Bien-êtreHUILES ESSENTIELLES, comment bien les

utiliser ? p 7

SUCRES CACHÉS : déjouez

les pièges ! p 6

FamilleFRATRIE : Quelles

relations selon l'écart d'âge ? p 6

LE JOURNAL D’INFORMATION DE MIE MUTUELLEMIE PLUS

N#5 JUIN 2016

LE SPORT

Plus fort que les médocs ?

P 4-5

2

EditoVotre mutuelle continue d’élargir son offre de services en proposant, dès la rentrée,

l’application mobile à télécharger sur votre téléphone. Cette application entièrement

gratuite devrait encore plus faciliter nos échanges, où que vous soyez, partout en France.

Afi n de compléter et diversifi er notre offre, nous avons développé, au sein de notre

équipe commerciale, une gamme de produits labellisés à destination des personnels des

collectivités territoriales et obtenons déjà une bonne reconnaissance dans ce domaine,

particulièrement auprès des mairies de notre secteur géographique. La MIE sera donc

présente, en tenant un stand au Salon des Maires, porte de Versailles du 31 mai au 2 juin

2016.

Comme chaque année au mois de juin, nous tiendrons notre Assemblée Générale. Elle

aura lieu le mercredi 15 juin 2016 à Paris. Merci d’avance à tous les délégués élus de

nous assurer de leur présence en nous retournant le coupon joint à l’invitation qui leur a

été adressée. Arrivant au terme des trois ans, de nouvelles élections de délégués seront

organisées au sein des différents collèges. Un appel à candidature paraîtra dans notre

prochain numéro MIE PLUS.

Je vous souhaite de passer un bel été en prenant soin de votre santé !

Merci encore pour votre confi ance et votre fi délité.

Michel CÉNERAY, Président

N # 5 JUIN 2016

Bien-êtreHUILES ESSENTIELLES, comment bien les

utiliser p 7

NNuttritionnnSUCRES CACHÉS :

déjouez les pièges ! p 6

FamilleFRATRIE : Quelles

relations selon l'écart d'âge ? p 6

LE JOURNAL D’INFORMATION DE MIE MUTUELLEMIE PLUS

N#5 JUIN 2016

LE SPORT

Plus fort que les médocs ?

P 4-5

MIE Plus n° 5 - trimestriel Siège MIE : Immeuble Le Péricentre

16 avenue Louison Bobet CS 60005

94132 Fontenay-sous-Bois Cedex

Tél : 01 43 96 74 10

Site internet : www.mutuelle-mie.fr

Mail : info@mutuelle-mie.fr

Directeur de la publication :

Véronique DUBOIS

Conception, et réalisation :

www.agence-multimodal.fr

Crédits photos : thinkstock

LE JOURNAL D’INFORMATION DE MIE MUTUELLEMIE PLUS

1 moismois offertoffert* *Le premier mois de cotisation est offert sauf changement de garantie

Notre gamme pour les sortants Entreprises

4 niveaux de garanties s’offrent à vous : Ambiance • Atmosphère • Perspective • Horizon

« Ma Carte Santé » est ouverte pour les ex-salariés, les

futurs retraités et les retraités des entreprises gérées par

MIE. Cette gamme est adaptée spécialement pour

nos adhérents et se rapproche du niveau de garanties

collectives avec un tarif attractif.

Pour recevoir une étude personnalisée, contactez-le

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MA CARTE SANTE

3

MIE PLUS

Cette année nos délégués et administrateurs

ont rendez-vous le 15 juin 2016 à la Maison de l’Amérique Latine à Paris.

Tous les délégués auront l’opportunité de rencontrer

les instances politiques et opérationnelles de la MIE,

dans un contexte convivial.

Espérons que le soleil accompagnera notre mutuelle

pour le cocktail de clôture dans le jardin.

LA MAISON DEL’AMÉRIQUE LATINE

A partir du mois de juillet 2016, la MIE se munit d’un nouveau service : son application mobile santé (iPhone, Android, Windows).

Cette application vous donnera accès à :

• Votre compte reprenant vos informations personnelles

et celles de vos ayants-droit

• La visualisation de votre carte tiers-payant

• Vos remboursements payés et en cours de traitement

• Vos échéances de cotisations si vous êtes un particulier

• La géolocalisation des professionnels de santé

• Vos contacts MIE

• Vos messages

ACCÈS AUX

NUMÉROS UTILES

ACCÈS À

« MON COMPTE »

PASTILLE DE

MESSAGE NON LU

PASTILLE DE

REMBOURSEMENT

NON VU

RECHERCHE D’UNE PROFESSION

PAR AUTOCOMPLÉTION

E PROFESSION

MPLÉTION

PICTOGRAMMES REPRÉSENTATIFS

DES PRINCIPALES SPÉCIALITÉS

DIFFÉRENTES ACTIONS

DISPONIBLES

Actualités MIE

4

Plus fort que les médocs ?

MIE PLUS

Dossier

Encouragée, voire prescrite par les médecins, la pratique d’une activité sportive peut être une façon de mieux lutter contre la maladie, pour ne pas compter sur les seuls médicaments.

Si la pratique d’un sport est re-

commandée pour conserver

la santé, elle est également

conseillée aux personnes atteintes

de certaines pathologies pour

en retarder les effets ou mieux

supporter leur traitement.

Régulière, raisonnée et raisonnable

Outre le bien-être immédiat lié à la libération d’endorphines,

une dépense énergétique de 1 100 à 1 700 calories par semaine

entraîne une réduction de la mortalité de l’ordre de 30 %. Elle

s’obtient par une pratique d’activité physique modérée d’au

moins 3 heures ou trois fois 20 minutes par semaine.

Pour les malades chroniques, l’activité doit être choisie après

discussion avec les médecins et être régulière, raisonnée et

raisonnable. Il s’agit de mettre en place une activité d’entretien

continue, sans dépasser les capacités maximales du cœur. Le

sport permet, en effet, de mieux supporter les traitements et de

combattre l’inconfort psychique d’une maladie. Effi cace contre

l’hypertension artérielle, le diabète et les maladies cardiovascu-

laires, cette pratique constitue un complément thérapeutique

effi cace pour de nombreuses affectations.

Le sport sur ordonnance émerge

Des activités physiques et sportives régulières, d’intensité modérée,

peuvent être indiquées dans le cadre de prescriptions médicales,

prises en charge par la Sécurité sociale. Après Strasbourg, pre-

mière ville de France à se lancer dans le sport sur ordonnance

en 2012, c'est au tour de Paris d'offi cialiser son intérêt pour le

concept. L'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), qui

regroupe 39 établissements de la région parisienne, et l'État ont

signé une convention pour l'accueil de 750 malades chroniques

sur des plateformes dédiées à la pratique sportive. Pour s'assurer

d'une assiduité suffi sante et offrir aux malades un cadre adapté

à leurs besoins spécifi ques, la pratique sportive est proposée dans

un cadre dédié, avec des éducateurs

formés.

L'amendement Fourneyron en a fait

entrer le principe dans la loi santé de

2015. Outre ces premières initiatives, le

concept est déjà développé depuis

plusieurs années de façon indépendante

par des hôpitaux ou des associations

comme la Cami (qui propose des

séances sportives aux personnes atteintes

de cancer dans une soixantaine de

centres en France).

LE SPORT

Prescrite par le médecin, l’activité physique peut-elle remplacer un traitement médicamenteux ?

5

MIE PLUS

ASTUCES

L’activité anti-âge en chiffres

71% des Français pratiquent une activité physique entre 55 et 59 ans

25% restent actifs après 75 ans.

50% des muscles soutiens du squelette se perdent entre 20 et 80 ans.

80% des plus de 85 ans font au moins une chute dans l’année, première cause de mortalité après 60 ans.

10% des décès en Europe sont dus à la sédentarité. L’Organisation Mondiale de la Santé l’a reconnue comme la première cause de mortalité évitable dans le monde.

30 minutes d’exercices physiques, répétées 3 fois par semaine, sont aussi effi caces qu’un traitement antidépresseur.

TÊTE : Jusqu’à cinq fois plus d’endorphines se

libèrent dans le cerveau. A la clé : bien-être

physique et mental. La qualité du sommeil est meilleure. Le sport permet aussi de lutter contre la dépression.

POUMONS : L’activité physique est l’outil thérapeutique le plus performant dans le traitement de la broncho-pneumopathie.

POIDS : L’activité physique ne fait pas perdre de poids, car

elle augmente la masse musculaire. Mais elle tonifi e la silhouette et réduit, notamment, la graisse abdominale.

COEUR : Le risque d’hypertension artérielle diminue. Pour les patients hypertendus, la pression artérielle est réduite et le traitement médicamenteux peut être rendu inutile.

CÔLON : le risque du cancer du côlon

diminue de 40 à 50 % et les risques de récidive

de 61 %.

DOS : la fréquence des lombalgies et les troubles musculo-squelettiques diminuent grâce au renforcement musculaire.

Le bénéfi ce de l’activité physique sur notre santé mentale est important. Dans certains cas, une séance de gym est plus utile qu’un antidépresseur.

On le sait tous, lorsque l’on se sent anxieux

ou qu’on a le moral en berne, rien de tel

qu’une séance de sport pour se vider la

tête. Car si le sport est bon pour la santé

physique, il l’est aussi pour la santé mentale

et sociale, trois composantes qui sont liées.

Le sport améliore l’état émotionnel

Notre corps, riche de récepteurs sensoriels,

fait en permanence un compte-rendu à

notre cerveau. Une zone de l’encéphale,

le cortex cingulaire, joue un rôle de liaison

entre les sensations corporelles et les zones

qui gèrent les émotions. Si nous ne nous

sentons pas bien physiquement, le corps

envoie des signaux de mal-être à notre

tête. En revanche, si nous faisons une

activité physique qui nous permet de nous

sentir bien, que notre corps est détendu et

souple, des messages positifs sont envoyés

au cerveau. En plus, l’activité physique

augmente la quantité de sérotonine,

de noradrénaline et de dopamine, des

neurotransmetteurs ayant des effets sur la

prévention de l’anxiété, de la colère, de

l’agressivité et de la dépression.

Plaisir de progresser et image de soi

Au-delà de l’aspect neurophysiologique,

en travaillant notre condition physique,

notre regard sur nous et sur notre corps

s’apaise. Acquérir ou récupérer des com-

pétences physiques va nous permettre

de nous sentir mieux. L’effet sur l’ego sera

d’autant plus marqué si l’on choisit un sport

dans lequel on peut mesurer ses progrès.

QQQuaanndd l’accttiivvvitté

dduu sppoorrt suurrr leeee corps

6

Chaqque jour,, nnous coonsommoons plus de 100 gg de suucres par jour, alors que l’OMS rrecommande de ne pass dépasser 50 g. Problème : 700 %% du succre est inngéré indirectemment, saans même que l’on ait coonnsciencce d'en mmanger.

Pour une bonne santé, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)

préconise de limiter l’absorption de sucres à moins de 10% de

la ration quotidienne, soit moins de 50 g ou l’équivalent de huit

morceaux de sucre. Un objectif diffi cile à atteindre tant les sucres

sont partout dans l’alimentation industrielle.

Un risque majeuur pour la santé

Le surpoids est la première conséquence de cette consommation

excessive. Or, l’obésité favorise l’apparition du diabète, du cancer

ou de maladies cardiaques, coupables d’environ 16 millions de

décès prématurés chaque année dans le monde.

Les industriels een ccause

Plus sucrés et moins chers que le sucre de canne, le sirop de maïs

et le sirop de glucose-fructose sont les chouchous des fabricants.

Ces produits font offi ce d’exhausteurs de goût et jouent un rôle

dans la texture des aliments. Ils sont donc largement utilisés, y

compris dans les préparations salées : sauces, potages, plats

cuisinés, ketchup... Méfi ez-vous également des aliments qui

s’affi chent comme sains : eux aussi peuvent cacher des glucides.

Pour améliorer sa santé, on a tendance à traquer les matières

grasses, sans s’apercevoir qu’elles ont été remplacées par du

sucre.

Pour manger sainement, l’important est surtout de diversifi er son

alimentation. Il n’est pas nécessaire de limiter ses apports en

fruits et en légumes frais, dont les sucres intrinsèques ne sont pas

concernés par les recommandations de l’OMS.

MIE PLUS

Famille

FratrieQuelles relations selon l’écart d’âge ?Complicité, rivalité, protection... Si la dif-férence d’âge idéale entre deux enfants n’existe pas, elle joue un rôle dans les relations au sein de la fratrie.

Pour des naissances rapprochées, une

complicité devrait vite s’établir entre les

enfants, dans le jeu, comme dans les bêtises !

Des enfants dont la différence d’âge est

importante (7 ou 8 ans, par exemple) établi-

ront sans doute une moindre complicité.

En revanche, l’aîné aura eu le temps de

bénéfi cier d’une relation affective exclusive

avec ses parents et de développer une

belle maturité psychique et relationnelle

(entourage scolaire, amis...) qui pourra

l’aider à accueillir plus sereinement une

petite sœur ou un petit frère. Il se montrera

alors sans doute plus “maternant” et protec-

teur avec ce dernier. Pour autant, il ne faut

ne pas “responsabiliser” l’aîné à outrance,

au risque de lui faire porter une bien lourde

mission...

Et la jalousie, peut-on l’éviter ?

« Quelle que soit la différence d’âge, ce sentiment est fréquent et banal » d’après

Christine Brunet, psychologue clinicienne

et psychothérapeute. L’aîné, par exemple,

se plaindra toujours que son petit

frère fasse plus de choses que

lui au même âge, plus vite... Il ne

faut pas ignorer cette jalousie

puisqu’elle existe. Il faut laisser

l’enfant l’exprimer, en essayant

de la dédramatiser, sans jamais

dévaloriser ou culpabiliser l’enfant

jaloux.

Attention aussi de ne pas

l’entretenir ! Mieux vaut stimuler

la personnalité et les qualités de

chaque enfant, sans ériger l’un

ou l’autre en exemple, ni établir

de comparaison qui renforcerait

l’esprit de compétition. La jalousie,

si elle est bien “accueillie” par les

parents, est constructive : elle

permet à l’enfant d’affi rmer son

individualité et de trouver sa

place dans la famille.

Nutrition

7

Dentaire

Avant l'élaboration d'un traitement pouvant faire l'objet d’un dépassement d'hono-raires ou d'une entente directe, le chirur-gien-dentiste doit remettre à l'assuré un devis descriptif écrit.Selon le Code de la santé publique à l'article R. 4127-240, « Lorsque le chirur-gien-dentiste est conduit à proposer un traitement d'un coût élevé, il établit au préalable un devis écrit qu'il remet à son patient ». La Convention nationale organi-sant les rapports entre les chirurgiens-dentistes et les caisses d'Assurance Maladie obligent à l'établissement d'un devis.Après un délai de réfl exion de 8 jours, le patient en signant le devis s'engage et accepte le plan de traitement envisagé.

Le devis comporte des éléments obliga-toires notamment :• La date d'établissement du devis• L’identifi cation du praticien traitant et du patient

• La durée de validité du devis• La description précise et détaillée des actes : nature de l'acte, localisation, matériaux utilisés (nature et normes), montant des honoraires…

N’hésitez pas à faire réaliser plusieurs devis, il peut exister un écart conséquent entre deux praticiens pour un travail identique. La mutuelle MIE vous accompagne pour calculer votre reste à charge. Merci d’envoyer votre devis avant engage-ment par mail à info@mutuelle-mie.fr ou par courrier.

Chirurgie

En cas d’intervention chirurgicale, un dépassement d’honoraires peut vous être facturé. Aussi, nous vous recommandons de réclamer un devis à votre chirurgien ou anesthésiste, pour connaître la partici-pation de votre mutuelle.

MIE PLUS

Info adhérents

PARRAINAGE MIE

La Mutuelle vous remercieLe développement de la MIE se fait par le travail assidu de nos commerciaux mais aussi, beaucoup grâce aux recommandations de nos adhérents. La confiance que vous nous témoignez porte ses fruits. Tous les ans, le parrainage est en forte progression.

N’hésitez à parler de votre mutuelle à vos proches, à votre entourage, à votre employeur…

Retrouvez notre coupon de parrainage en dernière page de votre journal d’information MIE PLUS.

La MIE compte sur vous !

Le devis : une obligation médicale

L’aromathérapie est une médecine utili-sant les huiles essentielles, composées deemolécules aromatiques très puissantes.Pour profi ter pleinement des bienfaits desshuiles essentielles, quelques bases sont àconnaître.

Les huiles essentielles homologuées

comportent un fl acon doseur pour délivrer

la quantité exacte de produit.

25 gouttes = 1 ml. On distingue trois grands

types d’utilisations possibles pour les huiles

essentielles.

Par voie orale

Elles sont utilisées en cas de troubles digestifs

et/ou infectieux (orl, angines, bronchites…).

Les huiles doivent toujours être diluées

dans de l’huile et non dans l’eau car elles

ne sont pas solubles. Un verre d’eau tiède

doit être bu ensuite. Elles ne doivent jamais

être consommées pures, elles pourraient

provoquer des brûlures au niveau des

muqueuses de la bouche. Attention à

l’interaction avec d’autres médicaments,

il faut systématiquement demander l’avis

de son médecin !

Par voooiee cutannéée

Les huiles essentielles pénètrent très bien

dans la peau et agissent en profondeur

dans l’organisme. Cette utilisation est parti-

culièrement recommandée en cas de

maladies de peau ou pour une utilisation

cosmétique : améliorer l’état des cheveux,

des ongles, de la peau…

Par diffffuusion ouuu paar inhaalatioon

Les huiles essentielles peuvent être respirées

à l’inhalateur à raison de 2 à 3 gouttes

pour l’équivalent d’un bol d’eau. Elles

peuvent également être diffusées dans

toute la maison avec un diffuseur d’huiles

essentielles, notamment pour assainir l’air,

le dépolluer ou tuer les microbes.

Bien-être

ParrainCivilité : ❒ Mme ❒ Mlle ❒ Mr.

Nom : ..........................................................

Prénom : .....................................................

N° d’adhérent : .........................................

Adresse : .....................................................

......................................................................

Code postal : .............................................

Ville : ...........................................................

Téléphone : ................................................

Mail : ................................ @ .......................

FilleulCivilité : ❒ Mme ❒ Mlle ❒ Mr.

Nom : ..........................................................

Prénom : .....................................................

Date de naissance : ___ ___ / ___ ___ / ___ ___ ___ ___

Adresse : .....................................................

......................................................................

Code postal : .............................................

Ville : ...........................................................

Téléphone : ................................................

Plage horaire disponible : ........................

Mail : ................................ @ .......................

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MIE : Immeuble le Péricentre, 16 avenue Louison Bobet CS 60005 94132 Fontenay-sous-Bois cedex

Mutuelle soumise aux dispositions du Livre II du Code de la Mutualité immatriculée sous le Siren 784275885

CO

LLECTIVITÉS

CONTRAT LABELLISÉ

dde 550 EE chaacunn enn chèèqquees cadeaux

Plus d’infos au 01 43 96 74 16 - www.mutuelle-mie.frPlus d’infos au 01 43 96 74 16 - www.mutuelle-mie.fr

❒ OUI ! Je souhaite bénéfi cier de cette offre,❶ Je remplis le coupon ci-dessous ➋ je le poste à MIE.

* Le fi lleul a le choix, soit 50 € de chèques cadeaux, soit le 1er mois de cotisation offert.

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RECETTES GLUTEN FREE

Ingrédients :• 250 g de spaghetti sans gluten• 2 pavés de saumon de 100 g chacun• 8 asperges vertes • 1 cube de bouillon de légumes & aromates• 150 ml de vin blanc cépage Chardonnay• 1 échalote• 25 cl de crème liquide 15% Mat. Gr.• 1 pincée de poivre

Pour 4 personnes

Préparation : 15 minutesBudget : Moyen

• 1 sachet et demi de levure sans gluten• 200 g de cassonade• 125 g de beurre• 2 œufs• 180 ml de lait UHT demi-écrémé • 3 pêches fraîches• 200 g de framboises • 1 citron

Pour 2 personnes

Préparation + cuisson : 20 + 60 minutesBudget : Bon marché

Ingrédients :• 225 g de préparation pour pain et pâtisserie sans gluten

Éplucher les as-perges avant de les faire cuire 10 min dans de l’eau bouillonnante. Les égoutter avant de les couper en mor-ceaux. Découper les pavés de sau-mon en dés.Faire cuire les pâtes dans une nouvelle

casserole d’eau bouillante, 9 min pour une cuisson al dente.Éplucher une échalote et la ciseler fi nement. La faire revenir dans une casserole avec un cube de bouillon et 150 ml de vin blanc. Verser la crème liquide et porter à ébullition.Égoutter les pâtes et les verser dans un plat. Verser la sauce dans la casserole qui a servie à la cuisson des pâtes, y ajouter les dés de saumon. Laisser cuire 2 min, ajouter les asperges et les pâtes. Laisser cuire 1 min supplémentaire en mélangeant.

Dans un saladier, verser la prépa-ration pour pain et pâtisserie ainsi qu’un sachet de levure sans gluten. Ajouter le beurre froid coupé en dés. Sabler le tout, puis ajouter la cas-sonade. Verser la moitié de ce mé-

lange dans un moule préalablement beurré. Découper les pêches en dés. Déposer les dans le fond du moule. Ajouter les framboises entières.Dans le reste de mélange de pâte sablée, casser 2 œufs. Ajouter les zestes de citron et un demi sachet de levure sans gluten. Mélanger le tout puis ajouter le lait.Verser la préparation dans le moule, sur les fruits. Faire cuire 1 heure au four th.6 (180°C).