Nobel's Années

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Journal du lycée Alfred Nobel de Clichy-sous-Bois, édition du 1er trimestre 08-09.

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Nobel vit, nos belles vies

Série: Scott un jour, Scott toujours

Nobel plays

Nobel s‟informe

L‟AS cette année

Globalisation and crisis in 2008

Secourisme, les gestes qui sauvent

Dans les coulisses de Nobel...

Les voyages 2008-2009

L’incroyable TALAN: réussite pour tous à Nobel

Fillon puis Darcos, un nouveau ministre, une nouvelle réfor-

Rénovations urbaines, les 4 saisons de Clichy

Nobel s‟évade

Rap, Rock, R'N'B: Où va le move? Quelle est la tendance ?

Cinéma

Nobel speaks English

Schools or school ?

Nobel transpire, le sport au lycée

Barack OBAMA : An American success story

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et une section profession-nelle et il y a une importan-te variété de formations proposées. NSA : Pourquoi être venu dans ce lycée ? M. B : J‟ai été envoyé par le Recteur à Alfred Nobel, mais c‟est avant tout mon choix. Propos recueillis par Nawufal Mohamed (1èreES).

NSA : Quel est votre rôle dans le lycée ? M. Boula : Deux choses : la gestion matérielle, il s„agit de l‟encadrement du per-sonnel et des ouvriers (dames de ménages, cuisi-nières, techniciens…) et deuxièmement la gestion comptable ce qui implique de passer les commandes de manuels scolaires, de matériel pédagogique ou encore de payer les factu-res et d‟encaisser les paie-ments (pour la demi-pension par exemple).

NSA : Avec qui prenez vous les décisions ? M. B : Les décisions sont proposées au proviseur et au Conseil d‟Administration, qui les valident ou non en-suite. NSA : Que pensez-vous de ce lycée ? M. B : Il y a malheureusement beau-coup de problèmes au niveau du matériel : vitres brisées, serrures cassées… Mais il y a aussi des points posi-tifs : le lycée est polyvalent avec une section générale

fatiguant comme travail ? M

me F : Oui, il faut beau-

coup d‟énergie et la conser-ver. C’est particulièrement dur quand on ne voit pas de résultats. Nous avons parfois très peu de réussite car les élèves ne chan-gent pas du jour au lendemain. Ce n‟est pas toujours évident de tra-vailler pour eux, ne voyant pas de résultats rapidement. Mais ce que j‟aime dans ce travail, c‟est qu‟il y a un sens. Il y a du contact humain, je n‟ai pas l’impression de me lever le matin pour rien.

NSA : En quoi consiste votre rôle en tant que CPE ? M

me Fall : Il y a 3 dominan-

tes dans le travail d'une CPE :

Le suivi des élèves, pour cela nous travaillons en collaboration avec les pro-fesseurs, l'assistante so-ciale, les infirmières et le proviseur. Ce suivi des élè-ves consiste au suivi des absences, au suivi des inci-dents et surtout au suivi de la motivation des élèves.

L'organisation de la sécu-rité et des mouvements dans l‟établissement. Cela implique la gestion des sur-veillants, et tout ce qui est hors temps de classe com-me les intercours, la récréa-tion et la demi-pension.

L'animation pluri éducati-ve et l'éducation du citoyen (Formation des délégués, le CVL, la maison des ly-céens…). NSA : Pourquoi travailler

dans une zone ZEP ? Qu'est ce qui vous

plait ici ? M

me F : Le travail de CPE

est plus enrichissant ici, car nous sommes plus indis-pensables que dans un ly-cée de centre-ville où il y aurait moins de difficultés. Je ne supporte pas l‟arro-gance que l‟on peut trouver chez les élèves issus des établissements plus privilé-giés. De plus j‟aime aussi la voie professionnelle : dans cette voie beaucoup d‟élè-ves sont en échec scolaire, mais aussi en échec dans leur représentation d‟eux même. Ils ont l‟impression d‟être doués pour toujours échouer et sont dans un schéma d‟échec perpétuel. J‟aime travailler avec ces élèves pour leur donner confiance en eux, pour qu‟ils puissent faire ensuite des choses positives. NSA : N’est ce pas trop

« Je n’ai pas

l’impression de

me lever le

matin pour

rien. »

Dans les coulisses de Nobel: Interviews de l’intendant et d’une CPE.

Nous avons interrogé deux personnalités indispensables à la vie de l‟établisse-ment, en voici le compte rendu:

« Il y a

malheureusement

beaucoup de

problèmes au

niveau du

matériel : vitres

brisées, serrures

cassées… »

Propos recueillis par Amina Bashir et Laureline Place (TS)

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N O B E L S U R LA V O I E DE L A R E U S SI TE ?

A Nobel, depuis l‟an dernier le projet « réussir pour tous » a été mis en place. Financé par le Conseil Régional, il multiplie les initiatives pour améliorer notre scolarité à Nobel. Il re-groupe différents projets comme TALAN (le Travail Assisté au Lycée Alfred Nobel) ou la mise en place d‟un atelier théâtre. Parallèlement, le tutorat est un projet qui vise aussi à la réussite des élèves mais qui est coordonné par Sciences Po.

Deux étudiants se pro-posent pour venir aider les élèves au lycée.

L’INCROYABLE TALAN… Objectifs du projet Le programme TALAN vise à lutter contre le décrochage scolaire, il consiste aussi à avoir un endroit calme pour travailler. Il nous fournit un lieu spécialisé pour nous aider et nous rend un peu plus responsa-bles de notre scolarité. Ce projet a particulière-ment bien fonctionné,

pour preuve, cette an-née beaucoup plus d‟é-lèves venant du lycée professionnel y partici-pent… Horaires et intervenants Le programme TALAN a lieu a les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 17h30 à 19h30 dans la salle de travail.

EN SCENE… L‟atelier théâtre, qui est financé par le conseil général, est l‟une des autres acti-vités proposées par le projet « réussite pour tous ». Les seules personnes pou-vant participer à cette activité sont les classes de 2

nde et les CAP dans le cadre

de leur PPCP (Projet Pluridisciplinaire à Caractère Professionnel). Cette année, il y a une semaine de stage de théâtre et une représentation au lycée le jour du repas de Noël.

En fait, c’est quoi le tutorat ? Le tutorat est un projet entre les élèves et des chefs d‟entreprises. Ils guident les élèves en leur expliquant certains fonctionnements des entreprises. Financé par la municipalité et Sciences Po, il met en avant des relations privilégiées entre des cadres d‟entreprise et des élèves. Pourquoi le tutorat est-il un projet de réussite pour les lycéens ? Il nous permet d‟élargir un peu nos horizons. On peut découvrir des personnes différentes, des milieux différents… Le tutorat est un projet de réussite car il per-met aux jeunes issus de milieux défavorisés de voir le « monde extérieur » d‟u-ne autre manière. Comment intégrer ce programme ? Les élèves 2

nde peuvent participer au tutorat. Les entreprises viennent de leur

propre chef pour faire les tutorats. En gardant contact avec son tuteur on peut avoir un lien durant plusieurs années.

Le programme

TALAN vise à

lutter contre le

décrochage

scolaire.

Pour plus

d’infos, aller

sur le site

lyceenobel.fr

Sandrine PEMODJO Djamilate OMAR 2

nde7

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N O B E L G LO BE T RO T T E R L E S VO YAG E S D ’ E T U D E 2 0 08 - 2 00 9

Ce projet concerne précisément les SES, l‟histoire, la géographie et l‟espagnol. Il aborde une des notions clés de la classe de T

leES : la mondialisation. Il vise à étu-

dier les deux cotés de la frontière avec le but de montrer aux élèves la complexité et l‟actualité du phénomène. Au cœur de ce projet un voyage de huit jours en janvier 2009, qui permettra aux élèves de franchir la frontière séparant l‟Europe de l‟Afrique en passant de l‟Espagne au Maroc, est planifié.

Comme tous les ans, le lycée Nobel organise des voyages. Ils sont subventionnés par Scien-ces po Paris et nous permettent de nous évader tout en nous instruisant.

« Les frontières de la mondialisation » : La Méditerranée à travers la frontière entre le Maroc et l‟Espagne

Projet pluridisciplinaire : (histoire, ECJS, anglais, sport et santé). Ce projet a pour but d‟organiser une journée de réflexion collecti-ve sur la violence. Des recherches et des réponses vont être apportées par des élèves du lycée professionnel et du lycée général à travers de nomberuses sorties et un vouyage d‟études à Londres. En outre, des organismes extérieurs comme la police, la justice, des ethnologues et des sociologues interviendront. Ce projet débute dès sep-tembre 2008 jusqu‟à fin avril 2009.

Violences et incivilités : réfléchir pour mieux agir

Le projet permettra aux vingt-quatre élèves de Terminale Bac Pro Services accueil, accompagnés de quatre professeurs, de réaliser un stage professionnel de deux semai-nes dans une entreprise située hors métropole : la Martinique.

Stage en Martinique du côté professionnel

Ce projet débute

dès septembre

2008 jusqu’à fin

avril 2009.

Hulya Erkan Firdevs Dagli

1ère

S

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Pensez toujours à don-ner l’alerte avec ces nu-

méros SAMU : 15

Sapeurs pompiers : 18 Police/Gendarmerie : 17

N° Européen : 112 SAMU SOCIAL : 115

En cas d’étouffe-ment:

Si la victime émet des sons, l‟air peut passer, on doit juste encourager la toux, garder sa position initiale puis demander un avis médical. Si elle ne parle pas, vous devez lui mettre 5 claques dans le dos entre les omo-plates.

En cas d’hémorra-gie:

Si la victime saigne abon-damment ; il faut tout d‟a-bord compresser la zo-ne (en protégeant sa propre main pour ne pas attraper de virus), puis met-tre un pansement pour stopper le saignement (ne pas hésiter à changer le panse-ment si le saignement conti-

nue).

Si la victime est incons-ciente

...et qu’elle respire ; il faut libérer les voies aériennes (ouvrir la bouche), la mettre en PLS (Position Latérale de Sécurité). … et qu‟elle ne respire pas, il faut faire deux insufflations, suivies de 30 compressions thoraciques. S’il n’y a toujours pas de respiration, pratiquez la DAE (Défibrillation Automatisée Externe), le mode d‟emploi se trouve dans la plupart des lieux publics.

En cas de malaise Si la victime se plaint d‟un malaise, informez et évitez l‟aggravation. Pour cela, ob-servez et mettez la personne au repos puis interrogez-là afin de savoir si elle prend des médicaments, si elle a déjà eu un malaise… Enfin, alertez les secours médica-lisés. Donnez lui ses médi-caments ou un sucre si la victime vous le demande.

S E C O U RI SM E : L E S P R EM I E RS G ES T E S Q U I

S AU V E N T Retour sur la formation pour le brevet de secourisme réussie l’an dernier pendant un séjour au ski avec succès par une soixantaine d’élèves du lycée professionnel et des classes technologiques.

Myriam Le Tohic Mélissa Michelot

TCGRH Nana Peprah 1ES

Lundi 12h30-13h30 Renforcement musculaire, step* abdos/fessiers (M

me CADIOT)

17h30-19h00 Musculation (M. DESTREBECQ)

17h30-19h30 Badminton, tennis de table (M.RAMEYE)

Mardi 17h30-19h00 Foot loisir (M. BALAC, M. KARA)

Mercredi 13h30-15h30 Foot en salle (M. BALAC, M. KARA)

Jeudi 12h30-13h30 Renforcement musculaire, step* abdos/fessiers (M

me CADIOT)

17h30-19h30 Musculation (M. DESTREBECQ)

17h30-19h30 Basket-ball (Melle

ROUMEAU)

Durant l’année 2006/2007 l’équipe de foot en salle est

arrivée 3ème académique ;

celles de basket-ball et de badminton ont accédé à la

phase départementale.

L’Association Sportive du lycée Alfred

Nobel

Cette année

encore, le lycée Alfred Nobel propose aux élèves qui

aiment le sport différentes

activités sporti-ves quatre jours de la semaine : Viens t‟amuser à l‟AS step pour te muscler en posant un pied après l‟autre sur le step, sur une musique très rythmée !!! *Prends ta

tenue de sport et un sandwich et rejoins Mme Cadiot pour une séance d‟abdos

fessiers … A vous de

jouer !!!

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RENOVATIONS URBAINES : LES 4 SAISONS DE CLICHY

En hiver, les immeubles tombent, en automne ils bourgeonnent, au printemps ils s‟épa-nouissent et en été Clichy-sous-Bois arrive à maturité...

Dans le cadre du Programme de Rénovation Urbaine (PRU), les chantiers ont commencé allée Etienne Laurent. Pour les 16 000 habitants du « Grand ensemble » de Clichy-sous-Bois et Mont-fermeil, le Plan de Rénovation Urbaine commence à devenir réel. Après quatre années de travaux invisibles ou d‟opérations foncières, les pre-miers immeubles sortent de terre et les premiers logements neufs ont été livrés cet été. Le quartier change doucement. Un bâtiment de 45 logements sociaux, un autre de 100 logements et deux îlots de 29 ou 30 maisons individuelles sont en cours de construction sur des sites qui ont longtemps été en friche c‟est-à-dire désaffectés. Les bâtiments collectifs seront tous de quatre étages. L‟ensemble de ces travaux devrait être terminé à la fin de l‟année 2009. Ces nouveaux logements permettront d‟accueillir en prio-rité les occupants des immeubles qui seront démolis à la Forestière. Un des chantiers à 500 millions d‟euros doit, à terme, voir la démolition de 1600 logements et la construction de plus de 2000 autres. Cette opération de rénovation urbaine est financée par l‟Etat, l‟Agence Nationa-le de Rénovation Urbaine, la région Ile-de-France et la caisse des dépôts et consignations. Depuis des années les habitants de Clichy-sous-Bois ont rêvé de ces nouveaux logements pour pouvoir vivre dans un environnement plus sain. Aujourd‟hui leur rêve s‟est enfin réalisé, après tant d‟années d‟attente.

Les premiers

logements

neufs ont été

livrés cet été.

Nawufal MOHAMED, 1ère

ES Sonia BELAHDJ, TCGRH

Page 8: Nobel's Années

Après Fillon, Darcos : Un nouveau ministre, une nouvelle réforme

Le 15 novembre 2008, le ministère de l‟éducation a reçu 600 élèves ve-nant de toutes les académies françaises afin de converser sur la réforme du lycée. En tant que représentante du lycée, j‟y étais (NDLR : Bidja Dou-couré, TS1). Alors que je commence la rédaction de cet article, une petite fouine à mes côtés (sacrée Coumba !) cherche à comprendre ce qui se passe au ministère de l‟éducation.

Quoi de neuf chez M. Darcos, enfin que nous propose-t-il ?

Le projet de réforme prévoit une organisa-tion nouvelle du temps scolaire en deux semestres avec quatre rendez-vous an-nuels pour les secondes, premières et terminales : Deux conseils de mi-semestre pour faire le point avec les élèves sur les difficultés rencontrées. Deux conseils de fin de semestre pour parler notamment de l‟orientation et une semaine de bilan est prévue entre les deux semestres.

Quelle en sera l‟organisation ?

Les élèves auront trente heures de cours dans la semaine : vingt et une heures pour les ensei-gnements généraux, six heures pour les ensei-gnements complémen-taires et trois heures pour l‟accompagnement personnalisé.

Le projet de

réforme du ly-

cée prévoit une

organisation

nouvelle du

temps scolaire

Page 9: Nobel's Années

Et pour les premières et les terminales ?

En première et terminale, les lycéens recevront toujours des enseignements généraux et feront des choix dans les modules de spécialisation.

Si j‟ai bien compris, c‟est encore une réforme qui va diviser !

Ben oui, c‟est un peu ça… Le ministre nous a demandé de faire un bilan de ce projet de réforme et voici en quelques lignes ce que je considère comme en étant les points forts et les points faibles.

La réforme Darcos veut…

Réduire l‟échec scolaire

Accompagner et guider les lycéens en leur proposant des itinéraires personnalisés et des « parcours confirmés »

Instaurer un meilleur équilibre ensei-gnement / travail personnel

Aider plus efficacement les lycéens à s‟orienter

Mieux préparer à l‟enseignement supérieur

Un découpage de l‟année plus im-portant visant à mettre en place des aides personnalisées

Deux rendez-vous à la mi-semestre faisant le point sur le parcours enga-gé

Ses adversaires lui reprochent…

Un emploi un temps trop cloisonné

Des parcours déterminés à l‟avan-ce

La diminution du temps de travail de l‟enseignant et donc la suppres-sion des postes qu‟elle entraîne (perte de cinq heures de cours dans le « tronc commun »)

La baisse de la formation donc un bac moins exigeant

La discrimination sociale que pour-rait engendrer le choix des options

Un trop large éventail d‟options qui de toutes façons ne pourra pas être mis en place dans tous les établissements à la rentrée pro-chaine

La baisse de la qualité des cours

Bidja DOUCOURE TS1 Coumba DIAWARA TS2

Page 10: Nobel's Années

S c o t t u n j o ur, Sc o t t t o u j o ur s

Vous connaissez les frères Scott ? C‟est une série qui parle de deux frè-res passionnés de basket-ball vivant à Tree Hill en Californie, ils se par-

tagent un père, une passion et deux filles... Cette série, c‟est tout d‟abord un générique, « I don‟t wanna be », inter-

prété par Gavin Degraw, et de la bonne musique à chaque épisode. Mais One Tree Hill c‟est aussi une morale, des messages à faire passer,

des citations qui sont toujours bien choisies et une véritable maturité.

Tout d‟abord, il y a Peyton Sawyer, meilleure amie de Brooke depuis l‟enfance. Peyton a perdu ses deux mères, adoptive et biologique. Elle a retrouvé son frère et va retrouver son père dans la saison 5 mais res-tera attachée à son père adoptif. Peyton adore le rock, et la musique ; elle dessine très bien. Peyton aime Lucas.

Lucas Scott a été abandonné par son père, il a été élevé par sa mère et son oncle Keith. Il va tisser des liens avec Nathan au fil des saisons. Lucas a la maladie cardiaque de son père, il se résout à abandonner l‟idée d‟être basketteur professionnel. Il adore la lecture et pense donc à une carrière d‟écri-vain ou de coach sportif.

Haley James Scott est très intelli-gente. Elle se découvre un passion pour la chanson et veut devenir pro-fesseur au lycée de Tree Hill. Elle réussira et sera mère de Jamie Scott dans la saison 5.

Brooke a des parents ignorants mais riches. Elle adore la mode. Malheureusement, son père fait failli-te. Elle a sa marque de vêtements, « les copines d‟abord », laquelle la rendra riche et célèbre grâce à sa mère, Victoria.

Nathan vise une carrière profession-nelle mais ce n‟est pas facile car il n‟a pas des notes très élevées. Il a aussi mauvais caractère : il est arro-gant mais Haley le changera. Il sera handicapé suite à une bagarre dans un bar dans la saison 5.

Antonin Meyer 2nde5

Page 11: Nobel's Années

R a p , R o ck , R 'N ' B : O ù va l e m o ve ? Q u e l l e e s t l a t e n d a n ce ?

Nous allons par-

ler de Rap, et de

nouveaux al-

bums. Préparez-

vous a rapper

comme vous ne

l'avez jamais fait :

Rohff et Booba

reviennent avec

de tous nou-

veaux albums.

Rohff sort son

nouvel album, le

cauchemar du

rap français, le 15

décembre.

On finit en beauté

avec l'album de

Booba, dans les

bacs le 24 no-

vembre. L'album

s'intitule 0,9 . Il

sortira en édition

collector !

Lady Gaga, Stefani Germanotta de son vrai nom, voit le jour en mars 1986 et devient très vite une chanteuse et compositri-ce dance-pop et électronique. A 20 ans, Lady Gaga se fait engager par le label Inter Scope Records pour écrire des tu-bes sous la demande d‟artistes tels que les Pussycat Dolls. En avril 2008 elle se lance dans une carrière solo avec le single Just Dance, suivi d’un premier album : The Fame.

Voici trois grands noms du monde musical actuellement, des légendes ou des découvertes, il y en

a pour tous les styles …

Lady Gaga

James Hetfield (chant, guitare), Kirk Hammet (guitare), Ro-bert Trujillo (basse) et Lars Hulrich (batterie) sont les mem-bres du groupe emblématique Metallica ; cette formation com-posant le célèbre groupe de heavy trash metal se tient depuis 2003. En effet, auparavant Metallica a connu d’autres mem-bres, notamment Dave Mustaine qui quitta le groupe en 1982 car il consommait des substances illicites.

Metallica a vendu plus de 100 millions d‟albums dans le monde, dont Kill’ em All (1983), Master of Puppets (1986), Metallica, the black album (1991), St Anger (2003), et Death magnetic leur dernier bébé paru en 2008 ; l‟album arbore des thèmes comme l‟a-pocalypse, les cauchemars, la mort … Ce dernier thème est surtout apparu chez Metalli-ca après leur renaissance suite à la mort d‟un de leurs membres, Cliff Burton, en 1986…

Une grande tournée en 2009 suivant la sortie de l‟album aura lieu, passant notamment par Londres le 28 mars, Rome les 22 et 24 Juin, Madrid le 13 Juillet et enfin au palais omnisport Bercy les 1et 2 avril.

Tenez-vous prêts pour le décollage, Death magnetic est dans les bacs …

Death Magnetic

En ce moment même, le jeune chanteur Chris Brown âgé de seulement 18 ans est sans doute l'artiste R&B le plus en vo-gue des États Unis.

Pour ce deuxième album intitulé Exclusive, le jeune et doué Chris Brown s'est entouré de grands noms de la musique tels que The Game, Big Boi d'Outkast, Kanye West et le populaire Will I Am du groupe Black Eyed Peas.

Bien qu'il semble avoir pris une certaine assurance et maturité depuis son tout premier album lancé en 2005, Chris Brown nous offre ce deuxième album qui, soit dit en passant, est tout aussi excellent, sinon meilleur que le précédent.

Chris Brown

Myriam Le Tohic Melissa Michelot

Sonia Belahdj TCGRH

Antonin Meyer 2nde5

Page 12: Nobel's Années

Ciné, Ciné . . .

Comme tous les ans Nobel’s années vous propose les toutes dernières sorties de films et de DVD.

August Rush : Peu importe qu’il ait grandi dans un orphelinat ; August Rush est persuadé que ses parents n‟ont jamais voulu l‟abandonner. Le jour où il découvre son talent inné pour la mu-sique, August Rush y voit même le moyen de retrouver ceux qui l‟ont mis au monde : il est sûr que ses parents, s‟ils enten-dent la symphonie qu‟il a composée pour eux, sauront le recon-naître à travers sa musique… Mon avis (Hulya E. 1

èreS) : Très bon film ; une aventure à tra-

vers la musique !! Note : 17/20

Jumper : Depuis qu’il a découvert qu’il pouvait se téléporter n‟importe où sur terre, le monde n‟a plus de limites pour David Rice. Grâce à son pouvoir, il peut déjeuner en Egypte sur la tête du Sphinx, passer la journée à faire du surf en Australie, dîner à Paris et prendre le dessert au Japon. Les murs ne l‟ar-rêtent plus et aucun coffre de banque ne lui résiste. Libre com-me personne, David vit dans l‟insouciance la plus totale, jusqu‟à ce que… (suspens !!!) :-) Mon avis (Firdev D. 1

èreS) : Un film plein d’’action, un scénario

intéressant. Note : 15,5/20

Entre les murs : François est un jeune professeur de français dans un collège difficile. Il n‟hésite pas à affronter Esmeralda, Souleymane, Khoumba et les autres dans de stimulantes joutes verbales, comme si la langue elle-même était un véritable en-jeu. Mais l‟apprentissage de la démocratie peut parfois compor-ter de vrais risques. Mon avis (Bidja D. TS1) : Est-ce un film ou est-ce un documen-taire ? Pour ma part, il s‟agit d‟un film, d‟une fiction, mais qui soutient un véritable propos sur le réel. Les spectateurs se voient tentés de comprendre ce qui se passe entre les murs de cette salle de classe, dans la cours, mais aussi dans la salle des profs… Entre les murs c‟est l‟histoire d‟un professeur de français qui pour une fois n‟st pas montré comme un héros, mais comme un guide qui tente d‟inspirer ces jeunes qui ne demandent qu‟à croire. Le film se termine par un match de foot-ball entre professeurs et élèves au score nul ce qui montre bien le parallèle, le match auquel on vient d‟assister. Quelle coïnci-dence ! En tout cas, c‟est un très beau jeu annoncé ici. Il s‟agit donc d‟un film à voir, sensible, intelligent, pas étonnant qu‟il ait passionné le jury du festival de Cannes. Note : 17/20

Page 13: Nobel's Années

country. More and more engineers graduate from Indian schools : about 350 000 per year against 100 000 in France and 70 000 in the United States. Finally, some institutions propose to study for a short time in another country. For instance, some French university ask students to attend foreign colleges for a year. That is the case in the school Sciences Po. Actually, to pass the exam, students have to go to one of the 260 part-ner university in the world. It can be Canada, Peru, South Africa, China or Australia for example.

That kind of high schools was developed firstly to create links between Northern countries, par-ticularly between Euro-pean countries and the United States and the links between the coun-tries in the European Un-ion. Besides, that way allows students to im-prove their level in the language of the country where they study. More-over, those links permit students to learn about some countries more or less different from their native country. For in-stance, foreign students who attend American high schools, like in New York or in Boston, can learn about the American way of life. Thus, they

don‟t “hear about” that : they can make their own opinion. Furthermore, the creation of international high schools follows the speed development of developing countries like China or India. In addi-tion to this, India has kept links with the United Kingdom thanks to the decolonisation. Thus, quite a few Indian people are able to speak Eng-lish, which is the lan-guage used in interna-tional relations. More-over, students who go to Indian high schools, in Poona for example, learn about the Indian way of life and its fast evolution, while keeping attending lessons in their own

S c h o ol s or s ch o o l ?

high food prices whose production needs oil, and a global inflation. How-ever, it is based on the fact that each stock ex-change didn‟t trust the other ones anymore. Thus, the rapidity of the exchanges made be-tween numerous coun-tries all around the world has led to a global finan-cial crisis.

During the first week of September, the Dow Jones began to decrease and the oil price kept ris-ing. At the end of Sep-tember, some newspa-pers dealt with a “Black September”, a term which alludes to the Wall Street crisis in 1929 : “the Black Thursday”. All the stock exchange in the world dropped. The subprime crisis spread throughout European countries, Japan and Russia. At that time, the famous and old bank firm Lehman Brothers already had failed (between Sep-tember 13

th and 14

th).

Lots of other banks fol-lowed the latter during

the next two months. In October, all the stock exchanges had fallen by more than 20%. To face the crisis, the governments decided to try to stop that drop which had been the worst financial crisis since the Great Depres-sion in the 1930‟s. Since September 19

th, the

American government has spent 700 billion dollars in order to save some organisations. According to analysts, the crisis also has a link with the high oil prices,

G l o ba l i s a t i o n a n d c r i s i s i n 2 0 0 8

Since the end of the 20th century, schools have created partnerships with other countries. Indeed, international high schools exist all around the

world today.

The so called “financial crisis” has become international. However, that crisis began in the United States, during last summer. Let‟s go back to

September.

That crisis is the

worst financial

crisis since the

Great Depression

in the 1930’s.

Those links per-

mit to bring stu-

dents knowledge

about some coun-

tries more or less

different to the

country they

come from.

Anne-Flore Da Vinha T

leS

Page 14: Nobel's Années

Malia, 10 and Sasha, 7. After defeating in the House of Represents in 2000, four years later, he is elected with 70% as the senator of Illinois, becoming the first black in the Senate. From there on, his speech the audacity of hope helped him to be recognized. His candidacy for the Democratic presidential was announced in front of the house where A b r a h a m L i n c o l n started his Abolitional campaign.

Importance by catch-words :

Forty five years after the Rev. Martin Luther King Jr's “I HAVE A DREAM” speech, Barack Obama attracted Americans attention by presenting himself with catch-words such as “Yes, we can” and with his sen-tence “There is not a black America and a white America and a Latino America and Asian America; there's the Unites States of America”. From that, he aims at being the presi-dent of reconciliation and the one of the American dream.

After being beaten by her democratic col-league Barack

Obama, Hillary Clinton took sides with him on June 6

th. This was fol-

lowed by an intensive campaign which op-posed the Democratic cand ida te Barack Obama, 47, hugely sup-ported by his wife, very present in his cam-paign , whom he called “Obama's rock” to the Republican John McCain and the entire world was concerned about who was going to win. The crucial mo-ments appeared on Au-gust 29th 2008, when John McCain nomi-nated Sarah Palin, next on stage, Obama and John McCain had a face to face on Sep-tember 26

th. Finally on

October 30th Obama

received support from the former secretary of State, Colin Powell and the former president Bill Clinton. In November, the Americans broke their record by voting massively at 66% and on November 4

th 2008,

they elected Barack Obama, candidate in favour of the gradual withdrawal of the USA's forces in Iraq, of the decrease of taxes for 95% of Americans and for the complete reform of the health system as their 44

th president. This

latter, who will officially start his work as a head of state in January won in key states such as Florida, Ohio and North Carolina and obtained 196 big voters whereas his opponent obtained 145. This was and is a

historic moment since the Democratic candi-date described as black, who claims for the in-heritance of John Fitz-gerald Kennedy and the pastor Martin Luther King , is the second youngest president after John Fitzgerald Ken-nedy and is the first “coloured” man to be the President of the United States of Amer-ica. Therefore, he illus-trates the American Dream by climbing the social ladder.

Life story :

Indeed, Barack Hussein Obama was born in Ha-waii on August 4

th 1961

of a Kenyan father and of a white mother from Kansas. He spent some years in Indonesia after the divorce of his par-ents before returning to Hawaii to continue his studies while leaving with his grand parents. Intelligent, he obtained his international rela-tions and political sci-ences certificate in the University of Columbia. After being officer of financial analysis, he worked as a social pro-moter in the ghettos of southern Chicago. In 1987, he enters the University of Harvard where he became the first black editor of the reputed law magazine in the faculty. When he came back to Chicago, he spent his time in the teaching of the Consti-tutional Right and worked in a legal con-sulting-room. Then he met his wife Michelle who was then a lawyer and from 1998 to 2001, they had two daughters;

B a r a ck O B AM A : An Am e r ic a n s u c c es s s t o r y

“There is not a

black America

and a white

America and a

Latino America

and Asian Amer-

ica; there's the

Unites States of

America.”

On November 4th

2008, they

elected Barack

Obama, candi-

date in favour of

the gradual with-

drawal of the

USA's forces in

Iraq, of the de-

crease of taxes

for 95% of

Americans and

for the complete

reform of the

health system.

Nana Peprah 1ère

ES

Civil rights movement It is the political, social and legal fight of the black Americans for racial equality and civil rights. This movement began when Rosa Parks refused to give up her seat to a white in a bus in 1955 and ten years later, it ended with the Voting Rights Act in 1965. However, some people reckon that there is still a long way to go...

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Answers : 1. monarchy, 2. office, 3. flowers, 4. crow, 5. cherry, 6. empire, 7. uniform, 8. yellow, 9. graveyard, 10. ride, 11. piece, 12. whistle

N o b e l p l a ys

9

12

7 4 5

2

11 1

3

8 10

6

1. Type of government in which a queen or a king rules 2. Business men go there everyday 3. Something women love to have as a gift 4. Unlucky black bird 5. Small red fruit 6. The Romans' one was the biggest 7. Something you are obliged to wear in British schools 8. Colour of the sun 9. A place where dead people rest 10.An activity you do with a horse or a bike 11.A bit of something 12.Little instrument in which you make a sound to make a noise or to call

somebody

If I were born in Italy, grew up in Spain and died in Australia ; what am I ?

A family of mice were surprised

by a big cat. Father Mouse

jumped and said, "Bow-wow!" The

cat ran away. "What was that, Father?" asked Baby Mouse.

"Well, son, that's why it's impor-tant to learn a

second langua-ge." .

Interviewer to Millionaire: To whom do you owe your suc-

cess as a millio-naire? "

Millionaire: " I owe everything

to my wife." Interviewer: "She

must be some woman. What

were you before you married

her ? " Millionaire:"A

Billionaire"

Life is the story of three rings : - the engagement ring - the wedding ring - and the suffer ring

What does 0 tells to 8 ?

Amina Bashir Laureline Place

Anne-Flore Da Vinha T

leS

Answer : dead

Answer : nice belt.

Acte II, Scène 1 : « The Balcony Scene », « La scène du Balcon » Juliet : O Romeo, Romeo wherefore art thou Romeo? O Roméo, Roméo, pourquoi donc es-tu Roméo ? Deny thy father and refuse thy name Renie ton père et abdique ton nom Or, if that wilt not, be but sworn, Ou, si tu ne veux pas, jure d’être My love and I‟ll no longer be a Capulet. Mon amour et je cesserai d’être une Capulet. Romeo : Shall I hear more, or shall I speak at this ? Vais-je en entendre plus ou dois-je lui parler ? Juliet : Tis but thy name that is my enemy Il n’y a que ton nom qui est mon ennemi Thou art thyself Montaigu. Tu es toi, même si tu n’étais pas un Montaigu. What‟s Montaigu ? It is not hand, nor foot, Qu’est-ce qu’un Montaigu ? Ce n’est ni main, ni pied, Nor arm, nor face, nor any other part Ni bras, ni visage, ni aucune partie Belonging to a man. O be some other name ! Qui font le corps d’un homme. Oh ! Soit quelque autre nom. What‟s in a name ? That which we call a rose Qu’y a-t-il dans son nom ? Ce que nous nommons rose By any other word would smell as sweet. Sentirait aussi bon avec un autre mot.

William Shakespeare

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