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Plan du site

Dirigez-vous à la porte 35, des indications s’y trouveront pour l’amphithéâtre FM-6214

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REMERCIEMENTS

Le Département de médecine de famille et de médecine d’urgence tient à remercier les membres du jury pour leur participation à l’évaluation des présentations:

Pr Alain Vanasse

Groupe de recherche PRIMUS

Pre Lise Babin

UMF du Grand Moncton

Pierre-Luc Corbeil, R2

UMF Chicoutimi

Claudia Munger, R1

UMF Charles-LeMoyne

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JOURNÉE DE LA RECHERCHE ÉVALUATION DES PRÉSENTATIONS

PROJET DE RECHERCHE

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1. Qualité du résumé 1 … 3 … 5 /5 2. Question de recherche ou objectifs bien définis 1 … 3 … 5 /5

3. Justification pertinente pour la médecine familiale 1 … 3 … 5 /5

4.

Méthodologie appropriée

4.1 Dispositif de recherche approprié 4.2 Échantillon adéquat (taille de l’échantillon, recrutement, représentativité, saturation…) 4.3 Collecte des données appropriée (qualité des mesures, source d’information, complet…) 4.4 Plan d’analyses adéquat

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6.

Présentation des résultats

Éthiques (approbation s’il y a lieu, respects des principes d’éthique de la recherche)

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7. Discussion 2 … 6 … 10 /10

8. Conclusion qui répond à la question et qui est congruente avec la méthode

1 … 3 … 5 /5

9. Qualité de la présentation (compréhensibilité, utilité du support visuel, respect du temps)

1 … 3 … 5 /5

10. Qualité des réponses aux questions 1 … 3 … 5 /5

11. Originalité 1 … 3 … 5 /5

12. Implication des résidents (contribution relative des résidents, reconnaissance de contributions antérieures, degré de difficulté, autonomie, apprentissage, etc.)

2 … 6 … 10 /10

TOTAL :

/85

Commentaires :

Initiales :

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JOURNÉE DE LA RECHERCHE ÉVALUATION DES PRÉSENTATIONS

ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL PRÉSENTATION NO : TITRE :

Faib

le

Dans

la

moy

enne

Exce

ptio

nnel

Résu

ltats

(u

sage

cim

ales

en

cour

agé)

1. Qualité du résumé 1 … 3 … 5 /5 2. Question de recherche ou objectifs bien définis 1 … 3 … 5 /5

3.

4.

Méthodologie appropriée

Échantillon adéquat (recrutement, taille de

l’échantillon, représentativité, etc.)

1

1

3

3

5

5

/5

/5

5. Pertinence des critères

(ex : inclusion/exclusion, conformité/non-conformité)

1 … 3 … 5 /5

6. Présentation des résultats 1 … 3 … 5 /5

7. Discussion 1 … 3 … 5 /5

8. Retombées du projet : (recommandations vs

évaluation des changements de pratique)

2 … 6 … 10 /10

9. Qualité de la présentation (compréhensibilité,

utilité du support visuel, respect du temps)

1 … 3 … 5 /5

10. Qualité des réponses aux questions 1 … 3 … 5 /5

11. Originalité 1 … 3 … 5 /5

12. Implication des résidents (contribution relative des résidents, reconnaissance de contributions antérieures, degré de difficulté, autonomie, apprentissage, etc.)

2 … 6 … 10 /10

TOTAL :

/70

Commentaires :

Initiales :

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JOURNÉE DE LA RECHERCHE ET DE L’AMÉLIORATION

DE LA QUALITÉ DES SOINS

RÉSUMÉ

DES

PRÉSENTATIONS

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TI TRE 1 Irrigation or no Irrigation in Simple Lacerations (iON-SiLAC) Trial

PRÉSEN TATEU RS Jillian Follett et Catherine Desmeules

AU TEURS Julien Bouchard, Antoine Herman-Lemelin, Alexandre Sauvé, Jillian Follett et Catherine Desmeules, Sebastien Lefebvre

SU PERVI SEU RS Jean-François Deshaies

Objectifs

Déterminer si l’absence d’irrigation d’une plaie simple est non-inférieure à l’irrigation pour éviter la survenue des infections chez les sujets considérés à faible risque se présentant au département d’urgence.

Méthode Étude de non-infériorité randomisée double insu comparant l’irrigation versus l’absence d’irrigation des lacérations simples réparées au département d’urgence, en évaluant la différence entre les deux groupes pour le besoin d’antibiothérapie pour une infection de la peau ou d’un drainage de plaie à 5-10 jours et à 30 jours. En issue secondaire, le taux de satisfaction par rapport à l’apparence esthétique de plaie à 30 jours sera évalué.

La population de l’étude inclue les patients se présentant à l’urgence du CIUSSS Saguenay-Lac-Saint-Jean installation Chicoutimi pour une réparation d’une lacération simple entre le 1er janvier décembre 2017 et le 30 janvier 2018.

Résultats

L’étude est toujours en cours actuellement. L’équipe a fait face à plusieurs défis pour la mise en place de cette étude qui est le premier projet de recherche de notre département.

Conclusion

En conclusion, les résultats sont à venir. Cette première expérience se déroule bien et met la table pour le développement d’une culture de recherche forte dans notre département.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 2 Pratiques, approches et limites du diagnostic du TDAH par les médecins de famille chez les enfants d’âge scolaire

PRÉSEN TATEU RS Louis-Philippe Bourbeau, Andréanne Gauthier, Camille Latreille, Marie-Eve Lemieux et Caroline Morin

AU TEURS Louis-Philippe Bourbeau, Andréanne Gauthier, Camille Latreille, Marie-Eve Lemieux et Caroline Morin

SU PERVI SEU RS Dre Jocelyne Blais

Objectifs L’objectif de cette étude est de déterminer le cheminement clinique menant au diagnostic de TDAH chez la clientèle pédiatrique par les médecins de famille de la Montérégie. La démarche diagnostique de ces médecins et les obstacles potentiels au diagnostic identifiés par ceux-ci ont été étudiés.

Méthode

Cette étude descriptive transversale fut menée auprès de médecins de six cliniques du réseau local de services Haut-Richelieu-Rouville. Un court questionnaire, créé par l’équipe de recherche et vérifié par la psychologue et un médecin de l’unité de médecine familiale (UMF) de St-Jean-sur-Richelieu, a été distribué dans ces cliniques. Les questionnaires remplis étaient retournés à l’UMF.

Résultats 41 questionnaires furent analysés. La plupart des répondants pratiquaient principalement en GMF ou UMF. 51,2% des médecins voyaient régulièrement des enfants pour suspicion de TDAH. La majorité des répondants disaient prendre au moins deux rencontres pour poser le diagnostic ; 7,9% le faisaient en une rencontre. Les questionnaires du CADDRA étaient les plus utilisés. 51,2% des répondants se sentaient assez outillés et compétents pour poser un diagnostic ; 46,3% disaient le contraire. Les principaux obstacles au diagnostic étaient le manque de ressources professionnelles, de temps et d’expérience et l’absence de lignes directrices claires.

Conclusion

Une bonne partie de ces médecins étaient sensibilisés à la démarche diagnostique minimale pour le TDAH. L’utilisation des lignes directrices et des formulaires du CADDRA semblait très fréquente dans notre échantillon. Toutefois, cette utilisation répandue soulève la question s’ils sont réellement utilisés à des fins de dépistage ou de diagnostic.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 3 Évaluation de l'utilisation des ressources de première ligne par les patients de priorité P4-P5 à l'urgence de l'Hôpital Charles-Lemoyne

PRÉSEN TATEU RS Serge Keverian, François Racine-Hemmings

AU TEURS Serge Keverian, Vivianne Lamarre, Jasmin Landry et François Racine-Hemmings

SU PERVI SEU RS Dr Laurent Vanier

Objectifs

Identifier les raisons pour lesquelles les patients classés P4-P5 consultent à l'urgence plutôt qu'utiliser les ressources de première ligne.

Méthode

Durant le mois de décembre 2016 et janvier 2017, 105 patients classés P4-P5 à l'urgence de l'Hôpital Charles LeMoyne ont accepté de répondre à notre questionnaire. Une analyse des données recueillies a été effectuée par notre équipe par la suite.

Résultats

Des 104 patients consultés, 34,6% (36) des patients n'ont pas de médecin de famille et 65,4% en ont un. Les principales raisons pour lesquelles les patients consultent à l'urgence sont : nécessité perçue d'investigations supplémentaires (60,3%), problème de santé jugé trop urgent (47,1%) et délai d'attente jugé trop long pour voir un médecin de famille (38,2%).

Conclusion

Nous notons qu'une proportion importante de patients consultent pour des raisons non en lien avec l'accessibilité des ressources de première ligne. Par ailleurs, les raisons évoquées par les patients pour leur consultation suggèrent que certaines mesures permettraient de diminuer le nombre de consultations à l'urgence.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 4 Initiation d’un traitement pharmacologique pour des symptômes dépressifs en première ligne: une étude observationnelle de six mois sur la réponse au traitement et la symptomatologie autodéclarée.

PRÉSEN TATEU RS Christine Boudrias

AU TEURS Maxime Bergeron, Geneviève Brassard, Christine Boudrias, Sabrina Paquin, Antoine Séguin et Melissa Thibault

SU PERVI SEU RS Pasquale Roberge, Annie Benoit, Mireille Luc, Joanie Rinfret, Marie Ayes et Vincent Morissette-Thomas

Objectifs

Évaluer la réponse au traitement et les taux de rémission au cours de six mois chez les patients qui initient un traitement par les ISRS ou IRSN pour les symptômes dépressifs et pour documenter les pratiques de prescription des médecins de famille

Méthode Devis de recherche: étude observationnelle prospective.

Population à l’étude: Deux cliniques de soins primaires affiliées à l'université. Patients: vingt-quatre adultes initiant un traitement SSRI ou SNRI.

Résultat principal: questionnaire mensuel auto-déclaré sur la santé des patients (PHQ-9) pour la surveillance de la gravité des symptômes de la dépression et des données cliniques provenant des dossiers médicaux électroniques.

Résultats Les analyses indiquent une réduction des scores de PHQ-9 de 14,7 ± 5,4 au départ à 6,2 ± 4,3 à six mois. La meilleure amélioration a été observée au cours des quatre premiers mois. En outre, après six mois, 88% ont montré une amélioration (réduction d'au moins 20%) et 59% ont répondu aux critères de rémission (PHQ-9 <5). Les principales molécules prescrites étaient le citalopram et la sertraline, et la psychoéducation accompagnait souvent la prescription initiale. Les stratégies les plus fréquentes pour une réponse limitée au traitement étaient l'augmentation de la dose et l'ajout d'un deuxième médicament.

Conclusion

Bien que les symptômes de nombreux patients s'améliorent, ces résultats soulignent l'importance de la surveillance des symptômes pour optimiser le traitement et la rémission de la dépression.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 5 La marijuana médicale dans le trouble du stress post-traumatique et les douleurs chroniques

PRÉSEN TATEU RS Ghislain Doiron, Mathias Losier, Rajiv Teeluck et Ginette Sika

AU TEURS Ghislain Doiron, Mathias Losier, Rajiv Teeluck et Ginette Sika

SU PERVI SEU RS Mathieu Bélanger, André Barrieau, Véronique Thibault

Objectifs

Le traitement de la douleur chronique et du trouble de stress post-traumatique (PTSD) inclut de plus en plus l’utilisation de produits cannabinoïdes, malgré le manque de donnée probante à cet égard.

Méthode Nous avons mené une étude observationnelle rétrospective longitudinale à l’aide d’une banque de données de patients de la clinique Trauma Healing Center de Moncton incluant des patients ayant un diagnostic de PTSD ou de douleur chronique traités avec de la marijuana médicale de 2010 à 2017. Des échelles de mesure ont été administrées avant la prescription de marijuana médicale et à différents temps de suivi (1, 3, 6, 9 et 12 mois) pour mesurer le niveau de dépression (PHQ-9), d’anxiété (GAD-7), du niveau fonctionnel et de qualité de vie. Le test de Student a servi à comparer les scores de ces paramètres à différents temps dans le suivi.

Résultats 133 patients ont été inclus dans l’étude. 26% étaient atteints d’un PTSD alors que 74% souffraient de douleur chronique. Chez le groupe de douleurs chroniques, une amélioration de 16% (P < 0,03) du niveau fonctionnel et 16,5% (P < 0,54) de la qualité de vie fut notée. Chez le groupe PTSD une amélioration de 26% (P < 0,35) du niveau fonctionnel, 11,5% (P < 0,51) de la qualité de vie et une réduction 23 points (P < 0,02) des symptômes de PTSD fut observée.

Conclusion

L’utilisation de produits cannabinoïdes semble prometteuse pour une prise en charge des symptômes liés à la douleur chronique et au PTSD.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 6 Enquête sur les facteurs qui motivent les patients à consulter à la salle d’urgence de l’Hôpital Sainte-Croix de Drummondville pour un problème de santé non urgent

PRÉSEN TATEU RS Jean-Philippe Allard, Danielle Godin et Isabelle Grégoire

AU TEURS Jean-Philippe Allard, Danielle Godin et Isabelle Grégoire

SU PERVI SEU RS Caroline Moreau

Objectifs

D’abord dresser un portrait des facteurs qui motivent les patients à consulter à l’urgence de Drummondville pour un problème de santé non urgent (P4-P5) plutôt que de voir leur médecin de famille. Ensuite, nous permettre de proposer des pistes de solutions pour améliorer l’accès, l’efficience du réseau et la satisfaction de la clientèle.

Méthode

Durant trois semaines à l’automne 2016, les patients inscrits auprès d’un médecin de famille et ayant obtenu une cote de triage P4 ou P5 ont été invités à compléter de manière volontaire un questionnaire construit et validé préalablement par l’équipe de recherche. Les réponses ont ensuite été analysées de façon descriptive.

Résultats 206 questionnaires sur 360 répondaient aux critères d’inclusion et ont donc été retenus aux fins d’analyses. La principale raison invoquée par les patients pour consulter à l’urgence fut la difficulté d’accès à leur médecin (77% des répondants). De plus, 43% des répondants ayant tenté d’obtenir un rendez-vous ailleurs (46% de l’échantillon total) n’ont pas eu accès à la ligne téléphonique et 22% ont signifié que le délai offert n’était pas raisonnable pour leur condition. Les autres raisons qui ont motivé ces patients à consulter à l’urgence furent la perception de l’urgence de leur condition (56% des répondants) et la recommandation par un tiers de s’y présenter (39 % des répondants).

Conclusion Malgré les limitations de l’étude, nous sommes d’avis que les efforts pour augmenter l’assiduité et répondre à la demande de soins doivent être dirigés à faciliter la prise de rendez-vous et offrir un accès adapté efficient. Un effort d’éducation à la population sur la trajectoire de soins s’avérerait aussi certainement bénéfique.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 7 Clean-up trial : Clinical pharmacist led evaluation and intervention of the appropriateness of drug usage in elderly patients: a randomized controlled trial with mixed method in primary care clinic setting – Quantitative results

PRÉSEN TATEU RS Catherine Harvey et Laurie Tremblay

AU TEURS Catherine Harvey, Laurie Tremblay, Sandrine Routhier, Renaud Boivin-Gagnon, Ghatfan Saaban, Nicolas Perron et Catherine Legault

SU PERVI SEU RS Dr Philippe Villemure, Dre Mélissa Nepton-Riverin, avec la collaboration de Dre Marie-Suzanne Mathieu

Objectifs

Évaluer les effets d’une intervention clinique individualisée, par un pharmacien GMF, visant la réduction des prescriptions médicales inappropriées (PMIs) chez les patients de 65 ans et plus à l’UMF Alma.

Méthode

Cette étude randomisée contrôlée dans un devis séquentiel mixte compare un groupe recevant une intervention clinique individualisée d’un pharmacien en GMF (gi) au groupe contrôle (gc) recevant les soins usuels. La réduction des PMI est documentée en analysant les profils pharmacologiques au début (T0) puis 1 mois (T1), 6 mois (T2) et 12 mois (T3) après l’intervention selon les critères Beers 2015 et les critères MAI.

Résultats 55 patients admissibles ont été randomisés (gi : n=35, gc : n=20). Nous observons, selon les critères Beers 2015, une diminution non significative d’au moins une PMI chez 28,6 % vs 20 % entre gi et gc à T1 et de 52.2% vs 33.3% (p = 0,254) (résultats partiels, n = 23) à T2 et du nombre moyen de PMI par participant: T1 : 2,31 +1,57 vs 2,05 + 1,10 (p = 0,898), T2 : 1,739 + 1,36 vs 2.33 + 0,98 (p = 0,056). Le nombre de PMI du gi, selon MAI, diminue de manière significative entre T0 et T1: 10,87 + 6.92 vs 7,44 + 4.59 (p = 0.000) (n=35).

Conclusion

L’intervention d’un pharmacien en GMF entraine après un mois, une amélioration significative de la qualité des prescriptions sans toutefois entraîner une diminution significative du nombre de PMI. À 6 mois, elle entraine une réduction plus marquée des PMI qui demeure non significative selon les analyses partielles.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 8 Description des besoins en services et soins à domicile des aînés vulnérables de l’UMF de Dieppe

PRÉSEN TATEU RS Karine Boulay, Zoé Mallet, Sophonie Ménard et Sylvie Roberge

AU TEURS Karine Boulay, Zoé Mallet, Sophonie Ménard et Sylvie Roberge

SU PERVI SEU RS Jalila Jbilou et Véronique Thibault

Objectifs

Décrire l’ampleur des services mis en place suite à une intervention pilote de visite à domicile auprès de patients aînés vulnérables.

Méthode Analyse descriptive des besoins et des services mis en place par une infirmière du programme extra-mural du NB sur un échantillon de patients aînés de l’UMF Dieppe identifiés comme vulnérables à l’aide d’un outil de dépistage sur leur dossier médical. Nous avons aussi comparé les données colligées par l’outil de dépistage sur les dossiers de patients avec les données obtenues à partir d’une évaluation à domicile fait 6 mois plus tard.

Résultats Les besoins sociaux et cliniques les plus communs chez notre population ont été identifiés. Ces besoins sont généralement comblés par leurs aidants naturels. Tous les patients vus par notre infirmière ont reçu de l’enseignement clinique ainsi que de l’information sur les services sociaux disponibles au NB et ont bénéficié d’une vérification de leur médication. De plus, les patients visités ont été plus souvent orientés vers des services de type clinique que social. Les catégories qui divergeaient entre l’évaluation à domicile et celle sur les dossiers comprenaient les AVD, la présence de troubles cognitifs, les chutes (dans les derniers 6 mois) et les visites à l’urgence (dernière année).

Conclusion

Sur la base de ces résultats, nous serons en mesure de formuler des recommandations pour le projet pilote d’implantation d’un programme de soins à domicile à l’UMF de Dieppe ainsi que d’autres cliniques de médecine familiale.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 9 Caractéristiques des cliniques médicales associées à un taux plus faible de consultations non urgentes à l’urgence

PRÉSEN TATEU RS Alexandre Place

AU TEURS Jean-François Deshaies, René Beaudoin, Mylaine Breton, Patricia-Anne Reed, Sarah Fréchette-Bouffard

SU PERVI SEU RS Jean-François Deshaies

Objectifs

Déterminer s’il y a des différences entre les cliniques en ce qui concerne le nombre de consultations P4-P5 à l’urgence du CHUS. Plus spécifiquement d’établir des relations entre les caractéristiques d’accessibilité et d’organisation des cliniques et le nombre relatif de visites P4-P5 dans les urgences du CHUS.

Méthode L'étude est un devis mixte, principalement quantitatif et rétrospectif, avec un volet qualitatif. Une base de données de visites P4-P5 (220 par mois pour toute l’année 2015) a été générée aléatoirement à l’aide des dossiers Ariane. Pour chaque visite le médecin de famille et sa clinique d’attache ont été extraits. Un questionnaire a été envoyé aux directeurs des cliniques. Celui-ci s’intéressant au nombre de patients inscrits, aux ressources médicales et paramédicales, au système de prise de rendez-vous, heures d’ouverture et accès au sans-rendez-vous. Un indicateur de taux de visite non urgente a été calculé (le numérateur : nombre de consultations à l’urgence P4-P5 et dénominateur : nombre de patients pris en charge) et sera corrélé avec les caractéristiques organisationnelles des cliniques.

Résultats Sur 2640 visites, 825 n’avaient pas médecin de famille associées, 430 avaient des médecins dont la clientèle était susceptible de consulter dans un centre hospitaliers autre que le CHUS. Les patients étaient issus de 34 cliniques que nous avons tenté de rejoindre. 9 questionnaires sur leurs caractéristiques des cliniques ont été complétés. Les indicateurs de taux de visite non urgente diffèrent de façon importante entre ces différentes cliniques (0.0015 - 0.012).

Conclusion

Il semble y avoir des différences entre les taux relatifs de consultations à l’urgence pour des cas non urgents (P4-P5) entre les différentes cliniques. Le projet se poursuit et nous sommes en attente de réponses des directeurs de plusieurs cliniques afin de mieux les caractériser.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 10 Clean-up trial : Clinical pharmacist Led Evaluation and intervention of the Appropriateness of drug Usage in elderly Patients: a randomized controlled trial with mixed method in primary care clinic setting – qualitative results

PRÉSEN TATEU RS Nicolas Perron et Catherine Legault

AU TEURS Joelle Blanchette, Catherine Legault, Nicolas Perron, Renaud Boivin-Gagnon et Sandrine Routhier

SU PERVI SEU RS Dre Mélissa Nepton-Riverin, Dr Philippe Villemure, avec la collaboration de Dre Marie-Suzanne Mathieu

Objectifs

Évaluer les effets d’une intervention pharmaceutique clinique individualisée visant la réduction des prescriptions médicales inappropriées (PMIs), selon les critères de Beers 2015, en contexte de médecine familiale chez les patients de 65 ans et plus à l’UMF Alma.

Méthode L’approche qualitative descriptive d’un devis mixte séquentiel explicatif sera exposée. De juillet à décembre 2016, les résidents ont réalisé et enregistré deux modes de collecte des données qualitatives soient des entrevues téléphoniques semi-dirigées avec les participants ayant vécu l’intervention suivies d’un groupe de discussion focalisé composé des professionnels impliqués.Itérativement, les enregistrements ont fait l’objet d’une transcription intégrale suivie d’une co-codification à l’aide du logiciel NVivo. Finalement, les données ont fait l’objet d’une co-analyse thématique descriptive.

Résultats Les résultats seront présentés sous forme de thèmes principaux appuyés par des verbatims lors de la journée de la recherche du 26 mai 2017. Les thèmes retenus sont : les buts et raisons de participer perçus par les participants, les caractéristiques de l’intervention et des patients menant à l’efficacité de l’intervention, les perceptions associées à la médication, l’impact de l’intervention ainsi que les considérations méthodologiques ou logistiques d’un tel projet.

Conclusion La phase qualitative démontre que l’intervention s’est avérée appréciée et efficace de la part des patients et médecins impliqués. Les patients identifient une méconnaissance incontestable face à leurs médicaments et ressentent le besoin de mieux comprendre les indications et effets indésirables associés. Ce projet a permis, en surcroit des objectifs, d’exposer une façon d’améliorer les soins au patient en intégrant un pharmacien au sein d’une pratique multidisciplinaire en UMF.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 11 Portrait des connaissances, de la compréhension et de la perception des médecins résidents sur l’aide médicale à mourir tel que défini dans la Loi concernant les soins de fin de vie

PRÉSEN TATEU RS Audrey Moreau et Yvon Luangsay

AU TEURS Audrey Moreau, Rachèle Fournier-Noël, Geneviève Saad et Yvon Luangsay

SU PERVI SEU RS Élise Crête et Isabelle Arsenault

Objectifs Objectif primaire : mesurer les connaissances et la compréhension des médecins résidents de l’Université de Sherbrooke concernant la loi sur l’aide médicale à mourir (AMM).

Objectif secondaire : dresser un portrait global de l’opinion des résidents en décrivant leurs points de vue et en explorant les arguments justifiant leur position face à cette nouvelle loi.

Méthode

Étude descriptive transversale auprès des médecins résidents de l’Université de Sherbrooke, menée via un questionnaire en format électronique ou papier

Résultats Au total, 127 personnes ont participé à l’étude, soit 18,8% des résidents de l’Université de Sherbrooke. Globalement, les résidents avaient une bonne connaissance et compréhension de certains aspects de la loi sur l’AMM. En effet, 81% ont bien identifié la définition de l’AMM et 90,1% ont reconnu le scénario clinique décrivant une AMM. En moyenne, les participants ont correctement identifié 4 critères d’admissibilité sur 6. Cette performance a été significativement meilleure chez les répondants ayant eu une formation préalable sur l’AMM et chez ceux envisageant une pratique intégrant les soins de fin. Cependant, une confusion persiste quant à l’application de la loi sur l’AMM et quant au statut juridique des différents soins de fin de vie. Les répondants étaient à 82,6% en accord avec la légalisation de l’AMM, mais seulement 38% se disaient à l’aise de prodiguer ce soin.

Conclusion

Bien que les participants à l’étude aient démontré une bonne connaissance de la loi sur l’AMM, cette dernière encadre un soin émergent dont les balises juridiques demeurent à être clarifiées auprès d’eux. L’étude illustre la nécessité d’offrir davantage de formation aux médecins résidents quant à l’AMM et aux différents soins de fin de vie.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 12 Quel est le niveau de confiance des médecins de famille nouvellement installés et des résidents en médecine de famille à réaliser une intubation endotrachéale en situation critique?

PRÉSEN TATEU RS Denika Bourque, Geneviève Landry, Maxime Mallet, Jessica Martin et Alexandre Robichaud

AU TEURS Denika Bourque, Geneviève Landry, Maxime Mallet, Jessica Martin et Alexandre Robichaud

SU PERVI SEU RS Jalila Jbilou et Véronique Thibault

Objectifs Au cours des dernières années, l’exposition clinique aux situations critiques lors de la formation médicale a nettement diminué. À notre connaissance, il n’existe aucune étude réalisée auprès des médecins de famille du N.-B. pour explorer leur niveau de confiance en regard de la réalisation d’une intubation endotrachéale en situation d’urgence.  Le but de cette étude est d’évaluer le niveau de confiance des jeunes médecins de famille et des résidents pour la réalisation d’une intubation endotrachéale en situation critique et d’identifier leurs besoins en formation continue.

Méthode

La méthodologie repose sur un devis de recherche quantitatif de type transversal. Un questionnaire a été administré à des nouveaux médecins et à des résidents en médecine de famille de l’UMF du Grand-Moncton.  

Résultats À la lumière des résultats préliminaires, plus de 50% des résidents sont confiants de pouvoir effectuer une intubation endotrachéale. Toutefois, 83% aimeraient l'être davantage. Il est à noter que 54 % des résidents aimeraient se sentir plus confiants avec l'administration de la sédation. Les médecins quant à eux aimeraient unanimement se sentir plus confiants à réaliser une intubation. Le niveau de confiance a augmenté chez 50% d'entre eux après 1 à 2 années de pratique. La sédation représentait un défi significatif pour la moitié des médecins en première année de pratique.  

Conclusion

Cette étude permettra d’émettre, s’il y a lieu, des pistes de solutions afin d’améliorer le contenu de la formation par rapport à la pratique médicale d’urgence offerte aux résidents en médecine de famille. 

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 13 L’expérience des patients dans les cliniques dédiées à la formation médicale en soins de santé primaire (SSP) : une revue systématique des questionnaires disponibles

PRÉSEN TATEU RS Nicolas Gagnon MD, MSc, BSc & Jonathan Picard MD

AU TEURS Julie Bélanger MD, Nicolas Gagnon MD, Marc-Antoine Nepton MD et Jonathan Picard MD

SU PERVI SEU RS Éva Marjorie Couture MD, CFPC, Andréa Lessard MD, MSc, CFPC, Mylène Lévesque MSc, Martin Lemieux MD, CFPC

Objectifs 1) Compléter une revue des questionnaires visant l’expérience du patient dans une clinique d’enseignement en SSP

2) Évaluer la validité de ces questionnaires

Méthode Des bases de données (CINAHL, Cochrane, Embase, Google, Google Scholar, Pubmed et SCOPUS) ont été utilisées pour rechercher des questionnaires validés visant l’expérience du patient en SSP. Les questionnaires n’évaluant que la satisfaction du patient ont été exclus. La validité des questionnaires a été évaluée avec un outil comprenant huit critères : la validité conceptuelle, du contenu et des critères; la cohérence interne; la reproductibilité; l’interprétabilité; la sensibilité au changement et les effets plancher et plafond. Les questions ont été revues pour évaluer leur applicabilité à une clinique d’enseignement.

Résultats Vingt-deux questionnaires répondaient aux critères d’inclusion. Aucun n’était développé dans une clinique d’enseignement. Des articles de validation ont été trouvés pour seize questionnaires et aucun ne remplissait les huit critères d’évaluation. Douze articles remplissaient de 1 à 3 critères et quatre questionnaires n’en remplissaient aucun. Deux questionnaires couvraient les six dimensions de l’expérience du patient en SSP et aucune question touchant aux particularités des cliniques d’enseignement n’a été retrouvée.

Conclusion

Aucun questionnaire ne vise à évaluer l’expérience d’un patient dans une clinique d’enseignement en SSP. La validité évaluée selon huit critères variait d’un questionnaire à l’autre et seulement deux questionnaires évaluent toutes les dimensions de l’expérience du patient.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 14 L’expérience patient dans les milieux d’enseignement en première ligne au Québec : perception des patients et des gestionnaires sur le développement d’un questionnaire

PRÉSEN TATEU RS Julia Picard et Raphaëlle Cardinal

AU TEURS Josiane Boily, Raphaëlle Cardinal, Julia Picard, Jean-Dominic Rivard, Oliver Samson, Esther Jones

SU PERVI SEU RS Andréa Lessard, Éva Marjorie Couture, Martin Lemieux, Mathieu Bisson, Mylène Lévesque

Objectifs

L’objectif est de recueillir les perceptions des patients et des gestionnaires concernant les dimensions de l’expérience patient dans les milieux ambulatoires d’enseignement de première ligne au Québec en vue de développer un questionnaire pour une amélioration continue des soins.

Méthode Une étude qualitative descriptive fut réalisée. Suite à une revue de littérature, sept dimensions de l’expérience patient ont été identifiées et utilisées pour élaborer des guides d’entrevues. Des entrevues individuelles semi-structurées et des groupes de discussion ont été réalisés avec des patients et des gestionnaires d’unité de médecine familiale (UMF) du réseau de l’Université de Sherbrooke recrutés sur une base volontaire jusqu’à saturation des données. Une analyse thématique a été réalisée à l’aide du logiciel NVivo par un agent de recherche, les résidents, cliniciens et une patiente partenaire.

Résultats Dix patients et six gestionnaires cliniques ont participé à des entrevues individuelles. Trois groupes de discussion (2 groupes patients et 1 groupe directeurs d’UMF) ont été menés. Plusieurs sous-dimensions de l’expérience patient ont émergé des dimensions préalablement identifiées. Des catégories spécifiques se rattachant aux résidents comme la disponibilité, la durée du rendez-vous, la relation médecin-patient, la confiance et l’impact des soins ont été identifiés. Aux yeux des patients et gestionnaires, un bon questionnaire devrait être court, concret, simple à comprendre, facile à analyser et en format électronique.

Conclusion

Cette étude expose le point de vue des patients et des gestionnaires en regard des thèmes et sous-thèmes qui caractérisent l’expérience patient dans les différentes UMF du Québec et précise les caractéristiques souhaitées d’un futur questionnaire.

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Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 15 Qualités métrologiques du questionnaire MM-21 sur la multimorbidité

PRÉSEN TATEU RS Maude Richards

AU TEURS Maude Richards

SU PERVI SEU RS Martin Fortin et Aline Ramond

Objectifs Les travaux sur la multimorbidité (MM) fournissent des résultats difficilement comparables, car les outils de mesures utilisés n’ont pas fait l’objet d’un développement rigoureux. Un nouvel outil pour mesurer la MM a été développé par la Chaire de recherche sur les maladies chroniques en soins de première ligne, le MM21. Le but de l’étude est d’évaluer la validité de l’outil MM21 en termes de validité de critère, validité prédictive, fidélité test-retest et inter-juge.

Méthode

260 participants ont été recrutés au GMF-U de Chicoutimi. Chaque participant a complété le MM21, un questionnaire sociodémographique et un questionnaire sur la qualité de vie (EQ-5D). Les participants ont été séparés aléatoirement en deux groupes. Trois semaines plus tard, le groupe 1 a été contacté par un assistant de recherche pour répondre au MM21 au téléphone et le groupe 2 complétera le MM21 par la poste.

Résultats Le score du MM21 en tant qu’outil auto rapporté est fortement corrélé avec notre mesure étalon, la revue de dossier (r= 0.80; 95% CI: 0.74-0.86) avec une très bonne sensibilité (84.9%; CI: 77.0-90.9) et spécificité (84.4%; CI: 76.4-90.4). La fidélité test-retest du MM21 est excellente pour le groupe 1 (ICC = 0.88; 95% CI: 0.83-0.91) et groupe 2 (ICC = 0.88; 95% CI: 0.82-0.92). Pour la fidélité inter-juge, il y a un accord modéré pour la multimorbidité chez le groupe 1 (Κ = 0.64 95% CI: 0.49-0.78) et groupe 2 (Κ = 0.79 95% CI: 0.63-0.91)

Conclusion

Le MM21 est un outil valide et fidèle pour mesurer la multimorbidité en première ligne.

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Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 16 Mesure du tour de taille

PRÉSEN TATEU RS Audrey Boutin, Gabriel Lalancette-Chapdelaine, Vincent Séguin et Caroline Veilleux

AU TEURS Audrey Boutin, Gabriel Lalancette-Chapdelaine, Vincent Séguin et Caroline Veilleux

SU PERVI SEU RS Dre Karen Gallagher et Dr Benoit Heppell

Objectifs

L’objectif de ce projet de qualité de l’acte était d’évaluer si les médecins et les infirmières praticiennes mesurent le tour de taille chez les patients diabétiques et non diabétiques et de revoir quelles sont les recommandations faites sur ce sujet par différentes sociétés médicales.

Méthode Cette étude rétrospective a été faite à partir de dossiers de la clinique Estrie de Sherbrooke. Soixante-sept (67) dossiers de patients diabétiques et trente-trois (33) dossiers de la population générale ont été retenus. Le seul critère d’inclusion était d’être âgé de 18 ans et plus. Les critères d’exclusion étaient : les femmes enceintes, les patients avec trouble alimentaire, les patients avec ascite et les patients en soins à domicile. La période étudiée était de janvier 2013 à décembre 2014.

Résultats

Le tour de taille a été noté dans 3% des dossiers non-diabétiques (1/33) et 13% des dossiers diabétiques (9/67), l’IMC dans 15% (5/33) et 13% (9/67) et le poids dans 82% et 90% des dossiers patient non-diabétique et diabétique respectivement. La mesure de l’IMC et du tour de taille n’était pas influencée par la présence de comorbidités cardiovasculaires (HTA, dyslipidémie, MCAS, MVAS, stéatose hépatique).

Conclusion Le poids était mesuré au moins une fois sur une période de deux dans plus de 80 % des dossiers, et ce, autant chez les patients diabétiques que non diabétiques. Toutefois, l’IMC et le tour de taille étaient très peu notés au dossier. À la lumière de notre revue de littérature, l’IMC devrait être calculé au moins une fois par année pour tous les patients, car c’est un bon indicateur d’obésité. Le tour de taille devrait être utilisé surtout chez les patients ayant un IMC entre 25 et 30 comme 2e indicateur d’obésité, car en dehors de ces valeurs d’IMC, le tour de taille ne modifie pas la prise en charge du patient.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 17 Le dépistage de l’ostéoporose au GMF-UMF Charles-Lemoyne

PRÉSEN TATEU RS Karina Capelle et Marie-Christine Desrosiers

AU TEURS Karina Capelle, Marie-Christine Desrosiers, Jessica S. Di Fruscia Rouillard, Kim Lévesque, Valérie Limoges

SU PERVI SEU RS Dr. Élise Crête

Objectifs

Notre projet d’évaluation de la qualité de l’acte a pour objectif principal de déterminer si les médecins du GMF-UMF Charles-LeMoyne prescrivent une ostéodensitométrie de dépistage chez les patients âgés de soixante-cinq ans et plus, conformément aux recommandations publiées en 2010 par la Société de l’ostéoporose du Canada.

Méthode La population à l’étude comprenait les hommes et femmes du GMF-UMF Charles LeMoyne âgés de 65 à 70 ans en date du 31 août 2016. Les patients sans suivi régulier à la clinique ou ayant déjà un diagnostic d’ostéoporose avant 2011 étaient exclus de l’étude. Un échantillon de 155 dossiers a été sélectionné aléatoirement et les données ont été recueillies dans les dossiers médicaux électroniques à l’aide d’une grille standardisée. Nous avons établi qu’il fallait un taux de dépistage après 65 ans (hommes et femmes confondus) ≥ 80% pour juger la pratique comme conforme.

Résultats

Un total de 72 hommes et 83 femmes ont fait l’objet de notre étude. De ces patients, 58,1% ont reçu un dépistage conforme par ostéodensitométrie. Une différence statistiquement significative a été notée entre les sexes, car 78,3% des femmes ont reçu un dépistage conforme contre 34,7% chez les hommes (p< 0.0001). Parmi les patients dépistés, seulement 4,4% ont reçu un diagnostic d’ostéoporose à l’ostéodensitométrie.

Conclusion La pratique des médecins du GMF-UMF Charles LeMoyne n’est pas conforme aux lignes directrices canadiennes qui recommandent le dépistage de l’ostéoporose chez les patients de 65 ans et plus. Le taux de conformité est particulièrement faible pour les hommes. Malgré que de nouvelles études suggèrent que le dépistage pourrait être débuté plus tardivement, en particulier chez les hommes, il demeure important de sensibiliser les médecins, notamment pour les patients présentant des facteurs de risque.

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Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 18 Dépistage des maladies du pied chez les patients diabétiques

PRÉSEN TATEU RS Chelsea LeFort, Jessica Rivest-McGraw et Isabelle Tremblay

AU TEURS Chelsea LeFort, Jessica Rivest-McGraw et Isabelle Tremblay

SU PERVI SEU RS Carolle Bernier et Mariline Lupien St-Pierre

Objectifs L’objectif principal de ce projet de l’évaluation de l’acte médical est d’évaluer si l’examen du pied est effectué de façon adéquate et à une fréquence appropriée chez les patients diabétiques par les médecins et les résidents de l’UMF Estrie depuis la publication des dernières recommandations de l’Association canadienne du diabète en 2013. Les objectifs secondaires étaient de déterminer l’élément de l’examen de dépistage des pathologies du pied chez le diabétique le plus utilisé, et si les patients avec des tableaux démographiques particuliers ou ayant plus de facteurs de risque étaient davantage examinés.

Méthode Nous avons analysé 120 dossiers de patients avec un diagnostic de diabète soit de type 1 ou type 2. Les dossiers ont été analysés du 1er janvier 2014 à la date d’évaluation du dossier. 105 ont été retenus et 15 exclus. Les dossiers ont été révisés en fonction de la présence de facteurs de risques de développement de maladies du pied, la présence de note clinique confirmation la réalisation de chaque élément de l’examen physique tel suggéré, soit par les médecins ou autres professionnels du GMF. De plus, le tableau démographique de chaque patient a aussi été analysé ainsi que le temps depuis son diagnostic.

Résultats

Dans notre échantillon lors de la période prédéterminée dans les balises de l’étude, 65% des patients ont eu au moins un élément de l’examen de dépistages des maladies de pieds et seulement 18% ont eu l’examen de dépistage complet tel recommandé. Il n’y a pas eu de prédisposition des professionnels évalués, à examiner les patients selon les profils démographiques ni facteurs de risques de développement de maladies du pied.

Conclusion Nous recommandons que l’examen des pieds complet, tel recommandé, soit accompli annuellement chez nos patients diabétiques. Nous visons un taux de réalisation de 80% dans notre UMF, donc supérieur, au taux de réalisation démontré lors de notre étude.

Catégorie : RECHERCHE

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TI TRE 19 Prééclampsie : qu’en est-il de l’utilisation de l’aspirine à l’UMF Charles-LeMoyne?

PRÉSEN TATEU RS Catherine Forget, Horatiu Oltean et Frantz Pierre

AU TEURS Catherine Forget, Horatiu Oltean et Frantz Pierre

SU PERVI SEU RS Andrée-Anne Paré-Plante et Marie-Ève Boulais

Objectifs

L’objectif principal consiste à déterminer si l'utilisation de l'aspirine chez les femmes enceintes à l'UMF Charles-Lemoyne est conforme aux recommandations émises par la SOGC en mai 2014 concernant la prévention de la prééclampsie.

Méthode Cette évaluation de la qualité de l’acte a été réalisée à partir des dossiers médicaux électroniques de femmes ayant présenté une grossesse entre le 1er janvier 2016 et le 30 juin 2016. Au total, 96 dossiers ont été étudiés à l’aide d’une grille d’évaluation colligeant les facteurs de risque de la prééclampsie mentionnés dans le guide clinique de la SOGC.

L’étude des dossiers a permis de classer ceux-ci dans l’une des quatre catégories suivantes :

1. Conforme : a reçu de l’aspirine et devait en recevoir 2. Conforme : n’a pas reçu d’aspirine et de devait pas en recevoir 3. Non conforme : a reçu de l’aspirine et ne devait pas en recevoir 4. Non conforme : n’a pas reçu d’aspirine et devait en recevoir

Résultats

Taux de conformité de 47%.

Autres résultats à venir.

Conclusion

À venir.

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TI TRE 20 L’utilisation de l’acronyme HEADS lors d’entrevues médicales effectuées avec les adolescents de 12-20 ans, dans le but de dépister divers problèmes psychosociaux

PRÉSEN TATEU RS Cheryl Brus-Peterson, Pascale Côté, Ashley Mahaffey et Paméla Viens

AU TEURS Cheryl Brus-Peterson, Pascale Côté, Ashley Mahaffey et Paméla Viens

SU PERVI SEU RS Benoit Heppell et Annie Roberge

Objectifs

Déterminer la prévalence de l’évaluation du HEADS chez les adolescents (12-20 ans) lors de visites médicales à l’UMF Estrie, entre 2015 et 2017; et déterminer parmi les sujets de l’acronyme HEADS lesquels sont les moins et les plus abordés avec ces derniers.

Méthode Il s’agit d’une étude rétrospective avec évaluation par critères explicites, où nous avons fait une révision de 100 dossiers de jeunes, âgés entre 12 et 20 ans, ayant eu une visite médicale en bureau, entre décembre 2016 et février 2017. Nous évaluions la présence de mention de chaque élément du HEADS jusqu’à un an précédant cette visite. Si 5 critères ou plus étaient documentés dans le dossier médical électronique, nous considérions que le HEADS était détaillé.

Résultats Une documentation détaillée du HEADS était effectuée dans 43% des dossiers médicaux des adolescents. Cette valeur diminue à 25% chez les jeunes âgés entre 12 et 14 ans. Les sujets les plus discutés sont l’emploi et l’école, l’utilisation de substance ainsi que la sexualité; tandis que les sujets les moins abordés sont la sécurité, l’habitat ainsi que les idées suicidaires et le moral. Par ailleurs, les sujets sont discutés dans les mêmes proportions, sans discrimination selon le genre.

Conclusion

En conclusion, une plus grande exploitation du HEADS serait à préconiser, afin de détecter les divers problèmes psychosociaux des jeunes adolescents, qui ne seraient pas abordés d’emblée par le jeune s’il n’était pas questionné. Diverses recommandations sont proposées pour améliorer notre approche auprès des adolescents.

Catégorie : RECHERCHE

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Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 21 CEAM l’asthme et les TFR

PRÉSEN TATEU RS Laurent Cossette, Weidi Yan, Dorinne Moineau, David Tessier-Raymond, Stéphanie Bourget

AU TEURS Laurent Cossette, Weidi Yan, Dorinne Moineau, David Tessier-Raymond, Stéphanie Bourget

SU PERVI SEU RS Claude Arsenault et Stéphanie Allard

Objectifs

Valider la prise en charge de l’asthme, en s’assurant qu’un diagnostic est appuyé d’une épreuve respiratoire (TFR ou métacholine), tel que recommander par les guidelines de l’INESS 2012 Valider si le diagnostic d’asthme reste au dossier, même après une épreuve négative

Méthode Analyse de dossiers papier de 126 patients avec un diagnostic d’asthme choisis aléatoirement entre

les années janv 2013-nov 2015. Patient inclus : Enfant 6 à 11 ans / Adulte 12 ans et plus / Dx : Asthme ou hyperactivité bronchique /

Pt inscrit au GMF des deux Rives Patient exclu : FKP, soins palliatifs, patient du sans rendez-vous Vérifier si le diagnostic d’asthme est confirmé au TFR ou test à la métacholine ou un TFR rapporter.

Puis validons si le diagnostic d’asthme perdure si TFR est -

Résultats F93 H:33 6-11 ans: 4 12 ans et +: 122 Total : 126 patient 3 dossiers pas de ddx asthme Spirométrie dossier (+): 8 (6%) Métacholine dossier (+): 26 (20,6%) Spirométrie rapportée/consult (+): 18 (14,2%) TRF (-) mais Dx Asthme persistant : 18 (14,2%) Pas de TFR : 75 (59,5%)

Conclusion En cours de rédaction actuellement. Présentement, il en ressort que la majorité des patients asthmatiques n’ont pas TFR au dossier ou rapporté pour supporter le diagnostic d’asthme, et donc que les guidelines ne sont pas suivis de façon optimale.

Catégorie : RECHERCHE

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TI TRE 22 Évaluation de la qualité de l’acte sur le retransfert des patients avec des raisons de consultation psychiatrique de l’urgence psychiatrique vers l’urgence physique

PRÉSEN TATEU RS Ugo Desjardins et Gabriel Pandev-Girard

AU TEURS Ugo Desjardins et Gabriel Pandev-Girard

SU PERVI SEU RS Jean-François Deshaies

Objectifs

Cette évaluation de la qualité de l’acte vise deux objectifs principaux : premièrement, une revue de mortalité et morbidité chez les patients ayant été évalué par un urgentologue et transférés en psychiatrie et l’évaluation de la sécurité des transferts entre l’urgence physique et psychiatrique en deuxième temps.

Méthode Les dossiers des patients décédés dans le premier 72 h d’hospitalisation en psychiatrie feront l’objet d’une analyse selon les grilles d’évaluation de la morbidité et mortalité de notre établissement. Puis 50 dossiers des patients ayant eu un lit assigné à l’urgence psychiatrique puis à l’urgence physique dans la même visite et de ceux ayant eu une consultation médicale dans le premier 72 h après l’admission. Ces dossiers seront analysésen comparaison avec des critères explicites de clairance médicale.

Résultats

14 patients sur 50 (28 %) ont dû transférer du côté physique malgré une grille de clairance médicale négative. De ces 14 patients, seulement 3 patients (21 %) ont eu besoin d’une réévaluation reliée à la conduite initiale de l’urgentologue.

Conclusion

La grille de clairance médicale est un outil intéressant permettant un transfert sécuritaire entre l’urgence physique et la psychiatrie. La majorité des patients avec une liste négative et un retour à l’urgence physique ne sont pas reliés à la conduite initiale de l’urgentologue, mais à des événements imprévus.

Catégorie : RECHERCHE

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TI TRE 23

Diagnostic et prise en charge du continuum entre l’IVRS et la rhinosinusite chez l’enfant : Une évaluation de la qualité de l’acte chez les médecins du GMF-U Jacques-Cartier à Sherbrooke

PRÉSEN TATEU RS

Véronique Dallaire, Fanny Gueniche, Alex Lepage-Farrell

AU TEURS

Véronique Dallaire, Fanny Gueniche, Alex Lepage-Farrell

SU PERVI SEU RS Dre Valérie Robert et Mélissa Labonté, Dt.P., MSc

Objectifs Vérifier l’exactitude du diagnostic et de la prise en charge du continuum entre l’infection des voies respiratoires supérieures (IVRS) et de la rhinosinusite bactérienne aigüe (RBA) chez les enfants, selon les lignes directrices établies par le guide de l’Institut National d’Excellence en Santé et en Services Sociaux (INESSS). Ceci dans le but d’évaluer la conformité des dossiers (diagnostic et traitement) en clinique sans rendez-vous (SRV) du groupe de médecine familiale universitaire (GMF-U) Jacques-Cartier.

Méthode Une étude rétrospective a été menée au sein des dossiers de patients âgés entre 0 et 18 ans du GMF-U Jacques-Cartier. Les dossiers identifiés au SRV avec les termes clés « toux », «rhinorrhée» et/ou « fièvre » entre la période d’octobre 2016 à décembre 2016. Suite à une rencontre entre un groupe de médecins du GMF-U Jacques-Cartier et les résidents responsables du projet, un taux conformité visé pour chaque critère de l’INESSS (nommés de 1, 2, 3 ou aucun) a été statué. Après l’application des critères d’inclusion et d’exclusion, soixante (60) dossiers ont été retenus pour analyse.

Résultats Parmi nos 60 dossiers, 23 répondaient à un des critères de l’INESSS (devait donc recevoir un diagnostic de RBA) et 37 dossiers ne répondaient à aucun critère (soit IVRS ou otite moyenne aiguë). Pour le premier critère de l’INESSS, un taux de conformité de 56% a été atteint (visé 80%). Pour le deuxième critère de l’INESSS, un taux de conformité de 67% a été atteint (visé 90%). Pour le troisième critère de l’INESSS, un taux de conformité de 100% a été atteint (visé 100%). Finalement, pour les cas ne répondant à aucun des critères de l’INESSS, un taux de conformité de 84% a été atteint (visé 100%).

Conclusion

Bien que le guide de l’INESSS formule des critères bien précis pour le diagnostic de la RBA, le jugement clinique reste un atout de taille dans la prise en charge de cette entité clinique. Nous croyons que l’option de l’observation reste une avenue sous-explorée qui permettrait de discerner certains cas se présentant dans la zone grise temporelle entre les 10e et 14e jours de symptômes. Cette option thérapeutique pourrait davantage aider les médecins à limiter leurs prescriptions antibiotiques.

Catégorie : RECHERCHE

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TI TRE 24 La thromboprophylaxie en médecine générale à l’hôpital de St-Hyacinthe

PRÉSEN TATEU RS Marc-André Aubin, Marie-Christine Bousquet, Andréanne Brazeau, Sandrine Plourde et Chakib Setti

AU TEURS Marc-André Aubin, Marie-Christine Bousquet, Andréanne Brazeau, Sandrine Plourde et Chakib Setti

SU PERVI SEU RS Jean-François Clément et Marie-Michèle Fortier

Objectifs

En se basant sur les recommandations du CHEST parues en 2012, ainsi que sur les recommandations de Thrombose Canada parues en 2015, déterminer si la thromboprophylaxie est prescrite de façon adéquate et optimale au moment de l’admission des patients hospitalisés dans l’une des équipes de médecine générale à l’hôpital Honoré-Mercier de Saint-Hyacinthe, centre hospitalier affilié à l’UMF Richelieu-Yamaska.

Méthode Après révision de la littérature, les dossiers de 189 patients admis dans l’une des équipes de médecine générale entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre 2015 ont été analysés. Suite à la vérification des critères d’inclusion et d’exclusion, 110 dossiers ont été retenus pour évaluer la présence ou non de thromboprophylaxie ainsi que la conformité de la prescription effectuée (molécule, dose, fréquence, ajustement selon la fonction rénale et le poids).

Résultats

Sur les 110 dossiers étudiés, 44,5% (IC 95% : 35,26% - 53,83%) des patients ont été considérés conformes aux recommandations. Outre l’absence totale d’une molécule thromboprophylaxique, les facteurs expliquant ce faible taux sont principalement le manque d’ajustement selon le poids et la fonction rénale ainsi que le délai de plus de 24 heures suite à l’admission dans la prescription de thromboprophylaxie.

Conclusion Nous observons que la prescription de thromboprophylaxie est encore trop souvent oubliée, ou encore non ajustée selon la condition et les comorbidités du patient. Nous recommandons qu’une ordonnance standardisée soit intégrée à un protocole d’admission afin que le médecin traitant ait l’obligation de se questionner face à l’ajout ou non d’une thromboprophylaxie. Nous recommandons également qu’un aide-mémoire des ajustements à faire (selon le poids, la fonction rénale, les indications et contre-indications) se retrouve sur l’ordonnance standardisée.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

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TI TRE 25 Projet sur l’unité de soins intensifs de Brome-Missisquoi-Perkins

PRÉSEN TATEU RS Justin Langevin et Valérie Sauvé

AU TEURS Marie-Laure Dolbec, Marilou Laberge, Justin Langevin et Valérie Sauvé

SU PERVI SEU RS Dre Alexandra De Pokomandy

Objectifs L’objectif principal était d’évaluer la qualité des soins à l’unité de soins intensifs (USI) de l’Hôpital Brome- Missisquoi-Perkins (BMP). Les objectifs secondaires étaient de documenter des améliorations objectives depuis l’implantation d’une réunion interdisciplinaire quotidienne à l’USI de BMP. Ce projet se voulait aussi une occasion de trouver des lignes directrices pour guider le moment approprié pour faire un transfert en centre tertiaire.

Méthode Il s’agit d’une étude rétrospective par critères explicites de la qualité des soins à l’USI, basée sur un outil standardisé nommé l’ICU Adverse Event Trigger Tool. Au total, 118 épisodes de soins à l’USI de BMP ont été analysés, en identifiant des évènements indésirables et les préjudices encourus, s’il y a lieu.

Résultats Les taux de mortalité de l’USI de BMP étaient de 7,55% en 2014-2015 et de 6,70% en 2015-2016. Les taux de transfert étaient respectivement 12,72% et 14,37% pour ces deux périodes. L’analyse pré et post implantation de la réunion interdisciplinaire n’a pas démontré de résultat statistiquement significatif en termes de nombre d’événements indésirables.

Vu l’absence de lignes directrices, un outil d’aide à la décision quant au moment opportun d’effectuer un transfert en centre tertiaire a été développé par l’équipe.

Conclusion L’évaluation périodique de la qualité des soins intensifs de BMP pourrait se faire à l’aide d’un outil tel l’ICU Adverse Event Trigger Tool, mais adapté selon les besoins du milieu. De plus, une aide à la décision pour un transfert en centre tertiaire a été élaborée et pourrait faire l’objet de futures discussions avec le Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 26 La prévention de l’alloimmunisation en grossesse

PRÉSEN TATEU RS Stéphanie-Ines Abbas, Stéphanie B Klopfenstein, Manon Julien, Esther Lépine, Sandrine Langevin, Bruno Messier et Sandrine Langevin

AU TEURS Stéphanie-Ines Abbas, Stéphanie B Klopfenstein, Manon Julien, Esther Lépine, Sandrine Langevin, Bruno Messier et Sandrine Langevin

SU PERVI SEU RS Jean-François Clément

Objectifs Notre projet d’évaluation de la qualité de l’acte vise à dresser un portrait de la prise en charge de la prévention de l’alloimmunisation pendant la grossesse dans un contexte de consultation à l’urgence. Nous avons étudié les conduites des urgentologues de l’hôpital Honoré-Mercier quant à la recherche du groupe sanguin (issue primaire) et l’administration des immunoglobulines (dont les issues secondaires comprenaient la dose, le délai et l’obtention d’un consentement éclairé) pour les raisons suivantes : saignement vaginal en grossesse, douleur abdominale en grossesse et traumatisme en grossesse.

Méthode Nous avons obtenu une liste des dossiers des patientes enceintes ayant consulté à l’urgence entre janvier 2010 et décembre 2015. De ces dossiers, 600 épisodes de soins ont été sélectionnés aléatoirement afin d’être analysés, et ce par deux résidents selon une grille préalablement uniformisée comprenant les critères d’inclusion et d’exclusion établis par notre équipe. Cette grille d’analyse permettait de noter la raison de consultation, l’âge gestationnel, le diagnostic, le groupe sanguin (comment il a été demandé et/ou trouvé dans le dossier), et la référence en spécialité et/ou l’admistration des immunoglobulines, le cas échéant. Notons aussi que la dose ainsi que le délai d’administration des immunoglobulines figuraient dans cette grille d’analyse.

Résultats Des 1211 épisodes de soins correspondant aux critères de recherche, 600 ont été choisis aléatoirement : 30 dossiers étaient introuvables aux archives, 102 ne répondaient pas aux critères d’inclusion et 103 répondaient aux critères d’exclusion. Enfin, 365 épisodes de soins ont été analysés, dont 63 patientes (17%) de sérotype Rh négatif. La recherche du groupe sanguin s’est effectuée de façon adéquate dans 81% des cas. Des 63 patientes Rh négatif, 76% ont reçu une dose suffisante d’immunoglobulines; 21 patientes ont reçu une dose adéquate et 27 ont reçu une dose trop élevée selon leur âge gestationnel.

Conclusion Nous considérons que la prévention de l’alloimmunisation en grossesse lors des consultations à l’urgence est acceptable, quoique pouvant être améliorée par des mesures telles que des protocoles standardisés et l’implication de tiers (infirmières, médecin traitant, accueil clinique, etc.)

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 27 Manquons-nous des diagnostics dangereux à l’urgence?

PRÉSEN TATEU RS Vincent Langevin et Marie Bélanger-Martin

AU TEURS Vincent Langevin et Marie Bélanger-Martin

SU PERVI SEU RS Dr Laurent Boisvert

Objectifs Évaluer si le département d’urgence de l’Hôpital Charles-Lemoyne (HCLM) manque des diagnostics potentiellement morbides et mortels (diagnostics traceurs) lors des visites à l'urgence, soit le syndrome coronarien aigu (incluant l’infarctus du myocarde et l’angine instable), la rupture de l’anévrysme abdominale, l’embolie pulmonaire, l’accident cérébro-vasculaire et l’hémorragie sous-arachnoïdienne, et trouver des pistes de solutions afin de diminuer ces erreurs.

Méthode Il s’agit d’une étude rétrospective visant à réviser les dossiers pour lesquels une hospitalisation pour un des diagnostics traceurs à l’Hôpital Charles-Lemoyne pour l’année 2015-2016 a été précédée dans les 30 jours d’une visite à l’urgence. Ces cas de lien potentiel entre une visite à l’urgence suivie d’un diagnostic dangereux sont révisés par les auteurs puis évalués par cinq médecins experts afin d’établir une relation entre les 2 évènements puis de déterminer via une grille standardisée les éléments manquants de la prise charge afin d’améliorer globalement les soins.

Résultats À venir

Conclusion À venir

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 28 Conformité aux recommandations de l'INESSS pour la prise en charge des tableaux suggestifs de pharyngite à Streptocoque à l'urgence de Drummondville

PRÉSEN TATEU RS Catherine Allard, Rose Clavel, Sara-Claude Durand-Allard

AU TEURS Catherine Allard, Rose Clavel, Sara-Claude Durand-Allard

SU PERVI SEU RS Mathieu-Jacques Daneault

Objectifs

Évaluer le taux de conformité des médecins de famille pratiquant à l’urgence envers les recommandations sur l’investigation et le traitement de la pharyngite émises par l’Institut National d’Excellence en Santé et Services Sociaux (INESSS) dans leur guide clinique d’antibiothérapie « Pharyngite-amygdalite chez l’enfant et l’adulte » publié en mars 2010 (score de McIsaac).

Méthode

Pour cette étude de la qualité de l’acte, nous avons analysé les notes de 173 visites à l’urgence de l’Hôpital Sainte-Croix pour une plainte liée au mot-clé « gorge » entre le 1er janvier et le 31 décembre 2015.

Résultats La prise en charge de la pharyngite selon l’algorithme proposé par l’INESSS a été respectée dans 45.9% des dossiers. Au contraire, 54.1% des dossiers étaient non-conformes. Un traitement antibiotique était d’emblée instauré sans attente de résultat de culture de gorge dans 40.8% des dossiers. Toutefois, des critères de sévérité justifiant une antibiothérapie d’emblée n’ont été retrouvés que dans 12.3% des dossiers.

Conclusion

Il y avait un sur-traitement de la pharyngite dans les dossiers analysés.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 29 Évaluation du temps d’administration des antibiotiques dans les cas de sepsis sévères et de chocs septiques

PRÉSEN TATEU RS Jonathan Bergeron, Louis Tanguay

AU TEURS Jonathan Bergeron, Simranjit Ghumman, Ghizlane Qouraimi, Myriam St-Pierre, Louis Tanguay

SU PERVI SEU RS Dre Alexandra Cayer

Objectifs :

Évaluer le temps d’administration d’antibiotiques chez les patients avec un sepsis sévère ou un choc septique au Centre Hospitalier de Rouyn-Noranda (CISSS Abitibi-Témiscamingue) et la comparer aux normes du Surviving Sepsis Campaign.

Méthode Une collecte de données pour recenser les heures d’évaluation du personnel, les signes vitaux et les laboratoires, ainsi que les heures d’administration des antibiotiques a été faite. Une différence entre l’heure d’évaluation initiale et le moment d’administration des antibiotiques a permis de déterminer si les délais optimaux ont été respectés. Un comparatif entre l’unité d’urgence et d’hospitalisation, ainsi qu’entre les quarts de travail de jour (8h-16h) et ceux de soir/nuit (16h-8h) dans ces mêmes départements ont également été réalisés.

Résultats

Lorsque les données sont analysées par département (urgence vs hospitalisation) et selon le quart de travail (8h-16h vs 16h-8h), les moyennes de délai d’administration sont supérieures aux trois heures recommandées et une proportion de moins de 60% des dossiers respectait ces délais.

Conclusion

Les délais recommandés d’administration des antibiotiques ont été respectés dans une plus grande proportion à l’urgence comparativement à l’hospitalisation, et il y a une meilleure moyenne dans le délai d’administration pour le quart de travail de jour comparativement à celui de soir et de nuit.

Catégorie : RECHERCHE

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Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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TI TRE 30 Évaluation de la qualité de l’acte de l’UMF du Grand Moncton sur l’ostéodensitométrie

PRÉSEN TATEU RS Émilie Beaulieu, Jean-Gabriel Landry et Marie-Josée Leblanc

AU TEURS Émilie Beaulieu, Jean-Gabriel Landry et Marie-Josée Leblanc

SU PERVI SEU RS Mathieu Bélanger, André Barrieau et Véronique Thibault

Objectifs

Chez les médecins de famille de l’UMF de Dieppe, évaluer l’opinion, la connaissance et l’application de la recommandation du Groupe d’étude canadien sur les soins de santé préventifs d’effectuer une ostéodensitométrie de dépistage chez tous les patients de 65 ans et plus et comparer ces résultats à ceux d’une étude comparable de 2008.

Méthode Les médecins de l’UMF furent questionnés afin d’évaluer leur opinion et leurs connaissances par rapport à la recommandation. Leur estimé du taux de leurs patients ayant eu une ostéodensitométrie, le taux au-dessous duquel une intervention serait nécessaire, ainsi que les barrières perçues à l’application de la recommandation furent étudiées. Nous avons consulté les dossiers d’un échantillon des patients de l’UMF afin d’évaluer l’application de la recommandation.

Résultats Tous les médecins questionnés étaient au courant de la recommandation et la majorité était d’accord avec celle-ci. Les médecins jugeaient que l’ostéodensitométrie était effectuée chez 57 % de leurs patients, alors que leur cible était de 75 %. Selon eux, un taux inférieur à 60 % nécessiterait une intervention. Nous avons étudié 327 dossiers (H = 130), chez qui 59,94% (H = 27,69%, F = 81,22%) une ostéodensitométrie fut effectuée ou demandée. Ceci représente une amélioration par rapport à 2008 (44 %, H = 13 %, F = 63 %).

Conclusion Chez les femmes, les médecins de l’UMF de Dieppe respectent bien la recommandation, mais sont moins aux aguets quant aux hommes. Une intervention serait requise pour mieux sensibiliser les médecins au dépistage chez cette population.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

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NOTES

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NOTES

Le Centre de formation continue (CFC) de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l'Université de Sherbrooke est pleinement agréé par le Collège des médecins du Québec et par le Comité d'agrément des facultés de médecine du Canada. Cette formation, approuvée par le CFC, est une activité d'apprentissage collectif agréée au sens que lui donne le programme de Maintien du certificat du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. Pour les autres professionnels de la santé, le CFC remet une attestation de participation d’un maximum de 6h de formation accréditée.