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1 ÉCOLE DES PONTS PARISTECH |2014-2015 Mini-Projet : Étude des effets de l’implantation De Grand Paris Express sur la zone « Le Vert de Maisons 2 » Méthodes d’Analyse des Systèmes Territoriaux Février 2015 Jhemes FERREIRA SILVA Alejandro SÁNCHEZ CALATAYUD

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ÉCOLE DES PONTS PARISTECH |2014-2015

Mini-Projet : Étude des effets de l’implantation

De Grand Paris Express sur la zone

« Le Vert de Maisons 2 »

Méthodes d’Analyse des Systèmes Territoriaux

Février 2015

Jhemes FERREIRA SILVA

Alejandro SÁNCHEZ CALATAYUD

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Introduction

Le dossier présent s’inscrit dans le cadre d’évaluation du cours de Méthodes d’Analyse de Systèmes

Territoriaux. Le but de ce dossier est d’analyser une zone d’étude, présenter le scénario

d’aménagement et commenter l’impact du Grand Paris Express sur la zone en question.

La première partie du rapport portera sur la présentation générale du projet « Grand Paris

Express » et quelle est la place de notre zone dans le contexte du projet GPE. De suite, nous

relèverons la localisation et le contexte actuel de notre zone.

Dans la deuxième partie nous analyserons notre zone d’étude « Le Vert de Maisons 2 » avec l’aide

de l’outil informatique TransCAD et nous présenterons les faits les plus intéressants de notre

analyse grâce aux différents cartes et diagrammes ainsi que l’évolution qui donne lieu à la situation

actuelle.

La troisième partie présentera l’impact du GPE sur notre zone d’étude avec l’aide du modèle à

quatre étapes.

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1. Le contexte de l’étude

Le Grand Paris Express

L’objectif d’un projet tellement énorme et ambitieux est de répondre à la demande croissante de

transport dans toute la région d’Île de France. Avec la construction de 200 km de métro (qui

comprennent des prolongements de lignes de métro et RER mais aussi de la création de nouvelles

lignes de métro automatique) et 72 gares jusqu’à 2030, la région francilienne a l’intention de faire

des progrès en matière de cohésion territoriale, aménagement responsable, réduction de la

pollution urbaine et croissance urbaine équitable. Ce projet ouvre la possibilité à la création des

nouveaux pôles d’emploi dans les localisations des futures gares et au même temps permettra de

débloquer le centre urbaine de Paris.

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La Ligne 15 de Métro

La future gare « Le Vert de Maisons » sera encadrée dans la ligne 15 qui sera comme un anneau qui

fera le tour de la grande métropole parisienne.

La Gare « Le Vert de Maisons »

Actuellement, la gare « Le Vert de Maisons » fait partie de la ligne de RER D et elle n’a pas un trafic

de voyageurs très important. Cependant, avec la nouvelle gare de métro, les prévisions sont d’avoir

8500 voyageurs à l’heure pointe du matin. En plus, les temps de trajets seront réduits par exemple

de 60 minutes à 15 minutes pour arriver à Châtillon-Montrouge et de 60 minutes à 9 minutes pour

arriver à Bry-Villiers-Champigny. La gare sera souterraine et les quais seront à 36 m de profondeur.

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La Commune Maisons-Alfort

La zone d’étude se trouve dans la commune de Maisons-Alfort qui appartient au département Val

de Marne ; elle est à 3 Km de Paris puis il y a 53834 habitants.

2. Analyse Territorial

L’usage de sol

Une analyse thématique de l’usage de sol de notre zone révèle que la plupart de la surface est

consacrée aux logements (un 40.87% entre habitats individuels et habitats collectifs). La deuxième

utilisation par pourcentage de surface consacrée est l’activité économique et industrielle et après

des équipements, zones urbaines ouverts et zones de transport.

13.54

24.76

16.11

34.34

4.017.24

2008Area boisArea CulturesArea EauArea Autre ruralArea Urbain ouvertArea Habitat individuelArea Habitat collectifArea ActivitésArea EquipementsArea TransportArea Chantier

Figure 1- Carte d’usage de sol et graphique de

répartition par pourcentage (2008)

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Cependant, la même analyse effectuée dans les années 1990 et 1999 montre qu’il n’y a pas eu

aucun changement significatif en l’usage de sol pendant les deux dernières décennies. Étant donné

que cette zone est le résultat du développement chaotique pendant l’époque d’expansion des

banlieues parisiennes (1949-1975), elle n’a pas connu aucune évolution dès ce moment-là.

Population. Evolution et découplage

13.54

24.76

16.11

34.34

4.017.24 1990

13.54

24.76

16.11

34.34

4.017.24 1999

Figure 2- Carte d’usage de sol et graphique de

répartition par pourcentage (1990)

Figure 3- Carte d’usage de sol et graphique de

répartition par pourcentage (1999)

La population actuelle de Maisons-Alfort

atteint les 53834 habitants (les mêmes

chiffres que pendant les années 70 mais

qui sont stabilisées depuis 2006).

Figure 4- Table et graphique de l’évolution de la

population en termes absolus.

La pyramide de population de la commune montre le

scénario typique d’une ville européenne et elle suit la

tendance que nous pouvons observer dans les communes

limitrophes, le département de Val de Marne, la ville de

Paris et même l’ensemble de la région d’Île de France,

autrement dit, une population vieillie. La pyramide de

population commence à s’inverser à cause de la réduction

de la natalité puis le rang d’âge le plus nombreux est entre

30 et 45 ans.

Figure 5- Pyramide de population par sexe

7

Par contre la densité de population de la zone d’étude ne suit pas la tendance de reste de

département, elle est assez élevée (environ 8000 hab/Km2) par rapport au reste des communes

mais ce fait est dû à sa proximité avec la métropole parisienne. En plus, Maisons-Alfort est une des

communes les plus peuplées du département.

Par rapport à l’évolution historique de la population dans tout le département il existe des

comportements très différents selon la commune. Dans note cas, Maisons-Alfort présente un taux

de croissance de population depuis 1968 presque nul.

Figure 6- Carte de densité de population (hab/Km2) du

département Val de Marne

Figure 7- Carte de taux de croissance de population

entre 1968 et 2007 + Histogrammes de population

du département Val de Marne

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Activité. Pôle d’emploi

En ce qui concerne à l’activité économique de Maisons-Alfort, la proportion de population active

est de 93.5% (située sur la moyenne du département). Dans cette population active, la partie qui a

vraiment du travail, autrement dit les actifs occupés, est le 75%. Ce chiffre-là est significativement

élevé par rapport au reste de communes du département.

La composition de ces actifs est assez équilibrée, il y a un pourcentage de cadre de 15% puis un 11%

d’ouvriers. Ces deux Catégories Socio-Professionnelles (CSP) significatives montrent un

comportement sur la moyenne du département.

Figure 9- Carte de pourcentage des

actifs occupés (sur population active) Figure 8- Carte de pourcentage de

population active (sur population total)

Figure 10- Carte de pourcentage des

cadres (sur actifs occupés)

Figure 11- Carte de pourcentage des

ouvriers (sur actifs occupés)

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Analyse de l’habitat

La densité de logements de notre zone d’étude est environ 4750 log/Km2, celle qui est raisonnable

si nous considérons la densité de population et l’environnement où notre zone se trouve. Le

découplage de ces logements montre que la plupart (environ 80%) sont des logements individuels

et qu’au même temps il existe une répartition de logements propriétaires (40%), logements

location (40%) et HLM (20%).

Figure 14- Carte de proportions de

logements Propriétaire-Location-HLM

Figure 13- Carte de proportions de

logements individuels-collectifs

Figure 12- Carte de densité de logements

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Mobilité

Le pôle d’emplois de Maisons-Alfort génère des déplacements domicile-travail importants, de

nombreux actifs provenant de toute la métropole parisienne viennent y travailler. Leur accessibilité

est favorisée par le RER D et l’autoroute A86. Au même temps, les actifs de cette commune

travaillant ailleurs tendent à se déplacer principalement vers Paris, Noisy-le-Grand.

Une étude détaillée des flux sortants et entrants montre une majorité des flux sortants (25400 par

rapport à les 16200 flux entrants) et des distances pondérées assez importantes (180600 Kms de

déplacements sortants et 117300 Kms de déplacements entrants).

3. Affectation et des impacts environnementaux

Pour effectuer l’étude des effets de l’implantation du GPE dans la zone « Le Vert de Maisons » nous

allons faire usage d’une méthode à quatre étapes (Génération, Choix Modal, Distribution et

Affectation).

Génération

Pour cette première partie nous allons présenter les déplacements domicile-travail et travail-

domicile qui sont générés et reçus dans chaque zone d’étude et en plus s’ils s’agissent de

déplacements captifs (qui n’ont pas de voiture personnelle et qui sont donc usagers des moyens de

transport en commun) ou non-captifs (qui ont des voitures personnelles). Ces déplacements seront

ultérieurement considérés pour l’affectation du réseau routier et du réseau de transport en

commun.

Figure 15- Carte de volume de déplacements Domicile-

Travail émis-reçus et proportion par Captif-Non Captif

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Nous pouvons constater que le volume de déplacement est plus petit que celui des zones

adjacentes puis il est composé par des déplacements non-captifs (autant de D-T que T-D).

Distribution et Choix Modale

Une fois les déplacements dès chaque zone sont générés, il faudra comprendre quel moyen de

transport est élu pour réaliser chaque déplacement puis quel est l’origine et destination de chacun.

Figure 16- Carte de volume de déplacements Travail-

Domicile émis-reçus et proportion par Captif-Non Captif

Figure 17- Exemple de carte de proportion de choix modale pour les

déplacements T-D Captifs émis dès la zone 1068 (Sans GPE)

L’observation des cartes

révèle que les déplacements

avec origine en notre zone et

dirigés aux zones adjacentes

sont faits par Modes Doux et

ceux qui sont dirigés aux reste

de zones sont faits par

Transport en Commun ou

Voiture Personnelle en

dépendant du type de

déplacement (captifs et non

captifs respectivement).

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Affectation routière

En ayant les déplacements générés dès chaque zone à chaque zone et le moyen de transport choisi

en chaque cas nous sommes maintenant capables d’affecter un réseau routier existant avec ces

déplacements et d’observer les effets produits comme par exemple la vitesse moyenne de

circulation en chaque tronçon qui compose le réseau ou la relation entre le volume de trafic et la

capacité de chaque tronçon.

Les résultats observés, contraires à l’intuition, montrent que la vitesse moyenne est réduite et le

volume de trafic est plus proche à la capacité.

Figure 18- Carte de vitesse moyenne dans le réseau

routier et les flux supportés (Sans GPE)

Figure 19- Carte de vitesse moyenne dans le réseau

routier et les flux supportés (Avec GPE)

Figure 20- Carte de relation V/C dans le réseau

routier et les flux supportés (Sans GPE) Figure 21- Carte de relation V/C dans le réseau

routier et les flux supportés (Avec GPE)

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D’ailleurs, une étude de temps de voyages dès notre zone, avec des Isochrones, montre que il se

produit une remarquable réduction de temps de trajet après l’implantation du GPE.

Figure 22- Carte des Isochrones dès Le Vert de Maisons (Sans GPE) [min]

Figure 23- Carte des Isochrones dès Le Vert de Maisons (Avec GPE) [min]

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Impacts environnementaux routiers

Les indicateurs de consommation de carburant et des émissions des gaz à effet de Serre (CO2, NOx)

sont une alternative pour évaluer et insister sur les conséquences de l’implantation du GPE.

En cohérence avec l’augmentation des flux déjà constatée, il existe plus de consommation de

carburant après l’implantation du GPE.

Figure 24- Carte de la Consommation de Carburant

(Déplacements dès Le Vert de Maisons) (Sans GPE) [kg/voy]

Figure 25- Carte de la Consommation de Carburant

(Déplacements dès Le Vert de Maisons) (Avec GPE) [kg/voy]

Figure 26- Carte de la Consommation de Carburant

(Déplacements vers Le Vert de Maisons) (Sans GPE) [kg/voy] Figure 27- Carte de la Consommation de Carburant

(Déplacements vers Le Vert de Maisons) (Avec GPE) [kg/voy]

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Par rapport à l’émission des Gaz à Effet de Serre (GES) nous observons aussi une faible

augmentation des émissions de CO2 dans les déplacements dès et vers « Le Vert de Maisons »

Figure 28- Carte des Émissions de CO2 (Déplacements dès Le

Vert de Maisons) (Sans GPE) [kg/voy]

Figure 29- Carte des Émissions de CO2 (Déplacements dès Le

Vert de Maisons) (Avec GPE) [kg/voy]

Figure 30- Carte des Émissions de CO2 (Déplacements vers Le

Vert de Maisons) (Sans GPE) [kg/voy]

Figure 31- Carte des Émissions de CO2 (Déplacements vers Le

Vert de Maisons) (Avec GPE) [kg/voy]

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Finalement, les émissions de NOx sont cohérentes avec l’évolution des flux observée après

l’implantation du GPE mais nous ne pouvons pas observer un changement global significatif.

Affectation Transport en Commun

Avec la même procédure que nous avons déjà utilisée pour le réseau routier, nous allons affecter le

réseau de transport en commun (Train, RER, Metro, Tramway et Bus) avec les déplacements

considérés.

Figure 32- Carte des Émissions de NOx (Déplacements

dès Le Vert de Maisons) (Sans GPE) [kg/voy]

Figure 33- Carte des Émissions de NOx (Déplacements

dès Le Vert de Maisons) (Avec GPE) [kg/voy]

Figure 34- Carte des Émissions de NOx (Déplacements

vers Le Vert de Maisons) (Sans GPE) [kg/voy]

Figure 35- Carte des Émissions de NOx (Déplacements

vers Le Vert de Maisons) (Avec GPE) [kg/voy]

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La première variable à évaluer est le nombre de fréquences des missions. Les cartes montrent une

meilleure répartition des fréquences grâce à l’existence des nouvelles lignes de Metro.

Si nous faisons une discrimination des fréquences par communes le résultat montre la évidente

concentration autour de Paris et une faible mais équilibrée dans le territoire augmentation des

fréquences après l’implantation du GPE.

Figure 36- Carte des fréquences par tronçon (Sans GPE) Figure 37- Carte des fréquences par tronçon (Avec GPE)

Figure 38- Carte des fréquences par communes (Sans GPE) Figure 39- Carte des fréquences par communes (Avec GPE)

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Un exercice que nous avons considéré intéressant et révélateur du changement de scénario après

l’implantation du GPE est de retrouver le chemin optimal (avec deux méthodes différentes

disponibles dans le logiciel TransCAD : le Plus Court Chemin et le Pathfinder) entre deux points

stratégiques.

ORIGINE SCÉNARIO CDG Orly Noisy-Champs Chatelet-Les Halles

Sans GPE9.25'R + 5.47'M + 27.53'B

+ 3.89'P14.76'B 29.26'R 12.91'R

Avec GPE 20.84'R + 25.51'M17.26'M + 0.84'B +

0.88'P14.82'M 12.91'R

'B: Minutes de trajet en Bus

'P: Minutes de trajet Marche à pied

DESTINATION

Le Vert de

Maisons

'T: Minutes de trajet en Train

'R: Minutes de trajet en RER

'M: Minutes de trajet en Metro

'Tr: Minutes de trajet en Tramway

Figure 40- Table des temps de trajet (PCC)

ORIGINE SCÉNARIO CDG Orly Noisy-Champs Chatelet-Les Halles

Sans GPE 50.25'R 13.99'B + 0.75'P 29.96'R 12.91'R

Avec GPE 20.84'R + 25.51'M 17.26'M + 0.84'B 14.82'M 12.91'R

'B: Minutes de trajet en Bus

'P: Minutes de trajet Marche à pied

DESTINATION

Le Vert de

Maisons

'T: Minutes de trajet en Train

'R: Minutes de trajet en RER

'M: Minutes de trajet en Metro

'Tr: Minutes de trajet en Tramway

Figure 41- Table des temps de trajet (Pathfinder)

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Ces tables démontrent que les résultats sont bien différents d’après une méthode ou l’autre dans le

scénario initial, cependant après l’implantation du GPE toutes les deux méthodes coïncident. Pour

certains itinéraires le changement n’est pas visible car il s’agit de trajectoires directes et évidentes

(comme dans le cas Vert de Maisons-Chatelet Les Halles) puis pour d’autres l’amélioration est bien

remarquable.

Impacts environnementaux par Transport en Commun

L’analyse à réaliser est identique à celui déjà effectué pour le transport routier, c’est-à-dire, l’étude

de la consommation de carburant et de la production de CO2 (par moyen de Transport en

Commun) après l’implantation du GPE.

Figure 42- Carte d’Isochrones de Coût Généralisé des

moyens de Transport en Commun dès Le Vert de Maisons

En plus, une carte d’Isochrones de

Coût Généralisé des moyens de

Transport en Commun (dès Le Vert de

Maisons) montre que pratiquement la

totalité de Paris et la Petite Couronne

peuvent être atteint avec un coût

assez modéré grâce à l’implantation

du Grand Paris Express.

Figure 42- Carte de consommation de carburant par

tronçon de Metro [gep/voy] (Avec GPE) Figure 43- Carte de consommation de carburant par

tronçon de RER+Train [gep/voy] (Avec GPE)

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Figure 44- Carte de consommation

de carburant par tronçon de Bus

[gep/voy] (Avec GPE)

Figure 46- Carte d’émissions de CO2 par tronçon de

RER+Train [g/voy] (Avec GPE) Figure 45- Carte d’émissions de CO2 par tronçon de Metro

[g/voy] (Avec GPE)

Figure 47- Carte d’émissions

de CO2 par tronçon de Bus

[g/voy] (Avec GPE)

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4. Conclusion

Comme conclusion à cette Mini-Projet nous allons rassembler quelques idées fondamentales que

nous avons obtenues.

La Commune de Maisons-Alfort où notre zone d’étude est localisée forme partie des banlieues de la

petite couronne francilienne développée rapidement entre les années 1949 et 1975. Depuis le fin

de ce développement urbanistique il ne se produit pas aucun changement substantiel dans la

population ni l’usage du sol (lequel est consacré la plupart aux activités économiques). La zone est

un pôle d’emploi avec un taux d’occupation élevée et une qualification professionnelle

intermédiaire. La densité de logements est courante par rapport aux zones adjacentes et nous

observons une égalité de logements en location et propriétaires. En plus, une balance de mobilité

de la zone montre que la majorité des déplacements sont sortants.

L’implantation du GPE rend une augmentation généralisée des flux routiers en et par conséquent il

existe plus de consommation de carburant et des émissions de CO2 et NOx. Au même temps, nous

observons une réduction considérable du temps de trajet dès et vers « Le Vert de Maisons ».

D’ailleurs, l’existence de plus d’offre de Transport en Commun entraîne plus de fréquences des

missions et aussi des fréquences plus partagées dans le territoire. Nous constatons (avec des

exemples concrets) un changement d’itinéraire dans les déplacements stratégiques. Par rapport

aux impacts environnementaux il se produit une réduction des consommations et émissions par

voyageur dans tous les moyens puisque le nombre de voyageurs est plus grand après l’implantation

du GPE.