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METAL ALTERNATIF

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Biographie

Membrane impavide du paysage métal Réunionnais, Vacuum Road nous embarque vitres fermées dans un univers à la pesanteur capricieuse. Riffs accrocheurs, voix déchirante et détachée, c’est sans complexe que le groupe porte une musique puissante aux émotions saisissantes.

Avec une aggressivité plus tempérée que d’accoutumée dans le style, plus de mé-lodies et de constructions harmoniques, la musique dépasse les a-prioris du metal, tout en en gardant l’intensité. La voix transmet quant à elle le plus fort de l’émotion, dans des accents singuliers, fragiles, mais aussi hurlants et distordus. Formé depuis plus de 10 ans autour de Yann le guitariste et Thomas le chanteur, le line-up a changé frequemment, mais trouve sa stabilité depuis 2014. L’EP «Madness is the new Bliss» sort en Septembre 2017, le groupe part pour une tour-née métropolitaine de 10 dates, où il partagera notamment Tadada Jones, Dagoba, Bu-kowski, des pointures du metal Français. En juin 2019, le groupe sort un nouvel album «Biopsie», et part en tournée de 8 dates dans l’Ouest de la France avec le groupe parisien «Far Away».

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Le groupe est actuellement composé de :

- Yann CADET - Guitare - Thomas LIM-SU-KWAI - Chant

- Raphaël JEAN-BAPTISTE - Basse- Laurent BENARD - Batterie

CONTACT

Thomas : thomas.limsukwai@gmail.com - 06 92 38 07 77 Yann : iackiian@gmail.com - 06 92 12 75 34

Le groupe est représenté par Frédéric Hoarau : studiotic974@gmail.com - 06 92 10 50 45

LINE-UP

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Revue de presse

Si vous prenez la peine d’écouter ce monument en intégralité, au-delà de la surprise et, probablement, d’un certain trouble (sans que ce soit péjoratif ), vous en viendrez certainement à la même conclusion : la liste des réussites du groupe y est si longue qu’elle prendrait plusieurs pages. On ne saurait par quoi commencer pour vanter les mérites de Vacuum Road, depuis le chant aussi acrobatique que plein de nuances, jusqu’à la technique instrumentale phénoménale sans jamais être superflue ou prétentieuse (et pas seulement la guitare de Ian Cadet), en passant par les arrangements aussi judicieux que variés (cordes, piano, chœurs, clarinette... Rien ne manque, mais rien n’est de trop), le son puissant et fastueux ou les textes remarquables (quelle que soit la langue choisie). Quoi qu’il en soit, après toutes les émotions que vous aurez ressenties à l’écoute des huit titres de Biopsie, le final, sur le poignant « Ignis » est si intense que vous aurez le plus grand mal à écouter autre chose après... À part une nouvelle fois ce chef d’œuvre, bien évidemment.

[Jean-Pierre Sabouret]

A propos du dernier album «Biopsie»

Deuxième album en plus de dix ans, Biopsie est une totale réussite sur tous les plans, y compris sur celui de l’écriture, avec une aisance rare dans la langue de Molière comme dans celle de Shakespeare. Une pro-duction étonnante qui peut se mesurer sans honte au meilleur de Tool, Deftones, Opeth ou Steven Wilson... Parfaitement !

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À peine trois ans après un premier album remarqué et déjà très prometteur, les Réu-nionnais de Vacuum Road reviennent avec beaucoup d'ambitions, dont celle d'enfin per-cer au-delà de leur île natale. Pour cela, les quatre compères ont confié la production de ce second album intitulé "Biopsie" à Jon Sy-mons (Sonic Drive Studio) à Utrecht.

La même variété de thèmes et d'ambiances qui avait fait le succès (d'estime) du premier opus est immédiatement perceptible à la première écoute de ce "Biopsie". Le groupe revendique des influences très marquées comme Katatonia, immédiatement percep-tible sur l'introductif 'To Kill A Father' d'abord atmosphérique et enivrant jusqu'à l'envolée du refrain soutenu par un riff acéré.

Le chant en français fait son apparition pour la première fois dans la musique des Réu-nionnais dès 'Sur le Seuil', l'une des pièces maitresses de l'album. D'abord hypnotique et inquiétant, le titre explose rapidement grâce à un riff au son distordu mais très mélodique rappelant les Italiens de Kingcrow, avant que Thomas n'envoie ses hurlements plaintifs sur des guitares rugueuses mais toujours harmo-nieuses. Cette dualité entre douceur et rage est d'ailleurs l'une des marques de fabrique de Vacuum Road qui s'appuie sur ce contraste pour procurer des émotions entre noirceur et

"Entre metal progressif, screamos, et passages atmosphériques, Vacuum Road confirme avec "Biopsie" leur formidable potentiel créatif et émotionnel. Chaudement recommandé."

A propos du dernier album «Biopsie»

volupté. Le final magnifique pousse l'effet à son paroxysme dans un mélange de post-rock, de screamo, de riffs velus et de métal atmosphérique. Un vrai régal.

Autre moment de bravoure et sommet émotionnel de l'album, la reprise d'Alain Bashung 'La Nuit Je mens' pourrait bien vous convaincre définitivement du talent du qua-tuor de l'Océan Indien tant la maitrise vocale et l'orchestration originale de la pièce sont prenantes. Débutant par un piano et une guitare minimalistes, le titre décolle avec un refrain soutenu par une orchestration métal-lique exceptionnelle puis des screams tout en maitrise et en émotion. La seconde partie introduit des éléments metal prog avec des riffs saccadés se mariant à merveille avec le chant d'un Thomas très expressif sur les paroles du visionnaire et regretté chanteur français. Les montagnes russes de ces réar-rangements feront se dresser les poils des amateurs de métal des tous horizons.

Le talent de Vacuum Road se matérialise également sur 'Il y a Deux Cadavres dans la Pièce' et 'Le Conquérant', construits sur les mêmes bases rythmiques et mélodiques avec des intros douces et un déferlement de guitares et de chant rageur, tout en pro-

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posant des variations rythmiques aussi nombreuses qu'intelligentes. Deux autres titres, chantés en anglais, 'Epiphany' et Always On' sont beaucoup plus rugueux, particulièrement le second, et présentent un metal entre progressif et alternatif rappelant Mastodon ou Messhugah mais apportant toujours son flot de varia-tions rythmiques et de retours au thèmes principaux chers à nos quatre musiciens. L'album se termine sur la même tonalité qu'à son ouverture avec un closer at-mosphérique faisant la part belle à un saxo jazzy et un chant encore une fois versatile mais tout en retenue.

Il reste quelques petits défauts dans la musique de Va-cuum Road, comme un chant parfois un peu manièré, et accent anglais peut-être perfectible mais sans in-cidence sur l'impression générale. Certaines mélo-dies auraient gagné à être plus immédiates pour plus d'efficacité, mais c'est vraiment pour chipoter. Car au final, l'impression est excellente et l'écriture plus personnelle alliée à une grande maitrise technique et des compositions très travaillées donnent à ce "Biop-sie" les atouts pour s'imposer dans un genre où les adeptes de Milanku, de Tool ou Katatonia trouveront nécessairement leur bonheur. Un album en forme de confirmation pour un groupe qui mérite toute votre attention.

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10 mars 2016 - 19 h 30 Le Mag - Antenne ReunionLe groupe annonce la sortie de l’album et du clip.

Qui a dit que le métal ne pouvait pas être doux et mélodique ? Vacuum Road cultive depuis ses débuts des ambiances nuageuses où l’émotion enfle au long des compositions progressives, mais reste ancré dans l’identité sonore des grands groupes de métal, avec double pédale et guitares à la distortion lyrique. Un mélange atypique, comme une explosion filmée au ralenti.

L’Azenda -113 - Mars 2016

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Vacuum Road est un groupe originaire de l’Île de la Réunion et propose la véritable touche d’originalité ce soir dans un style certes pas vraiment

attendu en ouverture de Tagada Jones mais leur set et leur son Metal Alternatif aura apparemment plu au public présent (et aussi et surtout)

à nous, un chanteur particulièrement charismatique et talentueux et des musiciens excellents. En bref n’hésitez pas à jeter une oreille à ce groupe

prometteur!

LIVE REPORT 08/09/17 Tagada Jones + Vacuum Road + Ulster Page au Mars d’Angoulème - Chaiyoursound.com

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Le Quotidien - 08/05/16

«Vacuum Road, c’est un style très particulier, qui se moque bien des formats puisqu’on n’hésite pas à étirer les morceaux aussi longtemps qu’il le faut. C’est un style qui ne s’apprivoise pas facilement et qui requiert de l’attention. Ce n’est pas de la pop facile calibrée radio, ce n’est clairement pas fait pour l’auditeur pressé. Ce n’est pas du metal, il y a beau temps que l’on a quitté les sphères tant du hard que de l’indie rock, c’est parfois pla-nant mais ça reste toujours très électrifié. Ça creuse. C’est dense. Un groupe réellement à part.» Ibuso Metallistic -23/09/2015

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Chronique de l’album Rear Views - Music Waves - Septembre 2016 «Pour un premier album, «Rear Views» est étonnant de maturité. Les Réunionnais de Vacuum Road nous gratifient d’entrée d’une production brillante de metal alternatif au fort potentiel émotionnel.» Derrière ce nom étrange se cache un quatuor Réunionnais qui écume les salles de l’île de l’Océan Indien depuis plusieurs années. Vacuum Road a sorti son premier album début 2016 et ambitionne de por-ter son rock alternatif bien au-delà de son rocher natal. Les quatre jeunes musiciens y ont mis tous les ingrédients afin de s’assurer une visibilité suffisante pour susciter l’inté-rêt des médias français et étrangers.

Entre metal alternatif et rock atmosphé-rique, Vacuum Road propose une palette musicale assez large. Le titre qui ouvre l’album est le plus pop de ce «Rear Views». ‘The Sandlords’ est le single qu’a choisi le groupe et un clip à l’esthétique très soignée réalisé par Mickael Gres-set sert de vitrine au savoir-faire du groupe. Mais l’ambiance un peu lancinante du début et un chant moins expressif que sur le reste de l’opus ne servent peut-être pas les intérêts du quatuor à sa juste valeur et rendent ce choix étonnant.

La suite est beaucoup plus réjouissante, puisque Vacuum Road nous montre toute sa personnalité dès les deux titres qui suivent avec d’abord un ‘Futurism’ aux tonalités sombres, aux riffs ravageurs dopés aux screa-mos de Thomas. C’est ensuite au tour de ‘Water and Gravity’ de continuer de piquer notre curiosité avec ses dix minutes de rock/metal atmosphérique fait de changements de rythmes entre complaintes vocales, am-biances mélancoliques et riffs heavy. Le titre transporte l’auditeur grâce à une force émotionnelle rare percep-tible sur le long passage instrumental final ou dans les refrains rageurs.

Difficile de ranger la musique des Réunionnais dans une case bien définie tant elle mélange des franges di-verses du metal. Souvent comparé à des groupes comme Tool ou Archive pour son côté alternatif et un chant très expressif à la M. J. Keenan (comparaison criante sur ‘Nature Hates a Vacuum’), la personnalité du groupe imbibe chaque titre et lui confère une authenticité indéniable. Ainsi les morceaux font la part belle aux en-volées de guitares (‘64’ ou ‘82’) tout en alternant les passages plus intimistes, les reprises de thèmes n’en étant que plus explosives (‘Evil After All’ ou ‘And That Winter That Never Comes’).

Si plusieurs écoutes vous feront découvrir de nouvelles ambiances à chaque passage, elles révèleront égale-ment une structure de morceaux assez complexe mais que l’on retrouve malheureusement cycliquement, ce qui empêche parfois de distinguer clairement les morceaux les uns des autres, ceci étant particulièrement vrai sur la fin de l’album, malgré la pertinence des trois derniers titres tout aussi accrocheurs et passionnants.

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Vacuum Road parvient tout de même à mélanger des apports post-rock, alternatifs et atmosphériques et à concilier mélodie, puissance et force émotionnelle dans une musique progressive par essence, sublimée par des arrangements subtils, une technique individuelle toute en maîtrise et une production exemplaire.

Il reste des éléments à perfectionner et une personnalité artistique à développer pour que Vacuum Road s’émancipe de ses influences parfois un peu lourdes ou trop présentes. Mais l’ensemble est déjà d’une grande profondeur et ce «Rear Views», du haut de ses 9 titres presque tous supérieurs à six minutes, ressemble plus à un album de la confirmation de l’énorme potentiel du groupe qu’à un premier essai, même s’il s’agit pourtant bien de leur première production. Comme quoi, le talent n’attend décidément pas le nombre des années. Es-pérons que Vacuum Road trouvera le succès qu’il mérite et qu’il saura confirmer ce début en fanfare. Un groupe à suivre de très près.

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Formé il y a une dizaine d’années, Vacuum Road a choisi dès le début d’évoluer dans un registre proche du rock alternatif avec une connotation metal plutôt ap-puyée, une mu-sique qui lui collait parfaitement à la peau puisque après seulement un an d’existence, le quartet atteignait la seconde place du Tremplin Rougail Rock.

Forts d’un line up stabilisé à partir de 2010, Thomas au chant, Yann aux guitares, Raphael à la basse et Emilie à la batterie avanceront dans la bonne direction en accumulant les compositions mais aussi les concerts et c’est après un ultime chan-gement lorsque Laurent remplacera Emilie derrière les futs en 2015 que le combo finira de préparer ce nouvel album, « Rear Views », dans lequel les compositions sont empreintes d’une touche très personnelle et marquées par un côté progressif qui ne fait qu’ajouter de la teneur à tout ce qu’elles renferment. Adoptant un ton franc et massif, Vacuum Road ne se fait pas prier pour nous envoyer des trésors rythmiques très astucieusement portés par des guitares incisives mais aussi par une voix pleine de saveur.

Multipliant les breaks et autres effets de manche, le groupe se démarque de la veine la plus puissante du metal progressif mais n’en oublie pas pour autant de nous poser quelques riffs pas piqués des vers et quelques démonstrations de maestria individuelle qui ne nuisent en rien à l’homogénéité de l’édifice. On salue-ra la qualité d’ensemble de « Rear Views » et le parfait équilibre entre des titres comme « The Sandlords », « Water And Gravity », « Evil After All » ou encore « And That Winter That Never Comes » qui finissent de faire de la rondelle un de ces objets quelque peu insaisissables au premier abord et en fin de compte formi-dablement intéressants après quelques écoutes attentives. Voilà un groupe qui a aujourd’hui les arguments pour rivaliser avec les grands !

www.zicazic.com - 3 mars 2017

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Media

REAR VIEWS - Album paru en avril 2016

Album complet en écoute sur : https://vacuumroad.bandcamp.com

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EP 4 titres : «Madness is the new Bliss» sorti en Septembre 2017

Album complet en écoute sur Deezer, Spotify et disponible à l’achat sur Itunes

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BIOPSIE - Album sorti en juin 2019

Album complet en écoute sur Deezer, Spotify et disponible à l’achat sur Itunes

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1 titre paru sur la compilation Studiotic

Compilation sortie en août 2015

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«The Sandlords» - Clip sorti en janvier 2016Visible ici :

https://bit.ly/2sA3nRM

Clip réalisé grâce à une campagne de crowdfunding Ulule

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«Sur le seuil» - Clip sorti en juin 2019Visible ici :

https://bit.ly/2SgM0mq

Clip réalisé grâce à une campagne de crowdfunding Ulule

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LIVE AU PALAXA : http://bit.ly/2n591rP

Live au Palaxa - Nuit de Kal 2016 «And that winter that never comes»

Extrait de l’albumhttp://bit.ly/2n591rP

La conduite lumière a été préparé avec Jako, l’ingé-light du groupe

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Site web Responsive

Le site regroupe toutes les infos sur le groupe : medias / photos / dates / EPK

www.vacuumroadmusic.com