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3PDSAF 2008 - 2012

LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONSLEXIQUE«UNE METHODE NOUVELLE POUR UNE ADMINISTRATION MODERNE»INTRODUCTION LE CADRE D’ELABORATIONI/ LE CONTEXTE

I1/ Le contexte externeI2/ Le contexte interne

II LE DIAGNOSTICII1/ FaiblessesII2/ ForcesII3/ Défis

III/ LA METHODOLOGIEIII1/ La démarcheIII2/ Elaboration du plan de développement stratégiqueIII3/ Elaboration d’un plan d’actions opérationnel

PARTIE I LE PLAN D’ACTIONOBJECTIF I AMELIORER LA QUALITE DES SERVICES RENDUS AUX USAGERS

Orientation 1 Amélioration de l’information fournie aux usagersOrientation 2 Amélioration de l’accueil et de l’orientation des usagersOrientation 3 Amélioration de la qualité des prestations rendues à l’usager

OBJECTIF II MODERNISER L’ADMINISTRATION FISCALEOrientation 1 Renforcement de l’informatisation de la DgidOrientation 2 Modernisation des structures et des équipementsOrientation 3 Gestion efficiente des ressources humainesOrientation 4 Adaptation de la législation et des procédures

OBJECTIF III CONTRIBUER A PORTER LE TAUX DE PRESSION FISCALE A 21,7 % EN 2012Orientation 1 Elargissement de l’assietteOrientation 2 Promotion du consentement à l’impôtOrientation 3 Renforcement du contrôle et du recouvrement

PARTIE II LE CADRE LOGIQUEPARTIE III LE CADRE DE MESURE DE RENDEMENTPARTIE IV LE BUDGET PREVISIONNEL

a/ Les principales ciblesb/ L’évaluation du budget1/ Les ressources humaines additionnelles2/ Les investissements

PARTIE V LA MISE EN ŒUVRENIVEAU I Application du plan d’actions

Le Bureau de la Planification, de la Stratégie et du Suivi (BUPS) Le Comité pour le Dialogue de Gestion (CODIG)

NIVEAU II Contrôle/audit NIVEAU III Evaluation NIVEAU IV Les recommandations

La mise en œuvreLa conduite du changementL’articulation avec les contrats de performance

ANNEXES

45699

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25

35

445673

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91

TABLE DES MATIERES

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APIX Agence nationale pour la promotion de l’investissement et des grands travaux

ASCOSEN Association des consommateurs sénégalais

DAP Direction de l’administration et du personnel

BS Bureau de la stratégie

BCOM Bureau de la communication

BIMS Bureau de l’informatique et de la modernisation des services

DLEC Direction de la législation et du contentieux

BSRCC Bureau du suivi des recettes et de la centralisation des comptabilités

CEPOD Centre d’études de politiques pour le développement

CGI Code général des impôts

CMR Cadre de mesure de rendement

CNES Confédération nationale des employeurs du Sénégal

CNP Conseil national du patronat

CREDAF Centre de rencontres et d’échanges des dirigeants des administrations fiscales francophones

CSF Centre des services fiscaux

DCAD Direction du cadastre

DCI Direction du contrôle Interne

DEDT Direction de l’enregistrement, des domaines et du timbre

DGCPT Direction générale de la comptabilité publique et du trésor

DGD Direction générale des douanes

DGID Direction générale des impôts et des domaines

DI Direction des impôts

DVEF Direction de la vérification et des enquêtes fiscales

GAR Gestion axée sur les résultats

ISPE Instrument de soutien à la politique économique

MEF Ministère de l’économie et des finances

PAMOCA Projet d’appui à la modernisation du cadastre

PDSAF Plan de développement stratégique de l’administration fiscale

SIGFIP Système intégré de gestion des finances publiques

SIGTAS Système intégré de gestion de l’impôt

TPF Taux de pression fiscale

SIGLES ET ABREVIATIONS

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Action Levier d’intervention suffisant et adéquat pour atteindre les résultats visés.

Axe Enoncé spécifique de résultats à atteindre au cours d’une période définie en termes spécifiques et mesurables.

Cadre logiqueLe cadre d’analyse logique résume l’architecture du plan stratégique. Il fournit une vision desrésultats escomptés et des indicateurs de rendement retenus, compte tenu de la finalité etdes objectifs poursuivis.

Hypothèse Facteur actuel ou futur justifiant ou conditionnant une mesure corrective et fondant la pertinence de l’action proposée

Indicateur Mesure quantitative ou qualitative de la réalisation des actions.

Objectif stratégiqueIntention générale vers laquelle doit tendre les services et qui oriente les actions.

Orientation stratégiqueEnoncé indiquant une direction, un secteur d’activités et un ensemble de moyens et de stratégies qui seront déployés pour atteindre un résultat.

Plan d’action Document qui expose les axes et les résultats à atteindre au cours d’une période, les indicateurs requis pour leur mesure ainsi que les actions retenues en vue de contribuer àatteindre des résultats.

Planification stratégique Processus par lequel les hauts responsables d’une organisation déterminent les objectifsgénéraux à atteindre pour une période de cinq ans ou plus, ainsi que les politiques et les stratégies qui faciliteront l’acquisition, l’utilisation et l’affectation des ressources nécessairesà la réalisation desdits objectifs.

Plan stratégique Processus consistant à choisir, compte tenu des prévisions, les objectifs à réaliser au coursd’une période donnée, à établir un plan d’actions et à exercer un contrôle permanent sur lesrésultats en vue de faire des évaluations périodiques et au besoin, de modifier les objectifs etle plan d’actions.

Résultats Changements descriptibles et mesurables, occasionnés par une relation de cause à effet :activités-résultats. Un résultat escompté est donc un changement d’état espéré dans le futur.

Risque Résultat négatif non désiré ou facteur mettant en danger l’atteinte des résultats fixés

LEXIQUE

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La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire, se dote d’un

Plan de développement stratégique. Ce document, fruit de nos résolutions et réflexions est surtout la

marque d’une nouvelle méthode orientée vers le résultat. La satisfaction de l’usager, une de nos

raisons d’être, est placée dans cette nouvelle démarche au centre de nos préoccupations tout comme

le renforcement des ressources de l’Etat pour une meilleure couverture des charges publiques. Ces

deux objectifs majeurs, finalité de l’action administrative, ne seront atteints que si l’administration

fiscale elle-même se modernise

NOS RESOLUTIONS

Une culture de l'ouverture et de l’efficacité fondée sur des principes partagés.

La DGID doit être dans tous ses métiers, une administration exemplaire. Elle vise à placer l’usager au

centre de ses préoccupations et améliorer son efficacité dans la mobilisation d’une contribution fiscale

juste pour le bien de tous les citoyens.

Ce double objectif a conduit à définir les principes qui doivent guider l’attitude de chacun de ses

membres.

NOS PRINCIPES D’ACTION

NOS ENGAGEMENTS

La DGID fonde son projet sur trois engagements :

- vis-à-vis des usagers, la qualité de l'accueil et des services offerts sera améliorée;

- vis-à-vis de l’autorité de tutelle, l’efficacité sera placée au centre des choix;

- vis-à-vis de ses agents, une gestion motivante des carrières et des rémunérations sera mise en oeuvre.

NOTRE ETHIQUE

Le respect de nos engagements est garanti par l'esprit d'équipe et l'adhésion de l'ensemble des agents

à une éthique fondée sur la transparence, le professionnalisme et la déontologie. La conquête de

nouveaux objectifs et la satisfaction de l’usager exigent la comparaison et la confrontation avec les

meilleures administrations afin de retenir les bonnes pratiques dans chacun de nos métiers.

Par ailleurs, l’administration encourage l’esprit d'initiative, la capacité de décision et de réalisation au

travers d'une large déconcentration des responsabilités fondées sur des règles de délégation claires.

Pour que celles-ci soient pleinement opérantes, la DGID met l'accent sur la promotion de l’esprit de

groupe, véritable levier de l’efficacité individuelle et collective et la reconnaissance des efforts

accomplis. Nos valeurs d’intégrité et de neutralité vont guider nos comportements au quotidien. Notre

référence sera ainsi affichée pour asseoir davantage l’image d’une administration respectée et reconnue.

Une méthode nouvelle pour une administration moderne

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NOS LEVIERS D’ADAPTATION

- L’innovation

Pour rompre avec une certaine culture administrative, la DGID doit être une administration de

référence en matière d'innovation, ce qui implique de sa part des efforts permanents d'innovation et

de progrès, la synergie des compétences et des talents.

- La réactivité

Pour saisir les opportunités et maîtriser sans délai les risques inhérents à ses activités, la DGID se doit

d'être réactive. Ce qui suppose une capacité :

- d'adaptation rapide de son organisation aux attentes des usagers et aux évolutions de

l’environnement juridique, économique et technologique ;

- de promotion de la responsabilité individuelle à tous les niveaux.

NOTRE METHODE : la gestion axée sur les résultats

Les résultats acquis par la DGID fondent sa stratégie de développement.

Concentrer les efforts sur des résultats attendus en contrepartie des moyens mis à notre disposition,

constitue le défi commun.

La gestion axée sur les résultats nous offrira alors un cadre cohérent de planification et de gestion

stratégique en améliorant les capacités et la responsabilité.

NOTRE REFERENCE : le plan de développement stratégique de l’administration fiscale (PDSAF)

Ce plan fixe le cap et recense les objectifs stratégiques sur la période 2008-2012. Cependant les

objectifs qu’il définit seront régulièrement mesurés.

Il sera suivi et précisé par des contrats pluriannuels de performance.

LA CONDUITE DU CHANGEMENT

La réussite de la démarche nécessite une appropriation du PDSAF par tous les agents. A cette fin, la

DGID s’appuiera en particulier sur une unité chargée du suivi et du soutien dans l’exécution dudit plan

et devra veiller à :

- la visibilité de ses objectifs stratégiques ;

- à la diffusion du Plan de développement stratégique ;

- l’implication totale de l’administration centrale et des responsables des services pour expliquer

et accompagner les agents dans la réforme ;

- à mettre en place un vaste programme de formation continue ;

- enfin, la mise en œuvre d’une politique dynamique de communication en interne comme en

externe.

Nous entrons dans une période de mutations importantes. L’administration se doit d’être suffisamment

outillée pour réaliser les différentes missions qui lui sont fixées.

Amadou BADirecteur général des impôts et des domaines

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I- LE CONTEXTE

I.1/ Le contexte externe

En dépit des performances encourageantes enregistrées, les programmes d’ajustementstructurel, pour des raisons liées aux coûts sociaux élevés, ont cédé la place à la Déclarationdu Millénaire. Par cette résolution des Nations Unies, la communauté internationale s’engageait à atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) d’ici 2015.

Durant cette même période, les dirigeants des pays africains faisaient la promesse de s’attaquer d’urgence à la pauvreté et de placer leur pays sur la voie de la croissance et dudéveloppement durable, à travers le NEPAD.

Au niveau communautaire, l’UEMOA s’est engagée, depuis sa création, dans la constructiond’un espace économique viable et propice au développement économique et social des paysqui la constituent. C’est dans cette perspective de favoriser les échanges intra - communautaires que les obstacles tarifaires ont été levés à travers la mise sur piedd’une Union douanière.

Cette Union douanière, instituant une zone de libre échange assortie d’un tarif extérieur commun, a entraîné des pertes de recettes importantes pour les Etats-parties au traitéde l’UEMOA. Ces pertes iront en augmentant avec l’approfondissement du processus de libéralisation économique marqué par la conclusion prochaine d’accords commerciaux avecl’Union Européenne et certains pays du Maghreb.

L’insertion progressive des économies de la zone dans la mondialisation se traduit, donc, parun fléchissement des recettes tarifaires alors que les Etats-parties sont engagés dans desstratégies de lutte contre la pauvreté qui occasionnent des dépenses publiques supplémentaires importantes. Dans ce contexte, il s’avère nécessaire de concevoir une politique coordonnée qui permettra sinon d’augmenter le niveau d’offres de biens publics aumoins de le maintenir stable. Ainsi, un programme commun de transition fiscale est adoptépar l’Union1 .

Les objectifs de la transition fiscale sont essentiellement d’ordre budgétaire et économique.D’une part, il s’avère impérieux d’assurer une mobilisation efficiente des recettes internespour financer, sur fonds propres, les politiques de lutte contre la pauvreté. D’autre part, lemarché communautaire doit être consolidé avec des entreprises privées compétitives capables de porter la croissance économique de la zone dans une dynamique soutenue etpérenne. Ainsi, les impératifs budgétaires devront être conciliés avec les exigences économiques. Par conséquent, l’Union sera amenée à mettre en place une véritable fiscalitédu développement avec un dispositif législatif harmonisé, cohérent et incitatif.

Ainsi, la Direction générale des impôts et domaines (DGID) sera fortement sollicitée. Elle serala pièce maîtresse de ce dispositif.

LE CADRE D’ELABORATION

1 Décision n°10/2006 portant adoption du programme de transition fiscale au sein de l’UEMOA.

INTRODUCTION

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I.2/ Le contexte interne

C’est dans cette parfaite convergence de vision pour l’amélioration des actions en faveur dessecteurs sociaux essentiels et de croissance, que le Sénégal s’est engagé à trouver dessynergies entre ses instruments de planification et les nouvelles préoccupations du développement. Le Document stratégique de réduction de la pauvreté a été adopté puisrévisé dans ce contexte particulier. Intégré à cet instrument de lutte contre la pauvreté, laStratégie de croissance accélérée (SCA) a l’ambition de générer la richesse nécessaire pourcréer suffisamment d’emploi sur le marché du travail et d’améliorer significativement lesconditions de vie des populations.

A travers le Programme national de bonne gouvernance (PNBG), le Sénégal s’est doté d’unprojet ambitieux de saine gestion financière. De même, les autorités, dans le cadre de l’ISPE(Instrument de soutien à la politique économique), sont engagées dans un programme triennal de réduction du déficit et d’amélioration de la croissance. L’importance des moyensrequis pour financer ces ambitieux programmes combinée à la baisse de l’aide internationaledans un contexte de transition fiscale confèrent à la DGID une place décisive dans la politique financière du Sénégal.

En outre, le système fiscal sénégalais est concurrencé par ceux des autres pays de l’UEMOA.Dans tous les Etats membres, les administrations fiscales se modernisent pour rendre un service de qualité aux usagers et attirer les investissements directs étrangers ; d’où l’impérieuse nécessité de jeter les jalons d’une modernisation plus rapide et plus accrue dela DGID.

La DGID est une administration au cœur de l’Etat. Elle assure des missions primordiales :l’assiette et le contrôle de l’ensemble des impôts, le recouvrement de recettes fiscales, la gestion du cadastre, de la publicité foncière et des domaines.

Compte tenu de son rôle central notamment dans la transition fiscale, la DGID doit se fixerles caps stratégiques pertinents pour assurer son développement dans des conditions optimales. Elle doit être au service de l’Etat et des usagers. Dès lors, l’élaboration d’un plande développement stratégique de l’administration fiscale s’impose.

Avec sa mission économique qui en fait le maître d’œuvre de la politique fiscale, la DGID sedoit-elle de contribuer à la création d’un environnement des affaires favorable à l’investissement, pour offrir de plus grandes opportunités aux différents acteurs de la vie socioéconomique. Cela exige des mises à jour institutionnelles, juridiques et économiques permanentes ; d’où la nécessité de la mise en place d’un plan de développement stratégiquepour faire de l’administration fiscale "une composante essentielle de toute stratégie de croissance favorable aux pauvres et de développement à long terme" 2.

II - LE DIAGNOSTIC

Depuis 2000, la DGID a connu des évolutions constantes qui lui ont permis de réaliser desprogrès dans de nombreux domaines et d’assumer ses missions de service public. Le contexte communautaire et international comme l’environnement économique et socialrequièrent un système fiscal adapté. Pour faire face aux contraintes de compétitivité de sonsystème, dans la période récente, le Sénégal a réalisé d’importantes réformes fiscales avecnotamment :

2 L’observateur de l’OCDE : Ce qu’implique la réalisation des objectifs du Millénaire pour le Développement,Octobre 2000.

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- la loi n° 2001-07 du 18-09-2001 : cette loi transpose dans le droit interne les dispositions des directives de l’UEMOA sur la TVA et les droits d’accises. Il s’agit d’une importante réforme de la fiscalité indirecte avec l’adoption d’un taux unique de 18% et la restriction significative du champ des exonérations.

- la loi n° 2004-12 du 06-02-2004 : une série de mesures issues du Conseil présidentiel de l’Investissement ont fait l’objet de cette réforme. Pour l’essentiel, ces mesures visent une amélioration du cadre de l’investissement ; le taux de l’impôt sur les sociétés passe de 35 à 33%, de nouvelles déductions sont admises en matière d’IS (primes d’assurances, amortissement des biens pris en crédit bail, abondements versés pour le personnel…), la fiscalité locale est réaménagée, des dispositions attractives sont introduites pour les organismes de placement collectif en valeurs mobilières, un impôt synthétique dénommé «contribution globale unique» est adopté…

D’autres réformes sont consacrées, en matière de droits d’accises sur certains produits, unenouvelle baisse du taux de l’impôt sur les sociétés pour satisfaire une exigence d’attractivitéet de compétitivité du secteur privé, ainsi que la suppression de la taxe d’égalisation...Cependant, la législation foncière et domaniale n’a pas subi le même mouvement de réactualisation que la législation fiscale.

Tous les acteurs (y compris à la DGID) s’accordent à reconnaître que la loi de 1964 sur ledomaine national, en ne permettant que la délivrance d’un titre d’occupation conférant undroit d’usage précaire, bloque nombre de projets d’investissement en ne permettant pas deles adosser à une garantie stable. Il en est de même du décret foncier de 1932. Un importanteffort de modernisation de la législation foncière et domaniale doit être entrepris. Il s’agira derépondre aux demandes des populations des zones rurales, aux exigences économiques etsociales, tout en conservant un équilibre entre les intérêts des différents acteurs y comprisl’Etat.

D’autres réformes institutionnelles initiées à partir de 2000 qui faisaient suite à celles entreprises dans les années 1990, s’articulent toutes autour de la recherche de l’efficacité et des performances de recouvrements dans la perspective de l’atteinte d’objectifscontraignants de recettes, de la modernisation des structures et des méthodes de travail, etenfin de l’amélioration de la qualité des services offerts aux usagers. Ainsi en est-il de la création du Centre des grandes entreprises avec l’objectif de sécuriser les recettes fiscales,de rendre des prestations adaptées à ce type d’entreprises et également de la spécialisationdans les autres centres des services fiscaux : création des bureaux de la fiscalité des professionnels et des particuliers et du Centre des professions libérales.

La mise en place en des Directions du Contrôle interne a permis à la DGID de disposer d’unestructure de contrôle, de conseil et de coordination.

Afin de renforcer les capacités et moderniser la DGID, deux projets structurants sont en coursde mise en œuvre : SIGTAS en matière d’informatisation et le PAMOCA pour moderniser leCadastre.

Toutefois, les progrès réalisés n’ont répondu que partiellement aux exigences du public pourdes prestations de qualité et aux attentes des agents qui avaient exprimé en 2006, lors d’unmouvement social, des exigences d’évolution. La volonté de réformer l’administration fiscaleà défaut d’y associer les principaux intéressés a montré ses limites.

Aussi adapter ses modes de gestion et de fonctionnement pour assurer un service public performant devenait pour la DGID un impératif absolu.

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L’analyse de l’existant a permis de dégager les points forts et les points faibles de l’administration fiscale.

II.1/ Faiblesses

Le diagnostic des modes d’organisation et de fonctionnement de la DGID révèle de nombreuses insuffisances. Ces lacunes portent tant sur le cadre institutionnel que sur les pratiques procédurales. Les faiblesses dans le pilotage des missions caractérisent le modede gestion de l’administration fiscale. Le manque de vision et de coordination constitue également un handicap majeur dans l’élaboration et l’application des programmes de modernisation jusque-là adoptés. C’est dire que l’insuffisance des résultats obtenus malgrétous les efforts qui ont été déployés est imputable à l’absence de pilotage stratégique.

La qualité du service rendu aux usagers est perfectible. L’accueil imparfait, la multiplicité desinterlocuteurs, le cloisonnement des services, la longueur et la complexité des procéduresnuisent à l’image de l’administration. Les usagers expriment vis-à-vis de l’administration uneexigence accrue d’efficacité et attendent une information adaptée à leurs préoccupations, desréponses rapides et une application uniforme de la loi.

La complexité de la réglementation et des procédures constitue un autre point faible du système fiscal sénégalais. L’effort de réforme doit être poursuivi, en insistant notamment surla simplification.

La diffusion interne et externe des textes à caractère fiscal n’est pas convenablement assurée. La DGID ne peut faire l’économie d’un effort de communication en direction dupublic et de ses agents si elle tient à une appropriation et une application conforme des mesures législatives et règlementaires.

L’organisation actuelle de la DGID (Cf. annexe 1) distingue les services rattachés et les services extérieurs de la Direction Générale. Les services extérieurs consistant en des directions elles même organisées en services centraux et services extérieurs.

Les services rattachés comprenaient un certain nombre de bureaux (législation et contentieux, administration et personnel, études et statistiques, informatique, formation, communication et relations avec le public). Ce sont des services chargés de tâches deconception ou d’appui.

Les services extérieurs de la DGID comprenaient les Directions :- du Contrôle interne- des Impôts- de l’Enregistrement des Domaines et du Timbre- du Cadastre- des Vérifications et Enquêtes fiscales.

Ce sont là des Directions techniques.A ce niveau, l’organisation a révélé des dysfonctionnements qui ont principalement pour nom:

- marginalisation des tâches de conception et d’appui, ce qui justifie que les services qui en sont investis aient été confinés au rang de simples « Bureau »;

- confusion entre les tâches de conception et d’exécution;- cloisonnement entre les différentes directions techniques donnant l’image d’une DGID

où se juxtaposent des missions sans liens fonctionnels véritables;- prolongement de cette insuffisance au niveau des centres des services fiscaux avec

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une ambiguïté quant à leur rattachement hiérarchique réduisant la compétence du chef de centre à la matière fiscale;

- cloisonnement entre les différents bureaux d’un même centre;- lignes hiérarchiques diffuses.

Ces dysfonctionnements méritent d’être corrigés, pour une DGID moderne et adaptée à sadouble mission de service à l’usager et de mobilisation des recettes par une répartition équitable de l’impôt. La création en 2008 de la Direction de l’administration et du personnel,de la Direction de la législation et contentieux et du Bureau de la stratégie constitue un débutde réponse.

II.2/ Forces

Des procédures inadaptées, le retard pris dans la modernisation du cadre et des outils de travail, le déficit de communication et de dialogue sont autant de facteurs qui ont limité l’efficacité de l’action de l’administration fiscale.

En dépit de cet environnement défavorable, la DGID a obtenu des résultats appréciables,grâce en particulier, à la qualité de ses ressources humaines. Celles-ci constituent le principal atout dont elle dispose. Son personnel manifeste une forte volonté de changement.Une bonne politique de gestion des ressources humaines constitue le levier essentiel surlequel il convient de s’appuyer pour réussir les mutations nécessaires.

L’administration fiscale dispose de grands atouts pour réussir sa mission. Le tissu fiscal estcaractérisé par l’existence d’importantes niches dont la fiscalisation effective contribuera àaccroître sensiblement les recettes.

Par ailleurs, les avancées technologiques constituent pour l’administration fiscale, une véritable opportunité. L’évolution des technologies rend nécessaire l’adaptation permanentedes méthodes de travail. Dans une administration où le traitement de l’information et la manipulation des documents en masse prennent une place essentielle, cette évolution constitue une opportunité à saisir : la dématérialisation des supports papier et le développement des réseaux informatiques offrent des perspectives de progrès importants àla DGID.

II.3/ Défis

Le tissu fiscal sénégalais s’est modifié en profondeur tant sur le plan géographique que surle plan économique avec des conséquences importantes sur le fonctionnement de ses services. La DGID doit s’adapter en révisant ses méthodes de travail et la répartition de sesmoyens.

Il faut mentionner la fraude et l’évasion fiscales. Ces phénomènes universels méritent une attention particulière dans les pays en développement compte tenu des habitudes culturelles,sociologiques et des importants flux d’investissement qui s’y observent de plus en plus.

III- LA METHODOLOGIE

III.1/ La démarche

Deux types de démarche ont été employés par le comité de rédaction3 durant les différentesétapes d’élaboration du document de plan :

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- la méthode participative ;- l’étude des meilleures pratiques.

La participation des acteurs et des partenaires a consisté à l’implication de ceux-ci depuisl’identification des problèmes, de leurs causes, des contraintes majeures ainsi que des perspectives de solution à apporter.

Leurs points de vue étaient indispensables à l’établissement d’un diagnostic exhaustif dumode d’organisation et de fonctionnement de la DGID, mais aussi pour dégager des propositions adéquates afin d’améliorer le service public des impôts et des domaines.

Au niveau interne, le comité a mis à contribution la quasi-totalité du personnel. Ainsi desfiches de fonction ont été transmises à tous les chefs de services, et des fiches de poste àchaque agent de la DGID. Le comité de rédaction a exploité l’ensemble des fiches.

En outre, des questionnaires ont été soumis à un échantillon homogène et représentatif de lapopulation de la DGID (200 individus de tous les services et tous les corps, soit 25% de lapopulation totale). Des entretiens avec un échantillon plus réduit, mais tout aussi représentatif, de personnes ressources de la DGID (100 individus) ont permis de confortercertaines tendances observées des premières enquêtes (Cf. annexes 5 à 13).

L’implication de tous les agents dans l’élaboration du Plan contribuera certainement à susciter une large adhésion indispensable à sa bonne exécution. Le comité a rencontré lesdifférentes structures de la DGID, notamment, l’Amicale des inspecteurs, celle des contrôleurs et des femmes et le syndicat autonome des impôts et des domaines.Au niveau externe, tous les partenaires de la DGID concernés de près ou de loin par les questions fiscales, domaniales et cadastrales ont été mis à contribution pour tenir compte deleurs préoccupations. A cet effet, le comité a rencontré les autorités ministérielles, notammentle Ministre d’Etat, Ministre de l’Economie et des Finances ainsi que le Secrétaire général duministère de l’Economie et des Finances, qui ont tour à tour décliné leurs attentes. Des rencontres ont été tenues avec la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor(DGCPT), la Direction générale des Douanes (DGD), la Direction de l’Appui au Secteur privé(DASP) et l’APIX.

De même, des échanges approfondis ont eu lieu avec le Comité de Pilotage (COPIL) duContrat de performances MEF/DGID dirigé par l’Inspection générale des Finances et quiregroupe la plupart des services du Ministère de l’Economie et des Finances. Grâce à l’appuide la GTZ (coopération allemande), le COPIL a organisé un séminaire portant sur la gestionaxée sur les résultats (GAR) avec comme cas illustratif la DGID.

Par ailleurs, les membres du comité ont rencontré les représentants de l’Association desConsommateurs du Sénégal (ASCOSEN), le Forum civil, le Collectif des Journalistes économiques du Sénégal (COJES), le patronat (CNP, MEDS, CNES, UNACOIS JAPPO), lachambre des notaires.

En outre, le comité s’est inspiré des meilleures pratiques en matière d’administration et degestion fiscales, en Afrique et dans le monde. Il a effectué des voyages d’études auprès de

3 Le Comité de Rédaction du PDSAF était composé de MM. Pape Oumar Diallo, Ousmane Diouf, Ibrahima Ndiaye,Abdoulaye Niane, Macodou Sall, Ousmane Sonko, Inspecteurs des Impôts et des Domaines et de M. Ali Ghemri,Assistant technique. Le Comité de rédaction était appuyé par un Groupe de recherche composé de MM. El Hadji Dialigué Bâ, GorguiCissé, Cheikh Diba, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Abdoulaye Ndiaye, Mathiam Thioub, Inspecteurs des Impôtset des Domaines.

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certaines administrations sœurs pour s’imprégner de leur expérience en matière d’élaboration et d’exécution des plans stratégiques.

Il a été procédé à une revue documentaire portant sur les orientations fondamentales de lapolitique économique nationale et communautaire, notamment en matière fiscale. Il s’estappuyé sur les études menées au sein de la DGID, en particulier celle portant sur la modernisation et sur le rapport provisoire du cabinet CESIA relatif à la réforme des structuresde la DGID. Elle a permis de cerner le mode général d’organisation et de fonctionnement del’administration fiscale et d’évaluer les systèmes d’information et de gestion des relationsavec les usagers.

Les résultats et enseignements tirés du diagnostic soutendent l’élaboration du plan stratégique et des plans d’actions opérationnels.

III.2/ Elaboration du plan de développement stratégique

A partir d’un diagnostic de la situation, un Plan de développement stratégique a été élaboréselon une démarche participative, en s’appuyant sur les spécificités et les compétences del’ensemble des agents de la DGID. Le PDSAF n’en est pas moins ambitieux, alliant desactions de niveau central et local, des actions immédiates et concrètes et des actions sur lesmoyens et longs termes.

Le Plan détermine les objectifs généraux à atteindre pour une période de cinq (5) ans ainsique les stratégies et les actions à mener pour les atteindre. Cet horizon pluriannuel est indispensable pour inscrire nos projets dans la durée et ainsi réaliser les réformes envisagées.

Trois objectifs stratégiques ont été retenus, à savoir l’amélioration de la qualité du servicerendu aux usagers, la modernisation de l’administration fiscale et l’augmentation des recettes fiscales internes dans le budget de l’Etat afin de porter le taux de pression fiscale à21,7%.

Le Plan présente les moyens requis pour la réalisation des objectifs et fixe les échéancesainsi que les indicateurs de mesure des résultats.

III.3/ Elaboration d’un plan d’actions opérationnel

La mise en œuvre du Plan de développement stratégique implique l’exécution d’un plan d’actions opérationnel. Il comprend un cadre d’analyse logique, des tableaux retraçant lesobjectifs, orientations, axes et actions à mener ainsi qu’un cadre de mesure du rendement.

Le cadre logique, présenté sous forme de tableau, résume l’architecture du PDSAF en dégageant les résultats à court, moyen et long termes, les indicateurs, les risques et hypothèses de réalisation des activités. Le tableau synthétique présente un portrait généraldes objectifs, des orientations, des axes et actions, avec un échéancier et les services responsables. Le cadre de mesure du rendement permet de suivre l’état d’avancement desdifférentes activités du PDSAF et de recueillir l’ensemble des données nécessaires à l’évaluation des divers résultats selon les indicateurs retenus.

Afin de faciliter l’appropriation, des séances de restitution du contenu du document ont ététenues à tous les niveaux pour expliquer le plan, recueillir les appréciations afin d’en assurerla vulgarisation d’en faciliter l’appropriation.

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Les engagements stratégiques de la DGID visent :- à améliorer la qualité des services rendus à nos usagers; - à moderniser la DGID ; - à améliorer les recettes fiscales par l’élargissement de l’assiette pour une meilleure

équité fiscale.

Objectif I Améliorer la qualité des services rendus aux usagers

Un meilleur service à l’usager constitue l’un des caps stratégiques de la DGID qui cherche àmettre l’usager au centre des préoccupations de l’administration fiscale afin de favoriser lecivisme et l’équité devant l’impôt.

L’administration doit entreprendre une vulgarisation de la loi fiscale en initiant une autredémarche, une autre approche en direction des usagers. Une claire compréhension des obligations fiscales facilite leur respect. Les services devront aussi accorder une plus grandeattention à l’accueil, à l’orientation et à la qualité du service rendu à l’usager.

Orientation 1 : Amélioration de l’information fournie aux usagersIl s’agit de faire en sorte que le paiement de l’impôt soit perçu comme l’accomplissement d’undevoir civique auquel le contribuable adhère volontiers. Une administration efficace doit veiller à ce que les usagers reçoivent une information claire sur leurs obligations, les impôtset taxes qui leurs sont applicables et les dates des déclarations et de paiements. Les usagersdoivent également être informés, à temps, des changements intervenus dans la réglementation. La DGID devra utiliser tous les vecteurs de communication existants : TV,presse, radio, numéro vert, centre d’appel, SMS pour le rappel des échéances, tableaux d’affichage numérique… Pour une meilleure visibilité des documents produits par notre administration un logo de la DGID sera adopté et une charte graphique mise en œuvre.

Cette orientation comporte trois axes stratégiques : - l’amélioration de l’information au grand public ;- l’amélioration du dialogue avec les partenaires et les opérateurs ;- la promotion du civisme fiscal.

Dix (10) actions sont à entreprendre.

Elles vont de l’utilisation de tous les moyens de communication (la télévision, la radio, la presseécrite, site web, panneaux numériques, SMS), à la production de publications destinées à l’information (édition de brochures, rapports annuels destinés aux usagers…), en passant par lamise en place d’un numéro vert. En outre, des rencontres seront organisées avec les opérateurs économiques, ainsi que des manifestations (séminaires, forums, expositions…) etpropositions de rencontre aux responsables des entreprises nouvellement créées. L’introductiondans les programmes scolaires d’un cours d’initiation au civisme fiscal sera proposée au ministère de l’Education.

Orientation 2 : Amélioration de l’accueil et de l’orientation des usagersDans la recherche de l’amélioration des relations entre l’administration et les usagers et d’unmode de fonctionnement encore plus efficace, des services chargés de l’accueil physique et

LE PLAN D’ACTIONSPARTIE I

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téléphonique seront la vitrine de la DGID. L’usager doit être orienté, éclairé et conseillé maisaussi traité avec respect et considération par l’administration.

Pour une meilleure réception des usagers, quatre axes stratégiques ont été identifiés : - la mise en place d’un service d’accueil,- la responsabilisation de ces services d’accueil dans chaque site4;- l’amélioration de l’accueil physique et téléphonique ;- l’identification des services et des agents pour une bonne orientation des usagers ;

Ces axes se déclinent en douze (12) actions. Il sera créé un service d’accueil dans chaque site, avec un personnel bien formé et disposant du matériel adéquat pour assurer un bon accueil. Ce personnel sera chargé de laréception du courrier et des déclarations, de leur ventilation et de la distribution des formulairesqui devront être toujours disponibles. Les agents auront l’obligation de répondre à tous lesappels avant la quatrième (4ème) sonnerie, de lever l’anonymat5 et de garantir la confidentialitédes échanges6. De même, la possibilité sera donnée aux usagers de prendre rendez-vous. Ildevra être mis une signalétique dans tous les sites. Cela permettra un meilleur repérage desservices, réduira les errements des usagers dans les couloirs et la déconcentration des agents.Les usagers seront munis de badges pour faciliter les déplacements.

Orientation 3 : Amélioration de la qualité des prestations rendues à l’usagerL’administration fiscale doit s’efforcer de connaître et de comprendre les attentes et lesbesoins exprimés par les usagers. Cette compréhension permettra d’améliorer, au niveau detous les services de la DGID, la qualité et la rapidité du service rendu à l’usager.

Les axes stratégiques retenus sont au nombre de cinq (5) :- la diligence dans le traitement des demandes ;- la diligence dans la réponse aux courriers ;- la simplification des procédures ;- l’amélioration de l’écoute des usagers ;- le rapprochement des services aux usagers.

Dans le cadre de ces axes, neuf (9) actions sont prévues. Les délais de traitement des requêtes seront sensiblement réduits7 et les procédures simplifiées. La disponibilité des formulaires sera assurée et le temps d’attente au niveau desguichets sera réduit. Pour faciliter l’accomplissement de leurs démarches, les usagers doivent avoir un choix multiple d’accès à la DGID. La DGID entend mettre en place progressivement une voie d’accès par internet. Dans le cadre du présent plan, la procédurede télé déclaration sera mise en oeuvre. Par ailleurs, une adresse e-mail sera créée par service. Les agents devront répondre à tous les courriers papier dans les 30 jours, au courrier électronique dans les 48 heures à défaut, faire une réponse d’attente8. Certaines procédures seront d’ores et déjà simplifiées sans attendre l’élaboration du guide des procédures. Il est aussi prévu la création d’une structure de conciliation fiscale interne quienregistrera les récriminations des usagers, essayera de trouver des solutions amiables etproduira un rapport annuel. Des centres de services fiscaux départementaux seront créés afinde nous rapprocher des usagers.

4 Ce service consistera en un hall de réception conviviale, avec des agents formés aux techniques d’accueil et aptes à répondre aux requêtes simples.

5 L’agent qui décroche le téléphone devra décliner son identité, présenter son service et son poste et répondre avec courtoisie

6 Interdiction de recevoir en même temps deux usagers, de parler des dossiers dans les couloirs ou à l’extérieur du service

7 Voir plan d’action pour les délais proposés suivant les requêtes8 Réponse accusant réception de la correspondance, avec l’engagement d’y répondre dans un délai déterminé

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23PDSAF 2008 - 2012

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24PDSAF 2008 - 2012

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25PDSAF 2008 - 2012

Objectif II Moderniser l’administration fiscale

La modernisation de l’administration fiscale facilite l’atteinte des deux autres objectifs du plan:la fourniture de services de qualité aux usagers et l’amélioration des recettes internes dansle budget.

L’objectif de modernisation s’articule autour de quatre (4) orientations majeures.

Orientation 1 : Renforcement de l’informatisation de la DGIDLe PDSAF, dans l’optique d’une DGID performante, se propose d’intégrer tous les programmes informatiques internes déjà réalisés ou en cours de réalisation. Cette orientations’articule autour de deux (2) axes et de onze (11) actions. Il s’agit notamment du déploiementde l’application SIGTAS dans tous les CSF, de la numérisation du cadastre, de la dématérialisation du livre foncier, de la mise en place d’une base de données relationnelle.

La finalisation de ces projets et l’implantation de nouveaux logiciels de gestion (des matières, des ressources humaines…) sont deux axes essentiels pour la réussite de l’informatisation complète de la chaîne de traitement des données foncières, cadastrales, fiscales et domaniales.

La mise en place d’un système informatisé de gestion du renseignement et l’introduction dela messagerie électronique dans les relations avec les usagers constituent aussi un enjeu fondamental pour une utilisation optimale de l’outil informatique dans les procédures fiscales.

Orientation 2 : Modernisation des structures et des équipementsLa réforme des structures de la DGID a entraîné un redécoupage et une nouvelle configuration des services extérieurs9 de la Direction des Impôts avec, notamment, l’avènement des bureaux de recouvrement. Cette réforme doit être poursuivie par l’adoptiond’un nouvel organigramme avec en particulier de nouvelles structures (directions interrégionales, centres départementaux…) afin de renforcer l’architecture organisationnelleactuelle à l’horizon 2012

Le comité de rédaction du PDSAF après un diagnostic des structures actuelles de la DGID,a réfléchi aux contours que pouvaient prendre une future réorganisation :

- Au plan horizontal, une meilleure démarcation entre les services de conception et les services opérationnels, doublée d’une distinction entre les logiques de métier et d’appui,

- Au plan vertical, la mise en place directions nationales à compétence transversale d’une part, et de directions inter régionales, régionale et des grandes entreprises à compétence géographique d’autre part; ce qui permettrait une meilleure harmonie entre et au sein des services, de la base au sommet.

LES AVANTAGES ATTENDUS

- Identification des responsabilités : la compétence des différents chefs de services est totale et complète en ce qu’elle s’exerce effectivement en toute matière (impôt, domaines, cadastre) sur toute l’étendue sous son autorité. Conséquemment, ces chefs de services deviennent l’unique interlocuteur de la hiérarchie, elle-même harmonisée

9 Voir Arrêté n° 0955/MEF/DGID du 19/02/2007

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26PDSAF 2008 - 2012

pour mieux se consacrer aux tâches de conception et de coordination. Enfin, vis-à-vis de lahiérarchie extérieure, la Direction générale est l’interlocuteur unique.

- Déconcentration effective des missions : les Directeurs devront disposer de pouvoirs de gestion assez larges aussi bien pour le métier que pour l’administration du budget et des moyens ; cela s’accompagnant naturellement d’une bonne organisation de la mission de contrôle interne des services.

- Amélioration du service à l’usager par une plus grande proximité : la déconcentration de certaines procédures et le déploiement des services jusqu’au niveau départemental devraient permettre de mieux répondre aux attentes de l’usager.

- Réaffirmation de l’autorité des chefs de services.

Face à l’ampleur des missions, la poursuite des réformes doit avoir comme corollaire le renforcement des moyens matériels et humains. Cette orientation déclinée en deux (2)axes comporte seize (16) actions.

Orientation 3 : Gestion efficiente des ressources humainesL’administration fiscale sénégalaise a besoin d’une gestion de qualité de ses ressources humaines. Le développement de l’expertise et des compétences, une organisation réelle des carrières et le respect des règles de déontologie sont les trois (3) axesretenus. Ces axes, déclinés en huit (8) actions visent à tirer le plus grand profit des ressources de la DGID.

Le renforcement des capacités est un volet capital de la modernisation. La formation continue, les échanges d’expériences et de connaissances pour s’approprier les meilleurespratiques fiscales à l’échelle internationale devraient permettre à nos agents de s’acquitter deleurs tâches avec plus d’efficacité. A ce titre, des programmes de formations adéquats sontproposés. A terme, l’objectif est d’atteindre et même dépasser en 2012 les normes du CREDAF soit six (6) jours de formation par an et par agent.

Enfin, le renforcement de l’éthique professionnelle par la création d’un environnement propiceau respect des règles de déontologie passe nécessairement par la réforme du système demotivation et de rémunération actuel de la DGID et, par un système de contrôle effectif desagents. C’est ainsi que la bonne gouvernance fiscale deviendra une réalité.

Orientation 4 : Adaptation de la législation et des procéduresCette orientation qui a trois (3) axes fondamentaux vise à unifier et moderniser la règlementation fiscale. De fait, le Code général des Impôts n’intègre pas toutes les mesureslégislatives d’ordre fiscal actuellement contenues dans d’autres textes (code des investissements, le régime des entreprises franches d’exploitation, code minier, etc.). A l’horizon 2012, toutes ces dispositions à incidence fiscale devraient se retrouver dans undocument unique afin de faciliter l’accès à l’information fiscale aux contribuables et auxagents.

L’adaptation de la législation fiscale aux exigences actuelles ne doit pas seulement se limiterà faire du Code général des impôts le recueil unique des mesures fiscales incitatives à l’investissement. Il s’agit aussi de poursuivre l’effort de simplification de certains impôts (impôtsur le revenu, patente…) et de modernisation de la législation foncière et domaniale.

Pour atteindre les objectifs visés, 8 actions ont été recensées.

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27PDSAF 2008 - 2012

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28PDSAF 2008 - 2012

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DA

P

2009

H :

Le

pers

onne

l du

DA

Pdo

it êt

re

form

é en

am

ont

en G

RH

R :

Déf

aut

de

colla

bora

tion

des

entr

epris

es c

omm

ele

s ba

nque

s et

les

assu

ranc

es

2009

2009

2009

BIM

S

DV

EF

Exi

sten

ce d

’une

bas

e de

don

nées

II.1.

2.5

Mis

e en

pla

ce d

’un

syst

ème

info

rmat

isé

de

gest

ion

du r

ense

igne

men

t

Ela

rgis

sem

ent

de

l’ass

iette

not

amm

ent

de la

fis

calit

é im

mob

ilièr

e

AX

ES

AC

TIO

NS

EC

HE

AN

CE

SH

YP

OT

HE

SE

S/

RIS

QU

ES

RE

SU

LTA

TS

AT

TE

ND

US

IND

ICA

TE

UR

S D

ER

ES

ULT

AT

S

-SE

RV

ICE

RE

SP

ON

SA

BL

E

-SE

RV

ICE

S D

ES

OU

TIE

N

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29PDSAF 2008 - 2012

OB

JEC

TIF

II

M

OD

ER

NIS

ER

L’A

DM

INIS

TR

AT

ION

FIS

CA

LE

OR

IEN

TAT

ION

S

II.1

INF

OR

MA

TIS

AT

ION

D

E L

AD

GID

II.2.

1R

enfo

rcem

ent

des

mo

yen

s m

atér

iels

II.2.

1.1

Equ

ipem

ent

adéq

uat

des

CS

F e

n vé

hicu

le t

out

terr

ain

II.2.

1.2

Equ

ipem

ent

adéq

uat

des

bure

aux

II.2.

1.3

Dot

atio

n de

tou

s le

sbu

reau

x de

rec

ouvr

emen

t en

mac

hine

s à

timbr

er

II.2.

1.4

Ins

talla

tion

de

grou

pes

élec

trog

ènes

dan

sto

us le

s si

tes

de la

DG

ID

II.2.

1.5

Acq

uisi

tion

d’un

e un

ité p

rofe

ssio

nnel

le

d’im

pres

sion

Fac

ilita

tion

de

la m

obili

té d

es a

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s

Effi

caci

té a

ccru

e da

ns le

tra

vail

Réd

uire

les

dysf

onct

ionn

emen

ts

liés

aux

moy

ens

logi

stiq

ues

Réd

uire

les

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onct

ionn

emen

tslié

s au

x co

upur

esd’

élec

tric

ité

Réd

uire

les

dysf

onct

ionn

emen

tslié

s au

man

que

dem

oyen

s lo

gist

ique

s

Au

moi

ns u

n vé

hicu

le

tout

ter

rain

pa

r C

SF

- 1

ordi

nate

ur p

ar p

oste

de t

rava

il ;

- 2

impr

iman

tes

par

serv

ice

; -

1 ph

otoc

opie

use

par

serv

ice

;

- 1

fax

par

secr

étar

iat

;

1 m

achi

ne à

tim

brer

pa

r bu

reau

de

reco

uvre

men

t

1 gr

oupe

éle

ctro

gène

dans

cha

que

site

de

la D

GID

1 un

ité p

rofe

ssio

nnel

led’

impr

essi

on e

st

inst

allé

e20

09

DA

P

DA

P

DA

P

DA

P

DA

P

2010

H :

For

mat

ion

d’ag

ents

pou

r l’u

tilis

atio

n de

l’un

itéd’

impr

essi

on

2009

2009

2009

2009

DA

P

DLE

C

Une

bas

e do

cum

enta

ire

acce

ssib

le à

dis

tanc

e di

spon

ible

II.2.

1.6

Mis

e en

pla

ce

d’un

e bi

blio

thèq

ue/s

ervi

ce

de d

ocum

enta

tion

info

rmat

isée

Am

élio

ratio

n du

pr

oces

sus

de

diffu

sion

de

l’inf

orm

atio

n do

cum

enta

ire.

AX

ES

AC

TIO

NS

EC

HE

AN

CE

SH

YP

OT

HE

SE

S/

RIS

QU

ES

RE

SU

LTA

TS

AT

TE

ND

US

IND

ICA

TE

UR

S D

ER

ES

ULT

AT

S

-SE

RV

ICE

RE

SP

ON

SA

BL

E

-SE

RV

ICE

S D

ES

OU

TIE

N

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30PDSAF 2008 - 2012

OB

JEC

TIF

II

M

OD

ER

NIS

ER

L’A

DM

INIS

TR

AT

ION

FIS

CA

LE

OR

IEN

TAT

ION

S

II.2

ST

RU

CT

UR

ES

ET

EQ

UIP

EM

EN

TS

II.2.

1R

enfo

rcem

ent

des

mo

yen

s m

atér

iels

II.2.

1R

enfo

rcem

ent

des

mo

yen

s m

atér

iels

II.2.

1.7

Cré

atio

n d’

un

dépô

t de

pr

éarc

hiva

ge

II.2.

1.8

Dis

pose

r d’

infr

astr

uctu

res

et

d’éq

uipe

men

ts s

ocia

ux

II.2.

1.9

Dis

pose

r d’

un p

lan

arch

itect

ural

typ

e de

ce

ntre

de

serv

ices

fis

caux

Séc

uris

atio

n et

sa

uveg

arde

des

ar

chiv

es d

e la

DG

ID

Am

élio

ratio

n se

nsib

le d

es

cond

ition

s de

tr

avai

l, du

bie

n êt

re

des

agen

ts e

t de

leur

sfa

mill

es

Vis

ibili

té e

t ad

équa

tion

par

rapp

ort

aux

mis

sion

s

Con

stru

ctio

n et

éq

uipe

men

t d’

un

bâtim

ent

d’ar

chiv

es

1 re

stau

rant

est

con

stru

itda

ns c

haqu

e si

te d

e la

DG

ID d

e pl

us d

e 50

agen

ts

Un

cent

re

méd

ico-

soci

al e

t le

ce

ntre

aér

é de

la D

GID

sont

fon

ctio

nnel

s

Dis

poni

bilit

é du

pla

n ar

chite

ctur

al t

ype

2008

DA

P

DLE

C

DA

P

DA

P

2010

R :

Ada

ptat

ion

aux

chan

gem

ents

.

2010

2010

2010

DG

IDA

dopt

ion

des

conc

lusi

ons

du r

appo

rtC

ES

IA

II.2.

2.1

Réf

orm

e de

s st

ruct

ures

: o

rgan

isat

ion

des

serv

ices

bas

ée s

ur la

sépa

ratio

n en

tre

les

fonc

tions

de

conc

eptio

n et

le

s fo

nctio

ns

opér

atio

nnel

les

(rap

port

CE

SIA

)

Pal

lier

les

inco

hére

nces

de l’

orga

nisa

tion

actu

elle

de

la D

GID

AX

ES

AC

TIO

NS

EC

HE

AN

CE

SH

YP

OT

HE

SE

S/

RIS

QU

ES

RE

SU

LTA

TS

AT

TE

ND

US

IND

ICA

TE

UR

S D

ER

ES

ULT

AT

S

-SE

RV

ICE

RE

SP

ON

SA

BL

E

-SE

RV

ICE

S D

ES

OU

TIE

N

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31PDSAF 2008 - 2012

OB

JEC

TIF

II

M

OD

ER

NIS

ER

L’A

DM

INIS

TR

AT

ION

FIS

CA

LE

OR

IEN

TAT

ION

S

II.2

ST

RU

CT

UR

ES

ET

EQ

UIP

EM

EN

TS

II.2.

2P

ou

rsu

ite

de

la r

éfo

rme

des

st

ruct

ure

s

II.2.

2.2

Cré

atio

n de

cen

tres

dépa

rtem

enta

ux d

es

serv

ices

fis

caux

II.2.

2.3

Fus

ion

du B

urea

ude

la F

isca

lité

prof

essi

onne

lleet

du

Bur

eau

de la

fis

calit

éde

s pa

rtic

ulie

rs d

ans

les

CS

F

II.2.

2.4

Cré

atio

n d’

Uni

tés

de g

estio

n de

la f

isca

lité

à co

mpé

tenc

e gé

ogra

phiq

ue

II.2.

2.5

Inst

itutio

n de

Com

mis

sion

s na

tiona

le e

tlo

cale

s de

con

trôl

e de

s op

érat

ions

dom

ania

les

Déc

once

ntra

tion

del’a

dmin

istr

atio

n fis

cale

Ren

dre

les

serv

ices

d’as

siet

te p

lus

effic

ient

s

Inte

rlocu

teur

uni

que

des

usag

ers

Ges

tion

déce

ntra

lisée

des

af

faire

s do

man

iale

s

20 c

entr

es

dépa

rtem

enta

ux

créé

s

Les

acte

s rè

glem

enta

ires

sont

pris

Les

acte

s re

latif

s à

lacr

éatio

n de

s U

FG

so

nt p

ris

Les

acte

s re

latif

s à

laré

form

e de

la C

CO

D

sont

pris

2009

DLE

C

DA

P

DLE

C

DLE

C

DLE

C

2012

2009

2009

2009

DLE

CLe

s te

xtes

rel

atifs

à la

fusi

on

des

form

alité

sso

nt p

ris

II.2.

2.6

Fus

ionn

er le

s fo

rmal

ités

de

l’enr

egis

trem

ent

et d

e la

pub

licité

fon

cièr

e po

ur

les

acte

s so

umis

à

insc

riptio

n au

Liv

re f

onci

erda

ns u

n se

ul b

urea

u

Rat

iona

lisat

ion

des

proc

édur

es

Inte

rlocu

teur

uni

que

pour

l’us

ager

AX

ES

AC

TIO

NS

EC

HE

AN

CE

SH

YP

OT

HE

SE

S/

RIS

QU

ES

RE

SU

LTA

TS

AT

TE

ND

US

IND

ICA

TE

UR

S D

ER

ES

ULT

AT

S

-SE

RV

ICE

RE

SP

ON

SA

BL

E

-SE

RV

ICE

S D

ES

OU

TIE

N

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32PDSAF 2008 - 2012

OB

JEC

TIF

II

M

OD

ER

NIS

ER

L’A

DM

INIS

TR

AT

ION

FIS

CA

LE

OR

IEN

TAT

ION

S

II.3

GE

ST

ION

E

FF

ICIE

NT

E D

ES

R

ES

SO

UR

CE

S

HU

MA

INE

S

II.3.

1D

ével

op

pem

ent

de

l’exp

erti

se e

t d

es

com

pét

ence

s

II.3.

2G

esti

on

des

mu

nér

atio

ns

et

des

car

rièr

es

II.3.

3R

esp

ect

des

règ

les

de

déo

nto

log

ie

II.3.

1.1

Rec

rute

men

t et

m

ise

à di

spos

ition

de

ress

ourc

es h

umai

nes

suffi

sant

es

II.3.

1.2

For

mat

ion

du

pers

onne

l opé

ratio

nnel

da

ns t

ous

les

dom

aine

s

II.3.

1.5

Util

isat

ion

accr

ue

du c

entr

e de

for

mat

ion

cont

inue

de

la D

GID

;

Adé

quat

ion

entr

e la

fo

rmat

ion

et la

pr

atiq

ue f

isca

le ;

II.3.

1.3

For

mat

ion

du

pers

onne

l du

DA

Pen

GR

H

II.3.

1.4

Org

anis

atio

n de

vo

yage

s d’

étud

es

et d

e st

ages

de

perf

ectio

nnem

ent

II.3.

2.1

Met

tre

en p

lace

une

com

mis

sion

de

réfo

rme

du s

ystè

me

de m

otiv

atio

net

de

rém

unér

atio

n ac

tuel

le d

es a

gent

s de

la D

GID

Rés

orpt

ion

du d

éfic

it de

res

sour

ces

hum

aine

s

Ren

forc

emen

t de

sca

paci

tés

des

agen

tsde

la D

GID

Atte

indr

e le

s no

rmes

du

CR

ED

AF

en

mat

ière

de

form

atio

n co

ntin

ue

Am

élio

ratio

n du

sy

stèm

e d’

inté

ress

emen

t

Nom

bre

d’ag

ents

re

crut

és p

ar a

n

Nom

bre

d’ag

ents

fo

rmés

sui

vant

le p

lan

defo

rmat

ion

6 jo

urs

de f

orm

atio

n pa

r an

et

par

agen

t

Nom

bre

d’ag

ents

néfic

iaire

s de

st

ages

Nom

bre

de jo

urs

d’ut

ilisa

tion

du c

entr

e

Le r

appo

rt d

e la

co

mm

issi

on e

st

rend

u20

09

DA

P

DA

P

DA

P

DA

P

DA

P

DA

P

2012

2008

2009

2009

2009

2008

2009

DA

P

DA

P

Un

plan

de

carr

ière

s po

ur c

haqu

e co

rps

est

élab

oré

Un

syst

ème

d’év

alua

tion

est

fonc

tionn

el

Nom

bre

de c

ontr

ôles

déon

tolo

giqu

es

effe

ctué

s pa

r la

DC

I ;

Nom

bre

de s

anct

ions

pr

onon

cées

H :

La

réfo

rme

du

syst

ème

de

mot

ivat

ion

et d

e ré

mun

érat

ion

est

une

phas

e im

port

ante

dan

sla

con

duite

du

chan

gem

ent

H U

ne p

rocé

dure

d’év

alua

tion

obje

ctiv

e e

st u

npr

éala

ble

H :

Il y

a u

ne r

elat

ion

étro

ite e

ntre

les

sanc

tions

pos

itive

s ou

néga

tives

et

le r

espe

ctde

s rè

gles

de

déon

tolo

gie

II.3.

3.1

Déf

inir

un p

lan

de

carr

ière

et

met

tre

en p

lace

un

sys

tèm

e d’

éval

uatio

n de

s ag

ents

II.3.

3.2

Ren

forc

emen

t de

l’éth

ique

pro

fess

ionn

elle

Equ

ité d

ans

la

resp

onsa

bilis

atio

n de

s ag

ents

-Un

envi

ronn

emen

t pr

opic

e au

res

pect

de

s rè

gles

éth

ique

s-E

ffect

ivité

des

ho

raire

s de

tra

vail

AX

ES

AC

TIO

NS

EC

HE

AN

CE

SH

YP

OT

HE

SE

S/

RIS

QU

ES

RE

SU

LTA

TS

AT

TE

ND

US

IND

ICA

TE

UR

S D

ER

ES

ULT

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S

-SE

RV

ICE

RE

SP

ON

SA

BL

E

-SE

RV

ICE

S D

ES

OU

TIE

N

Page 33: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

33PDSAF 2008 - 2012

OB

JEC

TIF

II

M

OD

ER

NIS

ER

L’A

DM

INIS

TR

AT

ION

FIS

CA

LE

OR

IEN

TAT

ION

S

II.4

AD

AP

TAT

ION

DE

LA

LE

GIS

LA

TIO

N E

T D

ES

PR

OC

ED

UR

ES

II.4.

1

Un

ific

atio

n d

e la

gle

men

tati

on

fis

cale

II.4.

2

Mo

der

nis

atio

n

lég

isla

tive

II.4.

1.1

Con

sign

atio

n de

to

utes

les

mes

ures

gisl

ativ

es d

’ord

re f

isca

l,ac

tuel

lem

ent

cont

enue

s da

nspl

usie

urs

docu

men

ts,

en u

nse

ul C

ode

géné

ral d

es im

pôts

II.4.

2.2

Ent

repr

endr

e l’e

ffort

de

mod

erni

satio

nde

la lé

gisl

atio

n fo

nciè

reet

dom

ania

le:

Par

achè

vem

ent

des

réfo

rmes

du

décr

et f

onci

er

de 1

932

et d

u ba

rèm

e du

pr

ix d

es t

erra

ins

Réf

orm

er la

loi s

ur le

do

mai

ne n

atio

nal,

le c

ode

dudo

mai

ne d

e l’E

tat

ains

i que

les

lois

por

tant

ces

sion

de

terr

ains

dom

ania

ux

Sim

plifi

catio

n de

s pr

océd

ures

fon

cièr

es

et d

oman

iale

s

Mei

lleur

e ga

rant

ieac

cord

ée à

la

prop

riété

priv

ée

II.4.

1.2

Con

sign

atio

n de

to

ute

la d

octr

ine

adm

inis

trat

ive

dans

un

rec

ueil

uniq

ue

II.4.

2.1

Fia

bilis

er le

s te

xtes

rela

tifs

aux

proc

édur

es

fisca

les

Fac

ilita

tion

de

l’acc

ès e

t de

l’us

age

de l’

info

rmat

ion

fisca

le a

ux

cont

ribua

bles

et

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34PDSAF 2008 - 2012

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35PDSAF 2008 - 2012

L’un des trois objectifs majeurs du PDSAF est d’accroître de façon significative le niveau desrecettes fiscales au Sénégal. Pour ce faire la Direction générale des impôts et des domainesentend, sans augmenter la charge fiscale des contribuables connus, appliquer les impôts ettaxes à un éventail plus large de biens, de services ou de revenus. Cet impératif renforcel’égalité devant l’impôt par l’élargissement de l’assiette fiscale.

Cet objectif s’exprime de façon quantitative à travers le taux de pression fiscale (TPF) qu’il estprévu de porter à 21.7% en 2012 ce qui devrait générer quatre vingt milliards(80.000.000.000) de francs de recettes fiscales supplémentaires. Le TPF fait partie des critères de convergence déclinés dans le Pacte de convergence, de stabilité, de croissanceet de solidarité de l’UEMOA, qui le définit comme le ratio des recettes fiscales sur le PIB nominal, tout en fixant un standard de 17% que les Etats membres doivent atteindre. En2007, le TPF corrigé (cf. infra) du Sénégal a été de 20.1% et la mise en oeuvre du PDSAFdevrait permettre de le porter à 21.7% dans un délai de 5 ans.

Pour mesurer l’augmentation des recettes induite par le PDSAF, le TPF demeure cependantun indicateur imparfait, pour au moins deux raisons :

- composent le numérateur du quotient toutes les recettes fiscales de l’Etat, y compris celles sur lesquelles la DGID n’a pas une influence déterminée (exemple : les recettes douanières) ;

- le taux est susceptible d’augmenter indépendamment d’une évolution positive des recettes fiscales ; il suffirait que le PIB qui constitue le dénominateur baisse dans une certaine proportion. De la même manière, nonobstant une augmentation substantielle des recettes, le taux pourrait demeurer stationnaire voire reculer si, dans le même temps, le PIB a également crût assez fortement.

Le PDSAF conservera tout de même un objectif de TPF, pour satisfaire aux exigences del’UEMOA, lequel objectif est calculé sur la base des deux hypothèses ci-après.

Première hypothèse

Le PIB nominal retenu dans le dénominateur est celui qui est conforme aux projections del’UEMOA concernant le Sénégal, fondées sur une hypothèse de croissance de 5%.

Deuxième hypothèse

Les projections de recettes figurant au numérateur du quotient proviennent des travaux de laDirection de la prévision et des études économiques (DPEE), à l’exclusion des chiffres del’année 2008 qui correspondent aux prévisions de la loi de finances de cette année. Ce sontdes projections qui concernent les trois administrations financières que sont la DGID, laDirection générale de la Comptabilité publique et du Trésor (DGCPT) et la Direction généraledes Douanes (DGD). Autrement dit, toutes les recettes fiscales de l’Etat, impôts directs etimpôts indirects, quel que soit le service qui les a en charge, ont été prises en compte.

Les statistiques de la DPEE s’arrêtant cependant à 2010, pour dégager les projections sur2011 et 2012, le taux moyen de progression des recettes au cours des trois années antérieures a été utilisé.

Objectif III Contribuer à porter le taux de pression fiscale à 21.7 % en 2012

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36PDSAF 2008 - 2012

Retraitements

1° Les statistiques de la DPEE ont subi une correction puisque le TPF actuel du Sénégal, telqu’il est calculé par la DGCPT, n’intègre pas les recettes d’impôts locaux. Par contre, dans lecadre du PDSAF, les projections de TPF ont été faites compte tenu des impôts locaux, afind’aboutir aux projections les plus proches possibles de la réalité. Pour les impôts locaux, il aété retenu une marge de progression du recouvrement desdits impôts de deux milliards deFCFA de 2008 à 2010, cinq milliards de 2010 à 2011 et sept milliards entre 2011 et 2012.Cette évaluation s’appuie sur des critères alliant la perception par la DGID de l’étendue del’assiette sous-fiscalisée à la connaissance de la capacité, actuelle et à venir, des servicesd’assiette et de recouvrement.

2° Les recettes projetées intègrent également les effets attendus du PDSAF. Cette intégrationn’est cependant significative qu’à partir de 2009, dans la mesure où pour la première année(2008), le Plan commencera à produire assez faiblement des résultats en termes budgétaires, étant donné la longueur des délais propres aux procédures fiscales.

Pour quantifier les recettes supplémentaires qui seront générées par la mise en œuvre duPDSAF, les actions suivantes ont été prises en compte :

- il est attendu du PAMOCA cinq milliards de FCFA de recouvrements supplémentaires sur les années 2008 et 2009, provenant de la région de Dakar. De 2010 à 2012, il a été établi que si le Projet est doté des ressources adéquates les enquêtes cadastrales, étendues aux régions autres que Dakar, toucheront 40.000 parcelles par an, correspondant à une plus-value fiscale annuelle de un milliard de FCFA.

- si les mesures relatives au contrôle et au recouvrement proposées dans le PDSAF sont effectives, la DGID s’engage à doubler tous les ans le niveau des recettes issues des prises en charge, à partir de 2009 (Cf. annexes 2, 3 et 4).

Au total, c’est plus de quatre vingt milliards (80.000.000.000) de francs qui sontescomptés en termes de plus-values de recettes, du fait du PDSAF et par rapport auxprévisions de la DPEE.

Enfin, parmi les recettes intérieures supplémentaires nécessaires pour atteindre l’objectif de TPF fixé par le PDSAF, figurent les impôts directs. Or, dans l’organisation administrative actuelle du Sénégal, le recouvrement de ces impôts relève principalement d’unservice différent de la DGID, à savoir la DGCPT.

Il est cependant indispensable de tenir compte des impôts directs dans les plus-values projetées, dans la mesure où :

- un nombre important d’actions qu’entreprendra la DGID dans le cadre du PDSAF aura une incidence positive sur le produit de ces impôts, principalement l’impôt sur le revenu et les impôts locaux

- dans le système actuel, la DGID recouvre par ses propres services les impôts directs issus des prises en charge, même si ces recettes sont comptablement rattachées à la DGCPT. Et il est prévu que la mise en œuvre du PDSAF entraîne une progression substantielle desdites recettes.

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37PDSAF 2008 - 2012

Pour atteindre cet objectif, trois (3) orientations stratégiques sont retenues : l’élargissementde l’assiette, le renforcement du contrôle et du recouvrement et la promotion du consentement à l’impôt.

Orientation 1 : Elargissement de l’assietteDans ce cadre, trois axes stratégiques ont été retenus portant sur les enquêtes cadastrales,la gestion du renseignement et des mesures législatives. Cette orientation contient troisactions dont la numérisation du cadastre et la gestion du renseignement.

Orientation 2 : Renforcement du contrôle et du recouvrement Cinq (5) axes ont été ciblés avec d’une part des mesures institutionnelles et d’autre part celles liées à la formation ou à l’organisation du travail. Quatorze (14) actions ont été définiesdont la création de brigades spécialisées, la mise en place d’un système d’informations fiscales et la rationalisation des procédures et des textes.

Orientation 3 : Promotion du consentement à l’impôtCette orientation comporte un axe unique d’ordre législatif qui se décline en cinq actions : lasimplification des modalités d’assiette de l’impôt sur les revenus fonciers, la suppression progressive du précompte pour les fournisseurs domiciliés au CGE, la plus grande liquiditédes certificats de détaxe, la diminution des taux d’imposition en matière immobilière et enfinla suspension automatique, sous condition, du recouvrement en cas de demande d’arbitrage.

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PO

RT

ER

LE

TA

UX

DE

PR

ES

SIO

N F

ISC

AL

E D

U S

EN

EG

AL

DE

20.

2% E

N 2

007

A21

.7 %

EN

201

2

OR

IEN

TAT

ION

S

III.2

RE

NF

OR

CE

ME

NT

DU

CO

NT

RO

LE

ET

DU

RE

CO

UV

RE

ME

NT

III.2

.1

Mes

ure

s in

stit

uti

on

nel

les

III.2

.2

Fo

rmat

ion

s

III.2

.1.6

E

labo

rer

une

étud

esu

r le

tra

nsfe

rt d

u re

couv

rem

ent

des

impô

tsdi

rect

s de

la D

GC

PT

à la

DG

ID

III.2

.1.7

Red

ynam

iser

leC

omité

de

prog

ram

mat

ion

duco

ntrô

le f

isca

l en

conf

iant

sa

pré

side

nce

à un

con

seill

er t

echn

ique

du

DG

ID e

t en

ren

forç

ant

safo

nctio

n de

sui

vi

III.2

.2.1

Ren

forc

er

l’exp

ertis

e de

s in

spec

teur

s et

des

co

ntrô

leur

s en

mat

ière

de

con

trôl

e fis

cal.

Am

élio

ratio

n de

la

prog

ram

mat

ion

et

du s

uivi

des

do

ssie

rs v

érifi

és

Les

mes

ures

in

divi

duel

les

et

régl

emen

taire

s pe

rtin

ente

s so

nt

pris

es

Iden

tific

atio

n de

s ga

ins,

des

risqu

es e

t de

s m

eille

ures

m

odal

ités

poss

ible

s de

ce

tran

sfer

t

Aug

men

tatio

n de

sca

paci

tés

tech

niqu

esde

s in

spec

teur

s et

de

s co

ntrô

leur

s da

ns le

dom

aine

du

cont

rôle

fis

cal

géné

ral e

t du

con

trôl

efis

cal d

’act

ivité

s pa

rtic

uliè

res.

Sen

sibi

lisat

ion

à la

péna

lisat

ion

de la

frau

de f

isca

le.

L’ét

ude

est

tran

smis

eau

ME

F

Org

anis

atio

n to

us le

s an

s de

sém

inai

res

de

form

atio

n et

de

voya

ges

d’ét

udes

Insc

riptio

n to

us

les

ans

d’un

cer

tain

no

mbr

e d’

agen

ts d

ans

des

inst

itutio

ns

spéc

ialis

ées

pour

y

rece

voir

une

form

atio

nsp

écifi

que

Org

anis

atio

n de

st

ages

en

entr

epris

e ou

en

cabi

net

pour

de

s ag

ents

CT

DG

ID

CT

DG

ID

H L

’abs

ence

de

rend

emen

t de

ce

rtai

nes

vérif

icat

ions

est

due

soit

à un

e m

auva

ise

prog

ram

mat

ion

soit

à un

sui

vi la

cuna

ire

DV

EF

DA

P

DLC DI

2008

2008

2009

H L

e tr

ansf

ert

dure

couv

rem

ent

des

impô

ts d

irect

s à

laD

GID

ne

sera

ef

ficie

nt q

ue s

’il e

stef

fect

ué d

ans

des

cond

ition

s te

chni

ques

pr

éala

blem

ent

étud

iées

H L

’effi

caci

té e

t le

re

ndem

ent

du c

ontr

ôle

fisca

l son

t ac

tuel

lem

ent

brid

és

par

des

limite

s te

chni

ques

affe

ctan

t le

per

sonn

el

AX

ES

AC

TIO

NS

EC

HE

AN

CE

SH

YP

OT

HE

SE

S/

RIS

QU

ES

RE

SU

LTA

TS

AT

TE

ND

US

IND

ICA

TE

UR

S D

ER

ES

ULT

AT

S

-SE

RV

ICE

RE

SP

ON

SA

BL

E

-SE

RV

ICE

S D

ES

OU

TIE

N

Page 41: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

41PDSAF 2008 - 2012

OB

JEC

TIF

III

CO

NT

RIB

UE

R A

PO

RT

ER

LE

TA

UX

DE

PR

ES

SIO

N F

ISC

AL

E D

U S

EN

EG

AL

DE

20.

2% E

N 2

007

A21

.7 %

EN

201

2

OR

IEN

TAT

ION

S

III.2

RE

NF

OR

CE

ME

NT

D

U C

ON

TR

OL

EE

T D

U

RE

CO

UV

RE

ME

NT

III.2

.3

Mes

ure

s in

stit

uti

on

nel

les

III.2

.4

Org

anis

atio

n

du

tra

vail

III.2

.3.1

Cré

er u

ne

inte

rfac

e en

tre

SIG

TAS

et

SIG

FIP

perm

etta

nt

de v

érifi

er,

pour

cha

que

man

date

men

t et

ava

nt

paie

men

t, si

lefo

urni

sseu

r n’

est

pas

débi

teur

d’im

pôts

exi

gibl

es

III.2

.4.1

Ext

erna

liser

l’a

chem

inem

ent

du

cour

rier

dest

iné

aux

cont

ribua

bles

III.2

.4.2

Spé

cial

iser

des

agen

ts d

e la

DLE

C d

ans

le t

raite

men

t du

co

nten

tieux

adm

inis

trat

if

III.2

.4.3

Nom

mer

et

form

erde

s ag

ents

de

pour

suite

sda

ns le

s bu

reau

x de

re

couv

rem

ent

Gai

ns d

’effi

caci

dans

l’ex

écut

ion

de c

ette

tâc

he

impo

rtan

te

Acc

rois

sem

ent

dury

thm

e de

tra

item

ent

des

reco

urs

en

arbi

trag

e

Les

mes

ures

re

lativ

esà

l’org

anis

atio

n de

laD

LEC

ain

si q

ue

les

mes

ures

d’a

ffect

atio

npe

rtin

ente

s so

nt p

rises

Le c

ontr

at a

vec

le

pres

tata

ire

séle

ctio

nné

est

sign

é

Mei

lleur

re

couv

rem

ent

des

créa

nces

de

l’Eta

t

Ren

forc

emen

t de

s re

ssou

rces

hu

mai

nes

des

bure

aux

de r

ecou

vrem

ent

L’in

terf

ace

est

créé

e et

est

fon

ctio

nnel

le

La p

rem

ière

pr

omot

ion

d’ag

ents

de

pour

suite

s es

t fo

rmée

au

x te

chni

ques

du

reco

uvre

men

t

BIM

S

DA

P

DG

ID

H L

es la

cune

s da

nsla

tra

nsm

issi

on d

uco

urrie

r di

min

uent

l’effe

ctiv

ité d

uco

ntrô

le

H L

’act

uelle

po

lyva

lenc

e de

stâ

ches

au

sein

de

laD

LEC

ne

perm

et

pas

un t

raite

men

t di

ligen

t de

s re

cour

sde

s co

ntrib

uabl

es

DG

ID

2009

2009

2009

2009

H C

erta

ins

cont

ribua

bles

son

tdé

bite

urs

d’im

pôts

alor

s qu

e da

ns le

mêm

e te

mps

ils

obtie

nnen

t de

s pa

iem

ents

du

Tré

sor

publ

ic

H L

e re

cour

s à

des

huis

sier

s pr

ivés

peu

ten

traî

ner

des

conf

lits

d’in

térê

ts e

ntre

ces

huis

sier

s et

cer

tain

es

caté

gorie

s de

co

ntrib

uabl

es

AX

ES

AC

TIO

NS

EC

HE

AN

CE

SH

YP

OT

HE

SE

S/

RIS

QU

ES

RE

SU

LTA

TS

AT

TE

ND

US

IND

ICA

TE

UR

S D

ER

ES

ULT

AT

S

-SE

RV

ICE

RE

SP

ON

SA

BL

E

-SE

RV

ICE

S D

ES

OU

TIE

N

Page 42: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

42PDSAF 2008 - 2012

OB

JEC

TIF

III

CO

NT

RIB

UE

R A

PO

RT

ER

LE

TA

UX

DE

PR

ES

SIO

N F

ISC

AL

E D

U S

EN

EG

AL

DE

20.

2% E

N 2

007

A21

.7 %

EN

201

2

OR

IEN

TAT

ION

S

III.2

RE

NF

OR

CE

ME

NT

D

U C

ON

TR

OL

EE

T D

U

RE

CO

UV

RE

ME

NT

III.3

PR

OM

OT

ION

DU

CO

NS

EN

TE

ME

NT

AL’

IMP

OT

III.2

.5

Mes

ure

s lé

gis

lati

ves

III.3

.1

Mes

ure

s lé

gis

lati

ves

III.2

.5.1

Sup

prim

er

l’exo

néra

tion

prév

ue à

l’a

rtic

le 3

09 d

u C

GI/

Pre

ndre

en c

harg

e au

moy

en d

e ch

èque

s du

Tré

sor

la T

VA

grev

ant

les

mar

chés

fin

ancé

spa

r la

coo

péra

tion

inte

rnat

iona

le

III.2

.5.2

Ins

crire

dan

s un

co

de u

niqu

e le

s di

spos

ition

s lé

gale

s et

glem

enta

ires

rela

tives

au

rec

ouvr

emen

t de

s cr

éanc

es f

isca

les

(le c

aséc

héan

t en

rep

rena

nt

celle

s de

l’O

HA

DA

)

III.3

.1.1

Sim

plifi

er le

s rè

gles

d’a

ssie

tte d

e l’i

mpô

t su

r le

s re

venu

s fo

ncie

rs

III.3

.1.2

Aut

oris

er le

pa

iem

ent

des

impô

ts d

irect

spa

r ce

rtifi

cats

de

déta

xe

liés

au s

ystè

me

du p

réco

mpt

e et

aux

ex

onér

atio

ns in

térie

ures

III.3

.1.3

Sup

prim

er le

sy

stèm

e du

pré

com

pte

pour

les

four

niss

eurs

do

mic

iliés

au

CG

E

Mis

e à

disp

ositi

on d

esco

mpt

able

s pu

blic

sd’

un r

éfér

entie

l uni

que

en m

atiè

re d

e re

couv

rem

ent

Maî

tris

e pa

r le

s pr

oprié

taire

s fo

ncie

rs d

e le

urs

oblig

atio

ns

Les

mod

ifica

tions

gale

s pe

rtin

ente

s so

nt e

ffect

uées

Le r

ecue

il un

ique

est

dis

-po

nibl

e

Fac

ilita

tion

du c

ontr

ôle

des

mar

chés

fin

ancé

ssu

r ai

de e

xtér

ieur

e

Am

élio

ratio

n de

la g

es-

tion

de t

réso

rerie

des

entr

epris

es

conc

erné

es

- Le

prin

cipe

de

cette

su

ppre

ssio

n es

t ac

cept

épa

r la

com

mun

auté

des

part

enai

res

au

déve

lopp

emen

t du

Sén

égal

- Le

pro

jet

de lo

i est

vot

é

Les

mod

ifica

tions

gale

s et

glem

enta

ires

pert

inen

tes

sont

ef

fect

uées

DLE

C

DLE

C

DLE

C

H L

’act

ion

des

com

ptab

les

publ

ics

sera

fac

ilité

e s’

ils

disp

osen

t d’

un

code

uni

que

DLE

C

2009

2009

2009

2009

2009

H L

a ré

duct

ion

duch

amp

des

exon

érat

ions

re

nfor

ce la

ne

utra

lité

de la

T

VA

et li

mite

les

poss

ibili

tés

de f

raud

e

H U

n co

ntrô

le

rais

onna

blem

ent

effic

ace

rend

inut

ile

le p

réco

mpt

e su

r le

sgr

ande

s en

trep

rises

H U

ne p

artie

de

lafr

aude

en

mat

ière

de

TV

Aes

t ex

pliq

uée

par

le f

ait

que

les

cert

ifica

ts d

e dé

taxe

sont

des

act

ifs

peu

liqui

des

AX

ES

AC

TIO

NS

EC

HE

AN

CE

SH

YP

OT

HE

SE

S/

RIS

QU

ES

RE

SU

LTA

TS

AT

TE

ND

US

IND

ICA

TE

UR

S D

ER

ES

ULT

AT

S

-SE

RV

ICE

RE

SP

ON

SA

BL

E

-SE

RV

ICE

S D

ES

OU

TIE

N

Page 43: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

43PDSAF 2008 - 2012

OB

JEC

TIF

III

CO

NT

RIB

UE

R A

PO

RT

ER

LE

TA

UX

DE

PR

ES

SIO

N F

ISC

AL

E D

U S

EN

EG

AL

DE

20.

2% E

N 2

007

A21

.7 %

EN

201

2

OR

IEN

TAT

ION

S

III.3

PR

OM

OT

ION

DU

CO

NS

EN

TE

ME

NT

AL’

IMP

OT

III.3

.1

Mes

ure

s lé

gis

lati

ves

III.3

.1.4

Int

rodu

ire d

ans

la lé

gisl

atio

n la

sus

pens

ion

auto

mat

ique

du

reco

uvre

men

t en

cas

de

dem

ande

d’a

rbitr

age,

su

bord

onné

e à

la g

aran

tie d

e l’i

ntég

ralit

é de

s dr

oits

sim

ples

III.3

.1.5

Dim

inue

r de

faç

onsi

gnifi

cativ

e le

s ta

ux e

nvi

gueu

r en

mat

ière

im

mob

ilièr

e,

part

icul

ière

men

t ce

lui

du d

roit

de m

utat

ion

Fav

oris

er le

civ

ism

e fis

cal e

n m

atiè

re d

etr

ansa

ctio

ns

fonc

ière

s et

im

mob

ilièr

es

La m

odifi

catio

n de

s ar

ti-cl

es p

ertin

ents

du

CG

I es

t vo

tée

par

leP

arle

men

t

Ren

forc

emen

t de

sdr

oits

du

cont

ribua

ble

coup

lé à

une

pr

éven

tion

des

reco

urs

abus

ifs

Les

mod

ifica

tions

gale

s et

glem

enta

ires

pert

inen

tes

sont

ef

fect

uées

DLE

C

DLE

C

2009

2010

H D

es c

ontr

ibua

bles

de b

onne

foi

su

biss

ent

l’exé

cutio

n fo

rcée

alor

s qu

’ils

n’on

t pa

s ép

uisé

tou

tes

leur

s vo

ies

de

reco

urs

adm

inis

trat

if

H L

a pr

essi

on

fisca

le e

n m

atiè

reim

mob

ilièr

e fa

voris

e le

s co

mpo

rtem

ents

fr

audu

leux

AX

ES

AC

TIO

NS

EC

HE

AN

CE

SH

YP

OT

HE

SE

S/

RIS

QU

ES

RE

SU

LTA

TS

AT

TE

ND

US

IND

ICA

TE

UR

S D

ER

ES

ULT

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S

-SE

RV

ICE

RE

SP

ON

SA

BL

E

-SE

RV

ICE

S D

ES

OU

TIE

N

Page 44: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

44PDSAF 2008 - 2012

La mise en œuvre du PDSAF 2008-2012 s’inscrit dans le cadre de la Stratégie de Croissanceaccélérée (SCA), le Programme de Transition fiscale de l’UEMOA ainsi que les différents programmes économiques et financiers de l’Etat du Sénégal.

Le cadre d’analyse logique présenté au tableau ci-dessous, résume l’architecture du PDSAF.Il fournit une vision claire et ordonnée des actions, des résultats escomptés et des indicateursde rendement retenus, compte tenu de la finalité et des objectifs poursuivis. Ce schéma présente également les hypothèses et les indicateurs de risque qu’il conviendrait de suivretout au long du plan afin de s’assurer que les résultats visés seront atteints.

LE CADRE LOGIQUEPARTIE II

Page 45: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

45PDSAF 2008 - 2012

OR

IEN

TAT

ION

S

Ob

ject

ifs

Sp

écif

iqu

es

Ob

ject

ifs

Sp

écif

iqu

es

1. F

ou

rnir

un

ser

vice

de

qu

alit

é au

x u

sag

ers

2. M

od

ern

iser

l'a

dm

inis

trat

ion

fis

cale

3. C

on

trib

uer

à p

ort

er l

e ta

ux

de

pre

ssio

n f

isca

le

du

Sén

égal

à 2

1,7%

en

201

2

Deg

ré d

e sa

tisf

acti

on

des

usa

ger

s

Deg

ré d

e sa

tisf

acti

on

des

ag

ents

Les

rec

ette

s fi

scal

es i

nté

rieu

res

add

itio

nn

elle

s o

nt

aug

men

de

80 m

illia

rds

en 5

an

s

En

qu

êtes

d

e sa

tisf

acti

on

Lo

i d

e fi

nan

ces

2012

1.2.

Une

col

labo

ratio

n pe

rman

ente

est

inst

auré

e en

tre

a D

GID

et

les

autr

es o

péra

teur

set

par

tena

ires

1.3.

Les

jeun

es s

ont

sens

ibili

sés

à l'u

tilité

de c

ontr

ibue

r à

la c

ouve

rtur

e de

s ch

arge

s pu

bliq

ues

Une

cam

pagn

e de

sen

sibi

lisat

ion

est

men

ée c

haqu

e se

mes

tre

1 si

te w

eb à

jour

Nom

bre

de p

ublic

atio

ns e

t de

rap

port

s éd

ités

Un

num

éro

vert

DG

ID d

ispo

nibl

e av

ant

fin 2

008

Nom

bre

de r

enco

ntre

s av

ec le

s pa

rten

aire

s or

gani

sées

par

an

1 m

odul

e su

r le

civ

ism

e fis

cal d

ispe

nsé

au

prim

aire

et

au s

econ

daire

Enq

uête

s de

per

cept

ion

BLE

C/A

rchi

ves

Sta

ndar

d

BC

OM

/BLE

C

BC

OM

/M

inis

tère

de

l’Edu

catio

n

1.1.

Les

usa

gers

son

t m

ieux

info

rmés

et

sens

ibili

sés

aux

mis

sion

s de

la D

GID

H L

e ta

ux

de

cro

issa

nce

an

nu

elle

mo

yen

ne

sur

no

tre

ho

rizo

n d

’étu

de

est

de

5%

H I

mp

licat

ion

du

Min

istè

re d

el’E

du

cati

on

Lo

giq

ue

d’in

terv

enti

on

Hyp

oth

èses

/ R

isq

ues

Ind

icat

eurs

Ob

ject

ivem

ent

Vér

ifia

ble

s(I

OV

)M

oye

ns

de

véri

fica

tio

n (

MV

)

OB

JEC

TIF

GL

OB

AL

CO

NT

RIB

UE

R A

AM

EL

IOR

ER

LA

QU

AL

ITE

DE

GE

ST

ION

DE

S F

INA

NC

ES

P

UB

LIQ

UE

S

H A

DO

PT

ION

DE

CO

NT

RA

TS

DE

PE

RF

OR

MA

NC

E E

NT

RE

L

E M

EF

ET

LE

S

AD

MIN

IST

RA

TIO

NS

IM

PL

IQU

EE

S D

AN

S L

AG

ES

TIO

N D

ES

FIN

AN

CE

S

PU

BL

IQU

ES

ME

F/IG

F

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46PDSAF 2008 - 2012

OR

IEN

TAT

ION

S

Rés

ult

ats

atte

nd

us

(su

ite)

1.4.

Les

act

eurs

du

sect

eur

info

rmel

son

tda

vant

age

écou

tés.

1.5.

Les

usa

gers

son

t sa

tisfa

its d

u se

rvic

e fo

urni

par

l'ad

min

istr

atio

n fis

cale

1.6.

Le

trai

tem

ent

du c

ourr

ier

reçu

des

co

ntrib

uabl

es e

st a

mél

ioré

Nom

bre

de n

ouve

lles

adhé

sion

s en

regi

stré

es d

ans

les

CG

A

Deg

ré d

e sa

tisfa

ctio

n de

s us

ager

s

100%

des

rép

onse

s au

cou

rrie

r se

rvie

s da

ns le

s dé

lais

fix

és

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A/B

LEC

/BB

CO

M

Enq

uête

s de

Sat

isfa

ctio

n/A

ppel

s m

ystè

res

Reg

istr

e en

regi

stre

men

t co

ur-

rier

2.3

Tout

es le

s pr

océd

ures

fis

cale

s ca

dast

rale

s,fo

nciè

res

et d

oman

iale

s so

nt t

raité

es p

ar

proc

édés

info

rmat

ique

s

Nom

bre

de p

lain

tes

reçu

es p

ar

le c

onci

liate

ur

inte

rne

20 C

SF

dép

arte

men

taux

cré

és e

n 5

ans

Bai

sse

du p

ourc

enta

ge d

e dé

grèv

emen

t de

50

poin

ts (

corr

espo

ndan

t au

dou

ble

empl

oi)

en 2

009

Con

nexi

on

de t

ous

les

serv

ices

au

rése

au

intr

anet

en

3 an

s

1.8.

Les

ser

vice

s fis

caux

dom

ania

ux e

t ca

dast

raux

son

tpl

us p

roch

es d

es u

sage

rs

2.1

Les

serv

ices

maî

tris

ent

dava

ntag

e l'a

ssie

tte e

t so

nt p

lus

effic

aces

dan

s le

rec

ouvr

emen

t de

s im

pôts

2.2

La f

luid

ité d

e l'i

nfor

mat

ion

est

assu

rée

dans

/ent

re

les

serv

ices

de

l'adm

inis

trat

ion

fisca

le

Nom

bre

de p

rocé

dure

s in

form

atis

ées

Deg

ré d

e m

aîtr

ise

de la

ges

tion

du p

erso

nnel

2.4

Une

bas

e de

don

nées

po

ur la

ges

tion

info

rmat

isée

des

res

sour

ces

hum

aine

s ex

iste

Rap

port

du

conc

iliat

eur

DA

P/V

isite

s su

r le

s si

tes

Rap

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du

Bur

eau

duC

onte

ntie

ux

Rap

port

BIM

S

Son

dage

s au

près

des

se

rvic

es

Rap

port

BIM

S

DA

P

1.7.

Les

réc

rimin

atio

ns d

es u

sage

rs o

ntco

nsid

érab

lem

ent

bais

H M

ise

en œ

uvr

e d

’un

e ac

tio

n

de

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mu

nic

atio

n a

déq

uat

e

H A

ccep

tati

on

du

ch

ang

emen

t p

ar l

es a

gen

ts

H I

mp

licat

ion

to

tale

des

Ch

efs

de

Cen

tres

Lo

giq

ue

d’in

terv

enti

on

Hyp

oth

èses

/ R

isq

ues

Ind

icat

eurs

Ob

ject

ivem

ent

Vér

ifia

ble

s(I

OV

)M

oye

ns

de

véri

fica

tio

n (

MV

)

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47PDSAF 2008 - 2012

OR

IEN

TAT

ION

S

Rés

ult

ats

atte

nd

us

(fin

)

2.5

L'ex

pert

ise

et la

com

péte

nce

des

agen

tsso

nt r

enfo

rcée

s

2.6

L'as

siet

te f

isca

le e

st é

larg

ie

Niv

eau

d'at

tein

te d

es o

bjec

tifs

par

les

serv

ices

Le n

ombr

e de

nou

veau

x co

ntrib

uabl

es

iden

tifié

par

an

Niv

eau

d'at

tein

te d

es o

bjec

tifs

par

les

serv

ices

Rap

port

s tr

imes

trie

ls

Rap

port

des

bur

eaux

des

fo

rmal

ités

2.11

Les

tex

tes

légi

slat

ifs e

t ré

glem

enta

ires

sont

m

is à

jour

Deg

ré d

e sa

tisfa

ctio

n pr

ofes

sion

nelle

et

d'ad

hési

on d

es a

gent

s au

x ob

ject

ifs d

e la

DG

ID

Nom

bre

de s

anct

ions

pro

nonc

ées

Nom

bre

de s

essi

ons

de f

orm

atio

n pr

ogra

mm

ées

et e

xécu

tées

par

an

2.8

Les

frus

trat

ions

liée

s au

sys

tèm

e de

mun

érat

ion

et à

la r

espo

nsab

ilisa

tion

des

agen

ts s

ont

rédu

ites

2.9

L'ét

hiqu

e pr

ofes

sion

nelle

des

age

nts

est

renf

orcé

e

2.10

Un

plan

de

form

atio

n es

t ad

opté

Rap

port

d’a

udit

étab

liE

labo

ratio

n et

act

ualis

atio

n de

s gu

ides

de

proc

édur

es

Ado

ptio

n de

s te

xtes

2.12

A

udit

de m

oder

nisa

tion

des

proc

édur

es

Rap

port

s tr

imes

trie

ls

Enq

uête

s au

près

de

s ag

ents

DC

I

BC

OM

DLE

C

DC

I

2.7

La p

rodu

ctiv

ité d

u pe

rson

nel d

e l'a

dmin

istr

atio

n fis

cale

est

am

élio

rée

Lo

giq

ue

d’in

terv

enti

on

Hyp

oth

èses

/ R

isq

ues

Ind

icat

eurs

Ob

ject

ivem

ent

Vér

ifia

ble

s(I

OV

)M

oye

ns

de

véri

fica

tio

n (

MV

)

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48PDSAF 2008 - 2012

OR

IEN

TAT

ION

S

Rés

ult

ats

atte

nd

us

(su

ite)

3.1.

Un

plan

cad

astr

al n

atio

nal n

umér

isé

et

mis

à jo

ur

3.2.

La

base

de

donn

ées

cont

enan

t to

us

les

élém

ents

néc

essa

ires

à la

dét

erm

inat

ion

de l'

impô

t as

sis

sur

le f

onci

er e

xist

e

Par

t de

la s

uper

ficie

nat

iona

le d

u S

énég

al

disp

osan

t de

pla

n ca

dast

ral

Pou

rcen

tage

des

don

nées

ac

cess

ible

s pa

r te

rmin

aux

Un

rapp

ort

annu

el e

st t

rans

mis

aux

2

Cha

mbr

es

Cad

astr

e

Cad

astr

e

Aug

men

tatio

n du

nom

bre

de n

otifi

catio

n de

redr

esse

men

ts c

onfir

més

su

r le

s se

cteu

rs c

iblé

s

L'év

olut

ion

du t

aux

de r

ecou

vrem

ent

Nom

bre

de b

ulle

tins

d’in

form

atio

n pr

odui

ts

par

an

3.4.

Les

ser

vice

s d'

assi

ette

dis

pose

nt d

es m

oyen

shu

mai

ns,

tech

niqu

es e

t m

atér

iels

req

uis

pour

mie

ux c

ontr

ôler

les

entr

epris

es c

iblé

es e

t le

s se

cteu

rs é

cono

miq

ues

à ha

ut

pote

ntie

l fis

cal

3.5.

Les

éca

rts

entr

e le

s ém

issi

ons

et

les

reco

uvre

men

ts d

'impô

ts o

nt c

onnu

un

e ne

tte d

imin

utio

n

3.6.

La

colle

cte

et le

tra

item

ent

de l'

info

rmat

ion

fisca

le s

ont

amél

ioré

s

DLC

Rap

port

s se

mes

trie

ls

serv

ices

d'a

ssie

tte

Rap

port

s de

s se

rvic

es d

ere

couv

rem

ent

Rap

port

de

la B

rigad

ed’

Enq

uête

s

3.3.

Un

indi

cate

ur d

e ge

stio

n ra

tionn

elle

des

pens

es f

isca

les

est

mis

en

plac

e

H C

ou

vert

ure

des

bes

oin

s d

efi

nan

cem

ent

du

P

AM

OC

A

Lo

giq

ue

d’in

terv

enti

on

Hyp

oth

èses

/ R

isq

ues

Ind

icat

eurs

Ob

ject

ivem

ent

Vér

ifia

ble

s(I

OV

)M

oye

ns

de

véri

fica

tio

n (

MV

)

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49PDSAF 2008 - 2012

Les tableaux du cadre logique qui suivent constituent les outils de gestion des responsablesde l’action. Ils devront recenser pour toutes les activités, les moyens et les conditions requises pour les réaliser.

- Moyens : Quels moyens sont requis pour mettre en œuvre ces activités, par exemple : personnel, matériel, formation, études, fournitures, installations opérationnelles, etc. ?

- Moyens de vérification : Quelles sont les données et documents que les services doivent conserver pour permettre l’exercice des missions d’audit et decontrôle des résultats annoncés ?

- Hypothèses/Risques : Quelles sont les conditions requises avant que l'action commence ? Quelles conditions hors du contrôle direct du bénéficiaire doivent être réalisées pour la mise en œuvre des activités prévues ?

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50PDSAF 2008 - 2012

AC

TIV

ITE

S A

ME

NE

R

SE

RV

ICE

S A

L’U

SA

GE

R

I.1.1

.1

Util

isat

ion

des

méd

ias

(TV

, ra

dios

, pr

esse

écr

ite,

site

web

)

I.1.1

.2

Pub

licat

ions

(b

roch

ures

, ra

ppor

t a

nnue

l)

I 1.

1.3

Mis

e en

pla

ce d

’un

num

éro

vert

I 1.

2.1

Org

anis

atio

n de

« r

etra

ites

fisca

les

»

I 1.

2.2

Ren

cont

re a

vec

les

acte

urs

écon

omiq

ues

I 1.

2.3

Org

anis

atio

n de

man

ifest

atio

ns

I.1.2

.4.

Pro

posi

tion

de r

enco

ntre

à t

oute

s le

s no

uvel

les

entr

epris

es

I.1.3

.1 I

ntro

duire

l’ut

ilité

de

l’im

pôt

dans

les

cour

s d’

inst

ruct

ions

civ

ique

s

1.3.

2 M

ettr

e en

œuv

re u

ne c

olla

bora

tion

avec

le

s or

gani

smes

pro

fess

ionn

els

I.1.3

.3 E

labo

ratio

n d’

un t

exte

d’a

mni

stie

fis

cale

effi

cien

t

I.2.1

.1 C

réat

ion

d’un

ser

vice

d’a

ccue

il

I.2.1

.2 F

orm

atio

n du

per

sonn

el d

’acc

ueil

I.2.1

.3 M

ise

à di

spos

ition

du

mat

érie

l adé

quat

I.2.2

.1 R

écep

tion

du c

ourr

ier

et d

es d

écla

ratio

ns

I.2.2

.2 V

entil

atio

n du

cou

rrie

r au

x de

stin

atai

res

I.2.2

.3 D

istr

ibut

ion

de f

orm

ulai

res

à l’a

ccue

il

I.2.3

.1

Rép

onse

per

sonn

alis

ée à

tou

s le

s ap

pels

ava

nt

la 4

e so

nner

ie

I.2.3

.2

Iden

tific

atio

n de

l’in

terlo

cute

ur (

levé

e de

l’a

nony

mat

: id

entit

és e

t fo

nctio

ns)

LO

GIQ

UE

D’IN

TE

RV

EN

TIO

NH

YP

OT

HE

SE

S /

RIS

QU

ES

MO

YE

NS

MO

YE

NS

DE

VE

RIF

ICA

TIO

N

Page 51: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

51PDSAF 2008 - 2012

AC

TIV

ITE

S A

ME

NE

R

SE

RV

ICE

S A

L’U

SA

GE

R

I.2.3

.3 R

espe

ct d

e la

con

fiden

tialit

é da

ns le

tra

item

ent

des

solli

cita

tions

des

usa

gers

I.2.3

.4 P

ossi

bilit

és d

e pr

endr

e re

ndez

-vou

s

I.2.4

.1 M

ise

en p

lace

d’u

ne s

igna

létiq

ue

I.2.4

.2 I

dent

ifica

tion

des

agen

ts

I.3.1

.1 R

éduc

tion

des

déla

is d

e tr

aite

men

t de

s re

quêt

es

I.3.1

.2 S

impl

ifica

tion

des

proc

édur

es

I.3.1

.3 R

ésor

ber

le s

tock

des

dem

ande

s de

mor

celle

men

t de

s pa

rcel

les

I.3.2

.1 R

épon

se a

ux c

ourr

iers

dan

s le

s 30

j à

défa

ut u

ne

répo

nse

d’at

tent

e

I.3.3

.1 M

ettr

e en

pla

ce u

ne p

rocé

dure

d’e

nreg

istr

emen

t su

r ét

at d

es a

ctes

not

arié

s sa

ns e

njeu

x fin

anci

ers

sign

ifica

tifs

I.3.3

.2 P

ours

uite

par

les

rece

veur

s et

les

cons

erva

teur

s de

l’i

mm

atric

ulat

ion

syst

émat

ique

des

ter

rain

s du

dom

aine

nat

iona

lsi

tués

en

zone

urb

aine

I.3.3

.3 R

évis

er le

s se

uils

de

com

péte

nce

pour

les

auto

risat

ions

pré

alab

les

des

tran

sact

ions

I.3.4

.1 D

ésig

natio

n du

con

cilia

teur

fis

cal i

nter

ne

I.3.5

.1 C

réat

ion

de c

entr

es d

es s

ervi

ces

fisca

ux

dépa

rtem

enta

ux

I.3.6

.1 M

ettr

e en

pla

ce d

es p

rocé

dure

s de

lé d

écla

ratio

n en

lign

e

I.3.6

.2 C

réat

ion

d’un

e ad

ress

e e-

mai

l par

cen

tre

et r

épon

se a

uxco

urrie

rs é

lect

roni

ques

en

48 h

LO

GIQ

UE

D’IN

TE

RV

EN

TIO

NH

YP

OT

HE

SE

S /

RIS

QU

ES

MO

YE

NS

MO

YE

NS

DE

VE

RIF

ICA

TIO

N

Page 52: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

52PDSAF 2008 - 2012

AC

TIV

ITE

S

AM

EN

ER

MO

DE

RN

ISA

TIO

N

II.1.

1.1

Dép

loie

men

t de

SIG

TAS

dan

s le

s C

SF

de

Dak

ar

II.1.

1.2

Dép

loie

men

t de

SIG

TAS

en

régi

on

II.1.

1.3

Dém

atér

ialis

atio

n du

livr

e fo

ncie

r

II.1.

1.4

Num

éris

atio

n du

Cad

astr

e

II.1.

1.5

Mis

e en

pla

ce d

’un

site

web

D

GID

II.1.

1.6

Ext

ensi

on d

u ré

seau

intr

anet

DG

ID

II.1.

2.1

Mis

e en

pla

ce d

’un

nouv

eau

sché

ma

dire

cteu

r in

form

atiq

ue d

e la

DG

ID

1.2.

2 A

cqui

sitio

n d’

un lo

gici

el d

e G

estio

n de

s R

esso

urce

s H

umai

nes

II.1.

2.3

Acq

uisi

tion

d’un

logi

ciel

de

con

trôl

e de

com

ptab

ilité

info

rmat

isée

II.1.

2.4

Acq

uisi

tion

d’un

logi

ciel

de

gest

ion

des

mat

ière

s et

du

budg

et

II.1.

2.5

Mis

e en

pla

ce d

’un

syst

ème

info

rmat

isé

de g

estio

n du

ren

seig

nem

ent

II.2.

1.1

Equ

ipem

ent

des

CS

F e

n vé

hicu

le

II.2.

1.3

Dot

atio

n e

n m

achi

nes

à tim

brer

II.2.

1.2

Equ

ipem

ent

adéq

uat

des

bure

aux

II.2.

1.5

Acq

uisi

tion

d’un

e un

ité p

rofe

ssio

nnel

le

d’im

pres

sion

II.2.

1.4

Ins

talla

tion

de g

roup

es é

lect

rogè

nes

dans

to

us le

s si

tes

de la

DG

ID

II.2.

1.6

Mis

e en

pla

ce d

’une

bib

lioth

èque

/ser

vice

de

doc

umen

tatio

n in

form

atis

ée

II.2.

1.7

Cré

atio

n d’

un d

épôt

de

pré

arch

ivag

e

II.2.

1.9

Dis

pose

r d’

infr

astr

uctu

res

et d

’équ

ipem

ents

soc

iaux

LO

GIQ

UE

D’IN

TE

RV

EN

TIO

NH

YP

OT

HE

SE

S /

RIS

QU

ES

MO

YE

NS

MO

YE

NS

DE

VE

RIF

ICA

TIO

N

Page 53: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

53PDSAF 2008 - 2012

AC

TIV

ITE

S

AM

EN

ER

MO

DE

RN

ISA

TIO

N

II.2.

2.1

Sép

arat

ion

entr

e le

s se

rvic

es o

péra

tionn

els

et le

s se

rvic

es d

e co

ncep

tion

Ado

ptio

n de

s co

nclu

sion

s du

rap

port

CE

SIA

II.2.

2.2

Cré

atio

n de

20

cent

res

dépa

rtem

enta

ux

des

serv

ices

fis

caux

II.2.

2.3

Fus

ion

des

bure

aux

de la

Fis

calit

é P

rofe

ssio

nnel

le

et d

e la

Fis

calit

é de

s pa

rtic

ulie

rs

II.2.

2.4

Cré

atio

n d’

Uni

tés

de G

estio

n de

la f

isca

lité

à co

mpé

tenc

e gé

ogra

phiq

ue

II.2.

2.5

Inst

itutio

n de

s C

omm

issi

on N

atio

nale

et

loca

les

de C

ontr

ôle

des

Opé

ratio

ns D

oman

iale

s

II.2.

2.6

Fus

ionn

er l’

enre

gist

rem

ent

et la

pub

licité

fon

cièr

e po

urle

s ac

tes

soum

is à

insc

riptio

n au

Liv

re f

onci

er

II.3.

1.1

Rec

rute

men

t de

res

sour

ces

hum

aine

s

II.3.

1.2

For

mat

ion

du p

erso

nnel

opé

ratio

nnel

II.3.

1.3

For

mat

ion

des

pers

onne

ls d

u D

AP

II.3.

1.4

Org

anis

atio

n de

voy

ages

d’

étud

es/P

erfe

ctio

nnem

ent

II.3.

2.1

Util

isat

ion

accr

ue d

u ce

ntre

de

form

atio

n

II.3.

2.2

Cré

atio

n d‘

une

Eco

le d

es R

égie

s F

inan

cièr

es

II.3.

3.1

Met

tre

en p

lace

une

com

mis

sion

de

réfo

rme

du s

ystè

me

de m

otiv

atio

n et

de

rém

unér

atio

n

II.3.

2.3

Cré

atio

n d’

une

sect

ion

cada

stre

dan

s l’E

cole

de

s R

égie

s F

inan

cièr

es

II.3.

4.1

Ren

forc

er l’

éthi

que

prof

essi

onne

lle

II.3.

3.2

Déf

inir

un p

lan

de c

arriè

re p

ar c

orps

II.4.

1.1

Con

sign

atio

n de

tou

tes

les

mes

ures

légi

slat

ives

d’o

rdre

fisca

l en

un s

eul C

ode

II.4.

1.2

Con

sign

atio

n de

la

doc

trin

e ad

min

istr

ativ

eda

ns u

n se

ul r

ecue

il

LO

GIQ

UE

D’IN

TE

RV

EN

TIO

NH

YP

OT

HE

SE

S /

RIS

QU

ES

MO

YE

NS

MO

YE

NS

DE

VE

RIF

ICA

TIO

N

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54PDSAF 2008 - 2012

AC

TIV

ITE

S

AM

EN

ER

MO

DE

RN

ISA

TIO

N

II.4.

2.1

Rat

iona

liser

les

text

es r

elat

ifs a

ux p

rocé

dure

s fis

cale

s

II.4.

2.2

Ent

repr

endr

e l’e

ffort

de

mod

erni

satio

n de

la

légi

slat

ion

fonc

ière

et

dom

ania

le

II.4.

2.3

Réé

crire

dan

s un

sty

le p

lus

mod

erne

cer

tain

es

part

ies

du

CG

I

II.4.

2.5

Diff

user

sys

tém

atiq

uem

ent

les

text

es

II.4.

3.1

Aud

it de

mod

erni

satio

n de

s pr

océd

ures

III.1

.1.1

Enq

uête

r 40

.000

par

celle

s pa

r an

sur

la

sup

erfic

ie d

es 4

0 co

mm

unes

III.1

.1.2

Ren

forc

er la

Brig

ade

d’E

nquê

tes

III.1

.1.3

Eta

blir

tous

les

ans

le r

appo

rt s

ur

les

dépe

nses

fis

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s

III.2

.1.1

Cré

atio

n de

brig

ades

spé

cial

isée

à la

DV

EF

III.2

.1.2

Cré

atio

n d’

une

brig

ade

de la

DV

EF

spé

cial

isée

dan

s le

sect

eur

imm

obili

er

III.2

.1.3

Cré

atio

n du

pos

te d

e re

ceve

ur a

djoi

nt d

ans

les

bure

aux

de r

ecou

vrem

ent

de D

akar

III.2

.1.5

Cré

atio

n d’

un b

urea

u du

rec

ouvr

emen

t de

la D

VE

F p

our

les

pris

es e

n ch

arge

pro

vena

nt d

e ce

tte d

irect

ion

III.2

.1.4

Cré

atio

n d’

une

brig

ade

spéc

ialis

ée d

ans

l’exa

men

de

situ

atio

n fis

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per

sonn

elle

III.2

.1.7

Red

ynam

iser

le C

omité

de

prog

ram

mat

ion

du

cont

rôle

fis

cal

III.2

.1.6

Etu

de s

ur le

tra

nsfe

rt d

u re

couv

rem

ent

des

impô

tsdi

rect

s de

la D

GC

PT

à la

DG

ID

III.2

.2.1

Ren

forc

er l’

expe

rtis

e du

con

trôl

e fis

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III.2

.3.1

Cré

er u

ne in

terf

ace

entr

e S

IGTA

S e

t S

IGF

IP

LO

GIQ

UE

D’IN

TE

RV

EN

TIO

NH

YP

OT

HE

SE

S /

RIS

QU

ES

MO

YE

NS

MO

YE

NS

DE

VE

RIF

ICA

TIO

N

Page 55: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

55PDSAF 2008 - 2012

AC

TIV

ITE

S

AM

EN

ER

AT

TE

IND

RE

LE

TP

F

DE

21.

70 %

III.2

.4.1

Ext

erna

liser

l’a

chem

inem

ent

du c

ourr

ier

III.2

.4.2

Spé

cial

iser

des

age

nts

du D

LEC

dan

s le

tra

item

ent

du c

onte

ntie

ux a

dmin

istr

atif

III.2

.4.3

For

mer

des

age

nts

de p

ours

uite

s

III.2

.5.1

Sup

prim

er

l’exo

néra

tion

prév

ue p

ar

l’art

icle

309

du

CG

I

III.2

.5.2

Ins

crire

dan

s un

cod

e un

ique

tou

tes

les

disp

ositi

ons

léga

les

et r

égle

men

taire

s re

lativ

es

au r

ecou

vrem

ent

des

créa

nces

III.3

.1.1

Sim

plifi

er le

s rè

gles

d’a

ssie

tte d

e l’i

mpô

t su

r le

s re

venu

s fo

ncie

rs

III.3

.1.2

Aut

oris

er le

pai

emen

t de

s im

pôts

dire

cts

d’E

tat

par

les

cert

ifica

ts d

e

III.3

.1.3

Sup

prim

er le

sys

tèm

e du

pré

com

pte

pou

r le

s fo

urni

sseu

rs d

omic

iliés

au

CG

E

III.3

.1.4

Int

rodu

ire d

ans

la lé

gisl

atio

n le

sur

sis

au r

ecou

vrem

ent

III.3

.1.5

Dim

inue

r le

s ta

ux

d’im

posi

tion

en m

atiè

re

imm

obili

ère

(ex

droi

ts d

e m

utat

ion)

LO

GIQ

UE

D’IN

TE

RV

EN

TIO

NH

YP

OT

HE

SE

S /

RIS

QU

ES

MO

YE

NS

MO

YE

NS

DE

VE

RIF

ICA

TIO

N

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56PDSAF 2008 - 2012

Conduire et suivre un projet selon la GAR constituent un défi et suppose un engagement réel de chacun des agents. Il est important, pour la DGID, de surveiller l'étatd'avancement des différentes activités du PDSAF et de recueillir l'ensemble des donnéesnécessaires à l'évaluation des divers résultats anticipés, selon les principaux indicateurs retenus. Cette opération nécessite un travail important de la part de chacun pour recueillird’abord les données de départ, collecter et analyser ensuite les informations qui permettrontde suivre la progression du plan vers l’atteinte des résultats attendus à court, moyen et longtermes. Les responsables identifiés dans le CMR doivent s'impliquer dans cette démarche etcollaborer activement à générer les informations requises et les différents rapports trimestrielet annuel de rendement.

Les tableaux qui suivent présentent le CMR du PDSAF 2008-2012.

LE CADRE DE MESUREDE RENDEMENT (CMR)

PARTIE III

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57PDSAF 2008 - 2012

CA

DR

E D

E M

ES

UR

E D

E R

EN

DE

ME

NT

DU

PD

SA

F

OB

JEC

TIF

I : A

ME

LIO

RE

R L

AQ

UA

LIT

E D

ES

SE

RV

ICE

S R

EN

DU

S A

UX

US

AG

ER

S

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ori

enta

tio

n 1

Info

rmat

ion

au

x u

sag

ers

Sen

sibi

lisat

ion

du p

ublic

aux

mis

sion

s de

la D

GID

1 ca

mpa

gne

d’in

form

atio

n tr

imes

trie

lle d

e T

V e

t ra

dio

;

1 si

te w

eb à

jour

;

1 nu

mér

o ve

rt

1 ca

mpa

gne

push

SM

S p

ar t

rimes

tre

(10

000

SM

S)

Ado

ptio

n d’

un lo

go e

t d

’une

cha

rte

grap

hiqu

e de

la D

GID

BC

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BIM

S

Rap

port

d’a

ctiv

ités

du B

CO

MT

rimes

trie

lle

BC

OM

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Trim

estr

ielle

Ann

uelle

Rap

port

s d’

activ

ités

du B

CO

M

Con

sulta

tion

des

prog

ram

mes

sco

laire

s

Con

cour

s su

r le

civ

ism

e fis

cal

BC

OM

DLE

C

Min

istè

re d

el’E

duca

tion

2 re

ncon

tres

par

an

avec

cha

que

part

enai

re ;

100%

d’e

nvoi

de

prop

ositi

on d

e re

ncon

tre

à to

ute

nouv

elle

en

trep

rise

1 m

odul

e au

prim

aire

;

1 m

odul

e au

sec

onda

ire

Inst

aura

tion

d’un

e co

llabo

ratio

n pe

rman

ente

Sen

sibi

lisat

ion

des

jeun

es à

l’ut

ilité

de

con

trib

uer

aux

char

ges

publ

ique

s

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

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uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

1A

mél

iora

tio

n d

e l’i

nfo

rmat

ion

au

gra

nd

pu

blic

Axe

2A

mél

iora

tio

n d

u d

ialo

gu

e av

ec l

es p

arte

nai

res

et o

pér

ateu

rs

Axe

3O

rien

tati

on

1

Page 58: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

58PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ori

enta

tio

n 2

Acc

uei

l et

ori

enta

tio

n d

es u

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ers

Am

élio

ratio

n de

s co

nditi

ons

d'ac

cuei

l de

s us

ager

sE

xist

ence

d'a

ccue

il fo

nctio

nnel

dan

s to

us le

s si

tes

de la

DG

IDD

AP

Rap

port

d'a

ctiv

ités

du B

CO

MT

rimes

trie

lle

BC

OM

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OM

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Trim

estr

ielle

Trim

estr

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Rap

port

s d'

activ

ités

du

BC

OM

Rap

port

d'a

ctiv

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du D

AP

BC

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DLE

C

DA

P

Nom

bre

de f

orm

ulai

res

reçu

s et

dis

trib

ués

100%

de

s ag

ents

bad

gés

100%

de

s se

rvic

es id

entif

iés

BC

OM

App

els

mys

tère

s

Enq

uête

s (s

onda

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Boî

tes

à id

ées

Trim

estr

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Sem

estr

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Heb

dom

adai

re

Con

trib

uabl

es

Site

web

Deg

ré d

e sa

tisfa

ctio

n de

s us

ager

s

Sim

plifi

catio

n de

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mar

ches

des

us

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s

Am

élio

ratio

nde

l'or

ient

atio

n de

s us

ager

s

Am

élio

ratio

n de

la

qua

lité

de l'

accu

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Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

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n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

1M

ise

en p

lace

d'u

n s

ervi

ce d

'acc

uei

l

Axe

2R

esp

on

sab

ilisa

tio

n d

es s

ervi

ces

d'a

ccu

eil

Axe

4Id

enti

fica

tio

n d

es s

ervi

ces

et d

es a

gen

ts

Axe

3A

mél

iora

tio

n d

e l'a

ccu

eil

ph

ysiq

ue

et t

élép

ho

niq

ue

Page 59: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

59PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ori

enta

tio

n 3

Am

élio

rati

on

de

la q

ual

ité

du

ser

vice

ren

du

Aug

men

tatio

n du

deg

de s

atis

fact

ion

des

usag

ers

Res

pect

des

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ais

fixés

Exi

sten

ce d

'un

man

uel d

e pr

océd

ures

sim

plifi

ées

Bur

eau

des

For

mal

ités

DC

I

Rap

port

s de

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CI

Sta

tistiq

ues

CS

FT

rimes

trie

lle

BC

OM

BC

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Trim

estr

ielle

R

appo

rts

d'ac

tivité

s du

BC

OM

BC

OM

DLE

C10

0% d

e ré

pons

es s

ervi

es d

ans

les

déla

is

BC

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Con

sulta

tion

des

stat

istiq

ues

duD

LEC

et

du B

SR

CC

Sem

estr

ielle

DLE

CN

BS

RC

CE

volu

tion

du n

ombr

e de

réc

rimin

atio

ns

Am

élio

ratio

n du

tra

item

ent

du

cour

rier

Pré

vent

ion

des

conf

lits

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

1D

ilig

ence

dan

s le

tra

item

ent

des

dem

and

es

Axe

2D

ilig

ence

dan

s la

rép

on

se a

ux

cou

rrie

rs

Axe

3A

mél

iora

tio

n d

e l'é

cou

te d

es u

sag

ers

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60PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ori

enta

tio

n 1

Acc

élér

atio

n d

e l'i

nfo

rmat

isat

ion

Maî

tris

e de

l'as

siet

te

et d

u r

ecou

vrem

ent

l'im

pôt

Ban

que

des

donn

ées

cada

stra

les,

fon

cièr

esdo

man

iale

s et

fisca

les

;

L'en

sem

ble

des

CS

F

de la

DG

ID d

ispo

se d

e S

IGTA

SB

IMS

Rap

port

d'a

ctiv

ités

du B

IMS

Sem

estr

ielle

Ann

uelle

BIM

S

BIM

S

DE

DT

Ann

uelle

Rap

port

d'é

valu

atio

n du

PA

MO

CA

DC

AD

Rap

port

s et

sta

tistiq

ues

de la

DE

DT

DE

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Rap

port

d'é

valu

atio

n du

BIM

SS

tatis

tique

s du

BC

OM

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SB

CO

M

Le c

adas

tre

est

num

éris

é

Le li

vre

fonc

ier

est

acce

ssib

le s

ous

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at é

lect

roni

que

Dis

poni

bilit

é de

s fo

rmul

aire

s us

uels

de

décl

arat

ion

(TV

A,

IR,

IS,

VR

S…

) su

r le

site

web

, N

ombr

e de

vis

iteur

sdu

site

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par

jour

BIM

S

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OM

Rap

port

s d'

éval

uatio

ndu

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S (

SIG

TAS

)A

nnue

lle

Trim

estr

ielle

BIM

SC

onne

xion

de

tous

les

site

s de

la D

GID

à l'i

ntra

net

dans

3 a

ns

Ges

tion

perf

orm

ante

du r

égim

e fo

ncie

r et

do

man

ial

Bon

ne in

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atio

nde

s us

ager

s

Bon

ne c

ircul

atio

n de

l'in

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atio

n à

la D

GID

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

1F

inal

isat

ion

des

dif

fére

nts

pro

jets

d'in

form

atis

atio

n d

e la

DG

ID

OB

JEC

TIF

II:

MO

DE

RN

ISE

R L

’AD

MIN

IST

RA

TIO

N F

ISC

AL

E

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61PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ori

enta

tio

n 1

Acc

élér

atio

n d

e l'i

nfo

rmat

isat

ion

Info

rmat

isat

ion

de la

chaî

ne d

e tr

aite

men

t de

l'in

form

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n de

la D

GID

Ges

tion

info

rmat

isée

de

s re

ssou

rces

hu

mai

nes

Nom

bre

de p

rocé

dure

s in

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atis

ées

BIM

SC

onsu

ltatio

n du

rap

port

d'

activ

ités

du B

IMS

Ann

uelle

Sem

estr

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S

BC

OM

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S

Sem

estr

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Con

sulta

tion

du r

appo

rt

d'ac

tivité

s du

DA

PD

AP

Rap

port

d'é

valu

atio

n du

pla

n de

form

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n du

BC

OM

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OM

Con

sulta

tion

du r

appo

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u ra

ppor

t d'

activ

ités

du D

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DA

P

App

licat

ion

en G

RH

dis

poni

ble

App

licat

ion

en

mat

ière

de

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rôle

de

com

ptab

ilité

in

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atis

ée

disp

onib

le

App

licat

ion

en m

atiè

re d

e ge

stio

n de

s m

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res

disp

onib

le

BIM

S

DA

P

Rap

port

d'a

ctiv

ités

du B

IMS

Trim

estr

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Men

suel

le

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SM

ise

en p

lace

d'u

ne b

ase

de d

onné

es d

es r

ense

igne

men

ts

For

mat

ion

des

vérif

icat

eurs

à

la c

ompt

abili

info

rmat

isée

Acq

uisi

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de lo

gici

els

de g

estio

n de

s m

atiè

res

et

du b

udge

t

Ela

rgis

sem

ent

de

l'ass

iette

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

2Im

pla

nta

tio

n d

e n

ou

veau

x p

rog

ram

mes

in

form

atiq

ues

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62PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ori

enta

tio

n 2

Str

uct

ure

s et

Eq

uip

emen

ts

Réd

uire

les

dysf

onct

ionn

emen

tslié

s au

man

que

dem

oyen

s lo

gist

ique

s

Ges

tion

info

rmat

isée

de

s re

ssou

rces

hu

mai

nes

Tous

les

serv

ices

de

la D

GID

son

t éq

uipé

s en

mat

érie

ls

adéq

uats

;

1 gr

oupe

éle

ctro

gène

est

inst

allé

dan

s ch

aque

si

te d

e la

DG

ID ;

1 un

ité p

rofe

ssio

nnel

le d

'impr

essi

on e

st d

ispo

nibl

e

DA

PC

onsu

ltatio

n de

l'ét

at

d'ex

écut

ion

du b

udge

t d'

équi

pem

ent

de la

DG

IDT

rimes

trie

lle

Ann

uelle

DA

P

DLE

C

DLE

C

Ann

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Con

sulta

tion

du r

appo

rt

d'ac

tivité

s du

BIM

S

DLE

C

BIM

S

Con

sulta

tion

de l'

état

d'ex

écut

ion

du b

udge

t d'

équi

pem

ent

de la

DG

ID

DLE

C

DA

P

Un

rése

au d

ocum

enta

ire in

terc

onne

cté

acce

ssib

le à

dis

tanc

e

Con

stru

ctio

n et

équ

ipem

ent

d'un

bât

imen

t d'

arch

ives

Ass

ista

nte

soci

ale

Enq

uête

s/so

ndag

e au

près

des

agen

ts

Rap

port

s d'

activ

ités

del'A

ssis

tant

e so

cial

e

Rap

port

s d'

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ités

dela

MA

- D

GID

Ann

uelle

Trim

estr

ielle

Ann

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Age

nts

de la

DG

ID

Ass

ista

nte

soci

ale

MA

- D

GID

Le c

entr

e m

édic

o-so

cial

et

le c

entr

e aé

ré d

e la

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ID

sont

fon

ctio

nnel

s

Con

stru

ctio

n de

res

taur

ant

dans

cha

que

site

de

la D

GID

de

plu

s de

50

agen

ts

For

mat

ion

des

vérif

icat

eurs

à

la c

ompt

abili

info

rmat

isée

Ela

rgis

sem

ent

de l'

assi

ette

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

2R

enfo

rcem

ent

des

mo

yen

s m

atér

iels

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63PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ori

enta

tio

n 2

Str

uct

ure

s et

Eq

uip

emen

ts

Pal

lier

les

inco

hére

nces

de

l'org

anis

atio

n ac

tuel

le d

ela

DG

ID

Déc

once

ntra

tion

de l'

adm

inis

trat

ion

fisca

le

Les

acte

s rè

glem

enta

ires

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tifs

à l'o

rgan

isat

ion

inte

rne

des

CS

F a

insi

que

les

affe

ctat

ions

son

t pr

isD

LEC

Rap

port

d'é

valu

atio

n de

laré

form

e de

s st

ruct

ures

Sem

estr

ielle

Ann

uelle

DC

I

DA

PR

appo

rt d

'éva

luat

ion

de la

Réf

orm

e de

s st

ruct

ures

DLE

CD

AP

20 c

entr

es d

épar

tem

enta

ux d

ans

5 an

s

DE

DT

Rap

port

sd'

activ

ités

de la

DE

DT

Trim

estr

ielle

DLE

CLe

s ac

tes

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tifs

à la

réf

orm

e de

la C

CO

D s

ont

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Ges

tion

déce

ntra

lisée

de

s af

faire

s do

man

iale

s au

niv

eau

des

com

mun

es p

ar

le C

hef

de C

entr

eR

égio

nal

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

2P

ou

rsu

ite

de

la r

éfo

rme

des

str

uct

ure

s

Page 64: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

64PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ori

enta

tio

n 3

Ges

tio

n e

ffic

ien

te d

es R

esso

urc

es H

um

ain

es

Réd

uctio

n du

déf

icit

dere

ssou

rces

hum

aine

s

Ren

forc

emen

t de

sca

paci

tés

des

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tsde

la D

GID

Bon

ne c

ircul

atio

n de

s te

xtes

légi

slat

ifs e

t rè

glem

enta

ires

Nom

bre

d'ag

ents

rec

ruté

s se

lon

les

beso

ins

de la

DG

ID

Nom

bre

d'ag

ents

for

més

con

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émen

t au

pla

n de

for

mat

ion

valid

é

Atte

indr

e le

s no

rmes

du

CR

ED

AF

en

mat

ière

de

form

atio

n co

ntin

ue (

6 jo

urs

de f

orm

atio

n pa

r an

par

age

nt)

DA

P

BC

OM

Con

sulta

tion

du f

ichi

er

du p

erso

nnel

Rap

port

d'é

valu

atio

n du

pl

an d

e fo

rmat

ion

du B

CO

M

Ann

uelle

Sem

estr

ielle

Sem

estr

ielle

DA

P

BC

OM

BC

OM

Rap

port

d'a

ctiv

ités

du B

CO

MB

CO

MD

egré

de

diffu

sion

des

tex

tes

légi

slat

ifs e

t rè

glem

enta

ires

DA

PE

nquê

tes

pério

diqu

es

aupr

ès d

es a

gent

s de

la

DG

IDA

nnue

lleD

AP

La c

omm

issi

on c

harg

ée d

e la

réf

orm

e du

sys

tèm

e de

mun

érat

ion

et d

e la

déf

initi

on d

'un

plan

de

carr

ière

po

ur c

orps

de

la D

GID

est

mis

e su

r pi

ed

Réd

uctio

n de

sin

égal

ités

et

frus

trat

ions

liée

s au

sy

stèm

e de

mun

érat

ion

actu

elle

;

Equ

ité d

ans

la r

espo

nsab

ilisa

tion

des

agen

ts

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

1D

ével

op

pem

ent

de

l'exp

erti

se e

t d

es c

om

pét

ence

s

Page 65: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

65PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ori

enta

tio

n 3

Ges

tio

n e

ffic

ien

te d

es R

esso

urc

es H

um

ain

es

Un

envi

ronn

emen

t pr

opic

e au

res

pect

de

la r

ègle

de

droi

t

Effe

ctiv

ité d

es h

orai

res

de t

rava

il (4

0he

ures

/sem

aine

)

Nom

bre

de c

ontr

ôles

de

déon

tolo

gie

effe

ctué

s pa

r la

DC

I ;

Nom

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de s

anct

ions

pro

nonc

ées

DC

IR

appo

rt d

'act

ivité

s de

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CI

Ann

uelle

BC

OM

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Trim

estr

ielle

R

appo

rt d

'éva

luat

ion

du p

lan

defo

rmat

ion

du B

CO

MB

CO

M

Nom

bre

de jo

urs

d'ut

ilisa

tion

du C

entr

e de

for

mat

ion

;

Une

Eco

le n

atio

nale

des

rég

ies

finan

cièr

es e

st c

réée

ave

c un

ese

ctio

n C

adas

tre

DLE

CR

appo

rt d

'act

ivité

s du

DLE

CA

nnue

lleD

LEC

Inté

grat

ion

des

disp

ositi

ons

fisca

les

déro

gato

ires

dans

le C

GI

;

Exi

sten

ce d

'un

recu

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onte

nant

tou

te la

doc

trin

e ad

min

istr

ativ

e

Mis

e à

nive

au

perm

anen

te d

es

agen

ts

Fac

ilita

tion

de l'

accè

s et

de

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age

de

l'inf

orm

atio

n fis

cale

aux

cont

ribua

bles

et

agen

ts

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Ori

enta

tio

n 4

Ges

tio

n e

ffic

ien

te d

es R

esso

urc

es H

um

ain

es

Axe

2R

esp

ect

des

règ

les

de

déo

nto

log

ie

Axe

3D

ilig

ence

dan

s la

rép

on

se a

ux

cou

rrie

rs

Axe

1A

mél

iora

tio

n d

e l'é

cou

te d

es u

sag

ers

Page 66: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

66PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Sim

plifi

catio

n de

la f

orm

ede

s te

xtes

fisca

ux (

rééc

ritur

e du

C

GI

en 'h

arm

onis

ant

par

rapp

ort

à l'é

volu

tion

de

l'ens

embl

e de

s te

xtes

ju

ridiq

ues)

Sim

plifi

catio

n de

spr

océd

ures

fon

cièr

eset

dom

ania

les

Mei

lleur

e ga

rant

ie

acco

rdée

à la

pr

oprié

té p

rivée

Les

mod

ifica

tions

per

tinen

tes

sont

effe

ctué

es

Ado

ptio

n ef

fect

ive

de t

exte

s co

nsac

rant

la r

éfor

me

du d

écre

t fo

ncie

r de

193

2, d

u ba

rèm

e de

s pr

ix

DLE

C

DLE

C

Sui

vi d

es t

rava

ux d

e la

Com

mis

sion

ad

hoc

mis

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e

Rap

port

d'a

ctiv

ités

du D

LEC

Ann

uelle

Men

suel

le

Men

suel

le

DLE

C

DLE

C

DLE

CR

appo

rt d

'act

ivité

s du

DLE

CD

LEC

Ado

ptio

n ef

fect

ive

des

diffé

rent

s te

xtes

por

tant

réf

orm

e du

do

mai

ne n

atio

nal,

du d

omai

ne d

e l'E

tat

et c

eux

sur

la

cess

ion

de t

erra

ins

dom

ania

ux

DLE

CR

appo

rt D

CI

Ann

uelle

DLE

CR

appo

rt d

'aud

it ét

abli

Ela

bora

tion

et a

ctua

lisat

ion

du

guid

e de

s pr

océd

ures

Rat

iona

lisat

ion

et

fiabi

lisat

ion

des

proc

édur

es

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

2A

dap

tati

on

de

la l

égis

lati

on

et

des

pro

céd

ure

s

Page 67: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

67PDSAF 2008 - 2012

OB

JEC

TIF

III :

PO

RT

ER

LE

TA

UX

DE

PR

ES

SIO

N F

ISC

AL

E D

U S

EN

EG

AL

A21

.7 %

EN

201

2

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ori

enta

tio

n 1

Ela

rgis

sem

ent

de

l'ass

iett

e

Exi

sten

ce d

'une

bas

ede

don

nées

ex

haus

tive

et

scie

ntifi

que

sur

les

imm

eubl

es b

âtis

et

non

bâtis

situ

és d

ans

les

40 c

omm

unes

vi

sées

par

le

PA

MO

CA

200.

000

parc

elle

s si

tuée

s su

r la

sup

erfic

ie d

es

40 c

omm

unes

son

t en

quêt

ées

PA

MO

CA

Rap

port

d'é

valu

atio

n du

PA

MO

CA

Sem

estr

ielle

DC

AD

DLE

C

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I

Men

suel

le

Men

suel

le

Arr

êté

port

ant

Org

anis

atio

n de

s se

rvic

es d

e la

DG

IDA

rrêt

é po

rtan

t af

fect

aton

des

age

nts

Rap

port

d'a

ctiv

ités

du D

AP

Mis

sion

s de

la D

CI

DLE

C

DLE

CD

AP

Les

acte

s ré

glem

enta

ires

rela

tifs

à l'o

rgan

isat

ion

inte

rne

des

CS

F, a

insi

que

les

acte

s d'

affe

ctat

ion

pert

inen

ts,

sont

pris

Les

mes

ures

d'a

lloca

tion

des

ress

ourc

es s

ont

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esLa

lettr

e de

mis

sion

est

not

ifiée

au

DV

EF

Ren

dre

les

serv

ices

d'

assi

ette

plu

s ef

ficie

nts

par

des

mes

ures

inst

itutio

nnel

les

Am

élio

rer

la c

olle

cte

et le

tra

item

ent

de

l'inf

orm

atio

n pr

ésen

tant

un

inté

rêt

fisca

l

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

1E

nq

uêt

es c

adas

tral

es

Axe

2M

esu

res

inst

itu

tio

nn

elle

s

Axe

3G

esti

on

du

ren

seig

nem

ent

Page 68: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

68PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Dis

pose

r de

ser

vice

sde

vér

ifica

tion

dédi

ésà

des

sect

eurs

éc

onom

ique

s à

haut

pot

entie

l fis

cal m

ais

man

ifest

emen

tm

al c

ontr

ôlés

Inte

nsifi

er le

s ac

tions

de la

brig

ade

de la

D

VE

F s

péci

alis

ée

dans

l'ex

amen

de

situ

atio

n fis

cale

pe

rson

nelle

Les

acte

s ré

glem

enta

ires

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tifs

à l'o

rgan

isat

ion

inte

rne

de la

DV

EF,

ain

si q

ue le

s m

esur

es d

'affe

ctat

ion

pert

inen

tes,

son

t pr

is

Les

acte

s ré

glem

enta

ires

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tifs

à l'o

rgan

isat

ion

inte

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de la

DV

EF,

ain

si q

ue le

s m

esur

es d

'affe

ctat

ion

pert

inen

tes,

son

t pr

is

DLE

CD

AP

DLE

CD

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Con

sulta

tion

des

arrê

tés

:-

port

ant

orga

nisa

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des

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ices

de

la D

GID

;-

port

ant

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ctat

ions

de

s ag

ents

Con

sulta

tion

des

arrê

tés

:-

port

ant

orga

nisa

tion

des

serv

ices

de

la D

GID

;-

port

ant

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ions

de

s ag

ents

Men

suel

le

Ann

uelle

DLE

C

DLE

C

DLE

C

Con

sulta

tion

des

arrê

tés

:-

port

ant

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nisa

tion

des

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ices

de

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GID

;-

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ant

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ions

de

s ag

ents

Trim

estr

ielle

DLE

CD

AP

Les

acte

s ré

glem

enta

ires

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tifs

à l'o

rgan

isat

ion

inte

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de la

DV

EF,

ain

si q

ue le

s m

esur

es d

'affe

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ion

pert

inen

tes,

son

t pr

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Ren

dre

la D

VE

F p

lus

effic

ient

e

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

ou

rces

de

véri

fica

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n

Mét

ho

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llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Ori

enta

tio

n 2

Ren

forc

emen

t d

u c

on

trô

le e

t d

u r

eco

uvr

emen

t

Axe

1M

esu

res

inst

itu

tio

nn

elle

s

Page 69: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

69PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Am

élio

rer

la p

rogr

amm

atio

net

le s

uivi

des

dos

sier

své

rifié

s

Iden

tifie

r le

s ga

ins,

es

ris

ques

et

les

mei

lleur

es m

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ités

poss

i-bl

es d

e tr

ansf

ert

du r

ecou

vrem

ent

des

impô

ts d

irect

s de

la

DG

CP

la D

GID

Les

mes

ures

indi

vidu

elle

s et

rég

lem

enta

ires

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inen

tes

sont

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es

Tra

nsm

issi

on d

u ra

ppor

t de

l'ét

ude

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EF

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DI

DLE

C

Rap

port

du

com

ité

char

gé d

e l'é

tude

de

s m

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ités

de t

rans

fert

du

rec

ouvr

emen

t

Rap

port

d'a

ctiv

ités

du D

AP

Men

suel

le

Men

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le

DLE

C

DC

I

DA

PM

ensu

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Rap

port

d'a

ctiv

ités

du D

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DV

EF

DA

PLe

s m

esur

es d

'allo

catio

n de

s re

ssou

rces

su

pplé

men

taire

s so

nt p

rises

BS

RC

CR

appo

rt d

'act

ivité

s du

BIM

ST

rimes

trie

lleB

IMS

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CL'

inte

rfac

e es

t cr

éée

et f

onct

ionn

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Am

élio

rer

la c

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cte

et le

tra

item

ent

de l'

info

rmat

ion

prés

enta

nt u

n in

térê

t fis

cal

Allé

ger

les

pris

es e

nch

arge

des

bur

eaux

de

reco

uvre

men

t co

ncer

nant

des

fo

urni

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rs d

e l'E

tat

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

téS

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rces

de

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fica

tio

n

Mét

ho

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et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

2G

esti

on

du

ren

seig

nem

ent

Axe

3C

om

pen

sati

on

in

form

atis

ée e

ntr

e le

s cr

éan

ces

fisc

ales

et

la d

ette

in

téri

eure

de

l'Eta

t

Page 70: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

70PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Rég

ler

les

prob

lèm

es

de p

reuv

e en

mat

ière

de

réc

eptio

n du

co

urrie

r ad

min

istr

atif

Rem

plir

avec

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s d'

effic

acité

l'e

xter

nalis

atio

n ve

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rest

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re p

rivé

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Con

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par

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par

le

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es

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ontr

at a

vec

le p

rest

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re s

élec

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é es

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C

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de la

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entie

ux

liés

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réc

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s co

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rs

Men

suel

le

Men

suel

le

DC

I

DC

I

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lle

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sulta

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ant

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serv

ices

de

la D

GID

;-

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ant

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de

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ents

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CLe

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DLE

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I

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onsu

ltatio

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t af

fect

atio

n de

s ag

ents

;-

Rap

port

d'a

ctiv

ités

du B

CO

M

Ann

uelle

DLE

CB

CO

M

Les

mes

ures

rég

lem

enta

ires

pert

inen

tes

sont

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esLa

pre

miè

re g

énér

atio

n d'

agen

ts d

e po

ursu

ites

est

form

ée a

u dr

oit

du r

ecou

vrem

ent

Aug

men

ter

le r

ythm

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ent

des

reco

urs

en a

rbitr

age

Ren

forc

er le

s re

ssou

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x de

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couv

rem

ent

Ind

icat

eurs

Res

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bili

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ou

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ho

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uti

l d

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llect

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e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

4O

rgan

isat

ion

du

tra

vail

Page 71: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

71PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Fac

ilite

r le

con

trôl

e de

s m

arch

és f

inan

cés

sur

aide

ext

érie

ure

par

la s

uppr

essi

on

de l'

exon

érat

ion

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l'a

rtic

le 3

09 d

u C

GI

Le p

rinci

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e ce

tte s

uppr

essi

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st a

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té p

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la c

omm

unau

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es p

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naire

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ent

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Le p

roje

t de

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st v

oté

par

le P

arle

men

t lo

rs d

e sa

pre

miè

re s

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on o

rdin

aire

DLE

CR

appo

rts

d'ac

tivité

s du

DLE

CA

nnue

lleD

LEC

DC

IM

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elle

Rap

port

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ités

duD

LEC

DLE

C

La c

omm

issi

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GID

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GC

PT

est

form

ée

Le p

roje

t de

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st v

oté

Met

tre

à la

dis

posi

tion

des

com

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les

publ

ics

un r

éfér

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en m

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re d

e re

couv

rem

ent

Ind

icat

eurs

Res

po

nsa

bili

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ou

rces

de

véri

fica

tio

n

Mét

ho

de

et o

uti

l d

e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

de

la c

olle

cte

Axe

5L

égis

lati

on

Page 72: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

72PDSAF 2008 - 2012

Cad

re d

e re

nd

emen

t

Ren

forc

er la

maî

tris

e pa

rle

s ci

toye

ns d

e le

urs

oblig

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isca

les

Ren

forc

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maî

tris

e pa

rle

s pr

oprié

taire

s fo

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fis

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s

Am

élio

rer

la t

réso

rerie

de

s en

trep

rises

:

paie

men

t d'

impô

ts p

ar

cert

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t de

dét

axe)

Le p

lan

de c

omm

unic

atio

n es

t so

umis

au

Dire

cteu

r gé

néra

l des

Impô

ts e

t de

s D

omai

nes

Les

mod

ifica

tions

léga

les

pert

inen

tes

sont

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ctué

es

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OM

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C

Son

dage

Rap

port

sd'

activ

ités

duD

LEC

Sem

estr

ielle

Em

issi

on in

ter

activ

eM

ensu

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Ann

uelle

Trim

estr

ielle

BC

OM

DLE

C

DLE

CR

appo

rts

d'ac

tivité

s du

DLE

CD

LEC

Les

mod

ifica

tions

léga

les

et r

égle

men

taire

s pe

rtin

ente

s so

nt

effe

ctué

es

DLE

CR

appo

rts

d'ac

tivité

s du

D

LEC

Trim

estr

ielle

DLE

CLe

s m

odifi

catio

ns lé

gale

s et

rég

lem

enta

ires

pert

inen

tes

sont

ef

fect

uées

Ren

forc

er le

s dr

oits

du

cont

ribua

ble

tout

en

déco

urag

eant

les

reco

urs

abus

ifs

DLE

CR

appo

rts

d'ac

tivité

s du

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LEC

Sem

estr

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DLE

CLe

s m

odifi

catio

ns lé

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s p

ertin

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s so

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ffect

uées

Sim

plifi

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for

me

des

text

es f

isca

ux

Ind

icat

eurs

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po

nsa

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n

Mét

ho

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uti

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e co

llect

e d

e l’i

nfo

rmat

ion

Fré

qu

ence

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la c

olle

cte

Ori

enta

tio

n 3

Pro

mo

tio

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u c

on

sen

tem

ent

à l'i

mp

ôt

Axe

1C

om

mu

nic

atio

n

Axe

2L

égis

lati

on

Per

met

tre

aux

entr

epris

esco

ncer

nées

par

le

préc

ompt

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amél

iore

r le

ur g

estio

n de

tré

sore

rie

Sem

estr

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DLE

CR

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rts

d'ac

tivité

s du

DLE

CD

LEC

Les

mod

ifica

tions

léga

les

per

tinen

tes

sont

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ctué

es

Page 73: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

73PDSAF 2008 - 2012

Dans le cadre du PDSAF, il s'agit de procéder à une évaluation globale des besoins financiersprévisibles sur la période 2008-2012. Le budget devra par la suite être décliné par objectif,par année et par structure dans le cadre des plans d'actions opérationnels. Les contrats pluriannuels de performance comporteront aussi pour chaque période concernée une estimation des coûts.

A/ LES PRINCIPALES CIBLES

- La base de données

Initiée depuis à la fin des années 90, la mise en place d'une base de données relationnelle a été accélérée avec l'avènement du SIGTAS et du SIG cadastral. Les principaux éléments architecturaux existent : le logiciel Oracle IAS et BD, le matériel informatique, le réseau et les données. Ces dernières constituent le point faible du systèmedu fait de leur insuffisance et du manque d'applications spécifiques pour les prendre encompte.

Il s'agira donc de compléter la base par des opérations de collecte de données et par leurprise en charge avec des applications informatiques à développer.

- La dématérialisation du livre foncier

La dématérialisation du livre foncier est en réalité l'aboutissement de l'informatisation desconservations foncières et des bureaux des domaines. Avec l'outil informatique, les conservations foncières et les bureaux des domaines seront moins surchargés pour absorberle flux des morcellements et créations de titres fonciers. L'instruction des dossiers de bauxsera également plus diligente et la gestion des informations foncières et domaniales plusfacile et transparente.

Le système permettra à terme :- de tenir un fichier des propriétaires ;- des tables de baux actualisés ;- une situation des redevances domaniales maîtrisée;- une amélioration notable du recouvrement des redevances domaniales et des

droits d'enregistrement et de timbre ; - d'établir un tableau exhaustif des propriétés de l'Etat et des particuliers ;- d'éviter les consignations provisoires ;- de simplifier les procédures et de réduire les délais d'immatriculation.

- Le SIGTAS

Dans le cadre de la rationalisation de ses procédures de gestion, la DGID, a acquis en 2005,un progiciel de gestion des impôts et taxes, SIGTAS, intégrant les divers domaines de sacompétence.

LE BUDGET PREVISIONNELPARTIE IV

Page 74: PDSAF 2008 - 2012servicepublic.gouv.sn/assets/textes/pdsaf2008-2012.pdf · PDSAF 2008 - 2012 La Direction générale des impôts et des domaines, pour la première fois de son histoire,

74PDSAF 2008 - 2012

L'implantation de ce progiciel, actuellement opérationnel dans certains CSF et au Centre desgrandes entreprises (CGE). A terme l'ensemble des services sera doté d'un système performant de gestion des impôts et taxes.

L'implantation du système pour les services fiscaux de la région de Dakar devrait se faire auplus tard au cours du second semestre 2008 avant de s'étendre sur l'ensemble des autresrégions du Sénégal en 2009.

L'exécution de ce plan requiert, toutefois, des préalables qui doivent impérativement êtrerésolus en vue de permettre l'implantation dans les meilleures conditions du système aussibien au niveau de la région de Dakar que dans les autres régions.

Pour ce qui concerne les centres des services fiscaux de la région de Dakar, la principale difficulté, réside dans l'indisponibilité des crédits devant permettre de finaliser lesliaisons informatiques entre les centres situés en dehors du bloc fiscal et le site central.

Les mêmes difficultés sont notées concernant les centres fiscaux situés dans les autresrégions qui, en plus des liaisons, nécessitent une réhabilitation pour abriter le SIGTAS.

- Le Plan cadastral national numérisé

Outil indispensable à l'existence d'un cadastre efficace, le Plan cadastral national sera unereprésentation parcellaire de l'ensemble des communes du Sénégal. Compte tenu de la complexité de notre régime foncier, il sera composé des plans cadastraux types à but fiscalet des plans topographiques et fonciers. Chaque localité sera découpée en sections cadastrales qui feront l'objet d'une feuille de plan normalisée. La numérisation du Plan cadastral national signifie sa réalisation, son exploitation et sa mise à disposition par voieinformatique.

Il connaît un début de réalisation avec l'acquisition, par la DGID, sur fonds propres, de la cartographie numérique des 40 villes les plus significatives du Sénégal que la mise en œuvredu PAMOCA permettra de conserver et d'étendre sur les autres localités du pays.

- La déconcentration de l'administration fiscale

L'exigence d'un service public de proximité ainsi que la nécessité d'un maillage fiscal de l'ensemble du territoire national rendent indispensable la présence de la DGID au niveau dela totalité des départements du pays.

La déconcentration de l'administration fiscale vise le rapprochement des services de lamatière imposable. Le rapprochement permettra le traitement exhaustif de l'assiette fiscale etune meilleure qualité des services. La déconcentration qui ira jusqu'au niveau départemental s'appuie sur un important programme de construction de centre des servicesfiscaux (CSF).

A ce titre, il est prévu de déployer 20 CSF à l'horizon 2012. L'estimation du coût de construction d'un centre et des équipements s'établit à environ 607 millions de Fcfa (7 millionspour l'équipement). Chaque site de la DGID (18) sera doté d'une structure d'accueil dont lecoût total est estimé à 135 000 000 FCFA.

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75PDSAF 2008 - 2012

- Les ressources humaines complémentaires

La DGID souffre d'un déficit chronique en ressources humaines. Le programme spécial de recrutement dans la fonction publique des trois dernières années a permis de pallier partiellement cette insuffisance.

Néanmoins, la mise en œuvre du PDSAF rend nécessaire des prévisions de recrutement. S'agissant de la modernisation du Cadastre, un effort soutenu devra aussi êtreentrepris. Un fonctionnement efficient suppose l'affectation d'un géomètre par centre départemental.

Le PDSAF préconise de mettre en place une nouvelle organisation (Cf. supra orientation 2 de l'objectif II) qui nécessitera l'affectation de personnel additionnel. Il en va demême pour l'ambitieux programme de départementalisation de CSF et la dotation en servicesd'accueil fonctionnels.

- La mise en place de l'infrastructure technique

Le nouvel environnement induit d'une part, par le SIGTAS et d'autre part, par la numérisation du cadastre et l'informatisation de la conservation foncière, contribuera à modifier sensiblement les méthodes traditionnelles de travail des agents. Cet environnementnécessite des moyens importants en termes de mesures d'accompagnement : locaux adaptés, équipements informatiques, topographiques, cartographiques, moyens de transportet mobiliers de bureau.

- Le plan de communication

Informer le public sur le calendrier des obligations fiscales, associer les partenaires et présenter l'actualité de la DGID sont les objectifs assignés au plan de communication. Il comprendra notamment :

- des émissions mensuelles d'information et de sensibilisation en français et dans les langues nationales dans deux stations radio (Sud FM et RFM)

- l'organisation de journées nationales d'information sur les Impôts et Domaines et des campagnes d'affichage. Présentation à la presse des résultats de la DGID et l'état d'avancement du PDSAF et du contrat de performance ;

- des éditions de dépliants et de prospectus ;- des campagnes télévisées : diffusion de spots, sketchs et films institutionnels, etc.

- Le plan de formation

L'appropriation du PDSAF nécessite une mise à niveau technique, y compris dans le domainedu management et de l'accueil des usagers. Le volet formation constitue le levier principal dela conduite du changement.

Le plan est notamment orienté vers :- les formations techniques en particulier dans le domaine du contrôle ;- les actions visant à améliorer la réception des usagers ;- les formations au management, au contrôle de gestion et la gestion des ressources

humaines et budgétaires ;- les séminaires de suivi du PDSAF.

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76PDSAF 2008 - 2012

B/ L'EVALUATION DU BUDGET

Pour les besoins de l'évaluation financière, les différents axes de la modernisation sont articulés autour des deux domaines suivants:

- les ressources humaines additionnelles

- les investissements qui regroupent :

l'informatisation comportant notamment la base de donnée relationnelle (BDR), la dématérialisation du livre foncier, le Plan cadastra! national numérisé et le déploiement du SIGTAS ;

les équipements .

Les plans de formation et de communication.

1/ LES RESSOURCES HUMAINES ADDITIONNELLES

Plusieurs actions prévues par le PDSAF nécessitent de prévoir des recrutements d'agents :- la construction de vingt (20) centres de services fiscaux au niveau départemental;- la mise en place de services d'accueil dans 18 sites de la DGID;- la mise en œuvre de la nouvelle organisation comportant en particulier la

création des directions interrégionales chargée de coordonner l'action de l'administration fiscale au niveau local;

- la mise à niveau des effectifs;- les besoins liés à la création de brigades spécialisées.

Au-delà des objectifs du PDSAF, la DGID doit, prendre en compte certains indicateurs de pilotage des ressources humaines tels que la situation des effectifs, la gestion des carrières,les mouvements du personnel (entrées, sorties)… Aussi, compte tenu de tous ces paramètres, il convient de définir les profils des postes et de planifier régulièrement lesbesoins en ressources humaines et leurs coûts.

1.1 - LES BESOINS

L'identification des besoins en ressources humaines de la DGID et la planification de leurrecrutement doivent nécessairement prendre en compte les agents qui seront admis à fairevaloir leur droit à la retraite durant la période 2008-2012. Le déploiement de l'administrationfiscale au niveau départemental, la mise en place d'une nouvelle architecture dans l'organisation de la DGID, le comblement du passif et la création de services d'accueil, constituent les autres éléments à prendre en considération.

1.1.1/ Les besoins liés aux départs à la retraite

De 2008 à 2012, cent cinquante et un (151) agents soit 17% des effectifs de l'administration fiscale seront admis à faire valoir leurs droits à la retraite. Il est nécessaire,dès à présent, de planifier le recrutement du personnel qui permettra de combler ce gap ennombre et en qualité.

Le tableau ci-après présente les révisions de départs sur la période du plan.

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77PDSAF 2008 - 2012

Sources : Bureau de l'Administration, du Budget et de l'Equipement (DAP). 2008

Corps (catégorie) 2008 2009 2010 2011 2012 Total

Inspecteur des Impôts et des Domaines (A) 4 5 5 7 7 28

Contrôleur des Impôts et des Domaines (B) 1 3 6 4 6 20

Archiviste (B) - - - 1 - 1

Ingénieur Topographe (A) - 3 3 2 1 9

Topographe (B) 4 - 3 2 2 11

Agent d'assiette et de constatation (C) 3 4 2 4 6 19

Secrétaire d'administration (B) 1 - 2 1 1 5

Commis d'administration(C) 3 2 2 6 9 22

Commis d'administration(C) 3 2 2 6 9 22

Agent d'administration (D) 3 2 - - 1 6

Agent technicien statistique(C) - - - 1 1

Comptable(C) - - - 1 1

Dessinateur(C) - 1 1 - - 2

Secrétaire dactylographe (D) 5 7 6 4 4 26

Total 24 27 30 32 38 151

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78PDSAF 2008 - 2012

Synthèse par catégorie

Catégorie A : 37

Catégorie B : 37

Catégorie C et D: 77

Répartition par année

1.1.2/ Les besoins liés à la création de centres départementaux des services fiscaux

L'accomplissement des différentes missions fiscales, foncières, cadastrales et domanialesnécessite un effectif en personnel minimum dont le nombre et la composition dépendent desspécificités de son périmètre de compétence.

Le PDSAF propose une classification des centres par ordre d'importance afin de faciliter ladéfinition des postes à pourvoir et les effectifs correspondants.

Le critère démographique constitue le premier élément d'appréciation.

Catégorie 1 : grands centres urbains ou plus de 100 000 habitants.

Catégorie 2 : centres urbains de 30 000 à 100 000 habitants.

Catégorie 3 : petites villes ou moins de 30 000 habitants.

Outre, le critère démographique, l'importance du tissu fiscal et/ou des enjeux financiers et fonciers constituent des éléments d'appréciations à prendre en compte pour déterminer lacatégorie du centre. Le critère de la proximité entre aussi en ligne de compte. Ainsi, lesbesoins en ressources humaines sont déterminés en fonction du nombre de centres à édifierchaque année et de sa catégorie

Les centres de catégorie 1 et 2 ont vocation à être dirigés par des cadre A. Les centres de catégorie 3 seront pilotés par des contrôleurs. Naturellement, tous les chefsde centre devront faire preuve de qualités managériales affirmées.

Pour assurer les besoins du service, la DGID peut opter pour un remplacement des agents à la retraite en nombreseulement sans considération de la catégorie ou des profils

Catégorie

A

B

CD

Total

2008

4

6

14

24

2009

8

3

16

27

2010

8

11

11

30

2011

9

8

15

32

2012

8

9

21

38

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79PDSAF 2008 - 2012

Corps

Inspecteur des Impôts et Domaines

Inspecteur du Cadastre

Contrôleur des Impôts et Domaines

Total

Topographe

Agent d'assiette

Aide topographe

Dessinateur

Chauffeur

Secrétaire

Catégorie 1

> 1

1

> 4

>= 16

1

> 4

> 2

1

1

1

Catégorie 2

1

-

4

15

1

4

2

1

1

1

Catégorie 3

-

-

3

10

1

3

1

-

1

1

Classification des centres fiscaux et besoins en ressources humaines

Classification des centres fiscaux et besoins en ressources humaines

BESOINS EN RESSOURCES HUMAINES SUR DE 2008 À 2012

Le PDSAF prévoit la mise en place de vingt (20) centres de services fiscaux (19 créations et une installation) à l'horizon 2012 (Cf. tableau infra) essentiellement de catégorie 3. Un centre de catégorie 1 (Guédiawaye) et quatre de catégorie 2 (Kédougou,Sédhiou, Kaffrine et Mbacké) sont prévus. Le CSF de Guédiawaye existe juridiquement maisl'infrastructure matérielle n'est pas encore disponible.

Années

Total

2010

2011

2012

Nombre de centres à créer

4

20

2

7

6

1

B

20

85

8

28

24

5

Total par catégorie

C

36

135

12

42

36

9

Effectiftotal

60

228

20

70

60

18

Catégorie

2

-

3

3

3

1

A

4

8

0

0

0

4

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80PDSAF 2008 - 2012

Planification des constructions des CSF dans les départements

Départements Catégorie Echéances

1 Bakel 3 2010

2 Kédougou 2 2010

3 Mbacké 2 2010

4 Sédhiou 2 2010

5 Kaffrine 2 2010

6 Koungheul 3 2010

7 Linguère 3 2011

8 Podor 3 2011

9 Oussouye 3 2011

10 Vélingara 3 2011

11 Kébémer 3 2011

12 Bignona 3 2011

13 Kanel 3 2011

14 Bambey 3 2012

15 Tivaouane 3 2012

16 Guinguinéo 3 2012

17 Foundiougne 3 2012

18 Ranérou 3 2012

19 Gossas 3 2012

20 Guédiawaye* 1 2012

* Les textes de création de ce CSF sont déjà pris reste à mettre en place l'infrastructure.

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81PDSAF 2008 - 2012

Catégorie A

SERVICES ADMINISTRATION CENTRALE

Catégorie B Catégorie C TOTAL

Documentation et Archives 1 1 1 3

Planification et de la Stratégie 4 1 1 6

Législation, Etudes et du Contentieux 5 5

Contrôle fiscal 6 3 1 12

Contrôle Interne 3 3

Ressources et Formation 2 2 2 6

Systèmes d'Information 1 1

Relations Publiques et Communication 1 1 2

TOTAL 1 23 8 6 38

LE RESEAU

Inter-région Sud 2 3 2 7

Inter-région Centre 2 3 2 7

Inter-région Nord 2

Région Dakar 2

Grandes Entreprises 1

TOTAL 2 9 13 2 30

TOTAL GENERAL 31 21 8 60

1.1.3/ Les besoins liés à la mise en place de services d'accueil.

Le PDSAF envisage de doter 18 sites de services d'accueil. Au niveau du bloc fiscal, le service d'accueil prévu dès 2008 comprendra 2 agents. Pour les autres sites, en 2009, unagent sera chargé de gérer ce service. Ces préposés devront avoir une certaine technicitédans le domaine des procédures (droits et obligations des usagers) tout en faisant preuved'aptitudes affirmées au dialogue. Le choix sera porté sur des agents d'assiette formés auxtechniques d'accueil.

Au total, la mise en place des services nécessite le recrutement de 19 agents d'assiette.

1.1.4/ la mise à niveau des effectifs

Les centres des services fiscaux comme les bureaux souffrent d'un déficit chronique en personnel. L'analyse de ce déficit a permis d'établir que sa résorption nécessitera le recrutement de 238 personnes réparties comme suit :

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82PDSAF 2008 - 2012

1.1.5/ Les besoins liés à la création de brigades spécialisées

Le contrat prévoit la création de 4 brigades spécialisées: finance, transport aérien et deshydrocarbures, immobilier et une brigade de contrôle patrimonial chargée de la mise enœuvre des examens de situation fiscale personnelle.

Au total, ces structures nécessitent l'affectation de 20 inspecteurs.

SYNTHESE DES BESOINS EN RESSOURCES HUMAINES

Grade Nombre

Inspecteur des ID 21

Inspecteur du Cadastre 4

Contrôleur des ID 29

agents administratifs 2

Topographe 27

Agent d'assiette 52

Aide topographe 34

Dessinateur 23

Secrétaire 15

Divers (commis, chauffeurs..) 31

TOTAL 238

Catégorie A Catégorie B Catégorie C/D TOTAL

Départs à la retraite 37 37 77 151

CSF départementaux 8 85 135 228

Organisation 31 21 8 60

Services d'accueil 0 0 19 19

Mise à niveau des services 25 59 154 238

Brigades spécialisées 20 20

TOTAL 121 202 393 716

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83PDSAF 2008 - 2012

1.2 - RESSOURCES HUMAINES : LE COÛT FINANCIER DES RECRUTEMENTS DE 2008 À 2012

1.2.1 Les coûts moyens unitaires par categorie

Les coûts des agents à recruter sont calculés en fonction de leur nombre et de leurs revenusmoyens annuels intégrant l'ensemble des rémunérations courantes. L'apport du plan enterme de recettes fiscales devrait permettre d'amortir ces coûts sur la durée.

1.2.2 Le coût total des besoins en effectifs.

Au total, les besoins en ressources humaines de l'administration fiscale durant la période demise en œuvre du PDSAF s'élèvent à 716 agents pour un coût global de : 3 157 123 990 Fcfa.

2/ LES INVESTISSEMENTS (CF. TABLEAUX INFRA).

Les principales cibles du PDSAF ont fait l'objet d'une évaluation. Pour ce faire, le responsable du PAMOCA, les personnels du DAP, du BIMS et du bureau de la communication ont été mis à contribution.

Grade

CATÉGORIE A

CATÉGORIE B

CATÉGORIE C

CATÉGORIE d

TOTAL

Nombre

121

202

364

29

716

Coût total

1 113 200 000

1 008 384 000

1 006 096 000

29 443 990

3 157 123 990

2010 2011 2012 TOTAL

Départ retraite 158 916 000 164 196 000 176 572 000 737 932 000

Création CSF 309 248 000 255 864 000 305 948 000 871 060 000

Organisation 412 144 000 412 144 000

Accueil 52 516 000

Brigades spécialisées

184 000 000

Mise à niveau des services

299 681 100 300 109 790 899 471 990

TOTAL 1 179 989 100 720 169 790

208 2009

105 448 000 132 800 000

52 516 000

184 000 000

299 681 100

105 448 000 668 997 100 482 520 000 3 157 123 990

RÉPARTITION PAR ANNÉE DES COÛTS

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84PDSAF 2008 - 2012

Les tableaux suivants présentent, pour chaque cible, le coût unitaire et l'évaluation globaleainsi que le planning des engagements prévus à la lumière des échéances fixées dans le planpour chaque action.

Le coût total des investissements s'établit hors rémunérations à : 37 674 619 400 FCFA.

En intégrant le coût global (3 157 123 990 FCFA) des recrutements proposés, le budget prévisionnel du PDSAF est estimé à un montant total de : 40 831 743 390 FCFA.

Les engagements annuels sur la période du plan s'établissent comme suit :

Année

2008

2009

2010

2011

2012

Montant

6 754 168 000

7 247 603 700

9 057 995 698

9 004 812 890

8 767 163 100

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85PDSAF 2008 - 2012

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87PDSAF 2008 - 2012

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88PDSAF 2008 - 2012

La mise en œuvre du PDSAF doit se faire en s'appuyant sur un contrôle adéquat et une évaluation diligente. Le PDSAF recommande le suivi de certaines diligences.

Niveau I - Application du plan d'actions

La DGID mettra en place un service chargé de la planification, de la stratégie et du suivi et,un comité pour le dialogue de gestion. Ces deux organes veilleront à l'application conformedes différentes activités prévues dans le PDSAF. Ils assureront une assistance au management global de la DGID. L'Unité sera rattachée au Directeur général tandis que leComité se réunira de manière régulière.

1-1 : Le Bureau de la Stratégie (BS)

Il devra normaliser, diffuser, et veiller à l'utilisation des outils de la gestion axée sur les résultats (GAR) que la hiérarchie jugera nécessaire d'introduire dans le management de laDGID.

Le BS devra en particulier :

- gérer le volet du changement en élaborant le programme de mise en œuvre du PDSAF ;

- assurer la gestion du Cadre de mesure de rendement ;- préparer les futurs plans et contrats de performance DGID/MEF ;- préparer le plan de travail annuel de la DGID (déclinaison annuelle du PDSAF);- aider les différents services à se doter de tableaux de bord du service et de

suivi de leurs activités (état du personnel, des emplois, des finances et du fonctionnement technique et administratif);

- préparer le plan d'action par structure de la DGID;- exploiter les rapports d'activités mensuels, trimestriels, semestriels et annuels des

services ;- faire diffuser, au niveau de la DGID, les rapports d'activité semestriels et annuels des

différents services;- appuyer le CODIG dans le cadre du dialogue de gestion ;- organiser l'évaluation du PDSAF et du contrat de performance.

1-2 : Le Comité pour le dialogue de gestion (CODIG)

Le CODIG sera mis en place en 2008. Présidé par le Directeur du contrôle interne, il est unestructure de conseil pour les chefs de service de la DGID. Sa méthodologie de travail repose sur des entretiens à l'occasion desquels les responsables doivent fournir des explications circonstanciées sur leurs réalisations (Rapport d'activités semestriel ou annueldu service concerné) et soumettre à la discussion leurs plans d'actions annuels.

Un accent particulier est mis sur les responsabilités du Chef de service dans l'atteinte desindicateurs de résultats qui lui ont été assignés dans le programme déjà exécuté. De même,il est attendu du Chef de service qu'il fasse état de toutes les ressources (humaines et matérielles) qu'il juge nécessaires à la réussite de son programme futur.

LA MISE EN ŒUVREPARTIE V

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89PDSAF 2008 - 2012

Suite aux différents entretiens dont le format (durée, contenu) est normalisé, le CODIGadresse un rapport complet au Directeur, supérieur hiérarchique du responsable concernéainsi qu'au Directeur général des impôts et des domaines. A la suite de ce processus, leDirecteur général valide le programme d'activité du chef de service. Le Rapport pourra servirà asseoir la notation de l'agent ou fonder une décision administrative.

Niveau II - Contrôle/Audit

Une responsabilité importante est dévolue à la DCI dans l'exécution du PDSAF en rapport avec sa mission de contrôle des services. La DGID veillera particulièrement à améliorer les interventions de la DCI par la mise en place d'un manuel d'inspection avant lafin 2008.

De même, la DCI devra élaborer le manuel des procédures de la DGID.

Ce manuel doit identifier toutes les fonctions essentielles exécutées par les services afin deles normaliser en précisant, notamment :

- les tâches exécutées ;- le processus d'accomplissement;- les informations liées à chacune d'elles, - les documents justifiant la réalisation des tâches.

Le manuel doit être diffusé et tenu à la disposition des structures administratives et des usagers.

Il sera mis un accent particulier à l'élaboration du plan d'action de la DCI qui devra s'attacherau contrôle de l'état d'exécution des différentes actions dégagées dans le PDSAF. A ce titre,lors de chaque contrôle, la DCI proposera systématiquement des recommandations précisespour corriger d'éventuels écarts décelés entre les réalisations et les résultats prévus.

Niveau III- Evaluation

L'évaluation est une étape essentielle dans la mise en œuvre du PDSAF et il est souhaitabled'y associer tous les partenaires.

A mi-parcours, en décembre 2010 et en fin d'exécution du Plan, en décembre 2012, l'évaluation sera assurée pour les objectifs 2 et 3 par l'IGF et pour l'objectif 1 par unConsultant qui devra travailler en étroite collaboration avec des représentants des ordres etorganisations professionnels, ainsi que les partenaires au développement ayant participé aufinancement des activités du PDSAF.

Chaque rapport devra en particulier fournir une réponse circonstanciée aux questions suivantes :

- Efficacité : les actions identifiées ont -elles été réalisées ? La logique de l'intervention est -elle respectée ?

- Efficience : les moyens ont-ils été utilisés de façon optimale pour atteindre les résultats prévus ? Quelles alternatives auraient produit une meilleure efficience ?

- Impact : Le PDSAF a-t-il permis d'atteindre les finalités à long terme qu'il s'était assigné (qualité des prestations aux usagers, modernité de l'administration, taux de pression fiscale) ? Quelles en ont été les conséquences imprévues (positives ou négatives)?

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90PDSAF 2008 - 2012

- Durabilité : les impacts positifs décelés seront-ils durables ?

LES RAPPORTS D'EVALUATION SERONT RENDUS PUBLICS ET DISPONIBLES SURLE SITE DE LA DGID

Niveau IV Les recommandations

S'agissant de l'application du PDSAF, trois diligences sont proposées sur :

la mise en œuvre

Le PDSAF doit d'abord faire l'objet d'une approbation par les autorités ; à la suite de quoi, unplan de lancement doit être établi, et un plan de communication interne et externe adopté envue d'informer l'ensemble des acteurs du nouveau cadre de fonctionnement de la DGID.Ainsi, les différents partenaires et agents se sentiront concernés par sa mise en œuvre.

la conduite du changement

La mise en œuvre du PDSAF va induire des changements, des mutations dans les habitudes, les comportements et modalités de fonctionnement de l'administration fiscale. Unedémarche cohérente de changement s'impose alors, qui s'appuie sur des valeurs fortes dedialogue, de confiance et de transparence. Cette démarche a pour objectif, grâce à desmodes de fonctionnement internes plus participatifs, d'assurer les conditions de réalisationefficiente du Plan.

l'articulation avec les contrats de performance

Par ailleurs, la DGID doit engager une réflexion sur l'harmonisation du PDSAF avec lescontrats de performance qui vont désormais la lier avec les autorités ministérielles. Cescontrats peuvent être une déclinaison pratique du Plan. En effet, celui-ci peut constituer lesocle des contrats de performance. Il retrace le diagnostic, fixe des objectifs et détermine lesmoyens pour les atteindre, toutes choses indispensables à l'élaboration d'un contrat de performance. De même, le Plan peut servir de base aux contrats d'objectifs et de moyensentre le Directeur général et les responsables opérationnels. C'est dire qu'une mise en cohérence d'ensemble de ces deux outils stratégiques de gestion axée sur les résultats estune nécessité de premier ordre.

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91PDSAF 2008 - 2012

ANNEXES

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94PDSAF 2008 - 2012

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95PDSAF 2008 - 2012

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96PDSAF 2008 - 2012

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97PDSAF 2008 - 2012

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98PDSAF 2008 - 2012

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99PDSAF 2008 - 2012

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100PDSAF 2008 - 2012

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101PDSAF 2008 - 2012

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102PDSAF 2008 - 2012

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103PDSAF 2008 - 2012

Valeur ddlSignificationasymptotique

(bilatérale)

Significationexacte

(bilatérale)

Significationexacte

(unilatérale)

Khi-deux de PearsonCorrection pour la continuitéa

Rapport de vraisemblanceTest exact de FisherAssociation linéaire par linéaireNombre d'observations valides

a. Calculé uniquement pour un tableau 2x2b. 0 cellules (,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5. L'effectif théorique minimum est de 13,93

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a. L'hypothèse nulle n'est pas considérée.b. Utilisation de l'erreur standard asymptotique dans l'hypothèse nulle.c. Basé sur une approximation normale.

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INTERPRETATION DU TABLEAU CROISE/ TEST DU KHI-DEUX/ MESURES SYMETRIQUES

Un questionnaire passé à un échantillon représentatif d’agents de l’administration fiscale montre l’existence d’une relation entre le cadre physique de travail et l’état psychologique du personnel, donc de leur performance.

On remarque que 64,3% de la population enquêtée affirme travailler dans des conditions psychologiques découlant d’un cadre physique peu favorable à l’épanouissementdes agents, ce qui constitue un frein à la productivité des agents.

Un test du khi carré a permis de confirmer la présence d’une relation statistiquement significative entre les deux variables.

Le coefficient Phi pour sa part, permet d’affirmer que la relation entre le cadre physique et l’état psychologique des agents semble être forte.

ANNEXE 12

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104PDSAF 2008 - 2012

ANNEXE 13

APPRECIATION DE LA REMUNERATION SELON LA HIERARCHIE

Hiérarchie

DCBA

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Bien rémunéré

Mal rémunéré

AXES DE MODERNISATION DE LA DGID

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ImpressionGaël Imprimerie

(221) 33 824 51 56

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