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Bulletin d’information du Lycée Kodonso

Octobre Novembre

Décembre 2007

Année 6, n° 16

Dans ce numéro :

c'est Class !

Lycée Kodonso

Vie du Lycée 3

Coin des Filles 10

Santé 11

Stars du mois 13-14

Star parade 15

Portrait: Un professeur 16

Cuisine 11

Que sont-ils devenus? 19

La dépigmentation 21

Poèmes+Blagues 22-23

Bonjour, j’espère que vous revenez en pleine forme (élèves et professeurs), après les trois mois de repos bien mérités. Pour ce premier numéro de l’année 2007-2008, nous vous invitons à découvrir dans nos rubriques : les in-terviews, de petits secrets de filles, les stars du mois, des conseils, un reportage sur le bal des bacheliers de l’an passé. Pour les fanatiques de la musique vous aurez des paroles de vos chansons préférées et surtout vous apprendrez à cuisiner avec Kod’News. On espère que vous trouverez du plaisir dans ce nu-méro. L’équipe de Kod’New’s souhaite la bienvenue aux nouveaux élèves, courage à tous les élèves, bonne chance et succès dans les différentes matières. L’équipe se réjouit en souhaitant bon-ne et heureuse année 2008 au Corps Professoral, à l’Administra-tion ainsi qu’à tous ses lecteurs !

Page 4

Gorée; site plein d’histoire et d’émotions

Page 6 Interview du chanteur IBA (Ibrahima Diabaté)

Page 7 Dossier: Darfour à quand une solution? Page 20

Elèves: 250 F cfa Autres: 500 F cfa

EDITORIAL Apéa Priscilla Carmen

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Mme Diarra Ouleymatou Diallo Bibliothécaire et Coordonna-trice de Kod’News nous par-le un peu d’ELLE!

Interview

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Condoléances Suite au décès brutal du Professeur d’Arabe Maïga Abdoul Aziz durant l’année 2007, l’équipe Kod’News présente à la famille du disparu ses condoléances les plus attristées et prie pour le repos de son âme. L’ensemble du personnel du Lycée s’associe à ces condoléances. Dors en paix Abdoul!

Le 13 juin passé, a été organisé le bal de désintégration des élèves de Terminale du lycée kodonso. Des jours avant, on disait partout à Bamako que bientôt le bal de Kodonso dont la tenue de soirée sera Noir et blanc. Que le bal sera reser-vé aux élèves des classes terminales aura lieu le 13 Juin. Eux seuls, avaient le droit d’accéder à la cour sur présentation de carte d’identité. Le 13 au soir, on arrive devant le lycée Kodonso avec des amis. Au début de la soirée, on rencontre des problèmes pour entrer car c’est juste-ment à ce moment que la majorité des élèves a pris connaissance de la décision. Mais après, l’accès est autorisé à tous. On rentré, on voit des gens assis par-tout, et devant eux des tables sur les-quelles il y avait à manger et à boire comme dans une fête ordinaire. Le DJ a ouvert le bal puis les gens se sont levés pour aller danser. Il y a eu une confron-tation entre Woh Stars avec ses potes et quelques élèves de notre Lycée. Ensuite

la foule a commencé à danser un peu. Comme d’habitude, après le bal, une grande partie de ce public s’est retrouvé au Byblos pour achever sa soirée. Cette fête, je dois l’avouer a été l’une des plus ratées que le lycée Kodonso ait or-ganisée; ça n’a pas duré. En plus, beau-coup de gens invités sont repartis du fait de l’interdiction d’accès à la porte ou simplement ne sont pas venus. Par contre, les autres années l’on voyait une masse se bousculant à l’entrée afin d’a-voir le privilège d’assister au bal de dé-sintégration des élèves de Terminale. Souhaitons que le Bal de la promotion 2007-2008 soit mieux organisé que les précèdents, faisons le vœu que cette soi-rée soit à la hauteur du public désireux d’assister au bal de désintegration du ly-cée.

COULIBALY KADIATOU DITE NÉNÉ 11LLB

Le coup de gueule de Néné: Le Bal de KodonsoLe coup de gueule de Néné: Le Bal de KodonsoLe coup de gueule de Néné: Le Bal de KodonsoLe coup de gueule de Néné: Le Bal de Kodonso

Point de vue de la Direction Cet article n’engage que Néné évidemment. Ce bal du 13 Juin 2007 a été conçu et or-ganisé par les élèves des classes terminales 2007 malheureusement qui ne sont plus là pour justifier leur choix. En principe, un bal de désintégration ne réunit que les élèves qui se séparent défini-tivement. Chaque promotion aura le sien, évidemment.

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Page 3 Année 6, n° 16 Vie du Lycée

Résultats du bac 2007 au Lycée Kodonso

CANDIDATS ADMIS MENTIONS TAUX DE REUSSITE

Très-Bien Bien Assez-Bien

MTE 44 44 0 2 11 100

LLT 52 49 0 4 15 94

SHT 49 42 0 0 6 86

SBT 52 42 0 4 6 85

SET 31 19 0 2 5 61

Total 228 198 0 12 43 87

SERIES

INTERVIEW DE M SANOH DIRECTEUR DU LYCEE SUR LE VOLLEY-BALL

Kod’News : bonjour monsieur le Directeur M Sanoh : bonjour Kod’News: on a les équipements de volley-ball (ballon filet terrain) pourquoi pas une équipe de vol-ley-ball? M Sanoh: toutes les activités sportives sont orga-nisées par les professeurs chargés de sport donc ce sont eux qui mettent en place les équipes de basket, de football. Il suffit simplement que les élèves leur demandent pour qu’ils aient aussi une équipe de volley-ball. Toutes les demandes qui nous ont été adressées dans ce sens en matière de bal-lon, de filet, terrain, sont mises à la disposition de l’équipe pédagogique d’E.P.S, si elle en fait la de-mande. C’est aux professeurs d’E.P.S d’abord d’or-ganiser les équipes et nous, on fournit le matériel qu’il faut. Kod’News: Puisque c’est le cas il y a une coupe pour le football, le basket-ball, il peut en avoir aussi pour le volley-ball? M Sanoh: il y aura exactement la même prestation du lycée vis-à-vis de tous les sports. S’il y a une équipe de volley-ball il y aura une coupe de volley-ball. Kod’News: Quelles sont vos idées pour vulgariser ce sport ? M Sanoh: l’animation sportive est le domaine des professeurs d’E.P.S. Lorsque nous avions des pro-

fesseurs qui étaient plus spécialisés en matière de football ; ce sport a été développé. Les professeurs actuels ont une formation de base d’athlétisme. Donc, ils donnent peu de place aux autres sports. C’est aux élèves aussi de demander aux profes-seurs d’organiser des tournois de volley-ball et ils vont le faire. Le lycée appartient en premier lieu aux élèves ; ce sont les élèves qui doivent présen-ter les activités qu’ils veulent avoir. En fonction des disponibilités actuelles nous n’avons pas beaucoup de terrains mais nous avons en tout cas dans la cour une possibilité de faire du volley-ball et du basket-ball. Kod’News: A partir de 17h 30mn pourquoi le sport au sein de l’établissement a-t-il été arrêté ? M Sanoh: Oui, parce que tout simplement des pa-rents d’élèves à partir de 17h30mn commencent à téléphoner, du fait que les enfants rentrent tard. Donc on tient compte des doléances des parents qui veulent que les enfants rentrent vite. Kod’News: S’il n’y a plus de sport à partir de 17h comment l’équipe du basket va-t-elle se préparer pour les interscolaires ? M Sanoh: Il n’y a pas d’interdiction pour le basket à partir de 17h30mn. S’il y a des élèves qui veulent s’entraîner, il n’y a pas de problème mais ça sera seulement avec les accords parentaux. C’est tout.

CISSÉ JOKEBED 11LLB—DIARRA ADAM 2TEA- MILLOGO SITAN 10SA

DIAKITÉ MOHAMED SHTA—DIARRA AWA 2TEA

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Page 4 Interview -Pouvez-vous vous présenter aux

lecteurs ? Je me nomme madame Diarra Ou-leymatou Diallo, je suis professeur de lettres-histoire-géographie. Depuis que j’étais au Sénégal, je suis d’origine sénégalaise, mariée à un malien: raison pour laquelle je vis au Mali. -Où avez-vous travaillé avant votre

arrivée au lycée ? -J’ai travaillé dans la fonction publique sénégalaise comme professeur de lettres histoire géographie au niveau du lycée chez nous le lycée commence à partir de la 7ème année jusqu’à la terminale -Parlez-nous de votre cursus scolaire et universitaire ?

-J’ai commencé au fondamental qu’on appelle primaire chez nous. Après le primaire qui a été sanctionné par l’obtention de l’entrée en 6ème et du Certificat d’Etudes, je suis rentrée au Lycée Vau Volleuhoven de Dakar d’où je suis sortie Bachelière de la série A4 et commence mon cursus universitaire à l’université de Dakar où j’ai fait des études en sciences juridiques sanctionnées d’un D.E.U.G II. Après quoi, j’ai fait le concours d’entrée au Conserva-toire de Dakar dans la section Animation Culturelle; d’où je suis sortie en Juillet 1984 licenciée pour entrer dans la Fonction Pu-blique Sénégalaise comme Animatrice Culturelle (4ème personna-ge du Ministère de la Culture). 6 ans après, je rentre dans l’en-seignement après une formation adéquate en 1991. Depuis lors, je suis professeur de Lettres Histoire Géographie. -Depuis quand êtes-vous au lycée kodonso ? -Je suis au lycée kodonso depuis Novembre 1998 -Quelles améliorations aimeriez-vous apporter au sein du

lycée ? -j’aimerais vraiment qu’on s’accentue plus sur le côté culturel qui peut engendrer beaucoup de synergie dans la compréhension des leçons. Car je sais que le côté pédagogique est entre de bonnes mains. -Que pensez-vous du lycée ?

- je pense que kodonso est un lycée modèle qui d’après moi forme de bons élèves car il y en a qui sont sortis major de leur promo-tion une fois à l’extérieur. Je peux dire que kodonso progresse par rapport à beaucoup d’autres lycées. Il progresse par le taux de réussite qui évolue chaque année. Cela Kodonso, c’est class! -Parlez-nous de vos relations conflictuelles avec les élèves et vos collègues.

-les élèves sont mes enfants car je suis mère de famille et parce que j’ai des enfants qui évoluent dans le collectif des élèves et donc je les prends tous comme mes propres enfants. Je leur don-ne souvent des conseils qui dépassent le cadre du lycée. Je fais aussi un peu de social avec certains parce que ceux qui ont des problèmes et qui viennent me voir je les conseille sur le plan so-cial et familial souvent. Je remercie le bon Dieu car tous les élè-ves me respectent. Avec le corps professoral; c’est la même chose, le lycée Kodonso est ma deuxième famille parce que j’ai des frères, des sœurs, des grands frères et des grandes sœurs. Nous vivons en famille je vais jusqu’à entendre certains m’appeler la « grande royale » qui est un grand personnage de l’Aventure ambiguë de Cheick Amidou Kane, c’est monsieur Daou qui m’appelle comme ça et moi je lui renvoie « Samba Diallo ». M Bagayoko que je nomme le com-

mandant du lycée parce que je crois que la surveillance c’est la police de Kodonso, je le nomme commandant ou bien Derrick et lui aussi m’appelle « Sa Majesté » on est très familier. Le directeur est un grand frère pour moi Mme Sanoh une soeur. On peut dire que je suis en famille. Madame Diarra Safiatou m’appelle ju-nior, je l’appelle Senior ; donc on a des petits trucs entre nous et ça passe je crois. Certains professeurs plus jeunes m’appellent « Tanti » je prie pour que la cohésion docile dure.

- Comment arrivez-vous à concilier votre vie privée et votre

vie professionnelle ? -Ma vie professionnelle, je crois, prime sur ma vie privée, parce que ma vie privée je la vis comme tout autre personne en famil-le. C’est ma première famille et kodonso comme je l’ai déjà dit est ma deuxième famille. J’ai des exigences aussi dans cette première famille: l’éducation des enfants, Dieu merci, ils ont presque tous grandi sauf mon benjamin que je dois encore enca-drer pour qu’il ait au moins le même niveau que ses autres frères donc actuellement c’est mon seul challenge. Pour mes tâches mé-nagères peut-être que je ne balais plus mais je fais la cuisine comme tout autre bonne femme; j’aime bien cuisiner et faire de bons petits plats pour ma famille, je sais qu’ils sont gourmands. - Quel genre d’adolescente étiez-vous ?

- je ne peux pas dire que j’étais une adolescente modèle mais j’étais une adolescente quand même, respectable qui se faisait respecter par mon habillement, par mon caractère et par mon comportement; ce sont les trois critères qui définissent une bon-ne adolescente. -En grandissant qui était votre modèle ? En grandissant je n’avais pas vraiment de modèle mais comme toute jeune fille, je rêvais d’être une grande dame qui réussit dans sa vie professionnelle et privée avoir des enfants bien édu-qués qui ont un bon -comportement dans la vie je crois que mê-me si je n’ai pas atteint les 100 pour100, j’ai fait de mon mieux vu la jeunesse actuelle avec tous ses méfaits je suis en tout cas heureuse de ce que j’ai fait et de ce que je suis aujourd’hui. -Que pensez-vous de la jeunesse actuelle ? Je ne sais pas si les jeunes vont me pardonner mais je trouve qu’elle est dégradante parce que ce sont des enfants qui une fois dans la famille on leur dit tout ce qu’ils doivent faire, car chaque famille a son idéal de comportement; mais une fois dans la rue ou à l’école, l’enfant ne va pas faire ce qu’on lui a conseillé de faire et ça se pose dans presque toutes les familles que se soient mes enfants ou les enfants d’autrui, voilà un fléau qui prévaut actuel-lement. Deuxièmement je décline un peu le fait que les parents se soient démis de leur fonction d’éducateurs ils diront j’ai pas le temps ou cet enfant me dépasse; je crois qu’un enfant ne doit jamais dé-passer ses parents et ils doivent toujours accorder un peu de temps et un bon environnement pour bien l’éduquer. -Quel métier auriez-vous aimé faire et quel métier n’auriez-vous surtout pas pu faire ?

Ce que je n’aurais pas pu faire c’est peut-être la médecine parce que je suis trop sentimentale, au lieu de soigner les malades, je serai entrain de pleurer; donc je sais que je n’aurais pas pu du tout réussir la tâche. Actuellement, je pense que le métier d’en-

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seignant me plait beaucoup ; ce que j’ai fait à part le métier d’en-seignement c’est assurer la bibliothèque, le métier de bibliothé-caire me plait aussi parce que j’aime lire. Je crois que si je n’ai pas lu les 2/3, j’ai lu les 1/3 et demie des livres de cette biblio-thèque. -Quel est votre grand caractère et qu’aimeriez-vous changer dans votre caractère ?

Mon grand caractère c’est que : je suis trop patiente et toléran-te comme je vous l’ai déjà dit, je suis très sentimentale mais très rude aussi quand il le faut .De façon à ce que ceux qui ne me connaissent pas quand ils me voient réagir peut-être avec un de mes enfants ou avec une personne qui me fait un grand tort cela me pousse à sortir de « mes gongs », donc je crois que j’ai un autre caractère que je dois chercher à rassasier .C’est cette rudesse qui fait que je deviens aveugle et je ne vois plus rien au moment d’appliquer. -Pouvez-vous nous parler un peu plus de votre vie privée, quel est le nom de votre mari et combien d’enfants avez-vous

et comment avez-vous rencontré votre conjoint ? Mon mari s’appelle Amadou Tiéoulé Diarra, il est avocat à la cour de Bamako, il est même enseignant à l’ENA. J’ai trois garçons quatre filles. *comment avez-vous rencontré votre

conjoint ? On s’est rencontré sur les bancs de l’université. Je crois que ça doit être le meilleur moment de notre vie. *Au Mali ou au Sénégal ? A l’université de Dakar. -Parlez-nous de vos loisirs. Comme je vous l’ai déjà dit, j’aime la lecture, j’aime la musique et particuliè-rement le voyage. -Quels sont les conseils que vous

donneriez à la nouvelle génération d’élèves ?

A cette nouvelle génération, je dirais tout simplement d’être consciente et de prendre part à la création de leur avenir. Parce que les parents ont fait ce qu’ils ont pu actuellement en les met-tant dans une bonne école pour que demain ils puissent lever haut les bras et pouvoir subvenir à leurs propres besoins. Parce que en général quand l’enfant réussit, avant de penser à ses parents, je crois qu’il va penser à lui-même d’abord ; donc si vous arrivez à vous subvenir vous-mêmes ce que les parents gagneront à travers ça je crois que ça sera le dessert comme on l’appelle. Donc je vous demande d’être conscients et de savoir ce que vous voulez dans la vie, parce qu’une personne qui ne sait pas ce qu’il veut ne peut pas réussir, il faut être ambitieux dans la vie. Parce que en général si on veut 100 on n’atteint pas les 100 mais les 90 ou 80%. Donc il faut tirer l’ambition à l’extrême savoir ce que l’on veut, savoir comment on doit faire pour réussir, être curieux dans la vie c’est très bon pour un enfant parce que là il sera obli-gé de demander et de savoir, quand on demande on vous répond on vous donne la bonne réponse et ça vous sert. Donc conscience, ambition et curiosité. Pas curiosité mal placée mais curiosité bien placée qui vous mène à bord et surtout éviter les stupéfiants et de tomber dans la délinquance juvénile parce que là le mal vous le faites à vous-mêmes avant de le faire aux parents. Tout faire aussi pour garder l’image de marque de votre lycée en vous com-portant bien dans la rue à l’école et peut-être à la maison pour-

quoi pas ? La maison c’est pour vous-même d’abord n’est ce pas ? -Quel est votre avis sur l’équipe de Kod’News ? -Kod’News c’est une équipe de futurs grands intellectuels. Parce que le journal lance l’élève dans la lecture, dans les recherches et tout homme qui se met à chercher quelque chose le trouvera un jour. Donc je dis Bravo à Kod’News et surtout à l’équipe dynami-que qui se présente devant moi que je salue très bien et que j’en-courage.Par ailleurs, je salue M Diarra Papa Diéry qui dirige l’é-quipe dynamique de Kod’News. J’aimerais vous dire une petite chose que Kod’News devienne un journal plus étoffé et qu’on arri-ve à mettre la couleur, je crois que le jour où le tirage sera plus grand on y gagnera. -Quel livre avez-vous le plus apprécié dans tous les livres que vous avez lus ?

Parmi toute la lecture que j’ai faite, je crois que j’ai été impres-sionnée par Hampâté Bâ pour ses livres “oui mon commandant “, “le destin de Wangrin“ c’est un livre qui m’a impressionnée sur la culture coloniale, parce qu’il nous parle des temps des colons dans ces deux livres là. J’ai été impressionnée aussi par “l’aventure ambiguë“ de Cheik Amadou Kane parce que dans ce livre c’est le dialogue des cultures comme on l’appelle, il y a deux générations qui s’interposent ; je crois que vous auriez le temps de les décou-

vrir ou vous l’avez déjà découvert. J’ai été impressionnée aussi par “ Germinal“ d’Emile Zola, j’ai été aussi impression-née par Château Brillant et Charles Baudelaire qui m’ont émerveillée avec leurs poésies douces et significatives. -Dites nous quelle est votre devise

c’est-à-dire la devise qui régente votre vie et nous expliquer pourquoi

cette devise est-elle particulière pour

vous ? -Ma propre devise c’est le courage, l’abnégation et le travail parce que je crois que pour moi-même, ce sont ces

trois qui font que l’homme ne parte pas à la dérive. Je pense qu’on se libère par le travail, moi-même j’aime ma petite liberté; le courage qui donne des ambitions et l’abnégation qui fait per-sévérer dans ces ambitions pour réussir ta vie. -Quels livres conseillerez-vous aux jeunes d’aujourd’hui ? Je dirais aux jeunes de tout simplement lire et de beaucoup lire de toujours lire parce que c’est dans la lecture que nous décou-vrons ce que nous cherchons. Je vous conseille surtout la littéra-ture africaine comme XALA d’Ousmane Sembene, l’enfant noir de Camara Laye,vie cruelle d’Eza Botto comme je l’ai dit l’A-venture ambiguë de Cheick Amidou Kane; je vous conseille l’é-trange destin de Wangrin d’Amadou Hampâté Ba et du même auteur OUI mon comandant le 1 et le 2 et surtout dans Haïdara où il cherche a éduquer traditionnellement l’enfant africain. Donc il y en a pas mal et si vous avez le courage de venir me voir à la bibliothèque je vous conseillerais bien d’autres encore dans la littérature française, africaine et autres genres. -Votre mot de la fin

Faites tout pour réussir dans la vie; ne dépendez pas de vos pa-rents même s’ils sont multimilliardaires, essayez d’avoir vos pro-pres biens c’est mieux que de se coucher sur le bien d’autrui.

TOURÉ BARBARA 2TEA DJONGOUÉ MAXIME 10SB

OUÉDRAOGO CLOVIS LLTB—GINGRAS ELAINA 10SA

SIDIBÉ ABDOULAYE10SB—DEMBÉLÉ KOROTOUMOU 10LA

Page 5 Année 6, n° 16

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FootBall au Lycée Kodonso Après de nombreux matchs de test l’année dernière, le lycée KO-DONSO a pu constituer deux équipes (A et B) pour sa première sortie à l’interscolaire et à la compétition flamme de jeunesse. Une équipe A qui était dirigée par Bossou et une équipe B sous la roulette de M. DIARRA le gestionnaire du lycée. La première journée des compétitions a vu le déplacement des équi-pes A et B. L’équipe A a remporté la victoire par réserve pour non-conformité aux règles de leurs adversaires du jour. Mais l’équipe a joué un match amical avec les adversaires. Ce match a été remporté d’un score de 3 à 2 par l’équipe A. le même jour au même moment, l’équipe B s’est rendue au centre sportif de DJOLIBA pour affron-ter ses cadets malgré leur détermination et leur courage. Les nô-tres vont s’incliner sous un score de 6 à 1. Lors de la 2ème journée, l’équipe A a fait mach nul avec le champion en titre (CECI) par un score d’un but partout et nous terminons 1er de notre groupe de 3 équipes et nous nous qualifions au quart de final. Quant à l’équipe B, malgré sa 2ème défaite par un score de 6 à 1 en faveur de COB, gagne les points de ce match par réserve avant d’emporter son 3ème match 3-2 face au centre sportif du 26 mars mais point perdu par réserve et le nôtre est éliminé de la compéti-tion. L’équipe A étant qualifiée pour le quart de final a joué son match contre l’un des favoris de la compétition « Le lycée Luc Auguste Sangaré ». Malgré la détermination et le talent de certains joueurs comme Mahamane Maïga « MM » (SBT 2006-2007), Boubacar Dem-bélé (MTE 2006-2007), Abdoulaye Tolo « Dede » (SET 2006-2007), Yaya Kourekama « Ziggy » (MTE 2007-2008) …. Ils n’ont pas pu

tenir les assauts de la machine offensive de l’adversaire qui avait une équipe à moitié élèves et à moitié de joueurs du championnat 2ème division malienne. Les nôtres sont tombés alors les armes à la main sous un score de 0-4. Après deux semaines de repos, c’était la reprise de l’interclasse au stade du quart de final avec les matchs : SHT vs 2nd TE (5-3) ; SB+SE vs LLT+MTE (5-4) ; 10èmeS+10èmeL vs SET+SBT (1-4) ; SH+LL vs 1ère TE (0-1). Après les matchs des quarts de final riche, c’était le tour des mat-chs de demi final avec une surprise : l’élimination de la SET+SBT par leurs jeunes frères de SE+SB par un score de 3-1. Le 2ème match qui a opposé la SHT à la 1ère TE s’est terminé par la victoire de la SHT face aux tirs au but. Avec la qualification de la SE+SB et la SHT, la finale a tenu toutes ses promesses. Les élèves de 10ème S+10ème L et les autres classes de 11ème suppor-taient leurs camarades (SE+SB) et les classes de terminale leurs condisciples (SHT). A la fin du temps réglementaire, le score était de 2 buts partout. Il a fallu passer aux tirs au but pour départager les deux équipes. A la fin, les élèves de terminales ont eu les der-niers mots, la SHT a été championne des interclasses 2006-2007. J’espère que l’année 2007-2008 sera une année pour l’équipe de KODONSO (même si les meilleurs joueurs de la promotion de l’année dernière nous ont quittés pour des études supérieures). Il faut que Kodonso puisse emporter le coup des interclasses et que les matchs soient plus beaux que ceux des précédents.

DIAKITÉ MOHAMED SHTADIAKITÉ MOHAMED SHTADIAKITÉ MOHAMED SHTADIAKITÉ MOHAMED SHTA

Au large de Da-kar, une île pleine d’histoire, un patri-moine universel, l’île aux esclaves, Gorée est là, imposante et magnifique. Avec 28 hectares de superfi-cie, cette île fascine par son charme et surtout par l’histoire qu’elle porte en elle. En ef-fet, Gorée avait accueilli, il y a trois siè-cles, des Africains réduits à l’esclavage provenant de tout le continent noir. Il y a d’ailleurs à ce sujet dans l’île même, « La Maison des Esclaves » un musée poignant qui suscite plein d’émotions, de tristesse et de révolte. Bien de hautes per-

sonnalités y sont passées, no-tamment son Excellence Nel-son Mandela qui, malgré les moyens déployés par le comité de réception s’est installé un moment dans le minuscule ca-chot sous l’escalier. L’île a été annexée à la capitale, Dakar,

en 1929. Aujourd’hui, l’île est ha-bitée ; on y trouve des résidences

(autrefois maisons d’esclaves), une éco-le, des restaurants, un hôtel, un marché et tout ce qu’il faut pour y vivre. Si vous faites un tour à Dakar, je vous conseille vivement de faire une visite en ce lieu sa-cré afin de vous ressourcer sur l’histoire de nos frères et sœurs déportés aux Amériques DOUMBIA ADIARATOU 11LLB

Beni soit ce lieu qui me renvoie si souvent à mes Ancêtres martyrs

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Envie de voir: GOREE

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COULIBALY KADIATOU SETA

Le chanteur IBA DIABATE nous dévoile sa vie professionnelle et privée

Présentez-vous ? C’est Iba Diabaté l’enfant de la famille DIABA-TE, l’enfant du Mali, fils de AB-DOULAYE DIA-BATE et de Ali-mata FANE, Iba

de tout le monde, je peux dire ça comme ça. Est-ce que la vie d’artiste nourrie? je peux dire que ça nourrit, ça dépend dans quel sens vous le dites, ça nourrit première-ment parce que quand on fait un travail qu’on aime c’est sûr que ça va te nourrir si ça te nourrit pas du vrai sens du mot ça va te nour-rir sur l’autre sens, donc pour répondre à cette question, je peux dire que la vie d’artis-te ça nourrit: moi personnellement ça me nourrit parce que la musique c’est ma vie. Je fais la musique même si j’ai pas de revenus là dedans mais je fais ça parce que j’aime ça et c’est mon inspiration, mon passe-temps ça m’apporte la paix. Quand avez-vous embrassé la vie d’artis-

te ? J’étais très, très jeune, je suis né dans une famille de griots, de musiciens, donc ça a commencé depuis que mon père est griot et chanteur. je suis né dans une famille de griots donc ça a commencé depuis l’âge de 7 à 8 ans à peu près. Quel est le rôle de votre père dans votre vie professionnelle? Il joue un très grand rôle. Premièrement en ce qui concerne les conseils, il est là pour me supporter me donner des conseils, me guider sur le chemin parce que je suis jeune, je peux pas tout savoir. Il me soutient, il me guide, il me parle des histoires ce qu’il faut faire ce qu’il faut pas faire, qu’est ce qui est bien et ce qui n’est pas bien donc l’apprentissage ça continue avec lui et il me soutient énormé-ment. Si votre père n’avait pas été une personna-lité de la scène, seriez-vous artiste ? Bien sûr que oui. Cette question est très im-portante parce que tout le monde me dit ça tout le temps .Je fais la musique parce que j’aime ça. Et pas parce que mon papa fait de la musique je veux que tout le monde fasse une différence, je fais de la musique parce que j’aime ça. Que mon papa soit dans la musi-que m’a beaucoup aidé à mon entrée dans la musique mais pas parce qu’il fait de la musique que je fais de la musique. Parce que si tu fais quelque chose que tu n’aimes pas ça ne marche pas vraiment. Je le fais parce que j’aime ça. N’est-ce-pas lourd d’être dans l’ombre de son père ?

Un peu oui, je dirais même pas un peu mais beaucoup pour un début, mon premier album

les gens ne me voient pas pour l’instant en tant que moi-même. Les gens me voient à tra-vers l’ombre de mon père; ce qui est un peu gênant, c’est pas mauvais mais je veux aussi que le monde me voie en tant que moi-même, au lieu qu’il me voit Iba Abdoulaye Diabaté je veux que tout le monde me voie Iba Iba parce que le genre que je fais est très différent de celui de mon père. Donc, c’est sûr que ça aide beaucoup mais c’est important que le monde me découvre pour ce que je suis , ce que je fais, pas parce que je viens de là. C’est un peu difficile pour un début mais ça viendra. Pensez-vous surpasser votre père ? ça c’est sûr, il n’y a même pas de doute parce que les époques ont changé: tout change, il fait partir des grands piliers de la musique malienne je dirais même du monde. Ce qu’ils ont fait, on ne pourra pas faire la même chose mais nous aussi nous ferons des choses qu’eux aussi ils ne pourront pas faire, le monde évo-lue et tout le monde change et c’est sûr que ça viendra. Quels sont vos projets immédiats ?

Là, je suis en grande tournée et je fais toutes les régions du Mali et on va finir à Bamako le 24 novembre et la dédicace au palais de la culture. Après ça, j’ai une tournée qui com-mence à partir du 12 Décembre à Montréal au Canada. Je ferais 2 ou 3 mois et après je serais probablement ici pour d’autres projets mais pour l’instant, je préfère garder le silen-ce pour ses projets là. Parlez-nous de votre album ? Mon album s’intitule MOUNA, ça comporte 12 titres c’est un album très riche, je parle un peu de tout parce que moi je ne chante pas juste pour chanter. Mes chansons font pas-ser des messages sur la société, des conseils et beaucoup de choses et les rythmes sont différents de ceux de mon papa. Mon genre est mixte, mes musiques sont à mon image et il y a beaucoup de langues dans mon album, il y a ma langue maternelle à 80% il y a l’anglais, l’espagnol, le français donc je chante dans différentes langues. Comme c’est un premier album, donc j’ai voulu faire un métissage. Votre père vous a-t-il assisté dans la réali-sation ?

Dans la réalisation de l’album mon père n’était pas là, il a apporté ses conseils, car l’album a été enregistré à Montréal et il nous appelait pour nous demander comment ça se passe mais je l’ai arrangé à Montréal. Quelles sont vos sources d’inspiration ? Très bonne question: mes sources d’inspira-tion, quand je suis seul ça m’inspire les cause-ries aussi, la nature, l’eau, les enfants et beaucoup de choses. C’est difficile à dire souvent ça vient souvent ça ne vient pas, les faits de la société, tout ce qui est réel. Actuellement est-ce que votre album se

vend bien ? Oui, l’album se vend bien: ça se vend bien tant à l’extérieur qu’au MALI parce qu’ici tout le monde grave, tout le monde enregistre en désordre mais ça va. Dieu merci, ça va et ça se passe bien à la radio, à la télévision; les gens l’achètent un peu, ça va. Pensez-vous au prochain album ? Bien sûr. Mon deuxième album est prèsque fini, je travaille toujours 3 à 4 ans à l’avance, ça sortira peut être dans deux ans, parce que je ne peux pas les enchaîner comme ça, j’ai quand même un album qui arrive, qui va peut être sortir dans un mois ce serait les mêmes chansons que Mouna mais je les joue en live que j’ai fait lors des concerts en Suisse au festival de jazz de Montreuil, mais il y a 2 nouvelles chansons là dedans que j’ai ajoutées. Etes-vous marié ?

Je suis fiancé, pas encore marié. Avec qui aimeriez-vous faire un featuring ? Avec mon père, c’est déjà en cours. J’aimerais faire un duo avec YOUSSOU NDOUR il y a aussi si je pouvais faire avec R KELLY que j’aime beaucoup. Il y a tellement de musiques que j’écoute: si tu me demandes ça, je vais te citer le nom de 1000 artistes. Que faites-vous pour entretenir votre phy-sique ? Je danse beaucoup et là j’ai pris quelques kilos quand j’étais à Paris, je ne faisais que bouf-fer. Je fais de la danse traditionnelle, RNB, du basket aussi et surtout la danse. Parlez-nous de vos fans ? Elles sont très accueillantes , très contentes. Je dis quand même merci de continuer à me soutenir parce que sans eux on n’est rien. Elles sont gentilles et je leur dis merci. Vos mots de la fin ? Je te remercie toi d’abord et Kodonso de m’avoir donné cette occasion. Je vous souhai-te longue vie et je vous dis merci et à mes fans aussi. A nos papa et maman de prier tou-jours pour nous, pour que ça avance c’est pas évident pour nous mais on s’accroche et un jour, ça va marcher IN CHALLAH.

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Le Cancer du Sein Le cancer est une tumeur liée à la prolifération à la fois anarchique et indéfinie d'un clone cellulaire conduisant à la destruction du tissu originel, à l'ex-tension locale, régionale et générale de la tumeur et à la mort de l'individu en l'absence de traitement. Le cancer du sein est donc une prolifération anor-male des cellules dans la glande mammaire. C'est le plus souvent un carcinome (tumeur cancéreuse) des glandes proprement dites ou de leurs canaux. Formes Il existe différentes formes de cancer du sein, cha-cune ayant une évolution qui lui est propre. Le carcinome canalaire : le plus courant Le carcinome lobulaire apparition des lésions Les carcinomes médullaires : cancers à évolution len-te. Le carcinome inflammatoire: le plus agressif et diffi-cile à traiter. Le cancer du sein est le cancer le plus diagnostiqué chez les femmes .1/9 de femmes risque d’être at-teinte d’un cancer du sein au cours de sa vie. Les hommes aussi peuvent en être touchés, mais rare-ment. Symptômes Une bosse dure au sein, qu'elle soit fixe ou mobile. Des écoulements provenant du mamelon. Une rétraction du mamelon et la présence d'une zo-ne de peau irrégulière ou bosselée. Une douleur persistante au sein. Une petite crevasse sur la peau du sein. Personnes à risque Un certain nombre d'éléments non modifiables multi-plient d'une manière importante les risques pour une personne d'être atteinte de ce cancer. Âge. Elle affecte très rarement les femmes de moins de 30 ans Maladie bénigne du sein avec atypies cellulaires : Les femmes qui ont déjà souffert de cette affection sont plus susceptibles d'être atteintes. Hérédité : -7 % quand la mère et les soeurs n'ont jamais souf-fert de ce cancer; -10 % quand la mère en a déjà souffert; -12,5 % quand la mère en a souffert avant l'âge de 50 ans; -13 % quand une soeur en a souffert; -17 % quand la mère et une soeur en ont souffert.

Facteurs de risques

Les facteurs suivants ont été clairement associés à un risque plus élevé de cancer du sein. Absorption d'oestrogènes :les hormones Les contraceptifs oraux (la pilule) et l'hormonothérapie substitutive (à la ménopause) Alcool. La consommation d'un verre d'alcool peut augmenter les risques du cancer du sein. Obésité. Chez les femmes +de 50 ans Radiation:Chez les femmes qui ont subi des doses élevées de radiation Graisses alimentaires:Sur les animaux de laboratoire Produits laitiers : certains produits laitiers ont été suspectés d’augmenter le cancer. Stress: une synthèse révèle un lien possible entre des pertes importantes (deuils, séparations) et l’ap-parition de tumeurs malignes. Prévention

La prévention primaire: empêcheme la maladie de se déclarer. Prévention par l'alimentation Alimentation saine Fruits et légumes Brocoli et autres légumes de la famille des crucifè-res Légumes colorés Tomates et pamplemousses roses:surtout les toma-tes cuites Grains complets (seigle, riz brun et blé entier); Huile d'olive huiles végétales huiles hydrogénées Thé vert:5 tasses ou plus de thé vert par jour tend à prévenir le cancer du sein. Grossesse et Allaitement. Les objectifs de cette directive sont de fournir aux médecins une information et des recommandations exactes sur : l'effet de la grossesse et de la lacta-tion sur le risque de cancer du sein, la possibilité de l’allaitement au sein et son impact sur le pronostic pour les femmes atteintes d’un cancer du sein. Le traitement du cancer s'opère sur deux plans : lo-cal ou systémique. La chirurgie et la radiothérapie opèrent localement. La chimiothérapie touche l'en-semble de l'organisme.

GUEYE MARIÈME 10SAGUEYE MARIÈME 10SAGUEYE MARIÈME 10SAGUEYE MARIÈME 10SA————CISSÉ NANA KHALIL 10SBCISSÉ NANA KHALIL 10SBCISSÉ NANA KHALIL 10SBCISSÉ NANA KHALIL 10SB

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L’Arbre qui cache la forêt

Sarkozy! Sarkozy! Sarkozy! tel est le mot sur toutes les lèvres. Comme si cet homme était la source de tous nos malheurs. On fait croire à nos populations que les autres sont à la base de tous nos problèmes. On parle des "lois Sarkozy et Hortefeuil sur l'immi-gration" comme si nous n'avons pas des maux plus pri-mordiaux. Ce n'est qu'une pure et simple dénatura-tion des problèmes auxquels nous sommes confrontés. Le problème pour lequel les maliens doivent crier au-jourd'hui est celui du coton. Le Mali produira durant la campagne cotonnière 2007/2008 environ 4.000.000 de tonnes(à convertir en kg). Avec la sub-vention du coton le kilo sera vendu à 145F CFA au lieu de 210F CFA en 2005 d'où une perte de 65F sur le kilo. En tout le déficit que l'Etat malien enregistrera en matière de coton en 2007/2008 s'élèvera à: 260.000.000.000F CFA soit seulement

3.919.000.000F cfa de moins que le budget voté par l'Assemblée nationale pour 2008 pour les deux plus grands ministères du pays que sont le département de l'Education (185.971.000.000f) et le département de la santé (77.948.000.000f) où encore plus que le quart du budget de l'Etat malien pour 2008 au titre des recettes (962.428.000.000F cfa). Face à de telles circonstances, on a le temps de se préoccuper des lois françaises sur l'immigration. C'est dire tout simplement que nos dirigeants masquent leur incom-pétence, leur incapacité à trouver des solutions à nos problèmes par les "lois de Sarkozy où de Hortefeuil sur l'immigration". C'est pour ne parler que du coton sans compter les pertes enregistrées dans l'or et la corruption.

Tidjani Amidou étudiant en droit à la fac de Paris8.

Ancien membre de Kod’News

Le Rêve Le rêve occupe une place très importante dans no-tre vie : chaque nuit, nous passons environ une heu-re et demie à rêver. Nous rêvons, chaque nuit et nous pouvons faire plusieurs rêves même si on ne s’en souvient pas. De tout temps, les hommes ont cherché à en connaître la signification. La psycholo-gie a permis de lever une partie du voile, en reliant les songes à l'inconscient. Alors, que signifient nos rêves ? Les rêves, ces images mystérieuses qui nous appa-raissent dans le sommeil, ont-ils un sens ou ne sont-ils qu'élucubrations sans queue ni tête du cerveau au repos ? C’est avec Sigmund Freud et l'invention de la psy-chanalyse que naît une véritable science de l'inter-prétation : pour lui, le rêve est toujours la réalisa-tion d'un désir. Ce désir, interdit par la réalité, la société, ou la loi, est refoulé, et n'apparaît que masqué. L'angoisse de le voir réalisé engendre les cauchemars. Si l'interprétation des rêves est à la charge du rê-veur, Freud désigne des équivalents entre les ima-ges du rêve et leur sens caché, sorte de codifica-tion du langage des songes. Interpréter les rêves L'interprétation des rêves dépend énormément du vécu de chacun. Néanmoins, certains événements

évoquent des symboles forts : Les rêves d'eau ou de baignade sont associés à la naissance et à l'accouchement ; Un départ en voyage, un trajet en train se rappor-tent à la mort ; Les activités rythmiques, comme jouer du piano, la danse, l'équitation, grimper à une échelle, ou même être écrasé par une voiture, évoquent les rapports sexuels ; Les couples royaux, comme dans les contes, suggè-rent les parents ; L'amour féminin est représenté par des cavernes, vases, chambres, coffret à bijoux, portes ; L’amour masculin, lui, par une canne, un parapluie, un crayon, des arbres, un reptile, un chapeau ; Le doute, l’envie est symbolisée par les armes poin-tues (couteaux, poignard) ou par les armes à feu, ce que l'on retrouve dans les cauchemars de jeunes filles poursuivies par un homme armé ; La sensation de glisser, ou d'une descente brusque, l'arrachage d'une branche, correspondent au plaisir Bien sûr, ces associations ne sont pas une règle ab-solue. Les rêves garderont toujours un peu de mys-tère. A vous de voir si vous souhaitez absolument les interpréter ou si vous préférez leur laisser une part d'inexplicable…

GINGRAS ELAINA 10SBGINGRAS ELAINA 10SBGINGRAS ELAINA 10SBGINGRAS ELAINA 10SB

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Page 10 Année 6, n° 16 COIN POUR FILLES

Si vous avez un gros bourrelet autour de la taille, le plan pantalon taille basse et haut ultra-court n’est pas pour vous, rien de tel pour que les mecs ne repèrent que votre ventre. Camouflez votre nombril avec un t-shirt ou un pull large et à encolure lâche qui change tout. C’est la séance de gym quotidienne. Pas besoin d’y passer une heu-re, c’est l’assiduité qui compte. Allongée sur le dos, les mains derrière la nuque, ra-menez les jambes vers vous, genoux pliés. Relevez votre buste et reposez-le au sol une vingtaine de fois sans creuser le dos. D’ici un mois, vous gagnerez des « abdos » en bétons !

NB : 1heure après vous le lavez avec de l’eau tiède simple et si l’huile n’est pas tota-lement sortie mettez un peu de citron et la-vez-les. Gommage du Visage : Votre visage n’est pas au top ou ne vous plaît pas ? Petites Astuces : Prenez une banane, enlevez les peaux et ajoutez un peu de citron puis attendez 15 minutes et lavez votre visage avec de l’eau tiède ; ça rafraîchit, rajeunit et enlève les ri-des de votre visage et il devient éclatant. Pour les Ongles : Mettez un mélange de citron et un peu de sel et de sucre pendant 45 minutes et après lavez-les et mettez du Vernis. Santé : Pour votre santé mangez au moins 5 fruits et légumes par jour, évitez de manger trop gras, trop sucré et trop salé. Evitez aussi de grignoter entre les repas.

Avoir un ventre ferme :

Les 6 attitudes qui me font du bien :

SAO FATOUMATA SHTASAO FATOUMATA SHTASAO FATOUMATA SHTASAO FATOUMATA SHTA

Conseils pour les garçons :

1 Je me dis que c’est normal de ne pas être parfaite. Personne ne l’est. 2 J’évite de passer des heures devant la gla-ce à scruter mon corps. 3 Je ne confonds plus la beauté avec le charme. 4 Je réalise qu’on m’aime pour mon charme et pas pour ma plastique. 5 Ce n’est pas parce que je me trouve des imperfections que je ne peux pas séduire. 6 Je me fais plaisir en portant de jolis sous-vêtements pour apprivoiser mon corps et apprendre à me sentir bien.

DEMBÉLÉ KOROTOUMOU 10LA

Comportements à adopter envers les filles Fonce et ferme les yeux sur ta réputation. Fais-lui savoir qu’elle est tout à tes yeux. Sois simple et naturel. Mets ton charme en jeu. Ne joue pas à l’hypocrite. Montre lui tes sentiments. Pouvoir du verbe : Source de temps en temps. Etre calme et non surexcité. Etre gentil. Lui faire des compliments. Etre sincère dans ses propos. Fixer tes yeux dans les siens.

Soins du corps : Il faut avoir une bonne hygiène corporelle et dentaire. Ne pas percer ses boutons car cela provoque les points noirs. Utiliser des produits naturels à base de fruits et de légumes.

Avez-vous des cheveux secs et cassants ? Petites Astuces : Prenez un morceau du beurre de karité + 3 jaunes d’œufs et 2 cuillérées de miel ; tout ceci mélangé donne un bain (bon pour les cheveux).

Conseils beauté:

DOUMBIA ADIARATOU 11LLBDOUMBIA ADIARATOU 11LLBDOUMBIA ADIARATOU 11LLBDOUMBIA ADIARATOU 11LLB

KOUNNOU MAHOUNAKPAN SHTA

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Page 11 Cuisine

Santé

Ingrédients Pour le riz :

1kg de riz 120g de beurre 100g d’oignon 1 feuille de laurier Eau de fond de volaille Sel Poivre

Pour le Poulet : 1 poulet 500g de tomates fraîches 50g de piment 100g d’oignon 1 gousse d’ail 20g de persil 150g d’aubergine Sel 2 cubes Magie Poulet

Préparation : Pour le poulet

Lavez le poulet et découpez-le en 8 morceaux

Assaisonnez-le d’ail, de poivre et de sel. Laissez mijoter pendant 10 minutes.

Dans une casserole contenant de l’huile suez les oignons coupés en fines lamelles.

Ajoutez les morceaux de poulet dans l’huile et lais-sez frire pendant 5 minutes, retournez au fur et à mesure avec la spatule.

Ajoutez le piment, l’ail, le persil et l’oignon. Quel-ques minutes après,

Ajoutez les tomates concassées et salez Ajoutez en dernier lieu le bouillon du poulet, l’auber-

gine et le cube Maggi pour rectifier l’assaison-nement

Laissez bien bouillir, retirez et servez Pour le riz :

Suez les oignons hachés au beurre Ajoutez le riz, mélangez bien et laissez mijoter Mouillez 1 fois et demie ou deux en volume du riz Assaisonnez et ajoutez les feuilles de laurier Portez à ébullition et remuez Couvrez et laissez cuir pendant 25 minutes.

NB : Le fond que nous allons utiliser est composé des os du poulet (la tête, le cou, les pattes) et de légumes tels que la carotte, le poivron, le persil, l’ail, le poivre, l’oignon, le laurier. Bon Appétit !

Poulet sauté à l’aubergine au Riz Pilaf (4 à 6 personnes)

APÉA PRISCILLA C 1TEA

Syndrome de fatigue chronique : une maladie ignorée Epuisement, insomnie, maux de tête, pertes de mémoire… Vous vous traînez et avez du mal à effectuer vos tâches quotidiennes. Votre médecin n’a rien trouvé ? Peut-être, souffrez-vous du syn-drome de fatigue chronique (SFC). Fatigue chronique : des maladies cachées ? Toujours fatigué ? Etes-vous un malade imaginai-re ou souffrez-vous de fatigue chronique ? Ceux qui en sont atteints peinent à comprendre ce dont ils souffrent, d’autant plus que son origine n’est pas aisément identifiable par les médecins. Le syndrome de fatigue chronique : mythe ou réali-té ? Identifié dès 1985, le syndrome de fatigue chro-nique correspond à une faiblesse extrêmement intense durant plus de 6 mois et résistant au re-pos. Cette maladie rend très difficile le moindre acte de la vie quotidienne et n’a pas de cause évi-dente. Zoom sur une pathologie encore mysté-rieuse. Fatigue : quand faut-il consulter ? Le plus souvent, la fatigue apparaît évidente : surmenage, stress, déprime, etc. Un peu de repos et l’organisme refait le plein d’énergie. Mais par-fois, les coups de pompe à répétition restent inexpliqués. Quand consulter ?

Le syndrome de fatigue chronique en chiffres Le syndrome de fatigue chronique “vrai” est rare. En revanche, nombreuses sont les personnes se plaignant de fatigue à une période ou l’autre de leur vie. Trop souvent considérés comme des malades imaginaires, les victimes du syndrome de fatigue chronique souffrent d’un cruel manque de recon-naissance. Reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé, cette pathologie reste ignorée dans la plus part des pays. Comment faire face ? Il n’existe pas encore de traitement spécifique du syndrome de fatigue chronique et les solutions proposées visent seulement à soulager les symp-tômes. Les conséquences sur la qualité de vie des malades sont telles qu’un soutien moral doit fai-re partie de la prise en charge, sous peine d’ex-clusion sociale. Les bénéfices du sport et de la psychothérapie Virus, facteurs psychologiques… la véritable cau-se du syndrome de fatigue chronique n’a pu être identifiée avec certitude. Une étude anglo-saxonne fait le point sur cette maladie controver-sée. Parmi les solutions reconnues, sport et psy-chothérapie semblent apporter un réel bénéfice.

GUEYE MARIEME 10SA—CISSÉ NANA KHALIL 10SB

COULIBALY KADIATOU DITE NÉNÉ 11LLB

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Page 12 Année 6, n° 16 JEUXJEUXJEUXJEUX

SUDOKUSUDOKUSUDOKUSUDOKU

MANDJAN ARMEL 11SEA MANDJAN ARMEL 11SEA MANDJAN ARMEL 11SEA MANDJAN ARMEL 11SEA ---- THÉRA WERE 11SEATHÉRA WERE 11SEATHÉRA WERE 11SEATHÉRA WERE 11SEA————TOURÉ BARBARA 2TEATOURÉ BARBARA 2TEATOURÉ BARBARA 2TEATOURÉ BARBARA 2TEA————DJONGOUÉ MAXIME 10SADJONGOUÉ MAXIME 10SADJONGOUÉ MAXIME 10SADJONGOUÉ MAXIME 10SA

6 1 9 4

2 7 6 4 3

5 7 8

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2 4 9 1 8 5 7

7 8

3 6 8

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4 1 3 5

9 2 6 1

6 9 3 5

3 2 6 4

8 4 9 2

6

1 8 5

Règles du Jeu:Il s’agit de parvenir à remplir les cases vides avec les chiffres allant de 1 à 9 sans aucune répétition d’un même chiffre sur une ligne horizontale ou verticale et selon un regroupement de 9 cases!

E M R V S R E G A B O R N E A D C R E

R U E T I D U A C A C T U S F A E E U

O N G H A E D E T O U R N E F L T T O

T I A N R R A P P E L E R A U I E N R

S R S I A F R I C A I N R O T G R O I

T N S T M L G A C S C D C P E S A M D

E R E S O L P X E O E E S O U P I R E

U R M V A P E U R R D S D U R T G X D

Q D E P E U P L E C D E T R A Q U E E

I R N L T R U E L I F S T B I B I N E

T N A U L C X E U E E P L E S I L A V

A N L F R I P E R R R E G O N F L E R

T A E X A S P E R E R R I O V U E L P

S E E L U C E L O M E E I N M O L A C

AFFUTEUR

AFRICAIN

AIGUILLE

APPELANT

AUDITEUR

BIBINE

CACTUS

CAFARDER

CALOMNIE

CODETENU

DECAPEUR

DECOULER

DEPEUPLE

DESESPERE

DETOURNE

DETRAQUE

DRAGUEUR

ENROBAGE

EXASPERER

EXCLUANT

EXISTANT

EXPLOSER

FERRE

FILEUR

FIRME

GRADUE

GRADUE

IMITABLE

LANGUE

MARAIS

MESSAGER

MOLECULE

MONTER

MUNIR

NURSE

PILLER

PLEUVOIR

POUR

RAPPELLER

REGONFLER

ROUE

SALUT

SORCIERE

SOUPIR

STATIQUE

STOPPEUR

STORE

TRAHIR

VALISE

VAPEUR

VENT

Mots Mélangés

CHARADES: C1 Mon premier : Sert à jouer Mon deuxième : Adhésif Mon troisième : Breuva-ge Mon tout : Les hommes en sont fous!

C2 Mon premier : Une bois-son Mon second : Une bois-son Mon troisième : Une boisson Mon tout : Une boisson C3 Mon premier : Terrain

escarpé Mon deuxième : Sport d'été Mon troisième : Senti-ment de contentement au féminin Mon tout : Ça vole! C4 Mon premier : Voyelle Mon deuxième : Partie

du corps Mon troisième : Utile aux propriétaires de chiens Mon quatrième : Nous en avons cinq Mon tout : Étape de la vie

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Page 13 Les Stars du mois 1) Présente-toi aux lecteurs. Je m’appelle Aminata TOURE. Je suis née le 15 janvier 1992 à Bamako et je fais la terminale SETA. 2) Comment es-tu arrivée au lycée KODONSO ? Je fréquentais l’école Kalanso donc c’est une continuité. 3) Que ressens-tu d’être star du mois ? Je suis surprise et très ravie que

l’on m’est nommée star du mois et je vous en remercie même si je pense que plusieurs personnes mériteraient de l’être. 4) Tes impressions sur le lycée KODONSO ? Le lycée Kodonso est un très charmant établissement où les professeurs sont très attentifs. Il y a une bonne en-tente entre les élèves. 5) Que penses-tu de l’ambiance, des cours, des pro-fesseurs, des élèves du lycée ? Il y a une très bonne ambiance dans l’enceinte du lycée, les cours sont très intéressants et les profs sont très sympathiques et comme je l’ai dit très attentifs. Les élè-ves sont très sympas brillants et très solidaires entre eux et je les invite d’ailleurs à être généreux envers l’asso-ciation KODES dont je suis membre active. 6) Que comptes-tu faire plus tard et pourquoi ce choix ? Plus tard, je compte faire des études en ingénierie dans le domaine de l’Informatique car c’est un domaine qui me passionne et qui ouvre une large perspective sur le monde de la technologie moderne. 7) Ce que tu aimes, et ce que tu n’aimes pas dans la vie ? J’aime la lecture, le tennis, la télé, la musique, surfer sur le net, être avec mes amis. Par contre, ce que je n’aime pas c’est l’égoïsme, la supercherie, le rugby car c’est trop violent et aussi le catch car ça rend bête. 8) Quel est ton avis sur le journal du lycée (Kod’News) ? Je pense que le journal est un bon moyen de savoir ce qui se passe au sein du lycée mais il devrait plus parler des vrais news (c’est a dire ce dont les kodonsois par-lent à longueur de temps) et pour ça il devrait s’adresser à kodontel (haut débit de toutes les informations circu-lant au sein du lycée) dont le président est sir DIMI-TRIUS ASSACIN le propriétaire de tous les dossiers. 9) Le mot de la fin. Je souhaite une très bonne année scolaire à tous les élè-ves ainsi qu’aux profs et j’espère qu’InsHAllaah tous les élèves de Terminale réussiront leur examen avec brio merci gros bisous à tous!

1)Présente-toi aux lec-teurs de KOD’NEWS Je suis OUEDRAOGO Wendyam Clovis Abra-ham. J’ai 18 ans et je suis en classe Terminale Let-tres. 2)Comment es-tu arrivé au Lycée KODONSO ? Tout a commencé lorsque ma mère fut nommée à l’Ambassade du BURKI-NA FASO auprès de la République du MALI. Après investigation auprès des meilleures écoles de Bamako, l’Ambassadeur a choisi le Lycée KODON-SO pour les enfants du personnel diplomatique, au regard du sérieux et de la qualité de l’enseignement de cet établissement. J’ai donc été inscrit en 11 LL, l’année dernière. 3)Que ressens-tu d’être Star du moi ? J’ai un sentiment de joie, d’émotion et j’espère que je ne vais pas démériter ce choix porté sur moi. 4)Tes impressions sur le Lycée KODONSO ? Mes impressions ne font que confirmer le choix de l’Ambassadeur. En effet, au KODONSO, la discipli-ne est de rigueur et nous avons la chance d’avoir des encadreurs et des enseignants compétents qui nous transmettent efficacement les connaissances que nous sommes venus chercher ici. 5)Que penses-tu de l’ambiance du Lycée ? C’est une très bonne ambiance qui permet l’épa-nouissement des élèves. 6)Que comptes-tu faire plus tard et pourquoi ce choix ? Je veux faire du Droit Public afin de déboucher dans le domaine de la justice (juge ou avocat). 7)Ce que tu aimes, et ce que tu n’aimes pas dans la vie? J’aime m’éclater avec mes amis, j’aime la musique, la bonne cuisine. Je n’aime pas être accusé d’une chose que je n’ai pas faite. 8) Quel est ton avis sur le journal du lycée (Kodnew’s) ? Il est agréable d’avoir un journal du lycée, dans la mesure où il nous informe sur la vie du lycée et l’ac-tualité dans le monde. 9) Le mot de la fin Je souhaite une bonne chance à l’ensemble des élèves de Terminale et une longue vie au journal Kod’News.

OUÈDRAOGO CLOVIS LLTB DEMBELE KOROTOMOU 10LA DEMBELE KOROTOMOU 10LA DEMBELE KOROTOMOU 10LA DEMBELE KOROTOMOU 10LA ––––TOURE BARBARA 2TEATOURE BARBARA 2TEATOURE BARBARA 2TEATOURE BARBARA 2TEA

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Page 14 Les Stars du mois Présente-toi aux lecteurs de Kodnew’s

Salut. Alors je me présente, je me nomme Binta Chérif Haïdara, je fais la 1e TEA et j’ai 16 ans. Comment es-tu arrivée au Ly-

cée KODONSO ? Après avoir eu mon DEF, j’avais le choix entre plusieurs lycées, mais j’ai voulu à tout prix venir ici parce que mes frères qui étaient là au paravent m’ont

donné une bonne impression de cet établissement. Que ressens-tu d’être Star du mois ?

Alors là, je suis vraiment surprise, je ne m’y attendais pas du tout et c’est en même temps un bonheur pour moi d’être la star du mois. Tes impressions sur le Lycée KODONSO Bon ! C’est une école sérieuse administrée par un Corps professoral compétent pédagogiquement et assidu. Les professeurs ont le souci de donner le meilleur d’eux-mêmes. Le tout sous la bonne vigilance de la Direction et les résultats obtenues au bac des dernières années l’approuvent. Que penses-tu de l’ambiance, des cours, des pro-

fesseurs, des élèves du Lycées ? Les professeurs de KODONSO sont toujours à l’écoute des élèves. J’adore l’ambiance du Lycée, avec toutes les activités qui se déroulent au sein du Lycée donnant une agréable atmosphère. Les élèves sont sympas, et res-pectueux entre eux. Que comptes-tu faire plus tard et pourquoi ce choix ?

J’envisage de mener de sérieuses études en économie et en Droit des affaires qui me permettront de débou-cher sur une profession de Trader ou de chef d’entre-prise. Ce que tu aimes et ce que tu n’aimes pas dans la

vie ?

J’aime la lecture, la musique, ma famille, les amis et surtout la télé. Par contre, je déteste l’égoïsme, le men-songe et j’injustice. Quel est ton avis sur le journal du Lycée (Kodnew’s) ?

Je trouve que c’est une bonne idée de faire part aux élèves des nouvelles de l’école. Le journal réveille le talent littéraire, culinaire et même artistique des élè-ves. Le mot de la fin. Je souhaite une bonne chance à tous les terminalistes continuez à travailler et bonne continuation à Kodnew’s.

PrésentePrésentePrésentePrésente----toi aux lecteurs de toi aux lecteurs de toi aux lecteurs de toi aux lecteurs de Kod New’sKod New’sKod New’sKod New’s Salut, je me nomme Moha-med Simpara. J’ai 15 ans et je fais la 11e SEA. Comment esComment esComment esComment es----tu arrivé au Ly-tu arrivé au Ly-tu arrivé au Ly-tu arrivé au Ly-cée KODONSOcée KODONSOcée KODONSOcée KODONSO ???? Mon arrivée au Lycée KO-DONSO a été le choix de mes parents qui ont été attirés par ce lycée lors de mon pas-sage en 10ème pour la bonne poursuite de mon éducation. Que ressensQue ressensQue ressensQue ressens----tu d’être Star du moistu d’être Star du moistu d’être Star du moistu d’être Star du mois ???? C’est un immense plaisir pour moi d’être élu star du mois, c’est une grande satisfaction pour moi et un engagement de garder mon niveau. Tes impressions sur le Lycée KODONSOTes impressions sur le Lycée KODONSOTes impressions sur le Lycée KODONSOTes impressions sur le Lycée KODONSO Le Lycée KODONDO est un lycée pas comme les autres, c’est un lycée dont les personnels sont stricts sur leur formation, un lycée dont la discipline est la règle. Que pensesQue pensesQue pensesQue penses----tu de l’ambiance, des cours, des tu de l’ambiance, des cours, des tu de l’ambiance, des cours, des tu de l’ambiance, des cours, des professeurs, des élèves du Lycéeprofesseurs, des élèves du Lycéeprofesseurs, des élèves du Lycéeprofesseurs, des élèves du Lycée ???? L’ambiance du lycée a toujours été et garde une atmosphère très animée et elle est omni-présente et les bals de fin de trimestre sont as-sez cool. Que comptesQue comptesQue comptesQue comptes----tu faire plus tard et pourquoi ce tu faire plus tard et pourquoi ce tu faire plus tard et pourquoi ce tu faire plus tard et pourquoi ce choixchoixchoixchoix ???? Plus tard, je voudrais entreprendre des études d’architecture afin d’améliorer la vue de ma nation. Ce que tu aimes, et ce que tu n’aimes pas dans Ce que tu aimes, et ce que tu n’aimes pas dans Ce que tu aimes, et ce que tu n’aimes pas dans Ce que tu aimes, et ce que tu n’aimes pas dans la viela viela viela vie ???? J’aime ma famille et mes amis, mes études, mon pays. Je n’aime point la jalousie, l’injusti-ce et par dessus tout la triche. Quel est ton avis sur le journal du lycée Quel est ton avis sur le journal du lycée Quel est ton avis sur le journal du lycée Quel est ton avis sur le journal du lycée (Kodnew’s)(Kodnew’s)(Kodnew’s)(Kodnew’s) ???? Le journal Kodnew’s est un outil d’informa-tions sur l’actualité et nous permet de tuer le temps en le lisant. Le mot de la fin.Le mot de la fin.Le mot de la fin.Le mot de la fin. Je remercie d’abord les membres du Kodnew’s de m’avoir nommé ainsi. Je souhaite au Lycée KODONSO une longue durée et je souhaite bonne chance à tous.

COULIBALY NAYIRIBÉ K SETA—NANAKASSÉ FATOUMATA 11SEA CISSÉ ASSANATOU CISSÉ NANA KHALILCISSÉ ASSANATOU CISSÉ NANA KHALILCISSÉ ASSANATOU CISSÉ NANA KHALILCISSÉ ASSANATOU CISSÉ NANA KHALIL

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Page 15 Année 6, n° 16 STAR PARADE R. Kelly est né le 8 janvier 1969 dans les quartiers sud de Chicago. Son père l'abandonne très jeune et c'est sa mère qui l'élèvera. Au cours de ses années de lycée, il se découvre un don pour la musique, sur les conseils de sa mère et du professeur Barry Hankerson. Il

apprend à jouer du piano. Il grandit dans le ghetto avec son meilleur ami J.P. R. Kelly fonda avec ses amis un groupe de R&B, MGM. Le groupe remporta un concours national de jeunes talents organisés par l'émission « Big Break ». En 1991, le groupe rebaptisé Public anouncement passe sous contrat avec Jive Records. En 1992, le collectif sort son premier opus, Born into the 90's, un concen-tré de New Jack, qui devient disque de platine. R. Kel-ly décide ensuite d'entamer une carrière solo. Son premier album 12 play est disque de platine. En 1994, R. Kelly produit l'album d'une jeune artiste de r&b : Aaliyah. R. Kelly interprète la B.O de Space Jam I believe I can fly. En 1998, il obtient trois Grammy awards. Il poursuivit dans la lancée des bandes originales de film avec le single « Gotham City » de Batman and Robin. Il continue à produire des artistes comme Changing Faces, Sparkle, Kelly Price ou Wyclef Jean. R. Kelly se consacrera de nouveau à sa carrière personnelle et sort en 1998 un nouvel opus intitulé R.. Ce double al-bum se vendra à plusieurs millions d'exemplaires. En 2000, T.P-2.com apparaît dans les bacs. En 2002, dans le sillage de Fiesta, R. Kelly et Jay-Z enregistrent un album entier ensemble : The Best of Both Worlds. En février 2002, le Chicago Sun-Times signale qu’une bande vidéo lui a été envoyée montrant R. Kelly ayant des rappors sexuels avec une mineure de 13 ans (qui est la nièce de la chanteuse Sparkle). Précédemment, le rapper avait failli se marier avec une fille de 15 ans, Aaliyah, en 1994. En conséquence, plusieurs radios ont déprogrammé R. Kelly de leurs playlists, et des mani-festations anti-Kelly sont organisées à Chicago, fai-sant chuter sensiblement les ventes de The Best of Both Worlds pourtant entré directement n°2 la se-maine de sa sortie aux États-Unis. R. Kelly plaide non coupable et se défend avec une nouvelle chanson Heaven, I Need a Hug. En février 2003, R. Kelly publie Chocolate Factory, et place avec ce disque son 3ème n°1 aux USA. Plus tard dans l'année, R. Kelly enregistre le single Soldier's

The Undertaker, (son vrai nom

est Mark William Calaway) est

un catcheur américain né le 24 mars 1962 dans la ville de

HoustonTexas. Il fait ses dé-buts en 1984. Travaillant dans

l'émission Smackdown! de la WWE.

Il incarne un mort vivant , un homme qui pos-

sède des pouvoirs surnaturels et qui est ca-pable d'apparaî tre dans le brouillard et de s'orienter dans le noir sans lumière... Cela fait plus de 17 ans que Mark Calaway tra-

vaille à la WWE, il est célèbre pour sa téna-cité et certains le considèrent comme une lé-gende de ce sport.

The Undertaker est connu pour être invaincu à WrestleMania, le plus grand show annuel de la

WWE avec 15 victoires pour 15 participations.

Il a aussi remporté le Royal Rumble 2007.

Heart en hommage aux militaires américains présents en Irak. Il écrit et produit Bump, Bump, Bump pour les B2K ainsi que l'album Body Kiss des Isley Brothers, devenant le premier disque du groupe à entrer n°1 aux États-Unis. En 2004,il signe album double intitulé "Happy people/U saved me.l'album se place directe-ment n°2 des vebtes grâce aux singles "Happy people" et "U saved me".En 2005,il sort un nouvel album inti-tulé "TP-3.com Reloaded" dans lequel on le retrouve avec le rappeur The Game. Introduction R. Kelly a vendu plus de 30 millions d’albums dans le monde. En France, on l’a découvert avec I Believe I Can Fly, vendu à 1 million d’exemplaires dans ce pays. On lui doit les débuts d’Aaliyah, ainsi que des duos avec Céline Dion et Puff Daddy, et c’est également R. Kelly qui a écrit pour Michael Jackson Cry et One Mo-re Chance. You are not alone succès de Michael Jack-son, n'a pas été écrit par R. Kelly mais par les compo-siteurs belges Danny et Eddy van Passel, a décrété la cour d'appel de Bruxelles (Belgique) le 11 septembre 2007.

BONKOUNGOU W S BORICE SETABONKOUNGOU W S BORICE SETABONKOUNGOU W S BORICE SETABONKOUNGOU W S BORICE SETA

SOW FATOUMATA 11LLASOW FATOUMATA 11LLASOW FATOUMATA 11LLASOW FATOUMATA 11LLA

TRAORÉ MOHAMED SETATRAORÉ MOHAMED SETATRAORÉ MOHAMED SETATRAORÉ MOHAMED SETA

ouu

Page 16 PORTRAIT D’UN PROF

CISSÉ ASSANATOU 10SB DJONGOUÉ MAXIME 10SB

GINRAS ELAUNA 10SAOUÈDRAOGO CLOVIS LLTB

SIDIBÉ ABDOULAYE 10SA

part, je m’adapte rapidement au milieu et je n’ai aucun problè-me. Qu’auriez-vous aimé changer dans votre caractère ?

Mes défauts ? Tout être a des défauts mais mes défauts ac-tuels, je ne les connaîs pas. Je sais aussi que j’ai des défauts mais je respecte tout le monde et ce qui touche mon prochain, je l’évite très généralement. Il se pourrait que je fasse quelque chose que certains n’aiment pas mais j’essaie toujours pour l’instant de garder un cadre pour mon prochain. Etes-vous marié ? Je suis marié depuis 94. Combien d’enfants avez-vous ?

J’ai quatre gosses : trois garçons et une fille. Comment avez-vous rencontré votre conjointe ?

Alors ça, c’est secret. Je n’aimerais pas vous détailler ça parce que vous allez peut-être me juger en me traitant d’incompétent. Avez-vous déjà été tenté de quitter la profession d’ensei-gnant ?

Bien sûr ! Plusieurs fois j’ai essayé mais malheureusement je suis toujours là. Même demain si j’ai un bon poste je m’en vais. Moi je suis à la recherche du meilleur, toujours le meilleur. On va en avant. Parlez-nous de vos loisirs.

Mes loisirs c’est seulement le journal télévisé et le sport : c’est-à-dire le football. Un point, un trait. Quels sont les conseils que vous donnez à la nouvelle géné-ration ?

Qu’elle se mette au travail. Seul le travail paie. Bientôt avec la mondialisation vous serez à la marge donc prenez le pas. Quel est votre avis sur l’équipe de Kod’News ? Kod’News ? Vous êtes formidable. Je vous embrasse tous. Que ressentez-vous en tant que Prof du mois ?

Un grand plaisir. Dites-nous vos derniers

mots. Je suis le premier mais on ne m’a jamais pris comme prof du mois. Pourtant votre équipe, je ne sais pas depuis combien de temps elle est créée. Je suis l’un des premiers et je pense que je devais être parmi les premiers à passer, ça je ne le cache pas même devant le directeur mais j’ai été laissé de côté. C’est pas grave puisque je ne sais pas garder de rancune. Pouvez-vous donner une bonne recette aux élèves pour qu’ils puissent réussir en maths?

En maths, seul le travail compte. Il faut toujours s’exercer. Même quand on a compris. Il ne faut pas dire j’ai compris et rester les bras croisés. Il faut toujours un crayon et une gom-me pour écrire et effacer. C’est ça apprendre les mathémati-ques. Suivre les bras croisés ce n’est pas les mathématiques peut-être que c’est la littérature mais pas les mathématiques.

Présentez-vous aux lecteurs. Moi, c’est M Zana Dembélé ; Je suis professeur de mathématiques au lycée Kodonso depuis les années 1998-1999. Où avez-vous travaillé avant vo-tre arrivée au lycée Kodonso ? Avant de venir ici, j’ai fait un tour au C.F.T.Q. en Côte D’ivoire. J’ai fait sept ans là-bas et depuis 98 je suis au lycée Kodonso. Quelles étaient vos fonctions ?

Bon, comme je l’avais cité, je suis professeur de Mathématiques. Parlez-nous de votre cursus scolaire et universitaire. Ah! ça c’est compliqué parce que je ne m’en rappelle pas telle-ment! Néanmoins, j’ai fait mon second cycle dans le cercle de Koutiala, mes trois années de lycée à Sikasso et je me suis re-trouvé a l’E.N.sup d’où je suis sorti avec un diplôme en Mathé-matiques. Depuis quand êtes-vous au lycée ?

Je l’ai dit, depuis 98. Je suis le premier professeur inscrit sur la liste des professeurs de Kodonso. Qu’est-ce que cela fait d’être le Premier professeur ? Mais rien parce que le lycée n’était pas créé. A sa création le premier professeur à être contacté par Mr et Mme Sanoh c’é-tait moi. Je venais de la Côte d’ivoire et je travaillais comme vacataire au lycée Massan Makan Diabaté. Que pensez-vous du lycée ?

Un établissement formidable. On y travaille trop d’ailleurs. Parlez-nous de vos relations conflictuelles avec les élèves,

vos collègues.

Bon, avec les élèves ? Peut-être que beaucoup me détestent, je ne sais pas. Parce qu’en matière de points, je ne suis pas simple, je suis exigent, je le sais bien. Pour cela certains peuvent me détester. Mais je n’ai aucun problème avec les professeurs. Vraiment aucun. Comment arrivez-vous à concilier votre vie privée et pro-

fessionnelle ? ça alors ! Un point d’interrogation? Je ne sais pas. Quel genre d’adolescent étiez-vous ? J’étais timide et renfermé. Que pensez-vous de la jeunesse actuelle ?

Une jeunesse vraiment très turbulente. Maintenant la jeunesse a changé mais c’est une question de temps. Qu’auriez-vous aimé faire et quel métier n’auriez vous pas aimé ?

Je n’ai pas du tout souhaité être professeur hein ! ça je vous le confirme ici. Je voulais être docteur mais je n’en ai jamais eu la chance. Je voulais faire les sciences biologiques. Avec les moyennes au lycée, on orientait obligatoirement là où l’élève devait partir. J’ai fait la S.E et pour la deuxième partie je souhaitais soit faire les sciences biologiques, soit faire l’I.P.R. de katibougou mais je n’ai pas pu puisque j’étais un fils de paysan et à l’époque, il fallait être côté pour bien étudier. Quel métier n’auriez-vous pas pu faire ?

Moi je peux tout faire ! Quel est selon vous votre plus grand caractère ?

Comme je l’ai dit, je peux tout faire donc quand je vais quelque

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Page 17 Année 6, n° 16 MUSIQUEMUSIQUEMUSIQUEMUSIQUE Akon (né Alioune Badara Thiam) est un chanteur de R&B américaino-sénégalais né le 30 avril 1973 à Saint-Louis (Sénégal) mais est par la suite parti à Dakar où il a vécu

jusqu’à l’âge de 7 ans. Puis, il est parti s’installer aux États-Unis, à Jersey City, New Jersey. Akon parle anglais et wolof mais pas trop le français contrairement à ce que certains pourraient le penser au vu de son pays natal. Akon a participé dans un des al-bums références de l’histoire du rap:’the score’ des fugees en tant que membre de l’aile Refugees Allstar de Wycleff Jean. Il a quitté le groupe quelque temps après et poursuit depuis une carrière indivi-duelle. Akon compte deux albums à son compte : ‘Trouble’ et ‘Konvicted’, chacun contenant res-pectivement les hits “Locked Up”, “Lonely”, Bananza (Belly Dancer) pour son premier opus et “Smack That”, “I Wanna Love You” et “Don’t matter” pour le second al-bum.

Tu pourras me rejeter la faute (4x) J'ai dit que tu pourras me rejeter la faute (3x) Tu pourras me rejeter la faute [Couplet 2 - Akon] Désolé pour les choses qu'il t'a fait traverser Et pour toutes les fois où tu ne savais pas quoi faire Désolé que tu aies dû partir et vendre ces paquets En essayant de t'occuper en attendant des nouvelles de Papa Telle une grande famille pleine d'amour et de bonheur Et même si Papa nous traitait comme des rois Il avait une seconde femme et tu ne l'acceptais pas Il s'en est allé et t'a laissé toute seule Je suis désolé que tu aies dû te débrouiller par toi-même Je suis désolé d'être parti et d'avoir accentué tes problè-mes Je suis désolé d'avoir fait de ton fils un bandit Je suis désolé d'avoir grandi trop vite J'aurais dû t'écouter et ne pas devenir si mauvais Je suis désolé si ta vie a pris cette tournure Je suis désolé si les Fédéraux sont venus et m'ont em-barqué [Pont] [Couplet 3 - Akon] Je suis désolé si ça a pris tant de temps pour s'en rendre compte Ils avaient tort en essayant de me faire porter le chapeau Je suis désolé si ça a pris tant de temps pour que je parle Mais j'étais en tournée avec Gwen Stefani Je suis désolé pour les problèmes qu'elle a eu à régler Pour l'embarras dans lequel je l'ai mise C'était juste une jeune fille qui voulait s'amuser Son papa ne devrait pas la laisser sortir si jeune Je suis désolé pour le Club Zen qui a dû fermer J'espère qu'ils auront une meilleure gestion la prochaine fois Comment aurais-je pu savoir qu'elle était mineure Le club disait "Réservé aux plus de 21 ans" Pourquoi personne veut porter le blâme Pour avoir sali mon nom Je suis juste un chanteur qui cherche à divertir Et parce que j'aime mes fans alors je porterai le chapeau Même si ça devrait être de votre faute (3x) Je porterai le chapeau pour vous Et tu pourras me rejeter la faute (2x) Tu pourras me rejeter la faute Et tu pourras me rejeter la faute Et tu aurais préféré rester à la maison avec tes gosses Telle une grande famille pleine d'amour et de bonheur Et même si Papa nous traitait comme des rois Il avait une seconde femme et tu ne l'acceptais pas Il s'en est allé et t'a laissé toute seule Je suis désolé que tu aies dû te débrouiller par toi-même Je suis désolé d'être parti et d'avoir accentué tes problè-mes Je suis désolé d'avoir fait de ton fils un bandit Je suis désolé d'avoir grandi trop vite J'aurais dû t'écouter et ne pas devenir si mauvais Je suis désolé si ta vie a pris cette tournure Je suis désolé si les Fédéraux sont venu et m'ont embar-qué [Pont] [Couplet 3 - Akon] Je suis désolé si ça a pris tant de temps pour s'en rendre compte Ils avaient tort en essayant de me faire porter le chapeau Je suis désolé si ça a pris tant de temps pour que je parle Mais j'étais en tournée avec Gwen Stefani Je suis désolé pour les problèmes qu'elle a eu à régler Pour l'embarras dans lequel je l'ai mise C'était juste une jeune fille qui voulait s'amuser Son papa ne devrait pas la laisser sortir si jeune Je suis désolé pour le Club Zen qui a dû fermer J'espère qu'ils auront une meilleure gestion la prochaine fois Comment aurais-je pu savoir qu'elle était mineure Le club disait "Réservé aux plus de 21 ans" Pourquoi personne veut porter le blâme Pour avoir sali mon nom Je suis juste un chanteur qui cherche à divertir Et parce que j'aime mes fans alors je porterai le chapeau Même si ça devrait être de votre faute (3x) Je porterai le chapeau pour vous Et tu pourras me rejeter la faute (2x) Tu pourras me rejeter la faute Et tu pourras me rejeter la faute

Then it's just a shame on me I'll be the reason for your pain and you can put the blame on me [Chorus] You can put the blame on me [4x] Said you can put the blame on me [3x] You can put the blame on me Sorry for the things that he put you through And all the times you didn't know what to do Sorry that you had to go and sell those packs Just trying to stay busy till you heard from Dad And you would rather be home with all your kids As one big family with love and bliss And even though Pops treated us like kings He got a second wife and you didn't agree He got up and left you there all alone I'm sorry that you had to do it on your own I'm sorry that I went and added to your grief I'm sorry that your son was once a thief I'm sorry that I grew up way too fast I wish I would've listened and not be so bad I'm sorry your life turned out this way I'm sorry the FEDS came and took me away [Bridge] I'm sorry that it took so long to see They were dead wrong trying to put it on me I'm sorry that it took so long to speak But I was on tour with Gwen Stefani I'm sorry for the hand that she was dealt For the embarrassment that she felt Just a little young girl trying to have fun Her daddy should never let her out that young I'm sorry for Club Zen getting shut down I hope they manage better next time around How was I to know she was underage Enter 21 you know the club they say Why doesn't anybody wanna take blame For rising back out disgracing my name I'm just a singer trying to entertain Because I love my fans I'll take that blame Even though the blame's on you [3x] I'll take that blame from you And you can put that blame on me [2x] You can put that blame on me And you can put that blame on me

TRADUCTION Plus la vie avance et je commence à apprendre certaines choses sur les responsabilités Je réalise que tout ce que je fais une influence sur les gens autour de moi Donc je vais prendre ce moment pour m'excuser de certaines choses que j'ai faites Et des choses qui ne se sont pas encore passées Et des choses dont ils ne veulent pas endosser la respon-sabilité [Couplet 1 - Akon] Je suis désolé pour les fois où je t'ai laissé à la maison J'étais sur la route et toi tu étais toute seule Je suis désolé pour les fois où j'ai dû partir Je suis désolé pour le fait que je ne savais pas Que tu étais là à la maison en train de souhaiter Que nous pourrions revenir à l'époque où c'était juste toi et moi Je suis désolé pour les fois où j'ai négligé Je suis désolé pour les fois où j'ai manqué de respect Je suis désolé pour les mauvaises choses que j'ai faites Je suis désolé de ne pas être toujours là pour mon fils Je suis désolé de ne pas être conscient Que tu ne peux pas dormir quand je ne suis pas là Parce que je traîne dans les rues comme tous les jours Désolé pour les choses que je n'ai pas dîtes Comme te dire à quel point tu es la plus belle chose au monde Et à quel point je suis fier de t'appeler ma copine [Pont - Akon] Je comprends qu'il y a des problèmes Et je ne suis pas trop aveugle pour le savoir Toute la souffrance que tu gardes en toi Même quand tu penses ne pas la montrer Si je peux m'excuser de ne pas avoir été à la hauteur Alors ce sera juste moi qui aurai honte Je serai la raison de ta douleur et tu pourras me rejeter la faute [Refrain - Akon]

DOUMBIA ADIARATOU 10LA DOUMBIA ADIARATOU 10LA DOUMBIA ADIARATOU 10LA DOUMBIA ADIARATOU 10LA ----DIALLO NANA AÏCHA 2TEADIALLO NANA AÏCHA 2TEADIALLO NANA AÏCHA 2TEADIALLO NANA AÏCHA 2TEA

As life goes on I'm starting to learn more and more about responsibility I realize everything I do is affecting the people around me So I want to take this time out and apologize for things I have done And things that have not occurred yet And the things they don't want to take responsibility for I'm sorry for the times I left you home I was on the road and you were alone I'm sorry for the times that I had to go I'm sorry for the fact that I did not know That you were sitting home just wishing we Could go back to when it was just you and me I'm sorry for the times I would neglect I'm sorry for the times I disrespect I'm sorry for the wrong things that I've done I'm sorry I'm not always there for my son I'm sorry for the fact that I am not aware That you can't sleep at night when I am not there Because I am in the streets like everyday Sorry for the things that I did not say Like how you are the best thing in my world And how I am so proud to call you my girl [Bridge] I understand that there are some problems And I am not too blind to know All the pain you kept inside you Even though you might not show If I can apologize for being wrong

PAROLES DE CHANSON

Sory to blame it on me

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Année 6, n° 16 Page 18 QUE FAIS-TU DE L’AVIS DE TES PARENTS? 1. Ta mère parle à voix basse au télépho-

ne… a) Tu lui demandes avec qui. b) Tu écoutes pour essayer de deviner son interlocuteur. c) Tu t’en vas pour la laisser papoter tran-quillement. 2. Ton père déteste que tu t’habilles sexy et ne se prive pas de te le dire.

a) tu essaies de comprendre pourquoi il ré-agit ainsi. b) tu enrages, ne supportant pas ses com-mentaires. c) tu t’en fiches complètement. 3. Ton Jules est dans les petits papiers

de ta mère. a) Tant mieux, ça te fait plaisir. b) Qu’elle l’apprécie ou non, ta vie personne ne la regarde. c) Mauvais signe ! Il n’est peut-être pas fait pour toi après tout. 4. Peine de cœur en vue… a) tu cherches du réconfort auprès de tes amis. b) Tu hésites à te confier à ta mère, de peur de le regretter. c) Tu composes direct le SOS maman bobo. 5. Ton portable sonne en plein repas. C’est ton (ta) chéri(e).

a) Tu t’éloignes pour lui répondre. b) Tu papotes avec lui sans aucun souci de discrétion. c) Selon ce que vous vous dites, tu choisis ou pas de t’isoler. 6. Sais-tu comment tes parents se sont

rencontrés ? a) Vaguement. b) Non. c) Oui. 7. Discutes-tu parfois avec ta mère dans

ta chambre ? a) Jamais.

b) Parfois c) Souvent 8. Quand tes parents se disputent a) Tu évites de t’en mêler. b) Tu tentes de jouer les arbitres impar-tiaux. c) Tu prends souvent partie.

DE SOUZA ARIELLE 2TEB DICKO ZIDATA 11SEA

DICKO FATTY 1TEA MILLOGO SITAN 10SA

SOLUTION DU TEST Totalise tes a, tes b et tes c. Max de a : tu les tiens à l’écart. Tu refuses que tes parents se mêlent de tes amours. Ils n’ont pas leur mot à dire. Tu mè-nes ta vie sentimentale comme tu l’entends. Tu ne laisses rien filtrer. Tu ne lâches aucune confidence, estimant que ça ne les concerne pas. Max de b : tu sais ce qu’ils pensent. Tu connais à l’avance l’avis de tes parents. Mais tu refuses de choisir tes amoureux selon leurs critères. Au contraire tu aimes les pro-voquer un peu. Même si, au fond, tu n’es pas loin de partager leurs opinions. Max de c : tu penses comme eux. Tu ne veux pas te l’avouer, mais il est impor-tant pour toi que tes parents apprécient ton amoureux, qu’ils cautionnent tes choix. Essaie cependant d’écouter tes propres désirs, car pour ta vie amoureuse, tu es seule juge !

Solution des Charades: C1: Décolleté. 1 Dé 2 Colle 3 Thé C2:Café au lait. 1 Café 2 Eau 3 Lait C3: Montgolfière. 1 Mont 2 Golf 3 Fière C4: Adolescence. 1 A 2 Dos 3 Laisse 4 Sens

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Page 19 Année 6, n° 16 Que sont-ils devenus? 1 Qui êtes-vous et que faites vous actuellement ? Je suis Mlle TOLO Aminata et suis actuellement en stage à la BMS-SA (Banque Malienne de Solidarité) au service crédit. 2 Comment avez-vous choisi le Ly-cée Kodonso pour vos études se-condaires ?

J’ai choisi le lycée KODONSO pour sa régularité dans l’en-seignement, et pour les chances qu’il offre à ses élèves pour leur réussite. 3 Vous êtes de quelle promotion (session Bac) et qu elle série Avez-vous faite au Lycée ? Je suis de la promotion 2001/2002, j’ai fait la série SB (Sciences Biologiques). 4 Pourquoi avez-vous choisi la France pour vos étud es supérieures ? J’ai choisi la France pour mes études en économie principa-lement parce qu’elle est reconnue comme étant un pays où l’enseignement supérieur, surtout dans le domaine de l’éco-nomie, est de très bonne qualité. 5 Quelles raisons vous ont poussées à choisir cett e filière et quelles opportunités offre-t-elle ? J’ai choisi cette filière d’économie pour pouvoir me spéciali-ser en banque et finances, cette spécialité m’a permis d’a-voir un large choix dans le monde professionnel. 6 Dites-nous ce qui vous passionne dans ce que vous faites actuellement ? Ce qui me passionne dans le domaine de la banque c’est le contact permanent avec les clients et les bonnes relations qu’on arrive à faire naître. 7 Quels sont vos futurs projets ? Je compte évoluer en banque et suivre une formation conti-nue. 8 Avez-vous le temps de vous détendre et en faisant quoi ? Oui, les soirs, après le service et les week-ends, soit devant la télé ou à l’aide de sorties. 9 Etes-vous restée en contact avec le lycée (les él èves et les professeurs) ? Puisqu’après l’obtention de mon bac je suis immédiatement partie en France pour mes études supérieures, je n’ai pas pu régulièrement fréquenter le lycée mais j’ai réussi à garder le contact avec quelques élèves et enseignants. 10 Quelle est votre devise favorite ? « Pouvoir, c’est vouloir » 11 Qu’est-ce qui vous manque le plus (quelque chos e qui se trouve au sein du Lycée) ? Ce qui me manque le plus c’est les compétitions sportives (basquet ball) qui étaient régulièrement organisées au sein du lycée pour nous divertir pendant les pauses. 12 Quels conseils donneriez-vous à vos cadets qui s ont encore au Lycée ? Les conseils que je peux donner à mes frères, c’est de sa-voir ce qu’ils veulent dès à présent, et mettre toutes les chances de leurs côtés pour y arriver, sans oublier que l’é-chec est une des clés de la réussite, par conséquent il est très important de pouvoir relever la tête après un échec et aller de l’avant. Je leur souhaite beaucoup de courage et de chance pour leurs études.

1 Qui êtes-vous et que faites vous actuelle-ment ?

Je suis Kadiatou Habib SARRE, je suis à ma der-nière année à la faculté de Droit de Marrakech au Maroc . 2 Comment avez-vous choisi le Lycée Kodonso pour vos études secondaires ?

Ha !!!C’est grâce à mes parents et surtout du fait que le lycée est juste à côté de la maison. 3 Vous êtes de quelle promotion (session Bac) et quelle série Avez-vous faite au lycée ? Je suis de la promotion 2001-2002 ; série littéraire 4 Pourquoi avez-vous choisi Le Maroc pour vos

études supérieures ? J’ai eu une bourse d’études pour aller au Maroc 5 Quelles raisons vous ont poussé à choisir cette filière et quelles opportunités offre-t-elle ?

J’ai choisi le droit car c’était une vocation depuis longtemps et j’ai l’opportunité de travailler dans plu-sieurs domaines. 6 Dites-nous ce qui vous passionne dans ce que

vous faites actuellement ? Les recherches ;les exposés et tant d’autres ! 7 Quels sont vos futurs projets ? j'ai envie de travailler dans les ONG pour apporter de l’aide aux plus démunis ! 8 Avez-vous le temps de vous détendre et en faisant quoi ?

Pas vraiment mais si j’ai l’occasion ; j’en profite pour regarder la télé ou chatter un peu. 9 Etes-vous restée en contact avec le lycée ( les

élèves et les professeurs) ? Oui. Quelques professeurs et surtout avec des ca-marades de classe 10 Quelle est votre devise favorite ? Un Peuple Un But Une Foi !!!! 11 Qu’est-ce qui vous manque le plus (quelque chose qui se trouve au sein du Lycée) ?

Les tigresses du lycée kodonso et surtout les sur-veillants. 12 Quels conseils donneriez-vous à vos cadets

qui sont encore au Lycée ? De travailler sérieusement de respecter leurs pro-fesseurs ; prendre du courage car la vie n’est pas facile ; grâce à la connaissance on peut faire face aux dures épreuves sur cette terre et se faire re-marquer parmi tant d’autres.

DIAKITÉ MOHAMED SHTA KOÏTA SOKONA 11SEA

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« Il faut sauver les enfants du Darfour pendant qu’il est encore temps. Dans quelques mois, ils seront morts ! » Voilà quatre ans que dure le conflit du Darfour, à l’ouest du Soudan. Quatre ans que des millions de civils innocents, pour la plupart des femmes et des enfants, sont massacrés, torturés, violés, pillés, affamés et chassés de leurs villages par la dictature islamiste du gouvernement soudanais ou les milices qu’il a armées, les Janjaweeds. De très nombreux rapports des Nations Unies et de diverses ONG ont dénoncé les atrocités commises sur les populations civiles, les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité perpétrés par les intégristes de Khartoum. Sans effet ! De nombreux médias ont mon-tré au monde entier les images insoutenables de cette popula-tion martyrisée, des « people » se sont mobilisés, des collectifs de soutien à la population du Darfour ont été créés dans plus de 50 pays… Mais l’indifférence générale persiste. Après le Sud Soudan, où plus de 3 000 000 de personnes ont été tuées en vingt ans de conflit, c’est aujourd’hui au Darfour que le gouverne-ment du Soudan impose dans le sang sa tyrannie. Alors que le régime de Khartoum ne « reconnaît » que 9 000 morts au Darfour, les Nations Unies faisaient état d’au moins 200 000 morts dès 2005. Aujourd’hui, en avril 2007, à défaut de bilans officiels sérieux, y compris de la part des institu-tions onusiennes obligées de cacher ou de mini-miser les rapports pour ménager le contexte di-plomatique, l’analyse des bilans des organisations humanitaires démontre que plus de 550 000 per-sonnes ont « disparu » des statistiques. Le bilan est même sans aucun doute beaucoup plus lourd si on tient compte du fait que les ONG et les différentes agences des Nations Unies (Unicef, Programme Alimentaire Mondial, Organisation Mondiale de la Santé, Haut Commissariat aux Réfugiés…) n’ont pas accès à toutes les zones du Darfour, entravées par la police et l’administra-tion soudanaise. Au Darfour, le droit humanitaire n’a pas plus de valeur que les droits de l’homme… Plus de 4 000 000 de personnes sont aujourd’hui touchées par le conflit et des milliers d’enfants du Darfour vont continuer de mourir. Au Darfour, aujourd’hui un enfant meurt toutes les 5 minutes ! Après la Bosnie et le Rwanda, l’ONU et la com-munauté internationale démontrent, une nouvelle fois, qu’elles ne peuvent pas arrêter le massacre. Sur place depuis quatre ans, leur incapacité à faire respecter les droits de l’homme et à protéger les populations civiles coûtent tous les jours en vies humaines. Pour trouver une issue au conflit du Darfour, la communauté internationale ne fait que se reposer et se réfugier derrière les diplomates de l’ONU, donnant parfaitement bien l’illusion qu’elle agit. Une mascarade d’accord de paix a même été signée le 17 mai 2006 entre le gouvernement de Khartoum et quelques factions rebelles. La seule conséquence notoire de cet accord de paix a été une très forte extension des zones de massacres

au Darfour. Pire encore, l’ONU et les agences humanitaires ont, au travers de leurs activités et de leurs diffé-rents programmes, injecté ces dernières années

plusieurs milliards de dollars dans l’économie soudanaise (achats locaux, personnels locaux, taxes diverses, frais de vie des staffs expatriés, organisations humanitaires rackettées par l’administra-tion soudanaise, vols de mar-chandises et de véhicules par les milices qui ont ainsi pu remplacer leurs chameaux par de belles voitures 4x4, etc.). Ces milliards de dollars ont finalement profité en premier lieu aux fondamentalistes de Khartoum et ont renforcé leur puissance et leur pouvoir sur les populations vulnérables. Une simple visite de Khar-toum permet de mesurer combien les Nations Unies et

les grandes entreprises internationales font vivre l’économie de la ville, à un niveau bien supérieur que les villes et villages du Darfour. Une nouvelle fois la diplomatie et la politique onusiennes ont échoué ! Parmi les raisons de ce nouveau fiasco onusien, il faut noter le manque de soutien politique de ses états membres dans la lutte contre le régime sou-danais. La Chine, premier partenaire officiel du régime de Khartoum, joue de son droit de veto pour protéger le Soudan des sanctions internationales et ainsi protéger ses propres approvisionnements en pétrole soudanais et vendre en retour (légalement ou non) autant d’armes que possible à son partenaire sanguinaire. La Chine est dans les faits un véritable complice des crimes contre l’humanité commis au Darfour. Il suffit, pour s’en convaincre, de croiser sur les pistes du Darfour les milliers d’enfants soldats (de 10 à 18 ans), vêtus de guenilles, sans une paire de sandales, mais avec dans les mains une Kalachnikov flambant neuve ! La communauté internationale préfère fermer les yeux sur les massacres des populations civiles et les crimes contre l’humanité, en soulageant sa conscience par quelques subventions aux organi-sations humanitaires, plutôt que de risquer de perturber l’économie mondiale. Ainsi fonctionne le monde des affaires ! Beaucoup réclament aujourd’hui le déploiement des Casques Bleus au Darfour. Cela permettrait, parait-il, de protéger les popula-tions civiles… Un beau trompe-l’œil idéologique car l’ONU ne s’est jamais interposée directement dans un conflit. Aucun pays occidental n’est prêt aujourd-’hui à dépenser de l’argent et à risquer la vie de ses soldats pour une guerre qui n’est pas la sien-ne. Les Casques Bleus n’interviendront au Dar-four que dans quelques années, après de longues négociations avec Khartoum, après des millions de morts. Les populations de l’ex-Yougoslavie, du Rwanda et du Sud Soudan en ont déjà fait les frais par le passé, sans que l’on en tire visiblement de leçon.

Face à cette réalité incontournable et accablante, qui laisse bien peu d’espoir de survie aux popula-tions civiles du Darfour, il faut refuser la fatalité et le sort tragique réservé à plus de 2 millions d’innocents. Les enfants du Darfour, comme les autres, méri-tent de vivre. Conformément aux déclarations universelles des droits de l’homme et des droits de l’enfant, à la convention de Genève de 1949, aux conventions de 1951 et 1989 définissant les droits des enfants réfugiés de guerre, nous pouvons encore sauver les enfants du Darfour en les évacuant des zones de massacres et en leur offrant le droit d’asile en Europe et en Amérique en toute légalité. Le droit international le permet autant que la morale l’impose mais dans latransparence. Nous pouvons, ensemble, sauver les enfants du Darfour en les accueillant dans nos pays en paix.. Nous pouvons tous devenir leur famille d’accueil dans nos pays en paix. Les enfants orphelins, ou « enfants non accompa-gnés », sont les victimes les plus vulnérables de n’importe quel conflit. Sans aucun moyen de subvenir seuls à leurs besoins vitaux car ne dispo-sant pas de l’autonomie d’un adulte, ces enfants sont très rapidement en danger. Les orphelins du Darfour qui n’ont pas la chance d’avoir été pris en charge ni par la communauté locale ni par les organisations internationales, très souvent dépas-sées, se retrouvent rapidement en situation de détresse. Isolés, beaucoup sont condamnés à mourir rapidement ou, pour les plus grands, à être enrôlés de force comme enfant soldat. Plus que toute autre catégorie de victimes, les enfants orphelins sont la priorité. En France, en Grande-Bretagne, aux USA, au Canada, et dans tous les pays d’Europe, plusieurs milliers d’enfants peuvent échapper à une mort programmée si nous leur ouvrons nos bras, nos cœurs et nos foyers ! En s’appuyant sur le droit international et l’aide des ONG, dans le respect du droit et des institu-tions du pays d’accueil, la famille d’accueil assu-rera l’intégration de l’enfant en déposant une demande de droit d’asile. Ces formalités sont très longues, mais pendant ce temps là, l’enfant aura été sauvé et mis à l’abri des dangers. Mais l’extermination en cours au Darfour, n’est-elle pas déjà scandaleuse, illégale et traumatisan-te ? Le commerce du pétrole et des armes, entaché du sang des enfants, n’est-il pas déjà scandaleux, illégal et traumatisant ? Les enfants orphelins du Darfour ayant vu leur village brûlé, leur famille massacrée, leurs sœurs violées ne sont-ils pas déjà exposés à des trauma-tismes et des périls beaucoup plus grands en restant au Darfour ? Il faut sortir de la logique des discours politiques stériles, de l’humanitaire alibi et des négociations diplomatiques interminables… La survie des enfants passe par des actes. Mainte-nant ! Dans quelques mois, ces enfants seront morts.

Dossier: Darfour et les problèmes qui vont avec!

SIMPORÉ FIDÈLE MTEA

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NANAKASSÉ FATOUMATA 11SEA—CISSÉ DJÈNÈBA L 2TEA

Dossier: La dépigmentation problème de société Pourquoi détruire cette belle couleur, qui est la couleur noire ??? La majeu-re partie de nos sœurs pra-tiquant la dépigmentation de la peau communément ap-pelée "tchatcho" au Mali ; « bojou » au Bénin, « xee-sal » au Sénégal et « kob-wakana » ou « kopakola »

dans les deux Congo. Il n'est donc pas étonnant de rencontrer des femmes à deux ou trois couleurs de peau. Les plus malchanceuses se retrouvent avec un vi-sage brûlé au second degré, des tâches et points noirs sur le corps, des vergetures sur les seins, poitrine et cuisses... Pratiquer la dépigmentation c’est contre na-ture, donc attention aux conséquences ! Est ce que beauté de la peau, signifie teint clair? Il y a d'abord cet aspect disgracieux de la peau lorsque la dépigmentation n'est pas uni-forme, on aura dans ce cas des parties qui sont plus dépigmentées que d'autres ce qui donne souvent l'aspect de "peau léopard". C'est généralement le dos, les mains… alors souvent on a l'effet contraire de ce qu'on recherchait. Ensuite la dépigmentation rend

la peau vulnérable, elle n'est plus protégée naturellement par la mélanine ce qui fait qu'on peut avoir facilement des infections soit par des champignons, des bactéries ou par des parasites. On peut aussi avoir des boutons qui poussent de manière exagérée sur le visage et même sur le reste du corps. Sans oublier bien évidemment le cancer de la peau. l'utilisation de l'hydroquinone peut par exemple entraîner l'épaississement de la peau surtout lorsqu'elle est exposée au soleil. Ces conséquences sont manifestes d'autant plus qu'ici, il y a beaucoup de so-leil. Le soleil agit beaucoup dans ce cas. Alors je crois que les conséquences énumérées de-vraient dissuader ceux qui s'adonnent à cette pratique. En cherchant à se faire belle, en cherchant à être clair, on a un risque important d'avoir des maladies graves. Il y a égale-ment les conséquences sociales, parce que quand on se présente avec une peau de léo-pard, vous voyez ce que ça fait !

Rihanna amoureuse de Rihanna amoureuse de Rihanna amoureuse de Rihanna amoureuse de Josh HartnettJosh HartnettJosh HartnettJosh Hartnett Des rumeurs couraient déjà.

Rihanna a tout avoué. Elle est raide dingue folle de Josh Hartnett, l'un des beaux playboys du film Pearl Har-bor.RihannaRihannaRihannaRihanna et Josh Hart-Josh Hart-Josh Hart-Josh Hart-nettnettnettnett : la rumeur d'une idylle entre les deux stars se faisait de plus en plus forte depuis qu'on les avait surpris, il y a un mois dans un club de New York. Mais la belle Barbadien-ne au sex-appeal délirant avait, elle-même, démenti,

sauf qu'elle vient de craquer. Elle a tout avoué, et même plus. "J'ai vraiment craqué pour lui. Je mentirais si je disais que nous ne sommes que des amis. Il est vraiment hot et très gentil pour moi. Lorsque nous sommes ensemble, tout va bien même si la rélation est encore très récente". Ca chauffe, ça brûle !! Rappelons tout de même que dix années les séparent. L'envoûtante Rihanna n'a que 19 ans, et c'est déjà une star au sommet de sa gloire, alors que Josh Hartnett en a 29. Celui-ci fait d'ailleurs plutôt figure de bourreaux des cœurs, puisque parmi ses ex, on peut tout de même compter une Scarlett Jo-Scarlett Jo-Scarlett Jo-Scarlett Jo-hanssonhanssonhanssonhansson et une Penelope Penelope Penelope Penelope CruzCruzCruzCruz. Dur, dur de rivaliser. Enfin, il faut bien dire qu'il ne choisit pas les plus mo-ches le bougre !

George et Renee : c'est reparti !

Décidément, on ne tient plus George Clooney. Il y a quel-ques semaines, on le croyait en train de vivre d'amour et d'eau fraîche auprès de sa partenaire d'Ocean's 13, Ellen Barkin. Mais cela semble déjà être de l'histoire ancienne, puisque George aurait retrou-vé les bras de son ex, Renee Zellweger. Les amours de George se sui-vent et ne se ressemblent définitivement pas. Exit Ellen Barkin, sa dernière conquête âgée de 52 ans, pour laquelle on le disait fou d'amour. George a été pris en flagrant délit de flirt avec l'une de ses nom-breuses ex, la texane Renee Zellweger. Depuis la fin de leur liai-son, les deux acteurs étaient restés très bons amis, mais leurs dernières retrouvailles semblent avoir été particulièrement ten-dres. Tous les deux invités à un mariage, ils se sont retrouvés au restaurant de l'hôtel où ils ont partagé un dîner très romantique. Rappelons que les deux acteurs cumulent les échecs sentimentaux. A 45 ans, George est l'un des célibataires les plus convoités d'Hollywood, mais il ne donne pas l'impression d'avoir l'intention de se fixer une bonne fois pour toutes. Et l'interprète de la célè-bre Bridget Jones n'est pas en reste, puisqu'à 37 ans, elle a en-chaîné les histoires infructueuses, dont un mariage éclair avec le chanteur Kenny Chesney, annulé au bout de sept mois. Et si pour tous les deux, c'était la bonne... Enfin !

KEÏTA YOUMA 2TEA

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Page 22 Poémes PETIT POEME PORTE BONHEUR :

Pour apprendre la valeur d'une année, demande à l'étudiant qui a raté un exa-men. Pour apprendre la valeur d'un mois, demande à la mère qui a mis un enfant au monde trop tôt. Pour apprendre la valeur d'une semaine, demande à l'éditeur d'un journal hebdo-madaire. Pour apprendre la valeur d’une journée, demande à un malade d’hôpital. Pour apprendre la valeur d'une heure, demande aux fiancés qui attendent de se revoir. Pour apprendre la valeur d'une minute, demande à celui qui a raté son train, son bus ou son avion. Pour apprendre la valeur d'une seconde, demande à celui qui a perdu quelqu'un dans un accident. Pour apprendre la valeur d'une millise-conde, demande à celui qui a gagné une médaille d'argent aux jeux Olympiques. Le temps n'attend personne. Rassemble chaque instant qu'il te reste et il sera de grande valeur

Bongoungo W S Boris SETA

A mon magicien du bonheur Ce soleil dans ma vie C’est à toi que je le dois Tu as fait de ma vie Un rêve merveilleux Que je vis dès que je t’entends Dès que tu m’emprisonnes Par la douceur de tes baisers, Par ta tendresse Avant toi, je n’ai connu que les lar-mes Et les détresses. Mais, jour après jour, tout doucement Tu as transpercé mon cœur, Pensé les plaies du passé Et montré le chemin du bonheur. Au cœur de l’hiver, Tu as fait de ma vie un oasis en plein désert Fait jaillir la couleur du futur Mis une telle lueur sur mon trottoir Et un tel feu dans notre histoire Que j’ai encore du mal à y croire °°° Merci mon magicien Pour tant de bonheur Je n’y croyais plus

Gueye Marième 10SA

Pense à moi quand tu veux Aime-moi si tu veux Dis-moi tout ce que tu veux Mais m’empêcher de penser à toi, De t’aimer, de te le dire. Cela oh mon cœur ! Tu ne peux Me l’empêcher.

Ouédraogo Clovis LLTB

A Préparer chaque matin Deux centimètres de patience ; une tasse de bonté ; quatre cuillérées de bonne volonté ; une pincée d’es-poir ; et une bonne dose de foi ; ajouter un paquet de prudence. Deux poignées de tolérance ; quel-ques grains de sympathie, une poi-gnée de cette petite plante rare qu’on homme humilité et une grande mesure de bonne humeur ; assaisonner de bon sens, laisser mijoter sur le feu de l’amour jus-qu’à obtenir une agréable et bonne journée.

Sao Fatoumata SHTA

De temps en temps Je me relève sous ton regard Je fais des rêves où tout va bien Je me bouscule pour te pren-dre la main Au crépuscule je te rejoins J’ai saisi ton cœur comme une poignée d’eau Ce qu’il me faut c’est toi J’aimerais être une hirondel-le pour M’envoler jusqu’à toi Avec tes yeux profonds et clairs Et ton sourire qui me fait fondre Une merveille tombée du ciel Dembélé Korotoumou 10LA

A mon doux mignonnet J’aime la paix du soir La nuit mystérieuse Le doux matin d’espoir Et l’aurore rieuse. J’aime te regarder Le cœur fou d’un bonheur Que je sens déborder A chacune des heures. J’aime tes grands yeux doux Mon gentil bijou. A toi mon proche époux Qui soit illuminé Par mille délicatesses Chaque instant de ma vie Je dis avec tendresse Un infini Merci

Gueye Marième 10SA

BATS-TOI!!! Nos erreurs sont le fruit de nos faiblesses La naïveté de nos actes finit par nous nuire As-tu déjà pensé à tout ce qui te blesse Cette douleur te ronge et tu n’as que tes jambes pour fuir Mais attends ! T’es-tu déjà dit que le passé te rattrapera Au delà des montagnes et des mers tu te les ressasseras ! Alors reviens sur tes pas et bats-toi car : Si tu t’en sors, tu seras plus fort Tu n’envieras plus personne une fois Tu seras en accord avec toi-même Et si tu t’en sors tu seras si grand Parmi tout ce qui t’entoure Et si tu t’en sors redonne un sens à ta vie Fais face à tes erreurs et anéantis la souf-france Il faudra savoir où aller en gardant la tête haute Et si tu t’en sors ce sera la preuve que nul ne connait ses limites Il faut se battre et se faire force Et si tu t’en sors ni la rancœur, ni les remords ne t’atteindront Tu gagneras haut la main et tu ne douteras plus de tes capacités Et si tu t’en moques aujourd’hui c’est parce que tu as accepté ta vie Alors garde les yeux fixés vers l’avenir !

Doumbia Adiaratou 11LLB

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Page 23 Année 6, n° 16 Blagues L’avocat : « Sur les lieux de l’accident, n’avez-vous pas dit au policier que “vous ne vous étiez jamais senti aussi bien de toute votre vie” ? » Le fermier : « C’est exact. » L’avocat : « Et c’est maintenant seulement que vous venez vous plaindre d’avoir été sérieusement blessé dans l’accident entre la voiture de mon client et votre carriole !? » Le fermier : « C’est parce que, lorsque le policier est arrivé sur le lieu de l’accident, il est allé voir mon cheval, qui avait une patte cassée, et il l’a descendu d’une balle dans la tête. Ensuite, il est allé vers Rouky, mon chien qui était couché sur la route et qui se vidait de son sang, et il l’a achevé lui aussi. Alors quand ensuite il s’est approché de moi et m’a de-mandé comment je me sentais, j’ai pensé qu’il va-lait mieux lui dire que j’allais parfaitement bien. »

7h du matin. Un homme rentre à la maison et trouve sa femme qui l'attend de pied ferme : - Alors Superman, tu rentres bien tard ? - Je vais t'expliquer. Je suis vraiment désolé mais j'étais avec des clients et . . . - Et tu as discuté toute la nuit, jusqu'à 7h, c'est ça Super-man ? - Laisse-moi parler, s'il te plaît. J'ai réussi à acquérir un nou-veau client pour la boîte. On a été manger italien et... - Et cela jusqu'à 7h du matin ? Tu me prends pour une demeu-rée, Superman? - Bon OK Ensuite, on a été dans un bar jusqu'à 3h boire quelque chose... - C'est ça Superman, jusqu'à 3h... Et qu'as-tu fait jusqu'à 7h, Superman ? - Euh... Ensuite, on a été dans un bar à strip-tease mais je n'ai fait que regarder. C'était chiant, sans intérêt et ... - C'est ça, Superman, prends moi pour une buse ! Tu as seule-ment regardé et tu as tranquillement attendu... C'est ça Su-perman ? - Laisse-moi t'expliquer s'il te plaît. Mais au fait, pourquoi m'appelles-tu tout le temps Superman ? - Parce qu'il n'y a que Superman qui porte le slip par-dessus le pantalon

décédée ce matin. Un accident de voiture. Je vous ai fait appeler pour que vous lui annonciez la nou-velle avec tact. Dugenou est un garçon sensible, et vous saurez le ménager. - Bien mon colonel ! » Lafleur sort du bureau du Colonel et fait sonner le rassemblement. Une fois devant la compagnie ras-semblée, il vocifère : « Les ceusses dont la soeur est morte, un pas en avant ! » Personne ne bouge. « Dugenou ! Vous m’frez quinze jours de trou pour non obéissance aux ordres ! »

Le père divorcé depuis 15 ans dit à sa fille qui vient d'avoir ses 18 ans, donc majeure: Élisabeth voici le chèque de pension alimen-taire à remettre à ta mère. Tu lui diras qu'enfin c'est le dernier!! ET à ce moment là, regarde bien sa tête !!! Elisabeth se rend chez sa mère et exécute point pour point le message de son père. La mère, sans hésitation, réplique en disant à sa fille: Vas voir ton père et dis lui que je le remercie beaucoup, dis lui également qu'il n'est pas ton père et regarde bien sa tête à ce moment là!!!

Dugenou fait son service dans un régiment d’infan-terie. Sa soeur vient de mourir dans un accident de voiture, mais il ne le sait pas encore. Son colonel l’apprend via la brigade de gendarmerie et fait ap-peler l’adjudant : « Adjudant Lafleur ! À vos ordres mon colonel ! - Oui, dites-moi, Lafleur, la soeur de Dugenou est

L’ambassadeur de Kodonso rend visite au Prési-dent de Lafia. On le fait patienter dans un boudoir dans lequel il discute avec deux ministres de Lafia avant d’être reçu par le Président. Lorsque le président le reçoit, l’ambassadeur dit : « Monsieur le Président, je ne voudrais pas vous importuner ni porter des accusations infondées, mais pendant que j’attendais que vous puissiez me recevoir et que je discutais avec deux minis-tres de votre gouvernement, ma montre en or a disparu... » Le président soupire et lui répond : « Ne vous inquiétez pas, je m’occupe de ça tout de suite et je reviens dans deux minutes. » Deux minutes plus tard, le président est de retour avec la montre. L’ambassadeur le remercie : « Monsieur le Président, je suis très heureux. J’o-se espérer que cela ne créera pas de situation de crise dans le gouvernement... » Et le président répond : « Ne vous inquiétez pas. Ils n’ont rien remarqué. »

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CITATIONS

Du moment que le bonheur, c’est de vivre, on doit le

trouver aussi bien dans la douleur que dans le plaisir

et parfois jusque dans l’ennui. M. JOUHANDEAU, Réflexions sur la vie et le bonheur.

Faites la conquête de votre ennemi par la force, et vous augmenterez son hostilité ; faites sa conquête par l’amour, et vous ne moissonnerez aucune peine ultérieure. FOFOFOFO----SHOSHOSHOSHO----HINGHINGHINGHING----TSANTSANTSANTSAN----KINGKINGKINGKING.

Ecoutez beaucoup, afin de diminuer vos doutes ; soyez attentif à ce que vous dites, afin de ne rien dire de superflu ; alors, vous commettrez rarement des fautes.

CONFUCIUS, DOCTRINECONFUCIUS, DOCTRINECONFUCIUS, DOCTRINECONFUCIUS, DOCTRINE ; LE LUN; LE LUN; LE LUN; LE LUN----YU.YU.YU.YU.

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