Narratologie cinématographique

Prsentation PowerPoint

Narratologie cinmatographiqueTD 1 & 2

Plan du coursTD 1 & 2: narratologieTD 3: analyse des productions S3 (08/09)TD4: exposs-analyses longs-mtrages (14/09)TD5: travail sur les bandes-annonces (15/09)TD6: les formes scnaristiques (21/09)TD7: production pitch+synopsis (22/09)TD8: production continuit dialogue

S4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)1

Diffrents types de scnarisationMultimdiaCentre sur lutilisateurCinmatographiqueClassiquement centre sur lobjet reprsentEn voie de redfinition autour de lutilisateur en part. sous linfluence transmdiaS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)2

Les approches structuralesSystme des personnages & suite des actionsS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)3

V. Propp, Morphologie du conte


V. Propp, Morphologie du conte1. Dans lexposition ou la partie prparatoire du conte, Propp compte 7 fonctions:- I loignement- II interdiction- III transgression- IV interrogation- V information- VI tromperie- VII complicitCes fonctions introduisent le mfait ou le manque: cest le pivot de lintrigue (chez Aristote, le nud qui appelle un dnouement). Le mfait ou le manque donne lieu une qute, procure un mouvement au conte.


V. Propp, Morphologie du conte2. Cest partir de l que se fait lentre en scne du hros et son dpart vers lobjet de sa qute (fonctions VIII XI).3. Suit lpreuve du hros et la rception dun objet magique, moyen de redresser le tort subi (XI-XIV).4. Le voyage du hros et la victoire sur lagresseur forment un nouveau sous-ensemble (XV-XVIII). Cest lacm, le climax (ang.), le sommet du conte.5. Rparation (XIX).6. Retour du hros.


V. Propp, Morphologie du conte7. Retardement du dnouement par de nouveaux dangers, nouveaux combats, nouveaux secours marqus par lintervention dun faux hros et la soumission du hros une tche difficile (rptition du mfait, du nud et du dnouement)8. Dernires fonctions: reconnaissance du hros (XXVIII), punition du faux hros (XXIX) et mariage (XXX). Cest la conclusion du conte.


V. Propp, Morphologie du conteCette analyse est videmment singulire; ce quelle dgage comme objet, cest ce que lon pourrait appeler la forme du proto-conte russe mais ce nest pas une structure universelle.Mais Propp ouvre une double voie pour apprhender le rcit: la syntaxe des actions et le systme des personnages


Cl. Bremond, la logique des possiblesDgager une structure narrative universelle est la tche que se fixe Claude Brmond en tentant de dresser la carte des possibilits logiques du rcit (La Logique des possibles, Communications, 8).Il reprend la mme unit de base que Propp: la fonction et son squencement dans un rcit.Il dfinit comme squence lmentaire trois fonctions qui sont les phases lmentaires de tout processus.


Cl. Bremond, la logique des possiblesune fonction qui ouvre la possibilit du processus sous forme de conduite tenir ou dvnement prvoirune fonction qui ralise cette virtualit sous forme de conduite ou dvnement en acteune fonction qui clt le processus sous forme de rsultat atteint.


Cl. Bremond, la logique des possiblesLa grande diffrence davec Propp, cest quici aucune des fonctions ne ncessite celle qui suit. Le narrateur conserve la libert de la faire passer lacte ou de la maintenir ltat de virtualit, de laisser le processus aller jusqu son terme ou larrter en cours de route; la conduite peut atteindre ou manquer son but, lvnement suivre ou non son cours jusquau terme prvu.


Cl. Bremond, la logique des possiblesS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)12

Version commune de la trame narrativeSituation initiale: prsentation des personnages, de leur environnement, de leurs rapportslment perturbateur: challenge, difficultsDveloppement: dynamique, diverses priptiesRsolution: point culminant, aboutissementDnouement: solution donne toutes les questions en suspens, stabilisationS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)13

A. Greimas, schma actancielComme on le voit Cl. Bremond donne une plus large place au sujet de laction que Propp, cest aussi la piste que privilgie Greimas dans La Smantique structurale.Il dgage un modle 6 rles, reposant sur trois paires de catgories actancielles:- premire catgorie: opposition sujet-objet: A dsire B- seconde catgorie: relation de communication: opposition destinataire/destinateur, rcepteur/metteur: mandataire/destinataire- troisime axe pragmatique: opposition adjuvant/opposant.Cela dbouche sur un systme tout fait applicable des univers varis et htrognes:


A. Greimas, schma actancielS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)15

Analyse de the shadowmanMise en pratiqueS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)16

Joe Dante (1946-)THE HOWLING, 1981

GREMLINS, 1984S4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)17

Joe Dante (1946-)SMALL SOLDIERS, 1998

HOMECOMING, 2005S4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)18

S4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)19Danny HayesLiana

Adjuvant = Peter,The Shadow ManOpposant= Eric,la nuit?

Destinataire= lui-mme

Mandataire= lui-mme

S4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)20Danny HayesVaincre sa peur de la nuit

Adjuvant = Peter,The 1rst Shadow ManOpposant= Eric,The 2nd ShadowMan

Destinataire= lui-mme, Liana?

Mandataire= sa mre

Structure: 1. exposition 1/4

travers le dialogue: mois du premier de la classe

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Premire confrontation: 340

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La peur du noir

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Premire apparition du shadowman 540

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Structure: 2.dveloppement (1/2)

Seconde apparition du shadow man 9

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Troisime apparition du shadow man 1132: la confiance

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Jai enfin ce que je voulais, 1409

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Seconde confrontation 1433:Se faire virer de lquipe de natation?

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Structure: 3.dnouement (1/4)

Troisime apparition du shadow man 1534: fanfaronnade Troisime confrontation: Duel 1614

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Structure: 3.dnouement (1/4)

Dernire apparition du shadow man 1727from someone elses bed 1914

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Structure

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LE MOnomytheSes applications hollywoodiennesS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)32

J. Campbell & le monomythe


J. Campbell & le monomythe


Chr. Vogler, The Writers JourneyS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)35

Chr. Vogler, The Writers JourneyCe type de dmarche illustr par Greimas a pu tre, par exemple, adapt au cinma, en particulier par Christopher Vogler dans The Writers Journey o il classe les archtypes des personnages en 7 grandes catgories:1. le hros2. le mentor (femme ou homme sage)3. le gardien du seuil franchir4. le hraut5. lhomme masqu6. le double7. le trickster (escroc, voleur, tricheur qui dupe son client)


Chr. Vogler, The Writers JourneyPlus fondamentalement (et cette dmarche se rapproche cette fois-ci de Propp), il rapporte lcriture contemporaine du scnario aux tapes du voyage des hros mythiques; il rpertorie 12 tapes:1. monde ordinaire2. appel vers laventure hors du foyer3. refus de cet appel4. rencontre avec lami, le mentor, le guide5. franchissement du seuil6. rencontre avec les allis ou les ennemis7. approche au cur du pays tranger8. preuve suprme9. rcompense10. sur la route du retour11. rsurrection ou comprhension12. retour au foyer


Chr. Vogler, The Writers JourneyTous les lments ne se retrouvent pas forcment dans chaque scnario; mais on observe globalement une conformit. Bien sr, certains films renvoient directement au mythe du voyage du hros (La Guerre des toiles de Lucas, Le Seigneur des anneaux de Jackson, OBrother des frres Coen, Le Voyage de Chihiro de Miyazaki), mais dautres rcits en apparence loigns sont conformes ce schma.


Chr. Vogler, The Writers JourneyS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)39

Chr. Vogler, The Writers JourneyEx. Mulholland Drive de D. Lynch:1. une femme, en voiture, est menace par des hommes; un accident survient2. la femme, blesse, est libre; elle erre, amnsique, dans les rues de L. A.3. elle se cache dans une proprit, sy endort4. elle rencontre Betty, qui dcide de laider retrouver qui elle est5. la femme amnsique (qui a choisi le nom de Rita) a un flash: un nom, Diane Selwyn6. les deux femmes se rendent au domicile de Diane Selwyn; elles y croisent des hommes de main et dcouvrent le cadavre dune femme dans lappartement7. nouveau flash: le nom dun club, le Silencio8. les deux femmes sy rendent; acm lyrique9. Rita dcouvre une cl, la cl dune boite reste dans son sac main; elle ouvre celle-ci10. bouleversement: disparition des personnages11. chacun des personnages a maintenant un rle nouveau: Betty est Diane Selwyn, Rita Camilla Rhodes; Diane aime Camilla, qui lui est de plus en plus infidle; elle commandite son meurtre12. drogue, en proie aux remords et aux hallucinations, Diane se donne la mort dans son appartement.S4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)40

Lhistoire nest pas la narrationGenette & BaroniS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)41

G. Genette


G. GenetteLa voix (qui parle?), la temporalit (quand) et la focalisation (qui voit)Deux grands types de voix: intradigtique vs extradigtiqueQuatre rapports au temps:1. La narration ultrieure: Il sagit de la position temporelle la plus frquente. Le narrateur raconte ce qui est arriv dans un pass plus ou moins loign.2. La narration antrieure: Le narrateur raconte ce qui va arriver dans un futur plus ou moins loign. Ces narrations prennent souvent la forme de rves ou de prophties.3. La narration simultane: Le narrateur raconte son histoire au moment mme o elle se produit.4. La narration intercale: Ce type complexe de narration allie la narration ultrieure et la narration simultane. Par exemple, un narrateur raconte, aprs-coup, ce quil a vcu dans la journe, et en mme temps, insre ses impressions du moment sur ces mmes vnements.S4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)43

G. GenetteLa voix (qui parle?), la temporalit (quand) et la focalisation (qui voit)trois types de focalisations:1. La focalisation zro: Le narrateur en sait plus que les personnages. Il peut connatre les penses, les faits et les gestes de tous les protagonistes. Cest le traditionnel narrateur-Dieu.2. La focalisation interne: Le narrateur en sait autant que le personnage focalisateur. Ce dernier filtre les informations qui sont fournies au lecteur. Il ne peut pas rapporter les penses des autres personnages.3. La focalisation externe: Le narrateur en sait moins que les personnages. Il agit un peu comme lil dune camra, suivant les faits et gestes des protagonistes de lextrieur, mais incapable de deviner leurs penses.S4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)44

G. GenetteRcits embotsMtalepse: brouillage des niveaux


Un exemple de mtalepse


G. GenetteLe temps du rcit 1: lordre, les anachronies: analepses (flashbacks) prolepses (flashforwards)(porte et amplitude)Le temps du rcit 2: la vitesse:1. La pause: TR = n, TH = 0: Lhistoire vnementielle sinterrompt pour laisser la place au seul discours narratorial. Les descriptions statiques font partie de cette catgorie.2. La scne: TR = TH: Le temps du rcit correspond au temps de lhistoire. Le dialogue en est un bon exemple.3. Le sommaire: TR < TH: Une partie de lhistoire vnementielle est rsume dans le rcit, ce qui procure un effet dacclration. Les sommaires peuvent tre de longueur variable.4. Lellipse: TR = 0; TH = n: Une partie de lhistoire vnementielle est compltement garde sous silence dans le rcit.


G. GenetteLe temps du rcit 3: la frquence1. Le mode singulatif: 1R / 1H: On raconte une fois ce qui sest pass une fois; nR / nH: On raconte n fois ce qui sest pass n fois.2. Le mode rptitif: nR / 1H: On raconte plus dune fois ce qui sest pass une fois.3. Le mode itratif: 1R / nH: On raconte une fois ce qui sest pass plusieurs fois.


R. Baroni


R. BaroniLaccent est mis sur linterprte et ses motions (suspense, curiosit, surprise) gnres par la "mise en intrigue" des vnements.Un nud textuel induit une incertitude chez l'interprte;Le retard entretient la tension par une narration rticente;Le dnouement textuel vient ventuellement rpondre aux questions.Deux modalits de lintrigue. L'interrogation de linterprte peut porter: soit sur le dveloppement ultrieur d'un vnement sous-dtermin (alors les pronostics de l'interprte accompagnent un sentiment de suspense), soit sur la nature d'un vnement mystrieux actuel ou pass (alors les diagnostics de l'interprte accompagnent un sentiment de curiosit).S4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)50

CONCLUSIONUn processus complexeS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)51

Un processus complexeLe processus dlaboration de lhistoire est souvent complexe; il ny a pas de recette miracle.D. Parent-Altier nous donne lexemple de lcriture du scnario du Cercle des potes disparus (1989). Son point de dpart est un personnage inspir dun professeur de thtre quil a eu au lyce. Lors de la premire mouture de son travail, le personnage du professeur Keating, calqu troitement sur la personnalit du vrai professeur, parlait sans discontinuer. Un flot extraordinaire de mots et de sons qui, tout en inspirant Schulman, ne suffisait pas faire une uvre dramatique. Ayant cr un personnage extrmement riche, il lui manquait toutefois la succession dvnements qui lui aurait permis de transformer ce souvenir en vnement dramatique.Les ncessits du rcit ont amen Schulman mettre au premier plan le personnage de Neil pour nourrir lhistoire du conflit qui loppose son pre, qui se soldera par la mort de ladolescent et le renvoi de Keating. Todd, lami de Neil, servira de rceptacle de lenseignement de Keating.


Un processus complexePour passer du sujet (lenseignement atypique dun professeur) lintrigue, il aura fallu:faire voluer le personnage principal (lide de dpart)lopposer linstitution conformiste: lcole prive o enseigne Keating, qui ne peut pas rester ltat dabstraction et qui doit ncessairement tre reprsente par dautres personnages (professeurs, rptiteurs, lves)mettre laccent sur des personnages dlves, et particulirement les deux protagonistes: Neil et Toddcrer la famille de Todd et lopposer au personnage


Un processus complexeDans Scnarios modles, modles de scnarios, Francis Vanoye marque bien linteraction du protagoniste et de lintrigue du film. Pour lui,lhistoire doit tre btie autour du personnage centralle personnage central doit avoir un but, des motivations et doit rencontrer des obstacles, tre confront ladversit: cest ce qui fait lintrigue!le personnage nest pas livr au spectateur dans son entier ds le dbut du film (maladresse dune prsentation par le dialogue!); il se rvle progressivement au spectateur travers son actionle personnage volue dans un contexte spcifique qui aura une influence sur son comportement.


Un processus complexeLe personnage est construit dans et par le rcit; il nexiste pas en dehors; le spectateur ne saura de lui que ce qui sera montr et/ou dit de lui; on na souvent besoin que de peu dlments sur lui pour faire avancer lhistoire; il nest donc pas intressant de dcliner son tat civil dans le film: la prsentation du personnage travers un monologue ou un dialogue dexposition est une erreur viter.Le personnage se dvoilera dans son action, dans son environnement, travers des changes verbaux.


Un processus complexeCest dans le conflit que le personnage se ralise:le conflit peut tre externe au personnage: il est alors confront dans son avance un obstacle indpendant, des forces doppositionle conflit peut aussi tre interne: le personnage se bat contre une partie de lui-mmeles deux types de conflit peuvent tre lis: dans Les Dents de la mer, le shrif Martin Brody (Roy Scheider) doit la fois faire face au requin et sa peur de leau; dans Le Silence des agneaux, lagent du FBI Clarice Sterling doit retrouver le tueur Buffalo Bill grce Hannibal Lecter (ou en soposant lui?) et doit, en mme temps, affronter ses peurs les plus profondes, ses cauchemars denfant (Parent-Altier).Le conflit nest pas forcment violent (ou du moins, la violence nest pas simplement physique)!Sa rsolution est diverse (voir Bremond); mais dans une histoire russie, elle doit saccompagner de modifications profondes du personnage.


Rfrenceshttps://fr.wikipedia.org/wiki/Morphologie_du_contehttp://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/issue/comm_0588-8018_1966_num_8_1http://www.signosemio.com/Genette/narratologie.asphttp://www.ae-lib.org.ua/texts/todorov__poetique_de_la_prose__fr.htm http://narratologie.revues.orghttp://narratologie.revues.org/608 S4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)57

Prochaines sancesRetour sur vos productions de S2 (demain)Prsentation danalyses narratologiques de longs mtrages (lundi prochain): par groupe de 2, autour de 15 mn, sur diaporamaS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)58

Prsentation dun long mtrageIntro: motivation du choix du film, rsum trs synthtique de laction, problmatique, annonce du plan1/ Systme des personnages et schma narratif2/ chos symboliques3/ Choix narratifs et ventuelle tensionS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)59

Liste non exhaustiveCitizen Kane (1940), La Splendeur des Amberson (1942) ou Dossier secret (1955) dO. WellesChanes conjugales (1949), Eve (1951) ou La Comtesse aux pieds nus (1954) de J. MankiewiczReservoir Dogs (1992), Pulp Fiction (1994) de Q. TarantinoLost Highway (1997), Mulholland Drive (2001) ou Inland Empire (2006) de D. LynchAmores Perros (2000) ou 21 grams (2003) dA. G. InarrituMemento (2001) ou Inception (2010) de C. NolanElephant (2003) de Gus van SantThe Hours (2003) de S. DaldryGone Girl (2014) de D. FincherS4 septembre 2015Scnarisation (V. Meurville & M. Martin)60

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