COURSINTENSIF de

CANCÉROLOGIEDIGESTIVE

FFCD - PRODIGE

www.ffcd.fr

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RENNES

8 - 9 novembre 2018HÔTEL MERCURE CENTRE GARE

COMITÉ SCIENTIFIQUE : Pr A. Lièvre - Dr J. Edeline - Pr L. Siproudhis - Pr K. Boudjema - Pr L. Sulpice - Dr R. Faroux - Pr P. Michel

EN ONCOLOGIE DIGESTIVEPARTENARIAT DE RECHERCHEEN ONCOLOGIE DIGESTIVEPARTENARIAT DE RECHERCHE

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COURS INTENSIF DE CANCÉROLOGIE DIGESTIVERENNES

8 - 9 NOVEMBRE 2018

HÔTEL MERCURE CENTRE GARE

COMITÉ SCIENTIFIQUEPr A. Lièvre - Dr J. Edeline - Pr L. Siproudhis - Pr K. Boudjema - Pr L. Sulpice - Dr R. Faroux et Pr P. Michel.

La FFCD et PRODIGE organisent le prochain cours intensif de cancérologie digestive les 8 et 9 novembre 2018 à Rennes.

Placé sous l’égide de la SNFGE, ce cours est reconnu comme formation agréée (N° d’agrément de la SNFGE  :

100 081).

Les cours se dérouleront à l’Hôtel Mercure Centre Gare, situé à quelques minutes à pied de la station de

métro Charles de Gaulle et à 6 minutes à pied de la gare de Rennes.

Le Parlement de Bretagne, officiellement palais du parlement de Bretagne, est un monument emblématique de Rennes et de la Bretagne. Situé place du Parlement de Bretagne, il abrite la cour d’appel. Il fut le siège du parlement de Bretagne Construit de 1618 à 1655, le palais a vu se succéder plusieurs architectes, comme Germain Gautier, Pierre Corbineau, Jacques Gabriel ou Salomon de Brosse. Le rez-de-chaussée est en granit gris des îles Chausey, le tuffeau orné de décors sculptés, provient du val de Loire et l’imposante toiture pentue est d’ardoises de Maël-Carhaix.

EN ONCOLOGIE DIGESTIVEPARTENARIAT DE RECHERCHE

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LES INTERVENANTS DU COURSJean-Baptiste Bachet (Pitié Salpetrière - Paris)

Damien Bergeat (CHU - Rennes)

Karim Boudjema (CHU - Rennes)

Laetitia Dahan (CHU - Marseille)

Romain Desgrippes (CH - St Malo)

Frederic Di Fiore (CHU Rouen)

Frederic Dumont (Institut de Cancérologie de l’Ouest - Nantes-St Herblain)

Julien Edeline (CHU - Rennes)

Roger Faroux (CH - La Roche Sur Yon)

Eric François (Centre Lacassagne - Nice)

Khemara Gnep (Centre Eugène Marquis - Rennes)

Rosine Guimbaud (CHU - Toulouse)

Bruno Landi (HEGP - Paris)

Côme Lepage (CHU - Dijon)

Samuel Le Sourd (Centre Eugène Marquis - Rennes)

Astrid Lièvre (CHU - Rennes)

David Malka (Gustave Roussy - Villejuif )

Gilles Manceau (CHU Pitié Salpétrière - Paris)

Jean-Philippe Metges (CHU - Brest)

Louis De Mestier (Hôpital Beaujon - Clichy)

Pierre Michel (CHU - Rouen)

Claire Pery (CHP - Saint-Grégoire)

Frédérique Peschaud (Hôpital Ambroise Paré - Boulogne Billancourt)

Laurent Siproudhis (CHU - Rennes)

Laurent Sulpice (CHU - Rennes)

Véronique Vendredy (CHU - Bordeaux)

Timothée Wallenhorst (CHU - Rennes)

Aziz Zaanan (HEGP - Paris)

Yasmina Zoheir ( CH - Lorient)

La statue du maire Jean Leperdit veille sur la place Champ-Jacquet dans la vieille ville de Rennes. Ce Breton, tailleur de profession avec boutique sur la place Sainte-Anne, représenta la république à Rennes, pendant la Révolution. Apprécié pour ses idées modératrices face au redoutable Carrier, il adoucit les effets de la Terreur dans la capitale bretonne, et c’ est ainsi qu’il fut plébiscité par ses concitoyens pour devenir Maire de la ville, entre 1794 et 1795.

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Le programme de ce Cours Intensif de Cancérologie Digestive est enregistré

sur le site de l’ Agence du DPC. Le CEFA HGE est l’organisme DPC de l’HGE.

Il regroupe toutes les composantes scientifiques et professionnelles sans excep-

tion et cette création s’est faite en concertation étroite avec le Conseil National

Professionnel d’Hépato-Gastroentérologie (CNP HGE). Il est issu de l’union du CEPP HGE agréé pour l’éva-

luation des pratiques et de l’EA-HGE agréé pour l’accréditation. Sa mission est d’accompagner l’ensemble

des hépato-gastroentérologues, libéraux et salariés, dans leur démarche DPC.

Les membres fondateurs du CEFA sont les sociétés savantes et associations qui représentent l’ensemble des

composantes hospitalières, hospitalo-universitaires et libérales de la spécialité, regroupées au sein du CNP

HGE (Conseil National Professionnel d’Hépato-Gastro-Entérologie).

En participant au Cours Intensif FFCD des 8 et 9 novembre 2018, vous pouvez valider votre DPC pré-

sentiel en Cancérologie Digestive. Rendez-vous sur le site du CEFA HGE : https://www.cefa-hge.fr/

programmes/actualites-en-cancerologie-digestive-cancer-colo-rectal-tumeurs-endocrines-digestives-ff-

cd-prodige-rennes-2018/ pour vous inscrire (N° d’action DPC : 36451800023 - N° de session : 2).

Pour les médecins libéraux : Parallèlement à l’inscription auprès du CEFA HGE lors du choix de l’action

DPC, ils doivent renseigner sur le site mondpc.fr (issu de l’Agence Nationale du DPC) la fiche individuelle

avec leur numéro RPPS, sans oublier de télécharger un RIB au format PDF. C’est l’ANDPC qui leur adres-

sera, une fois leur action DPC complètement réalisée, directement leurs indemnités qui correspondent

aux heures de perte de ressources pour le médecin. Vous avez la possibilité de faire financer plusieurs

actions DPC par an, en fonction de leur coût.

Pour les médecins salariés : Ils doivent passer par la Direction des affaires médicales de l’Etablissement

qui dans 75 % des cas est adhérent auprès d’un Organisme Paritaire Collecteur Agréé (ex : l’ANFH). Il y a

un « risque d’obstruction administrative » dans le libre choix des médecins pour l’ODPC qu’ils souhaitent.

Pour toute information, merci de contacter le CEFA HGE :

La directrice exécutive du CEFA HGE, Nathalie Schneider-Gary (direction@cefa-hge.fr), est disponible du

lundi au samedi sur son portable (06 28 68 06 57) pour vous aider et répondre à vos questions.

Vous pouvez aussi contacter le CEFA HGE par émail : cefahge@gmail.com. En fonction de votre demande, le

Dr Béatrice Dupin (DPC classique) ou le Dr Bernard Croguennec (DPC Accréditation) vous rappellera (merci

de donner vos coordonnées téléphoniques).

Les cours pour le DPC sont indiqués avec le logo

DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL CONTINU (DPC)

DPC

Elles sont disséminées partout, il suffit juste d’avoir l’ œil. Les mosaïques d’Isidore et Vincent Odorico, deux frères originaires de la province de Frioul (qui ont migré en France pour des raisons économiques) font partie intégrante du patrimoine de Rennes qui depuis dix ans fait redécouvrir ces œuvres longtemps oubliées, voire détruites.

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DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL CONTINU (DPC)

► Renseignements et inscriptions Géraldine VaudritSecrétariat de la FFCD 7, Bd Jeanne d’Arc BP 87900 - 21079 - Dijon CedexLigne directe : 03 80 39 33 86 / Secrétariat : 03 80 38 13 14 Fax : 03 80 39 34 85 Email: Geraldine.Vaudrit@u-bourgogne.fr

Frais d’inscription* (adresser un chèque libellé à l’ordre de « FFCD ») ► Médecin : 350 € (250 € pour les membres de la FFCD)

► CCA : 150 € (100 € pour les membres de la FFCD)

► Interne : gratuit* ces tarifs comprennent les déjeuners du 8 et du 9 novembre 2018

► Pour venir à RennesSNCF

Des coupons de réduction sont disponibles sur simple demande à la FFCD

lors de l’inscription (voir le bulletin d’inscription).

AIR FRANCE - KLM

Si vous souhaitez bénéficier d’une réduction de tarif sur les vols Air

France et KLM, connectez vous sur le lien internet :

http://globalmeetings.airfranceklm.com/Search/promoDefault.aspx?vendor=AFR&promocode=

34113AF&currentculture=fr-FR

et entrez le code identifiant: 34113AF

ORGANISATION MATÉRIELLE

PORTES MORDELAISESReconstruite au XVe siècle, cet édifice qui se caractérise par ses deux tours symétriques rehaussées de mâchicoulis avec double pont-levis constituait l’entrée principale de la ville fortifiée. Elle fut également nommée « porte royale », en référence aux ducs de Bretagne qui avant de se faire couronner à la Cathédrale Saint-Pierre, franchissaient la porte après avoir prêté serment de défendre les libertés de la Bretagne.

6

Depuis la gare SNCF à pied :

Départ : Gare de Rennes - Place de la Gare

Prendre Place de la Gare et continuer sur

50 m,

Tourner à gauche sur D177 / Boulevard de

Beaumont et continuer sur 260 m,

Tourner à droite sur Rue de l’Alma et conti-

nuer sur 100 m,

Tourner à gauche sur rue du Capitaine Mai-

gnan et continuer sur 80 m jusqu’à l’ Hôtel

Mercure Rennes Centre Gare.

REJOINDRE L’HÔTEL MERCURE CENTRE GARE, LIEU DU COURS INTENSIF

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Depuis la gare SNCF en métro

Prendre le métro à la gare SNCF,

ligne A, direction J-F. Kennedy

et descendre à l’arrêt Charles de

Gaulle.

Marcher environ 250 m jusqu’à

l’ Hôtel Mercure Rennes Centre

Gare.

Le plan des bus et du métro

de Rennes est téléchargeable

sur le site : https://www.

tourisme-rennes.com/fr/orga-

niser-mon-sejour/les-infos-pra-

tiques/brochures-rennes

Ligne A métro

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8h30

9h00

9h30

10h00

Cancer de l’œsophage : bilan pré-thérapeutique, indications et modalités du traitement néoadjuvant et de la radiochimiothérapie exclusive Khemara Gnep, Centre Eugène Marquis - RennesObjectifs pédagogiques :● Modalités du bilan pré-thérapeutique. ● Indications et modalités de la radiochimiothérapie néoadjuvante. Y-a-t-il encore une place pour

la chimiothérapie seule?● Indications et les modalités de la radiochimiothérapie exclusive.● Faut-il prendre en charge différemment les adénocarcinomes et les carcinomes épidermoïdes ?

Cancers de l’œsophage et du cardia résécables : Critères de résécabilité et d’opérabilité, indications chirurgicales Damien Bergeat, CHU - RennesObjectifs pédagogiques :● Quand peut-on opérer d’emblée ?● Quels sont les critères de résécabilité et d’opérabilité ? ● Techniques opératoires selon la localisation et les résultats● Quelle prise en charge nutritionnelle péri-opératoire ?

Cancer de l’estomac: traitement médical en situation adjuvante et métastatiquePierre Michel, CHU - RouenObjectifs pédagogiques :● Quel bilan préopératoire réaliser dans les adénocarcinomes gastriques ? L’ échoendoscopie est-

elle encore utile ?● Modalités de chimiothérapie des formes localisées. Sont-elles différentes pour les adénocar-

cinomes à cellules indépendantes et des linites● Particularité de la prise en charge des adénocarcinomes de la jonction oeso-gastrique ● Chimiothérapies des formes métastatiques : qui traiter ? Quel(s) traitement(s) de 1ère et 2ème

ligne ? Place des anticorps monoclonaux et de l’immunothérapie ?

Prise en charge des GIST Bruno Landi, HEGP - ParisObjectifs pédagogiques :● Classifications pronostiques : Fletcher, Miettinen ou Joensuu ?● Indications du traitement adjuvant● Y a-t-il une place pour le traitement néoadjuvant dans la prise en charge des GIST ?● Stratégie thérapeutique des formes métastatiques : imatinib en première ligne pour tout le

monde ? Quel traitement de 2ème et 3ème ligne ? Intérêt de l’ imatinibémie?● Situations difficiles : fausse progression, progression focale

PROGRAMME JEUDI 8 NOVEMBRE 2018

TUMEURS oESo-GASTRIqUES, GISTModérateurs : Damien Bergeat (CHU Rennes), Jean-Philippe Metges (CHU Brest)

MATIN

9

11h00

11h30

12h00

12h30

Epidémiologie des cancers digestifs: quelles nouveautésCôme Lepage, CHU - DijonObjectifs pédagogiques :● Incidence et mortalité des principaux cancers digestifs et leur tendance évolutive.● Quelles sont les changements et nouveautés concernant l’épidémiologie des cancers digestifs?

Particularité du cancer du pancréas● Comment expliquer les évolutions actuelles?

Oncogériatrie en oncologie digestive: les outils, les études Eric François, Centre Lacassagne - NiceObjectifs pédagogiques :● Dépistage des fragilités et méthodes d’évaluation approfondie de la personne âgée atteinte de

cancer● Comment prédire les risques et bénéfices de la chirurgie dans cette population ?● Intérêt de la chimiothérapie palliative des patients âgés : Y-a-t-il des standards ? ● Quels sont les facteurs prédictifs d’efficacité et de toxicité de la chimiothérapie dans cette

population ?

Oncogénétique: quels patients atteints de cancers digestifs adresser en consultation d’oncogénétique? Samuel Le Sourd, Centre Eugène Marquis - RennesObjectifs pédagogiques :● Quels sont les principaux syndromes de prédisposition génétique aux cancers digestifs et com-

ment les diagnostiquer ?● Qui adresser en consultation d’oncogénétique ?● Quel traitement préventif et quel suivi pour les sujets ayant une prédisposition génétique et

leurs apparentés ?

Traitement chirurgical de la carcinose péritonéale: indications et modalités, place de la chimiohyperthermie intrapéritonéaleFrédéric Dumont, Institut de Cancérologie de l’Ouest - Nantes St HerblainObjectifs pédagogiques :● Indications du traitement chirurgical de la carcinose péritonéale des cancers digestifs ?● Principes de réalisation, précautions à prendre avant sa réalisation, intérêt des centres experts.● La CHIP a-t-elle toujours un intérêt ?● Autres indications de chirurgie de cytoréduction péritonéale: pseudomyxome, mésothéliome

péritonéaux

PAUSE10h30

THéMATIqUES TRANSvERSALES EN oNCoLoGIE DIGESTIvEModérateurs : Samuel Le Sourd (Centre E.Marquis, Rennes), Eric François (Centre Lacassagne, Nice)

DéJEUNER13h00

10

14h00

14h35

15h10

15h45

Cholangiocarcinome et CHC accessibles à la chirurgie: indications et stratégies chirurgicales, place de la transplantation hépatique Karim Boudjema, CHU - RennesObjectifs pédagogiques :● Bilan pré-thérapeutique d’un cholangiocarcinome et d’un CHC ● Principes de la chirurgie d’exérèse et place de la transplantation hépatique ● Intérêt et indications d’un traitement néoadjuvant ?

Traitement médicaux des cholangiocarcinomes (incluant la radioembolisation) David Malka, Gustave Roussy - VillejuifObjectifs pédagogiques :● Indication et modalités de la chimiothérapie adjuvante après résection d’un cholangiocar-

cinome● Traitement des formes localement avancées non opérables et des formes métastatiques :

* Qui traiter?

* Place des traitements loco-régionaux dans les formes localement avancées?

* Quelle chimiothérapie de 1ère ligne ? Y-a-t-il une place pour la chimiothérapie de 2ème ligne et laquelle ?

* Place des thérapies ciblées guidées par la biologie moléculaire

Traitements médicaux du CHC Julien Edeline, Centre Eugène Marquis - RennesObjectifs pédagogiques :● Préciser les modalités du diagnostic des CHC● Indications et modalités des traitements curatifs (radiifréquence, radiothérapie stéréotaxique)

en dehors de la chirurgie ? ● Indications et modalités de la chimioembolisation ● Indication et stratégie thérapeutique des CHC avancés non curables et non chimioembolisables

* Le sorafenib est-il toujours le seul traitement de première ligne ?

* Quel traitement en 2ème ligne ?

Les jeunes talents de la FFCD Romain Desgrippes, CH - St Malo

PROGRAMME JEUDI 8 NOVEMBRE 2018

TUMEURS HéPATo-BILIAIRESModérateurs : Karim Boudjema (CHU, Rennes), Julien Edeline (CHU, Rennes)

PAUSE16h00

APRÈS MIDI

11

PROGRAMME JEUDI 8 NOVEMBRE 2018

16h30

17h00

17h30

18h30

« Petites » TNE de l’appendice, gastro-duodénales ou du rectum: quelle prise en charge? Louis De Mestier, Hôpital Beaujon - ClichyObjectifs pédagogiques :● Quel bilan pour retenir le diagnostic de «petite» TNE et proposer un traitement adapté : endos-

copie, écho-endoscopie, imagerie conventionnelle, biologie, imagerie nucléaire ?● Dans quels cas peut-on proposer une surveillance ?● Quelles sont les indications et modalités thérapeutiques du traitement endoscopique et de la

chirurgie? Quelles sont les complications et les résultats ?

Traitement des tumeurs neuroendocrines avancées Rosine Guimbaud, CHU - ToulouseObjectifs pédagogiques :● Modalités de traitement du syndrome sécrétant● Place de la chirurgie du primitif dans les formes métastatiques ● Modalités de traitement et stratégie thérapeutique selon le primitif de la TNE (grêle vs duodéno-

pancréatique) et le grade (G1-G2 vs G3)?

Carcinome épidermoïde du canal anal Astrid Lièvre, CHU - RennesObjectifs pédagogiques :● Indications de radiothérapie et de radiochimiothérapie des formes

localisées● Evaluation de la réponse après traitement et indications de reprise

chirurgicale● Chimiothérapie des formes métastatiques

Lésions pré-cancéreuses anales Laurent Siproudhis, CHU - RennesObjectifs pédagogiques :● Quelles lésions anales et quels patients à risque de carcinome épider-

moïde anal ?● Quelle surveillance proposer en présence d’une dysplasie anale selon

son grade ?● Faut-il proposer un traitement de la dysplasie de haut grade et lequel ? ● Peut-on prévenir la survenue d’un cancer invasif ?

CANCER DE L’ ANUS, TUMEURS NEURoENDoCRINES DIGESTIvESModérateurs : Astrid Lièvre (CHU, Rennes), Pierre Luc Etienne (CARIo, Plérin)

DPC

DPC

Décoration murale sur l’ ancien hôtel Le Gonidec, dite «maison du coin» datant de 1609 (XVe siècle). Cette maison de deux étages derrière une façade à pans de bois disposés en chevrons est située rue de la Psalette. Psalette est un dérivé du verbe psalmodier, qui désigne le fait de réciter des psaumes sur un ton monotone. La psallette était une chorale d’ enfants chantant pendant les offices, mais désigne aussi l’ habitation acquise par le Chapitre de la cathédrale pour y loger ces enfants.

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MATINPROGRAMME VENDREDI 9 NOVEMBRE 2018

CANCER DU PANCRéASModérateurs : Laurent Sulpice (CHU, Rennes), Jean Baptiste Bachet (Pitié Salpetrière, Paris)

8h30

9h00

9h45

Chirurgie des adénocarcinomes pancréatiques Laurent Sulpice, CHU - RennesObjectifs pédagogiques :● Modalités d’exploration préopératoires et critères définissant un cancer du pancréas borderline

et localement avancé● Principes de la chirurgie d’exérèse● Y-a-il encore une place pour le traitement chirurgical des sténoses biliaires et duodénales dans

les formes avancées ?

Traitement néoaduvant et adjuvant des adénocarcinomes pancréatiques Jean Baptiste Bachet, Pitié Salpêtrière - Paris Objectifs pédagogiques :● Place et modalités du traitement néoadjuvant : chimiothérapie, radiothérapie, radiochimio-

thérapie ? Quand et comment évaluer sa réponse? Quels critères pour proposer une chirurgie secondaire ?

● Indication et modalités de la chimiothérapie adjuvante après résection d’un cancer du pancréas ?

Prise en charge des adénocarcinomes pancréatiques localement avancés non résécables et métastatique Laetitia Dahan, CHU - MarseilleObjectifs pédagogiques :● Stratégie thérapeutique des formes localement avancées non opérables : place de la radio-

chimiothérapie ? ● Choix de la chimiothérapie dans les formes métastatiques. Un traitement d’entretien est-il

possible ? Quelle chimiothérapie en 2ème ligne ?

L’ Opéra de Rennes a été dessiné par Charles Millardet et bâti par Pierre Louise. L’une de ses originalités est de s’adapter à la forme de l’hôtel de ville de Rennes , son avancée répond au creux de la mairie dessiné par Jacques Gabriel.

13

11h00

11h30

12h15

DéPISTAGE , CHIMIoTHéRAPIE ADJUvANTE ET PALLIATIvE DES CANCERS CoLoRECTAUxModérateurs : Roger Faroux (CH de La Roche Sur Yon), Yasmina Zoheir ( CH de Lorient)

Dépistage de masse du cancer colorectal Jean François Bretagne, RennesObjectifs pédagogiques :● Intérêt du dépistage de masse du CCR ● Modalités pratiques du dépistage de masse en France, apport du test immunologique fécal par

rapport à l’Hemoccult● Résultats des premières campagnes avec le test immunologique en France: participation, taux

de détection des adénomes avancés et cancers invasifs, cancers d’intervalle● Résultats à plus long terme à l’étranger : impact sur l’incidence et la mortalité du CCR

Traitement adjuvant des cancers coliques Roger Faroux, CH - La Roche Sur YonObjectifs pédagogiques :● Indications et modalités de la chimiothérapie adjuvante :

* stade III: quelle durée ? quelle chimiothérapie?

* stade II à haut risque: impact de la biologie moléculaire dans le choix thérapeutique● Place de l’oxaliplatine chez le sujet âgé : faut-il faire du FOLFOX au-delà de 70 ans ?

Chimiothérapie des cancers colorectaux métastatiques non résécables d’emblée Frederic Di Fiore, CHU - RouenObjectifs pédagogiques :● Préciser les indications de chimiothérapies des cancers colorectaux métastatiques● Comment choisir sa chimiothérapie de première ligne ? ● Stratégie ultérieure : intensifier, entretenir ou arrêter ? Choix des chimiothérapies des lignes

ultérieures

Déjeuner13h00

PAUSE10h30

DPC

DPC

DPC

La Vilaine, cette jolie rivière qui traverse Rennes est en réalité un fleuve dont le nom n’a rien de péjoratif. Son origine remonte aux premières appellations bretonnes et celtiques.

14

14h00

14h30

15h00

15h30

Traitement néoadjuvant des cancers du rectum Véronique Vendredy, CHU - BordeauxObjectifs pédagogiques :● Bilan pré-thérapeutique d’un cancer du rectum● Indications et modalités du traitement néoadjuvant :

* la radiochimiothérapie type CAP50 est-elle toujours le standard ?

* quand proposer une radiothérapie courte ?

Chirurgie du cancer du rectum: modalités, évolutions Gilles Manceau (CHU, Pitié Salpétrière - Paris) Objectifs pédagogiques :● Quand doit-on opérer après un traitement néoadjuvant ? ● Techniques opératoires selon la localisation. Quand proposer une résection chirurgicale trans-

anale ?● Quels sont les résultats oncologiques et fonctionnels de la chirurgie rectale ?● Peut-on se passer de la chirurgie en 2018? La conservation d’organe

Chirurgie des métastases hépatiques de cancer colorectal Frédérique Peschaud, Hôpital Ambroise Paré - Boulogne BillancourtObjectifs pédagogiques :● Indications et critères de résécabilité de la chirurgie des métastases de cancers colorectaux● Techniques et stratégies chirurgicales et résultats oncologiques● Place et choix du traitement néoadjuvant

Biomarqueurs du cancer colorectal: les incontournables du présent et les espoirs du futur Aziz Zaanan, HEGP - ParisObjectifs pédagogiques :● Quels sont les biomarqueurs indispensables à la prise en charge actuelle d’un CCR● Quels seront les biomarqueurs de demain ?

* mutation de PI3KCA et bénéfice de l’aspirine en adjuvant

* ADN tumoral circulant: valeur pronostique et prédictive de la réponse tumorale ? Place dans le choix du traitement adjuvant et en cas d’échappement thérapeutique en situation avancée ?

APRÈS MIDIPROGRAMME VENDREDI 9 NOVEMBRE 2018

CANCER DU RECTUM, MéTASTASES HéPATIqUES ET BIoMARqUEURS DES CANCERS CoLoRECTAUx, TUMEURS SUPERFICIELLES DIGESTIvESModérateurs : Gilles Manceau (CHU, Pitié Salpétrière - Paris). Claire Pery (CHP, Saint-Grégoire)

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PROGRAMME VENDREDI 9 NOVEMBRE 2018

FIN DU CoURS INTENSIF DE CANCéRoLoGIE DIGESTIvE17h00

Carcinomes superficiels du tube digestif: définition et traitement endoscopique Timothée Wallenhorst, CHU - RennesObjectifs pédagogiques :● Reconnaitre un cancer superficiel digestif oeso-gastrique et colorectal. Eléments essentiels du

bilan pré-thérapeutique● Indications du traitement endoscopique et quelle technique utilisée ?● Que faire après traitement endoscopique ?

* Quand une chirurgie complémentaire est-elle nécessaire ?

* quelle surveillance ?

16h00

La mairie de Rennes a été construite de 1734 à 1743 par Jacques Gabriel à la suite du grand incendie de Rennes en 1720.

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► venir en voitureAux portes de la Bretagne, Rennes est un carrefour routier important et aisément accessible grâce aux rocades qui l’entourent. Par la route, Rennes est à 3h30 de Paris via l’A11 et l’A81. En voiture, la capitale bretonne est à 1h de Nantes, 4h30 de Bordeaux et 5h30 de Lille.

Se garer : Vous pouvez laisser votre voiture dans l’un des 5 parcs-relais gratuits et proches des stations de métro et des arrêts de bus. Ils sont ouverts du luni au samedi de 5h à 1h. Pour plus d’informations : www.star.fr et www.geo.rennesmetropole.fr

► venir en trainTous les trains arrivent à la gare TGV située en centre ville, au coeur du quartier EuroRennes. Grâce à la LGV (Ligne à grande Vitesse), la gare de Rennes est seulement à 1h25 de Paris au départ de la Gare Montparnasse. Avec 41 liaisons entre Rennes et Paris chaque jour, un train toutes les de-mi-heures environ dont un sur deux est sans arrêt. Pour circuler en Bretagne, le réseau TER offre de nombreuses possibilités : www.ter-sncf.com● Gare de Rennes - 19, Place de la Gare

Horaires d’ouverture de la gare : 6h à 24h, 7j/7. Tél. : 02 99 29 11 94

● Horaires et réservation des billets : https://www.oui.sncf/● Gares & Connexions : https://www.gares-sncf.com/fr

VENIR À RENNES

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► venir en avionL’aéroport de Rennes ou Rennes Saint-Jacques est situé dans la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande. Rennes est à 1h de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle. Des vols directs sont assurés quotidiennement depuis les principales villes françaises (Paris, Bordeaux, Toulouse, Marseille, Nice, Lyon).L’aéroport de Rennes-Saint-Jacques est à seulement 20 minutes du centre-ville (par le bus numéro 57 ou en taxi).Pour en savoir plus : http://www.rennes.aeroport.fr

● Accueil, information des voyageursSitué dans le hall Arrivée, le Point Information est ou-vert du lundi au vendredi de 8h00 à 22h00, le samedi de 8h00 à 21h30 et le dimanche de 9h30 à 22h00. Contact : 02 99 29 60 00. 7 jours sur 7, les hôtesses de l’aéroport :►vous informent sur les destinations desservies au dé-

part de Rennes, les correspondances possibles, les ho-raires des vols du jour, les tarifs parking,

►vous orientent sur les services de l’aéroport : location de voitures, accès au Salon lounge... ,

►mettent à votre disposition des plans de la ville et les horaires des bus pour rejoindre le centre-ville de Rennes,

► gèrent le service objets trouvés.

● TaxisLa tête de station est située devant le hall d’arrivée. Les taxis présents à l’aéroport de Rennes ont adhéré à une charte de qualité et s’engagent au meilleur service. Pour un trajet de l’aéroport au centre ville de Rennes, il faut compter environ 18€ (le jour) à 20€ (la nuit)

● BusLe bus n°57 vous permet de rejoindre le centre-ville de Rennes (arrêt République) en 20 minutes, tous les jours de la semaine. L’arrêt le plus proche de l’aéroport se situe à l’intersection de l’avenue Joseph Le Brix (avenue de l’aé-roport) et de l’avenue Jules Vallès, soit à 300 mètres de l’aérogare. Les bus circulent toute la semaine, le week-end et les jours fériés.Tarifs : 1,50 € le titre de transport à l’unité (valable une heure).Renseignements complémentaires InfoSTAR : www.star.fr et tél. : 0 811 555 535

Transport en commun : l’accès au métro (ligne A) se fait à l’intérieur de la gare. Par la sortie sud, on rejoint la gare rou-tière et les arrêts de bus 1,11, C1 et C2 qui passent par le centre ville. Tarifs tickets bus / métro Star : 1,50 € l’unité, valable 1 h.

Location de voitures : Avis (02 23 42 14 14), Hertz (02 23 42 17 01), Ada (02 99 65 53 97), Europcar (02 23 44 02 72), National Citer (02 23 44 02 78).

Taxis :Radio Taxis Rennais - Tél. : 02 99 30 79 79 Allo Rennes Taxis - Tél. : 06 64 84 00 54Artisans Taxis de Rennes - Tél. : 02 99 36 03 03 Allo Taxis Chantepie - Tél. : 06 08 62 64 90At Any Time (ATT) Taxis - Tél. : 02 99 30 12 40 TCT Taxis - Tél. : 02 99 07 60 60Taxi Brece - Tel: 06 88 26 48 79Les stations de taxis de la gare se situent sorties Nord et Sud (Place de la gare et rue du Pré Botté)

Boulevard

Eugène

Pottier

Rue

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Pommerais

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Taxis

LIBRE

Arrêts de bus proches de l'aéroport

57 DirectionRennes République

DirectionSaint-Jacques-de-la-LandeGautrais

57 Bruz Centre

DirectionChantepie Cucé

Direction

Aire LibreAéroport

Aire LibreAéroport

Pommerais

Pommerais

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INFOSTAR : 09 70 821 800

APPEL NON SURTAXÉApplications labellisées STAR

@starbusmetro@viteunbusstar.fr m.starbusmetro.fr

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LÉGENDE

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► Transports urbainsAvec le bus et le métro gagnez du temps ! Même réseau, même ticket ! 3 mn seulement en métro pour traverser le centre ville depuis les Gares S.N.C.F. ou routière à la Place Sainte-Anne, le cœur historique… Le réseau STAR est composé d’une ligne de métro (15 stations) et de 50 lignes de bus régulières. Information S.T.A.R. (Société de Transport de l’Agglomération Rennaise)12, Rue du Pré Botté (derrière la Poste de République / Métro République)InfoSTAR Tél. 09 70 821 800 (appel non surtaxé)

► Taxis et voitures de locationPlusieurs stations de taxis sont à votre disposition en centre ville : gare S.N.C.F nord (place de la Gare), gare S.N.C.F. sud (par-king souterrain), rue du Pré Botté.Taxis rennais : 02 99 30 79 79Allo Taxi : 06 64 84 00 54 / 06 63 36 62 14Artisans Taxis de Rennes : 02 99 36 03 03AATT (At Any Time Taxi) : 02 99 30 12 40

► Information et plan de la villeInformation disponible à l’ Office du Tourisme de Rennes.11, rue Saint-Yves , 35064 Rennes Cedex Tél.: 02 99 67 11 11 http://www.tourisme-rennes.com/

SE DÉPLACER À RENNES

 Chapelle Saint Yves

 Cathédrale Saint Pierre

 Portes Mordelaises

 Place des Lices

 Parlement de Bretagne

 Hôtel de Ville

 Opéra

Parc du Thabor

Musée des Beaux Arts

Les Champs Libres

Le plan touristique de Rennes est téléchargeable sur le site : https://www.tourisme-rennes.com/fr/organiser-mon-sejour/les-infos-pratiques/brochures-rennes

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Le 9 Magenta 9, bd MagentaTél. : 06 81 37 73 42https://le9magenta.jimdo.com/r%C3%A9server/contact/https://le9magenta.jimdo.com/

Hôtel Astrid **32, avenue Louis BarthouTél. : 02 99 30 82 38 Émail : hotelastrid@wanadoo.frhttp://www.hotel-astrid-rennes.eu/fr/

Hôtel Garden **3, rue DuhamelTél. : 02 99 65 45 06Émail : gardenhotel@wanadoo.frhttps://www.hotel-garden.fr/fr

Hôtel Lanjuinais **11, rue LanjuinaisTél. : 02 99 79 02 03Émail : hotel-lanjuinais@wanadoo.frhttps://www.hotel-lanjuinais.com/

Hôtel du stade **167, route de LorientTél. : 02 99 59 19 19Émail : hoteldustade@brithotel.frhttp://www.hoteldustade.fr/

Hôtel le Président **27, av Jean JanvierTél. : 02 99 65 42 22 Émail : hotelpresident@wanadoo.frhttp://www.hotel-president.com/

Hôtel Le Sévigné **47 bis, av Jean JanvierTél. : 02 99 67 27 55https://hotellesevigne.fr/

Hôtel Kyriad Rennes centre **6, place de la gareTél. : 02 99 30 25 80Émail : kyriad-rennes@wanadoo.frhttp://www.kyriad-rennes-centre.fr/

Hôtel Atlantique **31, bd BeaumontTél. : 02 99 30 36 19Émail : hotel.atlantic@free.frhttp://www.atlantic-hotelrennes.fr/

Ibis Styles Rennes Centre Gare - Nord **15, place de la gareTél. : 02 99 67 31 12Émail : H0731@accor.comhttps://www.accorhotels.com/fr/hotel-0731-ibis-styles-rennes-centre-gare-nord/index.shtml

Bretagne Hôtel **7 bis, place de la gareTél. : 02 99 31 48 48Émail : le.bretagne.hotel@wanadoo.frhttp://www.hotel-le-bretagne.fr/

Hôtel Nemours **5, rue NemoursTél. : 02 99 78 26 26Émail : resa@hotelnemours.comhttps://www.hotelnemours.com/

Le Florin **13 place de la GareTél. : Tél. : 02 23 40 48 13Émail : leflorin@orange.fr https://www.hotel-leflorin-rennes.fr/

Résidence Villa Camilla **185, bd Jean Baptiste de la SalleTél. : 02 23 46 04 04Émail : rennes.villacamilla@sejoursaffaires.frhttps://www.sejours-affaires.com/plan-residence-hote-liere-aparthotel-rennes-29.html

De nombreux hôtels vous permettent de séjourner à proximité de la gare ou dans le proche centre ville.

Site officiel de l’Office de Tourisme de Rennes : https://www.tourisme-rennes.com/fr/reserver-en-ligne

HÔTELS EN CENTRE VILLE

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HÔTELS EN CENTRE VILLE Résidence de Bretagne **23 rue de ChatillonTél. : 02 99 51 54 95Émail : rennes.bretagne@sejours-affaires.comwww.sejours-affaires.com

Hôtel Ibis Centre Gare Sud ***15, rue de ChâtillonTél. : 02 23 36 01 36Émail : h3450@accor.comhttps://www.accorhotels.com/fr/hotel-3450-ibis-rennes-centre-gare-sud/index.shtmlHôtel Mercure Rennes Centre Gare ***1, rue du capitaine MaignanTél. : 02 99 29 73 73Émail : H1249@accor.comhttps://www.accorhotels.com/fr/hotel-1249-hotel-mercure-rennes-centre-gare/index.shtml

Hôtel Mercure Rennes Place Bretagne ***6, rue LanjuinaisTél. : 02 99 79 12 36Émail : H2027@accor.comhttps://www.accorhotels.com/fr/hotel-2027-hotel-mercure-rennes-place-bretagne/index.shtml

Le Coq Gadby ***156, rue d’AntrainTél. : 02 99 38 05 55Émail : lecoq-gadby@wanadoo.fr http://www.lecoq-gadby.com/

Hôtel des Lices ***7, place des LicesTél. : 02 99 79 14 81https://www.hotel-des-lices.com/contacthttps://www.hotel-des-lices.com/

Hôtel Le Magic Hall ***17, rue de la QuintaineTél. : 02 99 66 21 83https://www.lemagichall.com/19-contact.htmlhttps://www.lemagichall.com/

Hotel-Restaurant Le Victoria ***35, avenue Jean JanvierTél. : 02 99 31 69 11Émail : contacts@hotel-levictoria.comhttp://www.hotel-levictoria.com/fr/

Campanile Rennes Centre ***28 Avenue Jean JanvierTél. : 08 92 23 48 12Émail : rennes.centre@campanile.frhttps://www.campanile.com/fr/hotels/campa-nile-rennes-centre-gare?gclid=EAIaIQobChMIyb7f0_at3gIVSvlRCh13ngCKEAAYASAAEgKLYvD_BwE&kV-sId=181030111202661704&AspxAutoDetectCookieSup-port=1

Hôtel le Saint Antoine ****27, av. Jean JanvierTél. : 02 23 44 33 33https://saint-antoine-hotel.fr/contact/https://saint-antoine-hotel.fr/?gclid=EAIaIQobCh-MI_87yxvWt3gIVB0TTCh0ZuwEOEAAYASAAEgIasfD_BwE

Hôtel Novotel Spa Rennes Centre Gare ****22 avenue JanvierTél. : 02 99 84 08 08Émail : H7383@accor.comhttps://www.accorhotels.com/fr/hotel-7383-novotel-spa-rennes-centre-gare/index.shtml#origin=novotel

Balthazar Hôtel & Spa *****19, rue Maréchal JoffreTél. : 02 99 32 32 32https://hotel-balthazar.com/fr/contact.htmlhttps://hotel-balthazar.com/fr/

C’est à Jean Poirier que l’on doit la construction de cet immeuble art déco, 7 avenue Jean-Janvier, avec la participation d’ Isidore Odorico en tant que mosaïste.

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Préhistoire et AntiquitéVers le IIe siècle av. J.-C., la ville aurait été fondée par la tribu des Riedones qui choisit le site du confluent de l’Ille et de la Vilaine pour capitale, et prend le nom de Condate (ce qui signifie « confluent » en celte). D’autres sources, plus récentes, mettent en doute les interpréta-tions passées, et indiquent une fondation au Ier siècle, sur la butte au-dessus du confluent (actuel emplace-ment de la Cathédrale Saint-Pierre).Durant la pax romana, la ville, chef-lieu des Riedones et garnison militaire, se développe. L’extension de la ville est longtemps limitée par les méandres de la Vilaine, qui multiplient les contraintes hydrologiques. Vers le IIIe siècle, des remparts sont érigés pour protéger la ville, dans une emprise considérablement réduite (8 hectares), des attaques barbares, fréquentes à cette époque. La ville évangélisée dès la fin du Ier siècle re-çoit son premier évêque vers 358. Postuminus (Titus Flavius) est un Rennais de cette époque dont on a trace dans la pierre.

Moyen ÂgeRennes a la particularité d’occuper une situation char-nière (géographique et politique), et parfois ambiguë, entre la Bretagne et le reste de la France. Siège d’un évêché dès le ve siècle, puis d’établissements religieux (abbayes de Saint-Melaine et de Saint-Georges), Rennes apparaît jusqu’au VIIe siècle comme une citadelle avan-cée de la civilisation gallo-franque (le siège de l’évêché est dépendant de Tours) face aux Bretons qui se sont installés à partir du Ve siècle dans le reste de la pénin-sule. Mais, dès le XIe siècle, la ville devient un symbole de la résistance face aux Normands et s’affirme davan-tage alors comme une ville bretonne. Rennes devient au IXe siècle une ville d’importance dans le nouveau royaume de Bretagne. La ville, comprise dans le comté franc de Marche de Bretagne, est progressivement intégrée au duché de Bretagne et devient rapidement une ville ducale. Au XVe siècle, Rennes consolide l’enceinte primitive gal-lo-romaine. Dans ce même siècle, les contraintes de dé-veloppement vers le sud et l’ouest ne sont pas résolues

et l’extension urbaine, malgré la présence de faubourgs informels et industriels (tanneries) à proximité de la Vi-laine, est limitée par une deuxième puis une troisième enceinte (les portes Mordelaises sont le témoignage de ces travaux) : la ville regroupe alors 15 000 habitants.Toujours au XVe siècle, Rennes fut le refuge d’Anne de Bretagne, héritière du duc François II de Bretagne. Anne de Bretagne a douze ans, quand à la mort de son père en 1488, elle devient duchesse. Elle épouse par procu-ration le 19 décembre 1490 Maximilien de Hasbourg qui se révèle peu capable de défendre les intérêts bre-tons. Charles VIII, marié à Marguerite d’Autriche âgée de 4 ans, met en cause la légitimité d’Anne au titre de duchesse de Bretagne. Il occupe en 1491 le château de Nantes tandis qu’ Anne est assiégée à l’intérieur de la muraille rennaise. S’ensuit la rupture des unions précé-dentes. Les fiançailles d’Anne de Bretagne et de Charles se déroulent, cette année-là, au couvent des Jacobins en la chapelle Notre-Dame-De-Bonne Nouvelle, en pré-sence de Louis XII, son futur second mari, qu’elle épou-sera le 8 janvier 1499 à Nantes. Alors en très mauvaise posture, elle se réfugia à Rennes où elle fut couronnée duchesse de Bretagne dans la Cathédrale Saint-Pierre le 10 février 1489. Le mariage de la duchesse Anne de Bre-tagne avec le roi Charles VIII, en 1491, fait rentrer la Bre-tagne dans l’orbite française, avant le traité d’union de la Bretagne et de la France en 1532 par l’édit de Vannes. Rennes prend alors un double visage : d’un côté, la ville bénéficie de privilèges pour être le relais d’un pouvoir royal qui s’affirme (elle deviendra le siège de l’inten-dance à partir de 1689), de l’autre, c’est la ville du Par-lement de Bretagne, qui s’y installe définitivement en 1561 et qui va plusieurs fois s’opposer à la Couronne pour défendre les intérêts bretons.

Époque moderneAu XVIe siècle, après le rattachement du duché de Bretagne au royaume de France en 1532 par l’édit de Vannes, la ville devient le siège du Parlement de Bre-tagne, et donc capitale provinciale. Les fortifications élevées contre les Français et les Anglais deviennent inutiles et sont lentement démantelées jusqu’au milieu

UN PEU D’HISTOIRE : DE CONDATE À RENNES

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du XIXe siècle. Le 13 mars 1589, la Journée des barri-cades vit le triomphe des ligueurs.En 1675 a lieu la révolte du papier timbré. L’action dé-bute à Rennes en avril 1675, avant de s’étendre à toute la Bretagne. Le peuple se révolte contre la hausse des impôts sur le tabac, la vaisselle d’étain et le papier tim-bré. Le duc De Chaulne, gouverneur de la province, fait intervenir l’armée. La répression est sans pitié. Amie du gouverneur, Mme De Sévigné écrit alors : « Il y a de pe-tites tranchées en Bretagne, il y a même eu à Rennes une colique pierreuse. Monsieur De Chaulnes voulut par sa présence dissiper le peuple, il fut repoussé chez lui à coup de pierres : il faut avouer que tout cela est bien insolent. »En 1720, un incendie détruit les trois quarts de la ville.

C’est arrivé le 23 décembre, à la veille de Noël. Des flammes dans tout le centre-ville. Pendant six jours, sans répit et seulement éteint par la pluie. Près de 900 maisons aux pans de bois sont réduites en cendres et des milliers de personnes sont à la rue. Rallier Du Baty, maire de Rennes, lance la reconstruction. Isaac Robe-lin, ingénieur, y travaille. Jacques Gabriel, architecte de Louis XV, lui succède. Le bois est interdit de cité. La ville adopte les rez-de-chaussée en granit, les étages en tuffeau et les toitures en ardoises. Des avenues per-pendiculaires remplacent les petites rues tortueuses. La reconstruction sera l’occasion de repenser la ville selon l’urbanisme et l’esthétisme du XVIIIe siècle.La Journée des Bricoles (26 et 27 janvier 1789) est considérée comme étant un événement préalable à la Révolution française. Des étudiants en droit, des commis et des apprentis sont encore aux prises avec des nobles. Ils l’étaient déjà en mai 1788, avec à leur tête Victor Moreau, au motif que le roi voulait réduire les attributions du Parlement. Parmi les nobles, Fran-

çois-René de Chateaubriand qui, dans les Mémoires d’outre-tombe, relate comment fut versé le « premier sang de la Révolution ». Cette fois-ci, c’est la suspen-sion des États de Bretagne, acceptée par le Tiers, qui met le feu aux poudres. La bagarre fait rage. Résultat des affrontements : trois morts et une soixantaine de blessés.En 1806, l’Amiral de Villeneuve de retour de la bataille de Trafalgar séjourna quelques jours rue des Foulons (au 21, de nos jours rue Le Bastard). Il y trouva la mort le 22 avril. Il s’y serait suicidé mais un doute persiste sur un possible assassinat.

Époque contemporainePeu marquée par la révolution industrielle, Rennes ver-ra au cours du XIXe siècle se développer deux usines importantes : l’imprimerie Oberthür (1872) et l’Arse-nal (1844). C’est toutefois l’arrivée du chemin de fer qui ouvre la voie à l’âge industriel. Dès son arrivée au pouvoir, Napoléon III avait perçu l’intérêt du réseau ferroviaire pour le développement économique. Le 26 avril 1857, le train fait sa première apparition en gare. L’arrivée du chemin de fer à Rennes, au sud de la ville, permet le développement urbain entre la ville « noble » située au nord de la Vilaine et la gare située au sud de la partie insalubre de la ville. Le négoce rennais explose alors en profitant des délais d’appro-visionnement plus courts, de l’extension du marché, de l’augmentation des volumes et de la réduction des coûts. En parallèle aux travaux de création de la gare, on aménage les futurs boulevards de la Liberté et de la Tour d’Auvergne, on perce l’actuelle avenue Janvier. La ville s’étend vers le sud, au-delà des quais, avec la construction d’un quartier ouvrier habité par de nom-breux cheminots. C’est également à cette époque que Rennes marquera sa vocation à devenir une grande ville universitaire. Devenue, après la Révolution, simple chef-lieu de département, la ville administra-tive de Rennes est cependant une capitale déchue qui connaît un développement modéré. Si un palais du commerce est voulu en 1892 par le maire Le Bastard, il reste un bâtiment d’apparat et abrite le plus souvent des services administratifs. Jusqu’aux années 1940, la ville est essentiellement une cité d’État qui renforce ses activités traditionnelles (fonctions universitaires

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dès 1735, siège de la cour d’appel depuis l’Empire...). De dimension modeste (98000 habitants en 1936), la ville reste influencée par le monde rural environ-nant et concentre jusqu’en 1954 un des habitats les plus défavorisés de toute la France (10 000 familles y vivent alors dans des logements surpeuplés).En 1899, la révision du procès d’Alfred Dreyfus a lieu à Rennes dans l’actuel lycée Émile Zola. En 1894, le capitaine Dreyfus d’origine juive est accusé d’avoir donné des renseignements militaires à l’Allemagne. Jugé dans le cadre d’une violente campagne an-tisémite, il est condamné à vie à l’île du Diable, en Guyane. Un faux document découvert dans son dos-sier relance l’affaire. En août 1899, le tribunal militaire se réunit à Rennes pour le procès en révision. Des journalistes du monde entier et le Tout-Paris font le déplacement dans la capitale bretonne. Jean Jaurès lui-même prend partie pour le capitaine qui est mal-gré tout condamné à dix ans de réclusion, puis gracié quelques jours plus tard par le Président de la Répu-blique, Emile Loubet. Le 7 août 1932, un attentat détruit le monument, ni-ché dans la façade de la mairie, symbolisant l’union de la Bretagne à la France. L’attentat est revendiqué par une organisation indépendantiste, Gwenn ha Du (blanc et noir, soit les couleurs du drapeau bre-ton). pour qui la statue du sculpteur Jean Boucher est considérée comme le « monument de la honte nationale » depuis son inauguration en 1911. Ils n’acceptent pas l’attitude jugée humiliante de la du-chesse Anne de Bretagne agenouillée devant Charles VIII, roi de France. La statue ne sera jamais recons-truite.Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville est occu-pée le lendemain du bombardement du 17 juin 1940 par les Allemands. Elle subit de nombreux bombar-dements dont celui du 8 mars 1943, lorsque l’aviation américaine pilonne la ville d’une hauteur de 6000 mètres, tuant près de 300 personnes, puis le bombar-dement du 29 mai 1943, qui, hors cibles, sera parti-culièrement exploité par la propagande vichyste. Le 8 juin 1944, les Martin B-26 Marauder pilonnent la gare de triage utilisée par la 17e Panzerdivision. Le 9 juin, la Royal Air Force vise des cibles stratégiques allemandes, remplacée trois jours plus tard par les

Boeing B-17 Flying Fortress. Le bilan des bombar-dements s’élève à 655 victimes. Les Allemands font sauter les ponts pour retarder les Américains. Mais rien n’y fait : le premier char US apparaît place de la Mairie le 4 août 1944 , vers 10h. Rennes est ainsi l’une des toutes premières villes françaises libérées. Ses habitants accueillent chaleureusement le général De Gaulle le 22 août. « Notre devoir immédiat s’appelle en-core, et pour quelque temps, la guerre », lance t-il alors du balcon de l’Hôtel de Ville. Manière à lui d’appeler au rassemblement avant de se rendre à Paimpont, en forêt de Brocéliande, là où repose sa mère, au pays des légendes. À partir des années 1950, la ville connaît un dévelop-pement important lié notamment à l’exode rural et à une industrialisation nouvelle. L’arrivée de Citroën dès 1953 (construction de la Barre-Thomas) qui compta jusqu’à 13000 salariés dans les années 1970, per-met à la ville de développer des activités industrielles initialement liées à l’au-tomobile, puis de plus en plus variées (par exemple les télécommuni-cations sur le technopôle de Rennes-Atalante et l’industrie agroalimentaire avec l’Agrocam-pus Rennes). La croissance de Rennes sur le plan uni-versitaire est également spectaculaire. De même, l’affirmation du pouvoir régional s’est effectuée au profit d’une ville qui a assis sa suprématie sur une Bretagne administrative res-treinte à quatre départements (la Loire-Atlantique ayant été rattachée en 1972 aux Pays de la Loire). A la suite d’une journée d’émeutes opposant, au cœur de la ville, manifestants marins-pê-

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Patrimoine architectural de Rennes Le patrimoine architectural de Rennes est marqué par l’histoire de la ville. Classée Villes et Pays d’Art et d’His-toire1, Rennes compte plus de 90 édifices ou parties d’édifice classés au titre des Monuments historiques et possèdent de nombreux bâtiments contemporains.

Rennes se découvre toute l’année au rythme de ses festivals et de ses nombreux rendez-vous. Internatio-nalement connue par Les Transmusicales, sa créati-vité irrigue aussi les programmations de l’Opéra, du Théâtre national de Bretagne, de l’Orchestre de Bre-tagne… Son marché des Lices, deuxième de France, met en scène, chaque samedi matin, dans un cadre exceptionnel, plus de 300 producteurs locaux.

Pour remonter aux sources de l’histoire de la ville, il faut cheminer dans le vieux Rennes, où des remparts médiévaux portent encore la trace de murs gallo-ro-mains. Façades, encorbellements et galeries suspen-dues se penchent au-dessus des pavés polis par le temps. Si les Portes Mordelaises témoignent du cou-ronnement des ducs de Bretagne, les ruelles sinueuses bordées de maisons en pans de bois, toujours occu-pées, racontent magistralement ce savoir-faire évolutif du XVe au XVIIe siècle.

Au parcellaire médiéval succèdent la ville classique et ses deux places royales, points de repère et lieux de prises de vue. Sur l’une d’elles, s’érige le Parlement de Bretagne, exceptionnel témoignage de l’histoire bretonne et de l’histoire de l’art français du XVIIe. Sur l’autre, à deux pas, l’hôtel de ville (XIXe) a été dessiné par Gabriel, l’architecte des places royales. Autre place essentielle, la place des Lices avec les halles Martenot du XIXe siècle. Au-delà des hôtels particuliers, de bois et de pierre, et des palais abbatiaux, le parc du Thabor, conçu par les grands paysagistes Bühler au XIXe siècle, se révèle un havre de paix au cœur de la ville.

Les réalisations du XXe siècle portent l’empreinte du style Art Déco. La piscine Saint-Georges, encore en activité, est l’un des témoignages de la mosaïque très présente dans la ville, développée par les italiens Odorico. Passé la Vilaine et le musée des Beaux-Arts, l’immeuble Poirier en atteste avec de superbes motifs géométriques.

Avec la réhabilitation de plusieurs quartiers, notam-ment autour de la gare, et l’arrivée du métro, l’archi-tecture contemporaine s’insère dans la ville. Christian de Portzamparc signe les Champs Libres en 2006 qui réunissent Musée de Bretagne, Espace des Sciences, planétarium et bibliothèque.

cheurs et forces de l’ordre, un incendie se déclare sous les combles du Parlement de Bretagne (siège de la cour d’appel de Rennes) dans la nuit du 4 au 5 fé-vrier 1994. Si une grande partie des décors intérieurs a pu être sauvée, le bâtiment est très endommagé. A Rennes, comme dans toute la Bretagne, la population est sous le choc. L’événement fait la « Une » de tous les journaux nationaux. Ironie de l’Histoire, le Palais du Parlement comptait parmi les rares édifices de la Ville à ne pas avoir succombé au grand incendie de 1720. La reconstruction s’organise vite. Deux mois plus tard,

l’Association pour la renais-sance du Parlement de Bre-

tagne a déjà collecté 25 millions de francs. En

novembre, la décision est prise de recons-truire le bâtiment

à l’identique. Les travaux démarrent en

1996. Ils vont durer trois ans et côuter 230 millions

de francs.Rennes est aujourd’hui

plus que jamais le centre de la Bretagne admi-

nistrative et étend son influence sur

tout l’est de la région. Profitant de sa position

de capitale régionale, la ville est actuellement re-

connue pour être une ville jeune (60000 étudiants sur

près de 210000 habitants), dynamique, festive

avec de nombreux événements spor-tifs et culturels ayant

lieu toute l’année. Les activités de pointe dans

les télécommunications, les réseaux, l’image et les

transmissions, la réalité aug-mentée, sont également très présentes dans la ville

devenue une métropole.

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...................................................................................................................................Le couvent des Jacobins, nommé également ancien couvent de Bonne-Nouvelle, est un ancien édifice religieux et une ancienne caserne, situé dans le centre-ville de Rennes. Il comprend une abbatiale, un cloître et des bâtiments conventuels. En 2018, l’ édifice est devenu le centre des congrès de Rennes Métropole

Fédération Francophone de Cancérologie DigestiveRé

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Objectifs des Cours Intensifsde Cancérologie Digestive

Les Cours Intensifs de Cancérologie Digestive ont été mis en place par la FFCD (Fédération

Francophone de Cancérologie Digestive).

Le suivi de ces cours doit permettre de mieux :

● connaître les stratégies actuelles pour le bilan pré-thérapeutique des différents cancers de l’appareil

digestif

● connaître les indications thérapeutiques des traitements médicamenteux de la radiothérapie et de

la chirurgie dans le traitement des cancers de l’appareil digestif

● connaître les indications de la consultation d’oncogénétique

● savoir identifier, traiter et prévenir les effets secondaires des traitements

● acquérir les principes d’interprétation des études cliniques de phase II et de phase III

● connaître les principales voies de signalisation impliquées en cancérologie digestive.

Le texte de référence est le Thésaurus National de Cancérologie Digestive.

http://www.ffcd.fr

Des baigneuses pas très académiques est une œuvre conçue par l’ artiste français Gérard Collin-Thiébaut et érigée en 2000 sur la place de Bretagne. Ces sculptures sont la reproduction, en double exemplaire, de deux œuvres du sculpteur Christophe-Gabriel Allegrain (1710-1795) : Diane surprise au bain et Vénus au bain. Chaque paire de sculptures est recouverte d’une peinture automobile de couleur différente.