métier traditionnellement masculin AMBULANCIÈRE
Transcript of métier traditionnellement masculin AMBULANCIÈRE
NOM
Francine Ouellet
EMPLOYEUR
Coopérative des Paramédics du Témiscouata, siège social à Notre-Dame-du-Lac
FORMATION
Attestation d’études collégiales en soins ■
préhospitaliers d’urgence, formation continue du Cégep de Rivière-du-Loup
NATURE DU TRAVAIL
Les ambulancières et le personnel paramédical donnent des soins d’urgence préhospitaliers aux patients blessés ou malades et les transportent au centre hospitalier ou vers d’autres centres médicaux pour des soins plus poussés. Elles travaillent pour des services ambulanciers privés ou des coopératives, sauf à Montréal où Urgence-Santé est un organisme gouvernemental.
TÉMOIGNAGE
Le désir de devenir ambulancière est apparu soudainement, lorsque j’ai vu sous un autre jour une ambulance stationnée en arrière de ma résidence. À cet instant, j’ai eu un coup de foudre pour la profession et ma décision d’étudier dans ce domaine était prise.
Ce métier est gratifi ant. Savoir que l’on fait une différence en aidant quelqu’un ou en le rassurant est merveilleux. Par contre, le stress que le métier engendre n’est pas facile à évacuer. La conciliation travail/famille est aussi un aspect diffi cile à gérer, en raison des horaires variables, car on est toujours en situation d’attente de recevoir un appel.
Chaque appel représente un défi différent. Nous travaillons en équipe, et ce n’est que rendu sur les lieux que l’on se divise le travail. Il se peut que notre partenaire ait une meilleure approche avec le patient. La dynamique homme/femme est intéressante. Les femmes semblent plus minutieuses et elles peuvent plus facilement approcher certains types de clientèles. L’inverse est aussi vrai. Nous sommes complémentaires dans notre travail.
TÉMTÉMTÉMTÉ OIGOIGOIGGNAGNAGNAGNAGEEEE
LeLeLeL d ddésésésiririr dd d de e e e dedededeveveveveamamama bububulalalancncnccièièièièrererere e e e estststst a a asososos udududaiaiainenenemememementntntnt, , , lololorsrsrsqqqsosososoususus u u un nn n auauauautrtrtrtre e ee jojojoururur u ustststatatatioioionnnnnnnnéeéeéeée e e e en n n arararririr èrère e dedee m ma a rérésis dedeencncnce. À À À cecececet t t t ininininststststananant,tt j jj’a’aai i eueueu u unn cocoupupp d d de e e fofoudududre p p pour r
eeeenininir r raaaapppppparararu uuu ququq e e j’j’aiaia v vu uuunene a aambmbululanananceccee ee dedee mmaa rérésisidedeencncnce
AMBULANCIÈRE
CNP 3234 Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Répondre aux appels d’urgence et se ■
rendre sur les lieux.
Prodiguer les premiers soins et évaluer la ■
situation médicale du patient pour en faire rapport à l’établissement hospitalier.
S’assurer du bon fonctionnement du ■
véhicule d’urgence et des équipements médicaux.
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Apprendre l’anatomie et comprendre la ■
nature humaine.
Relever des défi s et être fonceuse. ■
Créer un contact avec les gens. ■
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Empathie pour créer plus facilement des ■
liens avec les personnes en diffi culté
Sang-froid et facilité d’adaptation ■
Connaissance du corps humain ■
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Collégial
Diplôme d’études collégiales en soins ■
préhospitaliers d’urgence
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
Le revenu annuel moyen était de 55 000 $ dans ■
la région en 2005.
Avec le vieillissement de la population, la ■
demande pour les soins de santé va augmenter et devra s’orienter davantage vers la clientèle des personnes âgées.
CNP 3234 AMBULANCIÈRE
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Chantal Lemonde
EMPLOYEUR
Les Viandes du Breton, Rivière-du-Loup
FORMATION
Diplôme d’études professionnelles en ■
boucherie de détail, Pavillon-de-l’Avenir, Rivière-du-Loup
NATURE DU TRAVAIL
Les bouchères industrielles préparent de la viande et de la volaille en vue de leur transformation, de leur emballage ou de leur vente. Elles travaillent dans des établissements d’abattage, de transformation et d’emballage de la viande et de la volaille.
TÉMOIGNAGE
En débutant ma formation en boucherie, je savais dès le départ que le travail en abattoir me rejoignait davantage. J’ai toujours eu de l’intérêt pour le domaine de la viande et le travail manuel. C’est lors d’une journée portes-ouvertes dans une institution scolaire que mon choix de carrière s’est confi rmé, me poussant à terminer mes études secondaires pour atteindre mon but.
Ça n’a pas toujours été facile, je manquais de confi ance au début, par exemple lorsque je coupais des pièces de viande. Ma formation m’a aidée à maîtriser plus rapidement mon travail. Les conditions de travail, comme la température froide et le fait d’être debout, sont diffi ciles pour le corps, mais perfectionner les mêmes tâches me stimule. J’aime mon travail, et ce métier va m’intéresser encore longtemps.
TÉMTÉMTÉMOIGOIGOIGIGNAGNAGNAGNAGEEE
BOUCHÈRE INDUSTRIELLE
CNP 9462 Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Désosser, dégraisser et découper la pièce ■
de viande pour qu’elle soit conforme au poids et à la forme demandés.
Manipuler des couteaux et des scies. ■
Être attitrée à un poste spécifi que pour ■
exécuter le travail (travail à la chaîne).
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Manipuler la viande. ■
Travailler manuellement sans avoir peur ■
de manipuler des objets tranchants.
Effectuer des tâches répétitives à partir ■
d’instructions claires.
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Dextérité manuelle jumelée à une rapidité ■
d’exécution
Patience et minutie ■
Travail d’équipe ■
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Secondaire
Diplôme d’études professionnelles en boucherie ■
de détail
À noter : le programme d’apprentissage en milieu de travail d’Emploi-Québec en boucherie industrielle abattage et découpe permet au travailleur en emploi de terminer son apprentissage en entreprise auprès d’un compagnon expérimenté.
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
En 2008, 450 personnes occupaient un poste ■
dans le secteur de la boucherie industrielle au Bas-Saint-Laurent.
Grâce à l’amélioration de la technologie dans ■
les usines d’abattage, de nouveaux marchés pourraient se développer amenant ainsi des perspectives d’emploi favorables.
CNP 9462 BOUCHÈRE INDUSTRIELLE
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Sophie Desrosiers
EMPLOYEUR
Rénovation Serge Thibault, Rimouski
FORMATION
Diplôme d’études professionnelles en ■
charpenterie-menuiserie, Centre de formation professionnelle de Mont-Joli
NATURE DU TRAVAIL
Les charpentières-menuisières construisent, érigent, assemblent, entretiennent et réparent des ouvrages de charpente en bois, en aggloméré, en acier léger ou autres matériaux. Elles travaillent pour des compagnies de construction, des entrepreneurs en charpenterie, des services d’entretien d’usine, des entreprises de chantiers de construction ou autres établissements, ou elles peuvent être des travailleuses autonomes.
TÉMOIGNAGE
J’ai décidé de m’inscrire en charpenterie-menuiserie après avoir aidé mon beau-frère à refaire sa toiture. Mon expérience fut révélatrice et en regardant dans le journal, j’ai lu qu’une formation se donnait dans ce domaine. Mon inscription a suivi peu de temps après, sans aucune hésitation. Lors de ma première journée d’école, j’ai remarqué que j’étais la seule fi lle à suivre le cours. C’était intimidant, car je ne savais pas comment les gars réagiraient. Finalement, tout s’est bien déroulé!
Mon travail me permet de toucher à plein de tâches différentes. Lorsqu’on construit une maison, il faut commencer par les fondations, puis les planchers, les murs, le toit, etc. C’est diversifi é et c’est ce qui rend mon travail intéressant!
TÉMTTÉMTÉMOIGOIGOIGOIGNAGNANAGNAGEEE
J’J’J’aiaiaiddddécécécécididididéééédededdemmm’i’’ nssscrcrirreeeenencchaharprpenennteteteririe-e-mmenuisisiserie
CHARPENTIÈRE-MENUISIÈRE
CNP 7271 Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Étudier les plans puis mesurer, découper ■
et façonner les matériaux (bois, acier, aggloméré ou autres).
Ériger des fondations, poser des portes et ■
fenêtres, réaliser la fi nition intérieure, isoler les murs, monter des charpentes de toiture.
Effectuer de la rénovation résidentielle ■
et commerciale de même que de la construction de bâtisses neuves.
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Travailler manuellement et physiquement. ■
Œuvrer sur des lieux et des projets ■
différents.
Être dans l’action avec des tâches ■
diversifi ées.
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Minutie (surtout pour la fi nition intérieure) ■
Vaillance et polyvalence tout en ayant une ■
bonne endurance physique
Rythme d’exécution rapide et aptitude pour ■
le travail d’équipe
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Secondaire
Diplôme d’études professionnelles en ■
charpenterie-menuiserie
Collégial
Diplôme d’études collégiales en architecture ■
Diplôme d’études collégiales en technologie de ■
la mécanique du bâtiment
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
La Commission de la construction a mis en place ■
différentes mesures pour favoriser l’intégration en emploi des femmes en charpenterie-menuiserie.
L’écoconstruction est un nouveau créneau ■
d’excellence dans le Bas-Saint-Laurent. Le domaine de la construction est en croissance grâce à l’entretien et à la création de nouvelles infrastructures. La prise en compte de l’environnement dans la réalisation de ces installations infl uencera les façons de procéder de même que le choix des matériaux.
CNP 7271 CHARPENTIÈRE-MENUISIÈRE
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Noémie Bourque
EMPLOYEUR
Centre commercial Rivière-du-Loup, Rivière-du-Loup
FORMATION
Baccalauréat en administration des affaires ■
(par cumul de certifi cats : marketing, ressources humaines et entrepreneurship), UQAR campus de Lévis
NATURE DU TRAVAIL
Les directrices des ventes, du marketing et de la publicité planifi ent, organisent, dirigent, contrôlent et évaluent les activités d’établissements et de services vouées à faire mousser les ventes commerciales, industrielles, électroniques et les ventes en gros. Elles s’occupent également des tâches liées au marketing, à la publicité et aux relations publiques. Elles travaillent dans des établissements de ventes commerciales, industrielles et ventes de gros, des entreprises de marketing et de relations publiques et dans la fonction publique.
TÉMOIGNAGE
Attirée par les choses concrètes, j’ai acquis un diplôme d’études collégiales dans le domaine de la mode. Les opportunités d’emploi se faisant rares, j’ai décidé de m’inscrire à l’université en administration dans le cadre d’un certifi cat, pour commencer. Ce fut un moment révélateur et j’ai poursuivi mes études dans ce domaine pour y compléter un baccalauréat.
L’autonomie et la latitude sont deux carac-téristiques fort appréciées dans mon emploi. J’aime prendre des décisions, avoir des respon-sabilités importantes et gérer la répartition d’un budget. Le travail en équipe est essentiel, les projets marketing étant discutés devant toute l’équipe de direction. J’apprécie le fait de jouer un rôle important au sein de l’entreprise.
TÉMTÉMTÉT OIGOIGGOIGNAGNAGNAGNAGEEE
DIRECTRICE DU MARKETING
CNP 0611 Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Établir un plan marketing en effectuant ■
des études de marché et en analysant leurs résultats.
Planifi er, lancer, diriger et évaluer les ■
stratégies de commercialisation de l’établissement.
Travailler en collaboration avec des ■
partenaires du domaine de la publicité, tels les imprimeurs, les agences de publicité et les médias.
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Effectuer des tâches à l’aide d’un ordinateur ■
tout en ayant de l’intérêt pour la vente.
Diriger, gérer et coordonner. ■
Vouloir s’investir dans son travail, car les ■
idées viennent parfois à des moments différents de l’horaire régulier de travail.
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Habileté en communication ■
Leadership et capacité de négociation ■
Créativité et innovation ■
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Collégial
Techniques de comptabilité et de gestion ■
Universitaire
Baccalauréat en administration des affaires, ■
concentration marketing
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
Le salaire moyen en 2005 était de 44 000 $ ■
et la majorité des 250 postes de directeur du marketing sont concentrés près des milieux urbains.
Les gestionnaires d’entreprises devront passer ■
davantage par le Web pour la commercialisation des produits, exigeant du même coup que les directeurs de marketing orientent leur approche en ce sens.
CNP 0611 DIRECTRICE DU MARKETING
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Rachel White
EMPLOYEUR
Sa propre entreprise, Le mouton blanc, Kamouraska
FORMATION
Diplôme d’études collégiales en tech- ■
niques de productions animales, ITA campus de La Pocatière
NATURE DU TRAVAIL
Les exploitantes agricoles et les gestionnaires d’exploitations agricoles dirigent les activités et les travaux dans une production agricole. Elles cultivent et récoltent les produits de la terre, élèvent du bétail, de la volaille et d’autres animaux, et commercialisent les produits de la ferme.
TÉMOIGNAGE
En 1997, après une carrière en réadaptation physique, j’ai effectué un retour aux études en techniques de santé animale dans l’optique d’exploiter la ferme désaffectée sur mon terrain. Durant la formation, j’ai un coup de cœur pour les brebis laitières, car elles sont moins grosses que des bovins, plus douces et fascinantes. Comme ce type d’élevage est rare au Québec, j’ai suivi un stage de 3 mois en France à la suite de ma formation collégiale pour apprendre le métier de bergère.
Plusieurs éléments me font aimer mon travail : les défi s constants, le fait d’être entrepreneure, se réinventer tous les jours, le bonheur d’être son propre patron et être présente à la maison pour mes enfants. J’ai toujours su que je valais la même chose que les hommes et que mon opinion est appréciée. Je ne vois pas de compétition avec les hommes, mais une complémentarité. L’important est d’être convaincue soi-même et les portes s’ouvrent.
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
Une grande proportion des travailleurs du ■
milieu agricole ont plus de 45 ans, laissant la place à la relève.
La capacité de production et la qualité ■
des produits locaux sont des leviers de développement pour la région.
GGGGNNNN
7,7,7, a a aaprprprprèsèsèsès uuuunenenen cccarara riiririèrèrèè e ee e enenen r r réaéaéadadadaptptptatatatatioioionnn j’j’j’j’aiaiaiai eeeeffffffffecececectutututuééé ununun rrrretetettououourrr auauuauxxxx étététudududdeseseses eeennn
NAGNAGNAGNAGEEEE
aaaaprprprprèsèsèsès uuuunenenen cccarararriiririèrèrèrèreee enenen rréaéaéaé dadadaptptptatatatatioioionnn
GESTIONNAIRE D’EXPLOITATION AGRICOLE
CNP 8251 Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Effectuer la traite et assurer le bien-être ■
des animaux.
Évaluer la qualité du lait en effectuant ■
des analyses et tenir des registres de production.
Peser, nourrir, identifi er les animaux et ■
appliquer divers soins.
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Être fonceuse et proactive, puisqu’il faut ■
développer sa propre entreprise.
Travailler avec les animaux et ajuster ■
son horaire en fonction des soins à leur prodiguer.
Effectuer des tâches liées à la comptabilité ■
et à la gestion.
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Vaillance et endurance physique ■
Intérêt pour les animaux ■
Souci du travail bien fait ■
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Secondaire
Diplôme d’études professionnelles (DEP) en ■
production de bovins de boucherie
DEP en production horticole ■
DEP en production laitière ■
DEP en production porcine ■
Collégial
Diplôme d’études collégiales (DEC) en gestion ■
et exploitation d’entreprise agricole
DEC en techniques de santé animale ■
DEC en techniques équines ■
DEC en technologie de la production horticole et ■
de l’environnement
Universitaire
Baccalauréat en économie et gestion ■
agroalimentaire*
Baccalauréat en agronomie* ■
Baccalauréat en génie agroenvironnemental* ■
Baccalauréat en médecine vétérinaire* ■
* Ce programme de formation se donne à l’extérieur de la région du Bas-Saint-Laurent.
CNP 8251 GESTIONNAIRE D’EXPLOITATION AGRICOLE
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Joëlle Rivard
EMPLOYEUR
Premier Tech, Rivière-du-Loup
FORMATION
Diplôme d’études professionnelles en ■
techniques d’usinage, Pavillon-de-l’Avenir, Rivière-du-Loup
Attestation de spécialisation en usinage ■
sur machines-outils à commandes numériques, Pavillon-de-l’Avenir, Rivière-du-Loup
NATURE DU TRAVAIL
Les machinistes règlent et opèrent diverses machines-outils afi n de tailler le métal, le plastique ou d’autres matériaux pour fabriquer ou modifi er des pièces ou des produits de dimensions précises. Elles travaillent dans des usines de fabrication de machinerie, d’équipement, de véhicules automobiles, de pièces d’automobiles, d’aéronefs et autres pièces métalliques façonnées ainsi que dans des ateliers.
TÉMOIGNAGE
Travailler dans ce domaine, c’est une belle expérience de vie formatrice. On apprend beaucoup sur soi et sur la façon dont on réagit dans un milieu étranger, un milieu majoritairement masculin. Au moment de débuter mon premier cours professionnel, je n’avais jamais touché à une perceuse de ma vie, mais j’ai appris. Mon intérêt principal c’était de travailler la matière. De voir la machine travailler c’est impressionnant. De partir d’un bout d’acier pour faire quelque chose, c’est aussi très étonnant.
Je travaille sur un tour à commandes numériques. Dans les tâches que j’ai à accomplir, je dois concevoir à partir de plans des programmes qui diront à la machine ce qu’elle doit faire. Des codes existent pour exécuter les différentes opérations. Ensuite, j’installe les outils dans la machine, je prends leur longueur et je situe la pièce dans la machine. Je suis alors prête pour commencer l’usinage de ma pièce. Finalement, une partie très importante de mon travail consiste à m’assurer de la qualité du produit à l’aide de divers instruments de mesure.
MMMMOIGOIGGOIGNAGNAGNAGNAGEEEE
aiaia llllllererer dd ddanananans sss cecece aaaininini e,e,e, c ccc’e’e’e’estststst u u u unenenene b b belelelleelele
ééériririenenencececece dd d de e e e vivivivie e e e fofoformrmrmatattatriririr cecece.. . aaappppppprerererendndndnd b bb beaeaeaucucucououp p sususur r sosoi i i etet lalaaa f ff façaçaçaçonononon d d d ononont t t onon rr réaéaéagigit t dadansnss u u un n eueueueu ééé étrtrtrtrananaangegeger,r,r, u uun n mimilililieueu m majajororitittaiaiairereremementntnt ccccululululiininin AuAuAu mmomomenenentt dede ddébébbutututererer mmononon ppprereremimm ererere
MACHINISTECNP 7231 Portraits de femmes qui exercent un
métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Lire et interpréter des informations afi n ■
de déterminer les opérations d’usinage à effectuer.
Calculer les dimensions, mesurer et ■
agencer les éléments à usiner.
Régler, faire fonctionner et entretenir ■
diverses machines-outils.
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Façonner la matière. ■
Opérer des machines. ■
Exécuter un travail manuel. ■
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Minutie et patience ■
Effi cacité et rapidité d’exécution ■
Capacité d’adaptation pour réagir ■
facilement aux imprévus
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Secondaire
Diplôme d’études professionnelles en ■
techniques d’usinage
Collégial
Diplôme d’études collégiales en techniques de ■
génie mécanique
Universitaire
Baccalauréat en génie mécanique ■
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
Le salaire moyen en 2005 était de 38 000 $ ■
dans la région.
Au Bas-Saint-Laurent, les tâches tendent ■
à devenir davantage numériques que conventionnelles en raison de la modernisation des installations.
CNP 7231 MACHINISTE
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Véronique Rioux
EMPLOYEUR
Structure GB, Rimouski
FORMATION
Diplôme d’études professionnelles en ■
soudage-montage, Pavillon technique à Québec
NATURE DU TRAVAIL
Les soudeuses-monteuses utilisent du matériel et des machines pour souder les métaux ferreux ou non ferreux. Ce groupe de base inclut aussi les opérateurs de machines à souder et à braser à commandes réglables. Elles travaillent dans des entreprises qui fabriquent des éléments de charpente en acier et en tôlerie, des chaudières, de la machinerie lourde, des avions et des bateaux et d’autres produits métalliques ainsi que pour des entrepreneurs en soudure ou dans des ateliers de soudure. Elles peuvent également être des travailleuses autonomes.
TÉMOIGNAGE
C’est un beau métier que d’être soudeuse-monteuse, mais je ne savais pas du tout ce que c’était avant de commencer la formation. Les bons débouchés en emploi et le travail manuel m’ont attirée à la base. Dans les faits, les tâches sont diversifi ées et les salaires sont intéressants. Il ne faut pas avoir peur de se salir et les conditions physiques sont diffi ciles, surtout les écarts de température.
Une femme dans un milieu d’hommes met une ambiance dynamique dans l’environnement de travail. Je suis une des rares femmes en assemblage de structure d’acier, car ce domaine est exigeant physiquement et les charges sont lourdes à lever. Par contre, il y a différentes opportunités professionnelles en soudage qui peuvent convenir à tous les goûts.
TÉMTÉMTÉTÉMOIGOIGOIGGNAGNAGNAGAGEE
SOUDEUSE-MONTEUSE
CNP 7265 Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Travailler à un poste de travail et opérer ■
des machines.
Assembler des structures d’acier. ■
Lire des plans d’assemblage de pièces et ■
de soudure.
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Travailler manuellement et physiquement. ■
Faire des travaux demandant de la minutie. ■
Construire et fabriquer des objets avec le ■
métal.
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Habileté à lire des plans ■
Bonne endurance physique pour lever de ■
lourdes charges et tolérer les variations de température
Aptitude pour le travail en équipe ■
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Secondaire
Diplôme d’études professionnelles en soudage- ■
montage
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
Il y avait 700 personnes en emploi dans ce ■
domaine dans le Bas-Saint-Laurent en 2008 et la demande de main-d’œuvre prévue entre 2009 et 2013 est élevée.
Le salaire moyen était de 39 000 $ au Bas- ■
Saint-Laurent en 2005.
CNP 7265 SOUDEUSE-MONTEUSE
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Danièle St-Louis
EMPLOYEUR
Smurfi t Stone Canada inc., Matane
FORMATION
Diplôme d’études collégiales en technologie ■
de l’architecture, Cégep de Rimouski
NATURE DU TRAVAIL
Le travail de la superviseure à l’environnement consiste à assurer la protection directe de l’environnement en surveillant les équipements, en contrôlant et en analysant les rejets issus de la production, en gérant l’élimination des déchets sur place ou en recherchant des centres de traitement extérieurs. Elle entretient des relations suivies avec tous les paliers gouvernementaux responsables de l’environnement. Elle gère des projets et maîtrise les textes de lois applicables. Elle est généralement entourée d’une équipe de techniciens et d’ingénieurs qu’elle encadre dans des activités techniques spécifi ques.
TÉMOIGNAGE
Mon travail consiste à faire différentes inspections sur les sites de l’usine, y compris le site d’enfouissement, pour m’assurer que nous répondons aux normes. Je dois aussi vérifi er que les rapports d’analyse quotidiens, hebdomadaires et mensuels répondent aux exigences de nos attestations d’assainissement. Je m’assure de respecter le calendrier environnemental établi pour notre établissement ainsi que tous nos permis, licences et certifi cats d’autorisation. Je dois procéder à des analyses sur le terrain, mais il faut aussi compléter les formulaires conçus par les instances gouvernementales. Je travaille beaucoup avec des ingénieurs et des techniciens. Mon expérience de plusieurs années au sein de l’entreprise jumelée à mon expertise m’ont permis d’avoir accès à ce poste.
Pour faire ce genre de travail, il faut être convaincue de l’importance de l’environnement. Les tâches sont très diversifi ées et touchent plusieurs domaines : l’environnement, le droit, la gestion, l’ingénierie, les sciences, les mathématiques. C’est ce qui rend mon travail stimulant.
TÉMTÉMTÉMTÉMOIGOIGOIGGNAGNAGNAGNAGEEEE
MoMoMoMon n n trtrtravavavavaiaiaiaill ll cocococonsnsnsisisistetete à ààà fafafafairirre e e dididiifffffffférérérérenenenentetetetes s s s ininnsppspspececectititiononons s ssususus r rr leleles s s sisiisitetetetes s s s dededede l l ll’u’u’u’usisisis nenene,, , y y y y cocococompmpmpririr s ss lelele s ssitititee e ed’d’d’d enenne fofofouiuiuisssssssememememenenenent,t,t,t p p pououour rr m’m’mm’asasssususurereer rr ququque e ee nononousususrérrérépopoondndndonononnssss auauauauxxxx nonononormrmrmeseses JeJeJeJe dddoioioisss auaua sssssiii vériifififieer que
SUPERVISEURE À L’ENVIRONNEMENT
Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Visiter les usines et vérifi er leur conformité ■
aux lois environnementales.
Rédiger des rapports en tenant compte des ■
exigences environnementales prescrites par les lois.
Effectuer des prélèvements et des analyses. ■
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Avoir à cœur le développement durable. ■
Travailler à l’extérieur, notamment sur des ■
sites industriels.
Prendre des décisions et faire preuve de ■
leadership.
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Connaissance des lois et règlements ■
Aptitude pour la gestion ■
Discernement et persuasion ■
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Ce métier étant récent sur le marché du travail, ■
il n’existe pas de formation spécifi que y menant directement. Par exemple, une personne ayant une formation dans le domaine de l’ingénierie ou de la chimie et qui possède quelques années d’expérience peut y accéder.
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
Ce métier sera de plus en plus en demande dans ■
les entreprises, notamment de production et de transformation, en raison de la mise à jour des normes gouvernementales dans une approche de développement durable.
SUPERVISEURE À L’ENVIRONNEMENT
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Sabrina Lévesque
EMPLOYEUR
TELUS, Rimouski
FORMATION
Diplôme d’études collégiales en technologie ■
de l’électronique - option télécommunication, Cégep de Rimouski
NATURE DU TRAVAIL
Les techniciennes de réseau informatique établissent et exploitent des réseaux locaux d’entreprises ou des réseaux étendus (RLE et RE), des réseaux de gros ordinateurs, du matériel, des logiciels et équipements informatiques liés, en assurent l’entretien et en coordonnent l’utilisation. Les techniciennes de réseau informatique mettent en place des sites Web Internet et Intranet ainsi que du matériel et des logiciels de serveurs Web et en assurent l’entretien. Elles supervisent et optimisent la connectivité de réseau et la performance du réseau. Elles travaillent dans les services informatiques des secteurs privé et public.
TÉMOIGNAGE
Ma passion pour le travail manuel, l’électronique et l’audio origine de mon enfance. En effet, mon grand-père était mécanicien, alors j’ai grandi à travers la mécanique, les tournevis et tout ce qui touche au bricolage.
Pour faire ce métier, il faut aimer l’informatique, mais aussi aimer parler avec les gens. De plus, la technologie change continuellement et on doit souvent suivre de la formation pour se tenir à jour. Avec la mondialisation, je peux faire affaire avec des clients dans des pays étrangers et la maîtrise de l’anglais est alors essentielle.
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
Le revenu d’emploi moyen en 2005 se situait à ■
46 000 $.
D’ici 2013, la demande de main-d’œuvre ■
prévue est élevée au Bas-Saint-Laurent. C’est un métier de plus en plus en demande avec la modernisation et les changements technologiques qui s’opèrent.
MMMOIGOIGOIGGO NAGNAGNAGNAGEEEE
pppasasassisiisionononon ppppouououourrrr lelelel tttrararavavaavaililili mmmanananueueuell lll’ééélecttrororonique
TECHNICIENNE DE RÉSEAU INFORMATIQUE
CNP 2281 Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Procéder à la confi guration de réseaux à ■
distance en les programmant selon les standards exigés par l’entreprise.
Aider le technicien sur place à faire les ■
branchements et les tests.
Travailler en laboratoire pour faire des ■
tests.
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Démonter et assembler des appareils ■
électroniques et informatiques.
Découvrir et utiliser la nouvelle ■
technologie ainsi que vouloir mettre à jour ses connaissances.
Programmer à l’informatique. ■
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Aisance en anglais, car le bilinguisme est ■
souvent recherché
Habileté au niveau de la communication ■
Minutie et débrouillardise ■
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Secondaire
Diplôme d’études professionnelles en ■
installation et réparation d’équipement de télécommunication
Diplôme d’études professionnelles en soutien ■
informatique
Collégial
Diplôme d‘études collégiales en technologie de ■
l’électronique
Diplôme d’études collégiales en techniques de ■
l’informatique
Universitaire
Baccalauréat en génie électrique ■
Baccalauréat en sciences de l’informatique ■
Programme court en génie des télécom- ■
munications
CNP 2281 TECHNICIENNE DE RÉSEAU INFORMATIQUE
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Gina Mongeon
EMPLOYEUR
Ministère des Transports, Direction du Bas-Saint-Laurent–Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine
FORMATION
Diplôme d’études collégiales en génie ■
civil, Cégep de Rimouski
NATURE DU TRAVAIL
Les techniciennes en arpentage effectuent des levés ou y participent afi n de déterminer l’emplacement exact et la position relative des éléments naturels et autres structures à la surface de la terre, sous la terre et sous l’eau. Elles travaillent à tous les niveaux du gouvernement, dans des cabinets d’architectes et d’ingénieurs et dans des établissements en arpentage du secteur privé.
TÉMOIGNAGE
Le fait de travailler à l’extérieur est ce qui m’attire le plus dans ce travail. Il faut être à l’aise à affronter différentes conditions météorologiques. De plus, il est important de demeurer alerte et prudent, principalement aux abords des chantiers routiers. Les instruments de mesure utilisés sont fragiles et capricieux. Je me dois d’être soignée lors de leur manipulation pour éviter toute erreur de mesure.
Je suis la seule fi lle dans une équipe de cinq personnes. Il faut avoir l’esprit d’équipe pour travailler ensemble. À mon avis, l’avantage d’être une femme est que l’on voit les petits détails que les autres ne voient pas. Faire sa place est essentiel, mais on se doit aussi d’avoir de l’intérêt à travailler dans un milieu majoritairement masculin.
ÉÉÉ
TECHNICIENNE EN ARPENTAGE
CNP 2254 Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Effectuer des levés et opérer des ■
instruments et du matériel informatique pour mesurer la distance, les angles, l’élévation et les courbes.
Consigner toutes les mesures et autres ■
informations obtenues au cours des levés.
Déterminer des coordonnées géographiques ■
précises au moyen de systèmes de positionnement global (GPS), d’un géo-dimètre (station totale) et d’un niveau.
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Travailler à l’extérieur, notamment dans ■
des endroits peu fréquentés.
Effectuer de nombreux déplacements et ■
changer régulièrement de sites de levés.
Opérer des instruments de précision. ■
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Habileté à travailler avec des instruments ■
de précision
Facilité à suivre des directives précises ■
Travail d’équipe ■
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Secondaire
Diplôme d’études professionnelles en ■
arpentage et topographie*
Collégial
Diplôme d’études collégiales en technologie du ■
génie civil
Diplôme d’études collégiales en technologie de ■
la géomatique*
Universitaire
Baccalauréat en génie civil ■
* Ce programme de formation se donne à l’extérieur de la région du Bas-Saint-Laurent.
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
Le salaire moyen en 2005 était de 39 000 $ pour ■
l’ensemble du Québec.
L’augmentation des investissements dans la ■
construction et les travaux publics entraînera une hausse de la demande dans le domaine de l’arpentage.
CNP 2254 TECHNICIENNE EN ARPENTAGE
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Mélanie Lepage
EMPLOYEUR
Consultante autonome en traitement des eaux usées, Rimouski
FORMATION
Diplôme d’études collégiales en génie ■
civil, Cégep de Rimouski
NATURE DU TRAVAIL
Les techniciennes en génie civil assurent un soutien et des services techniques aux scientifi ques, aux ingénieurs et autres professionnels. Elles peuvent travailler indépendamment dans les domaines du génie des structures, du génie municipal, de la conception et de la supervision de travaux de construction, du génie routier, du génie des transports, du génie hydro-économique, du génie géotechnique et de la protection de l’environnement. Elles travaillent dans des fi rmes d’ingénieurs-conseils, des entreprises de construction, des services de travaux publics et de transport et d’autres services gouvernementaux ainsi que dans de nombreux autres secteurs industriels.
TÉMOIGNAGE
Le métier est enri-chissant et valorisant. Les nouvelles technologies changent continuellement et il importe de se mettre à jour. Les opportunités pour se spécialiser ou parfaire ses connaissances sont fréquentes, rendant le travail stimulant. C’est un monde en évolution!
Les défi s d’avoir son entreprise sont multiples. Pour me démarquer, je suis allée chercher une spécialité en suivant plusieurs formations. Pour assurer une stabilité, j’exerce un emploi de technicienne de laboratoire dans un cégep et je côtoie entre autres des étudiants en techniques de génie civil. Je vois souvent la passion pour leur métier dans leurs yeux.
Les femmes qui étudient en génie civil sont passionnées, intéressées et elles savent où elles s’en vont. Elles font leur place à leur façon, elles ont une force de caractère et elles sont respectées pour cela. Il existe tellement de possibilités en génie civil, il y en a pour tous les goûts. Les perspectives d’emploi sont très bonnes, les salaires sont intéressants et il est possible de travailler outre-mer.
MOIGOIGGOIGNAGNAGNAGNAGEEEE
mmmétététieeieier r r r esesesest t t t enenene ririri--aaantntnt ee e et t t t vavavavalolololoriririsasasas ntntnt. .nononouvuvuvvelelelelleleleles s s s tetetetechchchchnononon lolologigigieseseses gegegentntnt ccc conononontitititinunununuelelelellelelelemememem ntntnt eeeet t t ililll iiimpmpmpororortetete e e e mememeettttttttrererere à à àà j jjjouououour.rr. LL Lesesess ooo oppppppp ororortututunininitététés ss popopopourururur s ssee e
TECHNICIENNE EN GÉNIE CIVIL
CNP 2231 Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
TÉMTÉMTÉTÉMMMMOIGOIGOIGGO NAGNAGNAGNAGEEEE
MÉLANIE LEPAGE, T.P.Technologue professionnelle en génie civil - membre de l’OTPQ
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Effectuer des prélèvements, des analyses ■
et des relevés sur le terrain.
Rédiger des rapports liés au domaine ■
d’expertise.
Préparer des plans ou tout autre document ■
en lien avec le secteur de spécialisation.
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Travailler avec les chiffres (mathématiques, ■
physique).
Relever des défi s, car on doit rechercher ■
des solutions aux imprévus grâce à son imagination et à son jugement.
Travailler en équipe avec différents ■
professionnels.
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Résolution de problème, car il peut arriver ■
d’exécuter un travail avec des informations incomplètes
Adaptation aux changements et polyvalence ■
Capacité de voir une situation dans son ■
ensemble
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Collégial
Diplôme d’études collégiales en technologie du ■
génie civil
Universitaire
Baccalauréat en génie civil ■
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
Le salaire moyen en 2005 était de 44 000 $ ■
dans la région.
Le programme de formation permet d’ouvrir sur ■
une foule de possibilités sur le marché du travail et de nombreuses formations complémentaires existent pour se perfectionner dans un secteur précis. D’ailleurs, le taux de placement des étudiants en génie civil au Cégep de Rimouski était de 100 % en 2007.
CNP 2231 TECHNICIENNE EN GÉNIE CIVIL
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
NOM
Élaine-Élise Malenfant
EMPLOYEUR
Premier Tech, Rivière-du-Loup
FORMATION
Diplôme d’études collégiales en ■
technologie de l’électronique - option télécommunications, Cégep de Rimouski
NATURE DU TRAVAIL
Les techniciennes en génie électronique et électrique peuvent travailler indépen-damment ou assurer un soutien et des services techniques en matière de conception, de mise au point, d’essai, de production et d’exploitation du matériel et des systèmes électriques et électroniques. Elles travaillent dans des entreprises de services publics d’électricité, des entreprises de communications, pour des usines de fabrication de matériel électrique et électronique, dans des sociétés de conseils techniques, pour le gouvernement et dans une vaste gamme d’industries de fabrication, de traitement et de transport.
TÉMOIGNAGE
En réalisant un intercom dans le cadre d’un cours au secondaire, ma passion pour le domaine électrique et de l’électronique s’est révélée. J’aime manipuler des gros et des petits fi ls avec minutie. C’est un secteur qui m’a permis de toucher à plusieurs choses, de l’installation de systèmes téléphoniques à l’assemblage de câblages électriques. La formation y est continue, de nouvelles techniques apparaissent constamment, et se tenir à jour est essentiel.
Travailler dans un milieu majoritairement masculin n’a pas toujours été facile. La pression que je me mettais sur les épaules pour éviter toute erreur et prouver ma compétence était très forte. Plutôt que de voir cela comme un frein, je l’ai perçu comme un défi à relever. Aujourd’hui, je vois positivement mon travail et des possibilités d’avancement se présentent à moi.
IGIGIGGNAGNAGNAGNAGEEEE
sasasaantntntnt u u u un n n n iininintetetercrcrcomomo dd danana s s s lele c cadaddreere d dd’u’u’ n n cococourururs s s auaauaiaiairererere mamamama pasasassissionon ppouourr lelel dddomomaiaiaine éleeectcc rique
TECHNICIENNE EN GÉNIE ÉLECTRONIQUE ET ÉLECTRIQUE
CNP 2241 Portraits de femmes qui exercent un métier traditionnellement masculin
LE MÉTIER AU QUOTIDIEN
Contribuer à la construction de machines ■
via une chaîne de montage.
Assembler le câblage électrique du moteur ■
d’une machine pour la faire fonctionner.
Superviser la construction conformément ■
aux instructions générales et aux normes établies.
UNE PASSION, DES INTÉRÊTS
Travailler manuellement. ■
Avoir l’esprit vif pour réagir rapidement en ■
cas de problème.
Mettre à jour ses connaissances en ce qui ■
à trait au développement des nouvelles technologies.
COMPÉTENCES RECHERCHÉES PAR LES EMPLOYEURS
Travail d’équipe ■
Résolution de problème ■
Dextérité manuelle ■
PROGRAMMES DE FORMATION APPARENTÉS
Secondaire
Diplôme d’études professionnelles en ■
installation et réparation d’équipement de télécommunication
Diplôme d’études professionnelles en ■
électromécanique de systèmes automatisés
Collégial
Diplôme d’études collégiales en technologie de ■
l’électronique
Diplôme d’études collégiales en technologie de ■
l’électronique industrielle
Universitaire
Baccalauréat en génie électrique ■
Baccalauréat en génie des systèmes ■
électromécaniques
UN MÉTIER D’AVENIR AU BAS-SAINT-LAURENT
Les entreprises devront, pour demeurer ■
compétitives, automatiser leurs systèmes et utiliser la fi ne pointe de la technologie, amenant ainsi des emplois dans le domaine de l’électronique.
CNP 2241 TECHNICIENNE EN GÉNIE ÉLECTRONIQUE ET ÉLECTRIQUE
Pour en savoir plus www.inforoutefpt.com
PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE ET TECHNIQUE OFFERTS AU BAS-SAINT-LAURENT ET MENANT À UN MÉTIER TRADITIONNELLEMENT MASCULIN
ADMINISTRATION COMMERCE ET INFORMATIQUE
Soutien informatique DEPTechniques de l’informatique DEC + BACAGRICULTURE ET PÊCHES
Gestion et exploitation d’entreprise agricole DEC + BACProduction acéricole DEPProduction de bovins de boucherie DEPProduction horticole DEPProduction laitière DEPProduction porcine DEPTechniques équines DECTechniques de santé animale DECTechnologie des productions animales DEC + BACALIMENTATION ET TOURISME
Boucherie de détail DEPARTS
Photographie DECBÂTIMENTS ET TRAVAUX PUBLICS
Briquetage-maçonnerie DEPCharpenterie-menuiserie DEPDessin de bâtiment DEPEntretien général d’immeubles DEPPlomberie-chauffage DEPTechnologie de l’architecture DECTechnologie du génie civil DECTechnologie de la mécanique du bâtiment DECENVIRONNEMENT ET AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE
Protection et exploitation de territoires fauniques DEPTechniques d’aménagent et d’urbanisme DECÉLECTROTECHNIQUE
Électricité DEPÉlectromécanique de systèmes automatisés DEPInstallation et réparation d’équipement de télécommunication DEPRéparation d’appareils électroménagers DEPTechnologie de l’électronique (réseautique et télécommunication) DECTechnologie de l’électronique (Télécommunication) DEP + DECTechnologie de l’électronique industrielle DECTechnologie physique DEC + BAC
ENTRETIEN D’ÉQUIPEMENT MOTORISÉ
Carrosserie DEPMécanique agricole DEPMécanique automobile DEPMécanique de moteurs diesel et de contrôles électroniques ASPMécanique d’engins de chantier DEPMécanique de véhicules légers DEPMécanique de véhicules lourds routiers DEPTechniques de génie mécanique de marine DECFABRICATION MÉCANIQUE
Dessin industriel DEPOpération d’équipements de production DEPTechniques de génie mécanique (conception et fabrication) DECTechniques d’usinage DEPTechnologie de l’architecture navale DECUsinage sur machines-outils à commande numérique ASPFORESTERIE ET PAPIER
Abattage et façonnage des bois DEPAbattage manuel et débardage forestier DEPAffûtage DEPAménagement de la forêt DEPClassement des bois débités DEPTechnologie forestière DECTechnologie de la transformation des produits forestiers DECTravail sylvicole DEPMÉCANIQUE D’ENTRETIEN
Mécanique industrielle de construction et d’entretien DEPTechnologie de maintenance industrielle DECMÉTALLURGIE
Soudage-montage DEPSoudage haute pression ASPTRANSPORT
Navigation DECTechniques de la logistique du transport DECSANTÉ
Soins préhospitaliers d’urgence DECSERVICES SOCIAUX, ÉDUCATIFS ET JURIDIQUES
Techniques policières DEC
Source : Programmes d’études retenus pour le concours Chapeau les fi lles! de 2010-2011