Marie-Andrée Mallet Résultats des études et faits saillants...
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Université de MonctonMaîtrise en administration publique
ADPU 6055 - Séminaire en gestion publique
Vers une stratégied éd ti d l i i lité
Conférence provincialeRéduction de la criminalité : combler les lacunes
Delta Fredericton, les 15 et 16 avril 2009
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de réduction de la criminalitéau Nouveau-BrunswickSous la direction de Guy Robinson
par Marie-Andrée Mallet, Mylène Savoie, Abdelkader Belbraouate,
Christine Allain et Josée Archeravec la collaboration de
Mouhamadou Lô, Dhouha Dahmen,Moemen Hammouda et Isabelle Hébert
16 avril 2009
PLAN DE LA SÉANCE EN GROUPE RESTREINT16 avril 2009, de 11h00 à 12h15
Présentation (11h00-11h50)
IntroductionMarie-Andrée Mallet
Résultats des études et faits saillantsCriminalité, santé mentale, dépendances et femmes
Mylène Savoie
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- Mylène SavoieJeunes, autochtones et contrevenants prolifiques
- Abdelkader Belbraouate Engagement, horizontalité et mobilisation
Tribunaux spécialisés- Josée Archer
Acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux- Christine Allain
Recommandations généralesMarie-Andrée Mallet
Questions et discussion (11h50-12h15)
INTRODUCTIONMAÎTRISE EN ADMINISTRATION PUBLIQUE
ADPU 6055 – Séminaire en gestion publiqueHiver 2009
BUT : CONCILIER THÉORIE ET PRATIQUEL’OCCASION OFFERTE :
Conférence provincialeRéduction de la criminalité : combler les lacunes
ÉQUIPE PÉDAGOGIQUE
Guy Robinson, professeur, Université de MonctonMarie-Andrée Mallet, chargée de projet, étudiante en MaîtriseBrian Saunders, Conseiller principal en politiques de réduction de la criminalité, Sécurité publique NB Joanne Murray, Directrice exécutive, Société John Howard du Grand-Moncton
PARTICIPANTS : 9 étudiantes et étudiants
Delta Fredericton, les 15 et 16 avril 2009Réduction de la criminalité : combler les lacunes
INTRODUCTION
ADPU 6055 – Séminaire en gestion publiqueHiver 2009
THÈME
Réduction de la criminalité au Nouveau-Brunswick :
stratégie et plan d’actionProjet de recherche en vue de l’élaboration d’une stratégie
et du développement d’un plan d’action en matière de prévention et de réduction de la criminalité
au Nouveau-Brunswick.
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RECHERCHE 1Nouveau-Brunswick et criminalité :
analyse de l’environnement
INTRODUCTION
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RECHERCHE 2Plan d’action pour réduire la criminalité:engagement. horizontalité et mobilisation
des acteurs gouvernementaux et communautaires
22 janvier Criminalité au NB SgtEM. Rick VotourSgtEM. Jean-Guy Richard
Mouhamadou Lo
22 janvier Dépendances et criminalité Gisèle Maillet Mylène Savoie
29 janvier Santé mentale et criminalité France Daigle Mylène Savoie
5 février Autochtones Joan Milliea Dhouha Dahmen12 février Jeunes François Levert Moemen Hammouda
Recherches 1 et 2Sujets, conférenciers et responsables
INTRODUCTION
R1
19 marsç
Bob Eckstein12 février Contrevenants prolifiques SgtEM. Rick Votour
Kathleen MacoombSgtEM. Marc Bertrand
Abdelkader Belbraouate
19 février Femmes Norma Dubé Dhouha Dahmen
19 février Environnement démographique et social
Janet Thomas Tina Robichaud
12 mars Tribunaux spécialisés Joanne Boucher Josée Archer19 mars Acteurs gouvernementaux Lise Bellefleur Isabelle Hébert26 mars Acteurs communautaires Joanne Murray
Bill BastaracheChristine Allain
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R2
INTRODUCTIONRecherches 1 et 2Études réalisées
http://www0.umoncton.ca/robinsg/adpu6055h09/PointeursH09.htm
CRIMINALITÉ SANTÉ MENTALE DÉPENDANCES
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
NOUVEAU-BRUNSWICK
DÉPENDANCESFEMMESJEUNESAUTOCHTONESCONTREVENANTS PROLIFIQUES
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RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
CRIMINALITÉL’un des plus bas taux au Canada (2006)L’une des provinces les plus sécuritairesMais ce problème de société exige une attention constante et accrue: SON COÛT RESTE BEAUCOUP TROP ÉLEVÉ
Pour les individusEn raison des blessures psychologiques et physiques, des décès occasionnés, de la misère humaine engendrée; des dommages matériels subis.
Pour les famillesBrisées, déchirées, anéanties; en proie aux violences familiales; victimes de la pauvreté et de pertes d’emploi; confrontées aux problèmes de santé mentale et de dépendances.
Pour les communautés et la sociétéPertes de productivité; hausse de l’insécurité; pertes de revenus; problèmes des sans-emplois et des sans-abris; problèmes de jeunes-démunis
Pour l’ÉtatFardeau budgétaire : services médicaux, de santé mentale et de réponses d’urgence; services de prévention, de dissuasion et de répression; services aux victimes.
Jeunes et adultes incarcérés ont des taux de prévalence plus élevés pour diverses maladies mentales que la population en général
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
SANTÉ MENTALE
q p p gMauvaise santé mentale peut mener à la délinquance et à la criminalité
Santé mentale et dépendance: troubles concomitants
Essentiel de coordonner les services offerts dans
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
SANTÉ MENTALE
Essentiel de coordonner les services offerts dans ces deux domaines Collaboration par des ententes de formation conjointe, de partage de l'information, de nominations conjointes du personnel, ainsi que de protocoles d'intégration du traitement aux programmes de soutien communautaire
Prévention au niveau des dépendances et de la santé mentale est faite de façon similaire dans la province:
promotion de la santé et du bien-être en général
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
SANTÉ MENTALE
Stratégie du Mieux-Être du N.-B.Stratégie de traitement des dépendances du N.-B. Diffusion d’informationsBesoin d’un éventail de services dans toutes les collectivités pour répondre aux besoins de personnes avec une maladie mentale ou un problème de dépendance léger ou grave
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Vers l’avenir ensemble : un système transformé de santé mentale pour le Nouveau-Brunswick
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
SANTÉ MENTALE
pFavoriser la collaboration et la coopération entre les ministères au sein d’un système coordonnéMinistères visés : Santé, Développement social, Éducation, Justice, Éducation postsecondaire, Formation et Travail, Santé publique et Secrétariat des Affaires autochtones
4 liens proximaux entre criminalité et dépendancesDans 79 % des cas, les prisonniers incarcérés pour un crime confirment avoir consommé une substance la journée de leur crime : 26 % de l’alcool,
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
DÉPENDANCES
j13 % de la drogue et 40 % les deuxActeurs impliqués :
parents (tuteurs)écolesprofessionnels (ex. intervenants en toxicomanie)collectivités (communautés)gouvernement
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Programmes correctionnels communautaires administrés par le ministère de la Sécurité publique en partenariat avec la collectivité
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
DÉPENDANCES
Basés sur 5 grands thèmes qui touchent la plupart des contrevenants adultes de la province :
violence conjugale réduction des risques maîtrise de la colère programme pour délinquants sexuels traitement des toxicomanies
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Assurer un continuum des soins pour le traitement des dépendances et de la santé mentalePlusieurs programmes sont offerts mais ont reconnaît un manque de services à divers endroits
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
DÉPENDANCES
qde la province Pour placer les individus au centre du système, meilleure collaboration:
ministèresorganismes (publics, privés, professionnels, non-professionnels) communautés (elles jouent un rôle primordial)
Plusieurs partenariats devraient être créés16
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En 2004-2005: les femmes représentent 12% des contrevenants condamnés au N-B.689 femmes condamnées
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
FEMMES
La plupart sont coupables de crimes non violents17% des jeunes contrevenants sont des filles :135 sur 806 jeunes contrevenants
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Femmes autochtones sont sur-représentées dans le milieu carcéralEn 2004-2005 au N.-B.: 91 femmes autochtones,
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
FEMMES
soit 13% des contrevenantes adultesPopulation des contrevenantes autochtones s’accroîtPassée de 15 % en 1997 à 25 % en 2006
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En 2004: 879 incidents de violence contre une femme ont été signalés à la police au N.-B.En 2005-2006 au N.-B., 1 447 femmes ont trouvé refuge dans des maisons d’hébergement pour femmes
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
FEMMES
refuge dans des maisons d hébergement pour femmes violentées Les femmes représentaient 84% des victimes d’agression sexuelle
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Plus susceptibles d’avoir besoin d’un traitement dans les domaines suivants:
l’emploi
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
FEMMES
pl’éducationles relations matrimoniales et familiales
Proportion faible de la population carcérale: la planification du logement et des programmes est plus difficile dans leurs cas
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En 2006: la province du Nouveau-Brunswick comptait 210 585 jeunes âgés de 0 à 25 ansReprésentent 29% de la totalité de la population
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
JEUNES
p p pEn 2007, chez les jeunes accusés:
1428 infractions au code criminel 990 crimes contre la propriété
Le nombre d'adolescents accusés d'infractions dans la province a augmenté de 6% en 2006
Programme Le MaillonDonne la possibillité à un jeune qui connaît une situation difficile ou qui a des questions de recevoir de l’aide de la
t d’ f é
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
JEUNES
part d’une personne formée
Programme de soutien intensifFaire en sorte que l’adolescent évite le réseau de garde et soutenir l’adolescent remis en libertéAccroître la participation de l’adolescent et de sa famille aux activités présocialesAméliorer la santé physique et le bien-être psychologique de l’adolescent et de sa famille
Programme d’absence temporaireMoyen de réinsertion des détenus dans la société :
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
JEUNES
En les responsabilisantEn leurs ouvrant des portes qui leur auraient été fermées
Manque de continuité (bris des services 16 à 19 ans)Au N.-B: pas assez d’accent sur la prévention de la criminalité chez les jeunes
En 2006, un total de 17 655 personnes autochtones vivaient au N.-B.Représentent 2,45 % de la population totale
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
AUTOCHTONES
Représentent 2,45 % de la population totaleTaux de criminalité et de victimisation démesurément élevésEn 2004-2005 au N.-B.: 8% des hommes en prison étaient autochtones
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Sur-représentation s’explique par des facteurs de risque associés aux phénomènes suivants :
la pauvreté
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
AUTOCHTONES
pl’éclatement de la familleles mauvaises compétences parentalesle décrochage ou l’échec scolaire
Contribution du peuple autochtone n’est souvent pas reconnue et est sous-estimée
Plusieurs facteurs contribuent à cette réalité:manque de sensibilisation aux culturesreprésentations négatives (préjugés)t té é t éhi lé
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
AUTOCHTONES
et stéréotypes véhiculés
Nécessité de former des intervenants connaissant la culture pour répondre adéquatement aux problèmes complexesManque de services spécialisés et d’infrastructures communautaires
Environ 15 % des criminels commettent plus de 75% des crimes contre la propriétéGRC: gère et analyse l’information pour cibler les
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
CONTREVENANTS PROLIFIQUES
délinquants actifs et prioritaires Système fondé sur:
activités criminelles antérieures et actuellespreuvesimpartialité et cohérence
GRC est partenaire avec:Couronne (système judiciaire)Communauté
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS
CONTREVENANTS PROLIFIQUES
Veut améliorer le système afin de contrer le cercle vicieux : arrestation – incarcération - récidive
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ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉS ACTEURS GOUVERNEMENTAUX
NOUVEAU-BRUNSWICK
ACTEURS NON GOUVERNEMENTAUX
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉS
Violence conjugale Santé mentaleToxicomanieAutochtonesJeunesConclusions
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉSVIOLENCE CONJUGALE
Tribunal provincial chargé du dossier de la violence conjugale - MonctonSpécialisation dans les affaires de violence familiale par:
policeprocureurs de la Couronnemagistrature
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉSVIOLENCE CONJUGALE
Objectifs:réduction du temps de traitement des cas
i d d d iaugmentation du taux de condamnationspoint central pour les programmes et services offerts aux victimes et aux contrevenants
Passage du projet pilote à la permanence Établissement de tribunaux de ce typeà l’échelle de la province
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ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉSSANTÉ MENTALE
Situé à St-JeanObjectifs:
s'occuper efficacement des accusés souffrant d'une maladies occuper efficacement des accusés souffrant d une maladie mentale ou d'une incapacité intellectuellerespecter les limites des dispositions du Code criminelfournir aux accusés un traitement efficacesuivre les principes de l'intervention la moins restrictive dans l'environnement le moins restrictifprotéger les droits du public, les droits de l'accusé et l'intégrité du système de justice pénaletenir l'accusé responsable de son comportement
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉSSANTÉ MENTALE
Processus volontaireEncourage la participation au lieu de la punition (incarcération) ( ca cé at o )Taux de réussite du programme = 82%
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉSSYSTÈME DE JUSTICE APPLICABLE AUX JEUNES
Favoriser l’application de mesures alternatives à la détention des jeunes contrevenantsSensibiliser les acteurs œuvrant dans le domaine Se s b se es acteu s œuv a t da s e do a ejuridique. Décriminalisation des actes commis par des jeunes souffrant de problèmes de santé mentaleEffort de collaboration entre les ministères impliqués par une participation accrue des intervenants et des fournisseurs de services au processus juridique
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉSSYSTÈME DE JUSTICE APPLICABLE AUX AUTOCHTONES
Stratégie relative à la justice pénale applicable aux autochtones vise à répondre à la sur-représentativité de la population autochtone Établir de meilleurs rapports entre les intervenants qui s'intéressent à la justice pour les Autochtones; des rapports fondés sur les valeurs suivantes:
confiancedignitééquitéparticipation
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ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉSSYSTÈME DE JUSTICE APPLICABLE AUX AUTOCHTONES
Initiatives découlant de cette stratégiemise en place de cours des juges de paix autochtones conformément à la Loi sur les Indiensformation sur les particularités culturelles à l'intention des juges, avocats, policiers, agents de correction et intervenants correctionnels non autochtonesintégration au système de justice pénale de services conçus pour les Autochtonesprogrammes de déjudiciarisation, audiences avec l'aide d'un aîné, médiation, conseil de sages, comité de justice communautaire, cercle de détermination de la peine
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉSTRAITEMENT DE LA TOXICOMANIE
Réduire les crimes liés à la toxicomanietraitements suivis par les accuséssoutien de services communautaires offerts aux toxicomanes
Plan provincial de la santé 2008-2012:prévoit un projet piloteDevrait aller de l’avant et analyser les bienfaits d’un Tribunal de traitement de la toxicomanie au N.-B.
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
TRIBUNAUX SPÉCIALISÉSCONCLUSIONS
Objectifs communs de tous les tribunaux spécialisés : traiter la criminaté à la sourceAccessibilité de tous les types de tribunauxAccessibilité de tous les types de tribunaux spécialisés dans la provinceFinancement adéquat des tribunaux spécialisés mis en place
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS GOUVERNEMENTAUX
Niveau fédéral Niveau provincialpNiveau municipalConclusions
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Quelques acteurs concernés:GRC
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS GOUVERNEMENTAUXNIVEAU FÉDÉRAL
Service correctionnel du CanadaCommission nationale des libérations conditionnellesSécurité publiqueJusticeSanté
Principaux acteurs concernés:Sécurité publique
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS GOUVERNEMENTAUXNIVEAU PROVINCIAL
Développement socialJustice et ConsommationÉducationSantéMieux-être, culture et sport
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS GOUVERNEMENTAUXNIVEAU MUNICIPAL
MUNICIPALITÉS ET CORPS POLICIERSGouvernement du N.-B. doit offrir les meilleurs services possibles à la population
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS GOUVERNEMENTAUXCONCLUSIONS
Horizontalité contribue à la réalisation de ce but en simplifiant l’accès aux services et programmesHorizontalité:
travailler ensemble au lieu de se renfermer sur soi-mêmeregarder ce que font les autress’allier aux autres afin de mieux desservir la population
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Avantages de la gestion horizontale:partage des coûts
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS GOUVERNEMENTAUXCONCLUSIONS
partage d’informationmeilleure coordination lors de la prestation de servicespermet aux gouvernements de demeurer compétitifréduction de dédoublementsréduction des conflitspriorise les citoyens
Gouvernement doit continuer ses efforts d’horizontalité et les multiplier
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS GOUVERNEMENTAUXCONCLUSIONS
Structurer la carrière des fonctionnaires pour qu’ils acquièrent une perspective globale du gouvernement et de ses politiques
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS NON GOUVERNEMENTAUX
Qui sont-ils? ForcesObstacles
Des acteurs communautaires engagésdans la réduction du crime au NB:
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS NON GOUVERNEMENTAUXQUI SONT-ILS?
Société John HowardSociété Elizabeth FryAssociation de la prévention du Crime au N.-B. (APCNB)Moncton Community Chaplaincy for ex-offendersComité consultatif sur la sécurité publiqueCentre de bénévolat de la Péninsule acadienneEtc.
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Plusieurs programmes efficaces développés par les organismes communautaires:
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS NON GOUVERNEMENTAUXFORCES
Les programmes d’employabilité ou de mesures alternatives sont très importantsLeur impact est visible directementLes programmes de santé mentale constituent aussi une contribution importante
Programmes développés en fonction des cinq (5) causes primaires :
Dé d
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS NON GOUVERNEMENTAUXFORCES
Dépendance éducation (alphabétisation)sans-abrisemployabilitésanté mentale
Proactifs au lieu de mettre l’accent sur l’emprisonnement (action réactive)
La force des employés qui travaillent au sein des organismes communautaires :
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS NON GOUVERNEMENTAUXFORCES
Optimistes et authentiquesPermet d’obtenir d’excellents résultatsdans leurs interventions
FinancementRépartition des fonds
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS NON GOUVERNEMENTAUXOBSTACLES
Sous forme de contratIncertitude des contrats (seront-ils maintenus, diminués ou éliminés l’année suivante ?)Majorité des fonds investis au niveau tertiaire (prisons)
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ServicesManque de services, de programmes et de professionnels d l d i d l té t l
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS NON GOUVERNEMENTAUXOBSTACLES
dans le domaine de la santé mentaleDevrait y avoir plus de services offerts en communauté et moins de mesures traditionnelles d’incarcération
CommunicationEntre les différents organismes communautaires
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS NON GOUVERNEMENTAUXOBSTACLES
Vu le peu de financement, l’échange d’information aiderait à supprimer les dédoublements de programmesPour compenser le manque de temps du personnel des organismes communautaires
Collaboration avec les acteurs gouvernementaux
ENGAGEMENT. HORIZONTALITÉ ET MOBILISATION
ACTEURS NON GOUVERNEMENTAUXOBSTACLES
Manque de collaboration entre les divers acteurs gouvernementaux complique le travail des non-gouvernementauxTravail en silo: très difficile d’être efficace dans un effort collectif pour réduire la criminalité
1. Une conférence annuelle2. Priorité à la prévention
RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
TROIS RECOMMANDATIONS
3. Une structure permanente de collaboration et de coordination
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Assurer la tenue d’au moins une conférence annuelle afin de :
mobiliser les différents acteurs
RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
1. UNE CONFÉRENCE ANNUELLE
mobiliser les différents acteurs dans le domaine de la réduction du crime discuter des défis, solutions et nouvelles pratiquescréer des occasions d’échange entre les différents acteurs impliqués
Que la conférence rassemble intervenants et citoyens
RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
1. UNE CONFÉRENCE ANNUELLE
Offrir aux intervenants la possibilité de mettre à jour leurs connaissances :
causes primaires du crimenouvelles recherchespratiques exemplaires
Accorder plus de fonds aux organismes communautaires
Responsables de la plupart des programmes
RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
2. PRIORITÉ À LA PRÉVENTION
Responsables de la plupart des programmes de prévention
Augmenter les services offerts dans les communautés
Tout particulièrement les services de santé mentale et de dépendance
Mettre l’accent sur les jeunesLes recherches montrent que concentrer les efforts sur les causes primaires du crime est plus efficace à long terme
RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
2. PRIORITÉ À LA PRÉVENTION
causes primaires du crime est plus efficace à long terme
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Une structure permanente mettant en relationles divers acteurs
RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
3. UNE STRUCTURE PERMANENTE DE COLLABORATION ET DE COORDINATION
Chaque entité gouvernementale désigne une personne responsable du dossier Criminalité
Travaille au sein d’un comité interministérielSe concentre sur l’aspect politique
Les acteurs communautaires sont regroupésau sein d’un comité de coalition:
RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
3. STRUCTURE PERMANENTE DE COLLABORATION ET DE COORDINATION
Pour échanger de l’informationPour trouver des moyens permettant d’utiliser les nouvelles technologies et assurer l’échange d’informationPour mieux connaître les besoins de leurs clients
Les deux (2) comités se rencontrent à quelques reprises pendant l’année:
RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
3. STRUCTURE PERMANENTE DE COLLABORATION ET DE COORDINATION
Pour s’assurer que le comité interministérieldemeure sensible à l’opinion et aux besoins des acteurs de première ligne Étudiantes et étudiants
Maîtrise en administration publiqueUniversité de Moncton
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Période de questionset de discussion
1. Questions ?2. Discussion
ÉPOUR UNE STRATÉGIE EFFICACE
20% des actions produisent 80% des résultats
Quels sont les secteurs d’action prioritaires ?
Quelles sont les mesures qui auront le plus d’impact sur la réduction de la criminalité ?
Université de MonctonMaîtrise en administration publique
ADPU 6055 - Séminaire en gestion publique
Vers une stratégied éd ti d l i i lité
Conférence provincialeRéduction de la criminalité : combler les lacunes
Delta Fredericton, les 15 et 16 avril 2009
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de réduction de la criminalitéau Nouveau-BrunswickSous la direction de Guy Robinson
par Marie-Andrée Mallet, Mylène Savoie, Abdelkader Belbraouate,
Christine Allain et Josée Archeravec la collaboration de
Mouhamadou Lô, Dhouha Dahmen,Moemen Hammouda et Isabelle Hébert
16 avril 2009