Avis Technique 16/13-664

Mur

Wall

Wand

Cicabloc Titulaire : CICCARELLI GIANFRANCO

Zone Industrielle Les Brosses Chemin de Savoyan FR-38540 Heyrieux

Tél. : 04 72 22 09 07 Fax : E-mail : g.ciccarelli@cicabloc.com

Usine : CICABLOC INDUSTRIE Zone Industrielle Les Brosses Chemin de Savoyan FR-38540 Heyrieux

Commission chargée de formuler des Avis Techniques (arrêté du 21 mars 2012)

Groupe Spécialisé n° 16

Produits et procédés spéciaux pour la maçonnerie

Vu pour enregistrement le 26 juillet 2013

Secrétariat de la commission des Avis Techniques CSTB, 84 avenue Jean Jaurès, Champs sur Marne, FR-77447 Marne la Vallée Cedex 2 Tél. : 01 64 68 82 82 - Fax : 01 60 05 70 37 - Internet : www.cstb.fr

Les Avis Techniques sont publiés par le Secrétariat des Avis Techniques, assuré par le CSTB. Les versions authentifiées sont disponibles gratuitement sur le site internet du CSTB (http://www.cstb.fr) CSTB 2013

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Le Groupe Spécialisé n° 16 de la Commission chargée de formuler les Avis Techniques a examiné, le 28 mars 2013, le procédé spécial de maçonnerie CICABLOC présenté par la Société CICCARELLI. Il a formulé, sur ce procédé, l'Avis Technique ci-après. Cet Avis a été formulé pour les utilisations en France Européenne.

1. Définition succincte

1.1 Description succincte Le procédé CICABLOC® est destiné à la réalisation de murs par empi-lage de blocs à bancher, fabriqués à partir de matières plastiques recyclées, avec un décalage d'un rang à l'autre. L'ensemble est ensuite rempli de béton de granulats courants. Les murs ne sont généralement pas revêtus. La gamme comprend des produits de 20 et 30 cm d'épaisseur.

1.2 Identification des produits Les produits sont conditionnés par palettes comportant une étiquette indiquant la dénomination du produit, la date de fabrication et le nu-méro de lot.

2. AVIS

2.1 Domaine d'emploi accepté Le procédé CICABLOC peut être utilisé pour la réalisation de murs de clôture, desoubassement, de murs enterrés de locaux de catégorie 3 au sens du DTU 20.1, , de gros œuvre de bassins ne nécessitant pas la mise en place de revêtement adhérent, et de murs de soutènement. Le procédé est destiné ni à la réalisation de murs d’enveloppe de bâtiments, ni à la réalisation de locaux soumis à exigences réglemen-taires en matière de thermique, d’acoustique ou de résistance au feu.

2.2 Appréciation sur le procédé

2.21 Satisfaction aux lois et règlements en vigueur et autres qualités d'aptitude à l'emploi

Stabilité La stabilité des murs réalisés à partir de blocs CICABLOC est normale-ment assurée dans le domaine d'emploi visé et dans les conditions de mise en œuvre précisées dans le Dossier Technique et le Cahier des Prescriptions techniques ci-après.

Sécurité incendie Le procédé n’est pas destiné à être utilisé pour la réalisation d’ouvrages devant satisfaire à des exigences réglementaires en ma-tière de réaction ou de résistance au feu.

Isolation thermique Le procédé n’est pas destiné à la réalisation de murs d’enveloppe de locaux chauffés. La résistance thermique des parois peut être prise égale à celle d'un mur de même épaisseur en béton de granulats courants.

Isolement acoustique Le procédé n’est pas destiné à la réalisation de locaux devant répondre à des exigences réglementaires en matière d’isolement acoustique.

Etanchéité des murs Les parois en éléments CICABLOC ne sont pas réputées étanches à l’eau. Les ouvrages pour lesquels des exigences d’étanchéité sont requises doivent comporter un revêtement élastoplastique rapporté.

Prévention des accidents Lorsque les murs ne sont pas contreventés par des raidisseurs suffi-samment rapprochés, reliés par harpage ces murs doivent, en raison de leur relative instabilité, être étayés lors de la mise en œuvre.

Finition - aspect Les murs sont destinés à être laissés apparents.

2.22 Durabilité - entretien Les matériaux constitutifs du mur ne posent pas de problème de dura-bilité intrinsèque. La solidarisation par le béton de remplissage appa-raît satisfaisante et les essais de comportement global effectués sur maquettes n'ont pas mis en évidence de problème particulier de rem-plissage ou de déformation excessive des faces de parement. La dura-bilité ne pose pas de problème autre que celui des parements extérieurs associés.

2.23 Fabrication et mise en œuvre La fabrication des panneaux en ABS est réalisée dans une usine spé-ciale qui fait appel à des techniques d'injection de matière plastique couramment utilisées par le fabricant. L'empilage à sec ne pose pas de problème particulier. Il nécessite le réglage au niveau du premier rang et une vérification intermédiaire à mi-hauteur d'étage; le bétonnage sur la hauteur d'étage nécessite des précautions pour garantir un remplissage satisfaisant. Le titulaire de l'Avis Technique est tenu d'accorder son assistance technique aux concepteurs de bâtiments qu'il est prévu de réaliser selon ce procédé ainsi qu'aux entreprises, notamment au démarrage des chantiers.

2.3 Cahier des Prescriptions Techniques

2.31 Prescriptions de conception Le titulaire du présent Avis doit apporter son assistance technique auprès des bureaux d’études prévoyant l’utilisation du procédé (diffu-sion de l'Avis Technique, respect des prescriptions qui y sont atta-chées, ...).

2.311 Murs chargés verticalement Pour ce qui concerne la conception et les justifications correspondantes de résistance des ouvrages, on doit appliquer les règles de calcul données dans le BAEL ou la norme NF EN 1992-1 en considérant que ni les éléments de coffrages ni les entretoises ne participent à la résistance en compression des murs. Du fait de la présence des entretoises, la section résistante de béton doit être réduite de 15% par rapport à la section totale des murs.

2.312 Murs soumis à des charges hors plan du mur Les murs soumis à des charges hors plan du mur doivent être munis de raidisseurs horizontaux et verticaux pouvant être constitués d'ar-matures introduites in situ dans les blocs CICABLOC, et disposées selon une trame adaptée à la configuration des ouvrages à réaliser. Le dimensionnement de la structure en béton armé est à réaliser selon les prescriptions du BAEL ou de la norme NF EN 1992-1 complétées pour ce qui concerne : les bassins, par les règles contenues dans le fascicule 74 CCTG

« construction des réservoirs en béton » ; les murs de soutènement, par les règles contenues dans le fascicule

« ouvrages de soutènement Mur 73 » du SETRA. Pour les murs de soutènement, une étude de sol doit en outre systé-matiquement être réalisée pour chaque projet.

2.313 Utilisation en zone sismique La possibilité d'incorporer des armatures horizontales et verticales peut permettre l’utilisation du procédé en toutes zones de sismicité moyen-nant une justification du dimensionnement sous actions sismiques.

2.314 Calepinage Les dimensions, tant horizontales que verticales des ouvrages doivent être si possible multiples des modules propres au procédé afin de simplifier l'exécution des points singuliers.

2.32 Prescriptions de fabrication et de contrôle Les blocs doivent être conformes aux dessins figurant dans le dossier technique et présenter une résistance en traction des entretoises supérieure à 250 daN. Un étiquetage informatif permettant d'identifier l'usine productrice doit être apposé sur les palettes.

2.33 Prescriptions de mise en œuvre La mise en œuvre doit être conforme au DTU 23.1. (sauf en ce qui concerne les armatures de peau qui ne sont pas nécessaires ici) et aux conditions figurant dans le dossier de travail, notamment en ce qui concerne : la stabilisation en pied de mur ; les réglages de niveau du premier rang et les réglages intermé-

diaires si nécessaire ; l'étayage éventuel afin d'assurer la stabilité en cours de montage ; la qualité du béton de remplissage utilisé (consistance, granulomé-

trie) ;

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les précautions visant à limiter la pression du béton sur les parois des blocs.

Dans le cas de murs soumis à la pression latérale des terres, il con-vient de prendre en outre les précautions nécessaires visant à s'assu-rer du positionnement correct des armatures verticales et de l'enrobage de ces dernières : Positionnement des armatures horizontales dans les logements

spécialement prévus à cet effet ; Positionnement des armatures verticales à 2,5 cm au moins des

charnières ; Positionnement des armatures verticales ligaturées côté intérieur

par rapport aux armatures horizontales ; Coulage sur demi-hauteur d’étage. Le titulaire du présent Avis doit apporter son assistance technique auprès des entreprises prévoyant de mettre en œuvre le procédé (diffusion de l'Avis Technique, respect des prescriptions qui y sont attachées, ...).

Conclusions

Appréciation globale L'utilisation du procédé dans le domaine d'emploi visé est appréciée favorablement.

Validité Jusqu’au 31 mars 2016

Pour le Groupe Spécialisé n°16 Le Président Eric DURAND

3. Remarques complémentaires du Groupe Spécialisé

En l’absence d’éléments spéciaux, les points singuliers tels que les angles, jonctions en té et extrémités de murs doivent être réalisés par découpes d’éléments courants et utilisation d’éléments de coffrage additionnels. L’attention est attirée sur le fait que le système de clipsage des arma-tures horizontales conduit à un enrobage maximal de 2,5 cm de ces dernières, ce qui peut constituer une cause de limitation du domaine d’utilisation du procédé. Les études de sol demandées ici ne sont pas propres à l’utilisation de ce procédé particulier, mais constituent des pratiques nécessaires à une bonne conception des ouvrages de murs de soutènement en général.

Le Rapporteur du Groupe Spécialisé n°16 Nicolas RUAUX

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Dossier Technique établi par le demandeur

A. Description 1. Principe et domaine d'utilisation Le procédé CICABLOC® est destiné à la réalisation de murs en béton armé par empilage de blocs à bancher, fabriqués à partir de matières plastiques recyclées. Le procédé consiste à assembler des blocs coffrages à joints verti-caux décalés. L'assemblage se fait par crabotage lors du dépliage et de la mise en place des blocs. L'ensemble est ensuite figé par rem-plissage à l'aide de béton. Les domaines d'emploi cités ci-dessous sont illustratifs et non forcément exhaustifs des possibilités qu’offre le procédé CICABLOC®: Murs de clôture ; Murs de soubassement ; Murs enterrés de locaux de catégorie 3 au sens du DTU 20.1 ; Gros œuvre de bassins ne nécessitant pas la mise en place de

revêtement adhérent ;

2. Murs de soutènement. Matériaux et éléments constitutifs

2.1 Gamme des éléments La gamme est disponible en deux épaisseurs différentes (20 et 30 cm) pour une hauteur (20 cm) et une longueur (60 cm) communes. Le CICABLOC® est un bloc dépliable composé de cinq éléments, deux éléments façades et trois éléments charnières, le tout pour un poids maximum de 2,5 kg. Les éléments façades sont identiques pour les deux épaisseurs. Les éléments charnières sont différents pour chaque épaisseur (voir les figures A, B et C).

2.2 Fabrication

2.21 Matières premières Le CICABLOC® est fabriqué à partir de matières plastiques recy-clées anti-UV. Cela peut être du PVC , du Polyamide, de l’ABS ou du Polycarbonate.

Hygiène et Sécurité :

Rapport ND 2097-174-99 de l’Institut National de Recherche et de Sécurité. Eléments présents dans les fumées de combustions : Monoxyde de carbone, Dioxyde de carbone, Hydrocarbures aliphatiques, Mono-mères, Nitriles, Ammoniac, Cyanure d’hydrogène, Bisphénol A, Aldéhydes et Chlorure d’hydrogène.

2.22 Fabrication Le procédé de fabrication du CICABLOC® est l’injection/compression. Cette technique est une variante de l’injection plastique traditionnelle. Après injection la matière plas-tique est comprimée dans le moule. Ce type de fabrication garantit une bonne tenue dimensionnelle (les cotes théoriques sont tenues à +0% -1%). Un contrôle géométrique des éléments n’est donc pas nécessaire. Afin de vérifier les caractéristiques mécaniques du CICABLOC plu-sieurs contrôles sont effectués au cours de la fabrication et définis ci-après. Après fabrication des différents éléments, ceux-ci sont assemblés, palettisés et stockés (voir les figures D). Le délai de livraison est fonction de la cadence de production et des stocks. A ce jour une usine fabrique le CICABLOC® : CICABLOC INDUSTRIE, ZI les Brosses Chemin de Savoyan 38540

Heyrieux

2.3 Contrôles

2.31 Contrôle matière Un contrôle est réalisé à chaque lot de matière réceptionné. Ce contrôle consiste à caractériser mécaniquement les lots avant régénération. Ces essais sont réalisés sur une éprouvette de trac-tion. Toute matière ne respectant les seuils minimums est alors

écartée (voir les figures E). Ces seuils sont de 2000 MPa pour le module élastique et de 40 MPa pour la limite élastique. Ils ont été déterminés à partir de simulations numériques et vérifiés à partir d’essais pratiques. Avec ces caractéristiques, le CICABLOC® résiste à la pression exercée par le béton tout en limitant sa déformation. Les données de pression ont été déterminées suivant une méthode décrite dans le manuel de technologie «Coffrage» du Conseil Inter-national du Bâtiment [4.11].

2.32 Contrôles sur éléments Un essai de résistance est réalisé sur les éléments charnières (voir les figures F). Le prélèvement des échantillons ce fait directement sur la ligne de production. Cinq échantillons sont prélevés à chaque changement de lot de matière. La pression exercée sur les parois internes du CICABLOC® est de 62500 Pa soit 2500 N par charnière. Toute charnière ne résistant pas à un effort de traction de 2700 N est considérée comme non conforme. La matière étant déjà carac-térisée, ce test n’est que vérificatif.

3. Mise en œuvre

3.1 Montage des trois premiers rangs

3.11 Support Les murs sont érigés sur une fondation en béton traditionnel propre à l’ouvrage à réaliser. Ce support doit être horizontal et plan. L’espace disponible à l’intérieur du CICABLOC® permet d’intégrer des attentes verticales émergentes de la fondation (voir les figures G).

3.12 Montage Le montage se fait rang par rang comme décrit ci-après (voir la figure H). Après le montage du troisième rang, la rectitude et la verticalité du coffrage sont contrôlées et réglées à l’aide de calages si nécessaires.

3.13 Scellement Afin de sceller les trois premiers rangs, le coffrage est rempli sur 10 à 30 cm de hauteur de béton vibré. Au besoin, les extrémités du montage sont coffrées de manière traditionnelle. Cette étape de scellement détermine la bonne tenue du mur au remplissage, il est donc conseillé de contrôler de nouveau la rectitude et la verticalité du montage. Il faut s’assurer que la partie supérieure des CICABLOC® n’a pas été souillée par du béton afin de ne pas gêner la reprise du montage (voir la figure I).

3.2 Montage de la partie courante La poursuite du montage ne se fait que lorsque le béton de scelle-ment est figé (12 heures environ). Les blocs sont alors simplement crabotés les uns avec les autres comme décrit ci-après (voir la figure H). Les rangs successifs sont montés en escalier, c’est-à-dire avec un décalage d’un demi-bloc. Le décalage se fait par simple découpe d’un bloc (voir la figure J). La nature du matériau du CICABLOC® permet d’effectuer cette découpe avec la plupart des outils courants comme les scies ou une meuleuse équipée d’un disque de découpe. Lorsque le raccordement est inférieur à un bloc, l’espace est rempli, soit par la découpe d’un bloc, soit par le béton de remplissage en coffrant à cet endroit. La hauteur de montage des blocs avant coulage est limitée à une hauteur d’étage (voir la figure K).

3.3 Réalisation des angles et jonctions en Té La réalisation des angles et des jonctions en té se font par une découpe d’onglet des blocs à l’agencement désiré. Un sur coffrage traditionnel est mis en place afin de soutenir les singularités (manques de charnières) créées (voir les figures L).

3.4 Remplissage

3.41 Qualité du béton de remplissage Le béton de remplissage est un béton de granulats courants d’environ 20 mm (dosage minimal 350 kg de ciment au m3 ou de classe B25), de consistance S3 au sens de la norme NF EN 206-1 et vibré.

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3.42 Hauteur de coulée Le coulage peut être effectué sur une hauteur correspondant à une hauteur d'étage courant (2,5 mètres). Aucun étayage n'est néces-saire En cas de reprise de l’ouvrage après coulage, il est nécessaire de laisser un dégagement suffisant pour permettre de craboter les blocs lors de la reprise (voir la figure K).

3.43 Remplissage proprement dit Le remplissage est effectué de préférence à la pompe à béton : pompe à débit réglable et bras articulé. réduction rigide (de 100 à 65 mm sur environ 1,50 m de lon-

gueur) prolongée par un tube souple (d'environ 4 m) muni à son extrémité d'un obturateur.

Le remplissage s’effectue par un va et vient d’une extrémité à l’autre du coffrage en passe successives d’environ un mètre et à une vitesse de coulée n’excédant pas 2,5 m/h, chaque passe est vibrée si l’ouvrage contient des armatures (voir les figures M).

3.44 Mise en place du ferraillage Les fers d'armature sont mis en place rang par rang à l'avancement du montage. Des éléments de fixation sont présents sur les char-nières afin de disposer correctement et rapidement les fers horizon-taux (enrobage minimum de 2,5 cm). Les fers verticaux sont attachés à ces derniers à une distance minimale de 2,5 cm des charnières (voir la figure N et P). Le calepinage et les sections d’armatures sont déterminés par un bureau d’étude.

3.5 Revêtements Les murs sont généralement destinés à rester apparents. Pour la mise en œuvre de revêtement d’habillage à fixation mécanique par l’extérieur, il convient d’assimiler l’ouvrage à un mur traditionnel en béton.

4. Distribution et assistance

4.1 Distribution Le CICABLOC® sera mise en vente dans différents points de distri-bution, tels que les magasins spécialisés dans le négoce de maté-riaux.

4.2 Assistance technique

4.21 Site Cicabloc.com Ce présent document fait office de notice de pose, il est en télé-chargement libre sur le site http://cicabloc.com (site en cours de construction). Des coordonnées de contact sont également dispo-nibles sur ce site.

4.22 Formation et information Sur simple demande une journée de formation ou une assistance directe sur chantier sera mise en place pour toute entreprise dési-reuse de mettre en œuvre le procédé CICABLOC®. Toutes les coordonnées seront disponibles sur le point de vente et le site internet.

B. Résultats expérimentaux Essais de tenue des entretoises, de tenue du coffrage au coulage et d’enrobage des armatures Rapport d’essai CSTB EEM 12 26036693 du 25 janvier 2013

C. Références Plusieurs centaines de mètres de murs de soutènement ont été réalisés dans le département du Rhône.

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Figures du Dossier Technique

Figure A-01 : CICABLOC® de 200 mm

Figure A-02 : CICABLOC® de 200 mm plié

Figure A-03 : CICABLOC® de 200mm perspectives

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Figure B-01 : CICABLOC® de 300 mm

Figure B-02 : CICABLOC® de 300 mm plié

Figure B-03 : CICABLOC® de 300mm perspectives

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Figure C-01 : Charnière 200 mm

Figure C-02 : Charnière 300 mm

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Figure C-03 : Façade Gauche

Figure C-04 : Façade Droite

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Figure D-01 : Palettisation

Figure D-02 : Identification Palette

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Figure E-01 : Eprouvette de traction

Figure E-02 : Essai de traction

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Figure E-03 : Courbe de traction

Figure E-04 : Fiche de caractérisation matière

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Figure F-01 : Axe acier de traction

Figure F-02 : Essais de résistances des charnières

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Figure G-01 : Fondation

Figure G-02 : Espace disponible interne

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Figure H : Montage d’un CICABLOC®

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Figure I : Scellement des 3 premiers rangs de CICABLOC®

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Figure J : Découpe d’un CICABLOC®

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Figure K : Coffrage en bout de mur

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Figure L-01 : Sur coffrage des angles

Figure L-01 : Sur coffrage des jonctions en Té

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Figure M-01 : Coulage – première passe

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Figure M-02 : Coulage – deuxième passe

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Figure M-03 : Coulage – fin de remplissage

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Figure N : Mise en place des fers d’armature

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Figure P : positionnement des fers d’armature

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