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Crise économique, récession, plans de relance. Des termes qui inondent l’ac- tualité chaque jour. À croire que tout va mal. Tout? Non, pas l’Assopol pour qui le climat est au beau fixe. En effet, alors que l’économie mondiale traverse – on finira par le savoir – une véritable tem- pête, l’Assopol vogue gaiement sous un ciel clément. Un soleil radieux même, tous les signaux étant au vert. En témoignent les différentes activités qui sont la rai- son d’être de notre association. Petit tour d’horizon. Commençons par les conférences sur les débouchés. Destinées aux actuels étudiants de sciences sociales et politiques, ces der- nières se pérennisent et ont été avancées à fin avril, nouveau calendrier académique oblige. Les conférences sur les débouchés attirent tant les étudiants intéressés à en savoir plus sur les possibilités qui leur sont offertes une fois diplômés que ceux curieux de connaître le parcours et le deve- nir d’anciens étudiants en sciences sociales et politiques. Les cafés politiques ont trouvé quant à eux leur rythme de croisière, avec un public de plus en plus fidèle année après année. Le dernier café politique en date, celui du 11 mars consacré à la projection du film «La Forteresse» de Fernand Melgar et un débat sur la politique d’asile en Suisse, a dépassé toutes les espérances en faisant salle comble. Bien qu’il faille avouer, sans pour autant en- lever quelque mérite que ce soit à cet in- déniable succès, que ce débat s’inscrivait au cœur de l’actualité, ce qui a suscité un inté- rêt accru de la population. Fruit du travail de l’ensemble du comité, la newsletter que vous tenez entre vos mains a opéré un léger changement. Suite aux en- couragements et remarques – bienvenues – de certains d’entre vous, nous avons opté pour une plus grande quantité de petits por- traits de membres en dernière page en lieu et place de deux grands portraits. Gageons que ce choix plaira au plus grand nombre. Last but not least, l’organisation de réunions informelles d’anciens – le fa- meux «réseautage», terme que d’aucuns n’apprécient guère – est en plein essor avec, en plus du brunch & pétanque, une soirée bowling et la création d’un groupe Assopol sur Facebook. Et pour couronner le tout, le nombre de membres a crû de manière impres- sionnante ces six derniers mois, passant de 237 en octobre 2008 à 277 à ce jour, soit une augmentation de 17%! Un si- gnal là encore extrêmement positif pour le comité. Je me réjouis d’ores et déjà de vous croiser très bientôt, lors de la soirée bow- ling du 16 avril, de l’assemblée générale du 7 mai ou du café politique du 27 mai. En attendant, je vous souhaite à toutes et à tous, au nom du comité de l’Assopol, un excellent printemps. NEWSLETTER DE L’ASSOPOL LE JOURNAL DES ANCIENS DE SCIENCES SOCIALES ET POLITIQUES DE L’UNIVERSITE DE LAUSANNE Avril 2009 www.assopol.ch Le mot du président ierry Schroeter WWW.ASSOPOL.CH LE COMITÉ DE L’ASSOPOL PRÉSIDENCE [email protected] SECRÉTARIAT [email protected] CONFÉRENCES SUR LES DÉBOUCHÉS [email protected] CAFÉ POLITIQUE [email protected] aurelien.buff[email protected] RÉSEAUTAGE [email protected] SOMMAIRE LE MOT DU PRÉSIDENT > Page 1 VIE DE L’ASSOPOL Café politique Equivalence licence-master > Page 2 VIE DE LA FACULTÉ Bologne en SSP : où en sommes-nous? Le système de Bologne, késako? News de la Faculté > Page 3 ANCIENS ÉTUDIANTS: QUE SONT-ILS DEVENUS? Anne-Sophie Borgeaud Stéphane Haefliger Marie Gilbrin Nathalie Emch Léa Muller Jeremias Blaser Daniel Meier > Page 4

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Crise économique, récession, plans de relance. Des termes qui inondent l’ac-tualité chaque jour. À croire que tout va mal. Tout? Non, pas l’Assopol pour qui le climat est au beau fixe. En effet, alors que l’économie mondiale traverse – on finira par le savoir – une véritable tem-pête, l’Assopol vogue gaiement sous un ciel clément. Un soleil radieux même, tous les signaux étant au vert. En témoignent les différentes activités qui sont la rai-son d’être de notre association. Petit tour d’horizon.

Commençons par les conférences sur les débouchés. Destinées aux actuels étudiants de sciences sociales et politiques, ces der-nières se pérennisent et ont été avancées à fin avril, nouveau calendrier académique oblige. Les conférences sur les débouchés attirent tant les étudiants intéressés à en savoir plus sur les possibilités qui leur sont offertes une fois diplômés que ceux curieux de connaître le parcours et le deve-nir d’anciens étudiants en sciences sociales et politiques.

Les cafés politiques ont trouvé quant à eux leur rythme de croisière, avec un public de plus en plus fidèle année après année. Le dernier café politique en date, celui du 11 mars consacré à la projection du film «La Forteresse» de Fernand Melgar et un débat sur la politique d’asile en Suisse, a dépassé toutes les espérances en faisant salle comble. Bien qu’il faille avouer, sans pour autant en-

lever quelque mérite que ce soit à cet in-déniable succès, que ce débat s’inscrivait au cœur de l’actualité, ce qui a suscité un inté-rêt accru de la population.

Fruit du travail de l’ensemble du comité, la newsletter que vous tenez entre vos mains a opéré un léger changement. Suite aux en-couragements et remarques – bienvenues – de certains d’entre vous, nous avons opté pour une plus grande quantité de petits por-traits de membres en dernière page en lieu et place de deux grands portraits. Gageons que ce choix plaira au plus grand nombre.

Last but not least, l’organisation de réunions informelles d’anciens – le fa-meux «réseautage», terme que d’aucuns n’apprécient guère – est en plein essor avec, en plus du brunch & pétanque, une soirée bowling et la création d’un groupe Assopol sur Facebook.

Et pour couronner le tout, le nombre de membres a crû de manière impres-sionnante ces six derniers mois, passant de 237 en octobre 2008 à 277 à ce jour, soit une augmentation de 17%! Un si-gnal là encore extrêmement positif pour le comité.

Je me réjouis d’ores et déjà de vous croiser très bientôt, lors de la soirée bow-ling du 16 avril, de l’assemblée générale du 7 mai ou du café politique du 27 mai. En attendant, je vous souhaite à toutes et à tous, au nom du comité de l’Assopol, un excellent printemps.

Newsletter de l’AssopolLE JOURNAL DES ANCIENS DE SCIENCES SOCIALES ET POLITIQUES DE L’UNIVERSITE DE LAUSANNE

Avril 2009 www.assopol.ch

le mot du présidentThierry Schroeter

www.Assopol.ch

le comitÉ de l’Assopol

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secrÉ[email protected]

coNFÉreNces sUr les dÉBoUchÉ[email protected]

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café politiquecompte-rendu de la projection du

film «la Forteresse» de Fernand mel-gar suivie d’un débat sur la politique d’asile.

Le 11 mars, le Bourg a fait salle comble à l’occasion d’un café poli-tique spécial dédié au film «La For-teresse», de Fernand Melgar. Environ 120 personnes ont assisté à la projec-tion de ce documentaire d’immersion dans le Centre d’enregistrement et procédure pour requérants d’asile de Vallorbe.

En deuxième partie de soirée, une table ronde a permis aux intervenants de débattre de la politique d’asile en Suisse. Conseiller d’Etat vaudois en charge du Département de l’in-térieur, Philippe Leuba a évoqué la difficulté de sa charge, qui consiste à statuer chaque semaine sur le sort de personnes exilées. Face à lui, Chan-tal Varrin de l’Entraide protestante suisse (EPER) et Hélène Küng du Centre social protestant (CSP) ont souligné la dureté des lois suisses sur l’asile et les étrangers.

Fernand Melgar a exposé le cas d’un des protagonistes du film, l’Ira-kien Fahad Khammas (présent dans la salle), pour démontrer les difficul-tés d’application des accords de Du-blin II qui permettent à la Suisse de renvoyer un demandeur d’asile vers

un autre pays européen sans statuer sur son cas.

Le prochain café politique aura lieu le mercredi 27 mai à 19 heures (sujets et invités à confirmer).Pour recevoir des informations sur les cafés politiques, inscrivez-vous sur www.assopol.ch/cafe.

equivalence entre li-cence et master

Licence = Master. Que de chemin parcouru pour finalement parvenir à cette équation toute simple ! Tou-jours est-il que, suite à une décision de la Conférence universitaire suisse (CUS), les titulaires d’une licence peuvent officiellement faire valoir l’équivalence de leur titre avec une maîtrise universitaire (ou master pour les anglophiles) et ce depuis le 1er décembre 2005. En résumé, cette décision a été prise afin d’ « éviter que la réforme de Bologne ne soit une source de discrimination à l’égard des diplômés issus des «anciennes» filières d’études de licence et de di-plôme » (Communiqué de la CUS du 31 janvier 2006).

Les personnes ayant terminé leurs études à partir de la session de mars 2006 reçoivent automatiquement et sans frais l’attestation d’équivalence en plus de leur licence. Par contre, celles et ceux qui ont usé leurs fonds

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de culottes sur les bancs de l’Unil antérieurement doivent procéder de la manière suivante pour acquérir le précieux sésame :

«Les personnes diplômées avant 2006, et intéressées par l’obtention de l’attestation d’équivalence au prix de Fr. 50.-, peuvent adresser leur de-mande par écrit auprès du Décanat de la Faculté (Décanat SSP, Anthro-pole, 1015 Lausanne) en mention-nant leurs coordonnées personnelles complètes, le titre et la date de la licence.»

(http://www.unil.ch/ssp/page31705.html). Dont acte. Vous recevrez ainsi un document tel que celui figurant ci-dessus.

Cela étant dit, soulignons que «même sans certificat d’équivalence, les titulaires d’une licence ou d’un di-plôme sont autorisés à porter le titre de master» (Communiqué de la CUS du 31 janvier 2006). Il est cependant interdit de mentionner conjointe-ment, sur un même document – par exemple sur un curriculum vitae – l’ancien et le nouveau titre.

Sachez encore que les titulaires d’une licence à 240 crédits ECTS peuvent accéder aux formations ap-profondies, comme les DESS, les MAS (Master of Advanced Studies) ou encore le doctorat, dans les mêmes conditions que les détenteurs d’une maîtrise universitaire.

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Fahad Khammas, Fernand Melgar et Philippe Leuba partagent un verre et poursuivent le débat suite au café politique sur l'asile

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À la Faculté des SSP, le système de Bologne a été progressivement mis en place depuis la rentrée d’octobre 2005. À l’heure actuelle, la structure géné-rale de la nouvelle offre de formation se présente de la manière suivante: chaque filière d’études (sciences poli-tiques, sciences sociales, psychologie, sports) propose désormais un cursus de 1er cycle appelé baccalauréat universi-taire (bachelor) réalisable sur trois ans d’études et doté de 180 crédits ECTS, ainsi qu’une maîtrise universitaire (mas-ter) dont la durée varie entre 1,5 et 2 ans d’études (90 ou 120 ECTS).

Les bachelors sont structurés en deux parties: une première partie propédeu-tique correspondant à la première année (60 ECTS) et une deuxième partie cor-respondant aux 2e et 3e années d’études (120 ECTS). Chaque bachelor comporte sa discipline principale (la majeure, 120 ECTS) et une ou plusieurs disciplines secondaires (la mineure, 60 ECTS) per-mettant d’élargir la formation de base.

Ainsi, le bachelor en sciences sociales propose des mineures au choix telles que : histoire, méthodes et recherche, psychologie, science politique, etc. Par contre, la filière de science politique a préféré un système à une seule mineure possible mais plutôt large (sciences so-ciales et historiques).

L’introduction des cursus de master a également constitué un changement important pour la Faculté des SSP. Dans ce domaine, une certaine diversité entre filières d’études existe, laquelle témoigne de la relative liberté dont celles-ci ont disposé dans la mise place du nouveau

système. Du côté de la science politique, la maîtrise univer-sitaire est conçue comme un cycle de formation et de spécialisation par la recherche, permet-tant notamment d’approfondir les connaissances ac-quises au niveau du bachelor. L’offre de cours est structu-rée autour de trois sou s -d i s c ip l ine s fondamentales de la science politique

(politiques publiques, relations interna-tionales, sociologie politique) constituant trois mentions spécifiques que les étu-diant-e-s choisissent au début de cursus. Outre un tronc commun, un travail de mémoire (doté de 30 ECTS) conclut la formation. La filière de sciences sociales propose quant à elle un master dont la structure de base est identique, mais avec un choix plus important quant à l’orien-

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Bologne en ssp : où en sommes-nous?

News de la Faculté

Après la mise en place de Bologne, et suite à la nouvelle loi sur l’université, un autre chan-tier important a consisté en une réforme des structures de la Faculté elle-même. Fortement portée par la volonté du Décanat de Bernard Voutat (2005-2008), cette velléité de change-ment visait principalement à recentrer l’orga-nisation de la Faculté autour de ses quatre fi-

se seraient vus rattachés à ces derniers, les am-bitions de la réforme ont été revues à la baisse. Au final, ce sont essentiellement les différents secteurs de la filière des sciences sociales (so-ciologie, anthropologie, psychologie sociale, etc.) qui se voient désormais fusionner dans un grand Institut des Sciences Sociales (ISS), et ce à partir de la rentrée académique 2009. Les petits instituts susmentionnés ont pu maintenir leur autonomie.

lières d’enseignement et de recherche, à mieux articuler ces deux volets entre eux et à dimi-nuer le nombre d’instituts existants. Dans son projet initial, le Décanat souhaitait ainsi restructurer la Faculté autour de quatre insti-tuts seulement. Suite à l’opposition émanant principalement des petits instituts transver-saux (Institut de mathématiques appliquées, Observatoire Science, Politique et Société, Institut d’histoire économique et sociale) qui

le système de Bologne, késako?

Signé en juin 1999 par les principaux pays européens dont la Suisse, le fa-meux «processus» de Bologne a pour objectif de parvenir à la construction et à l’harmonisation d’un véritable es-pace européen de l’enseignement su-périeur, ce au plus tard en 2010. Cette importante réforme comporte trois points essentiels: a) la mise en place de deux cycles principaux d’études supé-rieures, le premier de nature généra-liste (bachelor), le deuxième se situant dans une logique d’approfondisse-ment des connaissances (master); b) l’utilisation d’un système commun de crédits pour décrire les programmes d’études et favoriser la reconnaissance mutuelle des cursus (ECTS: Euro-pean Credit Transfer and Accumu-lation System); c) l’introduction d’un «supplément au diplôme» afin d’amé-liorer la lisibilité et la comparabilité des différents diplômes. Plus généra-lement, le processus de Bologne vise à promouvoir la mobilité des études supérieures dans l’espace européen, à favoriser l’intégration des citoyens eu-ropéens sur le marché du travail et à accroître la compétitivité du système d’enseignement européen à l’échelle mondiale.

tation spécifique (anthropologie cultu-relle et sociale, études genre, parcours de vie, politiques sociales et développement social, psychologie sociale, santé, sciences et médecines, ou encore sociologie de la communication et de la culture).

Pour plus de détails sur Bologne en SSP: http://www.unil.ch/ssp/page12833.html

source: http://www.unil.ch/ssp/page12833.html

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Licenciée en sciences politiques en 1992, Anne-sophie Borgeaud a effectué un stage bancaire de deux ans à l’UBS, dont une année à la bourse à Zurich. Elle est ensuite

engagée comme analyste financière chez Lombard Odier Darier Hentsch (LODH). Elle a participé au lancement d’un fonds de placement et terminé son expérience de 9 ans chez LODH comme gérante de deux fonds de place-ment dans le domaine de la santé. Passée par Merrill Lynch à Genève, elle rejoint finalement le Credit Suisse en 2006. Nommée directrice en 2008, elle est à la tête d’une équipe de plusieurs personnes et exerce la fonction de spécialiste man-dats discrétionnaires auprès de la clien-tèle privée.

Diplômé en sciences politiques en 1994 puis en sciences sociales en 1995, le cursus académique de stéphane haefli-ger s’enrichit de plusieurs diplômes

postgrades en psychosociologie des or-ganisations et en conseil-management. Parallèlement, il fut quatre ans durant l’adjoint du Directeur des ressources humaines de la BCV avant de devenir conseiller personnel de la Cheffe du Dé-partement de l’économie du Canton de Vaud. Dès 2001, il développe un dépar-tement de conseil RH au sein de KPMG. En 2005, il est recruté comme DRH de la Banque Privée internationale Espirito Santo où il est membre de la direction et responsable de la stratégie et des poli-tiques RH. Après six ans d’enseignement dans le cadre du MBA-HEC de l’Unil, il est chargé de cours à l’Institut de Psy-chologie et conférencier dans le domaine du management. Il a publié un ouvrage intitulé «La société d’excommunication» aux Editions Monographic et de nom-breux articles disponibles sur son site Internet www.stephanehaefliger.com

Après sa licence en sciences politiques à Lausanne, ma-rie Gilbrin a fait un master à l’Ins-titut Universitaire d’Etudes du Déve-loppement à Ge-nève en 2003. Elle a vécu au Caire de

2004 à 2006, où elle a notamment tra-vaillé pour l’ambassade suisse et Ca-ritas-Egypte. En 2006, elle a rejoint la Direction du développement et de la coopération (DDC). Marie vit au-jourd’hui à Dacca, au Bangladesh, où elle poursuit son travail pour la DDC.

Licenciée en sciences politiques en 2004, Natalie emch est partie pour la Bulgarie où elle a effectué un stage au sein d’une ONG proposant des programmes de formation pour

le personnel médical et financée par la DDC. De retour en Suisse, elle est enga-gée en 2006 comme assistante au dépar-tement juridique de Nestlé, puis devient project manager pour Choice Event Management à Lutry, organisateur de séminaires pour les entreprises au niveau international. Depuis 2007, elle travaille pour la fondation Globethics à Genève, où elle collabore notamment à la mise en place d’une bibliothèque virtuelle centrée sur l’éthique et accessible dans le mode entier. Contact: [email protected]

léa muller a ob-tenu sa licence en sciences po-litiques en 2004 puis a effectué un DEA en sciences de la communica-tion et des médias à l’Université de

Genève. Parallèlement, elle a été enga-gée en 2005 comme assistante au Ser-vice d’orientation et conseil de l’Unil (SOC) pour le programme de stages.

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Anciens étudiants: que sont-ils devenus?

quel a été votre parcours professionnel depuis la fin de l’Uni? envoyez-nous vos news à: [email protected]!

Depuis 2008, elle est chargée de re-cherche pour le secrétariat général du Département de la santé et de l’action sociale du canton de Vaud. Engagée sur le plan associatif, elle collabore notam-ment au sein de l’association des Clubs suisses Petzi (musique actuelle), dont elle a été la coordinatrice romande pen-dant plusieurs années. Contact: [email protected]

Après avoir étu-dié à Lausanne et travaillé comme assistant à l’Insti-tut d’études poli-tiques et interna-tionales de l’Unil, Jeremias Blaser est parti ensei-gner au Botswana

en 2000, avant de terminer sa thèse de doctorat consacrée à la procédure de consultation en Suisse. Il a travaillé pour l’Institut du fédéralisme à Fribourg puis a rejoint en 2004 le Programme des volontaires des Nations Unies à Bonn. Transféré en Zambie en 2006, il y a tra-vaillé comme «assistant résident repré-sentant» du bureau du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) à Lusaka. Marié et père de deux enfants âgés de 6 et 2 ans, Jeremias dirige aujourd’hui le bureau du PNUD au Congo-Brazzaville. Contact: [email protected]

Docteur en so-ciologie politique, daniel meier en-seigne à l’Institut de hautes études in t e r na t i ona l e s et du développe-ment à l’Univer-sité de Genève. Il a publié plusieurs

articles sur les relations libano-pales-tiniennes et officie comme rédacteur en chef de la revue interdisciplinaire A contrario. Daniel a récemment publié un ouvrage intitulé «Mariages et iden-tité nationale au Liban. Les relations libano-palestiniennes dans le Liban de Taëf (1989-2005)» aux Éditions Kar-thala à Paris.