Le écode

déveloponomiqula Suiss

ppementue régiose

t onal

Anales

APER

L’essen

Somma

1 Ana

2 Type

3 Grou

4 Créa

5 Com

6 Rés

7 Ann

8 Ann

Littératu

alyse types

RÇU DE LA

ntiel en bref .

aire ..............

alyses des br

es d’espace r

upes de bran

ation de vale

mbinaison de

sumé ............

nexe A: Evolu

nexe B: Evolu

ure ..............

des bs d’es

A TABLE D

...................

...................

ranches regio

regiosuisse et

nches..........

eur par place

es branches d

...................

ution des em

ution de la va

...................

brancspace

DES MATI

....................

....................

osuisse 2010

t l’évolution de

....................

e emploi et pa

dans les type

....................

plois par bra

aleur ajoutée

....................

ches se

IERES

...................

...................

0..................

e leur création

...................

ar branche ..

es d’espace

...................

anche ..........

e brute par b

...................

selon

....................

....................

....................

n de valeur ...

....................

....................

....................

....................

....................

ranche ........

....................

..... 3

..... 5

..... 6

..... 8

... 11

... 13

... 15

... 22

... 23

... 28

... 32

IMPRESSUM

Auteur: regiosuisse – Centre du réseau de développement régional Titre: Analyse des branches selon les types d’espace Sous-titre: Le développement économique régional en Suisse Mandant: SECO Lieu: Berne Année: 2011 Téléchargement: www.regiosuisse.ch/monitoring-1 Auteurs Stefan Suter, regiosuisse / ECOPLAN Sarah Werner, regiosuisse / ECOPLAN Kathrin Bertschy, regiosuisse / ECOPLAN Editeur regiosuisse – Centre du réseau de développement régional Case postale 75 Hofjistrasse 5 CH–3900 Brigue Tél. +41 27 922 40 88 FAX +41 27 922 40 89 info@regiosuisse.ch www.regiosuisse.ch Langues L’«Analyse des branches selon les types d’espace» de regiosuisse paraît en allemand et en français. Traduction Félix Glutz, adapteam.ch, Montreux Le présent rapport reflète l’opinion des auteurs et non pas nécessairement celle du mandant.

j

L’essentiel en b

L’essent

Le rapport d

non seuleme

habitant3 qu

nomie contin

suivante: po

Le but du pr

divers types

s’agit d’exam

coulant des

présentes, o

L’analyse ab

les types d

ment. Pour

jours un peu

mais à quelq

d’espace so

de productiv

L’analyse de

trice: plus u

est petite et

taines sont

alpins le mo

La croissanc

centres tour

nomiques: d

urbaines, on

sent une for

riphérique, o

et périurbain

branches qu

1 Téléchargem

2 Le produit iduites en utières d’un t

3 Le revenu pl’année.

bref

tiel en br

de monitorin

ent un produ

e les espace

nuait à se dé

ourquoi le niv

résent rappo

s d’espaces s

miner si l’on

différences

ou découlant

boutit à la co

’espaces n’

une branche

u plus forte d

ques rares e

nt très faible

vité.

e la combina

n type d’esp

plus sa part

donc celles

ins bien.

ce économiq

ristiques alpi

dans les rég

n note une pa

rte croissanc

ou encore da

ns ont aussi,

ui, dans l’ens

ment www.regio

ntérieur brut (Pne année à l’intype spatial) et q

par habitant es

ref

g 20091 a c

uit intérieur b

es périurbain

évelopper plu

veau et le dév

ort est d’exam

s’expliquent

peut conclu

de productiv

de la part re

onclusion qu

expliquent q

e donnée, l’in

dans les régi

exceptions pr

es. Entre les

aison des b

pace est péri

t en branche

qui s’en tire

que compara

ns s’explique

gions métrop

art plus élevé

ce que cela n

ans les centre

comparative

semble de la

osuisse.ch/mon

IB) donne la vantérieur des fronqui servent à la

t celui du reven

clairement m

brut plus éle

ns et ruraux

us vigoureuse

veloppemen

miner si les

en partie pa

re à des diff

vité des bra

elative des br

e les différe

que très peu

ntensité de l

ions métropo

rès, les diffé

branches en

branches éc

iphérique, pl

es à faible pr

ent comparat

ativement plu

e également

politaines, le

ée des branc

n’est le cas d

res touristiqu

ement aux ré

Suisse, réal

itoring-1.

aleur globale dentières d’une écconsommation

nu moyen des

montré que le

vé par habit

périphérique

ement. Se po

t sont-ils aus

différences

ar leurs bran

férences de

nches selon

ranches dan

ences de pr

les différen

a création d

olitaines que

érences de p

n revanche, o

conomiques

lus sa part e

roductivité es

tivement le m

us faible de l’

t par la com

es agglomér

ches qui, dan

dans l’espac

es alpins. Il

égions périp

isent une fai

e toutes les marconomie nationfinale.

habitants d’un

es espaces u

ant2 et un re

es, mais égal

ose dans ce

ssi différents?

économique

nches d’activ

niveau et de

l’espace da

s cet espace

roductivité d

ces de nivea

e valeur est

dans les au

roductivité e

on observe d

est donc ne

en branches

st grande. Le

mieux et les

espace rura

binaison de

rations et les

ns l’ensembl

e périurbain

s’ensuit que

hériques, un

ble croissanc

rchandises et prale (ou égalem

pays ou d’un t

urbains prés

evenu plus é

lement que l

contexte la

?

es et de reve

vité. Concrète

e développem

ans lequel e

e.

des branche

au et de dév

t certes pres

utres types d

entre les dive

de réelles diff

ettement plus

à haute pro

es régions m

centres tou

al périphériqu

leurs branch

s autres co

le de la Suis

et l’espace

les espaces

ne part inférie

ce.

restations qui oment à l’intérieu

type d’espace c

3

sentaient

élevé par

leur éco-

question

enus des

ement, il

ment dé-

lles sont

es selon

veloppe-

sque tou-

’espace,

ers types

férences

s révéla-

oductivité

métropoli-

ristiques

ue et des

hes éco-

mmunes

se, réali-

rural pé-

s urbains

eure des

ont été pro-r des fron-

calculé sur

L’essentiel en b

On peut do

tiques alpins

tageuse que

baines. Cec

veau écono

périphérique

bref

nc conclure

s présentent

e les région

ci explique po

mique plus é

es.

globalemen

une combin

s métropolit

ourquoi les

élévé et qu’e

nt que l’espa

naison de bra

taines, les a

régions métr

elles continu

ace rural pé

anches écon

agglomératio

ropolitaines

uent à mieux

riphérique e

nomiques net

ns et les au

et les agglo

x se dévelop

et les centre

ttement moin

utres commu

mérations o

pper que les

4

s touris-

ns avan-

unes ur-

nt un ni-

s régions

Sommaire

Sommai

1 Analyse

2 Types d

3 Groupe

4 Créatio

5 Combin

    5.1 Dans

    5.2 Dans

6 Résum

7 Annexe

8 Annexe

Littérature ..

re

es des bran

d’espace reg

es de branch

on de valeur

naison des b

quel type d’e

quel type d’e

é .................

e A: Evolutio

e B: Evolutio

....................

nches regios

giosuisse e

hes ..............

par place e

branches da

espace trouv

espace trouv

....................

on des emp

on de la vale

....................

suisse 2010

et l’évolution

....................

emploi et pa

ans les type

ve-t-on le plu

ve-t-on le plu

....................

lois par bra

eur ajoutée

....................

....................

n de leur cré

....................

ar branche ...

es d’espace

us de branch

us de branch

....................

anche ...........

brute par b

....................

....................

éation de va

....................

....................

...................

es à forte va

es à forte cro

....................

....................

ranche .......

....................

....................

aleur ............

....................

....................

....................

aleur ajoutée

oissance? ...

....................

....................

....................

....................

5

........... 6

........... 8

......... 11

......... 13

......... 15

? ...... 17

......... 19

......... 22

......... 23

......... 28

......... 32

1

Analyses des b

Analyse

a) Situatio

Le rapport d

non seulem

que l’espace

continuait à

pourquoi le n

Le but de ce

tatés entre l

faut, pour ce

Y a-t-il de

branches

d’autres t

gion mét

même br

Quelle es

Cette co

miques e

b) Procéd

La procédur

1. Définition

2. Compara

d’observe

3. Observat

– Descr

– Identif

produ

branc

son av

4 regiosuisse

chargement

5 Le produit iont été prodtières d’un t

6 Le revenu p

branches regios

s des br

on initiale

de monitorin

ent un PIB

e périurbain

connaître u

niveau et le d

e rapport est

les divers ty

e faire, répon

es différence

s semblables

termes, un s

tropolitaine p

ranche mais

st la combina

mbinaison d

et l’intensité d

dure et mé

re pour répon

n de groupes

aison, pour c

er d’éventuell

tion de la com

ription des ca

fication des b

ctives). Exa

hes plus pro

vantageuse

(2010): Le dévt: www.regiosui

ntérieur brut (abduites en une atype spatial) et q

par habitant est

uisse 2010

ranches r

et but des

g 20094 a c

par habitant5

et l’espace

un développe

développeme

donc d’exam

ypes d’espac

ndre aux que

es dans l’inte

s selon les ty

salarié qui tra

produit-il plu

qui travaille

aison des bra

des branche

du développe

éthode

ndre à ces qu

s de branche

haque group

es variations

mbinaison de

aractéristique

branches da

men de la s

oductives qu

des branche

veloppement écsse.ch/monitori

bréviation: PIB)année à l’intériequi servent à la

le revenu moye

regiosuis

s analyses

clairement m

t5 plus élevé

rural périph

ement plus

ent sont si d

miner si les d

ce s’explique

estions suiva

ensité de la

ypes d’espac

availle par e

us de march

dans l’espac

anches écon

es permet-ell

ement?

uestions:

es appropriés

pe de branch

d’intensité de

es branches

es particulièr

ans lesquelle

situation pou

ue les espac

es, critère du

conomique régng-1.

) donne la valeueur des frontièrconsommation

en des habitants

sse 2010

s des bran

montré que le

, ainsi qu’un

hérique, mais

soutenu. Se

ifférents.

différences é

ent en partie

ntes:

création de

ce dans lesq

exemple dans

handises en

ce rural périp

nomiques da

le d’explique

s pour la com

hes, entre les

e la création

:

res d’une com

s la création

r déterminer

es à caractè

niveau)

ional de la Sui

ur globale de tores d’une éconofinale.

s d’un pays ou d

0

nches

es espaces u

n revenu par

s également

e pose ici la

conomiques

e par leurs b

valeur ajouté

uelles elles s

s l’industrie a

une année

phérique?

ns les différe

er les différe

mparaison

s différents ty

de valeur (ou

mbinaison de

de valeur es

r si les espa

ère rural préd

sse. Rapport d

utes les marchaomie nationale

d’un type d’espa

urbains prés

r habitant6 p

t que leur é

a question d

s et de reven

branches d’a

ée (productiv

sont implant

alimentaire d

qu’un salar

ents types d’e

ents niveaux

ypes d’espac

u de la produ

e branches

st intense, (b

aces urbains

dominant (c

de monitoring 2

andises et pres(ou à l’intérieu

ace calculé sur

6

sentaient

plus haut

conomie

de savoir

us cons-

activité. Il

vité) des

tées? En

d’une ré-

rié de la

espace?

x écono-

ces, afin

uctivité)

branches

ont des

ombinai-

2009. Télé-

stations qui r des fron-

l’année.

Analyses des b

– Identif

si les

les es

critère

c) Structu

Le présent r

Le chapi

leur.7

Le chapi

utilisés p

Le chap

branches

Le chapi

d’espace

Les ann

branches

«Places d

7 La valeur aj

production (

branches regios

fication des

espaces urb

spaces à car

e du dévelop

ure du rap

rapport est st

itre 2 décrit

itre 3 est con

our des com

itre 4 analy

s, et à l’intérie

itre 5 exami

e.

exes A et

s et son évol

de travail» (A

joutée brute es(valeur de produ

uisse 2010

branches à f

bains ont co

ractère rural

ppement).

port

tructuré com

les types d’

nsacré à la p

mparaisons.

yse l’intensité

eur de chaqu

ne en détail

B fournisse

ution dans le

Annexe A) et

st la valeur globuction), sous dé

forte croissa

omparativeme

l prédominan

me suit:

espaces et

présentation

é de la créa

ue groupe, s

la combinai

nt des infor

es divers typ

t «Valeur ajo

bale des marchaéduction de la va

nce. Exame

ent plus de

nt (combinai

leur évolutio

des groupes

ation de vale

elon les type

son des bra

rmations dét

es d’espace

outée brute»

andises et des aleur des conso

n de la situa

branches à f

son avantag

on en matière

s de branche

eur dans les

es d’espace.

nches d’activ

taillées sur

, au travers d

(Annexe B).

services produommations inter

ation pour dé

forte croissa

geuse des b

e de créatio

es qui seron

s divers gro

vité des dive

la combinai

des deux ind

uits dans un prormédiaires.

7

éterminer

ance que

ranches,

n de va-

t ensuite

upes de

ers types

son des

dicateurs

ocessus de

2

Types d’espace

Types dvaleur

La typologie

loppement te

potentiels. L

Régions

Agglomé

Espace r

Centres t

Espace r

Figure 2-1 p

Figure 2-1:

8 On trouvera

loppement ésentés «espbilité» ont é

9 Cette subdiattenantes ddes actifs régione Insubnoise est déattenante dedes autres c

RégionsAggloméEspace CentresEspace

e regiosuisse et

’espace

e des espace

erritorial (AR

La typologie d

métropolitain

rations et au

rural périurba

touristiques a

rural périphér

présente la ca

Les typ

a une explicationéconomique régpace rural péripté synthétisés p

ivision s’orientedes grandes agésidant dans unbrica au Tessinéjà considérée e la métropole communes urba

s métropolitainesérations et autrerural périurbain

s touristiques alpirural périphériqu

t l’évolution de le

regiosui

es regiosuiss

RE), qui class

des espaces

nes9

utres commu

ain

alpins

rique

artographie d

pes d’espace

n détaillée de lagional de la Suhérique avec bo

pour le présent r

e vers la définitglomérations qune agglomératio illustrent des scomme aire mémilanaise. Les aines.

s s communes urb

ins ue

eur création de

isse et l’é

se repose su

se les espace

s regiosuisse

nes urbaines

de ces types

regiosuisse

a typologie des uisse. Rapport donne accessibilrapport.

tion OFS des aue sont Zurich, on attenante trasystèmes d’aggétropolitaine aloautres commun

baines

valeur

évolutio

ur celle élabo

es en fonctio8 distingue c

s

s d’espace.

en Suisse

espaces regiosde monitoring 2ité» et «espace

aires métropolitGenève-Lausa

availlent dans laglomérations mors que Côme-Cnes de l’espace

n de leur

orée par l’Off

on de leurs p

inq types d’e

uisse dans: reg2009. Les typese rural périurbain

taines et s’applnne et Bâle poua grande agglomultipolaires; la

Chiasso-Mendrisurbain font par

r créatio

ffice fédéral d

problèmes et

espaces:

giosuisse (2010s d’espace qui yn avec mauvais

lique aux agglour autant que plmération. Berneseule agglomésio est une aggrtie des agglom

8

n de

du déve-

de leurs

): Le déve-y sont pré-se accessi-

omérations us de 1/12 e et la Re-ration ber-

glomération érations et

Types d’espace

La figure ci-d

pour l’écono

différent du

Comme on l

sont généré

communes u

la valeur ajo

Le poids de

relativement

générés.

Figure 2-2:

Source: regiosu

Cela étant, c

blement, ma

tion de valeu

30%, respec

alpins a été

périphérique

chapitres su

Aggloautresurbain24%

Espé13

Centres touristiques 1%

e regiosuisse et

dessous mo

omie nationa

point de vue

e constate à

és dans les r

urbaines, qu

outée brute e

es centres to

t faible. Seul

Part de

uisse. Données

ce n’est pas

ais égalemen

ur dans les r

ctivement 20

en 2009 la m

e présente ég

ivants d’impo

omérations et s communes nes

space rural ériurbain3%

alpins

Espé3%

t l’évolution de le

ntre la taille

le. Elle mont

de l’économ

à la lecture de

régions métr

i y contribue

st de 13%.

ouristiques a

s 1%, respec

es types d’esp

: BAK.

uniquement

nt sa progres

régions métro

0% entre 199

même qu’en

galement une

ortantes info

Régionmétrop59%

space rural ériphérique%

eur création de

et l’importan

tre que les s

mie publique.

e la Figure 2

ropolitaines,

nt à raison d

alpins et de

ctivement 3%

paces à la va

t la part de

ssion comme

opolitaines e

95 et 2009, l

1995. Avec

e évolution c

ormations de

ns politaines

valeur

nce des diffé

ix types d’es

2-2, 59% de

suivies par

de 24%. La p

l’espace rura

% de la valeu

aleur ajoutée

la valeur ajo

e le montre la

et les agglom

a création de

une croissan

comparativem

base sur ce

rents types d

space ci-aprè

la valeur ajou

les agglomé

part de l'espa

al périphériq

ur ajoutée br

brute 2009

outée brute q

a Figure 2-3.

mérations a a

e valeur des

nce de 7% en

ment faible. O

tte évolution

d’espace reg

ès jouent un

utée brute e

érations et le

ace rural pér

que est en r

rute en Suiss

qui diffère co

. Tandis que

augmenté de

s centres tou

nviron, l’espa

On trouvera

.

9

giosuisse

rôle très

n Suisse

es autres

iurbain à

revanche

se y sont

onsidéra-

e la créa-

e près de

ristiques

ace rural

dans les

Types d’espace

Figure 2-3:

Indexé (1995=1

80

90

100

110

120

130

140

1995 1

e regiosuisse et

Evoluti

100). Source: re

996 1997 19

Régions méAgglomératEspace ruraEspace ruraCentres touSuisse

t l’évolution de le

on de la vale

egiosuisse. Don

998 1999 20

étropolitainestions et autresal périurbainal périphériquuristiques alpin

eur création de

eur ajoutée br

nées: BAK.

00 2001 200

s communes u

ens

valeur

rute selon les

02 2003 200

urbaines

s types d’esp

04 2005 2006

pace, 1995–20

6 2007 2008

10

009

8 2009

3

Groupes de bra

Groupes

Il existe en

faut créer de

15 dans la p

Lorsqu'il s'a

figure 3-1 ci-

Figure 3-1:

Groupe de b

Agriculture, ch

Construction

Approvisionne

Secteur public

Industrie chim

Alimentation

Transports/co

Autres service

Commerce

Services aux

Reste du sect

Secteur financ

Biens d’invest

Horlogerie

Hôtellerie et

La plupart d

quelques ex

Le groupe «

ciations, la c

series et des

nages privés

On entend

ments, la lo

10 OFS (2002)

anches

s de bran

Suisse une

es «groupes

présente étud

agira de bran

-dessous.

Attribu

ranches

hasse et sylvic

ement en éne

c

mique et pharm

ommunication

es

entreprises

teur secondair

cier

tissements

restauration

des groupes

xplications su

Autres serv

culture, le sp

s salons de

s, ainsi que l

par «Servic

cation d’obje

): Nomenclature

nches

multitude de

de branches

de. Cette rép

nches, on se

tion des bran

culture

rgie et en eau

maceutique

re

de branche

ur les groupe

vices» contie

port et les lois

coiffure par e

’élimination d

ces aux ent

ets mobiliers

e générale des a

e branches d

s». Comme l

partition repo

e réfèrera a

nches économ

Catégo

01-05

45

u 40 / 41

75 / 80

24

15 / 16

60-64

90-95

50-52

70-74

10-14 /

65-67

27-35, s

335

55

es ne nécess

es les moins

ent notamme

sirs, la fourn

exemple, le

des déchets

treprises» l’

s, le traiteme

activités économ

différentes. P

le montre la

ose sur la cla

ux groupes

miques aux g

ories NOGA 2

/ 85

17-23 / 25 / 2

sans 335 (Hor

sitent pas d’

connus:

ent la représ

iture de serv

travail du pe

et le traitem

’administratio

ent des donn

miques. Notes e

Pour permettr

Figure 3-1, o

ssification N

de branches

groupes de br

002

6 / 36 / 37

rlogerie)

explication p

entation des

vices, comme

ersonnel de m

ent des eaux

on des imm

nées et la m

explicatives.

tre la compa

on peut en d

OGA de 200

s présentés

ranches

particulière.

s intérêts et l

e ceux des b

maison dans

x usées.

meubles et d

mise à dispos

11

raison, il

istinguer

02.10

dans la

Ci-après

es asso-

blanchis-

s les mé-

es loge-

sition de

Groupes de bra

banques de

aux entrepris

Les résultat

dence, car l

englobe, ent

leur locative

directement

vée, puisqu’

régions rési

pour l’artisan

portée à un

élevée. Dan

menter dava

Le groupe

branches tel

et de terre,

bois, papier

sique, article

Sont inclus

les assuranc

anches

données, la

ses, telles qu

s de ce gro

e produit de

tre autres, la

e des logeme

du nombre

elle résulte d

dentielles qu

nat y joue un

nombre res

ns le présent

antage.

de branche

lles que l’exp

la fabricatio

et céramiqu

es de sport e

dans le «Se

ces sociales)

recherche e

ue l’expertise

upe de bran

es services im

a valeur ajou

ents occupés

d’emplois. L

du rapport e

ui sont conc

n faible rôle,

streint d’emp

t rapport, ce

es «Reste

ploitation min

n de textiles

ue. En outre

et jouets fait é

cteur financ

), ainsi que le

et le développ

e comptable

nches doive

mmobiliers (

utée brute ré

s par leurs p

La productivit

entre la valeu

cernées par

et la valeur

plois, la prod

e groupe de

du secteur

nière et l’ext

s, de vêteme

e, la fabricat

également p

cier» les éta

es activités l

pement, ains

et le conseil

nt être inter

qui font part

ésultant de la

propriétaires,

té de ce gro

ur ajoutée et

cette remar

ajoutée déc

uctivité (calc

branches es

r secondair

raction de pé

ents, du cuir

ion de meub

artie de ce g

ablissements

iées à ces ét

si que la four

fiscal.

prétés avec

tie des servic

a location de

éléments qu

upe peut do

les emplois

rque: l’utilisa

coulant des im

culée par pe

st marqué av

re» compre

étrole, de ga

r, du verre, d

bles, bijoux,

groupe.

s de crédit, le

tablissement

rniture de pre

la plus gran

ces aux entr

e logements

ui ne dépend

onc sembler

s. Ce sont su

ation des im

mmeubles é

ersonne) sem

vec (*) sans

end notamm

az naturel, de

de marchand

instruments

es assurance

ts et assuran

12

estations

nde pru-

reprises)

et la va-

dent pas

très éle-

urtout les

meubles

tant rap-

mble très

le com-

ment des

e pierres

dises en

s de mu-

es (sans

nces.

4

Création de val

Création

L’essentiel

Question: L’i

selon le type

Enseigneme

que de faible

développeme

revanche des

On examine

branches, pr

n’est que trè

branches.12

eau est prè

l’intérieur d

tion des typ

l’hôtellerie, d

l’alimentatio

On observe

dans presqu

parativemen

revanche int

comparaison

l’intensité de

Il existe tout

férences en

tique» et «A

les régions

sentent tout

balance.

11 La productiv

12 Voir Credit 2020, p.12.

eur par emploi

n de vale

en bref

ntensité de la

d’espace?

nts: En géné

s différences

ent des types

s différences d

e dans ce c

résente des

ès peu le cas

C’est ainsi q

s de 10 fois

du même gro

pes d’espace

des biens d’i

n.

néanmoins

ue tous les g

nt la producti

téressant de

n avec les a

e la création

tefois certain

fonction de

Approvisionne

métropolitain

efois très pe

vité d’une branc

Suisse Econom

et par branche

eur par em

a création de v

ral, sauf quel

de productivi

d’espace ne

e productivité

hapitre si l’in

différences

s. Il existe ce

que, par exem

s plus produ

oupe de bran

e, comme on

investisseme

que les rég

roupes de b

vité la plus f

e relever que

agglomération

de valeur de

nes branches

s types d’es

ement en én

nes que dan

eu d’emplois

che est la créatio

mic Research (2

mploi et

valeur (=produ

ques exceptio

té selon les t

peuvent donc

é importantes e

ntensité de

selon les typ

ertes de très

mple, la bran

uctive que l’a

nches, que d

n le voit pa

ent, des tran

ions métropo

ranches. Les

faible dans la

e l’espace ru

ns et les au

e ses branche

s qui font ex

space. Les b

nergie et en

ns les autres

, de sorte qu

on de valeur ajo

010): Swiss Iss

par bran

uctivité) des d

ons, on ne co

types d’espac

c guère s’exp

entre les bran

la création

pes d’espace

grandes diffé

nche de l’app

agriculture. E

de faibles diff

r exemple c

nsports et de

olitaines son

s centres tou

a plupart des

ural périphé

tres commu

es.

xception et où

branches «In

eau» sont n

s types d’esp

ue cette diffé

outée brute par

sues Branches.

nche

iverses branc

onstate, pour

e. Les différe

liquer par ce

ches.

de valeur (la

e. La Figure

érences de p

provisionnem

En revanche

férences de

clairement po

e la commun

nt en tête qu

uristiques alp

s groupes de

rique peut to

nes urbaines

ù l’on consta

ndustrie chim

nettement pl

pace. Ces de

érence ne pè

emploi.

La structure de

ches est-elle d

une branche

ences de nivea

biais. On obs

a productivit

4-1 montre

productivité e

ment en éner

e, on ne con

productivité

our les bran

nication, ains

uant à la pro

pins présente

e branches.

out à fait so

s pour ce qu

ate d’importa

mique et pha

lus productiv

eux branche

èse que peu

e l’économie sui

13

différente

donnée,

au et de

serve en

té)11 des

que cela

entre les

gie et en

nstate, à

en fonc-

nches de

si que de

oductivité

ent com-

Il est en

outenir la

ui est de

antes dif-

armaceu-

ves dans

es repré-

u dans la

isse 1998–

Création de val

Figure 4-1:

Source: regiosu

On peut dire

l’intensité av

que peu de

que les disp

s’expliquer p

d’espace. La

explication n

R

S

Agricu

Industrie ch

Approvisionn

eur par emploi

Créatiod’espac

uisse. Données

e en résumé

vec laquelle

différences

parités de niv

par des diffé

a combinaiso

nettement plu

Hôtellerie e

Biens d’inv

Se

Reste du secte

Services aux

ulture, chasse

A

Transports/co

himique et pha

S

ement en éne

et par branche

on brute de vace, en millier

: BAK.

é que les div

elles créent

de productiv

veau et de dé

érences de

on des branc

us satisfaisan

et restauration

Horlogerie

vestissements

cteur financier

eur secondaire

entreprises (*)

et sylviculture

Commerce

Autres services

ommunication

Alimentation

armaceutique

Secteur public

ergie et en eau

Construction

aleur par placrs, 2009

verses branc

de la valeur

vité entre le

éveloppemen

productivité

ches qui ser

nte de ces d

0 10

n

e

s

r

e

)

e

e

s

n

c

u

Régions mAgglomérEspace ruEspace ruCentres tSuisse

ce de travail

ches se disti

r. Pour une

s types d’es

nt des différe

dans une b

ra abordée c

isparités.

00 200

métropolitainerations et autrural périurbainural périphériqtouristiques al

(productivité

nguent certe

même branc

space. On pe

ents types d’

branche don

ci-après au c

300

esres communesnquepins

é) par branche

es fortement

che, il n’y a

eut donc en

’espace ne s

née selon le

chapitre 5 fou

400

s urbaines

14

e et type

quant à

toutefois

déduire

sauraient

es types

urnit une

500

5

Combinaison d

Combina

L’essentiel

Question: Q

d’espace?

Enseigneme

différentes av

Figure 5-1:

Source: regiosu

Comme le m

branches as

13 On trouvera

d’espaces.

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

100%

Sui

sse

es branches da

aison de

en bref

uelle combina

nts: Les diffé

vec à chaque f

Combinplein te

uisse. Données

montre la Fig

ssez différen

a dans l’Annex

Ré

gion

s m

étro

pol

itain

es

ans les types d’e

es branch

aison de bran

rents types d

fois des «bran

naison des bemps, au tota

: BFS.

ure 5-1, les d

nte. Il n’est

xe A l’évolution

Ag

glo

mér

atio

ns e

t aut

res

com

mu

nes

urb

aine

s

Esp

ace

rura

l pér

iurb

ain

espace

hes dans

nches économ

’espace prése

nches leaders»

branches (paal des emploi

différents typ

donc par ex

n dans le temp

Esp

ace

rura

l pé

riph

ériq

ue

s les type

miques renco

entent des co

».

art des emplos de l’espace

pes d’espace

xemple pas

ps de la comb

Ce

ntre

s to

uris

tique

s al

pin

sHôt

Ho

Bie

Sec

Re

Ser

Agr

Co

Aut

Tra

Alim

Ind

Sec

App

Co

es d’esp

ntre-t-on dans

mbinaisons d

ois de la brae considéré, e

e présentent

surprenant

inaison des bra

tellerie et resta

rlogerie

ens d’investiss

cteur financier

ste du secteur

rvices aux ent

riculture, chas

mmerce

tres services

ansports/comm

mentation

ustrie chim./p

cteur public

provisionneme

nstruction

pace

s les différen

e branches to

anche, en équen %, 2008)13

une combin

de constate

ranches des div

tauration

sements

r

r secondaire

treprises (*)

sse et sylvicult

munication

pharm.

ent énergie/ea

15

nts types

out à fait

uivalents 3

aison de

er que la

vers types

ture

au

j

Combinaison d

branche du

centres tou

périphériqu

branche de

sont surrepr

place relativ

ment, mais

l’OCDE14, le

teur, en par

joue elle au

dans l’espac

autres comm

que, avec 1

rural périur

Les régions

sont, avec r

des finances

les centres

ment surrep

Il est toutefo

branches. Il

prendre que

sections.

14 OCDE (201

es branches da

tourisme (h

uristiques al

ue (9%), tan

l’approvision

résentées da

vement impo

moins toute

es régions ru

rticulier en c

ssi un rôle

ce rural pér

munes urbai

13%, la bran

rbain.

s métropolit

respectiveme

s, ainsi que

touristiques

résentée (en

ois relativem

est donc im

elle combina

1): Examens te

ans les types d’e

ôtellerie et r

pins (32%)

dis qu’elle e

nnement en é

ans ces deu

rtante dans

efois que d

urales de la

e qui conce

nettement p

riurbain (12%

nes (env. 2%

nche des bie

aines ainsi q

ent 8% et 4%

dans le com

alpins, la b

ntre 6% et 8%

ent difficile d

portant d’en

aison est la

erritoriaux de l’O

espace

restauration)

et joue égal

est moins pr

énergie et en

ux types d’es

ces deux ty

ans les esp

Suisse offre

rne la forma

lus importan

%) que dans

% dans cha

ens d’invest

que les aggl

%, comparat

mmerce, avec

ranche «Tra

%).

d’établir les

savoir dava

plus favorab

OCDE: Suisse, 2

) est nettem

ement un rô

résente dans

n eau ainsi q

space. Le se

pes d’espac

paces urbain

ent relativem

ation et les s

nt dans l’esp

s les métrop

acune de ces

issement es

omérations

tivement bie

c 15% et 16%

ansports et t

causes des

ntage sur les

ble. Ce sera

2011, Éditions O

ent la plus

le important

s les autres

que la branch

ecteur public

e, avec 11%

ns (21%). S

ment peu d’em

sciences hum

pace rural pé

poles, les ag

s catégories

st surreprése

et autres co

n représenté

% respective

élécommuni

différences

s différentes

le thème d

OCDE.

importante d

dans l’espa

types d’esp

he de la con

c occupe ce

% et 16% res

Selon une é

mplois dans

maines. L’ag

ériphérique (

gglomération

s). On note

entée dans

ommunes u

ées dans la

ement. Comm

cation» y es

de combina

branches po

des deux pro

16

dans les

ace rural

pace. La

struction

rtes une

spective-

étude de

ce sec-

griculture

(14%) et

ns et les

en outre

l’espace

urbaines

branche

me dans

st égale-

ison des

our com-

ochaines

5.1

Combinaison d

Dans queajoutée?

L’essentiel

Question: La

Enseigneme

création de va

faible création

comparativem

Afin de clari

forte valeur

temps les gr

branches à

gure ci-aprè

Figure 5-2:

Source: regiosuVert: branches

Si l’on intèg

de la produc

0

50'000

100'000

150'000

200'000

250'000

300'000

350'000

400'000

Indu

strie

chi

miq

ue

et

es branches da

el type d’es

en bref

a combinaison

nts: Oui, tel e

aleur (branche

n de valeur es

ment meilleure

fier la questi

ajoutée (cell

roupes de b

productivité

s montre la d

Produc

uisse. Donnéesà forte producti

re maintena

ctivité des bra

qph

arm

ace

utiq

ue

Sec

teur

fin

anci

er

Ho

rlog

erie

ans les types d’e

space trou

des branches

est le cas. Plus

es les plus pro

st petite (et vic

e.

ion de savoi

es qui sont l

ranches en t

moyenne (b

différence de

ctivité (valeur

: BAK. Valeurs vité; bleu: branc

nt l’illustratio

anches (Figu

Ho

rlog

erie

Se

rvic

es a

ux

ent

rep

rises

(*) Alim

enta

tion

espace

uve-t-on le

s explique-t-el

s un espace e

oductives) est

ce versa). La p

r dans quel

les plus prod

trois catégor

bleu) et les b

e productivité

r ajoutée brut

nominales 2009ches à productiv

on de la com

ure 5-2), on o

Alim

enta

tion

Bie

ns d

’inve

stis

sem

ents

Tra

nspo

rts/

com

mun

icat

ion

e plus de

lle les différen

est urbanisé, p

t importante, d

productivité de

type d’espac

ductives), no

ries: les bran

branches à

é des branch

te par emploi

9. vité moyenne; r

mbinaison de

obtient le sch

Tra

nspo

rts/

com

mun

icat

ion

Res

te d

u se

cteu

rse

cond

aire

Com

mer

ce

branches

ces de niveau

plus la part de

donc plus la pa

es régions mé

ce on trouve

ous répartisso

nches très p

faible produc

hes:

) 2009, en CH

rouge: branches

es branches

héma suivan

Com

mer

ce

Co

nstr

uctio

n

Se

cte

urpu

blic

à forte va

ux économiqu

e ses branche

part de ses bra

étropolitaines

e les branche

ons dans un

roductives (v

ctivité (rouge

HF

s à faible produc

(Figure 5-1)

nt:

Sec

teur

pub

lic

Hô

telle

rie e

t res

tau

ratio

n

Aut

res

serv

ices

17

aleur

es?

es à forte

anches à

est donc

es à plus

n premier

vert), les

e). La fi-

ctivité.

) et celle

Aut

res

serv

ices

Agr

icul

ture

, cha

sse

etsy

lvic

ultu

re

Combinaison d

Figure 5-3:

Source: regiosuVert: branches

Les régions

petite part d

communes u

part un peu

Cette tenda

rural, plus sa

à faible pro

moins bien l

Présentée s

régions mét

les régions r

tefois que le

temps des e

sion des bra

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

100%

Sui

sse

es branches da

Combinplein te2008

uisse. Donnéesà forte producti

métropolitai

des branches

urbaines ont

plus élevée

nce se pour

a part de bra

ductivité est

otis dans ce

sous cette fo

tropolitaines

rurales s’en

es différence

espaces rura

anches.

Ré

gion

s m

étro

pol

itain

es

ans les types d’e

naison des bemps, au to

: BFS. vité; bleu: branc

nes ont la p

s à faible pro

t une propor

e de branche

rsuit pratique

anches haute

t élevée. Le

domaine.

orme, la com

et les agglo

tirent nettem

es de niveau

aux. On proc

Ag

glo

mér

atio

ns e

t aut

res

com

mu

nes

urb

aine

s

Esp

ace

rura

l pér

iurb

ain

espace

branches (paotal des actifs

ches à productiv

lus grande p

oductivité. Le

rtion plus fai

es à faible p

ement sans

ement produ

es centres to

mbinaison de

omérations o

ment moins b

u, mais ne j

cèdera donc

Esp

ace

rura

l pé

riph

ériq

ue

art des emplos, en %), ave

vité moyenne; r

proportion de

es agglomér

ble de branc

productivité

exception:

uctives est p

ouristiques a

es branches

ont un niveau

bien. Ce type

ustifie pas la

dans la sect

Ce

ntre

s to

uris

tique

s al

pin

s

Ap

Ind

Se

Ho

Se

Al

Bi

Tr

Re

Co

Co

Se

Hô

Au

ois de la braec indication

rouge: branches

e branches p

rations de pl

ches à haute

que les régi

plus l’espace

etite et plus

alpins sont c

permet d’ex

u économiqu

e de présent

a croissance

tion ci-après

pprovisionnem

dustrie chim./p

ecteur financie

orlogerie

ervices aux en

imentation

ens d’investiss

ransports/com

este du secteu

ommerce

onstruction

ecteur public

ôtellerie et res

utres services

anche, en équde leur prod

s à faible produc

productives e

us petite tai

e productivit

ions métropo

e tend vers

sa part de b

comparativem

xpliquer pour

ue élevé, tan

tation n’expli

e plus faible

à une autre

ment énergie/e

pharm.

er

ntreprises (*)

ssements

mmunication

ur secondaire

stauration

18

uivalents ductivité,

ctivité.

et la plus

lle et les

é et une

olitaines.

un type

branches

ment les

rquoi les

ndis que

que tou-

dans le

subdivi-

eau

5.2

Combinaison d

Dans quecroissanc

L’essentiel

Question: La

nomique?

Enseigneme

périphérique

croissance éle

Pour répond

catégories: l

sance moye

après montr

2009.

Figure 5-4:

Source: regiosuVert: branches négative de la v

91%

-20%

0%

20%

40%

60%

80%

100%

Indu

strie

chi

miq

ue e

tph

arm

ace

utiq

ue

es branches da

el type d’esce?

en bref

a combinaison

nts: Oui, tel e

et plus sa par

evée.

dre à cette q

les branches

enne (bleu) e

re les différen

Croissa

uisse. Donnéesà forte croissa

valeur ajoutée b

%

60%55%

phar

ma

ceut

ique

Ho

rlog

erie

Tra

nspo

rts/

com

mun

icat

ion

ans les types d’e

space trou

n des branche

est le cas. La

rt de branches

question, on

s à croissanc

t les branche

nces de crois

ance de la va

: BAK. ance; bleu: branbrute.

18% 18%

Com

mer

ce

Se

cte

ur p

ublic

espace

uve-t-on le

es permet-elle

tendance gén

s à forte crois

subdivise à

ce élevée a

es à croissan

ssance entre

aleur ajoutée

nches à croissa

17% 15%

Co

nstr

uctio

n

Au

tre

s se

rvic

es

Croissance 20

e plus de

e d’expliquer

nérale est la s

ssance est fai

à nouveau le

u niveau sui

nce faible et/

e les branche

brute par bra

ance moyenne;

11% 10% 1

Alim

enta

tion

Ap

prov

isio

nne

men

t en

éne

rgie

et

en e

au

000–2009

branches

les différence

suivante: plus

ble et sa part

es groupes d

sse (vert), le

/ou négative

es sur la péri

anche, en Sui

rouge: branche

0% 6% 3

Bie

ns d

’inve

stis

sem

ents

Ser

vice

s au

x en

trep

rises

(*)

Rt

dt

di

à forte

es de croissan

un type d’es

t de branches

de branches

es branches

(rouge). La f

iode allant de

isse, 2000–20

es à croissance

3% 2%

-11

Re

ste

du

sect

eur

seco

nda

ire

Sec

teur

fin

anci

er

Agr

icul

ture

chas

seet

sylv

icul

ture

19

nce éco-

pace est

s à faible

en trois

à crois-

figure ci-

e 2000 à

009

e faible ou

1% -12%

Agr

icul

ture

, cha

sse

et s

ylvi

cultu

re

Hô

telle

rie e

t res

tau

ratio

n

Combinaison d

Il convient d

des fins de

croissance d

des informat

Si l’on repre

intégrer la cr

Figure 5-5:

Source: regiosuVert: branches négative de la v

Les deux sc

des branche

métropolitain

vée de bran

phérique et

baines, suiv

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

100%

Sui

sse

es branches da

de relever qu

comparaiso

des branche

tions détaillé

end maintena

roissance mo

Combinplein temoyen

uisse. Donnéesà forte croissanvaleur ajoutée b

chémas (com

es / product

nes, les agg

nches à forte

les centres

ies par les ré

Ré

gion

s m

étro

pol

itain

es

ans les types d’e

ue l’on utilise

on; cette cro

s dans les d

es sur la cro

ant l’illustrati

oyenne de c

naison des bemps, au totane suisse, 20

: BAK. nce; bleu: brancbrute.

mbinaison de

ivité des bra

lomérations

e croissance

touristiques

égions métro

Ag

glo

mér

atio

ns e

t aut

res

com

mu

nes

urb

aine

s

Esp

ace

rura

l pér

iurb

ain

espace

e ici la croiss

oissance moy

divers types

oissance des

ion de la co

haque branc

branches (paal des actifs,008

ches à croissanc

es branches

anches) tém

et les autres

e (vert) que l

alpins. Les

opolitaines et

pp

Esp

ace

rura

l pé

riph

ériq

ue

sance des br

yenne ne co

d’espace. O

s branches da

mbinaison d

che en Suiss

art des emplo, en %), avec

ce moyenne; ro

s / croissanc

moignent d’un

s communes

l’espace rura

agglomérati

t l’espace ru

Ce

ntre

s to

uris

tique

s al

pin

s

I

H

T

C

S

C

A

A

A

B

S

R

S

A

H

ranches en m

orrespond pa

On se réfèrer

ans les diver

es branches

e, on obtient

ois de la brac indication d

uge: branches à

ce des branc

ne même te

s urbaines o

al périurbain

ons et les a

ral périurbain

ndustrie chim

Horlogerie

Transports/com

Commerce

Secteur public

Construction

Autres service

Alimentation

Approvisionne

Biens d’investi

Services aux e

Reste du secte

Secteur financ

Agriculture, ch

Hôtellerie et re

moyenne nat

as précisém

ra à l’Annexe

rs types d’es

s (Figure 5-1

t le schéma s

anche, en équde leur croiss

à croissance fai

ches et com

endance: les

nt une part

, l’espace ru

autres comm

n ont en outr

./pharm.

mmunication

c

es

ement énergie/

issements

entreprises (*)

eur secondair

cier

hasse et sylvic

estauration

20

tionale à

ment à la

e B pour

space.

1) pour y

suivant:

uivalents sance en

ible ou

mbinaison

s régions

plus éle-

ural péri-

unes ur-

re la part

/eau

)

e

culture

Combinaison d

la plus faible

les centres t

On constate

de branches

forte croissa

développent

es branches da

e de branche

touristiques a

e donc global

s à croissanc

ance que les

t moins rapid

ans les types d’e

es à faible c

alpins ont un

ement que le

ce modeste s

espaces pér

dement que l

espace

roissance (ro

ne part plus é

es espaces u

sur le plan s

riphériques.

es espaces

ouge). L’esp

élevée de bra

urbains et pé

suisse et une

Ceci peut ex

urbains.

pace rural pé

anches à faib

ériurbains on

e part plus é

xpliquer pour

ériphérique e

ble croissanc

nt une part pl

levée de bra

rquoi ces de

21

et surtout

ce.

us faible

anches à

rniers se

6

Résumé

Résumé

Le but de ce

revenus de

s’expliquer p

branches se

dans les dive

L’analyse pa

le type d’es

Certes, pour

politaines es

d’une maniè

rences de p

productivité

L’analyse de

espace est

sa part de b

donc nettem

peloton.

La combinai

de l’espace

les agglomé

dont la crois

bain et périp

bains ont au

que les espa

On peut do

l’espace rura

rable que ce

urbaines. Ce

niveau écon

d’espace pé

é

e rapport éta

s types d’e

par leurs bra

elon les espa

ers espaces

arvient à la c

space ne p

r une même

st presque to

ère générale

productivité e

entre les div

e la combina

périphérique

branches à fa

ment mieux, t

ison des bra

rural périphé

érations et le

ssance en m

phérique ain

ussi une plus

aces périphé

onc conclure

al périphériq

elle des rég

eci explique

nomique plus

ériphériques.

ait de déterm

espace obse

anches d’acti

aces ou si les

pouvaient se

conclusion qu

ermettent pa

branche, l’in

oujours un pe

et à part qu

en fonction d

verses branch

aison des b

e, plus sa pa

aible product

tandis que le

nches expliq

érique et des

es autres com

moyenne suis

si qu’aux ce

petite part d

ériques.

e que la com

ue et dans l

ions métrop

pourquoi le

s élevé et q

miner si les d

ervés dans

ivité. On a ex

s différences

e traduire pa

ue les différe

as d’expliqu

ntensité de l

eu plus élevé

uelques exce

du type d’esp

hes.

branches est

art de branch

tivité est élev

es centres to

que égaleme

s centres tou

mmunes urb

sse est élev

entres tourist

de branches

mbinaison d

les centres t

politaines, de

es régions m

u’elles conti

ifférences éc

le rapport

xaminé si le

s de combina

ar des évolut

ences de pr

er les différ

a création de

ée que dans

eptions, l’on

pace. On ob

t donc bien p

hes hauteme

vée. Les rég

ouristiques a

ent la croissa

uristiques alp

baines ont un

vée compara

tiques alpins

dont la crois

des branches

touristiques a

es agglomér

métropolitaine

nuent à mie

conomiques

de monitori

s différences

aison des bra

ions et des n

roductivité d

ences d’évo

e valeur dan

les autres ty

ne constate

serve surtou

plus conclua

ent productiv

ions métropo

alpins se retr

ance compara

pins: les régi

ne part plus

tivement à l

. Les espace

sance moye

s économiqu

alpins est ne

ations et de

es et les ag

ux se dével

et les différe

ing 2009 p

s de product

anches écon

niveaux diffé

des branche

olution et de

ns les région

ypes d’espac

que de faib

ut des différe

nte: en effet

ves est faible

olitaines s’en

rouvent en q

rativement pl

ions métropo

élevée de b

’espace rura

ces urbains e

enne suisse e

ues présent

ettement mo

es autres co

gglomérations

opper que le

22

ences de

ouvaient

tivité des

omiques

rents.

es selon

e niveau.

s métro-

ce, mais,

les diffé-

ences de

, plus un

e et plus

n sortent

queue de

us faible

olitaines,

branches

al périur-

et périur-

est faible

tes dans

ins favo-

mmunes

s ont un

es types

7

Région

Emp

Pourcent

Annexe A: Evol

Annexe

Ces deux ch

types d’espa

ni de plus a

l’indicateur d

Le graphiqu

d’une branc

branche dan

nue. Le grap

des différent

ns métrop

plois par bran

tage EPT par b

Hôtellerie et restSecteur financieAgriculture, chasTransports/commSecteur publicTotal EPT

lution des emplo

A: Evolu

hapitres prés

ace et les gro

amples inform

de l’emploi.

e de gauche

he dans un

ns un type d

phique de dr

tes branches

politaines

nche

ranche 1995–20

Source: regiosuisse.

taurationersse et sylviculturmunication

ois par branche

ution des

sentés sous f

oupes de bra

mations sur

e (Emplois p

type d’espa

d’espace dét

roite (Croiss

s dans ce typ

008.

Données: OFS.

Cr(1

6

8

10

12

14

16

18

20

22

HorloRest

re ComAlimAppr

e

s emplois

forme d’anne

anches étud

la part relati

par branche)

ace détermin

terminé et si

ance de l’em

pe d’espace.

Croissance

roissance index995=100)

60

80

00

20

40

60

80

00

20

1995

ogeriete du secteur sec

mmerceentationrovisionnement é

s par bra

exes fourniss

iés dans le p

ve et le dév

) montre l’év

né. On peut

i son importa

mploi par bra

e de l’emploi

xée des emplois

1998

condaire

énergie/eau

anche

sent d’autres

présent rappo

veloppement

olution dans

y lire l’impor

ance relative

anche) montr

par branche

s (équivalent ple

2001

Biens d’inServices Autres seIndustrie Construc

s information

ort. L’annexe

des branch

s le temps d

rtance relativ

e augmente

re le dévelop

ein-temps) 1995

Source: regiosuisse. D

2005

nvestissementsaux entreprises

erviceschim./pharm.

ction

23

s sur les

e A four-

es selon

e la part

ve d’une

ou dimi-

ppement

5–2008.

Données: OFS.

2008

(*)

Agglom

Emp

Pourcent

Annexe A: Evol

mérations

plois par bran

tage EPT par b

Hôtellerie et restSecteur financieAgriculture, chasTransports/commSecteur publicTotal EPT

lution des emplo

s et autres

nche

ranche 1995–20

Source: regiosuisse

taurationersse et sylviculturmunication

ois par branche

s commun

008.

. Données: OFS

Cr(1

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

HorloRest

re ComAlimAppr

e

nes urbain

Croissance

roissance index995=100)

60

70

80

90

00

10

20

30

40

50

1995

ogeriete du secteur sec

mmerceentationrovisionnement é

nes

e de l’emploi

xée des emplois

1998

condaire

énergie/eau

par branche

s (équivalent ple

2001

Biens d’inServices Autres seIndustrie Construc

ein-temps) 1995

Source: regiosuisse.

2005

nvestissementsaux entreprises

erviceschim./pharm.

ction

24

5–2008.

Données: OFS

2008

(*)

Espac

Emp

Pourcent

Annexe A: Evol

e rural pé

plois par bran

tage EPT par b

Hôtellerie et restSecteur financieAgriculture, chasTransports/commSecteur publicTotal EPT

lution des emplo

ériurbain

nche

ranche 1995–20

Source: regiosuisse.

taurationersse et sylviculturmunication

ois par branche

008.

Données: OFS.

Cr(1

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

HorloRest

re ComAlimAppr

e

Croissance

roissance index995=100)

60

70

80

90

00

10

20

30

40

50

1995

ogeriete du secteur sec

mmerceentationrovisionnement é

e de l’emploi

xée des emplois

1998

condaire

énergie/eau

par branche

s (équivalent ple

2001

Biens d’inServices Autres seIndustrie Construc

ein-temps) 1995

Source: regiosuisse.

2005

nvestissementsaux entreprises

erviceschim./pharm.

ction

25

5–2008.

Données: OFS

2008

(*)

Centre

Emp

Pourcent

Annexe A: Evol

es touristi

plois par bran

tage EPT par b

Hôtellerie et restSecteur financieAgriculture, chasTransports/commSecteur publicTotal EPT

lution des emplo

ques alpin

nche

ranche 1995–20

Source: regiosuisse.

taurationersse et sylviculturmunication

ois par branche

ns

008.

Données: OFS.

Cr(1

6

7

8

9

10

11

12

13

14

HorloRest

re ComAlimAppr

e

Croissance

roissance index995=100)

60

70

80

90

00

10

20

30

40

1995

ogeriete du secteur sec

mmerceentationrovisionnement é

e de l’emploi

xée des emplois

1998

condaire

énergie/eau

par branche

s (équivalent ple

2001

Biens d’inServices Autres seIndustrie Construc

ein-temps) 1995

Source: regiosuisse. D

2005

nvestissementsaux entreprises

erviceschim./pharm.

ction

26

5–2008.

Données: OFS.

2008

(*)

Espac

Emp

Pourcent

Annexe A: Evol

e rural pé

plois par bran

tage EPT par b

Hôtellerie et restSecteur financieAgriculture, chasTransports/commSecteur publicTotal EPT

lution des emplo

ériphérique

nche

ranche 1995–20

Source: regiosuisse.

taurationersse et sylviculturmunication

ois par branche

e

008.

Données: OFS.

Cr(1

6

8

10

12

14

16

18

HorloRest

re ComAlimAppr

e

Croissance

roissance index995=100)

60

80

00

20

40

60

80

1995

ogeriete du secteur sec

mmerceentationrovisionnement é

e de l’emploi

xée des emplois

1998

condaire

énergie/eau

par branche

s (équivalent ple

2001

Biens d’inServices Autres seIndustrie Construc

ein-temps) 1995

Source: regiosuisse. D

2005

nvestissementsaux entreprises

erviceschim./pharm.

ction

27

5–2008.

Données: OFS.

2008

(*)

8

Annexe B: Evol

Annexe

L’annexe B

leur ajoutée

branches se

branches da

Figure 8-1:

Evolution de l

Présentation:

0

50'000

100'000

150'000

200'000

250'000

300'000

350'000

400'000

450'000

500'000

1995

en mio CHF

lution de la vale

B: Evolu

montre, sur

e brute. On r

elon les type

ans l’ensemb

Evoluti

a valeur ajout

regiosuisse. D

1997 19

eur ajoutée brute

ution de

la durée, la

relève ici au

es d’espace.

ble de la Suis

on de la vale

tée brute par b

Données: BAK

999 2001

e par branche

la valeur

part des diff

ussi des diffé

. Le premier

sse.

eur ajoutée br

branche en Su

K.

2003 20

r ajoutée

férentes bran

érences sen

r graphique

rute par bran

uisse 1995–20

005 2007

e brute pa

nches selon

sibles dans

compare la

che, ensemb

009. Valeurs ré

2009

Hôtelle

Horlog

Biens d

Secteu

Reste

Service

Agricu

Comm

Autres

Transp

Alimen

Industr

Secteu

Approv

Constr5%

1%8%

5%

7%2%

13%

1%

15%

6%

11%

17%

2%

2%

2%

ar branc

l’indicateur d

la combina

part des dif

ble de la Suiss

réelles.

erie et restauratio

erie

d’investissement

ur financier

du secteur secon

es aux entreprise

lture, chasse et s

merce

services

ports/communicat

ntation

rie chim./pharm.

ur public

visionnement éne

ruction

28

che

de la va-

ison des

fférentes

se

on

s

ndaire

es (*)

sylviculture

tion

ergie/eau

Annexe B: Evol

Figure 8-2:

Evolution de lréelles.

Présentation:

Figure 8-3:

Evolution de lbaines 1995–

Présentation

0

50'000

100'000

150'000

200'000

250'000

300'000

1995

en mio CHF

0

20'000

40'000

60'000

80'000

100'000

120'000

1995

en mio CHF

lution de la vale

Evoluti

a valeur ajout

regiosuisse. D

Evoluticommu

a valeur ajout–2009. Valeurs

regiosuisse. D

1997 19

1997 19

eur ajoutée brute

on de la vale

tée brute par b

Données: BAK

on de la valeunes urbaines

tée brute par bs réelles.

Données: BAK

999 2001

999 2001

e par branche

eur ajoutée br

branche dans

K.

eur ajoutée brs

branche dans

K.

2003 20

2003 20

rute par bran

les régions m

rute par bran

les aggloméra

005 2007

005 2007

2

che, espaces

métropolitaines

che, agglomé

ations et les a

2009

Hôtelle

Horlog

Biens d

Secteu

Reste

Service

Agricul

Comm

Autres

Transp

Alimen

Industr

Secteu

Approv

Constr4%

1%7%

7%

8%2%

13%

0%

16%

5%

15%

17%

2%

2%

1%

2009

Hôtelle

Horloge

Biens d

Secteu

Reste d

Service

Agricult

Comme

Autres

Transp

Aliment

Industr

Secteu

Approv

Constru6%

2%10%

3%

7%2%

13%

1%

14%

7%

8%

19%

3%

2%

2%

s métropolita

s 1995–2009. V

érations et au

autres commu

erie et restauratio

erie

d’investissement

ur financier

du secteur secon

es aux entreprise

lture, chasse et s

erce

services

ports/communica

ntation

rie chim./pharm.

ur public

visionnement éne

ruction

rie et restauratio

erie

d’investissement

r financier

du secteur secon

es aux entreprise

ture, chasse et s

erce

services

orts/communicat

tation

ie chim./pharm.

r public

visionnement éne

uction

29

ins

Valeurs

utres

nes ur-

on

ts

ndaire

es (*)

sylviculture

ation

ergie/eau

on

s

ndaire

es (*)

sylviculture

tion

ergie/eau

Annexe B: Evol

Figure 8-4:

Evolution de lréelles.

Présentation

Figure 8-5:

Evolution de lleurs réelles.

0

10'000

20'000

30'000

40'000

50'000

60'000

70'000

1995

en mio CHF

0

1'000

2'000

3'000

4'000

5'000

6'000

1995

en mio chf

lution de la vale

Evoluti

a valeur ajout

regiosuisse. D

Evoluti

a valeur ajoutPrésentation r

1997 19

1997 19

eur ajoutée brute

on de la vale

tée brute par b

Données: BAK

on de la vale

tée brute par bregiosuisse. D

999 2001

999 2001

e par branche

eur ajoutée br

branches dans

K.

eur ajoutée br

branche dans Données: BAK

2003 20

2003 20

rute par bran

s l’espace rura

rute par bran

les centres toK.

005 2007

5

005 2007

1

che, espace r

al périurbain 1

che, centres

ouristiques alp

2009

Hôtelle

Horloge

Biens d

Secteu

Reste d

Service

Agricult

Comme

Autres

Transp

Aliment

Industri

Secteu

Approv

Constru7%

7%

2%

4%

2%12%

5%

12%

10%

11%

14%

3%

3%

5%

2009

Hôtelle

Horloge

Biens d

Secteu

Reste d

Service

Agricult

Comme

Autres

Transp

Aliment

Industr

Secteu

Approv

Constru11%

3%

13%

2%

20%

5%1%

11%5%

11%

rural périurb

1995–2009. Va

touristiques

pins 1995–200

rie et restauratio

erie

d’investissements

r financier

du secteur secon

es aux entreprise

ture, chasse et s

erce

services

orts/communicat

tation

ie chim./pharm.

r public

visionnement éne

uction

rie et restauratio

erie

d’investissement

r financier

du secteur secon

es aux entreprise

ture, chasse et s

erce

services

orts/communica

tation

ie chim./pharm.

r public

visionnement éne

uction

30

ain

aleurs

alpins

09. Va-

on

s

ndaire

es (*)

sylviculture

tion

ergie/eau

on

ts

ndaire

es (*)

sylviculture

tion

ergie/eau

Annexe B: Evol

Figure 8-6:

Evolution de lréelles.

Présentation

0

2'000

4'000

6'000

8'000

10'000

12'000

14'000

1995

en mio chf

lution de la vale

Evoluti

a valeur ajout

regiosuisse. D

1997 199

eur ajoutée brute

on de la vale

tée brute par b

Données: BAK

99 2001

e par branche

eur ajoutée br

branche dans

K.

2003 20

rute par bran

l’espace rural

05 2007

3

che, espace r

l périphérique

2009

Hôtelle

Horloge

Biens d

Secteu

Reste d

Service

Agricult

Comme

Autres

Transp

Aliment

Industr

Secteu

Approv

Constru8%

8%

7%

2%

11%

11%

4%

8%

14%

5%

8%

%

rural périphé

1995–2009. V

rie et restauratio

erie

d’investissement

r financier

du secteur secon

es aux entreprise

ture, chasse et s

erce

services

orts/communicat

tation

ie chim./pharm.

r public

visionnement éne

uction

31

érique

Valeurs

on

s

ndaire

es (*)

sylviculture

tion

ergie/eau

Littérature

Littératu

Credit Suissl’économ

OFS (2002):Neuchâ

OCDE (2011

REGIOSUISSE

économ

ure

se Economic mie régionale

: Nomenclatuâtel.

1): Examens

E – CENTRE D

mique régiona

Research (2e en Suisse

ure générale

s territoriaux d

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OCDE.

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32

ement