Mercredi 20 et jeudi 21 février 20H30 · (Muzyka żałobna) pour orchestre à cordes Witold...

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WITOLD LUTOSŁAWSKI 1913-1994 Musique funèbre HECTOR BERLIOZ 1803-1869 Requiem – Concert sans entracte – – Fin du concert aux environs de 22h30– Pablo Heras-Casado DIRECTION Frédéric Antoun TÉNOR Orfeón Donostiarra José Antonio Sainz Alfaro CHEF DE CHœUR Chœur de l'Orchestre de Paris Lionel Sow CHEF DE CHœUR Orchestre du Conservatoire de Paris Orchestre de Paris Roland Daugareil VIOLON SOLO . Le concert du 20 février est diffusé en direct sur Arte Concert et sera disponible à la réécoute pendant une période de 6 mois, puis sera diffusé en différé sur Arte France et de nouveau disponible à la réécoute pendant une nouvelle période de 3 mois. Mercredi 20 et jeudi 21 février 20H30 GRANDE SALLE PIERRE BOULEZ À L A PHILHARMONIE DE PARIS

Transcript of Mercredi 20 et jeudi 21 février 20H30 · (Muzyka żałobna) pour orchestre à cordes Witold...

WITOLD LUTOSŁAWSKI 1913-1994Musique funèbre

HECTOR BERLIOZ 1803-1869Requiem

– Concert sans entracte –

– Fin du concert aux environs de 22h30–

Pablo Heras-Casado direction

Frédéric Antoun ténor Orfeón Donostiarra José Antonio Sainz Alfaro chef de chœur Chœur de l'Orchestre de ParisLionel Sow chef de chœur Orchestre du Conservatoire de Paris Orchestre de ParisRoland Daugareil violon solo

.

Le concert du 20 février est diffusé en direct sur Arte Concert et sera disponible à la réécoute pendant une période de 6 mois, puis sera diffusé en différé sur Arte France et de nouveau disponible à la réécoutependant une nouvelle période de 3 mois.

Mercredi 20 et jeudi 21 février 20H30

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Mercredi 27 et Jeudi 28 20H30

HANS ABRAHAMSEN Let me tell you, création française

HECTOR BERLIOZ Harold en Italie

Daniel Harding direction Barbara Hannigan soprano Antoine Tamestit alto

Let me tell you d’Hans Abrahamsen fait d’ores et déjà figure de chef-d’œuvre de notre temps. Inspiré par le personnage shakespearien d ’Ophélie , Barbara Hannigan en dévoile toute l’envoûtante beauté après avoir créé la partition avec le Philharmonique de Berlin. Autre œuvre majeure, Harold en Italie est inspirée d’un héros de Byron, les différents épisodes f igurant autant de déambulations poétiques qui font tout le charme de l’ouvrage.

Mercredi 13 et Jeudi 14 20H30

FELIX MENDELSSOHN Concerto pour piano no 1

JOHANNES BRAHMS Symphonie no 1

Herbert Blomstedt direction Martin Helmchen piano

La brillance incisive du Concerto pour piano n° 1 de Mendelssohn est toujours exigeante à l’égard du soliste, et c’est le genre de défi que Martin Helmchen aime particulièrement relever. Quant à la Symphonie n° 1 de Brahms, si d’aucuns y ont vu une dixième symphonie de Beethoven, d’autres ont loué sa mystérieuse réserve et son énergie. Herbert Blomstedt, vénérable maestro à la jeunesse éternelle, dirige ce programme en forme d’ode au romantisme.

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LES PROCHAINS CONCERTS de l’Orchestre de Paris

Mercredi 20 et Jeudi 21 20H30

MAURICE RAVEL Une barque sur l'océan

EDWARD ELGAR Concerto pour violoncelle

RICHARD STRAUSS Une vie de héros

David Zinman direction Truls Mørk violoncelle

Le Concerto d’Elgar a été marqué par l’interprétation de Jacqueline du Pré. Nul doute que Truls Mørk, par sa finesse expressive ne marque lui aussi les esprits. Après l’évocation par Ravel d’un frêle esquif en butte aux forces de la nature, où l’art de l’instrumentation de cet enchanteur fait merveille, Strauss, autre magicien, donne la mesure de sa virtuosité grisante dans Une vie de héros.

Mercredi 3 et Jeudi 4 20H30

WOLFGANG AMADEUS MOZART Concerto pour piano no 22

GUSTAV MAHLER Symphonie n° 7, « Chant de la nuit »

Daniel Harding direction Kristian Bezuidenhout piano

Le succès du Concerto n° 22 de Mozart fut immédiat – le deuxième mouvement dut être bissé à sa création en 1785. Dans l’Andante, Alfred Einstein voit exprimés « l’affliction, une feinte consolation, le désespoir, la résignation ». En soliste, Kristian Bezuidenhout, auteur d’une intégrale des Sonates de Mozart sur instrument d’époque. Les fascinantes musiques nocturnes de la Symphonie n° 7 de Mahler virent le jour cent-vingt ans plus tard. Le thème de la nuit, cher aux romantiques, imprègne l’œuvre, la « danse d’ombres » du Scherzo en accentuant l’aspect fantastique.

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n 1954, le chef de l’orchestre de Cracovie, Jan Krenz, passa commande à Lutosławski d’une musique destinée à commémorer les dix ans de la mort de Béla Bartók, s’inscrivant ainsi dans la longue tradition du « tombeau » ou hommage artistique à un défunt. Intitulée Musique de deuil à la mémoire de Béla Bartók (bien qu’elle soit plus connue sous le nom de Musique funèbre), l’œuvre

ne fut finalement pas achevée avant 1958, et la première audition eut lieu le 26 mars de la même année, avant une reprise triomphale au Festival d’automne de Varsovie. Expliquant qu’il n’avait en rien cherché à calquer sa Musique funèbre sur la musique de Bartók, Lutosławski reconnut cependant la grande influence du Hongrois sur sa propre formation de musicien. On peut en effet relier la pièce à la Musique pour cordes, percussion et célesta de Bartók (notamment en ce qui concerne son premier mouvement), ainsi qu’au Divertimento avec lequel elle partage son effectif de cordes seules. Cette Musique funèbre marque un tournant dans l’évolution du compositeur : l'œuvre fait usage d'une série de douze sons, que Lutosławski utilise ici pour la première fois et qu'il traite d'ailleurs avec une liberté très éloignée de l'orthodoxie du sérialisme de Schoenberg. Utilisée en canon dans le Prologue et l'Épilogue seulement, cette série est organisée autour d'intervalles caractéristiques de la musique de Bartók, qui envahissent les mouvements extrêmes et leur imposent une couleur funèbre qui justifie le titre. Tour à tour vives et tendues, les deux parties centrales (Métamorphoses et Apogée) poursuivent l'hommage rendu à Bartók en glorifiant l'énergie vitale et expressive de la musique

MUSIQUE FUNÈBRE (Muzyka żałobna) pour orchestre à cordes

Witold Lutosławski

▸ Composée en 1954-1958 et créée le 26 mars 1958, à Katowice, par l'Orchestre symphonique de la Radio-télé-vision polonaise, dirigé par Jan Krenz.

▸ Quatre mouvements enchaînés : 1. Prologue – 2. Métamorphoses 3. Apogée – 4. Épilogue

▸ Dédicace : « À la mémoire de Béla Bartók »

▸ Durée approximative : 15 minutes

L’ŒUVRE ET L’ORCHESTREL'œuvre a fait son entrée au répertoire de l'orchestre en 1993 où elle fut dirigée par Michel Swierczewski. Lui a succédé Christoph von Dohnányi en 2001.

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du maître hongrois. Issu de l'ascétisme solennel du Prologue, ce centre à la fois extatique et libérateur tente en quelque sorte d'échapper à l'atmosphère funèbre initiale, à laquelle l'Apogée retourne toutefois comme malgré lui, jusqu'au dépouillement final. Ainsi la Musique funèbre déploie-t-elle une écriture alternant sévérité et luxuriance, dans une grandeur à chaque pas solennelle

“Ce que j’ai atteint dans cette œuvre est plutôt un ensemble de moyens qui me permettent d’évoluer dans un certain sens (…), de façon distincte du système tonal et du dodécaphonisme. (…) C’est un premier mot – et évidemment, pas le dernier – dans un langage nouveau pour moi.”Lutosławski, programme du Festival d’automne de Varsovie, 1958

Witold Lutosławski C’est à la fin des années 1950, avec la création du Festival Automne à Varsovie dont il est l’un des cofondateurs, que l’œuvre de Lutosławski gagne l’attention du monde musical international. Ses premières compositions datent cependant des années 1930 (Variations sur un thème de Paganini et Variations symphoniques notamment). L’apport de la musique populaire et de Bartók nourrit des œuvres qui intègreront bientôt des tendances atonales (Musique funèbre) puis un recours à l’écriture aléatoire (expérimenté dès les Jeux vénitiens de 1961). Suivront des œuvres capitales tel le Livre pour orchestre (1968) ou les partitions concertantes (pour violoncelle, 1969 ; pour piano, 1987), ainsi qu’un certain nombre de pièces vocales. Les diverses évolutions stylistiques de Lutosławski coexistent avec de « profondes constantes » musicales, que Stéphane Friédérich décrit comme « une puissante expression lyrique et un sens aigu de l’efficacité dramatique », ce qui fait de lui l’un des compositeurs les plus originaux et novateurs de la seconde moitié du xxe siècle.

EN SAVOIR PLUS

▸ Martine Cadieu, À l’écoute des compositeurs, entretiens, 1961-1974, Paris, Éd. Minerve, 1992

▸ Jean-Pierre Couchoud, La Musique polonaise et Witold Lutosławski, entretiens avec Witold Lutoslawski, Paris, Éd. Stock, 1980

▸ Elzbieta Sikora, « Witold Lutosławski : quatre-vingts ans de liberté », in Diapason, no 393, 1993

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“La musique est belle et bizarre, sauvage, convulsive et douloureuse.”Alfred de Vigny, Journal d’un poète, 5 décembre 1837

▸ Composé en 1837 et créé le 5 décembre 1837, à l’Eglise Saint Louis des Invalides, sous la direction de François Antoine Habeneck.

▸ Dix parties : 1. Introit et Kyrie – Séquence : 2. Dies irae – 3. Quid sum miser 4. Rex tremendae – 5. Quaerens me 6. Lacrimosa – Offertoire : 7. Domine Jesu Christe – 8. Hostias 9. Sanctus – 10. Agnus Dei

▸ Durée approximative : 90 minutes

L’histoire du Requiem de Berlioz, des premières esquisses à la création, est quelque peu tortu-euse – à l'instar d'un certain nombre d’autres œuvres du compositeur, qui se trouva souvent en butte à des difficultés

à l’heure de faire jouer ses pièces. Le Requiem, écrit assez rapidement, passa considérablement moins de temps au purgatoire qu’une partition comme Les Troyens, par exemple, puisque l’annulation de la première initialement prévue n’empêcha pas la création à la fin de l’année 1837. Pour autant, le combat de Berlioz n’était pas terminé : il dut se battre pour obtenir le paiement promis par le ministère de l’Intérieur, qui lui en avait passé commande ; il raconta avec force détails ces tribulations dans ses Mémoires parus en 1870. Le Requiem, dont Christophe Deshoulières parle comme d’une « méditation intime sur le néant mise en perspective avec des moyens gigantesques », avait en effet de quoi effrayer orchestres et institutions par ses dimensions : « Étalon de l’élan romantique vers le colossal » (d'après Dallas Kern Holoman), il se déploie sur une heure et demie de durée, et surtout fait appel à des forces instrumentales et vocales sans précédent – dont Mahler, dans sa Symphonie « Des Mille » ou Schoenberg avec ses Gurre-Lieder, seront tributaires quelques décennies plus tard. Pour la création, Berlioz avait réclamé 500 musiciens, et en avait obtenu 450 : entre 150 et 200 instrumentistes pour l’orchestre, plusieurs dizaines pour les fanfares placées aux quatre points cardinaux et plus de 200 choristes. Dans la partition, à propos de la nomenclature, il note :

REQUIEM Grande Messe des morts H. 75

Hector Berlioz

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EN SAVOIR PLUS

▸ Gilles Macassar (éd.), Berlioz, l’homme-orchestre, hors-série Télérama n° 119, 2003

▸ Jean Pavans, Le Christ selon Berlioz, Paris, Éd. Bayard, 2018

▸ François-René Tranchefort (dir.), Guide de la musique sacrée et chorale profane, De 1750 à nos jours, Paris, Éd. Fayard, 1993

▸ Christian Wasselin, Berlioz, les deux ailes de l’âme, Paris, Éd. Découvertes Gallimard, coll. Musique, 1989

L’ŒUVRE ET L’ORCHESTREL'œuvre a fait son entrée au répertoire de l'orchestre en 1969 où elle fut dirigée par Seiji Ozawa, qui est revenu la diriger en 1976. Lui ont succédé Lorin Maazel en 1974, Daniel Barenboim en 1979 et enfin, Christoph Eschenbach en 2002.

Berlioz et la musique sacrée « Je n’ai pas besoin de dire que je fus élevé dans la foi catholique (…). Cette religion charmante, depuis qu’elle ne brûle personne, a fait mon bonheur pendant sept années entières, et bien que nous soyons brouillés ensemble depuis longtemps, j’en ai toujours conservé un souvenir fort tendre » : ainsi parle Berlioz non sans humour de son rapport à la religion. Cela ne l’empêchait pas de déplorer en 1834 que « la musique sacrée est chose rare aujourd’hui : cette belle branche de l’art s’amoindrit chaque jour » (Gazette musicale de Paris). Intégrant volontiers une perspective plus humaine et nourri de son goût du dramatique, son sentiment du religieux – et non pas son sentiment religieux – lui inspira de très grandes pages tout au long de sa carrière : la « trilogie sacrée » L’Enfance du Christ (1854), notamment, mais aussi des partitions comme la Messe solennelle de 1824, retrouvée il y a un quart de siècle, les monumentaux Requiem et Te Deum (1848-1855), et jusqu’aux trois derniers opus : Veni Creator, Tantum ergo et Invitation à louer Dieu.

« Ces indications de nombre ne sont que relatives, et l’on peut (…) doubler ou tripler toute la masse vocale, et augmenter un peu la masse instrumentale dans les mêmes proportions » ! Cette utilisation des ressources orchestrales sera amplement discutée dans le célèbre Traité d’instrumentation et d’orchestration publié par Berlioz en 1844. Si ce requiem s’inscrit dans la lignée des grandes œuvres commémoratives d’un Gossec (et notamment sa Grande Messe des morts de 1760) ou d’un Méhul, force est de constater qu’il opère un changement d’échelle, et pas uniquement en termes d’effectifs, mais aussi d’appropriation du sujet par le compositeur. « Le texte du Requiem était pour moi une proie dès longtemps convoitée, qu’on me livrait enfin, et sur laquelle je me jetai avec une sorte de fureur. Ma tête semblait prête à crever sous l’effort de ma pensée bouillonnante. Le plan d’un morceau n’était pas esquissé que celui d’un autre se présentait », écrivit Berlioz dans ses Mémoires. Ce texte de la messe pour les défunts – qui, contrairement aux messes solennelles, ne comporte ni Gloria, ni Credo ni Alleluia mais intègre en revanche la séquence apocalyptique du Dies iræ – y est retravaillé avec des interpolations ou des permutations qui servent le propos de Berlioz, tandis que l’expression musicale exprime une maîtrise sans pareille des contrastes, des effets vocaux et orchestraux ainsi que des caractères. On comprend que Berlioz ait écrit à son propos en 1867, quelque trente ans après son achèvement : « Si j’étais menacé de voir brûler mon œuvre entière moins une partition, c’est pour la Messe des morts que je demanderais grâce. » Angèle Leroy

1. INTROIT ET KYRIERequiem aeternam dona eis, Domine,et lux perpetua luceat eis.Te decet hymnus, Deus, in Dion,et tibi reddetur votum in JerusalemExaudi orationem meam,ad te omnis caro veniet.Kyrie eleison.Christe eleison.Kyrie eleison.

2. DIES IRAEdies irae, dies illaSolvel saeclum in favilla,Teste David cum Sibylla.Quantus tremor est futurusQuando judex est venturusCuncta stricte discussurus

Tuba mirum spargens sonumPer sepulcra regionumCoget omnes ante thronum.Mors stupebit et naturaCum resurget creaturaJudicanti responsura.Liber scriptus profereturIn quo totum continetur,Unde mundus judicetur.Judex ergo cum sedebitQuidquid latet apparebit,Nil inultum remanebit.

3. QUID SUM MISERQuid sum miser tunc dicturus,Quem patronum rogaturusCum vir justus sit securus?Recordare, pie Jesu,Quod sum causa tuae viae,Ne me perdas illa die.Oro supplex et acclinis,Cor contritum quasi cinis,Gere curam mei finis.

4. REX TREMENDAERex tremendae majestatis,Qui salvandos salvas gratis,

Donne-leur le repos éternel, Seigneur,Et que la lumière perpétuelle brille sur eux.On chante ta louange, Dieu, en Sion,Et c'est à toi que les vœux sont offerts, (à JérusalemÉcoute ma prière.Toute chair viendra à toi.Seigneur, aie pitié de nous.Christ, aie pitié de nous.Seigneur, aie pitié de nous.

Jour de colère que ce jour-làQui réduira la terre en cendres,Selon l'oracle de David et de la Sybille.Quelle terreur règneraQuand le Juge viendraTout examiner avec rigueur.

Une trompette, qui retentira, éclatante,Parmi les tombes de tous pays,Rassemblera l'humanité devant le trône.Mort et nature seront frappées de stupeurQuand toute créature ressusciteraPour rendre compte au Juge.Le grand livre sera produit,Qui contiendra toutCe sur quoi le monde sera jugé.Quand donc le Juge siègera,Tout ce qui est caché apparaîtra,Rien ne restera impuni.

Malheureux que je suis, que dirai-je ?Quel protecteur invoquerai-je alors,Quand le juste sera lui-même à peine (rassuré ?Souviens-toi, bon Jésus,Que je suis cause de ta venue,Ne me perds pas, ce jour-là.Je prie, suppliant et prosterné,Le cœur broyé comme de la cendre,Prends soin de mon heure dernière.

Roi à la redoutable majestéQui sauve sans contrepartie les élus,C

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Salva me, fons pietatis.Recordare, Jesu pie,Quod sum causa tuae viae,Ne me perdas illa die.Confutatis maledictis, Jesu,Flammis acribus addictis,Voca me…Et de profundo lacu.Libera me de ore leonis,Ne cadam in obscurum,Ne absorbeat me Tartarus.

5. QUAERENS MEQuaerens me sedisti lassus,Redemisti crucem passus,Tantus labor non sit cassus.Juste judex ultionisDonum fac remissionisAnte diem rationis.Ingemisco tanquam reus,Supplicanti parce, Deus.Preces meae non sunt dignae,Sed tu bonus fac benigne,Ne perenni cremer igne.Qui Mariam absolvistiEt latronem exaudisti,Mihi quoque spem dedisti.Inter oves locum praestaEt ab haedis me sequestra,Statuens in parte dextra.

6. LACRIMOSALacrimosa dies illaQua resurget ex favillaJudicandus homo reus.Pie Jesu, DomineDona eis requiem aeternam.

7. OFFERTORIUMDomine, Jesu Christe, Rex gloriae,libera animas omniumfidelium defunctorum de poenisinferni et de profundo lacu.Et sanctus Michael signiferrepraesentet eas in lucemsanctam, quam olim Abrahaepromisisti et semini ejus,Domine, Jesu Christe, Amen.

Sauve-moi, fontaine de miséricorde.Souviens-toi, bon Jésus,Que je suis cause de ta venue,Ne me perds pas, ce jour-là.Quand seront confondus les maudits, Jésus,Et que les flammes dévorantes les recevront,Appelle-moi…et des prodondeurs de l'abîme.Délivre-moi de la gueule du lion,Que le gouffre affreux ne m'absorbe pas,Que ne m'engloutissent pas les ténèbres.

En me cherchant, tu t'es assis, las,Tu m'as racheté par la croix.Fais que ce labeur ne soit pas vain.Juge juste et vengeur,Accorde-moi la rémissionAvant le jour du Jugement.Je gémis, comme un coupable.Celui qui te supplie, épargne-le, Dieu.Mes prières ne sont pas dignes,Mais toi, qui es bon, fais par ta miséricordeQue je ne brûle pas dans le feu éternel.Toi, qui as pardonné à Marie-Madeleine,Et qui as exaucé le larron,À moi aussi, tu as donné espoir.Parmi les brebis, fais-moi place,Et sépare-moi des boucsEn me mettant à ta droite.

Jour de larmes que ce jourOù ressuscitera de la poussière,Pour être jugé, le coupable.Bon Jésus, Seigneur,Donne-leur le repos éternel.

Seigneur Jésus-Christ, Roi de gloire,Délivre les âmes de tousLes fidèles défunts des peinesDe l'enfer et des profondeurs de l'abîme.Et laisse Saint Michel, avec son étendard,Les conduire dans la sainte Lumièreque tu as promiseÀ Abraham et à sa semence,Seigneur Jésus-Christ, Amen.

8. HOSTIASHostias et preces tibi laudisofferimus. Suscipe pro animabus illisquarum hodie memoriam facimus.

9. SANCTUSSanctus, sanctus, sanctus, Deus Sabaoth.Pleni sunt coeli et terra gloria tua.Hosanna in excelsis.

10. AGNUS DEIAgnus Dei, qui tollis peccata mundi,dona eis requiem sempiternam.Te decet hymnus, Deus, in Sion,et tibi reddetur votum in Jerusalem.Exaudi orationem meam, ad te omnis caro veniet.Requiem aeternamdona defunctis, Domine, et luxperpetua luceat eis, cum sanctis tuisin aeternam, Domine, quia pius es.Amen.

Ces offrandes et ces prières quenous t'offrons, reçois-les pour cesâmes que nous commémorons aujourd'hui.

Saint, Saint, Saint, Seigneur des cohortes célestes !Ciel et terre sont remplis de ta gloire.Hosanna au plus haut des cieux.

Agneau de Dieu, qui ôtes les pêchés du monde,Donne-leur le repos éternelOn chante ta louange, Dieu, en Sion,Et c'est à toi que les vœux sont offerts,à Jérusalem. Ecoute ma prière.Toute chair viendra à toi.Donne le repos éternel aux défunts,Seigneur, et que la lumière perpétuelleBrille sur eux, avec tes Saints pour l'Éternité, Seigneur, car tu es bon.Amen.

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Désigné Chef de l'année 2014 par le magazine Musical America, Pablo Heras-Casado est principal chef invité du Teatro Real de Madrid et directeur artistique du Festival

de Grenade. Il entretient des liens étroits avec le Freiburger Barockorchester développant avec cet orchestre des projets de tournées et d'enregistrements. Au cours de cette saison, Heras-Casado est artiste en résidence au Concertgebouw d'Amsterdam, et dirige à la fois le Philharmonique de la radio des Pays-Bas, le Freiburger Barockorchester et le Mahler Chamber Orchestra en tournée. Il fait ses débuts avec les orchestres symphoniques de Pittsburg et de Montréal, et retrouve au Carnegie Hall l'Orchestre de Saint Luke, dont il est chef émérite après en avoir été le chef principal de 2011 à 2017. En janvier dernier 2019, il a dirigé L'Or du Rhin au Teatro Real de Madrid, marquant le début de sa première Tétralogie, qu'il mènera à bien sur les quatre prochaines saisons. Il collabore régulièrement avec les phalanges les plus prestigieuses, comme les principales formations américaines (orchestres symphoniques de San Francisco et Chicago, le Philharmonique de Los Angeles et l'Orchestre de Philadelphie), européennes (le Philharmonia et le London Symphony orchestra, l'Orchestre de Paris, le Philharmonique de Munich, la Staatskapelle de Berlin, l'Orchestre symphonique de la radio bavaroise, l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, l'Orchestre du Théâtre Mariinsky ou encore le Philharmonique d'Israël). Il a en outre dirigé les philharmoniques de Berlin et Vienne et a récemment initié une importante collaboration avec le Festival de Verbier. Dans le répertoire opératique, il s'est particulièrement illustré entre autres au Metropolitan de New York, dans le cadre des festivals d’Aix-en-Provence et de Baden-Baden. Heras-Casado enregistre principalement pour harmonia mundi, sa discographie ayant reçu de très nombreuses distinctions internationales. En 2018, sont parus des enregistrements dédiés à Debussy, avec le Philharmonia Orchestra ; à Bartók avec le Philharmonique de Munich et Javier Perianes ; un DVD du Vaisseau fantôme enregistré au Teatro Real. En 2018, Pablo Heras-Casado a été fait Chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres.

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Pablo Heras-CasadoDirection

Pablo Heras-Casado a fait ses débuts à l'Orchestre de Paris en 2017, dirigeant Carmen dans le cadre de la résidence de l'orchestre au Festival d'Aix-en-Provence.

pabloherascasado.com

Frédéric Antoun se forme à l’écriture orchestrale et à l’art lyrique à Montréal et poursuit ses études au Curtis Institute of Music de Philadelphie. Depuis

les débuts de sa carrière internationale, il travaille avec des chefs d’orchestre comme Ivor Bolton, Charles Dutoit, Mikko Franck, Emmanuelle Haïm, Philippe Jordan, Marc Minkowski, Carlo Rizzi et François-Xavier Roth. Parmi ses récentes performances, rappelons qu’il a créé le rôle de Raúl dans The Exterminating Angel d'Adès au Festival de Salzbourg. L'Opéra de Versailles le reçoit également en tant que Sabatino dans la version concert de Proserpine de Saint-Saëns. Il se rend enfin au Royal Opera de Londres en 2017 pour y chanter Cassio dans Otello de Verdi. Il débute la même année au Metropolitan dans la reprise de The Exterminating Angel. L'Opéra de Zurich le reçoit en Gonzalve dans L'Heure espagnole de Ravel, tandis que le Théâtre du Capitole (Toulouse) lui offre le rôle-titre masculin d’Orphée et Eurydice de Gluck en 2018. Son rôle de Ferrando (Cosi fan tutte) lui offre ses débuts à l'Opéra de Munich, avant sa prise du rôle de Fenton dans Falstaff au Royal Opera House. Au cours de la saison 2018/2019, Frédéric Antoun retrouve Cosi fan tutte à Zürich en novembre, avant d’y prendre le rôle de Jupiter dans Semele de Haendel en décembre. Il a chanté L’Enfance du Christ de Berlioz à la Philharmonie de Paris en janvier dernier sous la direction de Douglas Boyd, et retrouvera le rôle de Cassio dans Otello à Bastille en mars. Enfin, l’Opéra Comique lui offrira sa prise du rôle du Chevalier des Grieux dans Manon de Massenet en mai et l’Opéra de Cincinnati celle du rôle-titre de Roméo et Juliette de Gounod en juin. Parmi ses projets, il retrouvera prochainement les opéras de Paris, Montréal, de Bavière et Covent Garden et fera ses débuts à l'Opéra de Vienne. En concert, il se produira également avec l'Accademia Nazionale di Santa Cecilia, l'Orchestre de chambre de Paris et l'Orchestre symphonique de Montréal.

Frédéric Antoun fait ses débuts à l'Orchestre de Paris à l'occasion de ces deux concerts.

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Àla tête de l’Orfeón Donostiarra depuis 1986, José Antonio Sáinz Alfaro a su mener l’ensemble au sommet de son prestige international et superviser

l’expansion constante de son répertoire. Il se forme au Conservatoire de San Sebastian avec des professeurs tels que Francisco Escudero et Tomás Aragüés avant de poursuivre ses études à l’étranger, avec différents cours de direction de chœur. Son premier contact avec l’Orfeón Donostiarra a lieu en 1974, lorsqu’il intègre l’ensemble en tant que baryton. Durant les années 1980, il collabore étroitement avec son chef Antxon Ayestarán, dont il devient vite l’assistant. Suite au décès d’Antxon Ayestarán en 1986, il prend la direction de l’Orfeón. Depuis, le chœur se caractérise par une présence accrue sur la scène internationale et par l’expansion constante de son répertoire. Ce travail a été reconnu par la Radio Nacional de España qui l’a récompensé en 1992 par son prix Ojo Crítico en musique. Parmi les nombreux enregistrements réalisés sous la direction de José Antonio Sáinz Alvaro, signalons le CD Entre lo sagrado y lo profano, nommé Disque de platine, le Requiem de Verdi paru chez EMI, l’enregistrement en concert de la Symphonie no 2 de Mahler sous la direction de Claudio Abbado avec l’Orchestre du Festival de Lucerne, récompensé par un Diapason d’or, ainsi que la parution du CD Canciones, nommé Disque d’or. Il y a plus de vingt ans, José Antonio Sáinz Alfaro a ouvert une nouvelle phase de sa carrière en se lançant dans la direction d’orchestre, ce qui l’a amené à diriger de nombreux orchestres dont l’Orchestre symphonique national de Lettonie, la Orquesta Sinfónica de Radio Televisión Española, l’Orchestre symphonique basque, l’Orchestre national de Russie, l’Orchestre symphonique d’Istanbul, la Filharmonia Pomorska, l’Opéra national de Sofia, l’Orchestre philharmonique George Enesco de Bucarest, la Orquesta Sinfónica de Madrid, l’Orchestre du Teatro Nacional São Carlos de Lisbonne, l’Orquestra Simfònica del Vallés ou encore l’Orchestre de Málaga.

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José Antonio Sáinz AlfaroChef de chœur

Fondé en 1897 à Saint Sébastien, l’Orfeón Donostiarra est considéré comme l’un des plus importants chœurs d’Espagne. Il donne une quarantaine de concerts par an, et son répertoire – qui va du xviiie au xxie siècle – compte une centaine d’œuvres

pour chœur et orchestre, plus de cinquante opéras et zarzuelas et un grand nombre de pièces, folkloriques et polyphoniques. L’histoire de l’Orfeón se divise en quatre étapes bien définies, marquées par le caractère et la personnalité de leurs directeurs respectifs : Secundino Esnaola, Juan Gorostidi, Antxon Ayestarán et José Antonio Sáinz Alfaro. Ce dernier dirige l’Orfeón depuis 1987. En 2017, Orféon Donostiarra a participé au premier concert Fidelio de l’histoire des BBC Proms. En mars 2018, à l’occasion du 100e anniversaire de l’Orchestre philharmonique de Rotterdam, le chœur a chanté la Huitième Symphonie de Mahler, sous la direction de Yannick Nézet-Séguin. Parmi les spectacles internationaux de ces dernières années, citons ceux de la Philharmonie de Paris (2015), de la Salle Pleyel à Paris et ceux de la Halle aux Grains à Toulouse, avec l‘Orchestre national du Capitole de Toulouse sous la direction de Tugan Sokhiev. De nombreux chefs ont travaillé avec l’Orfeón, parmi lesquels Gerd Albrecht, Daniel Barenboim, Riccardo Chailly, Gustavo Dudamel, Rafael Frühbeck de Burgos, Jesús López Cobos, Charles Mackerras, Lorin Maazel, Igor Markevitch, Kurt Masur, Zubin Mehta, Riccardo Muti, Yannick Nézet-Séguin, Seiji Ozawa, Michel Plasson, Mikhail Pletnev, Simon Rattle, Esa-Pekka Salonen, Vladimir Spivakov, Leopold Stokowski, Yuri Temirkanov, Robin Ticciati, Victor Pablo Pérez et Alberto Zedda.

Orfeón Donostiarra

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SOPRANOSJuncal BarojaLeire BellosoJulia BlascoSara CeballosMaria CendoyaIrene Del MolinoSilvia DíazArgi EpeldeVinaixa GartziaMariola HuarteSalomé IbarmiaBegoña IrigoyenMiren LarrañagaAmaia LizarragaLeire MendibilItziar MorenoLaida OtaduyCristina SáinzAna SalaberriaIsabel SalaberriaLeire SarasolaAne UrrutikoetxeaEli UrrutikoetxeaCristina Venzala

ALTOSAne ArabaolazaElixabete ArabaolazaBerta ArrillagaItziar BuenoMercedes Del AmaAna FrancoJulia Carolina GyslingMª Isabel MartinLiubov MelnykMaialen MendizabalAmaia ZapirainMónica Zapirain

TÉNORSJAgustín AdurizJuan Bautista AgirreImanol AizpuruaJulen AntxiaJagoba AstiazaranJoseba GardeAritz GonzálezJosé GozateguiAitor ImazIñigo LaboreriaJon LasaJuan Pablo LizarzaAnder SanzManuel SpucchesJosé Ignacio SuárezFrancisco TorresAitor VitoriaIñigo VivancoJon Zaldua

BASSESEmmanuel AgyemangEndika BeltránJon ArretxeJosetxo BreyFermín ButiniCarlos CarraAntton CartonNicolás CortaJuan Manuel EmazabelJon Imanol EtxabeSergio GarcíaJosé Luis LoidiMiguel ValenciaRamón ZubillagaIñaki ZubiriaMikel Zubiria

Orfeón Donostiarra

Après des études de violon et de chant, Lionel Sow se tourne vers la direction de chœur et d’orchestre. Il obtient au Conservatoire de Paris – CNSMDP des

premiers prix en harmonie, contrepoint, fugue, direction de chœur et de chant grégorien, écriture du xxe siècle et contrepoint Renaissance puis, en 2005, le Certificat d’Aptitude à la direction d’ensembles vocaux. Parallèlement, Lionel Sow devient directeur musical de plusieurs ensembles vocaux. Dès 1995, il dirige la Maîtrise des petits chanteurs de Saint-Christophe ; en 2000, il prend la direction artistique de l’ensemble vocal Les Temperamens, et en 2002, de la Maîtrise Notre-Dame de Paris où il assure la direction du chœur d’enfants en devenant l’assistant de Nicole Corti, avant d’en prendre la direction artistique et pédagogique en 2006. Depuis 2004, Lionel Sow dirige régulièrement le Chœur de Radio France pour la préparation de programmes a cappella ou avec orchestre. Il est par ailleurs amené à collaborer avec de nombreux ensembles : l’Orchestre national de France et l’Orchestre philharmonique de Radio France, le Chœur et la Maîtrise de Radio France, la Maîtrise de Paris, le Chœur de l’Armée Française, l’Ensemble Doulce Mémoire, Sequenza 9.3, Les Paladins, le San Francisco Symphony Orchestra, le Cleveland Symphony Orchestra, le West-Eastern Divan Orchestra… et chefs : Myung-Whun Chung, Fabio Biondi, John Nelson, Riccardo Chailly, Paavo Järvi, Yutaka Sado, James Conlon, Herbert Blomstedt, Michael Tilson Thomas, Leonardo García Alarcón, Jaap van Zweden, Bertrand de Billy, Thomas Hengelbrock et Daniel Harding. Lionel Sow enseigne la direction de Chœur au cours de stages de formation professionnelle ainsi qu'au CNSMD de Lyon depuis janvier 2017. Il intervient lors de sessions auprès du département de musique ancienne et de la classe de direction d’orchestre du Conservatoire de Paris–CNSMDP. En 2011, Lionel Sow a été élevé au rang de Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres.

En septembre 2011, Lionel Sow prend la direction du Chœur de l’Orchestre de Paris. En 2012, il crée l’Académie, en 2013 le Chœur de chambre, en 2014 le Chœur d’enfants et en 2015 le Chœur de jeunes.

Lionel SowChef de chœur

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Chœur principal : composé de 80 chanteurs, le Chœur principal est rompu à l’interprétation du répertoire symphonique choral. Chœur de chambre : cet ensemble de 40 chan-teurs est d’une grande flexibilité et permet de diversifier la programmation du répertoire cho-ral de l’Orchestre de Paris.Académie du Chœur : L’Académie est com-posée d’une trentaine de chanteurs de 18 à 25 ans, issus des meilleurs chœurs d’enfants et des classes de chant des conservatoires.Chœur d’enfants : il rassemble une centaine d'enfants de 9 à 14 ans, auxquels est proposée une formation sous la direction des chefs de Chœur associés, sur le temps extra-scolaire.

Chœur de jeunes : il rassemble une cinquantaine de chanteurs de 15 à 18 ans issus des Conserva-toires des 6e, 13e et 19e arrondissements et du CRR d’Aubervilliers-La Courneuve. Les partenaires des chœurs d’enfants et de jeunes sont les trois conservatoires de la ville de Paris (6e, 13e et 19e arrondissements) et le CRR d’Aubervil-liers-La Courneuve.Edwin Baudo, Marie Deremble-Wauquiez, Marie Joubinaux et Béatrice Warcollier sont chefs associés aux chœurs d’enfants et de jeunes.

C’est en 1976, à l’invitation de Daniel Barenboim, qu’Arthur Oldham – unique élève de Britten et fondateur des chœurs du Festival d’Edimbourg et du Royal Concertgebouw d’Amsterdam – fonde le Chœur de l’Orchestre de Paris. Il le dirigera jusqu’en 2002. Didier Bouture et Geoffroy Jourdain poursuivent le travail entrepris et partagent la direction du chœur jusqu’en

2010. En septembre 2011, Lionel Sow en prend la direction. Le Chœur est composé de chanteurs amateurs dont l’engagement a

souvent été salué, notamment par les chefs d’orchestre avec lesquels ils ont travaillé, dont Claudio Abbado, Pierre Boulez, Daniel Barenboim, Bertrand de Billy, Herbert Blomstedt, Semyon Bychkov, Jean-Claude

Casadesus, Riccardo Chailly, James Conlon, sir Colin Davis, Christoph von Dohnányi, Antal Doráti, Christoph Eschenbach, Carlo Maria Giulini, Rafael Kubelík, Jesús López Cobos, Lorin Maazel, Zubin Mehta, Seiji Ozawa, Pascal Rophé, Wolfgang Sawallisch, sir Georg Solti, Michael Tilson Thomas, Paavo Järvi, Thomas Hengelbrock et Daniel Harding. Le Chœur de l’Orchestre de Paris a participé à plus d’une quinzaine d’enregistrements de l’Orchestre de Paris. En mai 2019, à l’occasion de plusieurs concerts en Allemagne et à Vienne, le Chœur de l’Orchestre de Paris se joindra à l'Orchestre de Paris et son directeur musical pour y chanter le War Requiem de Britten. Le Chœur d’enfants sera également de la fête à Hambourg, dans la salle de l’Elb-philharmonie.

Pour en savoir plus : orchestredeparis.com

Chœur de l’Orchestre de ParisLionel Sow, chef de chœur

SOPRANOSVirginie BacquetNida BaierlIda BaratCorinne BerardiManon BonnevilleMagalie BulotClara CallewaertLucie Camps Mylène CassanTara CassanChristine CazalaCécile ChéraquiMarie-Agathe ChevalierAnne ChevalierMaia-Angelica CostaVirginie Da Vinha-Esteve Alice de MonfreidColombe de PoncinsChristiane Detrez-LagnyAliénor de ValleeSara di BellaFatoumata Dicko-DoganKatarina EliotStephanie Gaillard Nathalie GauthierJeanne Gregorutti Célia GreinerAnne-Laure HulinClémence LalautClémence LaveggiPauline LazayresJaeyoon LeeVictoire LionRebeca LopezCatherine MercierVirginie MekongoMichiko MonnierAnne Muller-GattoMarie-Josée PasternakAliénor PetiotFrançoise RaguAude ReveilleLudivine Ronceau-Quesada

Cécile SagnierCharline SamphelSandrine ScadutoAnaïs SchneiderBénédicte SixClémence TolotAnna Vateva

ALTOSSarah AffreingueLouise AlexisFrançoise Anav-MallardCamila ArgoloSophie CabanesWonjun ChoiSabine CholletLola DauthieuxFrançoise DavrilAlice de VulpillièresChloé FabreguettesAude FillonAudrey GourdinDominique HollebekeÉlisabeth HoupertCaroline IrigoinCaroline KoclejdaBrice LeblancNicole LeloirJulie LempernesseSuzanne LouvelZôé LyardJill McCoySandra MarkovicCatherine MarnierAgnès MaurelAlice MoutierMartine PatrouillaultColine PelissierVéronique SanginSilvia Sauer-WitwickyNina TchernitchkoMarly TrepyMagarita van DommelenFanny VantommeAnnick Villemot

TÉNORSJean-Sébastien BassetFerréol Charles

Olivier ClementStéphane ClementXavier de SnoeckJulien DubarryGhislain DupréSammy El GhadabNoam FimaDaniel FortmannNicolas GrégisStéphane GrosclaudeMaximilien HondermarckDidier KaleffMin KuangMarc LaugenieÉric LeursLouis LorieuxWilliam MohamadAugustin MondanPierre Nyounay NyounayDenis PeyratPierre PhilippeFrédéric PineauPhilippe QuilesArnaud RazafindralamboFrédéric RoyerClément TixierEmmanuel TridantMichel Watelet

BASSESEmmanuel AgyemangGrégory AllouPaul AlricTimothy ArtusioVincent BoussacPere Canut de Las HerasJean-François CerezoGilles DebenayStéphane DriEmmanuel EnaultRenaud FarkoaPatrick FelixLaurent GuanziniChristophe GuttonMartin HoschChristopher HydeBenoit LabauneSerge LacorneGrégoire Lecomte

Gilles LesurPierre LogeraisSalvador MascarenhasNicolas MaubertDidier PeroutinÉric PicouleauGuillaume PintaChristophe RiouxLionel SadounArès SiradagDavid SuzanneArié VaisbrotSwann VeyretVictor Wetzel

LE CHŒUR DE L’ORCHESTRE DE PARIS

Orchestre du Conservatoire de Paris

VIOLONSVIOLONS Elise BertrandEmmanuel Coppey Tien Ai ChouHelia FassiElie HackelLéon HaffnerGeoffrey HolbéDiego Le MartretHugo MederArthur PierreyRoxana RastegarMichaël RiedlerIris ScialomRachel Sintzel StrippoliClément Verschave

ALTOSPierre CourriolClémence Dupuy KovacshazyBenjamin LecoqClaire Pass LanneauClément PimentaJean-Baptiste Souchon

VIOLONCELLES Noémie Akamatsu Laura Castegnaro

Cyprien Keiser Juliette Martin Frauke Suys

CONTREBASSESMartin BertrandMatthias Courbaud Charlotte HenrySuliac Maheu

FLÛTESAlexina ChevalSarah Van Der Vlist

HAUTBOIS, Jean-Maurice MesselynSeong Young Yun

CLARINETTESEnzo FerraratoGabriel Lellouch

BASSONSAnne MullerCamille Rocher

CORSCamille JodyColin PeigneFélix Roth

TROMPETTESDavid BusawonArthur EscrivaTerutaka KozakiCamille Le Moigne

TROMBONESFélix BarangerFlorian BouchierHugo DuboisLucas Ounissi

PERCUSSIONSCorentin AubryArthur BechetSalomé BoncheValentin Dubois Emmanuel Jacquet

L a pratique de l'orchestre est inscrite dans l'histoire de l'institution : dès 1803, les symphonies de Haydn, puis de Mozart et de Beethoven étaient jouées par les élèves sous la direction de François-Antoine Habeneck ; ce même chef fonde en 1828 avec

d'anciens élèves, la Société des Concerts du Conservatoire, à l'origine de l'Orchestre de Paris. Cette pratique constitue aujourd'hui l'un des axes forts de la politique de programmation musicale proposée par le Conservatoire dans ses trois salles publiques, dans la salle des concerts de la Cité de la musique, institution partenaire de son projet pédagogique dès sa création, ainsi que dans divers lieux de production français ou étrangers. L'orchestre du Conservatoire est constitué à partir d'un ensemble de 350 instrumentistes, réunis dans des formations variables, renouvelées par session, selon le programme et la démarche pédagogique retenus. Les sessions se déroulent sur des périodes d'une à deux semaines, en fonction de la difficulté et de la durée du programme. L'encadrement en est le plus souvent assuré par des professeurs du Conservatoire ou par des solistes invités. La programmation de l'Orchestre du Conservatoire est conçue dans une perspective pédagogique : diversité des répertoires abordés, rencontres avec des chefs et des solistes prestigieux.

Daniel Harding directeur musical - Lionel Sow chef de chœur

Renseignements : orchestredeparis.com - 01 56 35 12 15 - choeur@orchestre de paris.com

AUDITIONS POUR CHANTEURS AMATEURS CONFIRMÉS

en avril – mai – juin 2019

CHŒUR DE L’ORCHESTRE DE PARIS

RECRUTEMENT

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Première formation symphonique française, l’Orchestre de Paris donne, avec ses 119 musiciens, plus d’une centaine de concerts chaque saison à la Philharmonie de Paris et lors de ses tournées internationales. Cette phalange d’exception a donné son concert inaugural en novembre 1967 sous la direction de son premier directeur musical, Charles Munch. Herbert von Karajan, sir Georg Solti, Daniel Barenboim, Semyon Bychkov, Christoph von Dohnányi, Christoph Eschenbach et Paavo Järvi se succèdent ensuite à la direction de l’orchestre. Daniel Harding est devenu en 2016 le neuvième directeur musical de l’Orchestre de Paris, Thomas Hengelbrock le rejoignant comme chef associé. Ces deux chefs, aux programmes novateurs, conjuguent leurs talents pour écrire une nouvelle page de l’histoire de l’Orchestre de Paris. L’orchestre joue un rôle majeur au service des répertoires des xixe et xxe siècles et de la création contemporaine. L’Orchestre de Paris accueille pour une deuxième saison Jörg Widmann en résidence et a assuré la création européenne de son Concerto pour violon no 2 interprété par Carolin Widmann, la sœur du compositeur. Il assure les créations françaises du Concerto pour deux pianos de Bryce Dessner, interprété par Katia et Marielle Labèque, d’Alle vittime senza nome (Aux victimes anonymes) de Péter Eötvös, sous la direction du compositeur, et de Let me tell you de Hans Abrahamsen. Il donne également plusieurs œuvres de Thomas Adès et accueille le compositeur britannique pour diriger deux concerts au cours de la saison. Avec le jeune public au cœur de ses priorités, l’Orchestre de Paris offre une large palette d’activités, ouvertes au public

scolaire ou familial ainsi qu’aux publics plus éloignés de la musique ou fragilisés. Au cours de cette saison exceptionnelle, l’Orchestre de Paris s'est produit fin septembre à Lugano sous la direction de Daniel Harding, pour la première suisse du Concerto pour violon no 2 de Jörg Widmann, interprété par Carolin Widmann. En décembre, Daniel Harding, accompagné d’Isabelle Faust, a conduit l’orchestre au

Japon pour une tournée de sept concerts. En mai, à l’occasion de plusieurs concerts en Allemagne et à Vienne, l’orchestre et son directeur musical sont particulièrement fiers d’emmener avec eux le Chœur de l’Orchestre de Paris pour y chanter le

War Requiem de Britten. Le Chœur d’enfants est également de la fête à Hambourg, dans la magnifique salle de l’Elbphilharmonie. Quant à Thomas Hengelbrock, il a dirigé l’orchestre, en octobre, à Bratislava avec Igor Levit pour un programme réunissant Berlioz, Prokofiev et Beethoven. Afin de mettre à la disposition du plus grand nombre le talent de ses musiciens, l’orchestre diversifie largement sa politique audiovisuelle en nouant des partenariats avec Radio Classique, France musique, Arte, Mezzo et France Télévisions.

L’Orchestre de Paris est soutenu par le ministère de la Culture

et la Mairie de Paris depuis sa création.

Orchestre de ParisDaniel Harding, directeur musical

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LES MUSICIENS DE L’ORCHESTRE DE PARIS

orchestredeparis.com Licence d’entrepreneur de spectacle : catégorie 2 : 2-1053423

DIRECTIONAnne-Sophie BrandaliseDirectriceDaniel HardingDirecteur musical Édouard Fouré Caul-FutyDélégué artistique

CHEF ASSOCIÉ Thomas Hengelbrock

PREMIERS VIOLONS SOLOS Philippe Aïche Roland Daugareil

VIOLONS Eiichi Chijiiwa , 2e violon soloSerge Pataud , 2e violon solo Nathalie Lamoureux, 3e solo Christophe Mourguiart, 1er chef d’attaque Philippe Balet, 2e chef d’attaque Antonin André-Réquéna Maud Ayats Elsa Benabdallah Gaëlle BissonDavid Braccini Joëlle CousinCécile Gouiran Matthieu Handtschoewercker Gilles Henry Florian Holbé Andreï Iarca Saori Izumi Raphaël Jacob Momoko Kato Maya Koch Anne-Sophie Le Rol Angélique Loyer Nadia Marano-Mediouni Pascale Meley Phuong-Maï Ngô Nikola Nikolov

Étienne Pfender Gabriel Richard Richard Schmoucler Élise Thibaut Anne-Elsa Trémoulet Caroline Vernay

ALTOS Ana Bela Chaves, 1er solo David Gaillard, 1er solo Nicolas Carles, 2e solo Florian Voisin, 3e solo Flore-Anne Brosseau Sophie Divin Chihoko Kawada Béatrice Nachin Nicolas Peyrat Marie Poulanges Cédric Robin Estelle Villotte Florian Wallez

VIOLONCELLES Emmanuel Gaugué, 1er soloÉric Picard, 1er soloFrançois Michel, 2e soloAlexandre Bernon, 3e soloAnne-Sophie Basset Delphine BironThomas DuranManon Gillardot Claude GironMarie LeclercqFlorian MillerFrédéric PeyratHikaru Sato

CONTREBASSES Vincent Pasquier, 1er soloUlysse Vigreux, 1er solo Sandrine Vautrin, 2e soloBenjamin BerliozIgor BoranianStanislas KuchinskiMathias Lopez Marie van Wynsberge

FLÛTESVincent Lucas, 1er soloVicens Prats, 1er soloBastien PelatFlorence Souchard-Delépine

PETITE FLÛTEAnaïs Benoit

HAUTBOISMichel Bénet, 1er soloAlexandre Gattet, 1er soloBenoît Leclerc Rémi Grouiller

COR ANGLAISGildas Prado

CLARINETTESPhilippe Berrod, 1er soloPascal Moraguès, 1er soloArnaud Leroy

PETITE CLARINETTEOlivier Derbesse

CLARINETTE BASSEPhilippe-Olivier Devaux

BASSONSGiorgio Mandolesi, 1ersoloMarc Trénel, 1er soloLionel Bord

CONTRE BASSONAmrei Liebold

CORSAndré Cazalet, 1er soloBenoit de Barsony, 1er soloJean-Michel VinitAnne-Sophie CorrionPhilippe Dalmasso

Jérôme RouillardBernard Schirrer

TROMPETTES Frédéric Mellardi, 1er soloLaurent BourdonStéphane Gourvat Bruno Tomba

TROMBONESGuillaume Cottet-Dumoulin, 1er soloJonathan Reith, 1er solo Nicolas DrabikJose Angel Isla JulianCédric Vinatier

TUBAStéphane Labeyrie

TIMBALES Camille Baslé, 1er soloAntonio Javier Azanza Ribes, 1er solo

PERCUSSIONSÉric Sammut, 1er soloNicolas MartynciowEmmanuel Hollebeke

HARPEMarie-Pierre Chavaroche

CONSEIL D'ADMINISTRATION

L’Orchestre de Paris est intégré depuis janvier 2019 à la Philharmonie de Paris sous la forme d’un département spécifique. Cette intégration renforce

l’articulation de la programmation de l’Orchestreavec le projet artistique et pédagogique de l'établissement. C'est désormais

sous l'égide du Conseil d'administration de la Philharmonie de Paris que l'Orchestre de Paris poursuit ses activités.

Pour faciliter votre retour après le concert

G7, PARTENAIRE DE L’ORCHESTRE DE PARIS, met à votre disposition ses taxis à la sortie des concerts du soir de la Grande Salle. Un coordinateur G7 se tiendra à votre disposition dans le hall d’entrée de la Philharmonie (niveau 3) pour vous aiguiller vers les taxis.

N’hésitez pas à vous renseigner auprès des agents d’accueil.

SERVICE DE NAVETTES GRATUITÀ l’issue de chaque représentation donnée en soirée dans la Grande salle ou dans la Salle des concerts, la Philharmonie de Paris vous propose un service gratuit de navettes desservant différents sites parisiens. Ce service est offert durant toute la saison. Les navettes stationnent le long du boulevard Sérurier.

TRAJET NAVETTE 1Gare du Nord, République, Hôtel-de-Ville, Luxembourg et Denfert-Rochereau.

TRAJET NAVETTE 2Gare du Nord, Saint-Lazare, Charles-de-Gaulle – Étoile.

➦NAVETTES

G7LOGOTYPE4/02/16

RÉFÉRENCE COULEUR :

REMERCIEMENTS

MEMBRES GRANDS MÉCÈNES CERCLE CHARLES MUNCH

Anthony Béchu, Nicole et Jean-Marc Benoit, Agnès et Vincent Cousin, Vincent Duret, Pierre Fleuriot, Nathalie et Bernard Gault, Pascale et Éric Giuily, Marina et Bertrand Jacquillat, Tuulikki et Claude Janssen, Claude et Denis Kessler, Ioana Labau, Brigitte et Jacques Lukasik, Danielle et Bernard Monassier, Laetitia Perron et Jean-Luc Paraire, Judith et Samuel (in mem.) Pisar, Michèle et Alain Pouyat, Éric Rémy, Brigitte et Bruno Revellin-Falcoz, Carine et Eric Sasson, Élisabeth et Bernard Saunier, Peace Sullivan

MÉCÈNES

Isabelle Bouillot, Anne et Jean-Pierre Duport, France et Jacques Durand, Philippine et Jean-Michel Eudier, S. et JC. Gasperment, Marie-Claude et Jean-Louis Laflute, Estelle et Maurice Lasry, Yves Le Bellec et Christophe Rioux, Laurent Lévy, Michelle Lillette, François Lureau, Pascal Mandin, Michèle Maylié, Gisèle et Gérard Navarre, Catherine et Jean-Claude Nicolas, Emmanuelle Petelle et Aurélien Veron, Eileen et Jean-Pierre Quéré, Benoît Quernin, Olivier Ratheaux, Véronique Saint-Geours, Agnès et Louis Schweitzer

DONATEURS

Andrée et Claude Arnoux, Françoise Aviron, Claire et Dominique Bazy, Sabine Boulinguez, Monique et Franck Briatte, Maureen et Thierry de Choiseul, Claire et Richard Combes, Jean-François Delale, Christiane et Gérard Engel, Yves-Michel Ergal et Nicolas Gayerie, Claudie et Francois Essig, Claude et Michel Febvre, Anne-Marie Gachot, Catherine Ollivier et François Gerin, Thomas Govers, Alain Gouverneyre, Bénédicte et Marc Graingeot, Christine Guillouet et Riccardo Piazza, Robert et Christine Le Goff, Gilbert Leriche, Annick et Michel Prada, Nicole et Jacques Sampré, Martine et Jean-Louis Simoneau, Odile et Pierre-Yves Tanguy, Colette et Bill Toynbee, Claudine et Jean-Claude Weinstein

REJOIGNEZ LE CERCLE DE L’ORCHESTRE DE PARIS

■ Réservez vos places en priorité■ Rencontrez les musiciens■ Découvrez la nouvelle saison en avant-première■ Accédez aux répétitions généralesGrâce à vos dons, vous permettez à l’orchestre de développer ses projets pédagogiques et sociaux. Le Cercle contribue également au rayonnement international de l’orchestre en finançant ses tournées.

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oman

esLE CERCLE de l’Orchestre de Paris

PRÉSIDENT Pierre Fleuriot / PRÉSIDENT D'HONNEUR Denis Kessler

DEVENEZ MÉCÈNES DE L’ORCHESTRE DE PARIS

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■ Un petit-déjeuner lors d’une répétition générale

■ Une visite privée de la Philharmonie de Paris et de ses coulisses

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CONTACTMélomanes :Chloé DecrouyChargée des donateurs individuels et de l’événementiel 01 56 35 12 42

Entreprises :Simon Rossi Chargé de mécénat entreprises 01 56 35 12 [email protected]

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