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Au sommaire de ce numéro
spécial sport, vous
aurez de fortes chan-
ces d'en trouver un
qui vous convienne.
Mais il est aussi tout
a fait possible que
dans la
liste pro-
posée, il
vous en manque un
plus original et atypi-
que ou que vous ne
considériez pas jus-
qu'ici comme du
sport, à l’image
des fléchettes ou du
billard. Hé oui, lorsque vous
jouez à la Pétanque (oui, oui,
elle aussi) vous pouvez dire
que vous êtes un sportif.
Pour élargir votre champ de
vision sportif, voici une liste
non exhaustive des sports
les plus improbables, les
plus méconnus qui sont par-
venus à mon oreille.
Venant de notre beau pays,
la balle au tambourin est
née dans les années 1860.
Le jeu ressemble à la paume
(maintenant disparue) ou au
tennis mais en envoyant, com-
me son nom l'indique, la balle
avec un tambourin et par équi-
pe de 5. La course de chameaux, plus
célèbre, est l'équivalent de
nos courses hippi-
ques dans les
pays du Ma-
greb, en Aus-
tralie ou en
Inde.
En 1930
en URSS,
est né un sport
de combat mélangeant lutte et
judo : c’est le Sambo, bien sûr.
Le Krabi krabong est un art
martial thaïlandais se prati-
quant tout d'abord à
mains nues puis, lorsque
le combattant deviens
plus expérimenté avec
des armes (le daab, le
daab song mue et le
krabong).
Si vous aimez
l'escalade et cherchez un
sport complémentaire, es-
sayez la décalade : même si
l'on est pas spécialement
doué en sport, on peut en
faire : ce sport demande une
grande concentration et
confiance en ses partenaires
(un entraineur et deux tech-
niciens). Le principe est des-
cendre des parois, comme le
rappel (pratiqué par des
militaires).
Il en existe des
milliers d’autres que je
vous laisse découvrir par
vous-même. La seule
limite au sport est
votre imagination.
Louise S.
Année 2011 Numéro 10
ORIGINAL : LES SPORTS IMPROBABLES
18 mars 2011
Collège Marce l Pagnol 2 rue des écoles 27930 Grav igny
Le handisport est une activité
dont les règles ont été aména-
gées pour qu'il puisse être prati-
qué par des personnes ayant
un handicap physique ou sen-
soriel.
Beaucoup de ses épreuves sont
basées sur des sports existants.
Toutefois, certains jeux ont été
créés spécifiquement pour les
personnes handicapées et n'ont
pas d'équivalent en sport vali-
de. Chaque groupe a sa propre
histoire, son organisations, ses
compétitions et sa vision du
sport.
Voici l’exemple d’un des nom-
breux handisports : Le sport
pour sourds. La première com-
pétition internationale de sport
pour malentendants fut organi-
sée à Paris en 1924, connu
sous le nom de The Silent Ga-
mes.
Ces jeux furent d’abord organi-
sés par le CISS (anciennement
Comité International des
Sports Silencieux, maintenant
Comité International des
Sports des Sourds). Ils ont
réuni 145 athlètes venant de 9
pays européens. Ces jeux mon-
diaux ont lieu tous les quatre
ans depuis 1924 (sauf pen-
dant la Seconde Guerre mon-
diale), et s'appellent mainte-
nant les deaflympics.
Les deaflympics 2005 à Mel-
bourne (Australie) ont réuni
2300 athlètes de 75 pays. Le
CISS maintient des jeux sépa-
rés pour les athlètes malen-
tendants afin de tenir compte
de leurs besoins spécifiques
en communication et pour
favoriser l'interaction sociale
qui reste un élément essen-
tiel du sport.
Lygie & Axelle F.
R E N CO NTR E S
Les Jeux
Olympiques
Les JO sont des jeux interna-
tionaux qui se déroulent tous
les deux ans en alternance été
et hiver. Presque tous les pays
du monde y sont représentés.
En hiver, il n'y a que 7 sports
en compétition (ski, patinage,
bobsleigh, snowboard...) alors
qu'en été, 28 (athlétisme,
tennis, équitation...). Les Jeux
olympiques comportent 400
épreuves en tout.
Les Jeux Olympiques viennent
de la Grèce antique qui
avaient lieu à Olympie en
l'honneur des dieux grecs.
C'est en 1894 que Pierre De
Coubertin fonda les Jeux Olym-
piques modernes. Les rituels
et les symboles des jeux sont:
: le drapeau olympique, -la
flamme olympique, les céré-
monies d'ouvertures et de
clôture.
Aux Jeux olympiques derniers,
en février 2010, ce sont les
États-Unis qui ont remporté le
plus de médailles. La France
quant à elle est placée 8ème
dans le classement. Les pro-
chains jeux d'été auront lieu à
Londres du 27 juillet au 12
août 2012 et les prochains
jeux d'hiver auront lieu à Sot-
chi en Russie du 7 au 23 fé-
vrier 2014.
Pauline B.
ESPRIT SPORTIF : LE HANDISPORT
Retrouvez-nous sur le site du collège :
http://pagnol-col.spip.ac-rouen.fr
Au derniers Jeux Olympi-
ques, les Français sont arri-
vés premier au tableau final
de l'escrime ; en partie
grâce à de très bon
résultats en équipe.
Les joueurs d'escrime
s'organisent « grades »
autour de blasons
jaunes, rouges, bleu et
vert qui permettent de
les identifier. C'est
a u s s i s u r c e s
« grades » que repose
les modalités d'arbitra-
ge selon les compéti-
tions ; toujours très
fréquentes, révélant la popu-
larité de sport.
Côme D.
Corentin Malherbe, collégien
à Marcel Pagnol est devenu il
y a quelques temps champion
de tir sportif du département,
et il s'apprête à concourir au
championnat de France. Voici
l'interview exclusive d'un
champion !
B.DB: En quoi consiste le
sport que tu pratiques? Dans
quel catégorie es-tu?
C. Malherbe: le tir sportif
consiste à tirer avec une arme
dans une cible avec précision.
Je suis un cadet et je vais
passer ma cible verte.
B.DB: Est-ce une discipline
longue à acquérir?
C. Malherbe: En une année,
on peut déjà atteindre un bon
niveau!
B.DB: Qu'est ce qui t'a motivé
pour commencer le tir sportif?
C. Malherbe: Mes parents
trouvaient que je ne me dé-
foulait pas assez et que je
parlait beaucoup d'armes
alors ils m'ont inscrit. A l'an-
nonce de la nouvelle, j'étais
très heureux !
B.DB: Depuis combien de
temps pratique-tu ce sport?
Dans quel club et à quel en-
droit? Qui te l'a apprise?
C. Malherbe: Cela fait trois ans
que je pratique ce sport à La
Cible D'Evreux à Saint-michel
avec l'aide de moniteurs.
B.DB : Aujourd'hui tu es cham-
pion de tir sportif du départe-
ment, comment l'es tu deve-
nu?
C. Malherbe: Je suis devenu
champion de tir en faisant les
départements et en travaillant
beaucoup. B.DB: Vas-tu participer au
championnat de France? Pen-
se-tu pouvoir devenir cham-
Explications :
LE TIR SPORTIF
Le tir sportif se fait avec des
armes de calibres différents.
Ce sport se déroule exclusi-
vement en club. Pour faire du
tir, il faut demander une li-
cence, ensuite les moniteurs
de tir nous montrent le fonc-
tionnement des armes. Le
club s'organise en plusieurs
catégories d'âges : les pous-
sins, benjamins, minimes,
cadets et les séniors. Mais il
existe aussi plusieurs catégo-
ries de tir : la carabine, le
pistolet et l'arbalète. Si on
commence le tir avant d'être
un séniors, nous rejoignons
d'office l'école de tir. Plus on
tire, plus on augmente de
niveaux. Les niveaux s' appel-
lent des cibles. Il y a la cible
blanche, jaune, verte etc... Il
existe plusieurs compétitions
comme les départementaux,
les régionaux et les cham-
pionnats de France ou enco-
re européens. Pour participer
aux compétitions, il faut être
qualifié à partir des départe-
mentaux. Corentin M.
pion de France de ta catégorie
avec ce sport?
C. Malherbe: Oui, je vais partici-
per au championnat de France
mais je ne pense pas gagner. B.DB: Comptes-tu continuer ce
loisir l'année prochaine?
C. Malherbe: Oui, bien sur. B.DB: Un dernier mot à ceux qui
hésiterait à commencer ce
sport?
C. Malherbe: Pour commencer le
tir, il faut être calme et concen-
tré. Mais surtout il ne faut pas
hésité à essayer, c'est génial!
Corentin va bientôt passer le
championnat de France, nous lui
souhaitons bonne chance et bon
courage !
Benjamin DB.
Page 2
I NTE RV I E W : CORENTIN MALHERBE
COLLÉGIEN & CHAMPION DÉPARTEMENTAL DE TIR SPORTIF
Année 2011 Numéro 10
L'escrime est un sport de
combat de combat européen
avec des épées, sabres et
fleurets qui trahit an-
cienneté de cette acti-
vité plutôt noble. L'es-
crime a beaucoup
évolué depuis sa nais-
sance approximative
sous égyptiens du
temple de Ramsès III à
Médinet Habou.
L'équipement est
constitué d' un mas-
que, d' une arme
(épée, sabre, fleuret
selon le joueur et la
nature du duel), d' un plas-
tron et d' une sous-cuirasse
qui permet de limiter la force
des coups sur le corps. Dans
ce sport de combat, la sécuri-
té est primordiale.
L'arbitrage d'une partie est
souvent des plus complexes a
comprendre pour le néophyte
car les zones de touche chan-
gent selon l'arme avec laquelle
on tire.
PRESTIGE : L’ES C R I M E
LOISIRS : L’AIRSOFT
Au Japon, après la seconde
guerre mondiale, les États-Unis
ont interdit à la population de
posséder des armes à feu. Cela
a posé un problème aux collec-
tionneurs. Ils décidèrent alors
de créer des répliques d'armes
fonctionnant avec des billes de
plastiques. Les répliques fonc-
tionnent soit avec du gaz (co2),
soit avec une batterie, soit avec
un ressort. Celles qui fonction-
nent au gaz ou avec une batte-
rie peuvent tirer en rafales alors
que celles qui fonctionnent
avec un ressort ne peuvent
projeter que coup par coup.
Elles prennent la forme de fusils
d'assaut, de fusils de précision,
d'armes lourdes, d'armes de
poing, de pistolets mitrailleurs
ou même de grenades. L'airsoft
se pratique en club ou entre
copains. Pour y jouer, il faut être
fairplay, porter des lunettes de
protection et trouver un terrain
isolé pour ne pas tirer sur des
promeneurs. Corentin M.
Roland Garros est un tournoi
du Grand Chelem qui réunit
les meilleurs joueurs de ten-
nis du monde. Il a été créé
par Louis
Faure-Dujarric
en 1928,
dans le but
d'accueillir la
Coupe Davis.
Il se situe près
de la Porte
d'Auteuil, non
loin du Bois
de Boulogne.
Depuis cette
date, c'est le
stade où se
déroule les
I n t e r n a t i o -
naux de Fran-
ce.
On pourrait se
poser la question : «Mais qui
était Roland Garros ? Un
champion de tennis ? Un
stage d'une semaine, cette
fois, il entre dans un centre de
formation sous les ordres de
Guy Lacombe. Par la même
occasion, il est placé en famille
d'accueil : les Elineau. Un an
après, Jean Ferneau se décide
à en faire un professionnel.
Il jouera son premier match en
1989, contre le
FC de Nantes.
Il n'a même
pas 17 ans. A
Bordeaux, le
17 août 1994,
il est sélection-
né pour la pre-
mière fois dans
l'équipe de
France. Le
match qui déci-
dera de sa
place au sein
de l'équipe de France les oppo-
se à la République Tchèque.
Puis il enchaîne les buts et les
victoires jusqu'à son dernier
match, en cette triste après-
midi de juillet 2006, où il don-
nera le coup de tête décisif.
Pas dans le ballon, malheureu-
sement.
Emma LB.
Sébastien est un joueur inter-
national de rugby à XV. Il est
français, né le 8 décembre
1977 (33 ans) à Valence
(Drôme). Il mesure 1,91m et
pèse entre 106-117 kg . Ses
surnoms sont : L'Anesthésis-
te, L'Animal, Attila, Cartou-
che, Caveman, Hannibal Lec-
ter, Seabass.
Il grandit à
Beaumont-
lès-Valence
(Drôme) au
sein d'une
famille
originaire
de l'Ardè-
che. Son
père travail-
le dans un garage et sa mère
est ouvrière en bijouterie.
Sébastien est passionné de
mécanique donc il passe un
brevet d'études profession-
nelles dans cette discipline
tout en jouant au rugby au
sein du club amateur de
Beauvallon. Il continue son
métier car le rugby n'est
qu'une occupation de loisir.
Finalement il devient rugby-
man professionnel en lais-
PORTRAIT : ZINÉDINE ZIDANE PORTRAIT : SÉBASTIEN CHABAL
sant définitivement son
premier emploi pour aller
rejoindre l'équipe Valence
sportif. Il a joué ensuite à
Bourgoin Jallieu et dans le
Sale Sharks (un club de
rugby à XV anglais). Il s'est
construit un palmarès ho-
norable avec le champion-
nat d'Angleterre, deux tour-
nois des
Six Na-
tions, un
chalenge
e u r o -
péen et
d e u x
quatr iè -
me place
en coup
du mon-
de.
Sébastien a tourné dans
plusieurs pubs (Poker star,
Rebel sport 1...) pour inci-
ter les gens à jouer à des
jeux en lignes à défaut de
pouvoir l’imiter sur le ter-
rain. Il fait parti de ces
sportifs professionnels qui
soignent leur image auprès
du public.
Chloé M.
Zinédine Zidane est né le 23
juin 1972, à Marseille. Il est
né en France mais ses pa-
rents sont d'origine Kabyle,
dans le Haut-Atlas. Il a quatre
frères et sœur : Noureddine,
Farid, Djamel, et Lila. Lui-
même est marié à Véronique
Lentisco. Elle lui donnera En-
zo, Luca, Théo et Elyas. Le footballeur
est engagé
pour la pre-
mière fois en
1982, dans
un club pro-
che de son
quartier : Le
Castellane.
Après deux
ans là-bas, il
se fait inté-
grer au SO de Septême-les-
vallons. Il y restera jusqu'à ses
14 ans. En 1986, il est sélec-
tionné dans la catégorie ca-
det, au championnat de la
Ligue. En décembre de cette
même année, il fait un stage à
Aix-en-Provence et y est remar-
qué. Cet événement lancera
sa carrière ; Zizou est né.
A 15 ans, après un nouveau
Le Bavard Page 3
la Première Guerre Mondiale
et mourût le 5 octobre 1918.
Son nom est généralement
associé au tournoi de Roland
Garros parce que
son meilleur ami,
Emile Lesieur,
devenu président
de l'association,
Le Stade Français,
en 1927 exigea
que l'on donne le
nom de son ami
au stade. D'ail-
leurs, il le dit lui-
même ! « Je ne
sortirai pas un sou
de mes caisses si
on ne donne pas à
ce stade, le nom
de mon ami Gar-
ros ! » L'aviateur
ne vivra malheu-
reusement pas
assez longtemps pour admirer
la fidélité de son ami.
Emma LB.
homme politique célèbre ? »
Non ! Roland Garros, de son
vrai nom Roland Adrien Geor-
ges Garros était un aviateur
français de talent. Né le 6 octo-
bre 1888 sur l'île de la Réunion,
il fût lieutenant pilote pendant
E N Q U Ê TE : ROLAND GARROS
Directeur de la publication : Mme Perdriau Rédacteur en chef : Mme Chandavoine Rédacteur adjoint : Mme Ducellier Rédacteur en chef technique : M. Villeneuve
D A N S C E N U M É R O :
Jeux Olympiques 1
Sports improbables 1
Handisports 1
Interview C. Malherbe 2
Tir sportif 2
L’escrime 2
L’airsoft 2
Roland Garros 3
Zinédine Zidane 3
Sébastien Chabal 3
La Savatte 4
Le Karaté 4
Le Kin-ball 4
La savate ou boxe française
est un sport de combat. La
boxe est un sport pour hom-
mes, femmes et enfants de
tout âges. Mais tout le mon-
de pense que ce sport est un
sport masculin hors ce n'est
pas vrai. Beaucoup de collé-
giennes et de femmes, font
de la boxe : par exemple,
Myriam Lamare, championne
du monde de boxe française.
Les accessoires nécessaires
pour ce sport sont des gants,
des chaussons spéciaux, un
protège-dents et des protège-
tibias. Mais les protège-tibias
sont principalement pour les
adultes à l'inverse des en-
fants qui débutent la savate
et donc frappent moins fort. Il y a trois parties du corps
que l'on a le droit de frapper
les voici : la ligne basse c'est
la partie qui commence aux
est un entrainement codifié et
structuré de techniques ayant
pour le but la formation du
corps . - le Kumite ou combat (but réel
du karaté) est le dernier domai-
ne. Il signifie «Grouper les
mains», c'est a dire travailler en
groupe et non tout seul. Cette
notion de Kumite peut prendre
de multiples formes en karaté
de la plus
codifiée à la
plus libre.
Il existe plu-
sieurs niveaux
(ceintures) re-
connaissables par
des couleurs. Pour pas-
ser à la ceinture suivante il faut
trois à quatre barrettes, à partir
de la ceinture noir les barrettes
s'appelle des Dans.
1ere Ceinture: Blanche 2eme Ceinture: Jaune
3eme Ceinture: Orange 4eme Ceinture: Verte 5eme Ceinture: Bleu
6eme Ceinture: Marron 7eme Ceinture : Noir
8eme Ceinture très rare :
Rouge
Romane B.
A RT M A RTI A L : L E K A R A T É O R I G I N A L : L E K I N - B A L L
Le Karaté est un art martial
d'origine Japonaise, avec 50
millions de pratiquants dans
le monde. C'est le deuxième
art martial le plus pratiqué
dans le monde derrière le
Taekwondo, qui compte a
présent 60 millions
de prati-
quants. Mais il est
devant le Judo
avec seulement 8
millions de prati-
quants.
Le Karaté est basé sur
des techniques de percu-
tions utilisant les différen-
tes parties du corps
(mains ouvertes et fer-
mées, doigts, avant bras,
pieds, tibias, coudes, ge-
noux, tête, épaules, etc.)
Pour acquérir la maitrise de
ces techniques de combat,
l'enseignement comporte trois
domaines d'études : - le Kihon, qui signifie
«Technique de base» cela
consiste à faire individuelle-
ment et la plus part du temps
en groupe des techniques de
positions et de déplacements. - le Kata, qui signifie «Force»
Le Bavard Page 4
ment dans la tête. - Le crochet c'est le mouve-
ment que l'on fait autour de
l'épaule pour atteindre le
visage.
Les coups de pied permis
sont : - Le fouetté : C'est un coup
de pied que l'on donne sur
un côté latéral avec le des-
sus du chausson. On peut
mettre ce coup a partir de la
pieds et qui se termine aux
hanches, la ligne médiane ou
l'on frappe entre les hanches et
la tête, et la ligne visage ou l'on
frappe dans la tête.
Certains coups de poing sont
permis : - L'uppercut, c'est le fait de
donner un poing dans la figure
de son adversaire. - Le direct droit ou gauche est
un coup que l'on met directe-
ligne basse jusqu'à la ligne
haute (visage). - Le chassé frontal/latéral :
Frontal, on le met dans la
ligne médiane (le ventre) avec
le dessous du chausson. Latéral, on le met dans la
ligne basse (les jambes) avec
le dessous du chausson. - Le revers : c'est un mouve-
ment de la jambe qui forme
un cercle et qui passe près du
visage de l'adversaire.
Les boxeurs font souvent des
assauts (des combats), et
affrontent d'autres clubs de
boxe pour gagner des médail-
les, des coupes, ou des tro-
phées. Tout les ans en Nor-
mandie se déroule un cham-
pionnat de boxe où les ren-
contres durent environ une
journée. On en trouve toute
l'année
Laureen.B & Lisa.R
CO M B AT : L A S AVAT E O U B OX E F R A N Ç A I S E
Le kin-ball est un sport qui
se joue à plusieurs, il a été
conçu au Québec, en 1986,
par Mario Demers, profes-
seur d'éducation physique.
Le kin-ball a été inventé
pour favoriser le respect et
l'esprit d'équipe. Le but du
jeu est de lancer le ballon
(qui mesure 1,22 mètre de
diamètre
et pèse 1
kilo) à
l'une des
équ ipes
a d v e r -
ses. Elle
doit le
rattraper
et le
contrôler
a v a n t
que celui ci ne touche le sol.
D'abord pour lancer le bal-
lon, l'équipe qui le possède
doit choisir qu'elle des au-
tres équipes devra le rattra-
per avant qu'il ne touche le
sol. Si l'équipe qui doit rece-
voir le ballon ne parvient
pas à le rattraper, les points
sont pour les deux autres
équipes.
Un match est constitué de
trois périodes de 7 minutes
(pour les jeunes) et 15 minu-
tes (pour les adultes). Une
pause de 3 minutes est auto-
risée entre chaque période.
Sur le terrain il y a 3 équipes
de 4 joueurs au minimum et
de 8 joueurs au maximum.
Pour ne pas confondre les
j o u e u r s
sur le ter-
rain, tous
les joueurs
d'une mê-
me équipe
d o i v e n t
porter un
maillot de
la même
couleur.
Un match est toujours consti-
tué de 3 équipes sauf excep-
tionnellement en cas de pro-
longation où dans ce cas, il
n'y a que deux équipes qui
s'affrontent. Le kin-ball se
joue dans une salle où il doit
y avoir un sol permettant de
faire des glissades (comme le
parquet).
Mathilde. C