Magazine XY

33
LE MAGAZINE MASCULIN #1 AU QUÉBEC. ÉTÉ 2016 KARIM OUELLET ÉLECTRON LIBRE VOYAGE DÉCOUVRIR TOKYO BOUGER KAYAK EXTRÊME PROMOTION Été 2016

description

XY, le magazine masculin #1 au Québec. Numéro Été 2016. (Promotion, La Presse)

Transcript of Magazine XY

LE MAGAZINE

MASCULIN #1

AU QUÉBEC.

ÉTÉ 2016

KARIM OUELLETÉLECTRON LIBRE

VOYAGE DÉCOUVRIR TOKYO

BOUGER KAYAK EXTRÊME

PROMOTION Été 2016

LE MAGAZINE

MASCULIN #1

AU QUÉBEC.

ÉTÉ 2016

KARIM OUELLETÉLECTRON LIBRE

VOYAGE DÉCOUVRIR TOKYO

BOUGER KAYAK EXTRÊME

PROMOTION Été 2016

**À l’achat à partir de 26 785 $ (taxes en sus) pour la Crosstrek 2.0i Tourisme 2016 (GX1 TP) à transmission manuelle. Les frais de transport et de préparation (1 675 $), la surcharge sur le climatiseur (100 $) et les droits spécifiques sur les pneusneufs (15 $) sont inclus. L’offre n’est pas applicable au modèle illustré. Financement à l’achat ou à la location également offert. Le concessionnaire peut vendre à prix moindre. Photo(s) à titre indicatif seulement. Les spécifications techniques peuventchanger sans préavis. 1. Pour évaluer la résistance aux impacts, l’IIHS attribue à chaque véhicule une cote « bonne », « acceptable », « moyenne » ou « faible » selon sa performance dans cinq essais. Pour recevoir la mention Premier choix sécurité +2016, un véhicule doit obtenir une cote « bonne » aux essais de collision frontale à chevauchement modéré et de collision latérale, aux essais de résistance de toit et d’efficacité des appuie-tête ainsi qu’une cote « bonne » à l’essai de collision frontaleà faible chevauchement. Les véhicules doivent aussi offrir, en équipement optionnel, un système d’alerte de collision avant et/ou un système de freinage automatique (Subaru EyeSight®) en plus d’obtenir une évaluation « avancée » ou « supérieure » enmatière de prévention des collisions frontales. Pour plus de détails, rendez-vous au iihs.org. 2. EyeSight® est un système d’aide à la conduite susceptible de ne pas fonctionner de manière optimale dans certaines conditions. EyeSight® n’est pas conçupour se substituer à la vigilance et à l’attention du conducteur sur la route. Le système pourrait ne pas réagir dans toutes les situations. Il incombe en tout temps au conducteur d’adopter une conduite sécuritaire et prudente. L’efficacité du systèmedépend de nombreux facteurs, tels que l’entretien du véhicule ainsi que les conditions météorologiques et routières. Enfin, malgré toutes les technologies sophistiquées en place, un conducteur doté d’une bonne vision, qui est attentif à la route seratoujours le meilleur gage de sécurité sur la route. Consultez le Manuel du propriétaire pour les détails de fonctionnement et les limites. 3. ALG est la référence de l’industrie en matière de valeurs résiduelles et de données de dépréciation, alg.com.Visitez votre concessionnaire Subaru participant pour tous les détails.

*À l’achat à partir de 27 785 $ (taxes en sus) pour la Forester 2.5 2016 (GJ1 X0) à transmission manuelle. Les frais de transport et de préparation (1 675 $), la surcharge sur le climatiseur (100 $) et les droits spécifiques sur les pneus neufs (15 $)sont inclus. L’offre n’est pas applicable au modèle illustré. Financement à l’achat ou à la location également offert. Le concessionnaire peut vendre à prix moindre. Photo(s) à titre indicatif seulement. Les spécifications techniques peuvent changersans préavis. 1. Pour évaluer la résistance aux impacts, l’IIHS attribue à chaque véhicule une cote « bonne », « acceptable », « moyenne » ou « faible » selon sa performance dans cinq essais. Pour recevoir la mention Premier choix sécurité +2016, un véhicule doit obtenir une cote « bonne » aux essais de collision frontale à chevauchement modéré et de collision latérale, aux essais de résistance de toit et d’efficacité des appuie-tête ainsi qu’une cote « bonne » à l’essai de collisionfrontale à faible chevauchement. Les véhicules doivent aussi offrir, en équipement optionnel, un système d’alerte de collision avant et/ou un système de freinage automatique (Subaru EyeSight®) en plus d’obtenir une évaluation « avancée » ou« supérieure » en matière de prévention des collisions frontales. Pour plus de détails, rendez-vous au iihs.org. 2. EyeSight® est un système d’aide à la conduite susceptible de ne pas fonctionner de manière optimale dans certaines conditions.EyeSight® n’est pas conçu pour se substituer à la vigilance et à l’attention du conducteur sur la route. Le système pourrait ne pas réagir dans toutes les situations. Il incombe en tout temps au conducteur d’adopter une conduite sécuritaire etprudente. L’efficacité du système dépend de nombreux facteurs, tels que l’entretien du véhicule ainsi que les conditions météorologiques et routières. Enfin, malgré toutes les technologies sophistiquées en place, un conducteur doté d’une bonnevision, qui est attentif à la route sera toujours le meilleur gage de sécurité sur la route. Consultez le Manuel du propriétaire pour les détails de fonctionnement et les limites. 3. ALG est la référence de l’industrie en matière de valeurs résiduelleset de données de dépréciation, alg.com. Visitez votre concessionnaire Subaru participant pour tous les détails.

• Traction intégrale symétrique à prise constante• Moteur BOXER® SUBARU à quatre cylindres, 2,5 litres et 170

chevaux de puissance• Transmission manuelle à six rapports ou CVT Lineartronic®

(transmission à variation continue) en option• Climatiseur avec système de filtration d’air

• Caméra de recul• Sièges avant chauffants• Système d’aide à la conduite EyeSight® en option• Technologie PZEV (véhicule à émissions quasi nulles) en option

• Traction intégrale symétrique à prise constante• Technologie PZEV (véhicule à émissions quasi nulles) de série• Moteur BOXER® SUBARU à quatre cylindres, 2,0 litres et 148

chevaux de puissance• Transmission manuelle à cinq rapports ou CVT Lineartronic®

(transmission à variation continue) en option

• Systèmes de contrôle de la dynamique du véhicule (VDC) et decontrôle de traction (TCS)

• Climatiseur avec système de filtration d’air• Sièges avant chauffants• Caméra de recul• Système d’aide à la conduite EyeSight®en option

27 785$*À l’achat à partir de

Transport et préparation inclus, taxes en sus.

FORESTER 2016

26 785$**À l’achat à partir de

Transport et préparation inclus, taxes en sus.

CROSSTREK 2016

Association des concessionnaires Subaru du Québec quebecsubaru.ca

LA NATUREC’EST TROPSAUVAGE

jetrouve ça extraordinaire quand

2016

MARQUEGRAND PUBLIC

_

CROSSTREK 2016

32016

MARQUEGRAND PUBLIC

_

FORESTER 2016

32016

- VOITURE -COMPACTE

_

CROSSTREK 2016

3

VÉHICULES À ÉMISSIONS QUASI NULLES

Techno log ie d’a ide à la condu i te

MODÈLES ÉQUIPÉS DU SYSTÈME EYESIGHT®2

MEILLEUR CHOIX SÉCURITÉ+1

VÉHICULES À ÉMISSIONS QUASI NULLES

Techno log ie d’a ide à la condu i te

MODÈLES ÉQUIPÉS DU SYSTÈME EYESIGHT®2

MEILLEUR CHOIX SÉCURITÉ+1

**À l’achat à partir de 26 785 $ (taxes en sus) pour la Crosstrek 2.0i Tourisme 2016 (GX1 TP) à transmission manuelle. Les frais de transport et de préparation (1 675 $), la surcharge sur le climatiseur (100 $) et les droits spécifiques sur les pneusneufs (15 $) sont inclus. L’offre n’est pas applicable au modèle illustré. Financement à l’achat ou à la location également offert. Le concessionnaire peut vendre à prix moindre. Photo(s) à titre indicatif seulement. Les spécifications techniques peuventchanger sans préavis. 1. Pour évaluer la résistance aux impacts, l’IIHS attribue à chaque véhicule une cote « bonne », « acceptable », « moyenne » ou « faible » selon sa performance dans cinq essais. Pour recevoir la mention Premier choix sécurité +2016, un véhicule doit obtenir une cote « bonne » aux essais de collision frontale à chevauchement modéré et de collision latérale, aux essais de résistance de toit et d’efficacité des appuie-tête ainsi qu’une cote « bonne » à l’essai de collision frontaleà faible chevauchement. Les véhicules doivent aussi offrir, en équipement optionnel, un système d’alerte de collision avant et/ou un système de freinage automatique (Subaru EyeSight®) en plus d’obtenir une évaluation « avancée » ou « supérieure » enmatière de prévention des collisions frontales. Pour plus de détails, rendez-vous au iihs.org. 2. EyeSight® est un système d’aide à la conduite susceptible de ne pas fonctionner de manière optimale dans certaines conditions. EyeSight® n’est pas conçupour se substituer à la vigilance et à l’attention du conducteur sur la route. Le système pourrait ne pas réagir dans toutes les situations. Il incombe en tout temps au conducteur d’adopter une conduite sécuritaire et prudente. L’efficacité du systèmedépend de nombreux facteurs, tels que l’entretien du véhicule ainsi que les conditions météorologiques et routières. Enfin, malgré toutes les technologies sophistiquées en place, un conducteur doté d’une bonne vision, qui est attentif à la route seratoujours le meilleur gage de sécurité sur la route. Consultez le Manuel du propriétaire pour les détails de fonctionnement et les limites. 3. ALG est la référence de l’industrie en matière de valeurs résiduelles et de données de dépréciation, alg.com.Visitez votre concessionnaire Subaru participant pour tous les détails.

*À l’achat à partir de 27 785 $ (taxes en sus) pour la Forester 2.5 2016 (GJ1 X0) à transmission manuelle. Les frais de transport et de préparation (1 675 $), la surcharge sur le climatiseur (100 $) et les droits spécifiques sur les pneus neufs (15 $)sont inclus. L’offre n’est pas applicable au modèle illustré. Financement à l’achat ou à la location également offert. Le concessionnaire peut vendre à prix moindre. Photo(s) à titre indicatif seulement. Les spécifications techniques peuvent changersans préavis. 1. Pour évaluer la résistance aux impacts, l’IIHS attribue à chaque véhicule une cote « bonne », « acceptable », « moyenne » ou « faible » selon sa performance dans cinq essais. Pour recevoir la mention Premier choix sécurité +2016, un véhicule doit obtenir une cote « bonne » aux essais de collision frontale à chevauchement modéré et de collision latérale, aux essais de résistance de toit et d’efficacité des appuie-tête ainsi qu’une cote « bonne » à l’essai de collisionfrontale à faible chevauchement. Les véhicules doivent aussi offrir, en équipement optionnel, un système d’alerte de collision avant et/ou un système de freinage automatique (Subaru EyeSight®) en plus d’obtenir une évaluation « avancée » ou« supérieure » en matière de prévention des collisions frontales. Pour plus de détails, rendez-vous au iihs.org. 2. EyeSight® est un système d’aide à la conduite susceptible de ne pas fonctionner de manière optimale dans certaines conditions.EyeSight® n’est pas conçu pour se substituer à la vigilance et à l’attention du conducteur sur la route. Le système pourrait ne pas réagir dans toutes les situations. Il incombe en tout temps au conducteur d’adopter une conduite sécuritaire etprudente. L’efficacité du système dépend de nombreux facteurs, tels que l’entretien du véhicule ainsi que les conditions météorologiques et routières. Enfin, malgré toutes les technologies sophistiquées en place, un conducteur doté d’une bonnevision, qui est attentif à la route sera toujours le meilleur gage de sécurité sur la route. Consultez le Manuel du propriétaire pour les détails de fonctionnement et les limites. 3. ALG est la référence de l’industrie en matière de valeurs résiduelleset de données de dépréciation, alg.com. Visitez votre concessionnaire Subaru participant pour tous les détails.

• Traction intégrale symétrique à prise constante• Moteur BOXER® SUBARU à quatre cylindres, 2,5 litres et 170

chevaux de puissance• Transmission manuelle à six rapports ou CVT Lineartronic®

(transmission à variation continue) en option• Climatiseur avec système de filtration d’air

• Caméra de recul• Sièges avant chauffants• Système d’aide à la conduite EyeSight® en option• Technologie PZEV (véhicule à émissions quasi nulles) en option

• Traction intégrale symétrique à prise constante• Technologie PZEV (véhicule à émissions quasi nulles) de série• Moteur BOXER® SUBARU à quatre cylindres, 2,0 litres et 148

chevaux de puissance• Transmission manuelle à cinq rapports ou CVT Lineartronic®

(transmission à variation continue) en option

• Systèmes de contrôle de la dynamique du véhicule (VDC) et decontrôle de traction (TCS)

• Climatiseur avec système de filtration d’air• Sièges avant chauffants• Caméra de recul• Système d’aide à la conduite EyeSight®en option

27 785$*À l’achat à partir de

Transport et préparation inclus, taxes en sus.

FORESTER 2016

26 785$**À l’achat à partir de

Transport et préparation inclus, taxes en sus.

CROSSTREK 2016

Association des concessionnaires Subaru du Québec quebecsubaru.ca

LA NATUREC’EST TROPSAUVAGE

jetrouve ça extraordinaire quand

2016

MARQUEGRAND PUBLIC

_

CROSSTREK 2016

32016

MARQUEGRAND PUBLIC

_

FORESTER 2016

32016

- VOITURE -COMPACTE

_

CROSSTREK 2016

3

VÉHICULES À ÉMISSIONS QUASI NULLES

Techno log ie d’a ide à la condu i te

MODÈLES ÉQUIPÉS DU SYSTÈME EYESIGHT®2

MEILLEUR CHOIX SÉCURITÉ+1

VÉHICULES À ÉMISSIONS QUASI NULLES

Techno log ie d’a ide à la condu i te

MODÈLES ÉQUIPÉS DU SYSTÈME EYESIGHT®2

MEILLEUR CHOIX SÉCURITÉ+1

371,AVENUELAURIEROUEST,MONTRÉAL(QC)

H2V2K3•T+15142702022•WWW.5AV.CA

FACEBOOK.COM/BOUTIQUE5EAVENUELAURIER

LUISACERANOMARCCAIN

10DAYS

BRAX

CAMBIO

CODELLO

(C)STUDIO

EILEENFISHER

LUISACERANO

RAFFAELLOROSSI

SAINTJAMES

REPEAT

SOLDE

**À l’achat à partir de 26 785 $ (taxes en sus) pour la Crosstrek 2.0i Tourisme 2016 (GX1 TP) à transmission manuelle. Les frais de transport et de préparation (1 675 $), la surcharge sur le climatiseur (100 $) et les droits spécifiques sur les pneusneufs (15 $) sont inclus. L’offre n’est pas applicable au modèle illustré. Financement à l’achat ou à la location également offert. Le concessionnaire peut vendre à prix moindre. Photo(s) à titre indicatif seulement. Les spécifications techniques peuventchanger sans préavis. 1. Pour évaluer la résistance aux impacts, l’IIHS attribue à chaque véhicule une cote « bonne », « acceptable », « moyenne » ou « faible » selon sa performance dans cinq essais. Pour recevoir la mention Premier choix sécurité +2016, un véhicule doit obtenir une cote « bonne » aux essais de collision frontale à chevauchement modéré et de collision latérale, aux essais de résistance de toit et d’efficacité des appuie-tête ainsi qu’une cote « bonne » à l’essai de collision frontaleà faible chevauchement. Les véhicules doivent aussi offrir, en équipement optionnel, un système d’alerte de collision avant et/ou un système de freinage automatique (Subaru EyeSight®) en plus d’obtenir une évaluation « avancée » ou « supérieure » enmatière de prévention des collisions frontales. Pour plus de détails, rendez-vous au iihs.org. 2. EyeSight® est un système d’aide à la conduite susceptible de ne pas fonctionner de manière optimale dans certaines conditions. EyeSight® n’est pas conçupour se substituer à la vigilance et à l’attention du conducteur sur la route. Le système pourrait ne pas réagir dans toutes les situations. Il incombe en tout temps au conducteur d’adopter une conduite sécuritaire et prudente. L’efficacité du systèmedépend de nombreux facteurs, tels que l’entretien du véhicule ainsi que les conditions météorologiques et routières. Enfin, malgré toutes les technologies sophistiquées en place, un conducteur doté d’une bonne vision, qui est attentif à la route seratoujours le meilleur gage de sécurité sur la route. Consultez le Manuel du propriétaire pour les détails de fonctionnement et les limites. 3. ALG est la référence de l’industrie en matière de valeurs résiduelles et de données de dépréciation, alg.com.Visitez votre concessionnaire Subaru participant pour tous les détails.

*À l’achat à partir de 27 785 $ (taxes en sus) pour la Forester 2.5 2016 (GJ1 X0) à transmission manuelle. Les frais de transport et de préparation (1 675 $), la surcharge sur le climatiseur (100 $) et les droits spécifiques sur les pneus neufs (15 $)sont inclus. L’offre n’est pas applicable au modèle illustré. Financement à l’achat ou à la location également offert. Le concessionnaire peut vendre à prix moindre. Photo(s) à titre indicatif seulement. Les spécifications techniques peuvent changersans préavis. 1. Pour évaluer la résistance aux impacts, l’IIHS attribue à chaque véhicule une cote « bonne », « acceptable », « moyenne » ou « faible » selon sa performance dans cinq essais. Pour recevoir la mention Premier choix sécurité +2016, un véhicule doit obtenir une cote « bonne » aux essais de collision frontale à chevauchement modéré et de collision latérale, aux essais de résistance de toit et d’efficacité des appuie-tête ainsi qu’une cote « bonne » à l’essai de collisionfrontale à faible chevauchement. Les véhicules doivent aussi offrir, en équipement optionnel, un système d’alerte de collision avant et/ou un système de freinage automatique (Subaru EyeSight®) en plus d’obtenir une évaluation « avancée » ou« supérieure » en matière de prévention des collisions frontales. Pour plus de détails, rendez-vous au iihs.org. 2. EyeSight® est un système d’aide à la conduite susceptible de ne pas fonctionner de manière optimale dans certaines conditions.EyeSight® n’est pas conçu pour se substituer à la vigilance et à l’attention du conducteur sur la route. Le système pourrait ne pas réagir dans toutes les situations. Il incombe en tout temps au conducteur d’adopter une conduite sécuritaire etprudente. L’efficacité du système dépend de nombreux facteurs, tels que l’entretien du véhicule ainsi que les conditions météorologiques et routières. Enfin, malgré toutes les technologies sophistiquées en place, un conducteur doté d’une bonnevision, qui est attentif à la route sera toujours le meilleur gage de sécurité sur la route. Consultez le Manuel du propriétaire pour les détails de fonctionnement et les limites. 3. ALG est la référence de l’industrie en matière de valeurs résiduelleset de données de dépréciation, alg.com. Visitez votre concessionnaire Subaru participant pour tous les détails.

• Traction intégrale symétrique à prise constante• Moteur BOXER® SUBARU à quatre cylindres, 2,5 litres et 170

chevaux de puissance• Transmission manuelle à six rapports ou CVT Lineartronic®

(transmission à variation continue) en option• Climatiseur avec système de filtration d’air

• Caméra de recul• Sièges avant chauffants• Système d’aide à la conduite EyeSight® en option• Technologie PZEV (véhicule à émissions quasi nulles) en option

• Traction intégrale symétrique à prise constante• Technologie PZEV (véhicule à émissions quasi nulles) de série• Moteur BOXER® SUBARU à quatre cylindres, 2,0 litres et 148

chevaux de puissance• Transmission manuelle à cinq rapports ou CVT Lineartronic®

(transmission à variation continue) en option

• Systèmes de contrôle de la dynamique du véhicule (VDC) et decontrôle de traction (TCS)

• Climatiseur avec système de filtration d’air• Sièges avant chauffants• Caméra de recul• Système d’aide à la conduite EyeSight®en option

27 785$*À l’achat à partir de

Transport et préparation inclus, taxes en sus.

FORESTER 2016

26 785$**À l’achat à partir de

Transport et préparation inclus, taxes en sus.

CROSSTREK 2016

Association des concessionnaires Subaru du Québec quebecsubaru.ca

LA NATUREC’EST TROPSAUVAGE

jetrouve ça extraordinaire quand

2016

MARQUEGRAND PUBLIC

_

CROSSTREK 2016

32016

MARQUEGRAND PUBLIC

_

FORESTER 2016

32016

- VOITURE -COMPACTE

_

CROSSTREK 2016

3

VÉHICULES À ÉMISSIONS QUASI NULLES

Techno log ie d’a ide à la condu i te

MODÈLES ÉQUIPÉS DU SYSTÈME EYESIGHT®2

MEILLEUR CHOIX SÉCURITÉ+1

VÉHICULES À ÉMISSIONS QUASI NULLES

Techno log ie d’a ide à la condu i te

MODÈLES ÉQUIPÉS DU SYSTÈME EYESIGHT®2

MEILLEUR CHOIX SÉCURITÉ+1

La métropole s’apprête à vibrer au rythme des multiples festivals qui s’y déroulent tout au long de l’été. Et ce nouveau XY s’avère le guide idéal pour savourer la ville pendant la belle saison. Karim Ouellet sera d’ailleurs en spectacle dans la métropole, mais aussi à Québec. Le jeune auteur-compositeur-interprète s’est confié à notre équipe sur sa vie, sa musique et ses futurs projets. De son côté, la Liste XY vous suggère des indispensables pour profiter de la belle saison. Enfin, si vous avez envie de sortir de la ville, on vous propose de vous initier à la pratique du kayak sur les rivières du Québec… ou de partir à la découverte de Tokyo. Ce sera à vous de choisir ! Bon été !

Découvrez encore plus de contenu dans la version interactive du magazine XY sur La Presse+.

06 LA LISTE XY SAVOURER L’ÉTÉ

10 PORTRAIT KARIM OUELLET

14 MODE STYLE DE VILLE

18 ESPACE LA MAISON VÉRANDA

20 VOYAGE DÉCOUVRIR TOKYO

23 SXY LE « SYNDROME DU BON GARS »

24 BOUGER KAYAK EXTRÊME

26 NUTRITION HARLEY PASTERNAK

DIRECTEUR DU MAGAZINE Frédérick J. Fortin///RÉDACTEUR EN CHEF Martin Beauséjour///RÉVISEURE LINGUISTIQUE Anne Marie Parent///CORRECTEUR D’ÉPREUVES Pierre Duchesneau///LA LISTE XY Rédaction : Martin Beauséjour///PORTRAIT Rédaction : David Nathan Photos : Jimmi Francœur jimmifrancoeur.com Assistant-photographe : Rodolfo Moraga Styliste : Samuel Fournier dulcedo.ca Maquillage et coiffure : Martine L’Heureux martinelheureux.com avec les produits Armani Beauté et Kevin Murphy///MODE Photographe : Jimmi Francœur jimmifrancoeur.com Assistant-photographe : Aljosa Alijagic Styliste : Shan Temuri dulcedo.ca Maquillage et coiffure : Emy Filteau foliomontreal.com avec les produits Dr Hauschka et Kevin Murphy Mannequin : Daniel Bederov dulcedo.ca///ESPACE Rédaction: Martin Beauséjour en collaboration avec v2com Photos: Steve Montpetit///VOYAGE Rédaction : Kristina G. Landry Photos : Kristina G. Landry et istockphotos///SXY Rédaction : François Renaud///BOUGER Rédaction : Nicolas Cardinal Photos : Patrick Lévesque///NUTRITION Rédaction : Martin Beauséjour Photos : Fitbit, New Balance et La Collective des amandes de Californie – EN COUVERTURE : Karim Ouellet porte un polo GAP (34,95 $) et une casquette Larose Paris (169 $).

VENTES PUBLICITAIRES La Presse, 514 285-6931 PRODUCTION Directeur artistique : Martin Moreau Conseillère artistique principale : Sabine Clusiau Conseillère en projets publicitaires Anne-Marie-Soleil Bernard Chef d’équipe : Marc-Antoine Rousseau Graphistes : Patrice Bourgeault, Simon Bertrand, Joanie Gill, Mireille Laurin-Burgess, Véronique Lavoie et Philippe Provost – IMPRESSION Imprimeries Transcontinental. Tous droits réservés. Le contenu de la publication ne peut être reproduit, en partie ou en totalité, sans l’autorisation de La Presse ltée. 7, rue Saint-Jacques, Montréal (Québec) H2Y 1K9 Téléphone : 514 285-7272 Faites-nous parvenir vos commentaires à : [email protected] PROCHAINE PARUTION : Septembre 2016///Découvrez la version interactive du magazine XY, dans la section Hors-Série, sur La Presse+.

Mange ta ville

LA LISTE PROMOTION6

La liste XYVoici des objets indispensables pour profiter pleinement de la ville, pendant la saison estivale.

Griller avec styleEn plus d’être beau, le barbecue au charbon Master-Touch de Weber vous aidera à griller comme un pro. Avec son système de cheminée d’allumage révolutionnaire et ses cubes allume-feu, on obtient le bon goût de la cuisson au charbon sans les tracas généralement associés à ce type de cuisson. Prix : 329 $. webercanada.ca

La saison du roséLe « créateur d’harmonies » François Chartier n’a plus besoin de présentation. Son rosé Chartier, cuvée 2015, arrive à la SAQ pour la belle saison. Plus texturé et plus généreux que les cuvées précédentes, c’est l’élixir parfait à boire en amoureux pendant les chaudes soirées. Prix : 18,95 $. saq.com

Aloha !Les chaussures Vans fêtent leur 50e anniversaire cette année. On a craqué pour le modèle Digi Aloha Era et son imprimé hawaïen. On les porte avec un t-shirt blanc et des jeans. Et pourquoi pas avec un complet marine ? La marque prépare même une grande célébration à Montréal. On peut RSVP sur la page Facebook de Vans Canada. Prix : 70 $. facebook.com/vanscanada

Mobilité classique La mythique Primavera de Vespa a subi une cure de jeunesse, sans pour autant sacrifier son style. Un ordinateur de bord et des feux DEL ont même été ajoutés sur certains modèles. C’est assurément le meilleur moyen de se déplacer en ville pendant l’été. Les prix varient en fonction du modèle et des options. vespamontreal.com

Hip et pratiqueLe sac Little America est l’un des modèles les plus populaires de la marque canadienne Herschel Supply. Avec son filet d’aération au dos et ses courroies d’épaule rembourrées, ce sac à dos est idéal pour affronter les chaudes journées… et les foules monstres des festivals. Prix : 99,99 $. herschelsupply.ca

Zoom sur l’étéMême très loin de la scène, vous ne manquerez plus rien des spectacles de vos artistes préférés. Les jumelles Ultravid Colorline de Leica sont en cuir véritable et fabriquées à la main. Compact et pratique, c’est l’objet idéal à traîner sur soi pendant la saison des festivals. Et leur style est irréprochable. Prix : 1898 $. amazon.ca

B I J OUX , MONTRE S E T FR AGR ANCE SC AROL IN ENERON .COM

Collaboration solaireLa griffe montréalaise WANT-Les Essentiels de la vie s’est associée à la très branchée Garrett Leight California Optical pour une microcollection de montures et de verres solaires. C’est l’occasion idéale pour changer ses lunettes et affronter les rayons UV avec style. Prix : monture WILSON 695 $ et clip solaire 295 $. wantlesessentiels.com

Rester au sec L’étui Dry Sleeve protègera tous vos appareils électroniques durant les journées à la piscine. Les panneaux transparents, de chaque côté, permettent d’utiliser les appareils à volonté, sans les retirer de l’étui. Vient en quatre formats : du petit téléphone à la grande tablette électronique. Prix : de 14 $ à 24 $. mec.ca

B I J OUX , MONTRE S E T FR AGR ANCE SC AROL IN ENERON .COM

Karim OuelletÉlectron libre

Karim OuelletÉlectron libre

DE DAKAR À QUÉBECSi les voyages forment vraiment la jeunesse, alors on peut dire que celle de Karim Ouellet a été très bien formée. Avec un père diplomate, il en vu du pays. Né à Dakar, au Sénégal, il y restera jusqu’à ses quatre ans, pour ensuite suivre papa (et sa sœur) au cours de ses nombreux voyages qui lui feront découvrir la France, la Tunisie ou encore le Rwanda. Après une enfance de globetrotteur, le jeune Karim posera définitivement ses valises dans la ville de Québec à l’âge de 15 ans.

Très tôt, Karim Ouellet est attiré par la musique et apprend à jouer de la guitare. En parallèle, il suit des études dans le domaine du tourisme. Il fait ses premières armes musicales en promenant sa voix et son énergie au sein de différentes formations, comme le collectif de hip-hop Movèzerbe. Et quand il n’est pas derrière sa guitare ou un micro, il joue les guides touristiques ou travaille au Carnaval de Québec. L’univers du tourisme québécois allait bientôt perdre un de ses guides les plus sémillants, mais le monde de la musique allait gagner un nouveau talent.

LA MUSIQUE DÉCOMPLEXÉEC’est grâce à Rafael Perez, le fondateur de ce qui allait devenir Coyote Records, que la carrière de Karim prend un tournant professionnel. Séduit par le talent protéiforme de l’artiste, il signe rapidement un contrat avec lui, puis son premier album, Plume, voit le jour. Un disque à l’image de l’auteur-compositeur-interprète : curieux et à la frontière de nombreux styles musicaux.

De la même façon que Karim refuse de s’enfermer dans un seul style, il ne se met pas de pression

dans l’écriture. « Une chanson réussie, c’est une chanson que j’aime, point, dit-il. Quand j’en compose une nouvelle, j’essaye de l’écouter comme si ce n’était pas la mienne et je regarde si elle me plaît, tout simplement. » C’est en faisant ce travail de sélection que Karim est passé d’une vingtaine de titres potentiels aux 11 qui forment son dernier opus, Trente.

Karim Ouellet n’est pas du tout le genre à intellectualiser le processus d’écriture. « Je ne suis pas du tout analytique quand j’écris une chanson ; c’est très spontané, il y a un côté écriture automatique. Je sais qu’il y a des auteurs qui veulent absolument raconter une histoire cohérente, avec un début, un milieu, une fin, mais moi, ce n’est pas du tout ma façon de faire. Je fonctionne plus avec des images et des sonorités ; il faut que ça sonne, c’est la seule règle. Peut-être qu’un jour, j’écrirai des chansons qui racontent une histoire, mais pour l’instant, ce n’est pas le cas. Beaucoup de mes textes sont d’ailleurs sujets à interprétation : chacun peut y voir ce qu’il veut. »

Comme il l’avait fait sur son précédent album, FOX, Karim Ouellet s’est adjoint les services du chanteur Claude Bégin, qui a participé à la coécriture de la musique. « On s’entend très bien, même si on n’a pas forcément les mêmes goûts, explique Karim. J’adore sa façon de travailler : c’est quelqu’un de très technique et de très ouvert. Je commence mes chansons chez moi, dans mon studio, et ensuite, on travaille ensemble. On est très complémentaire. »

ENTRE MONTRÉAL ET PARISKarim Ouellet habite toujours Québec, préférant faire des allers-retours plutôt que de s’installer

à Montréal. « Pour moi, ce sont les gens qui font la ville, peu importe où on habite. Ce qui va définir si je me sens bien ou pas quelque part, c’est le fait d’être proche de ceux qui comptent pour moi, résume-t-il. Pour l’instant, je vis à Québec parce que c’est là que j’ai ma famille et mes amis, mais je pourrais très bien vivre à Trois-Rivières ou ailleurs. C’est vrai que j’aime beaucoup la ville de Québec parce qu’elle est à taille humaine ; je ne suis pas quelqu’un qui affectionne particulièrement les grandes villes de façon générale. J’adore Paris, par exemple, mais après deux semaines, je vis l’enfer. Il y a trop de voitures et trop de bruit ! »

À en croire Karim, il est plutôt du genre casanier et il nous confie que quand il n’est pas en tournée ou en déplacement professionnel, il adore... rester chez lui. « Je sortais plus quand j’avais 20 ans, admet-il en souriant. C’est vrai que maintenant, ce qui me rend heureux, c’est de chiller à la maison avec des amis ou bien de passer beaucoup… trop (rires) de temps devant la télé à jouer à des jeux vidéo ou à regarder des séries TV. Ça peut vraiment me prendre beaucoup de temps ! »

PORTRAITPROMOTION 11

Il y a des chanteurs qui font de la pop, d’autres du rock, du rap ou bien de l’électro, et il y a Karim Ouellet, qui fait tout ça à la fois, et qui refuse les étiquettes.

Portrait d’un jeune auteur-compositeur-interprète qui a la cote.

« Une chanson réussie, c’est une chanson que j’aime, point. »

LA FRANCE : OUI, MAIS…Pour Karim comme pour de nombreux artistes québécois, la France, et plus généralement l’Europe francophone, est un énorme marché qui a de quoi faire rêver. L’auteur de L’amour l’a déjà expérimenté avec son deuxième album. Il a eu l’occasion de faire la première partie d’artistes prestigieux, comme Stromae ou -M- (Matthieu Chedid). « J’étais un fan absolu de -M- ; le rencontrer, faire sa première partie, c’était une expérience magique », s’enthousiasme le chanteur.

Quand on lui parle de faire le saut de l’autre côté de l’océan pour y faire carrière, Karim Ouellet a le sourire en coin. Il y pense évidemment, comme beaucoup de chanteurs québécois, mais il sait déjà que si ça doit se faire, ça ne sera pas à tout prix et que tout ne dépend pas de lui. « Pour faire carrière en France, il faut non seulement avoir une présence dans les médias, mais il faut surtout être là au bon endroit, au bon moment et avec la bonne chanson. Ça prend un putain de hit ! Je suis prêt à faire des allers-retours plusieurs fois par an, mais je veux continuer à vivre au Québec. »

« Je ne veux pas être connu au point de ne plus vivre normalement. »

Karim Ouellet veut réussir, mais il n’est pas obsédé par le succès ni le star-système, bien au contraire. Quand on lui parle d’une carrière à la Stromae, il freine même des quatre fers. « Je suis très admiratif de sa carrière et de son succès, mais jamais je ne souhaiterais avoir une telle notoriété, confie-t-il. C’est vraiment trop pour moi ; il ne peut plus aller nulle part sans être reconnu. Je ne veux pas être connu au point de ne plus vivre normalement. »

Karim Ouellet se produira aux FrancoFolies de Montréal, le 17 juin, au Métropolis, et au Festival d’été de Québec, le 7 juillet.

Voyez le vidéoclip de la pièce Karim et le loup dans notre version numérique sur La Presse+.

Karim Ouellet porte des lunettes soleil Eyevan 7285 (530 $) et t-shirt Acne Studios (200 $), chez Michel Brisson. Jeans Acne Studios(395 $), à La Maison Simons.

Page précédente :Karim Ouellet porte un veston Le 31 (145 $), à La Maison Simons, et un T-shirt GAP (19,50 $).

HOMME — FEMMECOLLECTION PRINTEMPS ÉTÉ 2016

Venez profiter deplusieurs rabais en boutique

2900, boul. Le Corbusier, suite 300, Laval – 450.687.7760

lelavalois.ca

%

Voici des looks pour explorer la ville avec style. De jour comme de nuit.

Style de ville

MODE PROMOTION14

DE GAUCHE À DROITE

Pull Le 31 (68 $) et veston Armani Jeans (595 $), à La Maison Simons. Jeans (85 $), chez Frank and Oak. Sac (89,90 $), chez Zara. Chaussures (165 $), chez Rudsak.

simons.ca, frankandoak.com, zara.com, rudsak.com

Pull Kenzo (450 $), chez Holt Renfrew. Blouson Dolce & Gabbana (1425 $), chez Harry Rosen. Bermuda Polo Ralph Lauren (98,50 $) et chaussures Calvin Klein (125 $), à La Baie d’Hudson. Ceinture (39,90 $), chez RW&CO.

holtrenfrew.com, harryrosen.com, labaie.com, rw-co.com

T-shirt (109 $), chez Tiger of Sweden. Veston JKT New York (598 $), chez Harry Rosen. Bermuda (49,90 $), chez RW&CO. Ceinture Calvin Klein Jeans (60 $) et chaussures Ted Baker (285 $) à La Baie d’Hudson.

tigerofswedenmontreal.ca, harryrosen.com, rw-co.com, labaie.com

DE GAUCHE À DROITE

Chemise (32 $), chez Frank and Oak. Complet Zegna (1695 $), chez Harry Rosen. Pochette (49,90 $), ceinture (39,90 $) et chaussettes (9 $), chez RW&CO. Chaussures (225 $),chez Rudsak.

frankandoak.com, harryrosen.com, rw-co.com, rudsak.com

Chemise Neil Barrett (895 $), chez Holt Renfrew. Veston (569 $) et pantalon (249 $), chez Tiger of Sweden. Ceinture Polo Ralph Lauren (125 $) et chaussures Calvin Klein (130 $), à La Baie d’Hudson. Sac TUMI (1075 $), chez Harry Rosen.

holtrenfrew.com, tigerofswedenmontreal.ca,labaie.com, harryrosen.com

T-shirt Nautica (29,99 $), montre Diesel (265 $) et ceinture Tommy Hilfiger (55 $), à La Baie d’Hudson. Cardigan (175 $), chez Rudsak. Pantalon (299 $), chez Tiger of Sweden. Chaussures (69,90 $), chez Zara.

labaie.com, rudsak.com, tigerofswedenmontreal.ca, zara.com

La Maison VérandaCette résidence unifamiliale, réalisée par le cabinet Blouin Tardif Architecture Environnement, se veut intimiste et discrète. Elle nous réserve cependant bien des surprises, une fois à l’intérieur.

Situé dans un nouveau secteur boisé de Boucherville, le lotissement a joué un rôle important dans l’élaboration des plans. En plus de guider l’aménagement, les nombreux arbres du site ont été conservés afin de servir d’écran.

Le mot d’ordre ? Discrétion. Côté rue, les ouvertures marquent uniquement l’entrée et certaines fonctions. Ici, tout a été pensé dans le but de préserver l’intimité des occupants.

C’est vers le sud que la résidence s’ouvre véritablement, en mettant en valeur l’espace privé qui se déploie autour de la magnifique véranda. Le cœur de la maison abrite les espaces de vie, qui sont tous ouverts sur la cour. On y trouve la cuisine, la salle à manger et le séjour double hauteur.

La notion de plain-pied a été fondamentale dans l’élaboration de cette demeure. Les architectes ont su créer une dynamique intéressante

ESPACE18

entre l’intérieur et l’extérieur. Même à l’intérieur, les grandes portes de verre, le parement de sol en continu et les plafonds de cèdre offrent des échos du dehors. La palette des matériaux extérieurs est simple et neutre : maçonnerie de brique d’argile locale et bois de cèdre. Cette résidence compte également de nombreux jeux de transparence, notamment dans l’aménagement extérieur, comme en fait foi le garde-corps en verre autour de la piscine.

À l’étage, on trouve un espace bureau, quatre chambres, une salle de bain et la buanderie. Isolée du reste, la chambre des maîtres possède ses propres quartiers avec sa grande salle de bain et une magnifique terrasse, tournée vers le boisé et le point d’eau en contrebas.

Sur le bord de la piscine, ou même à l’intérieur, la Maison Véranda offre le meilleur cadre qui soit pour des soirées estivales réussies. En toute intimité.

PROMOTION

Prochaine station : Tokyo

Montez à bord d’un des wagons ultramodernes de la grande ligne Yamanote, afin de découvrir la capitale nippone en sept arrêts incontournables.

VOYAGE PROMOTION20

AKIHABARA : L’ÉLECTRISANT Réputé pour ses boutiques électroniques extravagantes et

ses arcades enfumées à l’ambiance criarde, le très coloré quar-tier des mangas est l’un des plus connus de la ville. Favorite des geeks et des touristes, sa grande artère Chuo-dõri loge le fameux Club Sega, un centre de jeux s’élevant sur plusieurs étages. Courses de voitures, jeux de combat, purikura (photomatons amu-sants vous permettant de vous métamorphoser virtuellement) : tout contribue à rendre l’ambiance complètement éclatée. Un incontournable pour l’enfant en vous qui, une fois la nuit tombée, se laissera agréablement étourdir par le charme intensifié des millions de lumières colorées.

SHINBASHI : L’INSULAIRE Vent frais, air marin : pas de doute, Tokyo est bien une île.

Si vous entendez en plus le bruit des chariots motorisés, c’est que vous approchez du marché Tsukiji. Situé sur le bord de la baie de Tokyo et à deux pas de la gare de Shinbashi, il est le plus grand marché de poissons et de fruits de mer au monde. Lève-tôt, profitez-en pour assister aux fameux encans de thon, qui attirent les curieux chaque jour dès 5 h 30. Et tant qu’à plonger dans l’atmosphère, optez pour un petit-déjeuner façon ouvrier nippon : faufilez-vous dans l’un des minuscules établissements bordant le marché et dégustez une soupe miso et des sushis au poisson plus que frais. Une source d’énergie garantie pour la journée ! En plus de la foule de poissonniers et de pêcheurs, Tsukiji compte des milliers d’artisans, dont d’impressionnants fabricants de couteaux. Il faut les voir graver avec minutie votre nom dans la lame affûtée. Un spectacle d’une rare agilité !

EBISU : À L’EUROPÉENNEUn peu à l’est de la gare d’Ebisu se trouve Daikanyama,

oasis de tranquillité vous permettant de fuir les excès de la ville. Repère des créatifs, cet élégant quartier compte plusieurs rues paisibles et sinueuses qui regorgent de jolis cafés, de galeries d’art colorées et de boutiques raffinées. Une bonne adresse ? La Tsutaya Books, une librairie haut de gamme à l’architecture épurée. En plus d’une quantité effarante de livres, vous y trouverez une section cinéma, musique et voyage, ainsi qu’un café où vous installer. Si cette visite vous a creusé l’appétit, rendez-vous au Yokocho, une foire alimentaire version nippone où s’enchaînent, le long d’une ruelle intérieure, des dizaines d’izakaya (bistrots) tous plus bondés les uns que les autres. Dégustez poisson grillé, nouilles sautées et autres savoureuses spécialités dans une ambiance chaudement animée.

SHIBUYA : EN ÉBULLITION Lorsque vous pensez à Tokyo, vous imaginez probablement

une intersection foisonnante où se croisent sans se frôler des centaines de passants pressés. C’est au grouillant quartier Shi-buya que la capitale doit cette notoriété. S’il est surtout connu pour sa forte concentration de boutiques mode, il est aussi réputé pour ses bourdonnantes mais impeccables rues piétonnes qu'il est agréable de parcourir afin de s’offrir un petit bain de foule. Une astuce pour obtenir la photo parfaite : rendez-vous au café Starbucks se trouvant juste devant le carrefour. Du deuxième étage, vous aurez un point de vue saisissant sur la chorégraphie des piétons.

1

3

4

2

1

2

3

4

HARAJUKU : LE TEMPLE DE LA MODEHaut lieu de l’extravagance, Harajuku voit chaque fin de

semaine ses rues foulées par des milliers d’adolescents, qui profitent de l’absence d’obligation de porter l’uniforme pour arborer les styles les plus exubérants. Sur la célèbre rue piétonne Takeshita-dõri, berceau des tendances japonaises, s’enchaînent quantité de boutiques colorées et de crêperies. Quelques pas au sud, la chic avenue Omotesandõ, pendant nippon des Champs-Élysées à Paris, se destine davantage à une clientèle adulte avec des marques luxueuses comme Louis Vuitton, Dior et Armani. Lorsque toutes ces couleurs vous auront essoufflé, allez respirer au parc Yoyogi. Après avoir traversé un large sentier bordé d’anciens fûts de saké, vous passerez sous une majestueuse arche en cyprès appelée torii : vous voici au sanctuaire shintoïste Meiji, véritable poumon vert de la ville. Parcourez ses allées verdoyantes aux arbres centenaires vertigineux jusqu’au temple lui-même, où vous pourrez vous recueillir ou rendre un hommage grâce à la traditionnelle ema, une petite tablette de bois sur laquelle vous pourrez inscrire vos vœux. Comme dans tout temple, certaines règles doivent être respectées. Renseignez-vous avant votre visite.

SHINJUKU : L’OISEAU DE NUIT Le soir venu, aux portes de la gare la plus fréquentée du

monde, l’arrondissement de Shinjuku vibre au rythme des fêtards cherchant comptoir ou piste de danse. Au détour de quelques coins de rue se cache le quadrilatère Golden Gai, un incontour-nable du nightlife tokyoïte. Figées dans le paysage d’avant-guerre, ses six ruelles étroites et désordonnées, où s’entassent venti-lateurs et vieux systèmes d’air climatisé, ont miraculeusement survécu aux bombardements et aux tremblements de terre. Derrière les portes colorées, des centaines de bars n’accueillant généralement pas plus de six personnes à la fois s’animent seulement autour de 22 h. Certains d’entre eux sont réservés aux habitués, mais ce n’est pas le cas de notre bar favori : La Jetée, tenu depuis plus de 40 ans par Madame Tomoyo Kawai, une Japonaise parlant un excellent français. Grande cinéphile, elle en connaît probablement plus que vous sur l’œuvre de Xavier Dolan. Si vous préférez l’ambiance joliment aseptisée du film Lost in Translation, dirigez-vous plutôt vers le bar de l’hôtel Park Hyatt et savourez la vue prenante sur la ville. Dans tous les cas, n’ayez pas peur de vous éterniser : vous vous sentirez en sécurité dans les rues de Tokyo, même une fois la nuit tombée.

TABATA : LA FINE FLEUR Notre tour de piste s’arrête au nord du circuit, dans le

quartier Tabata de l’arrondissement de Kita où se trouve le parc d’Asukayama. S’il propose divers musées et un jardin de jeux très apprécié des enfants (et des parents), ce parc est surtout réputé pour son panorama féerique au moment du hanami, période de floraison printanière des cerisiers. Que ses quelque 650 arbres soient en fleurs ou non, il fait bon honorer la tradition : on s’ins-talle entre amis pour un pique-nique et quelques verres. Pour digérer, montez au belvédère du parc : vous pourrez y apercevoir le majestueux Shinkansen, ce train à grande vitesse filant jusqu’à 300 km/h. Et peut-être aussi songer à votre prochaine destination !

5

6

7

Des adresses utiles : gotokyo.org/fr/ici-japon.comlajetee.org

5

6

7

4

Le « syndrome du bon gars »

SXYPROMOTION 23

On connaît tous un homme atteint du « syndrome du bon gars ». Il ne dégage rien de sexuel, évite toute forme de conflit et veut plaire à tout le monde. François Renaud sexologue et psychothérapeute, nous dit pourquoi il vaut mieux être un « homme bien », plutôt qu’un « bon garçon ». OSERQu’est-ce que le « syndrome du bon gars » (nice guy syndrome) ? En gros, le bon gars ne montre pas réellement son intérêt sexuel afin d’éviter le rejet. Le bon gars commence souvent par devenir l’ami de sa conquête pour ensuite devenir son amant… une tac-tique qui, bien souvent, ne fonctionne pas, et qui propulse notre bon gars dans une

« zone d’amitié » sans porte de sortie. --- Le problème majeur du bon gars ? La peur du rejet. Oser aborder une femme n’est pas un gage de succès, mais cela offre au moins la possibilité d’entamer une relation amou-reuse ou sexuelle. Il n’y a pas d’exercice « miracle » pour apprendre à oser. Le bon gars doit juste se lancer dans le vide.

ÊTRE FIERLe bon gars se sent souvent moins viril que les autres. Mais il craint aussi d’être perçu comme macho ou stéréotypé s’il fait des avances. Or, il semble oublier qu’entre l’homme rose et l’acteur Vin Diesel, il existe une infinité de nuances intéressantes ! --- Être fier d’être un homme démontre une confiance en soi qui est séduisante pour les femmes. Il n’est pas question de tout jeter ce qui est rattaché au « bon gars ». C’est tout simplement d’accepter que l’on soit aussi un homme désirant et désirable sur le plan sexuel.

UNE DOSE DE « GRRR »Les femmes aiment bien la tendresse et l’af-fection que les bons gars offrent abondam-ment. Par contre, elles peuvent aussi aimer

un homme plus viril et direct. Pour le bon gars, ces deux concepts sont incompatibles. Et pourtant. --- Il suffit seulement d’être plus entreprenant et de manifester son désir pen-dant les ébats sexuels. Le bon gars doit être spontané et aventureux pour surprendre sa conquête au lit. Le tout dans le respect de l’autre, évidemment.

DIRE NONLe bon gars craint le conflit car il a peur d’être perçu comme méchant par les femmes. En fait, il ne dit jamais non, à personne. Il accu-mule les frustrations et ça le rend passif-agressif. C’est sûr qui si le bon gars est en couple, tout ça mine le désir du ou de la par-tenaire et envenime la relation. --- Le bon gars doit assumer ses opinions et oser déranger en parlant de ses insatisfactions, toujours de manière respectueuse. Savoir dire non, c’est aussi une preuve de maturité.

Vous avez des questions pour François ? N’hésitez pas à nous écrire à l’adresse suivante : [email protected]. Aucun tabou. Et on vous promet l’anonymat. Vous pouvez également consulter son site à l’adresse suivante : lesexologue.ca

LA FORMATION AVANT TOUTSi vous avez envie de tenter l’expérience du kayak d’eau vive, il existe une formation donnée dans les écoles de kayak. Elle mène à l’obtention du brevet III Eau Vive, selon un programme établi par la Fédération québécoise de canoë-kayak d’eau vive. « Ce sport ne se limite pas qu’aux émotions fortes, souligne Louis-Philippe Légaré, kinésiologue et directeur technique du Centre d’excellence d’eau vive de Valleyfield. Il demande une grande coordination et une compréhension de la rivière. C’est pourquoi nous enseignons au participant les techniques en eau calme pour l’amener graduellement dans une rivière en mouvement. » Le participant apprendra notamment à vaincre sa peur de chavirer et à adapter ses coups de pagaie selon les circonstances.

L’obtention du brevet III Eau Vive requiert une formation d’une dizaine d’heures et permet au passionné d’être autonome sur des rapides de classe II (novice). « Le pagayeur devrait pratiquer une saison complète pour consolider ses acquis », recommande celui qui supervise également l’entraînement des athlètes de l’équipe canadienne de canoë-kayak. Après quoi, vous pourrez décrocher un brevet IV Eau Vive en vue de vous aventurer sur des rapides de classe III (intermédiaire). On reviendra plus tard sur le classement des rivières.

OBJECTIF : L’AUTONOMIEHormis les cours, plusieurs avenues s’offrent aux pagayeurs désirant s’aguerrir. « Un passionné peut acquérir son autonomie en participant à des sorties organisées par un club », souligne Patrick Levesque, kinésiologue et kayakiste professionnel. Ces activités s’adressent à tous les niveaux et sont supervisées par un entraîneur. Retenir les services d’un guide en vue de la descente d’une nouvelle rivière constitue aussi une option intéressante. « Chaque pagayeur novice connaît quelques cours d’eau dans lesquels il se sent à l’aise, affirme l’expert. Par contre, s’il va jouer à l’extérieur de sa zone de confort, il s’expose à de mauvaises surprises. Et une fois que la panique s’installe, les erreurs s’enchaînent. »

Pagayer dans le lac, au chalet, est à la portée de tous. En revanche, pour s’aventurer dans les rapides d’une rivière, mieux vaut posséder un solide bagage technique ! Mode d’emploi pour se frayer une place dans le kayak des grands.

Descente extrême

BOUGERPROMOTION 25

C’est à ce moment, selon lui, que la présence d’un guide s’avère utile. Il peut notamment indiquer aux autres les écueils à éviter sur le cours d’eau. « La meilleure façon de progresser est d’essayer plusieurs rivières de même niveau afin de devenir polyvalent », résume Patrick Levesque.

ÊTRE PRÊT À TOUTLe kayak d’eau vive requiert de la persévérance et une bonne dose de sang-froid. « Le kayakiste est autant responsable de ses réussites que de ses échecs. En jouant dans la rivière, il accepte de se battre contre les éléments. Il doit faire preuve d’un bon sens du jugement », prévient Louis-Philippe Légaré. Avant d’amorcer une activité en rapides, les participants doivent avoir un niveau de préparation adapté au degré de danger qu’ils affronteront.

En plus de maîtriser les techniques de réanimation et de premiers soins, tout bon pagayeur devrait suivre un cours de sauvetage en eau vive. Au terme de la formation de deux jours, le participant sera en mesure de manier son sac à corde, de pouvoir nager dans les rapides et de récupérer son embarcation lorsqu’elle est « cravatée », c’est-à-dire remplie d’eau et collée à un obstacle. Enfin, les experts recommandent d’organiser des sorties en groupe de trois individus au minimum. En cas d’accident, un camarade pourra aller chercher des secours, tandis que l’autre restera auprès du blessé.

RÉVEILLER L’EXPLORATEUR EN VOUSÀ mesure que le pagayeur gagne en expérience et en autonomie, la fébrilité de s’aventurer en eaux inconnues s’ajoute au plaisir, au dire de Patrick Levesque, qui a exploré une cinquantaine de bassins dans la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Carte sous la main, il prépare avec minutie chaque nouvelle expédition des semaines à l’avance. « Par moment, on doit faire du portage en pleine forêt pour ensuite se retrouver dans un canyon spectaculaire. Et on se dit que l’on est peut-être les premiers hommes à avoir mis les pieds ici depuis des siècles. » La diffusion des informations récoltées au cours de ces expéditions est bénéfique à l’ensemble de la communauté kayakiste. « Dans les années 1970, le premier groupe à affronter le secteur Taureau de la rivière Jacques-Cartier a mis trois jours et 20 portages avant d’en venir à bout. Aujourd’hui, cette portion se fait en trois heures », illustre M. Levesque.

LE QUÉBEC, PAYS D’EAUTraversé par des milliers de rivières aux dimensions variées, le territoire du Québec est perçu par plusieurs pagayeurs comme un paradis des sports en eau vive. « Nous n’avons rien à envier aux autres pays sur ce plan, assure Louis-Philippe Légaré. Peu d’endroits dans le monde possèdent autant de cours d’eau à gros débit comme le Saint-Laurent, la rivière Rouge ou la Mistassini. À la fonte des neiges, plusieurs kayakistes étrangers viennent s’aventurer dans une région comme le Saguenay. » Un avis que partage son collègue Patrick Levesque. « La force du Québec réside dans la variété et l’accessibilité de ses rapides. Les amateurs peuvent relever un excellent défi tout en admirant des paysages grandioses, et ce, à moins de trois heures des grands centres urbains. »

DES ADRESSES UTILES : Patrick Levesque : patricklevesque.infoCentre d’excellence d’eau vive de Valleyfield : kayakvalleyfield.org

RÉVEILLER L’EXPLORATEUR EN VOUSComment savoir si vous êtes d’un calibre suffisant pour jouer dans une rivière ? Il faut vous renseigner sur la classification du cours d’eau en question. Le niveau de difficulté des rivières canotables est évalué selon un système international de cotation, inventé par l’American Whitewater Association, qui va de I (facile) à VI (extrême). Le Guide des parcours canotables du Québec, publié par la Fédération québécoise du canot et du kayak, devrait être consulté avant d’organiser vos expéditions. canot-kayak.qc.ca

Voyez une descente de la rivière Nelson dans notre version numérique sur La Presse+.

Les conseils d’Harley Pasternak

Commençons avec une rumeur. On nous a dit que vous aviez vécu à Montréal et que vous parlez français. (NDLR : il répond en fran-çais) Oui, c’est vrai. J’y ai habité un an, pendant le tournage du film Gothika. Et mon père est aussi originaire de Montréal.

Vos clients ont des horaires chargés. Mais nous sommes, nous aussi, souvent très occupés. Avez-vous des trucs de pro pour insérer plus facilement l’activité physique dans notre horaire ? Assurez-vous de marcher au moins 10 000 pas chaque jour. Je porte une montre Fitbit et je pose de petits gestes dans ma journée pour être un peu plus actif. Je prends les escaliers, je me stationne toujours un plus loin et je parle au téléphone en marchant. Je fais également un exercice en force, tous les jours. Pas un entraînement complet avec de nombreux mouvements, mais juste un exercice simple pour une partie du corps en particulier. Cela prend aussi peu que 10 minutes par jour.

Je vais à la salle de gym trois ou quatre fois par semaine et je cours environ 5 km après chaque séance de musculation. Est-ce la meil-leure chose à faire ou je devrais plutôt alterner course et visites au

gym, dans des journées séparées ? Tout dépend des objectifs visés. Mais vous pratiquez les deux catégories d’activité physique, ce qui est bien. La première catégorie est l’aérobie. Marche, course, vélo : on le fait pour brûler des calories. La seconde englobe les exercices de résistance. Cela inclut les poids libres, les push-ups, les machines, le Pilates, etc. Ce type d’activité doit être fait avec une certaine intensité, ainsi qu’avec une fréquence et une durée spécifiques.

Une alimentation saine est aussi importante. Avez-vous des sug-gestions pour les collations d’après-midi… et les fringales en mi-lieu de soirée ? Les petites collations sont la clé du succès pour rester mince. Mais il vous faut choisir des aliments qui contiennent de bons gras, des protéines et des fibres. Ce trio vous aidera à rester rassasié plus longtemps. J’aime manger une poignée d’amandes (protéines, bon gras et fibres) et une pomme. Ou un yogourt nature (protéines, calcium, vitamine D) et quelques baies (fibres). Ou encore un smoothie dans lequel je mélange des épinards, du lait d’amande et un peu de poudre de psyllium pour un supplément de fibres.

Animateur, conférencier, auteur et entraîneur privé, il a fait suer les plus grandes stars de la planète ! Torontois d’origine, il compte parmi ses clients Kanye West,

Bono et Adam Levine. Entrevue éclair avec Harley Pasternak.

« Les petites collations sont la clé du succès pour rester mince. Mais il vous faut choisir des aliments qui contiennent de bons gras, des protéines et des fibres. »

On a tous entendu, au moins une fois, que les amandes sont grasses et qu’il faut ne pas trop en consommer. Mais on parle ici de bons gras, n’est-ce pas ? Pendant longtemps, nous avons été induits en erreur. On nous a martelé que c’est le gras… qui nous rendait gras. La science a depuis dissipé ce mythe. La consommation excessive de sucre et l’inactivité physique sont les principaux coupables d’une prise de poids. Et pour répondre à votre question : le type de gras qui se trouve dans les amandes contribue à la santé du cœur et peut aider à contrôler votre faim. Ce qui vous amènera éventuellement à manger moins à l’heure du repas.

En terminant, rassurez-nous et dites-nous que même les meilleurs entraîneurs se permettent un cheat day (jour de triche) hebdomadaire. (Rires) Malheureusement, je ne me permets pas de cheat day. Par contre, je triche deux ou trois fois par semaine, mais dans des jours différents. Quand j’habitais à Montréal, je me permettais un smoked meat de chez Schwartz’s ou des bagels St-Viateur !

NUTRITIONPROMOTION 27

INGRÉDIENTS

1/2 tasse de blancs d’œufs (ou 2 œufs entiers) 3/4 de tasse de farine d’amande

1/2 cuillerée à thé de sel kasher ou de sel de mer 1/2 cuillerée à thé de poivre fraîchement moulu

2 poitrines de poulet papillon désossé, sans la peau et coupées en 2 (ou 4 escalopes)

5 cuillerées à soupe d’huile d’olive extra vierge, séparées 1 gousse d’ail, hachée finement

3 cuillerées à soupe de jus de citron 1/2 tasse de bouillon de poulet

3 cuillerées à soupe de câpres, rincées et égouttées 1/3 de tasse de vin blanc sec

2 cuillerées à soupe de persil haché (facultatif)

INSTRUCTIONS

1 Dans un bol de taille moyenne, battre les œufs.2 Dans un autre bol de taille moyenne, mélanger la farine d’amande, le sel et le poivre, avant de verser dans un plat peu profond ou une assiette. Tremper le poulet dans le mélange d’œufs pour bien l’enrober, avant de le rouler dans le mélange de farine d’amande.3 Réchauffer deux cuillerées à soupe d’huile d’olive dans un grand poêlon à feu moyen-fort, avant d’ajouter la moitié du poulet, en faisant bien attention de ne pas trop remplir le poêlon. Faire brunir les deux côtés du poulet, jusqu’à ce que la farine d’amande soit dorée. Retirer et transférer le poulet dans une assiette propre. Ajouter deux autres cuillerées à soupe d’huile d’olive dans le poêlon et refaire la même chose avec le reste du poulet.4 Dans le même poêlon, ajouter la dernière cuillerée à soupe d’huile d’olive et l’ail, en brassant fréquemment jusqu’à ce que l’ail soit doré (environ deux minutes). Ajouter le jus de citron, le bouillon de poulet, les câpres et le vin au mélange. Ajouter le sel et le poivre, si désiré. Faire mijoter fortement. Remettre le poulet cuit dans le poêlon et laisser mijoter pendant trois minutes supplémentaires.5 Retirer le poulet du poêlon, le saupoudrer de persil et servir.

PRÉPARATION CUISSON PORTIONS

10 min 420 min

Poulet piccata Harley Pasternak partage avec nous une recette

de poulet piccata qu’il a créée pour la Collective des amandes de Californie.

CUISINE PROMOTION28

Poulet piccata

PROMOTION30

L’audace au masculinLe magazine XY, en collaboration avec Cadillac, est fier de vous présenter

en primeur des entrepreneurs audacieux qui façonnent le Montréal de demain et qui font avancer le monde. Retrouvez-les dans la section Affaires

de La Presse+ dès le 30 mai.

THOMAS MAGNY – BONVILAINTAILLEUR DE RUE

La griffe montréalaise Bonvilain obtient un succès monstre depuis son lancement, en 2013. Derrière cette marque se cache Thomas Magny, 25 ans, qui supervise seul l’ensemble des opérations. C’est sa passion pour la mode et l’envie d’établir ses propres règles qui l’ont poussé à lancer sa propre marque de vêtements, et ce, sans aucune formation dans ce domaine. bonvilain.com

OLIVER KULT ET LEANDRO VERGARA – MAISON PRIVÉE

DEUX HOMMES ET UNE VISION TRANCHANTEMaison Privée est un barbershop unique en son genre. Ses propriétaires, Oliver Kult et Leandro Vergara, avaient envie de redéfinir l’expérience du salon de coiffure pour hommes. Leur succès est si grand qu’une deuxième succursale verra bientôt le jour. La création d’une collection de vêtements est aussi dans l’air, tout comme le lancement d’une gamme de produits capillaires. maisonprivee.ca

ISMAËL GUEYMARD PHOTOGRAPHE AUTODIDACTE

Le photographe Ismaël Gueymard redonne ses lettres de noblesse à ces édifices oubliés qui, à une certaine époque, ont contribué à la grandeur du régime soviétique. Il travaille d’ailleurs sur une exposition, END, qui mettra en valeur cette forme d’architecture souvent mal aimée. Puis, Ismaël Gueymard partira vers l’Asie centrale pour nous faire découvrir d’autres monuments architecturaux du passé. ismaelgueymard.com

GUILLAUME LANGLOIS – SPACE & DREAM LEADER TECHNO

Quand Guillaume Langlois a lancé Space & Dream, il souhaitait seulement avoir un petit espace qui lui permettrait d’expérimenter avec les technologies et de laisser libre cours à sa créativité. Aujourd’hui, son laboratoire est devenu une grande société d’innovation et de mise au point de logiciels dédiés à la création de solutions interactives à la fine pointe de la technologie. spaceanddream.com

1

2

3

4

Visitez le site L’audace d’oser de Cadillac : dare-greatly.ca/french

1 2

43