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M. JulesINGENBLEEK Imaginez ce qu'eût éll! dans une ancienne cour -

nous rre disons pas la cour de Louis XIV, mais n'importe quelle cour, même du XIX' siècle le monsieur qui déliemirail ci la fois les cordons de la bourse el l'amitié Je ~on Roi. D'abord, il eût été, pour le moins, fait duc à brei·et, décoré de tous les ordres, entouré lui-même d'une cour de flatteurs et de parasites et la l'orx publique, pleine d'enl'ie, en eût 11/é réduite à le comparer à Aman

Ref!_arda M. jules lrlgenbleek, intendant de la liste civile, c'rst-J-Jrre mimstr.· des finances particulières dt S11 .\fa1es1.: et que lt• Roi appelle son ami depuis qudque 1·ingt an~: il 11 l'air d'un modeste fonctionnaire, il va d son bureau en tramway, il est beaucoup nw111s décoré que notre confrtre Patris el il n'est même pas baron . Causez a1•ec lui: pas d'ltomme plus simple, plus modeste. Il l'ous parlt-ra finance. sociologie, économie politique, iamais il ne vous donnera aucun potin Jt• cour, tclmais il n'es"11era Je }llir,· un mot d'esrrit, il n'affectera pJs plus le ton inlt•rnational "' qui est Je1•enu le torr d1•s cours. qui• 1<1 rusticité loyale qm a11ail si bien n 1ussi à ce maitre cnurlisan q11'éfail le docteur Thin11r. li n'mir11 mfot•' pas celle allure guindée et dédai~nrus,• qui. 1usqu'ci ces dernias temps, fui comme lJ comrens11tw11 d1· la très réelle décence Je notre monde o/lîci<'l: 1/ st·r11 lui-même al'ec simplicité

I-11 bœn, nous croyous q11e rien n'est plus à /' honneur du Roi. de la Cour de Belgique et de M. lnl(enbleek lui-mt'me que la situation qu'occupe au Palais ce granJ g11rcon série11\, un peu froid , sans naissance, s.ins relalion Je famille et qui, pour le pousstr à /J Co11r. n'a e11 qui• son application, son intelUgence, sa puissance ,fr tra1•ail et son profond dévouement à la perso11n1• d11 Roi et à la c/lose publiqut C'est un symptôme, t'ntre autres, d11 carac-

t~re fn\s moderne el très démocratiqu.: de notre monarcl1ie.

??? Dans tous les ;:ays m•ufs - el /'Etat belge est ;

asst•: neuf qui prennent la forme monarchique, • on commence par tomber dans le plus beau snobisme nobiliaire. Q11and on a un roi, il faut l11i donner une Cour, n'est-ce pas,) Comment former une Cour sans gentilshommes .l Quand on n'a pas de gentilshomme>, on en fabrique. C'est cr que fil le roi Gm//aume de Ho/.anJe quami, en 18t5, il fui rétabli sur le trône, 1adis branlant. de ses pères. Il commença par se former tout d'une pièce une noblesse: il n'y en a pas de plus fière de son sang bleu. En Belgiqul!, il y a11ail bien quelques vieilles familles authentiques, mais il y ai•ait surlo11t bea11coup · de Jrimilles bourgeoises qui désiraient s'anoblir. ..l ussi, notre almanac/I royal est-il encombré de comtes p11paux, de b.irons d'Empire ($ans compter /es burons de l'armistice J de " substitués .. qui se p11rent fièrement d11 nom historique de quelque /ami.le éteinte et surtout des descendants de quelques . honnetcs /amiiles boui ~eoises qui s'empressèrent, aprts /h30, de fclire entériner Il! titre de courtoisie qu'el/.:s avaient pris à la fin du X\llll' siècle. Pour un 1't'r11.ible hértildislt'. il n'y a rien de rlus rigolo. ,\'os rois qui, eux. sont d.· bonne maison, n'ont ;amais attaché une très grande importance ci cette , noblesse de priri•enus, mais les deux pn•miers /ai- ' sa1ent parfois semblant d'y croire: ils y tru111•aient, un pt•r:wnnl!/ bien stylt' où recruter la haut<' domesticité royale. Albert/". lui, croit si peu aux 1•ertus du s.ing-bh'11 qu'il }Jbrique d<'s barons en série .. r ca nous coùte si peu et ça /rnr fait tant de plaisir ") et qu'il s'entoure de bo11rg1•ois et non pas seulement de ces gran<is bourgeois qui sont tellement bourgeois qu'ils t'll del'iennent 11n peu nobles, mais Je petits

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bourgeois, sarn; lignée. Il est extraordinaire, ce Roi, 11 cherche des hommes ..

La fortune d'lngenbleek illustre cette observation. Pour /J baronne Beu!emans, /'intendant de la liste Cll'ile peul a1-oir Ioules les qualités d'administrateur du monde, il a un dt!faul capital, il n'est pas né. Et u qu'il y cl de ris. il ne cherche même pas à faire croire qu'il est m!. " Voyez-vous ce petit monsieur, ce " commis "• qui a un des premiers rôles de la Cour! Ah, ma chère, c'est le fils d'un paysan de Brée, l'ous savez 1

C'est exact, et .\1 lngenbleek n'ù 1amais songé d le cacher m ci s'en 1·anter. Commis! Oui, c'est un commis. Telle fiait la qualilé dont s'honorait Colbert: quant â ~es ran·n1'. en effet, c'élwenl de modeste' culu1Jteurs dl! Brie. dans le Limbourg. L'histvlft' Je s.a ne a, du n~te, le caractfre d'un conle moral: elle aurilJI enchanté Boui/y. l'auteur des Contes à ma fille. Après de bonnes études moyennes. il entra comme commis à /'adlTllmstration Je~ contributions. li 1·ena1t d'être nomme à Lou1·a1n, quand le rui Uorold Il. ayant demandé à l'Jdministration des finances. de lui désigner un employé intelligent et recomm,indable dont on avait besoin aux bureaux de la liste cil'ile. un /111 nomma le 1eune jutes Jngenbleek. Comment t'I pourquoi lui nomma-t·On jules Jngenbleek? Ça c'est un mystère de la destinée, c'est le hasard heureux que tout homme rencontre, dit-on, une fois dans sa 1·ie et dont il pro.file ou dont il ne rra.file ras , selon qu'il est bien ou mal doué.

1'011.i donc le 1eune lngenbleek qui rart pour Bruxelles, OÙ li n 'a1•a1t /ùmais mi~ /es fieds, à destinai/On de' bure.iux de la /Jslt' cirile. Il ne devait y entrer que beauroup plus 1.i.rd. li y eut alors. en effet, dans sa l'ie, un changemenJ d'aiguillage qui eut pour notre héros les conséquences les plus heureures. Le prince Albert, qui 11enait de se marier et qui com~ mençoit à tenir son rote d'héritier présomptif. avait pour sart'lairt• ,\1. GoJefroù1. qui devenait i•ieux; 11 sentait lt' f>e,111n d'un collaborateur plus ;eune et qui put /'aiJa dons ses études administratil'es et rolit1que~. Léopold Il eut l'idée de lui repasser d l'es$UÏ le 1eun.· cummis limbourgeois qui i•enait d'arri1•er.

El 1·oi/J comm,nt lngenbleek entra au sen•ice du prince Albert comme secrétaire adjoint. Les deux hommes se plurent tout de suite: de la part de ln-

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genbleek ce fut un dévouement sJns bornes au prince Joni il J1'1UI de11né dès l'.ibord les solides et charmantes qualités huma1r.es; de la pari du prince, ce fut une estime toujours grand1sscJnte pour ce garçon intelligenJ, peu brillant. mais sérieux, appliqué et d'une droiture à toute épreu1•e.

Ce qui est tout à fait à l'eloge de ce jeune homme de l'lngt-quatre ans. c'est qu'il ne fut pas du tout 1!'1Sè par cette étonnante fortune. li se rendit compte tout de s111te qu'il avait beaucoup à apprendre. Aussi, tout en fw·sanl son travail u11 Patw·s avec tant d'intelügence et de ponctualité que bientôt son maître ne put plus se passer de lui. il sr faisait inscrire d l'Unil'rrsilé de Bruxelles et conqui!ra1t, 1wec la plus grande distinction 1. le grade de docteur en sciences po/illques et admrnistratfres.

?11

Ici se place une petite anecdote qui accentue le caractère .. conte moral .. de Io biographie de notre héros du 1our. C'était en 1909. Le roi Albert i·enait de monter sur le trône. Un matin. lngenb/eek est uppelé au chei•et de sa mère dgée et malade. Se sentant près de sa fin, elle désirait embrasser son fils, mais elle désirait aussi lui faire part d'un songe qu'elle ai•ait fait. Elle ai•ait rêvé qu'il était nommé secrétaire de la Reine.

,Uais, ma chère maman, 1·ous n'y pensez pas. C'est un poste qui n'existe pas.

- Si, si, dit-erte. quelque chose me dit que men rb•e se réalisera.

lngenbleek rentre à Bruxelles et 1rou1•e sa nomination: le poste a1·ait été créé pour lui. Trois /Ours après, sa mère mou rail.

Après œla, comment ne pas croire a la prédestination.>

Et pourtant, lngenbleek n'y croit guère. Sa fortune ne l'a point grisé. Secrétwre du Roi et de la l?erne pendant de longues années. ayant sur l'esprit du Souverain toute l'influence que peut avoir un sen•iteur et un ami fidèle que l'on voit tous les 1ours et qui est forcément au courant de toutes les a/flllres. il est à Io Cour t'I Jans le pays un personnJge. Or. il n'a iamais eu l'air de s'en douter. C'est peu:-être pour cela qu'un a fini par lui pardonner de n'etre pas né tl d'être pourtant quelqu'un.

? " Pendant la guerre, M. fult!S lngenbleek suivit

naturellement le Roi ii An1.,·r~ puis d La Panne. Heures angoissantes où le Roi sans royaume, comme disait Guillaume li. a1•a1t souvent besoin d'un ami fidèle et sür, mais où Il' st•a.itaire t'tail peut-être un peu désœ111·ré. JI en profila pour re1•enir d ses premières amours: les jinances de l'Etat et pour mettre au point Jes études qui ont sefl'i de base d notre ,,·stème fiscal aclue?. Beaucoup de fonctionnaires et de ministres du Havre étaient lgakment dUœuvrés .

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l.t•s médwcr~s ronchun11ain1t. cwbaudaient en se tournant lt'S pouces; les meilleurs songeaient au muytn de relel'tr les ruines du p.iys et cherchaient à rrerara l'a1•emr. Rendons celle justice i} M. ~·an de l'p•t're qu'il t't,lit de aux-la; il ne pensait pas uniquement à lu question {lama11de et se rendait compte qu'il Juudraif nécessairement réformer notre système fiscal. Mais comment .l Il lui fallait un plan. li eut l'heurt'uie msriratiun de s'adresser à lngenbleek, qui. a1·.int la guerre. a1·ait pubüé un remarquable oui·rage sur les Impôts directs et indirects sur le revenu 11insi que plus d'un article paru dans des rel'U<'> sa1•11nft'S. Noire l1omme, sans quitter son ser-1•iœ (il t11ait habitut1 il ce gt•nre de cumul) se mit à l'ou1·r.ige l'i, au mois d'aoùt 1917, il en1•oya1t au minislu un m,:moir<1 dont, à quelques modifications rr;·s, on a tirt! /11 lc'gisl11tion fiscale actuelle. Elle n·t'st r.is tr~s populùire. mais ce n'est pas la faute de ,\1. ln~cnhleek s1 /1•s ca1sst's de l'Etat sont tour.wrs 1•11ln cl tout le monde s'11ccorde à reconnaitre <Jll<' /'économie gtinér<11L' dt• notre syst~me fiscal es/ 1 \Ct'/11•nft'

?1?

l 'n Jfrouement absolu <i la personne du Roi, l'hafl1tudt• du tral'Jil, un,• gr11nde finesse sous des dt"/wrs 1111 peu et11u:tis, 11n sentiment très vif du droit d<' l'l'.rat 1•1 du de1•oir que /'Etal impose, une conr.01HJnC1' .ipprofondii! dt•s q1111st1ons économiq11es et finJnt1èr<'s, M. Jng,•nhlcek a1·1111 tout ce qu'il fallait rour faire un <!XCèllent intendant de la liste m·ilt. Il f'.! m, ntir lt duton que figaro rendit illustre: il /al.ut un t•.ikulllteur. c,· n't•st ras un danseur qui o"/lnl la rhza,

CtHt place, a'aillears, n'est rien moins qu'une sinécure. Cela ne consiste pas uniquement i} tenir les comptes du ménage royal, c'est une sorte de petit ministtre des finances. Le Roi, en efjet, a pris à sa charge les pensions de tous les i•ieux serl'iteurs de Léopold Jl. D'autre part, il a voulu ·que les traitements de tout le personnel du Palais f11ssent mis en rapport ai·ec l'index-number, comme disent les économistes. Or, comme ~a liste cfrile n'a pas i!té augmentée depuis 186.'i, ce problème n'est pas commode iJ résoudre.

Plus heureux que tant d'11utres mmislres des finances, M. lngenbleek I<' résout chaque année, Cela lient sans doute à ses 111/ents d'aJministrateur. Mais cela tient aussi. peut-être. à ce qu'il n'a pas à tenir compte des gaspillages électoraux d'un Parlement. Toujours est-il qu'il le résout ...

C'est aux en1•irons de la vingfième année que l'homme est marqué pour la l'ie. A l'ingt-qua/re ans .M. lngenbleek était commis des finances, il l'est reste. Mais alors c'ët.iit un petit commis, maintenant c'est un grand commis, au sens où on l'entendait du temps de Louis XIV: Co/but. de Lyonne el ~'auban s'enorgueillissaient de ce ttfre

Le conte bleu n'est pas fini, car M. Jngenbleek a encore une belle carri~re de1•11nt lui, mais le chapitre qui se clot i} sa nomination d'intendant d1 14 liste civile donne satisfaction aux belles llmts. IV'tstce pas une histoire où la l'trfu est récompensée )

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u: drJ1t 1.: J>cnrr d~ Il staurnnt l n11r111tl de l'aris. a\cr. n plus, un grnnd lrnlf t froid. l:n Ull mot, Ull bon pl:t el un bon demt. 1>..s cn1e1 contrrull<'nl encore des Lons 11eu' 1iM du

".Sl.iuront de I~ lion: 01<' ! Le lhc des fomill« 11 '3 p~ ét.l oublil! ! \on [•lu~ 'l"C I>' l•Clit rroid ou chau•I 01ni•• k' tl1>Atres. I.e no111cn11 prn1111rlairr. C\·<hd dcJ /lir: 111rlton ik• . "-\nrk, T1utadiro N r:rc1I M l.<1nq1cs, ctr., opportr

art , )11-<111, lt• pl•14 lir·ir•u:s.·s 1111101·•t1on~.

tAbilité ministérielle

leJ ç "l t -· kr .. 1c a~anl 't~ tigné dar.s un •~ dtborcfoment de JOÏc olf1crrllt, on 1't!onne dé et

.!e l.s l'tuplc,,; rw s'ob:ud r.ncnt p;:s à une Joie par~llèl•', ria t1tnl 1 r~ 11u'il• irnlent trè- bren re qu~ ~ fan~u~ act1• n d-0 pro1uo1rc. Il laut mn1ntN1nnl 1111• Ir~ goll\orcmrnts lt• nhlienl ri l'applu1ur11t. IJr, ilurun des

goun111•mcnt1 rl'oujnu1.l'hui 11\-st soliole. l'cuPtr,., qua11•I J'lr:iltro11t rc< h~11\'s, le ~! mp1t111qu• \1, l\~n~' ll3t llonald aura•I il dO r•nonoer ii Slln h~bit dt cour, ·11 •• ~

uto, i sa 111. ~rature de Ch•tktn rt 1111 .. t·il retroll\~ bourgeron du trat111 11•~ int~f'lll ,Il, lltmot, en

;-in.:t, Ut un ptu plui •->hd , p rtt qu~ l'oppfot'11loc "'Il ~ organ1•~t l't manque d un 1.ad<r tomtnrant,

Yli.I

majs il •1't 1i ('CU •ûr du ltndemain qu'il a été oblige d'tmoitr !On petit Lhautrmps abo~•r a~ chau;...°"'; d~ cou;;r~gamsk• d .1bumer le vieu' pro~ramme pohtiow' du petit pfrc t:ombc<. (h. z DOU!, on •ait que le cal•inel tn a tout au plus jusqu'aux ··lrdion,, Ei IŒ socialist<> wul<>nt bien lui f•rtl<r ,·ir. En i\lltm"gnr. où l'on nè sait jam<:iJ• jusqu'à quel point 1,,, tark• ~out truquee~. I• n11ui9t~re a l"air de lcmr à un lil. Il n'i a que llu"-50· 11111. Et rnrore •.

\lier donc laii,. cruÏ•• au~ p<llj•lts qu'on peut trétr qurl~ue cho~ de solide aH•c dc>s iiouHrntments a~•i m•tablu !

STLl>l:ll\KŒ SIX. - la n:ine ùts m nhndr.is. llont.e leo côtt< connue I~ autre< le.• d«1cend•n1:

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Noble confiance

Commr il icnait op«> l'éloqU•'lll lw•nnnah J., !rl.Bria111l, 11· d11rour. de 11. l'aul Ili 111,111s i\ L•'lltYc a paru un pi'U fi·oid. l't•ut clrt> r·ria 1aloil-il n11e11\ a111si. Gare aux d1·srllu<io11s UJll"l:S celt • joie uHiciclle !

f'ou1 tan!, dJn• >On di>< OU fi', il l a une ~bra;e qui nou, a fait llqu : " L\>t un lait mtmo1alo"'· que l'engagenlt".11t pras par k> Ebts, et tn parliculkr par les grandes purs•an -. d(' De plus m:ourrr a la lor~. Ll déterrninaliM Je l'agrh<eur •SI un autr~ fait con•idérabk'. lk'*>r mJ1;, plu< t!. doutes, plus ~ cbrc;ines diplo-11t:'l.IJ1JU~. :ionar:. ,j la ,.,_-,.,'l«1uu1,11 110l11ique de la concl 111111atiu11 d11 pc~p(( qui a d1c/ar~ lu yucrrt. "

Oui, >0n~··z-y ... En !O i l, il l o un peuple qui a d~ dari! l.1 gut•rr<' tl qui. OU!-~JtVt. l'tl rommenc~ aH?C un. l.arLr11 h· san> o·\<ruple •lai" l'histo1rt. or. eo lfl2!, 11

•est 1ro111e u11 mm1'1re ou~la1s pour déclarer. d,:1,1nt le. ùd,guts il.? cinquante-quatre llJIÎons. qu'il ne >J-

1ar1 JIU trt-8 Lien qui. dans celle occurrenct>. a·.ait ~t~ 1:agre5.k'ur. Et ffs délt'i:uts de c;:, cinquanl<-qualre na· li~n• ne se !<·nt p;is le1<-• pour ~ co111 nr de huèer; !

f.cla ~ f'\'nd •reptiqu··> •

l.o note di·lio·Jte '•ra donnk', daus 1utre 1nti•rieur, p3r Id lu,lr~~ tl brnnzcs de la Cie Il. E. L. (Jooo), 65, ru~ Je l,1 llt·~N1n•, Bn.xdlc~ .

Il est incontestable

'· 1 •• tL :rét .. 1 de \OUS dtcidu à l'~<hal d'un c.Ljet r\ oUrir ~ l'occa•icn de hançarllcs, nocts. bapt-''"'"' jubilé~. d'oll r e'~min r le< collerllons ~ la mai•or Ill~-- & l.n, 1;1;, Marrhc~aux·ll~r~s (d~rrière la liai· son Ju 1101), 1·1~11 Nnnue pour cdl~ 6pi-ciahté. Cran1ls ·a/r,w d'r 'l'~'iri,,,, d'obirr· d'art <l 1'1111gr.

Réflexions d 'un pessimiste

• 011 • d< c f00nde 1. p•ix. 1 augurt. Je Genh~ ont IJ1t de louab!('<' rllort- pour 'errou11lc1 11., porks du lrm~l<l de Janus '" dit ce P<!'t!im1•tr. llrul"'U'l'ment qu.: l'Orient tl l'Etlrbne-Onent, qur 1trlk'nt à nos porU:;, s-· harll\'ront d. nous mamt<'nir tn for me. SJrts cela, pour

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guerr.:_:. C1\1lt\ t::.tr 1~ ~utrre l.;.l la lm 1(1• la \W. l\a111 ue --e """'· nen ,-.., d<Heut •111e 1•ar 1 d< tnacti•,11 cl< "'' qui ol. l1 p111 1..-rpdu.ll<, 1mll• dumc . '•~1 •• •(llllllle1l, ,·..,,1 !a lllOft w c'et 1 aull\! ru1111de.

Ce VtJ>tmiste appuuenl ou pa,_., o.J au futur. [n tout 1·,.;, il •••~t ~1b it Io pat• . .:')Ïl !"'a\1 ... 11t de 11onn à ~p~ pt:US.t. ... ! la fr.une d'un J1 our ... il 11 curail :t1Jt0111t de p<>mlllt• CUll• 5 qll" C4'U'( <JUI, tn l!ll•I, li•OÎdll qli'un jo.,. 11.-ndra11 ou 11 r ~ 1 ,, ..,,. 1 h r :li 1.~ .\Il • mand<.

lA'8 1•lu:,. lkJUi. OJ) v1 hm ni~ en rul•tH.e--. -..01u 1 .. .. :t \doUr> ~ lruU\eDI o 1 \ \ILLE l•t 1>1, cha ,,, cl. /z ''t.

Dana le coin

Qu..nd 1 OJ et ' ' 1 D partiment ~ clu-m n

... 1

Ce qu' il ne faut pas oublier

•.

On a ... .1111 · b1<r '"' • • .i-l--0n 1• • ubur dtpUlii ~X 111" ? •. ,

Jil. Jacqu"' Pit er11W', 1lan• l~ /.u11r, lo1Jlle1111 1111 n•uel de la Lil.'.uc :\allona1 pour la 1le!•11~· ,,,, n r111..r,il• de Gand tt de la h~rt• dt- lai gt1••, r.•pl'elle "l'l'<''I JO•'"' Dl • ert.ai~ phra•e ,fa 1 • ., rr"' 1 p 1'11q ~ du r~.r 11 \Oil B1~n~·

L'."-1l~D13pe eot .ut~ nt au:bl ~n ikl1uq~~ :.u mou.Hmrot. G,im3nd qui i.. d+:Jll ta 1'()tu11drt.tblt-rnt'nt 1C=l..::n~ tt qw M"1 •• ut mor· 1.ellemcn1. :.llc 111., 11 DO!Jt 1 r"tf'Zld ,~,-s 1 H' ':iq " notrt• poli· uq.oe de fo.rtl'

Et, plu loin: Pour moi, «:t.t-11, i ;6j huché • nouu a.am. brun dtt r11•

et môme d pui1 1011, eu hrna furt fil avun·nt iompu: : il •uilit '{Ut!: dt1 r•rproc:hen1~r;U t4"ntu, qu.l'lqur ch~~ ~ubM .. t• fut("~ 4~ le 1 tu, grand mntf';l~ fftllt-mrnt t.l11 ''""• q~I• fruits potter• cttt~ J.-01.iuqu d("S que l'.\ c< go4", uc.hs • 1 r p:i' Wd.-r, tt onttra l ~.rmex a sur h ~ da. drftit dt- r nqu.t~. 4'tti P""l' '" Olt uupirf. ma po.~u1.1co a unatuit:

L'Al1em~u~u.,. n'.a IJi.i:!i pu pru11• 01.~ r 1 illlllt\1011 li~ l.i Belgique 'ur la base du 1lroi1 d" co11~111'l . \j,j, 13 politique Je \OR R1'<ÏO~ pot 1• 101 1 J.~ mru" • ' rr .1-. 1 mo1n 1- ,, \1.

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c rta1 l J()(h:ur llh ni nn. nu 1 rn.~n ...... ml t 11o1lion.;; 1 pol11111 •oc1. 1 •1u1 •• he! t 11 Pr • . a •1 b • n • ha 1 or li Il Il Jo ph \\. •I• • •tll~ c h11-n ••I -~rti ~ ~ J,?on1I ....

l•·I Jt·1•·r11i•'. i t• i•tof• ~ 111 Ui.·111.iw• , • :"Il 1111 ... .,. ~1·111 .. l"' lr ... •ll 1_k, )'\U~111J .. Ot• lbUI Je .. • lu.tlhUh lt J~ Huin· • \ Ulll' 1 1 t md1- rtl1(ol1 • 1 UD tell Il 111ai-e r q • Il. \\Juter•, qui ,.,.t <O 1311'1•, rna1' Lon 1: 1<!' r~ du pJtl n •

P.1tlt·l-1wu 1111 11111 ,1. ,J,., .1<l.1fjon ... 11 l.l lh·l:.iu1 t>I 1lu \on) d1• l.1 h-:\111 t•, a .. t .. il 1111 ..i N' lto1 111•. 111' L.1 th trUlh• n de no~ 1 .. m ... J~ 1'.11#-I il~ notrt 1111lu .. 1r1e l Mfl •' nUne ,. nom Uf' ! \uU<t pfo\V(,.. ... QUS 110~ d t

q111 n•-' •t P.' 1 1 til1·.,. '"' r. hllr, nor: 1 q1ar1 t t' t1·a1t ... 1l1· y, r ... dl .. 1f n11 ' , I"' ,. IN t.ur, 111 w:.J. n\o hl1n pa' ""'' t;un 1 h.1p1h•· \Ill rn1 .. 0111 Jdt'•" ).« .. h.1'i .... l,t char'"' i11ter11~1J uJle J11 1 l\.itl !

1 tti i: z Il<• n • d ·l'i •lk \1, \\aul~I· 3 •h• "'em: app~ .1, • : •11 I~ lo<•n 11. llrfnlano < (·'I rJfondrr

llrJH1. \\'aul• r< : Il non• • ml l~ qu• 10! r ll••lh ,,1111 rnw11\ q111 dlr 11°• \J. l.dlo11la ne.

lu lffl:H\ i.!tll I. J:r-13 Jnl I• n 1r.., ~m"'h 11 o(;

br. /Ill 1/11\(1/'I. p3H•, lm ·Il('. lttn ,.), , la partir 1!· ~11 11 11« t 1! 1111. - l'.r rur ~ t.ult, 1 1•h1111r :!~;. :!~.

1111 Jl'!·l•ll•lll •• 1.1 1.•l<t•lll ""' '.li·- Il \1111\' 11. '" l 1 1• If ( 1·lf~ll' • h~r1rii .. ~ •

La Belgiq•te et la Guerre

J.r plu lua1 lu tr d,.. I ,,P'1C/U• 't \1•1. (:!~. K ~~). r~h l,~ùù !'" 1,11110 11. Jar .• N """ 1 \I•'. Il. f:, 1 t 1-. I Ï~•. L .. ~• . I' , I' • 1· 11" (l'o Ir. p31 "''' ·) ;;uo

La reprise de Lohengrin

1.,. ,, u1J, it, 1.ow!r,--, f.1ppl11.11io11 1111 pl.rn Do11 l'rllo1 l ~clud dt l'•riricah"n •Ill Of"'<'""~· lnlll t IJ Ill 11•11 la r• pr • 1! /.o/.,ngnn • IJ llonn 1 • On •'all da1t un 1 u u q dqut< m 111! t 1 n· proC 1 1 1«· ')Il li1i•:- u cir lt:'" 1. a., ... 1 .. plu .. thU\J\ln" J"' a..~ ... h1:1.11•11"i '-uttl ,1 ..... trtt .. re~: 11 n\ .~ut auum ancu.lent è ... l ,1c1jui ... 11i:1mh:11311l q11'un I' uÎ 1t"juu.-.r J11 \\3c:11fr pur.• nmot en !:el "I"'· { 11 ' a d•·JJ lon~t· Ill(" •iu·o JOUO ~ !'.tri•.)

\l'r<· <ha un d. ' Ir<>!> loo. s les d., 1 <>P J rron qui.", C(' forent JI! .. 1 'PJc, ... j1,11:s tl'• nllu.>Hc ... 1asn:1 ; la ... ,11~ pl•· me .1 craqu•·r. h.1111 1. • 01nha1 ,rnguhl't •1u1 md prr•e, l.<oh,·u.r111 •! FreJeric J, T1•lrJt11unJ, •· • 1l~ux 1:.-ncurs 001 rha111~ 1;o1t rn11 um 3\t kaucoup dt <O

Iton, tandis q~ d,. i:artk· r111q11e., autour d'fux, •:o.q saient un • p~s Je l'c•ie • qui 111 un peu wurrtt'. Le '\Ït·me l.lrl~ ~"'l toujours aw- i 1.nnu,~u1. Q11J.ut au nitr. 11 est h·'Utelltiemcnt ylu:i anill11'. C'<--1 cdui d nuit J~ not<>. d'~1lleurs manqut<?, de L~h ngrin

Pourquoi P as ? 965

f;. t.,Jfll".U~· f.J1ta qm fai! tnr1t rali r petr .~·"'!. l1;n1~da~rc nrh~H ac. 1-c·1J1 t:inl. M11t '!;ln ,111J:C"~ut M bll'll. ri 1.l'\tU1I i; fôllf h•' riuphq(f'. I~ t> n anlt-, (()11\'.JÎO(ll~ de n ... '."tl~ fa. '' · a\1J1Pr1 t 111 h:n rd"'"' IM j1'U11t < ••pou\ rf~ rrt :tNM-~()i1"

ncomLrt1f11 p1>11r 1fr .. f"L.~fj amour' U\ : leoN\. rour<'rtJJM r rnr i'n• Il• 'a- ~ l.6h·n~nn a.ait oubli• 11<? r.- •r la rtr a cl•f. ~ l I• lr3l~" ~'rM~ric rntr:t I~ r<•rnmr rl1~f r. IA'• na 1t•. <n I 1 · tl.v J'i;~1on. n· .. ra1c11t Pii'"

n ,,rr 1 011 )11 ti; 11111rf tir f 1 munit rl. d ·r mc·r l.1b)f'JU,

1'J•.11 t .\ j;:un..ils 1ff· l,olt1·n~1 1 n d.1n-. '·' L,1rtp1 lit. 111fat pn .. JI t \~Ill', "flllS ks P'll\ ,J,.-.4 .1""' rie la b.tnanl~ FI •• IOIJ•

rt. inl1r1l1·c.

t.lu"' 1hrc'.' 11~ rint"1 pu·ta1ion ~ Elit c~r l11111nr rl~1 rn•rmblr, m::• 11~ f•n• pas no!.hrr rtlk• d'aulro lni• r- ntl""" du gr•tr el dt• ~llll'IM', f,;rnr~ Bu~i "'' a rlmibl•. P.1tmi )('Ci \\,l!ZflPfÏ1 ne: frn~nh 'JllÎ (tt.;;ÏSl3Î· tll d rl'1f"'

rand,.. rq1r1t-4", (llt a rc,ro .. IH'r pl:t i .. ir nt>ltl" anc·u·u nti· (11 f• , 1~s ;o.;1 1t uc1-s d Je~ ,\ t ' "· Ju),•c: ON.l rt•~. rr0 •1111h't<'· eut r•'lnloli. - fomrne \l)U~ t-J. ~ ro~. Pl 'I"<- \hU ... auz Mun~ 111inr ! t tl1'\aÎPlll 11utfqur-. ro•1r1rc,40c. Et tl'.aulrt~ \Pna11·nt ('0 .. lnlr. a Hum.ml:

flue '"us fi"" .J<,nc lon1111, hll; par l•' c1n11ri •olr1I 1 \1 1d1. . - Jr "" ~1 1117'i jam ;1is Id H·11tr ! Hou" confi.t1I • u v11· anl le lro11lrr ~c.-iafütr.

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von Bertin à la Crème de Lanoline

inion personnelle

Jf 1 1 111 n. "''I.."' 1 1111 1·11!-il. nur !Hf""- ù \ l ..

!1" 11111 1n·011t ;1ffinw: •11w \\ :ii.:m t ·•h.nl. Ju Jit•'I Il\ ••" «;IJt I*·', 11w11l1. J1' 10 "'111:-o p.1, Il 1•i; ronnn1~:i-1·11 1 1 11 1uu ..

111". fll1U~ J•' 1h~llO;.!'UC' 11.11 f,1 11t'11u•11t 1.1 l/mlrlou 111

P1h1111 "!J''• 1 t1 f.1, ~•ln' d1p11fi\ 1111

t1 'llfti ,1\ 1 l.1 (011•

•u " 'lu' J ·l\il1c. rn Olh IHI! c., pour rntcndrr ("(l:){u., .. t-.

en t. d.H'!'~ Ir' t 1111<" ":t~H nrn. 1!(' rho;:- .. qu1 ., .. , .. " 'JU" d0

;1\1 ir .. Uh :mo·1. J\,\OJr f'JHOUH: ;~ ••• u ~ p.1~ 11/., b1!"11 i111r 11uv1 •. \l:u..;, au lc•l:tl, d'u' 111 "' i"11111r.rh1 li•11 ... 1111 mn111l1• + t ro111m• l\lt'. J ,1 1 \H ,1lnr ..

., .\\ 1•(t1H•t. 111u .. 1ri1•n. ,l\ail 1)11 ~WUÎ•". <'l j'ai l1irn \olor1· 1 1·h• f•'1·h1 111h1·t 'OtU(l11I, ,1 l'o.1111lllrnn dr :-~ n•lt\ftli, " 111prj hltlllS ff'll n1t1l11lilr .. •jU1.' j'.1\,11 ... \C(tli\C. ou fU. u 1c (Ill 'n1r •

• 1 n~ '11, l l•t<' l'h Hie de \\J~n<r on 1lrcou·: ...... uu u'un honhonrmr, :t.\T;: .~ • haine-- d~ mu .. ·• tlrr dt {'.lf~l)•t fit tJU! ht1foua Ir l'an~ tll n:i:rnrnu-. ,J ... fi tt 1Mulltt l:t l"rallf(' \aine.'": 011 Ro< hr, quni ! Et r111~. in Il rN11pdrn t ru fllU ... itpll', je. 1~ Mit .. rla\dll ~· tll p~;,,,,, N •'Il or l d1a111.1t1q1w. llr. j .. r•rto!w. <t'i'<

u1,• môn aul1lr~t··. que 1r ... h\fl ,.., di" \\"a(!'ncr, t]llC ~

~Jfü!'ot , JOnl d'une immor hl•• rrpucn3nt• .. et d un m.u 11 ~.,H hoil 01•. t •"'t IX'. rommo 1 ' 11ml(' Il, r ~

1..11 I,' d1qu. h\1 nt , r 1. •O., !• l'h\.• t\J• rt 1 amhilion l«hr<, dont c't•l ru nol·mc ll'mps 'f"r 1 ·, · l rlu lot', du 1111c d'art, du f.rj, -à-br.1c d ln" " · t"t:t rnlé partout; rrla ft ra ir d'un formidabt• dè~!lt!j"mf'nl llllrhe prèlné •••• IM l~Q•ndes dP tnu• roy•,

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ni11 à la mnralolo p11hliqur, nnn •tulement li<'• BochH, ma10: 1i lou" t~s 11a~s inf· o.fl1'- dt -a~tri9'DP .....

·'" donn•rooc •nlontiu•, A IA qu.,.tion W~2ntr, 1& 11'

•r· . • ll<•nnrt·nnus 1a mu!iqu,. de cet olibrius. m••· li11 .. r, , I· 111011.ir d•• ron (·rrrn•ohlft bavard;u:e littéraire ! •

D'nill• 111~. j'.1111 oi' birn t1;rn1·r alll'ndu di1 aM la ,,.,. lupte 1l 1'nh•111h'<' '""'fu'" Ir « C)f(lle aimê ...

1. ·,.,1 llflP nponi•lll f"'M!Unrl lf' qne Mut< enrf'tri'<trons ~ •n.;;: i'ondurt.

us Et3bh•• 111rnts 11• "•su,tation c SA.'iDE.llAr\ •· .,. r .. ll?iqu•, •11nt fréqu~ntes par tou l fin connaÎ!teUr en Tin. de Porfo.

L'élégance

rh'' ~.1111.1 t t 1 ft Ciltt1pldc :i0.J11 ... rhau~~ures de goOt. LM • h•u--u1 es 11 ., recvrn111•111J"1t par leur ligue élêgani.t. ltur ,oup?r-•e, la •1uah1e il• < cuir' tt peaux qui entre-nt Jan~ leur l.>l1rrratwn "'li~n•t, •t 1u«i, il faut If. d i~. r•r lrur (lft\ nloorJahlr ..

\'ou" 1n11s ''" ••·ndret ro1111•t~ ~n e'ami1W1m 1.is k•-1"~"' n . \'oui ~'" ,., >urr1 i~ du rhoi1 et de la fin<"',e des rhaU""'Ul"f'' ,.,,,o-.;,;r..,.

Le triomphe de la femme

s 1 "'' 11 J' q1 f, •. •nde!'. il e'i•ta jadis 1111 p~~~. lliilhu• •1u<•lft'I"° part dans lt·s r...·i:ions df.\COU"f. .;0Ïi'IÏ1plt'" l'll llulre ! ièc le tle {1 1 ogrè~1 un pays OÛ YÎ· •ai l I" pr11pl1• .1 •. , nmazont<, l'""P'" d.- gurrr!èrtll\ chn 1p1i h\'\ ho111uu' n'•n :1 i1·11l p.1r- t:rarul'chc.~e à d1re ~t 'fll.e ~1Jme1 n;ut 1111t" tt~mfl' au püU\'()tr aMlu.

f:u Jlloulahl •fllt rc-prll dïmirntfon amW.. ~ ditt noU> Jt, hr ut., d. IJ dictature d11 proktariat. ~ lois ' rrtor.11 • '""' brrr r~dmm1strol1on de n~ gnndd

11.. Ir ml'Jii• 111('.;; :unazon~. 1 1;,11.f. on 1i .. 1t d~ ron,•lntci que 6l.li2 élretrir~ et

:, L!l(l!I drt 1, 11 ! f1 g111cnl "" 11·• li•tcs èlecloral('I!, (B.,t.cc ~u'nn """" ·"' r111 rn 11011\f'r un de plus pour fo ire un • ""'P'•" 1<•1111 '!) llan• •m ne nn• faubourgs d~ 8ruxt-lle•. ,, ~Jllll t:dlt!, 1il11< Je 2;,_0110 f'lnmr~ auront dr1>it d• •otc ~"' rro(h rnr• ;.1.v11011"' c"mmunal"". el 1 ~.0oO homm'"'· El '" ..... rd 'anc doulr la m:m.., ch~ partool.

llon<. all· nd,rnt '!"~ <r4 d.mes ahu:«'nt d .. kur ~11-J•t"rÎ<11 Jl•• 11111111•r11p1 JW-.Ur 1·\pul~·r tf,.,.,. hiHrb de \'illO I~ rrp1;~ •111a1114 1lu "'"'" fort. non~ 1,·rommantlons aux can .. .1i1lvl' rnn•rnlin• qui hri~urrnnl lrur< surrrages de S('

mnntr•r c.11.rnl<, 11'.irLn1···r 1!r• l'r~•alus irr••istibk~ tt d" toiff111,, irop('""':tl1I-. ... ..::'ile ,,nt rnrt>rn dPc: rh.P\-..U'C !

\LT01!111lll l'H.": Pr 1r.J11\a1s temp;. rmplo~·n ru•ni•-z'a• • <4'n11-;iulnnoatiq11r • :;1 \llff ll "· Pri~ : fr. !lï.SO. \,.. "• il• ~r !:'lm~i-.. T ,,,,,,,,, 1 rr <f· 7,,.nnlt. 30? r. V!1fin''·

Goût

Il .,, diHo1 1k 11" trou\"cr m:~ h,1i«on plus a~abl~ qne Th I• tw

La semaine de la circulation

CA> Bru~d oi •'en fut querrr 8011 ami le P~ à r.,.. ri,·ée du train riP Paris. U. mon~rent dans le tram en •~ la. gar~ du Muli, et ~ Pari."Ît11 remnqea toae dt .ar.

966 Pourquoi Fas ?

1 nombre an 11é d ai;enu de PQ c qu If montra On n'est pas des charrettes à briu Jux • :-clour . ·

- t ~l..:e •IU 11 ' a Ji'<i cm 1 11.':1 ? 11,marul l·1l. - \ • 1 ·nru' Il 11: ce t • ~m 1110 de la Ç111o

<~lat

i;.~1 trh 1r~r !

Ch • !~ < 1,. hbrair.1, 1 o llutt r r L 1 :-ougu 1rl. h1 t ore d 11

le ca•lr ext1oord1Mire tl• 1 \!r1•1•11'

Le chêne et le roseau

T1ndrs qll<', rtpttnan1 u 1 rn e r• •on ~ r ~· r la ro te, li-~. la \\ EHi \\ \ rouk encor 1

Jloroliti: Q • d 5 d ux: toile ou tôle, enioorte l'Hon l•~e

f n 1ou1 c 1. le ~ ortiman. l'ayant rn• la \\EU!\\\.

b 1lt l tnl 1 ~ ! 511, du JI

Il

li faut s'entendre

" "" ne de :J Car, 11•1 n •• traduit. par~l ,J. m r~.,,,.,.,J: «\\rd. van h· t lr1ktrr "{ltoll 1 •• ollirh •).

l' bon , .• , rt t'Jrroi.: au mih 1 du Lo~'ll\ord, en r~°' 1 • I~ Il ur< • , n f'XLI"' d •on t ko n1ou1tmtnl d"5 •oil '' tr'J,. t,h tt"" 1,1 nt d~ cl'nl«.

1 n outr1• ngrnt. E'opprôth• ''" virill•irÙ 1•1 lui enjoint : \litre ' l trr.ul•lr ! ! ! bon 1 111 "' ~ 1

96'i

- ~ijc. li nheer. Da l'\l.le Mn ik al t' oud !! t:l 11 ',n·•nr~ ru <a(>pU)Dnt 6Ur •I ta11ne. 1 °l'I '!llC • l(fh'(r(·ll • •n fla1n,1111J bnivlloi~. MltOI•

fi,• " t"l)t1rt1•cr les rillee. !r~~ut11lrr, cunirne on d11 ch<>r 11. Jleultman• tn bon lrnnça1>.

Pif.Sb\ MO[SEL. n;;·re de luv.

En lut., tl tn bouteillt~. Hll;>hont : llru1. Uts J86.06

LE PHYSIQUE ET LE MORAL

- Moi, fine mouche, j 'ai au tirer à Ernest ce qu'il aa11alt aur Henriette.

Sobriquets

IJCl'll•• ~ur le c.1rdin1l G.1sparri a intçrdil au~ prHr··s de oll.borer ou:. j~urn1u1, on n'appelle plut J,, quatre alu ll'~n • Il• :1 \\' • • CA ' <..·t r n ) rédac-1 urs nu .\ 1 S fr

LES ' FILS ... I>tMONS d Boulnud B:scholf hclm

Le Madère SANDEMAN est le meilleur

908 Po~rq~oi Pan?

L'agonie du grand homme

.\ nat()W t r1 go l ... ~. P• Lli ~lr, à l'htm' utJ p.H at tront "'' h ~ne<, la l1fl•rat11rt """< < lie " r.1·t- li• co d i or 11 u'e t p 1..inue. nan< I• mou•l" de< kttrru. 'l'" r • omHH .. , 1~ t ·Îlornh au Ju ' ut ~1 n: Ir on

Elle au1 ,, eu 111 'i' h1 ~. d ctr 1 _, t 11• l'tmh 1'11:~ me Ju rand honu•'• ! P.au11a Ir.'- ... i1n~. ,,.an.ut l1'"ori:-t• Pioc h, hll1 r t~u1 o~ <1 '! 1mnnm1 .. tt'. <.;ri. tl 1 i Clf. .. t. ... parla~! au l'ub' . Cnlokrn rn r ho,·r1 •i• P1o•p1·10 ! f}11rllo ironie ~

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la 1 1 ml ·1 1 ' ' 1 1r Ir • ,.,,r .. r1 "" la i:ro"'~f' \ OÎlure a\rc l\·corionur tif' IJ. Ji. tit • • .\1 'fi

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Le bon é chevin

t ' . ..,f l'r U IJ• J,,

hai ne d.•, <llHron< d• Bru' lit·. li •J IPn..-e, el mème 11u•11d. Ion 1 •OUI m•• . 11 !1 h ''" un•• tt nor'-" d'or n, 11 u·y ,1 pa.." ruo~t 11 Jr- 11 d• 1J r "' horlt'1ft.'r 1 • jubilam • du m ndr• 'f''f li. 1' p. nJanl. 1V-r111errm•nt, A la .. ,tP"" ~· n• raie, 11 •• -t 11• 11i1 .1 0!11 qo••lqu~ ho..., A nn rr·pttla't.k t"» 111 ,.j qui roml'~' "'"·"! .lr1 ""'

1111 a\rt $a ' onjornle 11• pm!I 1 an1p1:1111" i'lllt :

- .\h ! O.i 1adt ;::.a ! IL cm 1 J,1 1 .:• l.,.1tti, 1lrt ".,. .. Ji• •

\• f"'IP Tittlerul ! ••• 'tup•I 11 r ,., hi' I• • 1 r Ir.

Bouchard Père & Fils

V!u" mQ t>p 1 .. : c., 11 Rlan,. l·' t.••1 • Enfon lJ1.,1J' ; I• l'lo• dP ln \lou••r l1~urrnt r 1 1•1 cintfl 1 n~ d~ , md 'in.< dt: ft ur._ C'1

Dlp61 · Brnrr/lr, "" dr la R•9t11<r, :rJ Tri. 11.1. ~Q.

La gloire

On '1rnt d ""' 1 l'rr lotlkin o,..,. • vhlah 0111 1 rndu le> ~upr•'nY.!- houn ur~ fi 1 poê~.-.

ll•u\ otlirirr•. un 1 nn1111 nJnn t ~I 11 11 hcul n~nt, par-1.i~nt de lui •n < 1 rm·~:

- C'r•t un do·,.on• tir f'Onlr<' ~ l,1·opolJ, p111•q11<' la troupe a dû a<-•Î•t•r à • fun•railleo. Comn.,,nt •arrrll<'-1-11 ?

c ·c 1 un nomme 1.1lk111 ' ! onn 1< I' ' ! ln homme M lrllrr.<. 1m1af1.1/ ..•

Il 1W-t \rai que- rM1\ '}Il l"ul j,.ur~ eut (om1 ai e. trut ... eratl~c. rlall" 1~!i lrilnrhr~''.-1 11"uut jdm.11 .. ru ),,. ~ mrc. r. ~:tnt"rfc~ 111 11 up 1 la!l r ' •r

< I.e, a bo1111eu1tnf• au~ journau' e l publiea fious > belge•, frnn(ai~ et 11uglai• Mnl r~~u5 à I'.\ GE~ CE > DECll C:'i \ r., IQ, rue du l'1•r,n. nru , t ll r•. •

Le malheur est notre plus grand maitre

ot nol~ - illtur ami. C'ei;t lui qui nou• PR .. il!'1~ lt •• ns dt la ' ie •- lee planle:s et neurs d'El'f.E:\E DR.\PS, '°'~ da f rwm. nt. 472.H .

('l•' I

1" nornh1 r rit"'" r.;1rto111 h~ .. du I" jan11er a l'nrnNtu de 10 pour , , 111 le 1h1rr r rindl' • ! ~~; tl J ·

1 . \ p ,, u 1 uuer, on en dro ~urrrc. t111rl11u"un ' Ill

Expédition géographique

Sa 001 , a ... 1 p ,, -t1

.:,t"\~raph it)Ut• 1 j .. J .... ~!liou ... 1111tl1

kmp• ratur<- n ' IU 11 _r led, ur~ 11 juc1•n t !

.\ pres Ull<' Il ure d JJar 1 • 1< 1 R rage' au• l'au:r Pr• a111 ~udque.< / '1o·1rm, lfrmbrr rlu T rin11r1-clnb, la .'l,,re '• l •Oll Th1 nu. Bromr, Comte n moi , "1'TÎl~m .... • la C/1npel/r-ru-ff,.,.laimon

Pourquoi Fas ? 96~

F;n (J r du ''•" hdtrau, k~ ~œm> lrmd/, nout< ~joi· ~" r ni, tl la'l 1,ru11d'//cm; l urtt' d\•11°-.., d-. nt alil'I" j ' ' 1111, tl\ t J 11y1-l1:., t/1111n5r t't,., 1rrr Jans J. 8tJ1 d. Ht1Înr. //""'die 1'..t.11t ret11ëe 1•011r l/r11.r rire â l'H~;r.

JI J.J c Jlllle J(' tl011S l/tlUIU!Jh''• now f\OUS dirt· ~ .1111 1 ""' un• .1 trc 1 !Jiii< "u le /irrrr, '" lf3nt /.a-l 1r, llrtrrt r .1 unt /four t ~ ' 1du'1' . .lfa1s Ir porth" :> n 1br•{Jr Jl<r11 et.

\Io 11 • t:cuclr,n p1 1/ 114 et /:...nur: 11/ltl liieu-1 • r.: n n r 1 1t hloml :111 1 1 ur.1nl. f à, l':ur Sr ... '"""'• I • l,'nnnfi' 1'1 ri la 1/, lrt .111 lw-!Jrl: h'OIS 1:rdr10. 1/r1t1t J nr hum ur 1fu/111t~ 1•1111 in Dwant. 011 Jupil/1, cnr o /.,11 fot l en prurnrrl 1 0111 r itiC â la f''•l'I" d• /,,,,,;_ "'· t Ill 1 /la "'' !' 11 ... <,1 .hitm '"'· ~. h Il <JUC cria

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1 ~ Ir• Il''°"· 1 .. r,,,u11 011 rt 10\ • ., Id 1 raitU1'< qui ~ lrou\Jl('lll ~l:"" h lur11aur fur Hl tn,::ontk'.

On /fr11mz. th, f1;uru '''li"' qu ,111 n:·tcmr. 1l ful/nii IJa ... \ 1-u1 /"JoÎt /'fmt.r. ln n111Li 1 ,..., l:Ossut rie la ffnrrlr nw /lo f ·rt CJ r ,,,,,,,. tian .. lh" lauihr-1: J~ m'flfllfr 1i'un 1'1rnr I'~""' Jïr 111 l/r1m rau 1/r 1111/1·.f'·1mmr1

« 1 , : '"je, tout l111hrr/oup-lirote, i• ffi" •111s ruallt •·

\u ""'m" rnom 111, 1 Jlhwdr•r N'nltl un rorps clnn: C• r ~'anh oilmrc l'!Jns ~ 11-11.

,. oh• l 1 1 .• ! 1 ia-t ... 11. · , .... r.1 'luun /',.pùt11/l'r· 1bus la 1:1111111,. 1lr rrH.111 1:rlœ1/ ! l,h111111 ... ol h:ofr j

1 Ill' •xi l.1111alio11 '111 J,~ clou 1i1:• me mi·lll'•"' ~·11 1 nJ•-rr : "' \uu1•1, lu 1 ... /o/tmnut. lui 1li ..... jr. en lui ... r.<iu.111l 1.

/; o ' Ill•• rn e\ hpr• ' lunu ' ~i lu ll<>uyr l"'CO~, je 1 Jrirr ' l:1t 19r d Il /.oo •.

11 ~ •Jima ·•tl•~I. l'lu 10111, rl>n• un /:r/luour t pl. ' e ,r lrb", ou nou•

l lrn .. 11 1 tMrur Rim1 r 11~ T.mat:/tt~nr, 111'\11' 1011rnn Ir c'om(r 1t.111~ 11ur• I Q.\,fl'. Il ~·n :-01 IJt ë\·~ un Rumn • rt 'lllPll~

7 t '''''"' J 10111 1 ri1h11d1· lui c 111 ai11: ''" lui f:or fu.1111r:

... \ 1 Tumut. \OI"- Tar111nr1. r;rand·I ~,:. •1

.lit br r rc1io1 chi 11 '• 1 P lut I• <Qudu~ 11 Io 11• md1qu~ Je ett ' 11d111u

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La politique mène à tout

l ,.tel 11t nt l•1mmc le Ill: • 1.}1 .inti un homme oo'it 11 a d<"

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\la.,;, <O)ô0"-4'0 fiel•. q• l•JUP< p Olt• 1r1 pror..,,,,.OOt 1·11 d" l'tth<>. Eu rc. 11t , Q111-d1 l•Mil I'< <>ut? toujo.1'! ctll\ '!"' rnr 1 le plu> fort. t't•t un mrni>lll!' •1u1 oh•ail uO;' fo1.s :tu\ ,\rm!'> de le l."on~l ch~ ~oH,jOt'S qu"uu got1\~1·n~ .. ment tit•nt ~ 1,tre mene ,·, roul's .i,. pirrl 11urlrt11" 1••>1 I. ~11. L.::oi d1•(r114'.l'1tr'.'> t n~·1 •1nl plt1ili llt111l •Pli' lh 1tr~11 Ill l1·m~. Il ~·e~t fo111h.• lt J\nffix une ligue rl<'s dt'f "l' J1,.. 11" l.1 'ê!I· lëco. 1 a soc1d<', la l.::uo, ce< e•«nl1rlkr11• 11t lie;,"(' .t tlfirau· '

JI 1.iut rrr· une l.1~1"' d·~ .\n11• J,._ llullt:S, lut • ""' r d1-, hui• pnri<. rl~s po•tr~ ~ clrlrn•lr~; qn'rll .. nr" 111•t dtll\ Oii lrolS {''(Un-ÎOn"', UO hanrp1rl [hlr ;\O; 1p1'rl1 ait >on 811lletin lrtmcslrid.

La Ligu"" di"S j\mis tl1• l.1 h11 fit ri<- .S1Ji~nr:-. .,,., 1m UH)··

Mir a imilrr. Elle a lrn11 1·11 '°'("'LI ton' f,... •P11cblec, Et~t Il adrnini•tralion• 1 011111115.

Il •~t ,...,j ')U'tlle a tommf' parra ns de- l!atlla1d d'at,. lar1u•. mats suitoul • ilr n •11 1..- ~•hau comn10 c r lt 1oùte.

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:- nt •I .. il\1 ni 1n"· qui fll\f''Ol 3U"'i dieu\ 1·l aul: homni. c. q on u'tn au~ 1 1 • 1•h1< .tn1pkm•'t1l p.1rl• fi la <uitc rlu ltlit 11°d\.1t 11\ •lt' •1ur I(' \Olcur t-lu1t 1101 ~ Ult'll nl Europ1:(1J, 11. 11s I· r.1111.1b, l'l 11on ..... _.ulcrrn.·nl l ram:a1.~. m.u~ lw111111r 11~ )f'llJ c~. llo1n11w 1lf• ){'jlJ'('.S '! Om, ('t de (Olfli·. Or. il p.1t:ill ()UC t.C ili·l11111u.mt t nrll} ~f'Ult·r11r11t h•J1t1111 d' lt Il .... n1ab 1p1'1I a 1111 takul. ·t fx_utt>up rl .. t r.I •. ' I'·"'' le ccrt1f1e111: ><• pat ; r•pon<l•·nl rle lui , llflll ras tomme morahl ltt ·1~ 111111~ \3lrur l11téra1u•. \u rnonwnt, d»11r ~11·11 ·' c11h 11< k• coup d• i:alfo d...i 101>, 11< l<u t nùcnt I~ 1•• rrhe. il'<cwe p •t '•, ~• 11 ne fout pu111l 1:1 rnnlt•·ril1 t.": .1 tout ['Cl h1". n·r~l-l"C" pt1 1 nu· serironlc. l'.11" nuant, tl•-:- 1oli·urs 1111i ne sont pa, homm'lS de klln~ 011 q111, danl lio111mr. ile l»t11e~. n'ont pa• ~e tali·nt g;iranli p,ir 11·~ t .. t111.ir;11f~· ... pourrall'llt protr~lrr. l'ourc1uoi f• pm1!c~e à rthn-là • I ti.a• " W\ 1 i:,.,t t'!I

remonlrrr, r .. mnu•, u clt•lm 1 t" •lf .. trn a ~ ... prh·i ... I~~ . .i 1•5 homme• 11e i't"'""' qu'acccptrr lee mdira\lons d~ <J. 1,n. J.~ pape Paul Ill t'tima que Rtn1·eoooto • Cellini aYeit •~ droit de commru,.. quelqu"S •rim~. Pl' mel d• TOI~ rl dilfér>ntg •i~I .. , 'l''e tout cela n'.,.aft ~.

Pourquoi Fos ? 971

f-- rh•'I J3il. Il 1c••1l un moment à IM nff.,ir~. !3•'0urail la <klw·eur dt "t l!<'nti• 111 111, J UÏ$, 6 •tpl heurt'll q11ar~1JlHinq. 11 111011 53 ftmm" J:QS,l par lt lirns el lui d •ait: « Hht11le-lo1, ll06ll. 'fo ta1' 11u .l hui, I• ur.s moms cmq 11 bonne Ol>UJ •r•rork' noire r Ill M1euncr •I nos œu .. •ur I' plot • llo<a pe reH1lla11 el. 1 n rffet, 3 hu11 heures mn1œ rin'I n3cl•nM"n l, 11 bonne, bien I ll· !ce, app<•rla1t un platœu. lloru: ur el llldarn~ ~ lrOUI ai•ul une ta«c de ralé, un nombre füe de tartmœ et dcu' œuf> • ·r I<- p!al. C'llo1l rlglé comme d11 peptcr A muHqnr. Or, UD ,r..ur, s~lomon !!C rhctl'a en rclard: Îll· quirt rt toum1<r.lé, il 11111 sa r mme rar le bra•: • ll~J. )'053 ! Il tSI l'111p5 J ((' rt1t1Jltr !• 110' .1 !\<' l.nUJ:<' f' s. Il m• "e 1..- brn• ŒI roide, mtrle ri lroiJ. J:osa t• 11 mo• :•e. \lors. Salomon, IJOUle•tr!i', !OUI<' a bas du 11. r•:.-arde •n mQn'rr ('i h. ~(l • :, 1 pr• c1p1!a111 m loanni~res Ellr le pahcr, !'t•rÎe 11'11ne l'OÎX l•>nÎlruanl~ : « .If, l~ni : lfll~nie ! ne laiti:4 •J•J'un œul iur le rlat : l!Jdamc E'l morle ! .. •

~ lfa1• :I l3ut 1lirr. 01111,!,1 la j 1111• l•rnrnr 'JUe 1~11s 1 ... J•lif< ""' $t'nl p:t! nuoi b.H'lt"f'• '111r rrL.1 \'0115 l1nw•1: ni• , 111 ln111 à l'hr1!'11' ••

SPIDOLEINE l.'h111 I 11Ji'nlc pour ~11 toniob1le .

Histoire militaire et bilingue

I.e l1 euh 11;1111 \ .• ur 1p11)11 • 1lr l.il1111111nnl, la1l le • r•1•J1"rl " de la hallc11r.

lAi f'r~m1er chd 111llodu 11 J, 6uldut \'an Bu~~rn hout, rtnlre t;U quarllt-r :i li l). heures 1l•J .u.tl1n

I.E l.lf.l 'J f \.\ \1'. - \ an llusgcnhoul, g1j hd1l i; d. ~ou. hrcrd ?

\' \\JI • \l a "11t1r, rna J lli.lnl ' JE 1.11.1 fF. \.\\T. - C.1j hd1t gcMlouchetrd? \'\'\ r: -- ! . u: f'lll,;lll r.n CllU'. - Gij heb1 lou11cn ~· slapcn \ ,\\ D ... - \ ei, 111a l llnant, maar 1k ... I.E Ut:lrE\.\\T. - 1' ts g~d: 11'1 htbt et11 ~1tk :n

llArl 1 \\ fi .. - Wn bl ~\t, ma l.i1nan1 ? u; l.IHlE\ \ \T. - li1j heht ee:i k1tl 1n •l•J 1 \,\:\ JI • - ! ... u; Pllt.llfflt < !Œt'. 1.11 hrl1t ecn h r, h1Cr 111 Je tl ù? \ '.\ \ Il .• - \c1, ma l.11na111. ma~r 11 • 1 t: 1 IFl1t \ \ \ T - T' e! go1:d: 111j heLt z~ 1lag• .. m~t ! c hd, ('(rn z: .. Si\ jouri tt'nrr;t ntJ !o'~ .. • \'an

llugx 011001, pour o•c rd oudr 01« un lemme l~ere. ~

\ '\\ 11 .. -· .\it n1 m('(r or Il\\' oiol "'· mn l llnanl? f m 1 an R11i:.;e11hou1.

Champagne BOLLJNGER o'REllllER ORAllO \'IN

Une arfate

\ Bna Il •· d 1J~111onl (comum a 1 ukio, se11< 1!0111<> 1), il r.111 \Cl'.r '"' lùlll p11u1 1101r du 1.1lrnl.

1 Il~ H \ÏOn. l'"-'Ul·1"ilrr 11ci• tif.$ ll(!U\C', UllL (d (,u t t l!S n: m ..rit à P~r.i., 11our \' tl\011 cnlc111l11 Ullt:> lidl1 \ln •• <"11l1alto, 1ult11 8\tC 1111 Dll p.id.ul, 111lc1prNc· •• 1 11 le plu• Mht. ,,, le 1Jl1Clquc1 m •• rrœs s pn;:c• de D.rndcl, d• Ghic~, de ::.dm nn n. f. rand 1uccb A la tan•

l rdrice êlranirerc. On .,·cmpr<<>e, on s'informe. D'oll \1Cnl·dk ?

1.11 li~n ~ •olla. E. c 11'. -.1 nt J\11<-t, ni Tthère>-.SJ.waqu&, ni l'olo11a1se. Eli• e<t Br i:c, !out !irnpklll(nL C'H I lll!c ll•rlhe :). hcul~n. proft>-Scur de chonl l Brnullc• .•

Et maint 11an1, d '"-moi : en dehors de quelques milfou x de mu;icicn,, qu: donc a tnte'ldu, chei noua, Ille s~houl ? .

Automobiles Voisin

Le truc de l'acteur

L"n ac' ur :mçl~i~ oLl. l. rc«n rnt, de !OO directeur, une reprè> nlallon a .on ~éndice. Puur ~·re liilr qut .a $lllo s.;ra1t lucral1\• ment n:mphe. qu lri divcllc~. ténors tt p1ani.-1<. qui p. t:Cru1er1t leur grar1c1l\ concours • 11 Pit' ne foncl10011. raient P•• de1ant les l1anq11tllt\I, il lit 111•crcr, 1lans un journal à i:ro,, 111·110r. la noie sui1nnl<':

Ornt?una'I, bien tlg M reno11nr, fortune -'nrn••· f'JerllcotOI rdtî-rtr.cra, d&.iro épo~tr"f ptn;nnno tans dot, 11guro agr6ab!e, (amlllO bt«'n. rt.e , ft<'.

1 n~ pluie de kllres faballit p<>~l<'-rr,tnnte aul initi1Jrs ind111u01·:< .

. \ Ioule> ~es ldtrc,, l'a• l11rir1" a~kur répondit, 1an• y • hungt'r un• 1·ir711l1:

J.n j~un~ f\Ue que o;ou11o mo proposu ru• conv1on,trA1t •OUI toq.1 J~ rnppatta; m:w!.s jl'I titnt f'ller.fiellrmrut, l\'lht de oom• nllncer ln n<'o;Xiatlcir:s, a ro rpo l'on pmno jugor do mon ph,y111uei t\ dt' r.tc~ n..ani~rel pa.ir ne J•il'I lpro'J\tr do dlcon· \'f',.btits f:n t"Omt1uf'uCC, Jt" nie tlcndrai d"'T:13 l& logo de f:tce, n" 6, •• tb~~tre de • " Io soir tlu hé,,~fi<o de l'acuur X ... , r i l'on pogrra m"f'x1lminrr toµt 1 lobir.

J,'° jour ùe la tCj•rf:S(nlnlion, .l S31J,. /IJÎI houdtt, el roui le mondr. dNai~nnt la ,c1'11r, !<nait ks \'Clll ~I IH loJTT1dl s lirilqu~r·, 'Jr la lare ''"' h . n• ~. ~aucllt rcs1a ··idr t~ulr fo <oirt't.

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Dans Ioules les pharmaries : la botte fr. 2 . 75. La tlrmi-botte fr . 1.65.

972 Pourquoi :Pas ?

Déplacement ministériel

Au mois de S<?ptembre 1!1~3. le ministr,. de 1'!nlorir111· mit à profit un séjour <n .\rdenne pour 'i~iter qudqu<'s loe11li1ês ,·oisi~s de notre nou,ellf' lronltere de l'E>t. l>a.ssant par une petit~ 'Ille tris industrielle M la rnllë" de la Ycsdre. il se lit pré;enter l"s nntnbiht.,. de l'endrnil. parmi Jesqudl«s 1~ hourg111e,tre. Ir> e• n•'\'ins et le rommandant de la plar•'. k miui~tn• fit a ces me&Sirurs un accueil aimablP, :iiÏnti·n'~~a a la 'i(• communa)i\. ~ l'hy· giène, Jux eau"t alinw11lair1~s. au'\ cgoub, ek.

Au bourgm.-,tre, il po,.., ~udquf'S qu'!<'lion~; « U>s eau> ~nt-elles puN·•, de lionne q1rnli1" '! \'ont-elks pas lait d/>foul durant la prnorlt· de s•chrre,...c d,, 1!l~:l '! » tes réponses sa1i,fa1,an!Pt> d11 ma,rur 1111 '~lr:nt tles !èlicilallons. d'ailleu1 s nwnlre<, •'l le n1hi1>tre pa>« au rrm. mandant de la place. Cqwndant que le pumier magistrat di: la cil" >ccane du irroupe >'l ent:Jge """ comer~ation 3 roix ba.._~ :'l\rC UO fM'.'r"OnmtgC" de ln SUÎIP mini~ térielle:

- Et 'ous. ma1or, o!l•«-rnu< satis!•Ît de \Oire lieu de garnison ? L<t; homn>''l' sont-11;; birn log~ ? Entreliennent-1ls de bons rappor ~~ awc la population ~ La silu•· lion sanitaire est-elle oonne ! . •

Le commandant de la plan· ,pJdM· .:omme il con,ient les mérite; et les o\anlages J<' la ,·ill•. eu in>istant particulièrement sur le rait que. d~pui' l';1rri1·é<- de :<Qn bataillon, aucun C3s de maladie \ènn1onne n'a cnrore ,;te coMlatë parmi se< wlda1-.

- Oh ! oh ! mais c°e•l lrh bien ! fait I~ mini-Ire. cl je ~ous Wicil•', major ... mai.•. n'r•l·"" pa•. c'est sunoul le bourgmt>!'lle qui mèri1, M• rt1liri•.1tion< p<>nr ,...,; admiolstr~?

Se tournant .lors 1·er& C•' det nier, 1oujo111, t11qa~,; 1lJns Ea con\'er!ation ;

- .\loru;ieur le i>ourgm•,tre. i• \'Oiis l•liritc : r'est Ires Dalleur pour la \ille cc que j'apprends ...

Et le bourgmcsln', intl'rloqu/>, 1'1'0)3111 qu'il s'agit IOU·

jOlll's des eau<, dans un smriri> beal. i!i> r~pondre : - Oui, je Ir• fais anal)~r. llon•ieur Ir minÎ5tre:

chaque semaine, ell«s ~ont anahsrr' On ne !'ennuya pa«. ce soir-là. d,1r, 1!'6 ra l•s du pa·

telin ...

Tea Room de la Royale

TUE D\\~\\T lt$ ttcrcrcdi. 1 t11dredi,

Somtdi r.t D1manrhr ORŒESTRE J\ZI.

d• premier ordre.

E..prit ministériel et roumain

Le Premier tk Roumanie. }). Bratiano, 11•1lant le llusec colonial de Tenueren, ~ous la condu1lr d<' l'nimahle et di!erl }l. de Raulk1·illP. lui d11 F•udnin :

- ~f. le com:en·3Jt·ur~ Î•" VôÎs dans Ct'tl• .. \llnM un,' l'lant.. dont je von• prie de n~ jamnis tnvo~·•r de graill(> d<>ns mon pays .. .

La plante en qurslion s'appelait: 1· « a\ocalier ». TI par;\lt que la Roumanie (<'!rani<• pay<). troll\e qu'rll~

a ~i d'avocats !

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Le français en Allemagne occupée

Le chau\'1nll'me el l'esprit rr,·anrhard d•~ Boche, n'•n• p~rhe pas les b"tro. ue 1'..\ll•ma~ne occupt~' de !air• de louables e!!orts pour parkr le ha1wi"· Ce> f'!forb ne ~nt pas toujours rouro11n .. ; de succ .. s. Î1'mo1n c•lt< alhchettc lu<' à Cobl•nce :

On parle rr•net RE ST \ t: R \ ST 1 )! Il 1 E R ST \ L 1.

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Pour développer notre mémoire

La m•mo1re. on n~ >,tit pourquoi. p•·'" g .. 111•r•lrm•nt pour une laculli• d'ordre i11li-ricur. On 1lil .-umrn•m<'•Mnt: jl" n'ai pas dE" rni·moi1••; Jtt·1 ... 1utOl· 11" .. ·a,1::-t't·~ j.unais cl .. tlÎ1•"': jf" raisrmne ct>rnrw· UllP 'J\;il1·. Et n•pcmfont. (fUamJ on ,. n•fliochit, la 1111'ruoue c<t la f.tcult•' • -><·111idl0 • l.1 mahète de tout• c·u11~1ructiou 111<nl.1le. C'e..l rr q11 • 1l1·mon-1rc-. 3\('C Ulle \"t'.'rH' for J ~lffill';Ullr. \Ill 8,•Js?., 'Jtlt plofci~'e au Consenufoirt" tif'\ \unfr,.-::. \{. f~f'.lorg .. ~ \1r.

M. Georges .\ri s'c<l mis rn li·I,. de r,,h .. bilil<'r la niemoirc iuju•lcment ntlgli!!•"' p;ir no< p1•da11ogue< N d'rn donner d

1·eu\ clc 'es contrmporaiu' qni ('H man1pwnl. li ~'rsl alldé ;, reltr 1.ldw a\Oc le dr\nlH'll1''11t d'un ap•\lre. Il Hnt dM· ner de la mPmnifr au'\. ;f"n~ 1·onimc J,.s n~tll"" dPmoi· ~Plles d'autrefol:t \c1ula-('nl "'tHl\ï'r lP~ p<'lit~ t hrnois et t"omm1 <IE> 'ertutit~ 11h1l ~11t••11•pes 'en lent !l'-Ht'IJrÏmPr la pro•titu lion. \ e riet pn<. 1 'r,l J\-er rell1' rloucc oh>tination qu'on arme 3 quelque rho~e. Il no panicndra pa<, san~ rloutt. à donner rlr l(l mPmolr<' au~ tap-Nn~. niais 11 arnH•r:. ;\ eu rlonnPr ;1 rt11\ 1p1i lrnl•"nl hien '11irre s~ mdhodf'. an·r· I~ mt!rtw foi qui1 Ir~ di'.",·J-pl.,1:. du tlocl•'ttr Cou~ suÎ\ent la sirnnr. !'elle rn<'tho.t,., il l't\pO>P tians un IÎl'rc qui se lit. <l':iille111<, a\N plai<it· {f'1uir JnrfqJ)Jl'r 11Qtre mémoire; n Pa;i:o. rh1~z () IJ!!tt1l~~). l.1,~1.Jr. au~i hi•n si ,·on< ronln M\'Pllir rh.111lf·ur 11• ''"j •t eonnaitr~ toutr5- Ir~ n•~' di! Rr11\rll1·'· 1p1c ~i \'QUl!I tll~itt~i nlrnir UH r1llP, ou. tri _\I. Pohti\O, f'ill'f 11.rn ... rotfltP toit~ lrs ll':1Îlt1S qui ont ffê condu.;: deruis. rinqu:lnt.\ nn ...

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Il p•r.ut '{UI! ··:t-lti J 1ru11~ l·11t pour t11t'<Ht~. c1:l t:lt•, uw• t·rr,Je ,J,. \·ill.i_t:r!' ,1u JJr;1L.1111 \\,ilion. Ct>tt•• apnl~·nuJ1 .. Jj. 1( f,tisa1' Ill'~ rho1u1l, UJ11• dtdh1ur \laimrnt 1·\fvJJÛ4JU-

11rl1,• (Hm ... t••':lcz. mQn ,e;1~ur ?). La rJ;1 ... ~t' S(irnnM~il· l.t.11: •a ~IJIUlfUC" faa .. rut 1ll \.tm~ effort-- pour 111arnt• mr •u t'\• Il 1 alf• nhun Jes tnbnl". r out a rouo, un rir.: fu .. c cl ""' cumu.uniqi.e ~ Mule I• d .-e. lad.rnè d'ahord, k 111;dtrt" û u.ok tuurtJ1• la l~le t-I ~pert:oit un Ane qm, a~ant (•t"'Ot'lh 1IJ"" la cour. p:l•~;u1 ~3 1t-1"" p3r la f~niilil'. L'Ck:· '.1~1011 dMI ftonn~ pour r~\ l'!llf'r la clas~<' t11tformie : Hl 1111 111~q .. 111, l11ul l<• 111w11f;• r•r 1lrhnur 1..-.ur (tr.nrwr ln rl1.\S'-e ~ 111.11ire .\ltl.01011.

l)ua11J 1<>111 fu1 1 1111 ,. 11~ < l'.,rJre. Jïn•t1lulor, ~ui ~ r, pr.l tl'at·pn.1p<"•~. 1m. 01113 ":, donner cf't rn u!t nt omuw• ujel •i~ r. 1l.tc:•1on a "' ~ • .t\ ... l.:un J·, us. qui

p c:~11 pôttr Ml une 4 If fu11 t'n un w .. tar.1. \'olri <..,. l li l <Ill :

l"rJi/011,

1 • ~11h .• 1 ur. 1hl-<i11, 11' pa1; t•U I•' roi r3~r dr puuir Jtlll~ hurnun •I ...

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\ l;~rlam momtut. on \tl. ~\Jr "1" root 1fw1 11:..\ue, <le ,~Ull« tl b111l.mb vllici~r$ de 111an .. · -~ 1'f•·c1v11anl à IJ tt11rc1nlrt' de leur c:11n:n,11l1• lt·Jn J'..\!!rê\'~.

1.nlm, (tl \OJl~t. l.i1 lu--tir !b i·n 1aicnl-JI .... L.1 11.1dw 11011 füuu::irnJp ~ •• l'• lit> r\rl.un;itinn rit rdJIN'

li• 1 H•' 111111~ la. ... ,.11,·. 1 J \Ot• i: M \\ri ! \\ .... J ! !'lld.;1 mrr1l ! n I.e k111ltrnJÎ11. '"' 1J j>l3ge. pa1 mi le. m1eclÎ\<6 c<>r·

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11 Il., faJl~ 1-t fllffo . .:Ul de chtllHU Je f~ï. tu uou J•r<:>h ·>IUr• Je l'en,è1gnem<nt IDO!<D - tt oous ~1endln11":

973

- AHz-10US, dit un d.,.. ~rok--~» cooou ce c prof • de phil_.~hit> morale d'unt de ll(b uni1ei~iks. qur a1a'1 cc.ulurne d'i11augurer >On \'OUI' eu avertissant l'audiloirc ']t1'il J,. d11i<c1Jit (I~ rour') •·11 lloÎ• mo1tiès '!

- C'c~l. ri·pomlit un a11lri• ck .. \•)~a~eun-., le mt\mc q ... 1 1llu,lrOll ~~ IJrioùrÎt,; par 1'1 \elnple >UÎîJOI; • J'ai IUt! u11 hètrc; J•' le md- Jans rnon •3C : en a1Tl\11nl • la mai-on, Jt m'aper~o1> que 1'•1 l•r• un ho;mm•. E•l-ce IJUe je suis coupable ? "

- F.nnt.·U\ lapin : dit 1-e- Ltuz:.tcm,.. L.! 1•rr111itr r.·pril :

t'11 •ulr• prok%t·ur J< l".·r1-e!gnc111c11l 1110)<11

nlui~1·1, 1•l:rnt 1111 jour rn r11011u·uatlt• cc didactiqu•• ~, av~c <a rf.-.r, ~[.C..lro11h.1 tl<' f,1 f.11 "n ><IÎ\3.lllè UO i:f1'1e qu.i ~U.1\dll 1·11 Lêran~: t< Vot.:s, M \OU ... nou~ <-UÎ\U tncof' ;l\ C :olrr madu~. Ît' \ 11< f1 lt Ui Il la porl•• if• l"<'xrur !'lOn • •

- Je 1'a1 COllDU, fil J, kWJtJ ; c·œl Je rnêm• qui don riJil fi dounè r11Cu1..-. c:om1111• pu11it1vu : .c ... \'ou~ oopie re1 1r·o11;; foi§ ,,. ~~e:,lt'•rn,,. 1l1~nllf 1lu Jhrf'> tu ooulrur$ 1. •• l

Fablea-exprua militaires

tn JOUI 4 rf. .. CU.rt lfh" ,HJI jof1.t l'ou'"'l J .. , rri.s Je joie; un chambellan rageur

11· rnt1nd1· : « Q11'y a-1-il • " Oh! ri•n " d11 le ~ignt1Ur, llurulité:

L'1nf3nkrie. ???

Jleu' offic1•:• dïufanlui~ Ch(•\ttUcha n~ un be:tu j<•Ul' ile OlJÎ. 1'1,. nom' tl • 1'11n tir< 1l~u\, 4u• lun ch<>al t>l gai!

l/oralit1': La c11•ali·rie.

97i

ANTICIPATIONS

Les statues futures ou ... ima~inaires ~ uus rn ai-or r<nl o 1 et urs: Pourqi.

P3;1111'c t pns 1111 1ouuinl 1C1n/11r11"'"""'; 11 fLll , artua lite auc 11nt /anta ic suu1mr parr t t. 1/111, 'il trait lt pr '<ni <I lt pos 1 1 dUa 11 du ph1/rr iopl~. 1/ Ùnl< < au I r. I.e p hltr al/a 1 t à Io récfuclton. ne rrculan..t. Jrt nt a11n1n 1nr:n'[irt, 11cnt lf, (wc fauquui1io11 1J'11ne Jr , 4 r /11nrs à 1rplortr Ir ttmps. dont JI dû pnt rc le br a. lit 1a J rcmilrr un.r11on daru lt futur, tl r pp te une l'O/lrcl1on de jo11ma11z: /.ru //ou de /"an rn:; • Q' """' [crans "' tunP' en tnn •• d 1 c •up

L'inauguration de la statue de M. Léon Delacroix

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· •m&nti d &o)oard'hiù. !>dm d ute. j •t ~· lw Rprochtr 1•dw d'aTQiÎr 11ru qaelque. rneauttt tinau::.era imprudent , commt la repr1w de. m~rk~, qui noua tnd+c!t.1.1 d~ bult m.lharrls, ow d'a"otr 1\'pré-ente oe GGe J°ap1»lais un~ potibqut J'abdicat1on ma a Io pau4i ~t le pauL Il a ttprk•nt6 1 F.ut, d A to l.ltt tom re x qm rtprHt.nWrJ. l'Etat ~ L'!tOOtrt..nt &U.'t h ~gn qui lui fh' nndu

Discourt de M. Henri Jaspar. au nom dea camaradu de Lophem

Apres I• discours, Ire' 01•pl 1u•h. 1lu lhcf Ju i:ou>ernl'rntnl, \I. Il· nri J~ pnr ! a\U111.~ de\Dnl le 11wnu111~111. L appant1on de a. th l~te ' n rab! • auriolë.: d unt c..u· run~ dt Cbe\eUl b •DCS, produit • 1 1'0,,.1 lance ueç ampr<) 1011 prolon1le.

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