Newsletter Impact n°7

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STRATÉGIES & PQR LE SCORE Vincent Leclabart parle avec l’accent p. 4 La newsletter de la Presse Quotidienne Régionale N° 7 Décembre 2004 Une campagne, 860 000 annonceurs. C’est le meilleur score d’impact jamais obtenu par Audi en PQR 66 ! Annonceur : Audi Dispositif PQR 66 : 3 x 1/2 page quadri Période : août 2004 Responsable Annonceur : Bastien Schupp (directeur communication) Alexandre Pinte (resp.communication) Agence Conseil : Louis XIV DDB Responsable Agence Conseil : Mme Camille Raymond (dir. clientèle) Agence Média : Mediacom Responsable Agence Média : Axel Dumont (directeur développement) Méthodologie des tests Impact 66 : Réalisés par IFOP depuis 1991 sur la base de 200 interviewés minimum, représentatifs nationalement, en face à face au domicile Définition du score d’impact : Score Vu ou Lu 70 % Alain Griset Président du FNPCA Président de l’APCM Quelle est la genèse des prises de parole importantes de l’Artisanat depuis quelques années ? Alain Griset : A l’heure où l’on s’intéresse aux grands faits écono- miques et financiers sur fond de mondialisation, il était nécessaire de faire mieux connaître la réalité de l’artisan moderne, et de le replacer aux yeux des opinions dans sa juste réalité économique et sociale. Cette place, c’est celle qu’il occupe dans le “tout” qu’il constitue sous la bannière de son secteur économique global, l’Artisanat. L’Artisanat, en France, c’est le premier secteur économique ; un acteur majeur de la création d’emploi ; l’un des premiers soutiens de l’aménagement du territoire et du développement local, et enfin l’un des acteurs clés de la formation, de l’insertion des jeunes et de la formation continue dans ses métiers. C’est un secteur qui se développe et ne demande qu’à se développer, avec une “économie humaine” de proximité, enracinée partout sur le territoire – comme la PQR ! - et qui prouve chaque jour la modernité de son modèle. A l‘échelle européenne par exemple, rappelons que 95 % des entreprises ont moins de 20 salariés : il ne faut plus laisser penser que seules les moyennes ou grandes entreprises font l’économie ! Il fallait que cette réalité soit rappelée aux pouvoirs publics, notamment, et aux citoyens qui sont concernés à différents niveaux : en tant que clients-consom- mateurs, mais aussi en tant que profes- sionnels ou futurs professionnels face aux opportunités économiques et d’emploi de l’Artisanat. émettrices… mais aussi cibles de communication. Le principe est que chaque artisan contribue par lui même à un Fonds - le Fonds National pour la Promotion et la Commu- nication de l’Artisanat - exclusive- ment dédié à la communication, et totalement financé par cette syndi- cation de moyens. Avec 11 euros par an par artisan, le secteur de l’Artisanat s’offre la force de frappe dont elle a besoin (budget de 12,3 millions d’euros par an en 2004 et 2005, dont 7 en achat d’espace). Les artisans bénéficient autant collecti- vement qu’individuellement de cette communication : elle change le “regard des autres” sur eux mêmes, en leur apportant la conscience d’appartenir à une famille écono- mique forte, influente, solidement ancrée dans l’actualité. Notons ici que la culture n’est pas de se reconnaître sous une même bannière globale : si le boulanger se retrouve bien dans la confrérie des boulangers, ce senti- ment d’appartenance au secteur artisanal dans son ensemble ne lui Depuis 1999, l’Artisanat est présent dans nos esprits avec cette signature indiscutable : “Première entreprise de France”. A l’occasion d’une belle campagne en PQR66, nous avons rencontré Alain Griset, Président du FNPCA (Fonds National pour la Promotion et la Communication de l’Artisanat), et à ce titre représentant des… 860000 signataires de cette campagne. Dossier: Les Français et l’argent p. 3 Pour ce septième dossier “In Situ Marketing”, Impact PQR s'est intéressé à la relation qu'entretiennent les Français avec leur argent. Comment celle-ci a-t-elle évolué au cours des années récentes ? A qui profite-t-elle principalement ? Pour quels choix patrimoniaux : épargne ou placements à risque? Un dossier complet sur une vraie révolution. suite en page 2… Qui est réellement l’émetteur de ces campagnes et actions de communication ? A.G. : Les 860 000 entreprises artisanales elles-mêmes (elles pèsent près de 3 millions d’actifs), qui sont chacune “Nous gérons l’image du secteur comme une marque vivante, attractive…”

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Page 1: Newsletter Impact n°7

STRATÉGIES & PQRLE SCORE

Vincent Leclabartparle avecl’accent p. 4

La newsletter de la Presse Quotidienne Régionale N° 7Décembre 2004

Une campagne, 860 000 annonceurs.

C’est le meilleur scored’impact jamais obtenu

par Audi en PQR 66 !

■ Annonceur : Audi

■ Dispositif PQR 66 :3 x 1/2 page quadri

■ Période : août 2004

■ Responsable Annonceur :Bastien Schupp (directeur communication)Alexandre Pinte(resp.communication)

■ Agence Conseil :Louis XIV DDB

■ Responsable AgenceConseil :Mme Camille Raymond (dir. clientèle)

■ Agence Média :Mediacom

■ Responsable Agence Média :Axel Dumont (directeur développement)

Méthodologie des tests Impact 66 :

Réalisés par IFOP depuis 1991 sur la base de

200 interviewés minimum, représentatifs

nationalement, en face à face au domicile

Définition du score d’impact :

Score Vu ou Lu

70%

Alain GrisetPrésident du FNPCAPrésident de l’APCM

Quelle est la genèse des prises de paroleimportantes del’Artisanat depuisquelques années ?Alain Griset : A l’heure où l’ons’intéresse aux grands faits écono-miques et financiers sur fond demondialisation, il était nécessaire defaire mieux connaître la réalité del’artisan moderne, et de le replacer auxyeux des opinions dans sa juste réalitééconomique et sociale. Cette place,c’est celle qu’il occupe dans le “tout”qu’il constitue sous la bannière de sonsecteur économique global, l’Artisanat.L’Artisanat, en France, c’est le premiersecteur économique ; un acteur majeurde la création d’emploi ; l’un despremiers soutiens de l’aménagementdu territoire et du développementlocal, et enfin l’un des acteurs clés de laformation, de l’insertion des jeunes etde la formation continue dans sesmétiers. C’est un secteur qui sedéveloppe et ne demande qu’à sedévelopper, avec une “économiehumaine” de proximité, enracinéepartout sur le territoire – comme laPQR ! - et qui prouve chaque jour lamodernité de son modèle. A l‘échelleeuropéenne par exemple, rappelonsque 95 % des entreprises ont moins de20 salariés : il ne faut plus laisser penserque seules les moyennes ou grandesentreprises font l’économie ! Il fallaitque cette réalité soit rappelée auxpouvoirs publics, notamment, et auxcitoyens qui sont concernés à différentsniveaux : en tant que clients-consom-mateurs, mais aussi en tant que profes-sionnels ou futurs professionnels faceaux opportunités économiques et d’emploide l’Artisanat.

émettrices… mais aussi cibles decommunication. Le principe est quechaque artisan contribue par luimême à un Fonds - le Fonds Nationalpour la Promotion et la Commu-nication de l’Artisanat - exclusive-ment dédié à la communication, ettotalement financé par cette syndi-cation de moyens. Avec 11 euros paran par artisan, le secteur del’Artisanat s’offre la force de frappedont elle a besoin (budget de 12,3millions d’euros par an en 2004 et2005, dont 7 en achat d’espace). Lesartisans bénéficient autant collecti-vement qu’individuellement de cettecommunication : elle change le“regard des autres” sur eux mêmes,en leur apportant la conscienced’appartenir à une famille écono-mique forte, influente, solidementancrée dans l’actualité. Notons ici quela culture n’est pas de se reconnaîtresous une même bannière globale : sile boulanger se retrouve bien dans laconfrérie des boulangers, ce senti-ment d’appartenance au secteurartisanal dans son ensemble ne lui

Depuis 1999, l’Artisanat est présent dans nos esprits avec cette signature indiscutable : “Première entreprise de France”. A l’occasion d’une belle campagne en PQR66, nous avons rencontré

Alain Griset, Président du FNPCA (Fonds National pour la Promotion et la Communication de l’Artisanat),et à ce titre représentant des… 860000 signataires de cette campagne.

Dossier: Les Français et l’argent p. 3Pour ce septième dossier “In Situ Marketing”, Impact PQR s'est intéressé à la relationqu'entretiennent les Français avec leur argent. Comment celle-ci a-t-elle évolué au cours desannées récentes ? A qui profite-t-elle principalement ? Pour quels choix patrimoniaux :épargne ou placements à risque ? Un dossier complet sur une vraie révolution.

�suite en page 2…

Qui est réellementl’émetteur de cescampagnes et actions decommunication ?A.G. : Les 860 000 entreprises artisanales elles-mêmes (elles pèsent près de 3 millionsd’actifs), qui sont chacune

“Nous gérons l’image du secteur comme une marque vivante, attractive…”

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était pourtant pastoujours naturel. Leschoses ont évolué : ilest aujourd’hui artisanET boulanger. Vu souscet angle, le fait dec o m m u n i q u e rcollectivement a étéun révélateur tantpour les artisans eux-mêmes que pourl’opinion publique quiaccueille très biencette démarche col-lective. Si les artisansne perdent pas leurlégendaire indépen-dance, ils n’en consti-

tuent pas moins ensemble la “Première entreprise de France”!

Qu’en est-il de la problématiqued’image du secteur ? A.G. : Grâce à nos campagnes, l’image de l’artisan s’estconsidérablement améliorée auprès du grand public, maisil reste à obtenir une véritable adhésion qui seconcrétiserait, notamment,par l’arrivée de nombreuxjeunes voulant devenirartisans. Le développementde l’Éducation Nationale s’estétabli de telle sorte qu’il agénéré un regard condescendant de la part du corps socialà l’égard des artisans. Il était profondément inscrit dans lesesprits qu’un artisan s’était orienté par refuge et non parchoix dans son métier, que son statut professionnel relevaitimplicitement d’une forme d’échec. Ainsi, on respectaitl’artisan et son activité, mais on ne voulait pas que sespropres enfants se destinent à un tel parcours !Aujourd’hui, si l’on voit ce même artisan comme quelqu’unqui exerce un vrai métier qu’il aime, qui l’épanouitpersonnellement et qui lui apporte - de plus - la réussitefinancière, alors cela change tout, et vient comme uneréponse idoine aux aspirations du monde actuel. De plus -vu du client cette fois - l’Artisanat est une bonne réponseaux nouvelles aspirations de qualité de service, deproximité et de disponibilité. On passe directement du“vieillot” à la modernité. Le rôle de la communication, etde la publicité en particulier, est d’accélérer ce processus deprise de conscience. Avec notre signature pérenne“Première entreprise de France”, nous gérons l’image dusecteur artisanal comme une marque vivante, attractive,qui mérite d’être “défendue”, et chargée de sens. On meten exergue les ingrédients de cette réussite, on faitconnaître l’offre professionnelle de façon à créer l’envie, la“désirabilité”. C’est un travail de longue haleine, mais leschoses ne cessent de “bouger” dans les perceptions del’ensemble de nos publics cibles.

Quels sont les grands enjeux et ciblesde communication pour l’Artisanat ?A.G. : Nous travaillons conjointement sur plusieurs axes decommunication, en développant des actions tant horsmédias que publicitaires. Les jeunes constituent un enjeuprioritaire pour le développement durable du secteur.Malgré les difficultés économiques, l’Artisanat crée de 50 à70 000 emplois par an, mais on peut estimer à 100 000 lenombre de postes vacants pour absence de candidatures(dans le bâtiment et les métiers de bouche notamment)…

La pyramide des âges souligne les dangers de lararéfaction des jeunes. Le rôle de la communication estavant tout d’informer : nous partons du principe que lejeune de 15 ou 16 ans ne connaît pas nos métiers, alorsmême qu’il doit faire face à une carence d’informations etde conseils en orientation. Nous avons proposé en 2004une grande action radio : des spots avec Eric et Ramzy, etdes “programmes courts” qui développaient desexpériences réussies dans nos métiers. En lien avec lesprofessionnels de la formation, nous sommes présents

�…suite de la page 1

STRATÉGIES & PQR

VERBATEAM

dans les grands Salons, et chaque Chambre des Métierspilote localement la “Semaine nationale de l’Artisanat”.Cet événement annuel est aussi l’occasion decollaborations rapprochées avec les titres de la PQR, quipoursuivent le même but pour l’économie des territoires.Un autre sujet nous est central, qui a fait cette annéel’objet de l’action PQR66 : la reprise d’entreprise.L’Artisanat est une opportunité pour réorienter sa vieprofessionnelle en reprenant une entreprise détentriced’un vrai métier, avec des hommes en place et souvent unvrai potentiel de croissance. Il s’agit – dans la perspectivedes nombreux cas de cessions qui s’annoncent – destimuler chez les jeunes et moins jeunes la fibre entre-preneuriale. Notre but : le faire savoir, tout en valorisant lapertinence et la modernité de cette démarche de reprise.

Que pensez-vous de la pertinence duPQR66 pour vos campagnes ? A.G. : Nous travaillons sur un triptyque invariant TV, PQR 66et radio. La PQR est un mass média qui tient une place àpart, parce qu’elle touche tout le monde - des politiquesaux jeunes, en passant par les relais d’opinion, d’influence,de prescription - avec cette fibre unique du concret, de laréalité enracinée et du “vérifiable”. De plus, noustravaillons le même terreau économique et social : nous

avons des sujets, des affinitéset des buts partagés. Au delàdes vertus publicitaires, donc,c’est toute la politiqueéditoriale de la PQR qui nousrapproche. Centrée sur la

réalité locale, elle fait écho à l’actualité économique,culturelle, sociale mais aussi humaine de l’Artisanat.

La PQR est le seul média qui donne ses vrais visages à la“Première entreprise de France”.

Propos recueillis pour IMPACT PQR par VERBAHUIT,Emmanuel de Chevigny. [email protected]

Manuel JaïsMédiatrack. Directeur Général Adjoint

« … des notionscomme proximité,enracinement oucontact avec le réelsont tout sauf deslieux communs :c’est fondamentalquand on parle Arti-sanat.»

«En PQR avec un tel sujet, on est àcheval sur une communication interneet externe de masse. C’est très riche depouvoir agir au point précis derencontre entre deux leviers d’influenceindispensables l’un à l’autre.»«… de même, nous sommes amenésà investir à la frontière du hors médiapour accompagner les événementsphares soutenus par le FNPCA. C’était lecas en préemptant récemment le Salonde l’Education à la Porte deVersailles.»«Pour se faire entendre des jeunes,nous développons un effet tenaille : undiscours direct - dans leurs codes - quel’on tient en radio, et un discours plusenraciné en PQR, qui inclut le regarddes intermédiaires en servant notam-ment les Chambres des Métiers.»«Nous utilisons la PQR comme outil de valorisation de l’image del’Artisanat.»

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VERBATIM

ça bouge… ça bouge… ça bouge… ça bouge… ça bouge… ça bouge… ça bouge… ■ Le CSA a accordé une fréquence analoggroupe Parisien propose une nouvelle rubrique hebdomadaire consacrée à l’actualité des media et de la publicité dans les pages Votre Economie ■ L’Est Républicain modernise ses rotatives een braille, le quotidien paraît désormais en version “parlée” pour les mal-voyants, grâce au logiciel Vocale Presse. Ce journal parlé est disponible par abonnement via Internet ■ Le Télégramdétacher (bon de réduction, carte d’invitation…) ■ Les Dernières Nouvelles d’Alsace se sont associées à l’opération pilote d’Orange pour l’UMTS, qui a touché Strasbourg parmi dix villes françailes titres de l’édition du lendemain ■ La Montagne publie un supplément consacré aux écrivains auvergnats vus au travers des chroniques d’Alexandre Vialatte, à l’occasion de l’exposition qui lude la Haute Garonne ■ “Extra” est un supplément franco-allemand de 8 pages au format tabloïd distribué par Le Républicain Lorrain et le quodidien sarrois Saarbrücker. Il donne la parole à unagraphé, au format tabloïd, avec la mise en avant d’idées de cadeaux ■ A l’occasion des 60 ans de la Libération de Tours, La Nouvelle République du Centre-Ouest a paru pour la premiè

L’Artisanat a-t-il évolué plutôt en bien ou plutôt en mal au cours des dernières années ?

Ces qualificatifs s’appliquent-ils très bien, plutôt bien, plutôt mal ou très mal à l’Artisanat ?

Un artisan, c’est avant tout :

Fabrice GillotteArtisan Chocolatier. MeilleurOuvrier de France en 1993

« … aujourd’hui,nous sommes 18 etl’atelier fait 1300 m2.Un artisan avance,entreprend, évolue,mais il y a une chosequi ne change pas :le tour de main. C’estévident, je me

considérerai toujours comme unartisan.»« Je me sens proche de n’importe quelartisan. Un carreleur ou un maçon, qu’ilsoit seul ou à la tête d’une entreprise, estet reste un artisan. Nous avons lesmêmes problématiques et on les abordeavec la même fibre d’entrepreneurs.»«Ces campagnes, c’est une trèsbonne chose. Ça remet les pendules àl’heure. On a tout intérêt à faire deschoses en commun. En restant dans soncoin, on ne génère rien. A mon sens, ilfaudrait même faire plus.»« J’ai mis des affichettes Artisanatdans l’atelier… »« Je vis à 100 à l’heure : ma mère medécoupe tous les articles du Bien Publicqui pourraient m’intéresser. A l’atelier,ils me relatent tous les jours ce qu’il ya dans le journal. »«Au moment où je vous parle, il y aquelqu’un du Bien Public qui arrive ! Jefais de la publicité depuis un an, avec des1/4 de page, en quadri cette fois !»

VERBATIML’Artisanat, de la cause perdue

à la cause gagnante

En % Grand Public Jeunes Artisans1999 2003 2001 2003 1999 2003

Plutôt en bien 58 77 63 82 55 71

En % Grand Public Jeunes1999 2004 2001 2004

Un chef d’entreprise 44 59 30 42Un indépendant sans salarié 48 32 57 41

En % Grand Public Jeunes Artisans1999 2003 2001 2003 1999 2003

Adapté aux besoinsdes consommateurs 70 75 77 81 82 84

Créateur d’emploi 56 65 60 68 68 65

Moderne 53 61 46 53 61 71

Avec la PQR, nous poursuivons le même but pour l’économie

des territoires

Daniel FargeatPrésident d’Alternative

« L’artisanat est un formidableenjeu de communication, quimêle à la fois des problématiquesde marque, économiques, socialeset humaines. Grâce à des moyensimportants inscrits dans la durée,on valorise un univers essentielsocialement, un considérableatout pour la nation.»« l’artisan a été assimilé à cesbonnes choses condamnées àdisparaître : les petits qui vontêtre mangés par les gros. C’est cequ’il fallait renverser, les Françaisn’aimant pas se battre pour descauses perdues. L’artisan dans leclan des forts, c’est fonda-mental.»«…une démarche stratégique àlong terme : on ne change pas enun tournemain des processusmentaux solidement enracinésdepuis des décennies.»« La PQR est très intéressantecar transversale et de proximité :de par son statut, on n’est pasdans le lointain mais dans la vie.On est dans l’image autant quedans l’opérationnalité.»« La PQR n’est pas un médiaciblé jeunes mais elle les inclut.Elle touche le contexte globalavec les politiques, les “autres”dont la famille… L’opinion dechacun se forge par le levier del’opinion des autres, et cela esttout particulièrement sensiblepour les jeunes.»« Il n’y a pas d’incompatibilitéentre les visions économique etaffective de l’Artisanat. Créati-vement, nous nous plaçonsdélibérément dans la modernité,la dynamique, l’optimisme et laconnivence, l’humour… on esttout sauf dans la nostalgie desimages d’Epinal de l’artisan.»Campagne 2003

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IN SITU MARKETING

Plus un tabouLes Français se sont réconciliés avec l’argent. Onles disait pudiques, secrets et complexés, on lescroyait rentiers dans l’âme, en déplorant leurconservatisme, leur individualisme et plus encoreleur peur panique du risque. Mais une nouvellepage d’histoire se dessine, comme si les Françaisavaient atteint l’âge de raison, une sorte dematurité tranquille dans leur rapport avecl’argent. Secrets les Français ? Allons donc ! Plusde deux salariés sur trois ont révélé leur salaire àleurs collègues de travail. Parler d’argent n’estplus tabou. Autre signe d’un changement profonddans les mentalités et les comportements, lesFrançais se révèlent foncièrement indépendantset sont plus généreux que jamais : les dons auxassociations ont par exemple augmenté de 50%en douze ans !

Une révolution féminineQui profite de cette révolution ? Les femmes etles enfants d’abord ! Les premières, parcequ’elles se sont donné les moyens d’assumerleur autonomie : 30 % des femmes qui viventen couple gagnent désormais plus que lui ! Deleur côté, les enfants – surtout les adolescents –apprennent, souvent à une vitesse foudroyante,à “gérer” leur argent de poche comme un petitpécule qui ne cesse de croître. Et puis il y a lesbaby-boomers, qui décidément auront eu la viefacile : franchement décomplexés, ils pensentsouvent plus à profiter jusqu’au bout de leurargent qu’à transmettre un héritage, à l’inversedes générations précédentes.

En fait, chacun s’est inventé un nouveau rapportavec l’argent. Toute la société a bougé sous lecoup de dynamiques profondes. Boulever-sements démographiques, en premier lieu,avec l’allongement de la durée de la vie ; mais

aussi mutations sociales, tant la finance s’estdémocratisée avec la diffusion de l’épargnesalariale et de l’actionnariat salarié : beaucoupde Français ont donc bien compris que l’onpouvait gagner… et aussi perdre !

Se faire plaisirL’argent est devenu le meilleur moyen deréussir sa vie. Oui, les Français sont devenusplus épicuriens, là où ils étaient avant tout desrentiers économes. Aujourd’hui, ils mettentplutôt leur argent au service d’un projetpersonnel et de leur autonomie financière :selon l’Observatoire de la Caisse d’Épargne,80 % des Français estiment que l’argent sertavant tout à réaliser des projets, 61 % disentqu’il doit être dépensé pour se faire plaisir.Illustration la plus inattendue de cet espritd’indépendance et de consommation : lenombre des 15-19 ans exerçant un petit boulot,en dehors parfois de leurs études, a bondi de130 % depuis 1997.

Cette redéfinition du rapport à l’argent doitbeaucoup à l’arrivée massive des femmes dansla vie active. Aujourd’hui, 80 % des Françaisesde 25 à 49 ans travaillent. En gagnant leur auto-nomie financière, les femmes ont acquis le droitde décider, et de peser sur les deniers duménage. Le couple moderne a ainsi imposé uneconception de la gestion et des dépenses pluslibre et plus partagée. En 2004, un tiers descouples mariés font compte à part et les notairesassistent à l’augmentation des demandes deséparation de biens.

Des quinquas épargnantmais pas épargnésUn autre facteur incite les Français à jouerl’indépendance avec leurs finances : la mise enquestion de notre système de retraites, coupléeà l’allongement de la durée de la vie, qui incitedésormais les seniors à repousser les donationsaprès 65 ans pour mieux profiter du tiers restantde leur vie. Conséquence, on hérite de plus enplus tard. Autrement dit, pendant sa vieprofessionnelle, il faut compter sur ses propresforces. A cet égard, la génération des quinquasest au carrefour de ces recompositions socio-

économiques. Ils portent beaucoup sur leursépaules en soutenant leurs parents et parfoisaussi leurs enfants. Ils travaillent encore,épargnent modérément, et savent que leurretraite est incertaine.

Autre phénomène marquant dans le rapport àl’argent, il est de plus en plus dématérialisé etrecouvre une réalité plus abstraite. Quelqueschiffres pour s’en convaincre : en 1983, l’immo-bilier représentait près de 70% de la richessenationale, contre 52% aujourd’hui. Soit autantque la part “non palpable” occupée par le“financier” (actions, obligations, comptescourants…), qui représente 48%. En 2003, le GIECarte bancaire dénombre 5,2 milliards depaiements et retraits, en hausse de 10% sur unan. Au bout du compte, s’il génère, de façoncertes douloureuse mais minoritaire, des dérivesréelles (24 milliards d’euros de créancesdouteuses détenues par les banques sur lesménages, soit deux fois plus qu’en 1989), l’argentvirtuel n’a pas tourné la tête de la majorité desFrançais. Au contraire, sa montée en puissancecoïncide avec des comportements plus avertis.

Tous des opportunistes !Le nouveau mot d’ordre : tout doit rapporter !12 % seulement de l’épargne des ménagessommeille actuellement sur les comptescourants, contre 22 % en 1983. Peurémunérateurs, les livrets représentaient 40 %des bas de laine, contre 17 % aujourd’hui. En

fait, l’épargne longue, réputée plus fructueuse,tire son épingle du jeu. Surtout quand elleapporte des avantages fiscaux. Prototype duplacement défiscalisé : l’assurance-vie. Exonéréed’impôt sur les plus-values et sur lessuccessions, elle concentre 36% des avoirs(contre 4 % en 1983) et draine chaque annéeentre 60 % et 70 % des économies réalisées parles Français. Cet immense succès en dit long surleur opportunisme fiscal. Ces arbitrages“tactiques” se font aussi au bénéfice des actions.

Au pays supposé de la rente, la culture du risquea réellement progressé, même si la criseboursière actuelle milite pour la prudence. Lescessions nettes d’actions n’excèdent pas deuxmilliards d’euros sur les neuf premiers mois del’année 2004. Certes, ils réduisent leurs achats,mais ils ne vendent pas en cette période debasses eaux boursières. Des gestionnairesavertis, les petits porteurs ? En tout cas, ils yregardent à deux fois avant de vendre à perte.Il faut dire que depuis quelques années, lesFrançais ont appris à faire le gros dos. Car ils enont vu de toutes les couleurs et n’ont jamais euautant de bonnes raisons de perdre la tête. Maismalgré la bulle Internet, la fièvre boursière puisle krach, le passage à l’euro, l’incertitude hyper-médiatisée sur les retraites, la désacralisation– avec les 35 heures – du lien entre salaire ettravail, sans oublier quelques scandalesfinanciers… ils ont gardé les pieds sur terre. Cen’est plus de la maturité, c’est du flegme !

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Les Français et l‘argent

Frileux, les Français ? Pas si sûr …Transparents, généreux, décomplexés… Les Français ont bouleversé leur rapport à l’argent… et ont beaucoup appris.

Ils gèrent désormais leur patrimoine comme de vrais pros, plus rationnels, plus efficaces et de plus en plus à l’aise avec les conceptsfinanciers les plus abstraits. Impact PQR fait le point sur cette révolution des mentalités et sur l’évolution du patrimoine français.

que hertzienne au projet TV7 Marseille porté par La Provence. TV7 Marseille rejoindra donc les 5 télévisions urbaines opérées par la PQR à Nantes, Toulouse, Bordeaux, Clermont et Lyon ■ Le passe de 4 à 12 le nombre de pages couleur d’ici à la fin de l’année. De plus, la capacité du journal passe de 40 à 48 pages. Par ailleurs, après avoir déjà publié de 1990 à 2003 un quotidien

me innove en lançant la Commcard : carte personnalisable recto/verso collée sur une annonce lors de l’impression du journal. Le lecteur intéressé par l’offre de l’annonceur peut facilement laes. Le quotidien a apporté du contenu à l’expérimentation menée par la filiale de France Télécom sur une cinquantaine de téléphones mobiles. Les utilisateurs ont reçu dès la fin de l’après midiest consacrée à la bibliothèque de Clermont Ferrand jusqu’au 1er mars 2005 ■ Le groupe Dépêche du Midi lance un supplément Annonces Légales, diffusé chaque vendredi sur le département

e douzaine de jeunes qui livrent, chacun dans sa langue, le regard qu’ils portent sur le pays voisin ■ Les dossiers Noël des Quotidiens du Sud Ouest seront diffusés sous forme de supplémente fois avec une sur-couverture ■ Espace Régions, la régie de PQR spécialisée sur le marché de l’emploi change de nom pour devenir Com>Quotidiens Emploi à partir du 1er janvier 2005.

L’ARGENT AUX SENIORS ? MAIS QUELS SENIORS ?

Il n’étonnera personne qu’à eux seuls, les plus de 50 ans détiennent plus de la moitié dupatrimoine et des valeurs mobilières françaises. Population à fort pouvoir d’achat, ilsdétiennent même les deux tiers des portefeuilles estimés entre 30 et 80 000 € et les troisquarts des portefeuilles supérieurs à 80 000 €.

Mais de quels seniors parle-t-on : 50-65 ans actifs ou plus de 65 ans ?

Population française Possession de valeurs Possession de mobilières portefeuille de VM

> 80 000 €

� Mois de 35 ans � 35-49 ans � 50-64 ans � 65 ans et plus

Les choix des placements effectués par chacune de ces catégories semblent bien refléter leschangements de comportements décrits par ailleurs. En cela, les Seniors illustrent à eux seuls uneffet générationnel majeur : des quinquas plus audacieux et plus gestionnaires que leurs aïeuls.

En effet, 28 % des portefeuilles d’actions sont possédés par les 50-64 ans (28 % également,par les 35-49 ans) contre 22 % des 65 ans et plus. 29 % des PEA sont détenus par des 50-64ans (et 27 % par des 35-49 ans) pour 24 % seulement par les 65 ans et plus. Ces derniers, enrevanche, contribuent plus nettement à des placements moins risqués, tels que les obligations(37 % du marché), les SICAV (33 %) ou les plans d’épargne populaires (28 %). Ancrés dans unschéma plus traditionnel de gestion des ressources, ils sont également les plus nombreux àinvestir dans des sociétés civiles de placements immobiliers (38 % vs 25 % pour les 50-64ans). La pierre reste une valeur sûre pour ces retraités déjà installés…

Enfin, les quinquas, enfants du baby boom, et plus encore leurs descendants, affichent unepropension plus importante que les retraités à diversifier leurs placements et investir ainsi leurargent dans un portefeuille qu’ils souhaitent extrêmement diversifié (actions, assurance-vie,plans d’épargne logement, PEA, FCP…). A chaque marché sa cible, et à chacun son Senior !

32%

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27%

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01985 1992 1996 1998 2000 2004

Epargne salariale

Valeurs mobilières

Épargne logement

Épargne longue pour préparer la retraite

Résidence principale

Livrets d'épargne

En %

Lecture : 17 % des ménagespossèdent de l’épargnesalariale en 2004. Cettedétention peut être le faitd’une ou plusieurs personnesdans le ménage.

Sources : enquête actifsfinanciers 1996 et 1992,détention d’actifs 1998 et 2000,patrimoine 1999 et 2003-2004,Insee.

Taux de détention par grand type d’actifs patrimoniaux depuis 1986

Page 4: Newsletter Impact n°7

MÉMO SERVICES MA PQR À MOI

Services & ÉtudesPQR

Audience Générale et media marché :

• “SPQR / EUROPQN” 2003 (Ipsos).L’audience du PQR 66

• “SPQR - Cumul 3 ans” 2003. Tous les chiffres d’audience et lescartographies associées de 43titres et 25 groupes de PQR

Audience sur cibles

• La France des Cadres Actifs 2003(Ipsos)

• Les Décideurs de la GrandeDistribution (Ipsos)

• Les Décideurs des CollectivitésTerritoriales (Ipsos)

Efficacité

• Suivi Impact 66 : base dedonnées compilant plus de250000 interviews et 2500 post-tests d’impact sur les treizedernières années (IFOP). Baseenrichie chaque année d’unecentaine de tests d’impact auprèsdu grand public.

• PQR-PRO : post-tests SOFRES sur lacible des décideurs, via uneméthode novatrice : le CAWI.Réservé aux annonceurs B2B(IREP 2004).

• PQR-SCAN : post-tests et pré-testsd’efficacité sur les ventes réaliséssur les marchés tests d’Angers etLe Mans - Marketing Scan (GFK).Réservé aux annonceurs GrandeConso.

• PQR-TRACK : tests dédiés au suivides campagnes lourdes etconcentrées en PQR (IFOP).

Quali

• Proximités : Sociovision. Lesnouveaux vécus de la proximité(IREP 2001)

• La communication textuelle enPQR/texte et conviction-SORGEM(IREP).

www.pqr.org

Toutes les infos sur les Titres, lesétudes, les standards d’impact, lestarifs et les contacts commerciaux...Accès libre.

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Vincent Leclabart,Président d’Australie

« J’ai toujours vécu en région parisienne, alors pourmoi, la PQR, c’est le Parisien. Et quand je ne suis pas àParis, c’est Var Matin, le Dauphiné ou le Télégramme.Mais comme beaucoup de Parisiens, j’ai aussi marégion d’origine, celle où, enfant, j’ai passé beaucoupde vacances d’été, celle oùj’ai éprouvé ce qu’est lapresse quotidienne et la vieen région. Pour moi, c’étaitdu côté d’Amboise. La Nouvelle République, c’était le journal que mesgrands-parents recevaient tous les jours. C’était, avecle journal télé du soir, la source d’informations. Avecce double avantage d’être écrit et de traiter dessujets de proximité. Ils s’arrêtaient toujours sur une info, fait divers, pointde vue ou commentaire, actu, et ils la commen-taient, de façon généralement assez animée, commepour le reste. C’était leur journal, ils ne le parcou-raient pas, ils le lisaient de fond en comble ! Et aujourd’hui, lorsque nous recommandons d’utiliserla presse quotidienne régionale, je sais que c’est unlien privilégié et intime avec ce qui se passe toutprès, de même qu’une grille de lecture de ce quicompte vraiment pour le pays et plus loin, le monde.

La vie locale, c’est important. Pas seulement pour lesinfos pratiques, mais parce qu’on en fait partie, parceque cette appartenance est d’autant plus importanteque les repères traditionnels disparaissent. C’est unesource de fierté, d’identité, de motivation, d’échan-ges. Ce qu’on ne connaît pas vraiment à Paris. Et lepoids croissant des régions accentuera le sentimentd’appartenance. Dans la Nouvelle République, les publicités du Centre

Leclerc d’Amboise quiannoncent les opérationspromotionnelles y ont lamême légitimité que celles

de Gaz de France lorsque l’entreprise change d’iden-tité visuelle : elles concernent autant le consomma-teur que le citoyen. Elles font partie de l’informationutile pour le lecteur. Les Tourangeaux ne se font pas remarquer, ce ne sontpas des gens bruyants. Leur accent, comme leur cli-mat est doux (ils revendiquent en toute modestie deparler le plus pur François qui soit). Mais attention, sivous lisez les éditoriaux de la Nouvelle République,vous verrez que, comme ceux des autres titres dePQR, ils n’ont pas toujours la même douceur…Cette indépendance rédactionnelle, cette capacité àexprimer des points de vue souvent originaux dansle paysage médiatique, cela aussi fait la valeur de lapresse quotidienne régionale. L’indépendance estrare. Il faut en profiter. »

STABILODATES

Janvier ➩ Nantes et Amiens dansl’année Jules Vernes en 2005 :Nantes, où Jules Vernes est né,et Amiens, où il vécut laseconde moitié de sa vie,s’associent pour nombre demanifestations, à l’occasion ducentenaire de la mort de cethomme exceptionnel.

Du 21 au 30 janvier ➩ 17ème édition du Festival decinéma européen : “PremiersPlans” d’Angers.

Du 22 au 23 janvier ➩ Biennale de la Carte PostaleAncienne à Villeurbanne.

Du 27 au 30 janvier ➩ 32ème édition du FestivalInternatinal de la BD àAngoulême.

Du 28 au 30 janvier ➩ StArt 2005 : Foire d’Artcontemporain de Strasbourg.

Du 25 janvier au 5 février ➩ 10ème édition du Festival Nez Rouges, rendez-vousincontournable des amateurs decirque à Saint Orens deGameville (31).

Du 31 janvier au 2 février ➩ Salon des Vins de Loire à Angers.

Du 5 au 13 février ➩ La Semaine du Mimosa à St Raphaël (83).

Du 11 au 14 février ➩ Salon des Artisans d’Art à Troyes.

Du 11 au 27 février ➩ 72ème “Fête du Citron” à Menton (06). Symbole de laville, des milliers de spectateursvenus des quatre coins dumonde sont attendus.

Du 11 au 27 février ➩ Carnaval de Nice.

Du 26 au 27 mars ➩ 74ème édition du CritériumInternational de Cyclisme à Charleville-Mezières.

Du 11 mars au 3 avril ➩ Festival de Jazz d’Amiens.

Du 17 au 23 mars ➩ Les 13èmes Musicades de Lyon :La Musique des Européens.

Du 23 au 27 mars ➩ 15ème édition du Chaînonmanquant, festival dédié auspectacle vivant, à Figeac.

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Mes racines…

Pour tout contact avec laRédaction d’IMPACT PQR :

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Et s’il y avait d’intelligentesoccasions de communiquer ?Quelques rendez-vous…

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“La vie locale, c’est importantparce qu’on en fait partie”