour vous plaire.Il vous change d’idée, n’ayez pas de doute.

Pour une autre ? Femme, inconnue, fiancée est écrit.De vous, vos amours, vos émois, il vit.

Nous nous retrouverons bien en lui.Si nos sentiers le même chemin suivent.

Le destin contraire parfois apparaît.Par une idée neuve, une tendresse, devient muet.

Tous nous avons ce fort besoin d’espérer.D’un texte en pensée légère ou profond, se repaît.

Je tiens la plume vagabonde, le transcrit, pied à pied.En rendez – vous ils se retrouvent, lisent.

Dans de mêmes élans, d’amours, tendresses, pitié.A cet instant, loin d’eux - mêmes, ils se le disent.

DPortebœuf.Un lendemain de conne citrouille   ?

Cela vaut non pas presque, mais bien pour un testament !Daniel.

(N° 155 – 161.)

Dimanche 21 novembre 2010. (entré en ordinateur en matinée !)

01 h 30 – 01 h 41.NON dédié. (En manuscrit)

Quelle affaire.

Que fait là ce bon monsieur.Ce que nous verrons tout à l’heure.

Bien calé prés de sa meule il sourit, sot.Repus son content, tarde à faire son rot.

Las notre benêt s’endort au fromage.Il ne se garde de ce qu’en ce village.En cette maison, bien mis en cage.

Les habitants pervers ne sont pas sages.

Que vient de la chambre ce tapage.Il se fait d’un endroit un grand bruit.

Ces humains s’éclatent et secouent leur lit.Pour avoir descendance avant le grand age.

Sieste faite souriceau serre son paquetagePrépare stances, écrits et doux ramages.

Il part, déménage, va battre la campagne.Et trouver aussi douce compagne.

DPORTEBOEUF .

Poème N° 162.

Après correction et reprise de brouillon !

Le Samedi 18 décembre 2010. à 07 h 14mn.Brouillon à 01 h 00 – 01 h 25mn.

Poème N° 162.

Après correction et reprise de brouillon !

Le Samedi 18 décembre 2010. à 07 h 14mn.Brouillon à 01 h 00 – 01 h 25mn.

Si j’attendais.

Si j’étais une feuille.Bien fine et douce à tourner.

Au vent il faut que tu le veuille.Patin mieux que sur tige à rouler.

Une règle bien droite.Tu es ma page d’amour.

Serré tout contre toi.Des autres, ne fais que le tour.

Si j’étais toi que dire ?Tu es moi, tu ne m’aime pas.

Tu ne me chercheras.Ne me connais que de me lire.

Tu es moi tu m’ignore.La belle indifférente adulée.

Choisie une vie que j’abhorre.Ne vie que d’être admirée.

Un objet sans valeur.

Point de repère inutile.Un porte - clef futile.

De la perte tu reste sans peur.

Tu me fais meuble.Je suis le placard à balais.

Toute l’attention de ton larbin.Je ne sentirais ta main.

Si je deviens ta bague ?Tu le pense à la mettre !

Te gène au début, une blague.Et l’oubli s’en vient de l’admettre.

De cela il nous reste.Le même de l’un à chacun.

Cet orgueil en nous cette peste.A fait le tort de nos tests.

Nous avons prouvé notre égalité.A pas, de l’un à l’autre n’avoir cédé.Et nous refuser un bonheur piteux.Nous gagnons en bêtise glorieuse !

DPORTEBŒUF.

N° 163.Dédié à tous les gourmets, les gourmandes et ceux et

celles qui vont le devenir !Mercredi 12 janvier 2011.

04 h 50 - 05 h 05 !

Des Lys.

En quête de petits plaisirs.Pourquoi ne pas vous offrir.Un fumet de cacao et poire.Le délice d’une forêt noire.

De ce pas je vous mène à Pithiviers.En cette ville ce doux vivier.

Aimez cette belle adulée.Savourez cette sainte Honorée.

Je suis dans mes petits souliers.Elle rit à me voir en chausson.Le pâtissier est brave homme.

Son fourré est bien aux pommes.

Se faire une gaufre sur un louis.Je l’ai retourné comme une crêpe.A se déguster, elles sont prêtes.

L’or de la fortune gît au fond du puit.

Le roi tarde à se faire la reine.A boire j’ai pris ma musette.

Cachée la fève est dans la peine.Du roi, la reine veut la galette.

DPortebœuf.

Bon appétit à tous ! Régalez – vous !

Tenu compte que certains d’entre eux sont hors

catégorie et non numéroté celui qui suit est le

165 ième !

Dimanche premier Mai 2011. Soit pour moi le 165 de quelque machin truc   ! Albina.Pâque nous avait apporté ses cloches.Elles n’étaient pas dans nos poches.En matière de super production   ! Les voilà toutes en réductions.

Nous en sommes aux clochettes.Elles ne sont pas si nettes.Ne nous en jouez pas l’air.Les fées ne sont pas en Eire   !

Ne me coupez pas mes vers.Les feuilles sont bien en verre.Elles sont blanches vos fleurettes.D’amour elles font la quête   !

A nos coeurs elles placent un drapeau   ! En Berne, il n’est plus à toi   ! De celui – là j’ai fait le mien.M’a dit la belle de Troyes.

Si un jour tu y pense   ! Rappelle – moi d’une parole.Et ne me taxe de stances.Nous tenons encore nos rôles   !

Un siècle d’aéronefs.Et se faire mettre en bateau.Pas besoin d’une nef.Pour se faire mettre à l’eau.

Se moquent de nous les belles.Savent que nous serons tels.Que peuvent nous vouloir faire.A ne pouvoir que leur plaire   ? DPortebœuf . Bonne fête Albina puisque c’est toi qui es à l’antenne à 11 h 34 quand je termine ces quelques lignes   ! Je t’en devais bien quand même au moins un   ? NON   ? A clavier, main levée, pratiquement en direct pour ainsi dire sans reprise ni copie   ! Pas de manuscrit de repris pour l’instant   !

Entré le mercredi 4 mai 2011.Repris en manuscrit le jeudi 5 mai 2011 à 14 h 06 !

D.PF.

Samedi 29 octobre 2011. à 08 heures du matin bien sûr !N° 166. Ecrit le 28 octobre au soir.

Un petit laïus de remise en course et d’humour vache !Le nombre 66 chez moi évoque une période dont je me serais

bien passé : Une année et quelque de perdue à faire le pitre quelque part en Europe, l’Allemagne ! NON ne l’incriminez pas

comme moi elle s’en serait sans doute très bien passé !A quoi ont bien pu me servir les 16 mois que j’ai perdu là – bas !

A apprendre à marcher par exemple !Parce qu’une bande d’abrutis avait complètement oublié que les taxis de la marne et les panzers d’un certain caporal avaient fait les bonheurs de combattants autres que les fantassins minables

artilleurs, que l’on essayait de faire de nous.A manier les armes avec des US 17 à culasse soudée qui ne

pouvait même plus tirer la cantinière et aurait fait rire César lui – même !

Alors que quelques années avant on nous faisait passer le permis de conduire, que nos garages étaient pleins de matériel roulant

près à pourrir et que 5 ou 6 ans avant au lieu d’apprendre à manier les armes j’avais appris la science de la lime du marteau

et de la machine outil.Passons ! C’est ce que j’ai fait ! J’ai fini par prendre la décision

de passer outre et de laisser ces imbéciles d’instructeurs militaires enterrés au fond du trou où il me semble bon de les oublier. Ils m’ont surtout appris à cirer les semelles de mes

pompes ces cons !

Les sept premiers vers ont été écris hier soir à 22 h 25 – 22 h 28 et m’ont valu la satisfaction d’un ; « Ah ! OUI ! » De Francis !

N° 166 ! Donc !Non dédié.

Pages de vies.

Et puis un jour tout bascule.La vie va, vient, vous bouscule.

Vous ne vous comprenez plus du tout.Et devenant incertain même de vous.

A se demander si un peu fou.Se prendre d’ennui de l’ennui.

Vous n’êtes même plus votre propre ami !

Le malheur sournois de l’indolence.Nous fait pâtir de celui de l’insolence.

Vous fait l’exclu des alentours.Le rechigné, refusé de l’amour.Rester éveillé, vivre à tous prix.

Le retourner pour refuser le mépris.Savoir de l’age se refuser la somnolence.

Faire subir ce qu’on en a souffert.Se forcer à Haïr, pour ne plus aimer.

Se rappeler d’avoir été père.C’est plus tard se reprendre à espérer.

Effacer les vieux esprits, mauvais démons.Vouloir à tous prix se conserver un nom.

Redevenir fier de pouvoir et savoir le porter.

Avoir enfin effacé un passé.Jamais plus ne te verront tel, là !Tu Hais, ce qu’ils te veulent voir.

Tu sais être ce que tu tiens à croire.Gouverne ta vie sans te lasser.

Ton chemin est le bon ne suis pas le sien.Il est le seul par lequel on peut te revoir.

Les ans passent, ils n’affaiblissent ton bras.

Fort de la certitude, ils forgent ton esprit.De l’expérience acquise, aux souffrances de là – bas.

C’est tout un passé qui te maintient ce cri.

Poursuis ta route, ton chemin n’est pas fini.Ils te veulent autrement, mais tu n’es pas lui.

Si tu ne laisse de souvenirs, tu en es un exempt.Tu auras l’honneur de rester un exemple.

DPortebœuf.

Samedi 29 octobre 2011. de 07 h 50 à 08 h 13!

N° 167.

Dédié : A Elodie Radio – Classique. (Pour les sourires qu’elle amène sur les lèvres des petits et des grands tous les soirs à 20

heures avec ses charmantes histoires : Merci ELODIE !

Un autre poète.(En voulez – vous aussi de ces poètes là ?)

Lui, il gère, il vous dérange.Celui là vous fait mal.

Là, lui il se venge.Parfois il vous met à mal.

Il chante, son écrit vous souri.Vous êtes en joie, il vous attendrit.

Mais si plein d’humeur il rît ?

De facéties espiègles, il vous meurtrit.

Le poète aime ressentir, voir, regarder.Ce qui vous fait face, et ne voyez pas.

Le poète vous aime. Ainsi que tout nous entoure.Vous aimez ce poète, qui aide à rêver.

Ce poète se rît de vous en écrit pervers ?Vous n’aimez plus celui là, trop prêt de vous.Il nous sait le poète, nous connaît, est en nous.Vous aimez sa poésie ? Mais pas tous ses vers.

Vous aimez le poète ? Redites - moi cela !Vous aimez le poète ? Quel poète est – ce là ?

Vous n’aimez pas ce poète là, et moins sa plume.Il l’extrait de vous, ce poète que vous aimez là.

Ce poète n’est plus lui, c’est vous le poète.Ce poète dont l’écrit dérange.

Est celui que vous lisez en vous.Pas celui qui tient la plume et se venge.

Vous aimez encore ce poète ?Vous détesterez toujours ce poète.Celui qui dort en vous de poète.

Qui vous fuit jusqu’à s’en démettre.

Il tient la plume ce poète.Lui prend le temps de voir.

Il aura la joie de croire !Qu’il dort encore en vous. L’autre poète.

DPortebœuf.

Samedi 19 novembre 2011. 05 h05 !Ecrit de 04 h 35 à 04 h 55 !

N° 168.NON Dédié.

PERSONNEL !

Rétrospection.

Pendant que certains cherchaient des mots.Faisaient montre d’une incapacité à les signer, adressés.

D’autres pansaient les plaies d’autres maux.Puisque impossible à démontrer l’illettrisme des premiers.

Que de jours à compter, toutes ces années.Sans chercher le pire, ne trouver que le malheur.

Avoir voulu la paix qui n’est jamais gagnée.Se contenter de peu, c’est déjà le meilleur.

Combien de vies croisées, aimées, abhorrées.Ne laissent que des souvenirs vite dépassés.

D’instants égarés, d’amis perdus.Se revoir toute une vie, s’en avouer vaincu.

Se vouloir un rôle, utopie éphémère.Un chemin tracé, calqué par père et mère.

Enfin dévoyé, traqué de calomnie.Changer sa route, ils m’ont trompé, menti.

Se reprendre un chemin, changer sa voix.Tous sont en erreur, ainsi que moi.

Une direction prise, le passé change la voie.Inexorable ! De l’avenir il guide les pas.

Les chemins sont multiples, ainsi que les goûts.Quoiqu’on fasse, de chacun il faut atteindre le bout.

Je ne sais ce que je suis, moins ce que je serais.L’autre saura – t – il donc ? Prétendre qu’il me connaît ?

DPortebœuf.

N° 169 Dimanche 25 décembre 2011. 14 h – 14 h 45.

En prose non dédié.Hors sujet.

Où sont –ils passés ?

C’est la fête c’est Noël !Interminable comme cette tablée longue à n’en voir la fin. Tous sont là, amis, frères, sœurs, cousins et cette table n’en fini pas, à

perte de vue.Pas de menu fastueux, c’est simple et chacun a participé de son

écot, modeste pour les uns, plus riche pour d’autres selon les moyens. L’important ? Participer ! Être tous là réunis ???

Et l’on rit et l’on mange, qui parle la bouche pleine sans façon et l’on boit, on chante des chansons douces, d’amour, succèdent

bientôt les couplets palliards de corps de garde que se remémorent les messieurs, rougir les dames, de gène ou de

plaisirs, tandis que quelques demoiselles d’un air malicieux se regardent complices.

La fête bat son plein, on parle beaucoup, souvent pour ne rien dire, d’hier, de demain, parfois d’aujourd’hui, d’un passé

antérieur aussi, il trouble celui là, me met mal à l’aise.Où suis-je donc ? Qu’est – ce que je fais là ? Qui suis – je ?

Voyons : Guy, les parents, Sylvie, je serre très fort le bras de Guy, mon frère près de moi, ‘est bon d’être ensemble.

Plus loin Séverine rit de bon cœur avec Jean Michel qui lui fait une cour pressante, presque indécente, le bon vin ça aide.

Tous sont un peu éméchés. NON !Personne ne parle politique ! Tiens ? Oui ? Pourquoi ? Un sujet

soigneusement évité ! Comme anachronique ! Hors du temps ! Oui mais hors du temps de qui ?

Je me lève, renverse un verre de vin sur une voisine Suzanne, miracle aucune tache.

Je m’excuse, prend la main de Suzanne en expliquant ma confusion à Pierre son mari.

Mais Suzanne disparaît s’estompe.Suzanne ! Pierre !

Suzanne : « Mon pauvre Daniel, souviens – toi de cette mémoire du temps perdu, je suis la petite cousine que t’aurait donné ton

grand oncle s’il avait vécu. Ce lieutenant Charles mort aux champs d’horreur à Verdun. »

Pierre : « Quant à moi ton imagination m’a aussi créée en ce frère aîné que tu n’as pas eût, le père trop longtemps retenu en

camps concentrés.Je reviens sur terre, ma mémoire m’a joué des tours.

J’avais oublié l’essentiel :« Que nos dirigeants du passé s’étaient arrogés le droit de croire

pouvoir diriger un abattoir ! »Que ferons – nous ? Demain ?

D.Porteboeuf.

Lundi 26 décembre 2011. 16h40 –16h55.Dédié. (AA ? Pause Café - - - - - . . . . !)

N° 170.

Confortable.

J’ai l’âme rieuse, vagabonde.Je me perds en pensées idiotes.

Elles me passent le temps j’abonde,A juger que certains radotent.

Très drôles, heureuses et plaisantes,Ces heures calmes à se prélasser.

Ne plus avoir à s’échiner ? Gagnant.

Ne pas penser aux uns, aux autres.Ne sont jamais donnant, donnant.

Que vive l’égoïsme encore présent.Un seul destin il est notre.

Chacun chez soi, gardons nos aises.Pas d’encombrante compagnie.Un seul destin à Dieu ne plaise ;« L’indifférence en nous à vie ! »

D.Porteboeuf.

Vendredi 30 décembre 2011. 03 h 00 – 03 h 50.

N° 171. Non dédié.

Pensées, Perverses ?

Sa vérité, son rêve il sème.L’un sait dire, je t’aime.

Vous, dure et mièvre,Contre sa vie portez le glaive.

Il est coupable de tendresse,Vous l’accusez de faiblesse.

Il nourri d’espoir pauvre cœur, Sincère en sa candeur.

Sa vie ? Il vous la faut, rageurs,Faire pâlir, jeter dans la torpeur.Il rêve tant ! Tout de douceur.Las ! De vos traîts il se meurt.

Une fleur l’aide à sourire.Vos œuvres l’amènent à vomir.

Fier d’une belle parole ?Il vous offre une ode.

Vous lui répondez : VIL !En le taxant d’un dil.

Et tout en vous en rudesse,L’infâmez, Ô traîtresse !

Préférant cet autre : Fat !

A en rougir de ce pas.Tôt prévenu de vos fa its, Se lasse vite de vos effets.

Repus de méchanceté,Vers soi s’en est retourné.Solitaire a tout son temps,De méditer son content.

Des fourvoie de relations.Se garde de toute passion.Il ne nous reste qu’à rire,

D’avoir pu un jour en souffrir.

Des leçons de vous reçues.A présent fort de sa plume.

Des mesquins il juge les vues.Il fera de l’autre sa mule.

D’une encre il garde la verve,Sait que les autres le perdent.

Ils pestent, médisent, insultent. (Mais oui 9 ans de voyages à l’être, insulté sans cesse.)

Fait Fi des faux amis,A jeté les amarres.

En lui, luit son phare ;Pris de hauteur : « Il les a punis. »

DPorteboeuf.

Vendredi 30 décembre 2011. 12 h 40 – 13 h.

N° 172 Non dédié.

Un silence.

Me prend une folle envie de rire.Comment faire et pouvoir écrire ?

Qu’un moment passe l’envie de dire,Que les mots seraient les pires.

Utiliser à dessein en une circonstance,La calme froideur du silence,

En forme de plus dure éloquence,Des non – dits en mémoire, pas en partance.

Plus ferme est une preuve ?Plus dure à vivre est l’épreuve.

De ses méfaits, l’un sait le blâme,Reste en lui qui provoque le drame.

Il est ce silence froid, pesant,Tous en soi, tous ces non – dits.

Sont autant de jugements,Portés, un fardeau, tant qu’ils sont tus.

D.Porteboeuf.

Samedi 31 décembre 2011.01 h 35 – 02 h 00.

Dédié : A Joana.N° 173.

Une image, la vôtre, un printemps.L’extase, m’a laissé sans voix.

Vous admirant, je restais pantois.Un cœur de vingt ans couvait en moi.

Rieuse vous en ignoriez l’instant.

Splendeur d’amour, pimpante.Vous passiez altière, fugitive.

Des ravages en moi causés, ignorante.Bouleversé de tendresse intuitive.

J’avais pris vingt ans.A perdre, à vous voir pour le moins.

Empli de ces tendres émois.Trop souvent oubliés d’autrefois.

Radieuse, votre soleil a passé.Elle est là, revenue l’obscurité.

Dans mon miroir des ans écoulés.Est disparue cette franche gaieté.

Reste en ma mémoire gravée.A jamais tendre beauté.

Dans ce court instant lumineux.Une image la vôtre, m’éleva aux cieux.

Saurez – vous quel mal ?Ce lien à pu me plaire.

Un moment d’illusoire jeunesse.M’embellit le présent pauvresse.

Lointain bonheur oublié,La saveur d’une fraîche rosée,

Des baisers d’antan volés,Dune eleur aujourd’hui dépréiés.

Tel ce parfait cliché connu :Vous serez pour moi devenue,

La belle au rayon éclairée ?Des amours oubliés, entachés.

D.Porteboeuf.

Jeudi 1er mars 2012. 22 h – 22 h 05 – 22 h 30 – 22 h 45.Retravaillé le vendredi 2 mars 2012.

N° 174 Dédié Radio Classique.

La pauvre.

Vu du bas, regardée d’en haut ?Dans la paix : Le monde est si beau.

Bleu, rouge, vert, blanc ou noir.Mais le teinté gardé d’espoir.

Rien qu’une, une seule terre.Une maison, notre foyer en vert.

Pourquoi nous la disputer ?Rien de mieux à partager.

Prétendre en tenir le pouvoir.Donc ne pas aimer à voir.

Que son équilibre et sa vie,Seuls nous accorde un répits.

La terre est belle nous dit-on.Etait belle : Mais gagée, pardon.

Pâle, dénudée, défaite.Sa verdure bleutée grise de béton.

Soyons donc optimiste.Sa fin ne sera pas triste.Les nôtres l’honoreront.

De toutes nos prétentions.

Arbres, fleurs lui reviendront.A lever, éclore à foison.

Sur nos restes en putréfaction.Par nos corps ensevelis croîtront.

D.Porteboeuf.

N° 175.Non dédié.

Lundi 9 avril 2012. 17 h 25 – 17 h30 – 23 h 35 – 00 h 00.

Encore une ? Envie de rire ?

Sectes et insectes.Colle et opte air.

Quelques minutes papillons.Prenons le temps de rire.De nos ridicules soupirs.

Il reste du monde au balcon.

Amusons - nous de la rime.Nous, vous et nos frimes.

Savoir ce que nous en faisons.Rien d’autre que des haillons.

Le cafard est dans la peine,De sa belle lui reste le bourdon.

Vit de nuit notre hanneton,Cocu de sa belle a les antennes.

De son miel jalouse la belle,Prête à l’attaque surveille la vielle.

La guêpe se pique au vif de sa livrée,Du frelon, tintée, rayée mais copiée.

A1 la tâche, La fourmi se prend au jeu :« Araignée, ma voisine riez un peu ?- Dur ! Ma bonne amis c’est indigeste,

- Au dîner j’ai pris une mouche trop leste. » (Funeste, aigrelette - - - )

Super jardinier le pierrot,Bat le rappel des moineaux .Ils ne resteront sur les joncs,

Ces puces et pucerons.

De sectes en insectes rions !Faisons un jeu de ces maux.

La blague qui gêne plus d’un,Est pour l’autre le coup de pot.

Cherchez les autour de vous,Mirez – vous à votre tour.

Vous les connaissez tous, autour.Nous le sommes pour eux tous.

DPorteboeuf.