Modèle comptable d’une économie : il n’y a pas de relation de comportement, pas...

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t e e 1 DULBEA t e e 2e PARTIE : les agrégats macroéconomiques Chapitre 7 : Comptabilité nationale 1. Définitions et méthodes Modèle comptable d’une économie : il n’y a pas de relation de comportement, pas d’interaction Liens entre des agrégats macroéconomiques, en terme de FLUX

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2e PARTIE : les agrégats macroéconomiques Chapitre 7 : Comptabilité nationale 1 . Définitions et méthodes. Modèle comptable d’une économie : il n’y a pas de relation de comportement, pas d’interaction Liens entre des agrégats macroéconomiques, en terme de FLUX . 1.1. Historique. - PowerPoint PPT Presentation

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tee2e PARTIE : les agrégats macroéconomiques

Chapitre 7 : Comptabilité nationale1. Définitions et méthodes

Modèle comptable d’une économie : il n’y a pas de relation de comportement, pas d’interaction

Liens entre des agrégats macroéconomiques, en terme de FLUX

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tee 1.1. Historique

François QUESNAY (1758) : tableau économique = comptabilité des échanges entre classes (classe productive, stérile et propriétaires fonciers)

Karl MARX Ecole marginaliste : plutôt micro que macro Keynes : politique macroéconomique, utilisation

et connaissance des agrégats Belgique : création de la CN en 1956 : Kirschen,

Duprez… DULBEA Nouvelle comptabilité nationale SEC 95

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tee Unités et secteurs institutionnels : les

agentsSociétés non-financières

– producteurs marchands de biens et services non financiers.

Sociétés financières– fournisseur de services d’intermédiation financière

Administrations publiques– Production de services non marchands, opérations de

redistribution du revenu (ressources proviennent de contributions obligatoires).• administrations publiques aux différents niveaux de

pouvoir• administrations de sécurité sociale

2. Principes généraux et structure

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teeInstitutions sans but lucratif au service des ménages

– Production de biens et services non marchands au profit des ménages.

Ménages– Individus ou groupes d’individus considérés tant dans

leur fonction de consommateurs que dans celle, éventuelle, d’entrepreneurs produisant des biens marchands ou des services financiers et non financiers marchands

Reste du Monde– relations économiques entre les unités qui font partie du

territoire économique et celles qui n’en font pas partie.

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tee 2. Principes généraux et structure (suite)

Comptes des unités institutionnelles – Double inscription : ressources (entrées) d’une unité sont

les emplois (sorties) d’une autre unité– ressources et emplois– Exemple : compte des ménages, affectation revenu

disponible

Ressources Emplois

Valeur ajoutéeRémunération des salariés

Excédent d'exploitation (profits bruts)

Entreprises – compte d’exploitation

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teeRedistribution du revenu - ménages

Ressources Emplois

Rémunération des salariés

Transferts reçus

revenus de la propriété

Revenu disponible

Charges financières

Cotisations sociales et impôts

Ressources Emplois

Total

Revenu disponible

Ajust. Pens Total

consommation

Epargne

162724 160914 1810 162724 150106 12618

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Les trois optiques Production Dépenses Revenus

2. Principes généraux et structure

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tee3. Utilisation des comptes nationaux Connaissance de l’évolution des grands

agrégats et de ratios importants : C/PNB, SAL/PIB, Epargne/PNB…

Construction de modèles à partir de CN : comportements, interactions

Prévisions, simulations Système harmonisé, Europe, monde rend

posible les comparaisons

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tee4. Que mesure la CN ?

Basée sur la production marchande Quantitative et non qualitative

– Activités nuisibles sont prises en compte positivement Guerres Destruction environnement Consommations dangereuses

– Distribution des revenus, pauvreté, exclusion sociale– Education, culture– Démocratie, participation aux décisions

Mesures alternatives : pas de CN alternative mais indicateurs alternatifs – Exemple Indicateur de développement humain (PNUD)

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teeLa comptabilité nationale en ligne

Institut des comptes nationaux – Banque nationale de Belgique

http://www.nbb.be/

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teeChapitre VIII : OPTIQUE PRODUCTION

– RNB : revenu national brut (=ancien PNB)– PIB : Produit intérieur brut

RNB = PIB + paiement net des facteurs dus par le RM– Facteurs de production (K,L)– Paiements dus par= revenus reçus de

PIB : production réalisée à l’intérieur par des agents résidents ou non

RNB : revenu des agents résidents résultant de leur participation à la production intérieure ou extérieure

1. Le RNB et le PIB

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tee Qu’est-ce que la production ?

– Somme de la production de biens matériels ? NON parce que on produit également des services

– Somme de tout ce qui est produit comme biens et services ? NON parce que une partie des biens et services

produits sont des inputs et sont incorporés dans d’autres biens et services au cours du processus de production

– Notion de VALEUR AJOUTEE :Output –inputs

S rémunérations de L et de K

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PIB = S valeurs ajoutées brutes =production finale de biens et de services de l’économie nationale (produit à l’intérieur)

Production de biens et services (aux prix de base) - Consommation intermédiaire (aux prix d'acquisition)

= Valeur ajoutée brute (aux prix de base) + Impôts sur les produits - Subventions sur les

produits= Produit intérieur brut

prix .base prix .acquisition indirectsPIB Q Cint T Subv

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tee2. Secteurs d’activité et structure

PRIMAIRE– Agriculture, sylviculture, pêche, extraction de produits non-

énergétiques SECONDAIRE

– Industrie manufacturière– Production et distribution eau et énergie– Construction

TERTIAIRE– Services aux entreprises– Services aux particuliers– Administration

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0.00%

10.00%

20.00%

30.00%

40.00%

50.00%

60.00%

70.00%

80.00%

1970 1973 1976 1979 1982 1985 1988 1991 1994 1997 2000 2003

Primaire

Secondaire

Tertiaire

3. Evolution de la structure du PIB par secteur 1970-2004 (en % de la VA totale)

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teeModification de la structure de la

production Décroissance primaire

– Secteur agricole– Industries extractives

Secondaire– Croissance de la part du secondaire : décroissance primaire– Phase d’expansion industrielle : industrie lourde– Phase de restructuration

marché de l’acier, industrie verrière Industrie légère ( Labour intensive) : concurrence NPI via coûts du

travail

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teeModification de la structure de la

production Développement tertiaire

– Services publics et privés– Biens collectifs– Nouveaux services : tourisme, divertissements– Gonflement des services rendus aux entreprises– Tertiarisation du secondaire : externalisation,

sous-traitance– Secondarisation du tertiaire : investissements,

organisation du travail

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teeEvolution des parts relatives

sectorielles dans le PIB

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tee4. Sensibilité sectorielle à la

conjoncture économique1. Croissance économique et cycle conjoncturel

– Taux de croissance économique : taux de croissance du PIB en termes réels (= à prix constants = en volume)

– Fluctuation du taux de croissance : cycle conjoncturel : les quatre moments du cycle Creux conjoncturel Reprise conjoncturelle Pic conjoncturel Ralentissement conjoncturel = récession

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tee4. Cycle conjoncturel et structure de la production

Cycle conjonturel : Belgique, 1990-2004

190000

200000

210000

220000

230000

240000

250000

260000

270000

1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004

PIB

Tendance duPIB

Récession de 1993

Pic conjonturel

Reprise économique

Ralentissement conjoncturel

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1992 1993 199

4 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004

Agriculture, syl, pêche 16.35 6.18 -

6.78 -3.16 -0.30 2.78 3.48 6.28 0.95 -

11.92 13.55 -

16.44 10.76

Extrac.pr. non énerg. -0.24 -12.56 16.9

8 -3.99 -7.49 9.36 -

11.21 -5.00 12.61 -

20.09 -2.17 -1.55 10.50 Industrie manuf. -2.23 -3.88 4.11 2.58 1.43 6.54 1.40 -0.75 4.41 0.08 0.60 -0.84 2.35 électricité, gaz et eau 0.89 -1.06 1.28 3.29 9.88 7.98 -4.84 10.60 5.72 -2.59 -3.64 -1.83 1.78 Construction 3.10 -4.33 1.19 0.79 -3.33 4.38 -2.02 3.06 7.93 1.03 -1.51 0.96 5.52 Commerce, Horeca 0.80 -2.91 0.31 2.35 -1.33 1.08 0.66 0.08 -0.50 2.25 3.25 5.57 -0.74 Services aux entreprises 3.67 -0.50 4.46 2.62 1.81 3.10 4.55 4.50 5.17 3.35 1.59 1.24 2.59 S. publics et aux personnes 0.28 1.60 2.17 -4.59 0.02 0.54 0.67 3.74 2.57 1.43 1.20 1.24 0.69 PIB 1.53 -0.96 3.23 4.35 1.16 3.34 1.92 3.08 3.86 1.05 1.50 0.91 2.59

Cycle conjoncturel et valeurs ajoutées sectorielles

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teeCroissance et cycle

Secteurs procycliques :– Industrie manufacturière (++)– Construction (+++) – Services marchands (+)

Secteurs a-cycliques– agriculture

Secteurs contracycliques :– Services non-marchands

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tee4.4. Les indicateurs conjoncturels Prévoir les fluctuations du PIB Enquête de conjoncture Banque nationale

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teePIB en Belgique et zone Euro

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tee5. Structure du PIB et niveau de développement (1)

IDH

PIB/HAB (PPP US$)

PIB(PPP milliards

US$) Taux de crois-sance du PIB

2003 1975 2003 2003 1990-2003 Développement humain élevé Belgium 0.945 0.846 28335 294 1.8 Etats-Unis 0.944 0.867 37562 10923.4 2.1 Japan* 0.943 0.857 27967 3567.8 1 Germany 0.93 .. 27756 2291.0 1.3 Coré du S. 0.901 0.707 17971 861 4.6 Développement humain moyen Brazil* 0.792 0.645 7790 1375.7 1.2 China 0.755 0.525 5003 6445.9 8.5 Indonesia 0.697 0.468 3361 721.5 2 Egypt* 0.659 0.439 3950 266.9 2.5 India* 0.602 0.412 2892 3078.2 4 Développement humain faible Haiti* 0.475 .. 1742 14.7 -2.8 Senegal* 0.458 0.311 1648 16.9 1.3 Burundi* 0.378 0.285 648 4.7 -3.5

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Popula-tion

Coef-. Gini Agriculture Industries Services

2003 1974 2004 1974 2004 1974 2004 Développement humain élevé Belgium 10.4 25 3 1 39 23 58 76 E-Unis 292.6 40.8 4 1 33 22 63 77 Japan* 127.7 24.9 6 1 44 31 50 68 Germany 82.6 28.3 3 1 40 26 57 73 Corée S. 47.5 31.6 26 3 24 36 50 61 Développement humain moyen Brazil* 181.4 59.3 8 9 36 34 56 57 China 1300.0 44.7 34 15 43 53 23 32 Indonesia 217.4 34.3 33 16 35 44 32 40 Egypt* 71.3 34.4 29 15 23 34 48 51 India* 1070.8 32.5 41 22 19 26 40 52 Développement humain faible Haiti* 8.3 .. 40 28 23 22 37 50 Senegal* 11.1 41.3 23 15 16 20 61 65 Burundi*

7 33.3 59 49 11 19 30 32