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MIAS 2 - Chap III - page 1 III Phénomène de propagation III.1 Définition On dit quune grandeur f...
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MIAS 2 - Chap III - page 1
III Phénomène de propagation
III.1 Définition
On dit qu’une grandeur f scalaire ou vectorielle fonction des variables d’espace (x, y, z) et du
temps (t) se propage si sa valeur en un point de l’espace (x0, y0, z0) à l’instant (t0) se retrouve en
un point quelconque (x, y, z) à l’instant (t) et en vérifiant :
c
rdttdt 0
De plus f vérifie l’équation d’Alembert :
2
2
2
2
2
2
2
2
2
z
f
y
f
x
ff :par défini Laplacien le f avec
7 t,z,y,xt,z,y,xft
t,z,y,xf
c
1
s
L’équation (7) s’appelle aussi équation de propagation ou équation d’onde :
f est aussi appelée fonction d’onde
MIAS 2 - Chap III - page 2
Dans l’équation d’onde :
c représente la vitesse de propagation de l’onde f.
s(x, y, z, t), appelé second membre, matérialise la source locale génératrice de f.
Dans tous les problèmes on se place loin des sources ce qui permet de ramener le problème à une
équation homogène [c-à-d s(x, y, z, t) =0 ]. Afin de simplifier notre étude nous nous placerons
toujours dans ce cas pour la suite du chapitre.
Dans le chapitre précédent, nous avons vu l’écriture la plus simple de l’équation (7) appelé cas
unidimensionnel :
t,z,y,xt,z,y,xft
t,z,y,xf
c
12
2
2 s
2
2
2
2
2 x
t,xu
t
t,xu
c
1
On a donc une onde si :
c
x
c
xt,xut,xu
c
xt
t,xut,xu0
0
00
MIAS 2 - Chap III - page 3
III.2 Résolution de l’équation de propagation
En choisissant convenablement x0 et t0 :
c
xtft,xu
Remarque : dans les problèmes de propagation les
éléments physiques (oscillateur, corde, ...) ne se déplace pas,
ils ne font qu'osciller autour de leur position d’équilibre.
L’équation de propagation générale (7) est impossible à résoudre de façon analytique. On peut
tout de même remarquer que l’équation est linéaire par rapport à f.
PRINCIPE DE SUPERPOSITION
toute combinaison linéaire de solutions est elle même solution de l’équation homogène.
Remarque : il est très important de bien prendre connaissance de toutes les conditions aux
limites(spatiales et temporelles) afin de simplifier au maximum le problème.
MIAS 2 - Chap III - page 4
III.2.1 Equation de propagation à une dimension
III.2.1.1 Coordonnées cartésiennes
L’équation d’Alembert (7) sans second membre s’écrit : 8 x
t,xf
t
t,xf
c
12
2
2
2
2
On fait le changement de variable suivant :c
xtvet
c
xtu
Il faut donc réécrire l’équation (8) avec les nouvelles variables u et v :
vu2
uvc
1
x
vuc
1
uc
1
vc
1
vuc
1
c
1
x
vux
v
ux
u
vx
v
vux
u
c
1
x
uvxc
1
x
uvc
1
vx
v
ux
u
x
2
2
2
2
2
22
2
2
2
2
2
22
2
2
2
2
2
2
22
2
2
2
2
vu2
uvt
vuuvvut
vut
v
ut
u
vt
v
vut
u
t
uvvt
v
ut
u
t
2
2
2
2
2
2
2
2
2
2
2
22
2
2
2
2
2
2
22
2
2
MIAS 2 - Chap III - page 5
Donc l’équation (8) devient:
0u
t,xf
v
ou
0v
t,xf
u
0vu
t,xf4
2
: (8) desolution
comme finalement On trouve .v de teindépendanfonction uneest u
t,xf que vient il ,commutatifest
partielle dérivéeopérateur l' Comme .u de teindépendanfonction uneest v
t,xf que déduireen peut On
c
xtG
c
xtF
vGuFt,xf
La solution pourrait aussi s’écrire :
kc avec
kxtGkxtFt,xf
ou
xctGxctFt,xf
MIAS 2 - Chap III - page 6
III.2.1.2 Coordonnées sphériques
Ce système de coordonnées est très souvent utilisé dans les problèmes physiques, notamment
pour décrire l’émission d’une source ponctuelle dans l’espace par exemple. Le Laplacien a une
écriture différente dans ce système de coordonnées :
2
2
2222
2
f
sin.r
1fsin
sin.r
1
r
fr
rr
1t,,,rf
Donc en se limitant à une dimension (7) devient : 9 r
fr
rr
1
t
f
c
1 222
2
2
Pour intégrer l’équation (9) on fait le changement de variable suivant : t,rrft,rg
2
22
2
r
t,rgrt,rg
r
t,rgr
rr
fr
r
r
t,rgr
t,rgr
r
t,rg
rr
t,rf
2
2
2
2
22
2
22
2
2 r
t,rg
t
g
c
1
r
t,rgr
r
1
t
g
r
1
c
19
2
2
2
2
t
t,rg
r
1
t
t,rf
t
t,rg
r
1
r
t,rg
tt
t,rf
MIAS 2 - Chap III - page 7
On se ramène donc à la même équation que précédemment, les solutions sont :
kc avec krtGkrtFr
1
rctGrctFr
1
c
rtG
c
rtF
r
1t,rf
c
rtG
c
rtFt,rg
III.2.2 Solution générale : solution à variables séparées
Dans ce cas on recherche une solution où les variables d’espace sont découplées du temps,
mathématiquement on peut écrire :
t
z,y,xGF
t
tGF
t
z,y,xFGtGz,y,xF
tt
fx
z,y,xFG
x
tGF
x
z,y,xFGtGz,y,xF
xx
f
F
Fc
dt
Gd
G
17 2
2
2
tGz,y,xFt,z,y,xf
MIAS 2 - Chap III - page 8
Dans l’égalité précédente les différents termes sont des fonctions de variables indépendantes.
Par conséquent, ils ne peuvent être égaux qu’a une même constante. Notons cette constante et
examinons les différentes possibilités :
10.b 0Fc
FF
Fc
10.a 0Gdt
Gd
dt
Gd
G
1
22
2
2
2
2
Les solutions de l’équation (10.a) sont connues et sont dépendante de :
t.2
t.1 eGeGtG0 Si
G1 et G2 sont des constantes. On veut décrire des phénomènes physiques donc les solutions ne
peuvent pas diverger G2 =0. G(t) est alors décrite par une fonction évanescente sans grand
intérêt.
battG0 Si
G(t) ne peut pas diverger donc a=0, mais limiter G(t) à une constantes est un trop restrictif. La
solution =0 sans grand intérêt.
MIAS 2 - Chap III - page 9
Maintenant que l’aspect temporel a été traité, regardons l’aspect spatial du problème. L’équation
(10.b) vérifiée par F s'écrit donc :
2t.j2
t.j1 avec t.cosAeGeGtG0 Si
Cette solution parait très satisfaisante car une fonction sinusoïdale est bornée donc aucun
problème de divergence. De plus on peut remarquer que le cas =0 est aussi décrit par cette
solution cela revient à prendre =0.
0Fc
F2
Cette équation ne peut être résolue analytiquement dans le cas général.
tcos.z,y,xFt,z,y,xfLa solution générale s'écrit :
MIAS 2 - Chap III - page 10
III.3 Ondes planesLes ondes planes sont les ondes les plus simples que l’on peut rencontrer. Elles sont solutions de
l’équation d’onde unidimensionnelle :
2
2
2
2
2 x
t,xf
t
t,xf
c
1
D’après le paragraphe précédent, nous savons que les solutions de cette équation sont :
c
xtG
c
xtFt,xf
On peut remarquer que la fonction F reprend à l’abscisse x+l et à l’instant t+l/c la valeur qu’elle
avait à l’abscisse x et l’instant t. L’onde représentée par F se propage dans le sens des x
croissants à la vitesse c. Le même raisonnement conduirait à montrer que l’onde représentée
par la fonction G se propage dans le sens des x décroissants.
c
lx
c
ltG
c
xtG
c
lx
c
ltF
c
xtF
MIAS 2 - Chap III - page 11
III.3.1 Surfaces d’onde
Définition : On appelle surface d’onde, les surfaces pour lesquelles la fonction F (par exemple)
prend la même valeur. Elles sont définie par la relation :
teCF
Déterminons donc les surfaces d’onde des ondes planes :
ctCx
Cc
xtuCF
te
tete
A un instant t fixé, l’équation précédente représente des plans normaux à l’axe x’x. La
propagation de F peut être vue comme le déplacement de ces plans dans l’espace.
Ondes Planes
III.3.2 Ondes sinusoïdales
r.ktcosA
c
r.utcosA
c
r.utF
r.ktcosA
c
r.utcosA
c
r.utG
On parle d’ondes planes progressives ou régressives
sinusoïdales ou harmoniques si leur fonction associée
s’écrit :
MIAS 2 - Chap III - page 12
F possède donc une double périodicité, une dans le temps (de période T) et une dans l’espace (de
période ).
représente, à un instant donné, la distance séparant deux plans d’onde.
T représente la durée nécessaire pour qu’un plan d’onde remplace le précédent.
On peut aussi dans les calculs utiliser la notation complexe pour simplifier l’écriture. On associe
donc à la fonction réelle F, la fonction complexe :
position. vecteur leest r n.propagatio dedirection la de unitaire vecteur leest uet uc
=k Avec
Grandeurs caractérisant les ondes planes sinusoïdales :
k
2
2
T
La longueur d’onde (période spatiale)
La période temporellec
=k =k
eFF
et
eF=F
avec FRe=Fj
00
r.k-tj0
MIAS 2 - Chap III - page 13
III.3.3 Généralisation d’une onde plane
On peut montrer facilement que toute fonction de la forme :
kk
ck= avec r.ktFt,z,y,xf
est une solution de l’équation d’Alembert.
Pour revenir au cas particulier précédent on
peut prendre Ox pour la direction de
propagation.kxr.k
Définition : On appelle vitesse de phase, la
vitesse avec laquelle les surfaces d’ondes (plans
ici) se déplacent dans le milieu.
c=k
v
dt
dxv
C=kx-t constante phase onded’plan
phase
C=kx-tphase
te
te
MIAS 2 - Chap III - page 14
III.4 Ondes sphériquesDans ce cas on veut décrire une onde se propageant de façon isotrope depuis une source
ponctuelle O. Il est forcément plus intéressant de prendre les coordonnées sphériques.
tr,r.f=tr,g avecr
t,rg
t
g
c
12
2
2
2
2
c
rtG
c
rtF
r
1t,rf
L’équation d’onde unidimensionnelle est :
Surface d’ondectC=r C
c
r-t tete
Donc à un instant t donné les surfaces d’onde sont des sphères de centre O.
c=k
v
dt
drv
C=kr-t constante phase
phase
C=kr-tphase
te
te
Vitesse de phase
MIAS 2 - Chap III - page 15
III.5 Ondes stationnaires
Les ondes stationnaires sont les solutions de l’équation d’onde à variables séparées. Comme leur
nom l’indique, elles ne se propagent pas. Elles s’écrivent généralement :
tcos.z,y,xFt,z,y,xf
tGz,y,xFt,z,y,xf
Comme nous l’avons vu précédemment la solution générale est :
Dans le cas à une dimension (ou ondes planes), la partie spatiale vérifie l’équation suivante :
0xFkdx
xFd encoreou 0xF
cdx
xFd 22
22
2
2
La solution est : kxcosAxF
tcoskxcosAt,xf
Ondes stationnaires
.0=f valeur même lant indéfinimegardent Ils
fixes.sont entier, n avec 2
1n2kx
équationl’ érifieposition v ladont point les
Remarque :
MIAS 2 - Chap III - page 16
III.5.1 Noeuds de vibration
On appelle noeud de vibrations les points où l’amplitude de l’onde est nulle :
222
1n
22
11nxxx
22
1n
21n2
k
1x
entier n avec 2
1n2kx0tcoskxcosAt,xf,t Si
n1n
n
Entre deux noeuds il y a donc: 2
III.5.2 Ventres de vibration
On appelle ventre de vibrations les points où l’amplitude de l’onde est maximum :
22n
21nxxx
2n n
k
1x
entier n avec nkxftcoskxcosAt,xf,t Si
n1n
n
max
Entre deux ventres il y a donc: 2
MIAS 2 - Chap III - page 17
III.5.3 Ondes stationnaires et ondes progressives
Une onde plane stationnaire est définie par : tcoskxcosAt,xf
En utilisant les relations trigonométriques connues on obtient :
kxtcos2
Akxtcos
2
At,xf
MIAS 2 - Chap III - page 18
Onde plane stationnaire Superposition de deux ondes planes
progressives se propageant en sens différents
Il vient aussi qu’une plane progressive est la superposition de ondes stationnaires :
2kxcos
2tcosAkxcostcosA
kxtcosAt,xf si
III.6 Modes Propres
Prenons comme exemple une corde de longueur finie (L) et fixée à ses deux extrémités.
L’équation régissant les vibrations transversales de la corde (voir chapitre II) est :
F
=c avec x
t,xy
t
t,xy
c
12
2
2
2
2
y
y(x,t)
équilibre
F
L
MIAS 2 - Chap III - page 19
La corde étant fixée à ses extrémités, la solution de l’équation précédente doit vérifier les
conditions aux limites. Les points de fixation apparaissent naturellement comme des noeuds,
donc nous allons chercher une solution sous la formes d’ondes stationnaires.
La solution générale est :
c=k avec tcoskxcosAt,xy
Les conditions aux limites s’écrivent :
0tcoskLcosA0t,Ly:droite de Extrémité
0tcoscosA0t,0y:gauche de Extrémité
Ces conditions doivent être vérifies à tous instant :
n
L2
k
2 encoreou
L
nknkL
0kLsinm2
kLcos
0kLcos : droite de Extrémité
m2
0cos
0cos : gauche de Extrémité
nnn
MIAS 2 - Chap III - page 20
Etant donné que la constante A est indéterminée, on peut toujours rebaptiser A par -A.sin().
Donc lorsque les relations précédentes seront vérifiées on sera en présence d’un mode propre
de pulsation :
L
cncknn
nnn t
L
cncosx
L
nsinAt,xy
Le mode fondamental correspond à n=1
L
2c
2T
L
cck
1n
1
111
MIAS 2 - Chap III - page 21
III.7 Décomposition spectrale : Série et Transformée de Fourier
En vertu du théorème de Fourier, toute fonction périodique f, à condition qu’elle soit continue
par morceaux, peut être considérée comme une série de fonction sinusoïdales de périodes sous
multiples entières de la période T de f. On peut la représenter de différentes manières :
III.7.1 Décomposition spectrale d’une fonction périodique : Séries de Fourier
n
1n
n
1nnn
0
n
1nnn0
n
n
tjnn
tnsinbtncosa2
a
ou
tncosAC
ou
eC
tfT
2= avec
MIAS 2 - Chap III - page 22
Cette série, complexe ou sinusoïdale, est unique. Les coefficients étant donné par les relations
suivantes :
n
nn
2n
2nn
Tt
t
tjnn
Tt
t
n
Tt
t
n
a
btg
baA
dtetfT
1C
dttnsintfT
2b
dttncostfT
2a
0
0
0
0
0
0
Pour une fonction réelle, ce qui est le cas le plus fréquent en physique seuls les Cn sont
complexes, à l’exception de C0. Cn et C-n sont conjugués.
L’ensemble des An constitue alors le spectre d’amplitude de la fonction f(t) et l’ensemble des n
constitue le spectre de phase.
Remarque : la borne inférieure d'intégration t0 peut être quelconque puisque l’intégration porte sur une période entière
MIAS 2 - Chap III - page 23
Tt
t
0
0
0
dttfT
1CLa moyenne de f est donné par :
Le terme suivant de Cn tel que n0, s’appelle le fondamentale. Le fondamentale a la fréquence
la plus basse et de même période que la fonction f. Chacun des autres termes, caractérisé par
l’entier n, est appelé harmonique d’ordre n.
Quelques propriétés intéressantes
Fonction paire :
nnnn
n
aAet aC donc aOn
nulssont b les
Fonction impaire :
nnnn
n
bAet jbC donc aOn
nulssont a les
MIAS 2 - Chap III - page 24
Exemple : La fonction créneau
MIAS 2 - Chap III - page 25
On peut considérer une fonction non périodique comme un fonction périodique pour laquelle sa
période T tendrait vers l’infini. On doit donc pouvoir la décomposer elle aussi en une somme de
fonctions sinusoïdales, dont les coefficients sont calculés non sur une période mais sur son
domaine de définition.
III.7.2 Décomposition spectrale d’une fonction non périodique : Transformée de Fourier
Pour que la transformée de Fourier existe il faut que la fonction f soit de carré sommable
convergerdoit dttf2
Dans ce cas là on parle non plus de série de Fourier mais de transformée de Fourier et elle est
définie :
dtetff̂ tj2
La fonction inverse ou transformée de Fourier inverse est définie :
dtef̂tf tj2
tf de phase de spectreson constitue f̂Arget tf de amplituded’ spectre le constitue f̂
tf dans fréquence de du terme importancel’ représente C à équivalent f̂ n
MIAS 2 - Chap III - page 26
Remarque : Les spectres d’amplitude et de phase sont continus à la différence de ceux des fonctions périodiques
Il existe aussi d’autres écritures :
dtef̂2
1tf
dtetf2
1f̂
tj
tj
2= avec
Exemple : La fonction créneau
MIAS 2 - Chap III - page 27
Pour la transformée de Fourier on trouve :
(Série de Fourier)
f̂
MIAS 2 - Chap III - page 28
III.7.3 Conséquences de l’analyse de Fourier
On vient de voir que toute fonction peut être décomposer en une superposition de fonction
sinusoïdales, à condition qu’elle soit périodiques ou de carré sommable.
Appliquons ces résultats au fonction d’argument (i.e. des ondes)r.kt
Si F est périodique : Représentable sous forme de série de Fourier
1nnnn0
1nnn0
r.ktncosAC
c
r.utncosAC
c
r.utF
npropagatio dedirection la de unitaire vecteur leest uet uc
n=k avec n
Toute onde plane progressive périodique est une superposition
d’ondes planes progressives sinusoïdales
Si F n’est pas périodique : Représentable sous forme d’une intégrale de Fourier
dr.ktcosc
r.utF
0
F est donc la somme d’une infinité de fonctions sinusoïdales
Spectre d’amplitude de F Spectre de phase de F
MIAS 2 - Chap III - page 29
Conclusion :
Solution générale en ondes planes = superposition d’ondes sinusoïdales d’amplitude et de
fréquences différentes, et se propageant dans un sens ou dans l’autre. Lorsque les ondes se
propagent dans un même sens on parle d’un groupe ou d’un paquet d’ondes. Le train d’ondes est un
paquet d’ondes ayant un intervalle spectral plus restreint.
Excitation de la corde
Spectre de l’excitation
Décomposition sur les modes propres