Lord Byron - Reves de femme

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Education Lord Byron Janvier 2005 1° chapitre Premiers pas dans le monde du dressage avec Christine A cette époque là, j’avais des relations avec deux femmes d’âges comparables (la trentaine jeune) ; Christine était une collègue de bureau et Marie qui, travaillant dans la même société se trouvait à un niveau supérieur au mien mais à un autre endroit. Christine était devenue ma maîtresse quelques mois plus tôt et nos relations étaient torrides et classiques jusqu’au jour où je lui ai suggéré de se livrer à un jeu Sado Maso où elle serait ma propriété pour une durée de quatre heures. J’étais relativement inquiet de cette proposition car je m’attendais à une fin de non recevoir et vraisemblablement à une fin tout court. Contrairement à mon appréhension elle m’a dit avoir lu « histoire d’O» en cachette de son mari et s’être souvent caressée en y songeant. - Qu’est ce qui te fait mouiller Chris dans ce livre ? - la situation de dépendance ; les ordres ; les coups légers mais pas la douleur - et l’épisode avec Anne Marie, avec les femmes - J’ai déjà goûté aux femmes… - Oui ? - Avec une maîtresse de mon mari, il y a cinq ans, à trois - Tu as aimé ? - Enormément ? - Bien, on peut songer à trouver une partenaire - …. - Dans un premier temps, es tu disposée à m’appartenir ? - Oui mais ne me torture pas trop, j’ai un peu peur

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Education Lord Byron

Janvier 2005

1° chapitre

Premiers pas dans le monde du dressage avec Christine A cette époque là, j’avais des relations avec deux femmes d’âges comparables (la trentaine jeune) ; Christine était une collègue de bureau et Marie qui, travaillant dans la même société se trouvait à un niveau supérieur au mien mais à un autre endroit. Christine était devenue ma maîtresse quelques mois plus tôt et nos relations étaient torrides et classiques jusqu’au jour où je lui ai suggéré de se livrer à un jeu Sado Maso où elle serait ma propriété pour une durée de quatre heures. J’étais relativement inquiet de cette proposition car je m’attendais à une fin de non recevoir et vraisemblablement à une fin tout court. Contrairement à mon appréhension elle m’a dit avoir lu « histoire d’O» en cachette de son mari et s’être souvent caressée en y songeant. - Qu’est ce qui te fait mouiller Chris dans ce livre ? - la situation de dépendance ; les ordres ; les coups légers mais pas la douleur - et l’épisode avec Anne Marie, avec les femmes - J’ai déjà goûté aux femmes… - Oui ? - Avec une maîtresse de mon mari, il y a cinq ans, à trois - Tu as aimé ? - Enormément ? - Bien, on peut songer à trouver une partenaire - …. - Dans un premier temps, es tu disposée à m’appartenir ? - Oui mais ne me torture pas trop, j’ai un peu peur

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- Maintenant ? - Oui mon après midi est libre… - Va aux toilettes et retire tes dessous (nous étions dans un restau en fin de repas) - Tu crois ? - Le jeu commence maintenant - Je reviens, dit elle en rosissant - …. - Tu es belle dis je en la regardant s’asseoir - Merci - Garde tes cuisses ouvertes, dis-je en plongeant pour ramasser ma serviette tombée par intérêt et en admirant sa chatte et la tenue magnifique de ses bas - Tu apprécies, demande t elle ? - Oui tu es superbe ; au fait, tu t'es touchée aux toilettes non ? - Oui dit elle courageusement - Et ? - C’était bon - C’est tout ? - J’ai joui voilà - Tu as lavé tes mains - Non - Suce ton doigt - Je l’ai déjà fait - Bien - Allons, dis je, dis moi « maître je suis à vous corps et âme » à partir de maintenant et jusqu’à la fin de la séance, tu m’appelles ainsi et tu me vouvoie - Bien maître, je suis à vous corps et âme - Si tu veux sortir du jeu, le mot de passe est « le ciel n’est plus bleu » - Je ne comprends pas - Si tu prononces cette phrase et celle là seulement, j’arrête tout et nous reprenons le cours normal de nos relations - Bien Maître Je la conduis à un magasin de bricolage sur la zone où elle me regarde acquérir de la cordelette et des pinces crocos (un petit paquet de huit ou dix) ; je prends également une baguette de 80 cm de long ronde et de 1 cm de diamètre (pour servir de badine) - C’est tout pour moi Maître - Bien sur - J’ai un peu peur - Sois tranquille, tu es excitée non ? - Oui Maître Nous arrivons à un hôtel où je loue une chambre pour l’après midi, payable en liquide bien entendu. Arrivés dans la chambre je lui ordonne de se tenir debout cuisses largement ouvertes et robe relevée jusqu’au nombril ce qu’elle exécute. - Plus large, dis-je d’une voix douce, à la limite de l’équilibre - Comme ça Maître (béante et bien cambrée pour tenir debout) - Superbe mais dis moi tu es ouverte et ton clitoris est sorti - Ouiiii Maître - Retire ta robe et reprends la position pais les mains sur la tête (je suis en complet cravate, j’ai retiré la veste) - Voilà maître - Superbe, tu fais vraiment pute ainsi - Ohhhhh - J’aime rassure toi et je m’approche - Maître c’est dur d’attendre - Quoique je fasse je ne veux pas d’autres réactions que des gémissements - …

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Je commence une série de gifles pleines joues, alternativement, de plus en plus soutenues sans être violentes ; elle tente avec difficulté de tenir sa tête droite. A part cela elle me regarde dans les yeux avec aplomb et acceptation. - J’ai tous les droits sur toi sauf celui d’attenter à ton intégrité physique - Oui Maître - Reste bien debout et ouverte, tu as déjà dégusté des seins - Non maître - Allons-y - Pas trop fort maître Cette fois une gifle dure lui fait comprendre l’inacceptable de cette réflexion. Elle réagit bien et me regarde suppliante - Pardon maître Je prends ses gros seins (Christine fait du 95 D) à pleines mains et les tords assez durement ; elle gémit puis je m’empare de ses volumineux tétons avec les ongles des deux mains - Aïe, dit elle restant immobile - Je vais te poser deux pinces salope - Ohhh j’ai peur Je lui mets les crocos avec précautions ; elle grimace mais supporte ; je coupe deux petites ficelles et les attache aux anneaux des pinces ; je la tiens ainsi par les tétons et lui ordonne de sautiller (le plus ouvert possible) ; pendant ce temps je tire perversement sur les ficelles ce qui lui arrache de petits cris…elle mouille de plus en plus fort. - Continue salope tu aimes cela - Oui mais … j’ai mal aux seins - Superbe, dis-je en tirant plus fort, pour ta soumission nous les appellerons «mamelles » - Oui maître, se lâche-t-elle, j’ai mal à mes grosses mamelles de pute et j’adore cela Un peu interloqué, ne m’attendant pas à cela, je relâche la tension puis je réagis assez brutalement en lui demandant de rester le plus possible debout sans bouger et sans se plier ; je tire durement les ficelles vers le bas ; elle ne peut pas résister ; elle se plie vers l’avant mamelles étirées. - Salope tu as failli m’attendrir - Pardon maître Je vais m’asseoir dans un fauteuil et lui ordonne d’approcher puis de sortir ma bite durement érigée. Elle s’exécute et sur mon ordre me masturbe doucement - Je veux une gorge profonde - Oui maître - A fond de gorge ; j’exige que ma queue soit enfoncée au maximum et que je te défonce la bouche - Je ne vais pas y arriver - Penche-toi, dis je en tirant sur les ficelles et reste écartée des cuisses ; utilise tes mains pour te tenir Je pose mes mains derrière sa tête et enfonce ma queue dans sa gorge à fond; une résistance puis c’est passé. Je tire cruellement sur les seins et sens le fond de gorge qui se contracte ; l’effet sur ma queue est instantané… je me vide … elle ne bouge pas ; elle attendra mon ordre pour se redresser. - Je giclerai deux fois aujourd’hui, la seconde sera dans ton cul - NOOON - Pourquoi s’il te plait (je suis assis, elle est devant moi debout et je lui caresse le clito qui est tout dur déjà - Je n’ai jamais voulu même avec mon mari … j’ai peur - Il faut que tu apprennes …. - Ohhhh pitié Je lui pose une pince au clito, elle gémit mais se concentre puis la fait mettre debout de dos penchée vers l’avant, béante, les mains ouvrant les fesses.

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Je frappe de bas en haut avec la badine afin que les lèvres et le clito torturés soient toujours atteints. Christine gémit de plus en plus fort et je me rends compte que le rythme devient celui du plaisir… elle crie, elle hurle, elle jouit. Je suis nu à présent Nu et fortement bandé, je passe derrière elle et lui ordonne de ne pas bouger. Je la pénètre et lui dérouille la chatte jusqu’à ce que l’orgasme s’annonce ; à ce moment je tire lentement mais cruellement la pince posée sur son clitoris provocant un orgasme délirant et ponctué de tremblements convulsifs et de hurlement assourdissants. Je ne jouis pas ; je me retire et passe devant elle. Je la prends par les cheveux et l’embouche. Elle me suce avec délectation et j’en profite pour torturer ses mamelles en tirant sur les ficelles - Tu aimes ton jus ma petite putain ? - Ouiiiii - Vas-y, à fond de gorge Elle ne répond pas mais s’enfonce la bouche sur ma queue jusqu’aux couilles et tente même d’aller plus loin. Christine a abandonné sa volonté, elle est à présent réellement à moi et tente de me donner son plaisir. Je me retire et la fais redresser ; elle est somptueuse avec ses gros seins ornés de pinces et de ficelles et sont clitoris offert également pincé. - Debout écartée mamelles cambrées salope - Voilà maître - Je vais t’enculer ma belle chienne - Nonnnn pitié Je donne un coup de badine sur ses mamelles qui lui arrache un cri - Je vais t’enculer ma belle chienne - Nonnnn pitié nonnnn nonnnn Je cingle plus fort, trois coups - Je vais t’enculer mais seulement avec ton approbation - Nonnnn pitié …. Si …. Ouiiii - Comment - Enculez-moi maître - Plus fort - ENCULEZ MOI MAITRE vous serez le premier - Penche-toi en avant les jambes ouvertes et le tronc quasiment horizontal - Voilà maître - Je vais te préparer - A votre disposition maître Je lui retire les cordelettes des seins et j’en coupe des plus longues. Une fois celles ci posées, j’en attache l’autre extrémité aux chevilles ainsi elle ne peut se relever qu’en se faisant cruellement souffrir les seins. A la pince du clito j’attache une ficelle et fais pendre une bouteille de shampooing trouvée dans la salle de bains : au moins 350 g le clito se tend, elle crie un peu puis se contente de gémir. - Tu vas voir tout à l’heure tu vas avoir mal quand je t’enculerai, ça fera balancer la bouteille ; compte sur mois pour amplifier - Ohhhhhhhhhhh maître - Allez écarte tes fesses et demande ta récompense Elle le fait et gémit car cela a provoqué une tension de ses seins et un mouvement du lestage de clito - Défoncez-moi le cul maître… D’UN SEUL COUP … TROUEZ-MOI - Encore plus fort - Allez salaud vas y Je décide de punir son arrogance en lui tirant brutalement le clito et un sein - Aaaaaaouuyuuuuhhhhhh - Je t’écoute - Défoncez-moi le cul … comme vous en avez envie

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Elle me présente sa rosette ses mains ouvrant ses fesses. Je m’enfonce lentement sans à coup mais sans pause, inexorablement - Aaaaaaouuyuuuuhhhhhh - Ah j’adore ma pute, tu es étroite, ma queue est en fête - Ah oh oh oh j’ai mal … mais continuez maître - Voilà qui est bien Je commence de lents va et viens et je sens que la corolle s’ouvre, c’est une sensation extraordinaire ; je la travaille avec ampleur faisant bouger le poids et se tendre les ficelles des seins ; ses gémissements sont de plus en plus proches de ceux de l’orgasme… je suis hors de condition de me contenir … je me vide pendant qu’elle jouit J’arrête la séance et nous prenons une douche Je la caresse amoureusement une fois rhabillée et lui demande : - Envie de recommencer? - Oh ce monde qui s’ouvre devant moi ;;;ouahhhh - Merci Christine - J’ai envie de continuer, d’aller jusqu’au bout - D’accord …Tu te souviens, la semaine prochaine nous passons cinq nuits à Paris, je vais te faire vivre d’autres choses. - Quoi dis-moi - Non, je veux ton accord d’avance - Oui ….Maître Voilà qu’elle m’appelle ainsi hors séance !

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2° chapitre Découverte de l'exhibition en sex-shop

Il est dix neuf heures, notre journée professionnelle est terminée. La nuit de novembre a enveloppé Paris dans un anonymat rassurant (on ne sait jamais qui on peut rencontrer) Elle me rejoint à mon hôtel et nous nous dirigeons vers Montparnasse ; j’ai dans l’idée de la conduire dans un sex-shop des beaux quartiers. Elle est vêtue d’un long manteau fermé devant ; dessous jupe courte et haut très moulant. Arrivés devant elle s’interroge : - Quelle est ton idée - Nous allons faire des achats Son regard s’illumine - Des objets de plaisir ? - Oui et de torture ; nous sommes en séance : ouvre ton manteau avant d’entrer Elle s’exécute et nous entrons. Un homme noir et grand est à la caisse ; trois hommes d’âge moyen sont occupés à regarder les revues et divers objets. Nous arrivons devant le rayon des objets où se trouvent des godes des plugs, de colliers et divers bracelets de cuir des boules de geishas des martinets et des cravaches. Je choisis un corset de cuir très fin attaché dans le dos par des crochets et muni sur le pourtour en haut et bas de six anneaux de métal ; je demande une cabine et je vais harnacher Christine. Elle est magnifique avec ses seins soutenus et tendus, avec sa chatte soulignée par le bas du corset. Elle se regarde avec une certaine admiration dans le miroir de la cabine… - A qui servent les anneaux ? - Attacher tes seins ou tes lèvres ou ton clito voire des objets qui te violent - Hummmmmmm - Sors et montre-toi - Nonnnn - Une gifle : obéis - Oui maître Elle sort ainsi de la cabine et je remarque une expression d’exhibitionnisme ; elle aime cela. L’un des trois hommes approche et sort sa queue ; j’interviens: - Uniquement au cul et avec préservatif Le boutiquier sort des préservatifs et en donne un au candidat qui se couvre une belle queue bandée ; je retourne Christine et lui ordonne de s’ouvrir ce qu‘elle exécute avec plaisir ; il la sodomise mais ne tient pas, il se vide tout de suite. Frustrée elle lui lance : - Il faut avoir des ressources pour me dresser petit Il manque de le prendre mal ; le boutiquier et moi lui intimons l’ordre de sortir ce qu’il fait sans trop de difficultés. Je lance : - D’autres candidats ? - Oui moi, dit le grand noir qui tient le magasin - Je suis son seigneur et maître, elle le fera si je le veux

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- A vos ordres, dit-il - Tu as envie Christine ? - J’ai peur maître mais … oui …pour votre plaisir Les autres s’éclipsent aussi discrètement que lâchement ; le boutiquier verrouille la porte d’entrée. - Christine tu vas être prise pour la première fois par un inconnu - Oui maître - Dans le cul - Oui maître - Sors-lui sa queue et lubrifie le … pleine gorge Elle s’exécute ; il est black et fidèle à la réputation : sa queue bandée mesure 22 cm de long prise à la base et six centimètres de diamètre ; Christine a un sursaut mais finit par l’emboucher au maximum de ses possibilités ; il gémit se retire sur mon ordre et se pose un préservatif king size. Je fais mettre Christine en position penchée en avant et ouverte les mains appuyées sur une table de présentation. Je lui permets de s’arrêter - Tu as peur salope - Oh oui maître - Tu te souviens du mot de passe - Oui maître : « le ciel n’est plus bleu » - Tu as envie de l’utiliser ? - Non maître - Pourquoi - Je veux devenir une vraie putain à votre disposition - Quel est ton prénom à toi - Germain - Vas y Germain encule cette femelle - A vos ordres, dit-il en souriant Il présente son énorme gland devant la porte du pertuis mais ne par vient pas à le rentrer ; il essaye de multiples fois, le sphincter ne cède pas. - Il faut la lubrifier, dit-il - Non, dis-je. Tu veux être lubrifiée ou fouettée - Fouettée maître durement - Germain donne moi une cravache, je te paierai tout à l’heure - Regarde cette cravache Christine, c’est bien ce que tu veux - Oui …peur …jouir …suis une salope …ouiiiiiii Je fais reculer Germain et placé derrière elle je contemple son anneau serré et sa chatte déjà bien ouverte - A chaque coup, je veux te voir essayer d’ouvrir le cul - Oui maître je vais essayer Je cingle de bas en haut pleine chatte. Elle crie, elle ne bouge pas sauf un long tremblement ; j’attends et j’observe : la pastille palpite légèrement. Un autre coup. Toujours le même cri la même palpitation. Je lui indique que l’ouverture du cul nécessite de pousser Au huitième coup sa chatte est violacée et son clito dressé de désir mais son cul s’ouvre d’un à deux centimètre - Vas-y Germain - Oui Monsieur Germain, enculez moi à fond Il s’exécute et cette fois il pénètre avec difficulté certes mais jusqu’au fond - Comment vas-tu? - C’est énorme

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Il continue - Oui oui à fond Germain se lance dans une lente mais ample sodomie ; Christine secoue la tête et nous indique son plaisir. Je lui présente ma queue et l’embouche à fond. Seules ses narines laissent passer les sons du plaisir. Nous nous synchronisons avec Germain et nous attendons l’un l’autre ; nous giclons ensemble, lui dans le préservatif moi dans la bouche de ma maîtresse. Nous nous retirons et j’embrasse Christine qui remercie également Germain. - Bien j’ai des achats à faire Germain - Sers toi, dit il je te fais moitié prix Je prends le corset ; un collier de cuir avec quatre anneaux ; quatre petits bracelets de cuir avec anneaux pour les poignets et les chevilles ; deux plus gros pour le haut des cuisses également avec anneaux ; un martinet de cuir à manche gode ; la cravache que j’ai utilisée ; deux godes dont un long et assez gros et un gonflable ; des boules de geishas de 6 cm avec chaînette ; des pinces à seins et à chatte avec chaînettes et enfin un plug anal de bonne taille. Avant de payer je prépare Christine pour la soirée : je lui mets les bracelets en haut des cuisses au dessus des bas ; je les relie par les chaînettes à des pinces serrées sur les petites lèvres ; je règle la tension assez forte pour qu’elle soit béante ; je la fais pencher et lui place le plug dans un gémissement intense ; je lui introduis les boules dans la chatte …seule la chaînette apparaît ; je demande de fines aiguilles d’acuponcture (elles sont beaucoup trop fines pour être douloureuses néanmoins à cet endroit elles font leur effet) ; j’en prends une et je la plante sur, plutôt dans, le clito doucement provoquant un orgasme. Elle est superbe avec cette aiguille plantée Elle remet sa jupe son haut et son manteau et nous sortons - La séance est finie tu peux me tutoyer - C’est terrible d’être garnie comme ça, je jouis tous les 200 mètres, je vais devenir folle - Bien j’adore - C’est super ce que tu me fais découvrir mais … - Mais ? - J’aimerais avec une … femelle … tu comprends une vraie pute pire que moi et je … enfin je la dresserais avec toi ; elle serait ta soumise et la mienne ; je t’obéirais et je la ferais obéir… - Tu y arriverais - Ouiii je la ferais déguster. J’ai une envie terrible - Demain je te présenterai Marie - Oui … Maître raconte moi - Non, tu découvriras toi même - Tu viendras dîner avec ainsi parée avec juste une robe et un manteau, surtout pas de dessous. Et puis tu apporteras les bracelets les autres pinces, le collier et le gode gonflable. - Et l’aiguille ? - Soit tu la laisses soit tu as le courage de la remettre - Ouhhh je verrai - A demain salope ; cette nuit tu te branleras quatre fois - Bien maître

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3° chapitre

La rencontre de Christine et de Marie Quelques temps auparavant, j’avais invité à dîner Marie qui avait été ma responsable dans une activité antérieure ; la relation ayant été, pour des raisons professionnelles et de confiance mutuelle beaucoup plus amicale que hiérarchique. A la fin du repas, elle me fait cette remarque: - Le vin, même en faible quantité, fait sauter les barrières Et me regarde droit dans les yeux. Commence, au galop, le jeu de la séduction et nous nous hâtons vers mon hôtel du quartier Montparnasse. Je suis hyper excité, elle aussi qui m’avoue en se déshabillant n’avoir aucune protection anti grossesse. Qu’importe, j’ai des préservatifs ce qui rassure Nous avons fait l’amour de façon classique mais assez violente, puis, à la fin, alors qu’elle a déjà joui deux fois, je lui explique que je suis un homme expérimenté dominateur et un peu vicieux. - Vicieux ? demande t elle avec des yeux allumés - Oui j’ai des fantasmes - Raconte - J’ai envie que tu me suces … jusqu’au bout - Tu veux que j’avale - Oui - Que je sois salope pour ton plaisir - Oh ces mots là dans ta bouche … - Oui moi aussi j’aime le sexe Elle retire le préservatif, le jette à la poubelle et s’installe à quatre pattes afin que je la voie bien ; j’ai en effet une vue imprenable sur ses très gros seins pendants et sur son entrecuisses. Elle m’avale profond …profond … fait jouer sa gorge et se retire - Tu connais cette technique - Ben oui, je suis une vraie chienne tu verras Elle continue son jeu et, au moment où je me vide elle avale et me torture tendrement les couilles ; elle se retire et m’embrasse à pleine bouche. - Tu sais je préfère quand la partenaire obéit - Ouhhh oui j’en rêve mais il faut trouver - Je pense pouvoir tester tes réelles dispositions - Comment ? - Je te donne des ordres et tu les exécutes - Quels ordres - D’abord ton accord de principe - D’accord, je t’écoute - Oui maître dis je répète - Oh tu exagères dit elle en riant puis l’idée faisant son chemin : oui Maître - Mets-toi debout cuisses ouvertes et mains sur la tête, cambrée et offerte - Oui Maître. Elle s’exécute. - Regarde ma queue (je bande ferme et je me branle doucement) - Oh oui, elle est belle, je la veux - Non salope allez branle toi - Moi salope, gémit elle, après tout oui, jouons le jeu Elle a des dispositions car elle descend sa main gauche tout en laissant l’autre sur sa tête, le spectacle est saisissant ; elle se touche le clitoris de façon bien visible et se met à onduler. Son ventre se met à vibrer, elle est au bord de l'orgasme. - Stop

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- Nonnn, dit elle en arrêtant le mouvement mais en laissant sa main - Retire ta main salope - Voilà maître (elle commence à se prendre vraiment au jeu) - Allonge-toi sur le lit, cuisses relevées et ouvertes, bras derrière les genoux, béante - Oh c’est obscène - Obéis, lui dis-je en la giflant doucement - Oui maître La voilà ainsi exposée, ses deux orifices offerts. Je me poste devant et lui ouvre la chatte de trois doigts d’emblée puis je tourne ; elle ondule et gémit de plaisir ; lentement j’y enfonce un quatrième doigt. Contre toute attente elle participe et vient à ma rencontre de plus en plus chaude et c’est petit à petit que l’orifice se dilate. Le pouce intervient et rejoint les autres doigts. Elle manifeste une légère douleur. - Aïe NON NON NON non non ou ou oui Je force d’un coup et ma main est entrée, je la tourne lentement - Aaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhh Un orgasme déchirant. Elle se remet lentement et je retire ma main avec précautions. Elle halète - Mon dieu, dit elle, est-ce que je pourrai encore...? - Que veux-tu dire? - Est ce que je pourrai encore prendre une queue normale - Bien sur c’est infiniment souple ; allez branle moi Elle approche sa bouche ; je lui dis en la giflant une nouvelle fois - J’ai dit branle pas suce Elle se met à me masturber ; elle est très douée. Je gicle sur ma poitrine - Lèche mon jus et avale tout - Oui maître Après qu’elle ait obéi je lui demande : - Alors tu as aimé ? - Oui c’est très excitant de ne plus avoir de volonté - J’aime encore bien pire - Dis-moi - Pinces, fouets, immobilisations, dilatations, voire perçage - Oh non pas ça - C’est toi qui décide mais si tu veux suivre alors tu ne pourras plus reculer - …. - Garde toi plusieurs jours pour réfléchir tu sais - Pas la peine c’est tout réfléchi - Dommage - Tu n’as pas compris - Attends tu veux dire… - Oui j’en ai trop envie mais j’ai très peur - Bien sur comme vous toutes - Tu en connais d’autres ? - Oui une esclave Christine, je vous présenterai - … - Tu as déjà goûté aux femmes? - Non mais je suis attirée dans ma tête par les jolies biches - Ouahhh super, elle a plus d’avance, elle m’aidera à te dresser - Nooooon j’ai peur - Trop tard tu as accepté - Oui Maître - Au fait il y a une question importante, as tu déjà été enculée ? - Oh non j’ai trop peur - Tu dois l’accepter

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- Mon mari essaye mais je refuse - Continue, il ne sera pas le premier, ce sera moi - Ouuhhhh, j’ai peur - Je te montrerai, j’enculerai Christine devant toi - Oui (tout petit oui) Nous nous séparons pour cette soirée. Le lendemain de la soirée Sex shop avec Christine je l’appelle à son bureau : - Ce soir restau avec Christine - … - Tu as entendu ? - Oui - Alors ? - J’y serai - Vingt heures - OK - Robe courte manteau pas de dessous sauf des bas dim up - … - Hello tu m’entends? - Oui - Tu acceptes - Oui maître - Tu verras le jeu sera extraordinaire - Oui, je veux essayer - A demain soir … salope

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4° chapitre

Les deux femelles au restaurant

Vingt heures dans ce grand restaurant parisien où je suis arrivé avec un bon quart d’heure d’avance. Comme d’habitude je suis en complet veston avec cravate ; j’ai commandé un apéritif que je sirote lentement. Marie arrive la première et je l’observe donnant son manteau au vestiaire. Elle apparaît en robe noire très courte et bas fumé ; la robe très moulante laisse deviner l’absence de dessous comme je l’avais exigé ; seules les marques du haut des bas sont visibles. Elle arrive à la table en ondulant légèrement de manière à provoquer mon désir : gagné, je bande rapidement autant par le spectacle que par le constat de son obéissance. - Bonsoir Marie - Bonsoir Patrick - Pardon ?? - Bonsoir mon maître - Assieds-toi - Bien, dit elle en s’exécutant - Je veux que tes fesses soient au contact du tissu de la chaise - Oh …. - Allez obéis - Bien Elle se relève un peu et d’un geste discret remonte l’arrière de sa robe - Tu es prête ? - Oui ? - Obéissance absolue ? - ….oui …. (La voix est presque inaudible) - Plus fort - Oui maître - Tout Elle se redresse, ses seins sont beaux sous le tissu - Oui mon maître - Reste bien droite - Oui bien voilà, je vous offre mes mamelles Christine entre dans le restaurant et dépose son vestiaire ; elle apparaît avec une robe assez ample mais courte ; elle approche tenant un sac assez volumineux - Tu as le matériel Christine - Oui maître bien sur - Tu as obéi à mes ordres de harnachement - Oh ouiiiii maître - Christine je te présente Marie - Bonsoir salope, dit elle d’entrée de jeu - Bonsoir Christine - Appelle moi Madame (nous sommes à une table ronde ; elle a passé lestement sa main sous la jupe de marie et lui a pincé une lèvre de ses ongles acérés.) - Aïe, fait doucement Marie - Tu n’as pas de culotte, c’est parfait ; tu es mon jouet, j’ai une envie folle de te posséder. Tu as déjà gouiné. - Non Madame - Tu vas devoir apprendre ; dis moi que tu as envie de me lécher les trous et le bouton - Oh oui Madame, vous êtes très belle - Tu sais comment je suis parée

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- Non Madame - J’interviens : elle va te le dire mais avant je dois être sûr : tu t’es branlée cette nuit - Oui Maître … avec l’aiguille - Alors ??? - C’est atroce de plaisir, je hurlais, je me suis moi même bâillonnée - Merveilleux Marie regarde apeurée - Tu es inquiète ? - J’ai peur … l’aiguille - Christine, trousse-toi bien sous la nappe ; Marie, fais tomber ta serviette pour regarder Marie met juste un peu trop de temps et se redresse rouge de confusion mais aussi … de désir que l’on sent pointer. - C’est beau, demande Christine ?? - Oh c’est … c’est …terrible…. Aïe (Chris vient de repincer la lèvre encore plus près du clito) - Réponds aux questions - Oui j’aime …j’ai envie de toucher mais ….l’aiguille dans votre clito Madame - Tu auras la même - Nonnnnnnn - Bien sur que si ; allez ne discute pas ; tu as vu ma chatte ouverte - Oui Madame ; oh les pinces ; et puis la chaînette ; qu’est ce que c’est? - Des boules dans ma chatte ; des très grosses ; il faut pouvoir les sortir ; et mes lèvres étirées tu as vu ? - Oui Madame ; oh les objets que j’avais vu dans des films …Oh Madame salope je coule tout mon jus. - Ouiii bien appelle moi Madame Salope j’adore ; mais ce que tu n’as pas vu c’est le plug qui m’est planté au fond du boyau. - Il est gros ? - 5 cm de diamètre sauf plus petit à la base - Ouahhhh Madame salope pas possible, dans votre cul … - Oui et tu vas y goûter aussi - Mon Dieu pitié J’assiste à ce débat surréaliste et hyper excitant ; je suis calme et je laisse la séance se dérouler discrètement et tranquillement. Et puis me vient une idée - Chris, mets lui le gonflable dans la chatte - Marie demande moi de te planter, dit-elle - Allez y Madame Salope mais discrètement s’il vous plait - Bien sur ; regarde sous la table Marie se penche sous la nappe et voit le gode noir qui dans sa forme de base mesure 4 cm de diamètre (déjà une belle queue) et 20 cm de long Elle se redresse et dit - Oh tout cela pour moi ??? Marie écarte les cuisses sur ordre de Chris et celle ci la force discrètement ; seul un petit cri attire l’attention de la table voisine mais Marie se tient droite sans sourciller et les clients reprennent leur repas et leurs discussions. - C’est entré tout seul, me dit Chris, elle est bien ouverte et lubrifiée cette jeune pute ; qui va gonfler la poire maître ? - Toi Chris mais sois sans merci - Ohhhh nonnn (petit cri de Marie) Ainsi, tout au long du repas, Chris gonfle de plus en plus le gode qui a atteint un diamètre de 8 cm dans la moule de Marie qui, elle, se retient de manifester plusieurs orgasmes successifs. En fin de repas, Chris débranche discrètement la poire et referme la valve ; Marie va devoir se déplacer ainsi défoncée.

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Puis Chris regarde Marie droit dans les yeux et s’adresse à moi : - Maître cette nuit j’ai retiré l’aiguille et j’ai pu la remettre, maintenant je voudrais la toucher - Oui salope mais enfonce la de 2 mm en plus ; toi Marie regarde la droit dans les yeux. La main de Christine plonge sous la nappe ; son regard devient vitreux ; elle est en train de manipuler l’aiguille et elle jouit silencieusement. Je gifle cette main sous la nappe. Christine se mord les lèvres pour retenir un hurlement, cela dure plusieurs secondes puis elle se calme et me regarde: - Merci Maître dit elle doucement - Vas y maintenant, branle pour jouir mais laisse deux doigts de ton autre main dedans - J’ai très mal dit elle en manipulant doucement …non…non… attends ….ouhhhhhhhhh - Donne tes doigts à lécher à Marie Elle les tend doucement et Marie timidement hésite - Vas y, suce belle salope, dit elle, ou tire toi en me rendant le gode - Pourquoi êtes vous aussi dure madame salope, dit Marie en léchant les doigts - Tu m’as vue déguster, il faut que je me venge - Ohhhhhh … c’est bon vos doigts Je règle l’addition et je déclare que nous partons mais non sans me permettre un dernier plaisir : - Chris réenfonce la petite aiguille allez vas y - Hummm aie oui c’est bon - Tu es prête salope - Oui Maître mais dites moi, c’est toujours d’accord ? - Quoi donc ? - Je l’utilise, Marie est à moi, enfin à nous - Oui si tu es assez bonne - Humm j’ai envie - C’est bien, à toi Marie dégodes toi, sors le monstre gonflé - Oh je ne peux pas, il faut le diminuer Nous sommes encore assis, je passe la main sous la table et lui pince progressivement mais fortement le clitoris ; elle serre les dents mais ne s’extériorise pas pourtant on dirait … oui elle vient de partir la salope - Tu as joui sans mon ordre ; Chris se chargera de te le faire payer. Tu vas donc garder l’objet mais ce n’est pas le meilleur choix que tu as fait. Allez debout mes putes ; vestiaire …. Nous prenons un taxi et nous nous rendons au Novotel où j’ai personnellement une chambre.

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5° chapitre Deuxième partie de soirée très hard

Nous arrivons à la chambre et j’ordonne à mes deux esclaves de retirer les manteaux et les robes ; elles s’exécutent et rangent précautionneusement dans la penderie. Marie est donc nue en bas autofixants Christine apparaît dans son corset avec son harnachement de plaisir. Les bracelets de ses cuisses tendent merveilleusement ses petites lèvres où sont attachées les chaînettes ; le clitoris est bien dressé et l’aiguille est atrocement visible, plantée, dressée, obscène ; elle a le bout des tétons pris dans des pinces très serrées ; ses mamelles sont un ensemble merveilleux ; la chaînette des boules de geisha sort de sa chatte et pend entre ses cuisses Je lui ordonne de se tenir droite cuisses béantes et précise pour Marie: - Sors lui les boules salope ; sans pitié Marie s’accroupit bien ouverte et prend doucement la chaînette puis elle tire. Elle se reprend, lâche la chaînette et donne un coup sur l’aiguille pour la mettre en vibration ; certes que cette femelle a de la disposition. Christine réagit, se cambre d’un coup tout en restant écartée et jouit dans un long feulement. Elle se calme lentement, reste béante, se penche vers l’avant et gifle Marie avec force; trois claques qui font aller et venir sa tête. - Qui t’a permis demande Christine - Merci madame salope réplique tendrement Marie - Hummm que ça va être bon de te dérouiller - J’interviens : tire la chaînette doucement et jusqu’au bout ; en même temps tu soulèveras l’aiguille … voilà comme ça … plus haut Marie toujours accroupie s’exécute et les boules apparaissent doucement de sa chatte tenue béante par les chaînettes d’écartement. En même temps, je me suis emparé de la cravache et j’inflige trois coups sur les fesses de Christine qui « subit » un nouvel orgasme. - Comme votre chatte est belle Madame Salope dit Marie - Tu veux lécher ma chienne ? - Oui ouiiiiiii - Plus tard chienne …. Apprends à attendre mais nettoie mes boules avec ta langue - Humm dit Marie en se délectant de son léchage, c’est bon ; c’est la première fois que j’y goûte ; à part le mien bien sur… - Tu as l’habitude de te branler et de sucer tes doigts - Oui Maître … j’aime - Relève-toi dit Christine Puis elle se penche en avant ; j’ordonne à Marie de passer derrière Christine et elle voit la base du plug couvrant son cul - Oh Madame salope … oh ma future dresseuse … oh votre cul défoncé Je prends Marie par les cheveux et lui approche le visage du cul de Christine - Vas-y décule là … d’un coup (mon ordre s’accompagne de deux coups de cravache sur les fesses de Marie. - Vas y je suis propre surenchérit Christine - Pardon ? - Oui, je me suis lavé l’intérieur comme tu vas le faire bientôt - Oh… - Allons dis je Marie prend son courage à deux mains puis ses yeux s’illuminent ; elle sort l’objet d’un coup comme si elle voulait fournit des arguments à la future cruauté de Chris

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- Aïe réagit Chris dont le cul apparaît béant, ouvert, accueillant - Marie as tu déjà assisté à un enculage - Non Maître - Tu es prête ? - Oui Maître, la réponse est un souffle - Plus fort salope - Oui Maître, enculez madame pour moi ; cette fois elle a crié - Christine penche toi et ouvre toi bien. Marie déshabille moi Marie obéit et me met nu, ses maladresses sont ponctuées de gifles et de petits coups de cravache sur les seins qu’elle accepte en gémissant. Je suis à présent nu, queue bandée et j’ordonne à Marie de me sucer ce qu’elle fait en profondeur. Marie sera très bonne, elle a déjà intégré cette caresse de gorge profonde. - Vas-y mets toi dessous et regarde Elle s’agenouille sous mes couilles tandis que je perfore la rondelle de Christine … à fond … lentement mais avec force. J’attrape les mamelles torturées de Christine par derrière et je les tords tout en la pistonnant au cul …Marie m’aspire doucement mes couilles …Chris hurle de jouissance puis se calme. Je décule ma queue propre et la donne à sucer à Marie qui s’y prête avec plaisir. - Allez Christine vas nettoyer Marie dans la salle de bains Je lui donne une poire adaptée et les regarde s’enfermer. Pendant les quatre ou cinq minutes que dure l’opération, j’entends quelques cris de Marie et quelques gifles de Christine. Enfin, elles reviennent ; je m’adresse à Christine - Elle est propre ? - Oui parfaite mais serrée oh la la - Génial, je suis dans un état d’excitation terrible… c’est vraiment un début Marie? - Oui Maître, je n’ai jamais été enculée - Même au doigt ? - Même au doigt - Tu es prête à subir ma queue ? - J’ai peur Maître … Nonnn pitié Christine passe devant elle et lui cravache quatre coups les seins. Elle la retourne et la penche en avant par les cheveux ; je suis dans la bonne position et je vois le trou serré et le gode gonflable toujours en place dans la chatte béante. Sur mon ordre, Christine le sort d’un coup provoquant un long feulement de Marie et une ondulation de ses fesses. Sa chatte apparaît monstrueusement ouverte et l’anneau n’en est que plus serré. - Alors prête ? - Oui Maître - Mieux que cela - Oui maître sodomisez moi - Sois plus salope ; Christine la gifle et tire très fort sur ses cheveux ; la bouche de Marie est quasiment au niveau de la chatte béante de Christine - Oui Maître, enculez moi Christine lui a nettoyé le cul mais l’a également lubrifié ; je présente ma queue. Christine la maintient immobile. Elle crie mais je m’enfonce inexorablement puis je pistonne lentement. Le fourreau ultra serré me conduit très haut dans le désir et je me retire pour résister. Le boyau se referme instantanément ; il faudra encore de l’entraînement. Christine lui caresse le visage tandis que je rentre de nouveau ma queue à fond mais beaucoup plus sauvagement.

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- Ouuuuuaaaaahahhhhhhh aïe aïïïï ou ou ou ; oh Maître ; oh non ; mon cul est déchiré - Mais non, ce n’est pas possible allez offre toi - Voilà oh oh oh (elle s’écarte les fesses) - Vas y détends toi, dit Christine, tu vas jouir du cul Marie se détend lentement puis vient à la rencontre de ma queue ; elle se branle fortement le clitoris et elle part dans un orgasme déjanté et exceptionnel. Je décule et la fait accroupir toujours bien ouverte sa chatte présentée, béante, obscène. Je l’embouche sous le regard excité de Christine et je jouis rapidement et abondamment dans sa bouche - N’avale pas, vas embrasser Christine - Pour la première fois dit cette dernière Quel merveilleux spectacle que de voir ces deux femmes s’embrasser à pleine bouche et échanger le sperme de l’amant ; elles aiment cela toutes les deux et je rebande instantanément. Je m’installe dans un fauteuil et, me branlant doucement, je déclare : - Debout Christine, j’ai envie de te dérouiller avant le clou du spectacle. Présente toi de face, mamelles et chatte Je me lève également la cravache de cuir à la main - Marie vient me branler doucement pendant que je la corrige accroupie, voilà, c’est bien. Mains sur la tête Christine Dès que le tableau est en place, je cravache doucement d’abord puis cruellement les mamelles torturées de Christine ; elle crie et gémit mais ne bouge pas. Marie est excitée et s’affaire sur ma queue à me faire partir. - Attention Marie, si tu mes fais gicler je te rase la tête et te renvoie nue chez toi Elle se calme et je me détends ; je reprends ma correction de plus belle ; les marques s’impriment. Puis j’abandonne les seins et je cravache la chatte écartelée de bas en haut atteignant chaque fois l’aiguille de plaisir. Christine déroule alors des orgasmes consécutifs et hurle sans discontinuer. J’arrête et me remets assis dans le fauteuil : - Vas y Christine, elle est à toi, dresse là, étonne moi

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6° chapitre Christine dresse Marie avec moi

Christine me dit qu’elle va aller progressivement mais très loin avec ma permission - Oui bien sur ; elle doit savoir maintenant - Dommage qu’on ne puisse pas faire de marque, dit Chris - Je peux demander à son mari - Nonnnnnn pas ça - Ok c’est bon pour cette fois - Tu vas être ma femelle Marie - Oui Madame - Acceptes-tu ? - Oui madame … allez y … à fond …je …je …suis …votre pute - Non pas encore mais tu vas le devenir ; Je vais t’habiller - M’habiller ? - Oui à peu près comme moi - Ah. oh Christine ouvre son sac puis sort divers objets comme un collier de cuir, quatre bracelets de taille poignets chevilles ; deux bracelets de type cuisses ; le tout avec des anneaux. Elle sort également des pinces à seins et à chattes équipées de chaînettes et d’anneaux ; enfin un corset et trois aiguilles d’acupuncture…. La scène est atrocement excitante pour moi ; Christine prête à tout et Marie apeurée mais tellement excitée - Tout est pour moi ? - Oui salope ; allez debout et droite Elle lui installe le collier pas trop serré et fixe à ses anneaux deux chaînettes terminées par des pinces qu’elle serre sur les tétons. Marie grimace légèrement mais subit sans se rebeller et en me regardant avec une forme de tendresse. Chris tend les chaînettes ; le spectacle est superbe. Puis elle met les quatre bracelets aux chevilles et aux poignets ; ça c’est sans douleur. Pour l’étape suivante elle place les deux bracelets du haut des cuisses et demande : - Tu as déjà été ouverte avec des pinces ? - Non Madame - Ecarte bien tes cuisses. Christine attache les pinces aux petites lèvres et tend les chaînettes ; Marie est béante comme elle même ; elle gémit doucement, les pinces lui font mal aux nymphes. Chris lui caresse doucement le clito et ses yeux s’illuminent ; elle est bien. Enfin et pour terminer cette première opération, Christine lui met un corset identique au sien et la conduit devant une glace en pieds. - Je suis belle et offerte, dit Marie - Oui nous sommes presque identiquement parées à deux détails près - Lesquels ? - Le plug et les aiguilles - Mais madame, quel plug, vous n’en avez pas. - Si salope regarde Christine prend le plug et s’encule d’un coup ; dans ses yeux passe une lueur de plaisir. Marie regarde apeurée Christine qui exhibe de son sac un second plug identique. - C’est trop gros pour moi - Mais non, allez prends et enfonce le jusqu’à la garde Marie commence souffle, pousse mais n’y parvient pas

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- Penche-toi vers l’avant Elle obéit et Chris lui enfonce l’objet lentement, inexorablement ; Marie crie de douleur ; le plus large est passé ; elle se calme. Voilà l’objet est en place et Marie se redresse. - C’est bon ? - Oui madame, je suis bien enculée - Les aiguilles à présent, dit Christine tout en manipulant la sienne et en se tirant un orgasme Je me dis qu’il faudra que je la corrige pour cela mais pour l’instant laissons faire et regardons. - Oh pitié Madame - Tu dois t’en remettre à moi - Oh oh oui - Allonge-toi sur le lit ma pute, dit Chris en lui tirant les pinces des seins Marie grimace - Oui Madame - Il faut que je t’immobilise - Je vais avoir mal - Bien sur - Oh non - Allez vas y allonge toi. Marie obéit une lueur de terreur dans les yeux. Christine lui ordonne de relever les cuisses et de passer les bras derrière les genoux. Ainsi placée, elle lui attache les poignets derrière la nuque. Marie souffre un peu de la tension se ses lèvres mais elle est magnifique ainsi offerte. Christine lui suce le clitoris et la fait jouir très rapidement ; Marie se lâche et se calme. Chris prend la cravache et la fouette pleine chatte ; le clito n’est pas épargné ; Marie hurle et tente de bouger pour échapper à ce traitement cruel. Marie s’adresse à moi : - Maître elle coule, vous ne vous êtes pas trompé, elle aime - Ouiiiiiiii salauds, hurle Marie - Ne nous insulte pas, dit Chris en redoublant ses coups sur sa chatte - Pardon Madame Chris reprend le clito en bouche et l’aspire ; le second orgasme de Marie est absolument ravageur et, après, son clito reste dressé et décalotté. Christine lui enfonce trois doigts dans la chatte puis lui fait lécher son propre jus - Tu aimes - Oh oui Madame mais …. - Mais quoi ma chienne - Je voudrais boire le vôtre - Tout à l’heure biche tout à l’heure Marie voit Chris prendre une aiguille d’acupuncteur et s’approcher, ses yeux sont remplis de terreur - Madame, n’abîmez pas mon clito, je veux encore jouir - Ne sois donc pas sotte Chris se penche sur Marie immobilisée et décalotte le bouton au plus loin; malgré sa peur, le plaisir de Marie s’exprime. Chris approche l’aiguille et l’enfonce lentement dans le clitoris au niveau du capuchon ; un deux trois quatre millimètres… Marie gémit de longues plaintes mais sa chatte coule abondamment. Christine retire sa propre aiguille puis s’allonge sur le paquet béant que forme Marie ; seins contre seins, mamelles pincées contre mamelles pincées ; les deux chattes béantes; clito libéré contre clito percé de l’aiguille ; elle l’embrasse à pleine bouche et ondule du bassin afin de travailler l’aiguille. D’où je suis je vois le trou de Marie qui coule abondamment … elle jouit comme jamais et ne lâche plus la bouche de Christine. Celle si se relève et vient se plaquer la chatte sur la bouche de Marie.

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- Dedans la langue - Hummmm hummmmm - Elle est bonne, ouiii vas y salope bien dedans Christine se penche un peu en avant tout en gardant sa chatte à portée de bouche de Marie qui ne peut bouger ; elle s’empare de l’aiguille et la force à pénétrer plus avant de plusieurs millimètres. Marie hurle et vibre mais n’abandonne pas Christine qui lui jouit en abondance sur la langue. Elle se redresse et va embrasser Marie à pleine bouche puis lui dit : - Humm tu sens bon mon jus - Oui madame, il est bon - Je vais continuer ma belle Elle détache Marie tout en lui laissant les divers colliers et bracelets (y compris l’ouverture de sa chatte avec les chaînettes et les bracelets des cuisses). Elle laisse également l’aiguille et le plug. Marie redevient simplement libre de ses mouvements. Christine approche et l'embrasse de nouveau puis lui ordonne de sortir la langue ; Marie obéit puis Christine lui prend le bout entre les dents et tout en la maintenant par les cheveux, elle tire vers l’arrière. Spectacle hyper jouissif où Marie apparaît comme si Chris allait lui déchirer la langue. Puis Christine la lâche, lui pose une jolie laisse et l'entraîne dans la salle de bains devant une grande glace en pieds. - Regarde comme tu es belle, lui dit Christine debout à ses côtés et regardant dans le même miroir ; il faut que tu sois douce maintenant - viens suis moi Elle la reconduit dans la chambre et s'installe dans un fauteuil cuisses béantes sur les accoudoirs, effet accentué par les pinces et les chaînettes; bon sang que cette femme est belle sa chatte rose est béante - Son petit cul est forcé par le plug, elle est super excitée, elle suinte. - Mets toi à quatre pattes, bouche devant ma chatte - fesses bien cambrées - cul présenté Marie s'installe ; Christine lui prend les cheveux et approche son visage de sa chatte, elle ordonne : - Clito ...aspire avec les lèvres ouiiiii biennn vas yyyy Christine se retient comme une chienne ; elle lui tient fermement la bouche à quelques centimètres du sexe ; on voit le clito tendu par les lèvres serrées de Marie Christine coule abondamment et se lâche : - Putain .... salope ..... - Ooui madame dit Marie mais ce faisant elle lâche le clito ce qui exaspère - Eh bien qui t'a permis de me lâcher - Pardon Madame dit elle en se rapprochant Christine la redresse et la regarde dans les yeux durement elle lui tient le collier et lui caresse la joue, ses doigts s'insinuent dans la bouche qui s'ouvre pour les lécher - Qui t'a autorisée - J'ai fauté Madame - Oui, murmure sourdement Christine en retirant ses doigts et en la giflant durement - Merci Madame pardon - Vas y refais moi partir à présent Marie retend le clito de Christine qui ne peut plus résister, elle jouit et redresse Marie pour bien la regarder amoureusement - Tu es un beau jouet, dit-elle - Ohhhh ....ouiiii - Maître, rendez la jalouse cette esclave - Comment ?

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Christine se redresse et se lève de son fauteuil - Asseyez vous Maître, me dit elle, ce que je fais queue dressée et excité à fond. Christine me tourne le dos, se décule le plug d’un coup, sans gémir ; elle se recule et dit: - Regarde Marie regarde de tout près ; allez y Maître guidez votre queue pendant que je m'assieds ... au petit…dans le cul…à fond - Tu veux que je t'encule ? - Oui, dit elle je ne l'ai fait que deux fois avec vous et jamais avec personne d’autre Je la vois à présent de dos penchée en avant le cul bien ouvert en train de fléchir les jambes ; je la retiens - J'y vais à sec, dis je - Oui ce n'est pas sec j'ai envie ... défoncez, ne me laissez pas réfléchir Elle se fléchit encore davantage et son petit cul touche mon gland ; je la saisis aux hanches et je l'assieds d'un coup ; ça rentre facilement mais elle crie cependant ; un mélange de douleur et de plaisir. - Ahhhhh ouiiiiii ..... Enculée que je suis ; avance Marie regarde et plante moi trois doigts dans la fouche branle la queue à travers mes parois ;;;ouiii comme cela Marie n’a jamais fait cela mais elle improvise divinement et finit par forcer les trois doigts dans la chatte béante de Christine. Celle ci monte et descend avec un rythme lent mais des mouvements amples ; je sens à travers les parois, les doigts de Marie dans sa moule noyée de plaisir ; Christine s'adresse à elle : - Ca t'excite hein ; tu es jalouse de me voir enculée Marie la regarde droit dans les yeux et la force de ses doigts, elle en a mis quatre à présent elle va y pénétrer le pouce et le poignet ; oui ça y est elle la défonce, elle a mis sa main entière - J'aime vous voir jouir Madame, dit Marie, je suis votre chose ; allez y prenez dans le cul Je ne résiste plus, je me vide et Christine hurle de joie puis je la décule. Nous nous détendons et allons ordonner à Marie de se tenir en position que nous qualifions d'inspection : debout bien écartée mains derrière la tête ; interdiction de bouger ; nous passons devant Marie et nous la caressons ; ce supplice de plaisir lui est insupportable ; elle gémit ce qui nous excite encore plus. Christine lui demande : - Es-tu encore en état de servir ? - Ohhh ce mot ...oh oh ...non - Dommage parce que nous t'aurions offert d'autres jouets - Lesquels ?????? - Ah, dit Christine, il faut être en état - J'accepte - Tu es encore utilisable ? Par les trois trous ? - Oui je veux par le trou que Madame veut - Bien, tu es vraiment très douée - Accroupie et ouverte salope, Christine relie à présent les bracelets derrière la nuque et me tend la laisse. Marie se met en position et je m'approche, Christine est derrière elle et lui dit : - Embouche-le à fond Elle s'exécute et je la défonce à fond de gorge. La sensation est sublime Elle a du mal mais elle s’applique ; Christine se place derrière elle également accroupie et lui manipule l’aiguille ; Marie vibre et suce de mieux en mieux ; presque plus profond si c’était possible. Christine relève Marie et la fait demeurer bien debout ouverte et cambrée. Avec sa chatte béante et ses mains derrière la nuque elle est vraiment offerte. Je m'assieds monstrueusement bandé ; j’attends la suite. - Vous permettez maître, demande Christine ? - Oui étonne moi

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Christine se munit d’un gode vibrant assez volumineux qu’elle s’installe dans la chatte puis elle se plug le cul en hurlant : - Maître, la vibration se communiquera aux deux trous ; pute prépares toi à déguster durement - Superbe, dis-je mais tu ne pourras jouir qu’avec mon ordre - Bien Maître dit Christine Elle se munit d’un fouet formé d’une fine tresse de cuir de deux mètres de long terminé par un manche gode. - Tu es prête chienne - Oui madame, dit Marie en cambrant bien ses mamelles pincées et sa chatte béante Christine démarre la correction cruellement ; coup après coup, Marie crie un peu plus fort ; sa tourmenteuse se plait à lui dérouiller les mamelles et le trou où l’aiguille toujours plantée fait ses ravages. Puis Chris démarre le gode vibrant et son visage devient torturé par la résistance au plaisir. Elle n’a pas oublié qu’il lui faut attendre mon bon plaisir. Le spectacle est absolument fascinant ; on dirait que Christine se branle par torture interposée. Je résiste difficilement. Ma queue est obscène, bandée. Marie continue à s’offrir ; les coups claquent de plus en plus précis - Compte les dit Christine - Oui 1…2 …3 .. 4 … - Non détaille - Oui madame…mamelles 2…. Trou 2…trou 3…trou 4 … mamelles 3 … nonnnnnn trou 5 Le dernier coup sur la chatte fut très cruel - Feu vert, dis-je Christine lâche son fouet et ordonne à Marie de s’accroupir pour la sucer ; elle se dégode et fait boire son jus à son esclave dans un délire de jouissance. Je m’assieds dans un fauteuil ; sur mon ordre, Marie se met à quatre pattes devant moi et Christine lui place la bouche sur ma queue ; elle s’embouche à fond et je lui ordonne de ne pas bouger et de se contenter de caresser mes couilles. Christine passe derrière elle et lui manipule l’aiguille ; je ne peux plus me retenir et me vide dans la gorge de Marie. - hummmmmmm aaarrrrggghhh merci, c'est bon dit elle Christine présente alors à Marie ne sorte de calculette, c’est, en fait un jeu, il faut appuyer sur le bouton rouge et un chiffre de 1 à 20 apparaît. - Joue, dit elle à Marie Marie joue et tombe sur le 8 - Résultat : nous allons convoquer 8 mâles pour te combler - Nonnnnnnn ca va être trop dur - Tu ne peux résister ; tu es prête ? - ....non, enfin oui 0oui OUIIIIII

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7° chapitre Marie est offerte à huit hommes

Je remets marie debout et je lui demande son absolu consentement - Comment est ce que cela va se passer demande t elle ? - Nous allons aller dans une sorte de club équipé et tu seras mise à disposition de 8 hommes de ce club - Oh nonnnn ; je suis si inquiète - Alors va t en et ne reviens plus - Pas ça non, je veux continuer avec vous Maître et avec Madame - Alors acceptes vraiment, dit Christine - …. Christine lui gifle durement ses mamelles pincées - Alors - Oui - Sois plus précise, dis-je durement Elle se cambre et écarte ses cuisses au maxi puis elle tend les chaînettes en amenant sa chatte à la limite du déchirement. - Oui Maître, Oui Madame, des queues dans ma bouche et dans mon con, dans mon cul aussi ; des inconnus ; oui je veux souffrir et tremper ma moule. Elle a basculé ; elle est superbe. Christine se met accroupie et lui force la main entière d’un seul coup, brutalement, cruellement… Orgasme …hurlement … Christine la défisse d’un coup … nouveau hurlement - Merci madame Je leur ordonne à toutes deux de rester harnachées avec les colliers et les bracelets ainsi que les dispositifs ouvre chattes. Enfin je les invite à se pluger mutuellement et à se placer des boules également mutuellement. Elles s’exécutent de concert et grimacent car je leur ai présenté des objets plus gros qu’en début de soirée. Enfin elles sont prêtes ; pour mon compte, je me suis remis en costume de ville. Pour le plaisir je prends la cravache et les fais placer dos à dos, seins bien droits. Je frappe dix coups terribles sur chacune d’elles en plein sur les mamelles; ainsi, mes deux chiennes sont marquées et leur condition ne fera aucun doute Je vérifie la bonne pénétration des aiguilles clitoridiennes puis leur donne à chacune une cape, blanche pour Christine, noire pour Marie. Les capes s’attachent par devant au cou mais si on ne les tient pas fermées, elles s’ouvrent en marchant dévoilant tout. Pour le trajet, je les place à l’arrière de la voiture et leur demande de se torturer mutuellement les aiguilles Christine surtout est cruelle et dérouille le clito de Marie qui manifestement aime cela et le rend bien à sa tortionnaire. Ainsi, le trajet dure 30 minutes de gémissements et de jouissances. A l’arrivée je les fais descendre dans le parc de la propriété et les conduis toutes deux en laisse à la porte du manoir. Les capes sont ouvertes dévoilant l’obscénité des tenues. Sur mon ordre elles les ouvrent au maximum et se tiennent debout cuisses bien écartées devant la lourde porte ; côte à côte et face à la porte. - Vous avez peur ? - Oui disent Marie et Christine de concert - Ecartez bien les chattes et cambrez les mamelles Elles s’exécutent et, muni de ma cravache, je me place derrière elles. J’alterne les coups sur chacun des deux dos. Par devant les marques des coups sur les seins sont bien visibles et très excitantes.

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J’ordonne de sonner et, la plus proche de la sonnette, Christine, obéit. Puis elle reprend la position d’offrande. Après quelques secondes, la porte s’ouvre et apparaît un homme dans une tenue incroyable : veste spencer à queue de pie, plastron et nœud papillon pour le haut ; bottes de cuir et fin serre couilles de cuir noir pour le bas. Ainsi ses couilles sont un peu serrées et bien tendues sous sa queue, dressée, énorme ; je suis impressionné et les femelles aussi. Le visage est couvert d’un masque mais je reconnais cet homme. - Bonjour Marc, c’est toi qui ouvre ce soir - Oui Patrick mais dis moi, elles sont superbes ; entrez dans le vestibule que je referme la porte et que nous soyons tranquilles. - Je te présente Marie qui est le jouet et Christine qui est l’accompagnatrice du jouet - Dressées ? - En cours, elles vont encore apprendre ce soir - Calibrées ? - En cours également, tu vas aimer les culs qui sont encore serrés - Bien, présentez vous dit Marc Elles doivent alors réciter ce que je leur ai appris - Bonjour seigneur Mâle, je suis Marie le jouet ; j’ai tiré un huit ; je suis venue offrir mes trous mon plaisir et ma souffrances ; je suis ce soir l’esclave des propriétaires des queues qui tireront le bon numéro ; je serai embouchée, enchattée, enculée, pincée, fouettée, arrosée du jus des huit mâles gagnants ; oui je le désire. - Assez bien salope dit Marc, retire ta cape et mets toi en position de dressage debout Elle retire sa cape et se cambre seins offerts tout en écartant ses cuisses et en présentant sa vulve torturée. - Voilà seigneur Marc, votre jouet est en position de dressage debout - Regarde ma queue dressée dit Marc et toi, Accompagnatrice, tu la prends par les cheveux et ta tiens bien en arrière Christine obéit les yeux luisant de plaisir ; Marc prend une cravache dans un porte cannes et, tout en se caressant la queue de l’autre main, commence à frapper durement - Compte salope, dit-il - Mamelles 1 ….mamelles 2 ….mamellllllleeesss 3….ahhh …. Trous 1 ….trous aggggrrrrhhh nonnnnnnnnnnn Le coup a cinglé de bas en haut portant la souffrance en pleine chatte ouverte et faisant durement vibrer l’aiguille du clito. - C’est très excitant ces aiguilles, dit Marc ; elles sont très fines et ne peuvent blesser ; par contre pour le plaisir et la douleur c’est génial. A toi accompagnatrice, libère le jouet de ses garnitures internes mais surtout sans précautions sinon tu dégusteras aussi. Christine s’agenouille devant Marie et la fait écarter ses cuisses à la limite de l’équilibre après lui avoir attaché les bracelets dans le dos. Marc passe derrière et la tient par les cheveux tout en frottant vicieusement sa grosse queue sur les fesses de l’esclave qui ondule de désir ce qui lui donne un prétexte pour la gifler aux seins par derrière - Immobile putain de jouet - Oui oui seigneur Marc Pendant ce temps, Christine contemple la chatte ouverte et tendue de Marie ; elle tend encore les réglages des chaînettes et Marie gémit mais cette fois sans bouger. Puis Christine prend à la main la cordelette qui pend de la chatte de l’esclave, elle l’enroule doucement autour de son poignet et tend. Marie est excitée à fond et gémit de plus en plus fort. Christine regarde tour à tour d’un regard fou de désir puis se concentre sur Marie et tire d’un seul coup tout en donnant un coup appuyé sur l’aiguille. Les deux grosses boules sortent d’un coup et Marie hurle un orgasme dévastateur mêlé de souffrance. Elle se calme doucement mais avec difficulté. - Enfonce ta main salope d’accompagnatrice - Oui Maître Patrick

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Elle fiste d’un coup Marie qui ne sait plus contenir son plaisir et ondule tout en étant maintenue par Marc qui lui torture la mamelle gauche - Sors ta main - Oui Maître, dit Christine en sortant d’un coup son poing fermé de la chatte de l’esclave Nouveau gémissement de Marie puis Christine se suce doucement et vicieusement sa main - Humm tu as tellement bon goût pute - Décule la ordonne Marc - Nonn pas si vite que devant supplie Marie que je fais pencher en avant afin que la base du plug soit bien visible Christine prend la base et décule d’un coup Marie qui hurle de nouveau ; son trou est béant et Marc l’encule d’un coup. - Ouiiiiiii ouiiiii défoncez moi - Tais toi salope - Ohhhhh ahhh Marc décule et passe devant pour se faire sucer ; Marie l’embouche à fond et le masse avec son fond de gorge. - C’est incroyable ce qu’elle est douée dit il en se retirant pour se vider largement sur son visage - Accompagnatrice lave la de ta langue, dit Marc Exécution immédiate de Christine qui accomplit sa tâche avec délectation puis les deux femelles s’embrassent à fond de langue… spectacle divin !!!! Nous accompagnons Marc dans une grande salle bien éclairée autour de laquelle se trouve un pilori et dont l’un des murs, en face du pilori, est tapissé de deux grands écrans sur lesquels, actuellement, seule une lumière apparaît. Sur un signe de Marc, j’ordonne à Christine de conduire Marie au Pilori et leur intime le désir d’attendre. L’accompagnatrice aux trous garnis tient en laisse le jouet vide mais écartelé. 7 hommes d’apparence jeune (entre trente et quarante ans) pénètrent dans la pièce ; ils ont tous la même tenue que Marc (qui est le huitième) c’est à dire cravate queue de pie en haut ; bottes serre couilles et queues dressées pour le bas. Tous portent un masque. J’ordonne le début des festivités et Christine installe Marie sur le pilori ; cet objet est vraiment fait pour cela car Marie est jambes tendues et écartées debout ses deux trous à la hauteur des queues mais aussi le tronc plié à la perpendiculaire mettant sa bouche également à hauteur des queues. Les orifices du pilori l’immobilisent entièrement mais en revanche, ils sont assez confortables pour que toutes les parties de son corps soient posées afin qu’elle ne fatigue pas. Marc approche derrière et retire les pinces des lèvres tout en les laissant pendre après les bracelets qui sont en haut des cuisses. Enfin il passe devant et fait de même avec les tétons laissant pendre les chaînettes au collier. Si deux hommes sont à l’écart et si Marc semble rassasié pour le moment, les cinq hommes restant approchent et se soulagent dans Marie le jouet ne pensant qu’à leur plaisir ; Marie subit des orgasmes quasi permanents et sur notre demande répète comme une litanie entre deux pipes : - Oui mes Maîtres, dérouillez moi, utilisez moi comme un récipient ; je suis votre vide couilles, j’aime, oui j’aime, oui dans la gueule aussi ohhh ohhh oui dans le cul … Une fois cette farandole terminée l’un des deux hommes restés à l’écart approche avec une queue bandée à craquer. Il embouche durement Marie et se démasque. Il s’agit de Christian l’époux de Marie - Oh non Christian nonnnn pardon pitié non laissez moi je veux partir

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- Ne demande pas pardon car tu m’as fait un plaisir immense et ne demande pas pitié car tu n’en as pas besoin et je ne veux pas t’en donner… regarde…allez Christine viens me sucer. L’accompagnatrice obéit et suce Christian à fond ; ce dernier jouit et dit - Allez Christine n’avale pas, va partager avec Marie. Une fois ce profond baiser échangé, Christian indique : - Pour plus de plaisir pour que tu sois plus à moi, j’ai décidé de te faire percer Marie est paniquée mais sa sensualité est la plus forte - Oh j’ai peur ! - Tu n’as que deux choix : accepter ou disparaître à jamais - Ouiii Christian…j’accepte

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8° chapitre Marie se fait percer les seins et les lèvres

Sur un geste de Christian, le dernier des huit mâles bandé et harnaché, approche de Marie et lui ordonne: - Ouvre ta bouche apprentie salope, je suis le perceur ! Marie obéit et il s’enfonce dans sa bouche juste le bout de queue ; il jouit rapidement et sa queue débande doucement. Marie avale le jus avec délectation toujours en position sur le pilori. Sur mon ordre, Christine la détache amoureusement et la redresse ; Marie regarde fièrement tous les présents : moi même, l’accompagnatrice Christine, Marc, Christian, le perceur et les cinq autres mâles de nouveau bandés au maximum. Les mâles déménagent doucement le pilori dans une autre pièce et apportent deux croix en X verticales sur lesquelles (aux extrémités des branches) sont placés des anneaux qui vont permettre d’attacher les bracelets des poignets et des chevilles. Marie se tient debout ouverte et cambrée ; à son collier pendent les chaînettes et les pinces des tétons; à ses bracelets de cuisses pendent les chaînettes et les pinces des petites lèvres. Elle est en attente mais elle est prête, excitée, heureuse bien qu’un peu inquiète. L’un des mâles approche devant elle et la pénètre sans précautions ; il ne s’occupe pas de son plaisir et jouit immédiatement ; il s’éloigne ensuite et explique : « elle est un peu pleine, ce sera mieux ! » Marc, rebandé comme jamais, sort et revient avec en laisse une magnifique femelle. Trente ans, grande, brune, gros seins, chatte rasée, en « corset porte mamelles » très serré et portant anneaux disposés classiquement : · Deux aux tétons de 3 cm de diamètre · Deux identiques au milieu des grandes lèvres · Deux plus petits (un cm de diamètre) aux petites lèvres · Un identique au capuchon du clitoris Elle porte également quatre bracelets Elle se tient debout comme Marie et assez proche ; Marie qui a peur mais ne bouge pas. - Voilà Sophie, chienne annelée, dressée, ouverte dit Marc ; elle est à vous si vous le souhaitez bien entendu. Je sors ma queue et oblige Sophie à se pencher en avant ; elle obéit et je l’encule à sec ; bon sang qu’elle est souple ; son fourreau me masse la queue et, tandis que je la torture avec les anneaux des petites lèvres que je tors cruellement je me vide rapidement devant le jouet et l’accompagnatrice ; Sophie crie et les deux autres chiennes me regardent avec une certaine jalousie. Marc conduit Sophie à l’une des deux croix qui se font face (ainsi les deux femelles pourront se voir) et l’y installe en attachant ses quatre bracelets aux extrémités de l’instrument. Il s’installe devant avec une cravache et lui marque durement les mamelles et les cuisses mais aussi la chatte. Sophie crie de douleur mais tout le monde peut constater qu’elle coule. Un ordre de Christian et Marie va s’agenouiller afin de sucer le con de Sophie. Celle ci se tend et jouit dans de longs feulements. Marie avale sa mouille puis, avec notre permission, elle se redresse et l’embrasse à pleine bouche. J’ordonne alors à l’accompagnatrice de la flageller durement sur les fesses. Le tableau est terriblement chaud : Marie qui embrasse Sophie amoureusement et se fait fouetter durement par Christine ; les trois femelles sont à point. Marc ordonne au jouet Marie et à l’accompagnatrice Christine de se tenir à distance de deux mètres de Sophie, debout, côte à côte, la regardant et se branlant mutuellement les anus avec les doigts.

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Il approche alors et retire les anneaux des mamelles pour les remplacer par des petits objets coniques en métal; de trois cm de long. La base ronde est alors posée sur le sein en entoure le téton, la petite barre supérieure traverse le perçage du sein et l’ensemble du dispositif tient le téton étiré vers l’extérieur. Ensuite, l’un des deux écrans s’allume montrant en très gros plan ce téton étiré au maximum. Sophie gémit, les yeux de Marie s’allument. Christian passe derrière elle la fait ployer et l’encule très profondément, cruellement, en lui disant : - Regarde la bien, ça va être ton tour… - Merci mon époux et seigneur ; encule moi fort ; punis moi de ce que je n’avais jamais accepté ; oh oui, vas y tire moi je suis ta pute. - Non chienne je vais te faire attendre et, bien sur, Christian décule Marc s’accroupit et se trouve à hauteur de la chatte de Sophie ; il est muni d’une tigette de vingt centimètres de long, légèrement courbe ; l’objet est terminé par deux petits mousquetons qu’il attache aux anneaux des petites lèvres afin de la maintenir béante, son trou de plaisir grand ouvert. Ensuite il se munit d’une tige articulée terminée par un poids de 300 g qu’il passe derrière la tige écarteuse de chatte et qu’il attache à l’anneau du clitoris. Quel spectacle obscène et magnifique : le trou immensément ouvert (20 cm) et le clitoris distendu au maximum sous l’effet du poids démesuré pour ce petit organe. L’écran nous monte tout cela en gros plan. - Elle doit atrocement souffrir dit Marie - Mais non pauvre pute hurle Sophie, tu verras, c’est très jouissif Sophie ayant parlé sans autorisation reçoit un coup de cravache sur le ventre qui fait remuer le poids et atteint les chairs souples ; elle se soumet docilement au silence imposé. La croix sur laquelle est attachée Sophie permet par construction de prendre l’esclave au cul. Christian passe derrière en ordonnant à l’accompagnatrice Christine de le branler aux couilles et s’adressant à l’esclave percée : - Vas y chienne à trous, demande - Oui Maître ouiiii ouvrez moi le cul ; faites moi vibrer - Ah que j’en ai envie dit il ; qu’en penses tu Marie ? - … oh oh non non moi moi dans mon cul à moi pas elle - Marc, dit Christian Marc approche de Marie et lui donne un coup violent du poing sur le sein gauche; celle ci se tord puis reprend la pause. - Marie, dit Christian - Oui oui maître - Oui quoi ? Marc ! - Non non dit elle j’obéis ; oui mon seigneur et époux ; trouez lui le cul devant moi ; allez y faites vous plaisir ! Jouissez ! Emplissez-la de votre foutre… Marie regarde son mari pénétrer Sophie avec facilité. Comme elle est de face elle ne peut voir l’enculage et se lâche : - Comment est-elle maître ? - Large et souple - Oh vous voyez, mon cul à moi est serré pour votre queue Christian défonce lentement Sophie en faisant bien attention de faire balancer le poids du clitoris. Sophie crie longuement et coule de plaisir : - Attention Maître ne m’arrachez pas le clitoris - Ne t’inquiète pas je te surveille. Christine va attacher Marie sur l’autre croix ; écarte la bien et étire bien ses membres la croix est réglable. Ensuite, tu vas servir d’aide au perceur.

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- Hummmmm fait Christine en s’exécutant ce qui lui vaut un coup de cravache vertical sur les deux trous Marie apparaît alors écartelée debout sur la croix. Les chaînettes pendant toujours du collier et des bracelets des cuisses, détachées qu’elles sont des tétons et des lèvres. La peur et le désir confondus se lisent dans ses yeux. - Christine, ordonne Christian, marque la à la cravache : mamelles, ventre, chatte L’accompagnatrice, toujours garnie des boules et du gros plug se réenfonce un peu l’aiguille du clito dans un cri tendu et sauvage comme pour se donner du courage et du plaisir. Elle s’écarte bien les cuisses, se cambre devant Marie et frappe très violemment sur les mamelles puis sur le devant des cuisses et, enfin, quatre fois de bas en haut, en plein sur la chatte. Marie apparaît marquée de longues stries rouges et gémit sans discontinuer. Sur ordre de Christian elle regarde ce dernier se délecter de l’enculage profond de Sophie. Le poids balance avec une grande amplitude mais lentement, on dirait que le clito s’étend encore. Marie se calme et admire cette putain défoncée par son propre mari qui se crispe et soupire longuement. Il gicle dans son cul. - Oh oui dit Sophie votre jus dans mon boyau …. Oh ouiiii vous ne débandez pas, vous continuez… oh merveilleux mâle - Oh mon seigneur dit Marie, oh comme j’aurais envie - Demande le perçage avec force dit Christian - ….allez y, percez Marie pute comme Sophie pute ; ne me ménagez pas ; je veux être le jouet préféré de mon seigneur Le perceur, toujours masqué et habillé et bandé, comme les autres du reste, approche avec une petite pince crochet à la pression réglable terminée par une cordelette ; il pose la pince sur le milieu du téton et la serre à fond arrachant une sourde grimace à Marie qui se retient de crier. Il demande à Christine de tirer sur la cordelette le plus possible ce qu’elle fait avec plaisir et …cruauté ; ouah que cette femelle est douée ! Il se munit d’une pince de perçage (emporte pièce) ayant une tige de 2 mm de diamètre qu’il chauffe au rouge. Il laisse refroidir et nous regarde en disant : - J’ai horreur des gouttes de sang ; donc je cautérise puis, regardant le mari il demande « avec ou sans anesthésie ? - Sans dit Christian - Nonnnnnnnnn pitiééééé - Tais-toi pute dit le perceur. Vas y Christine tire bien Tandis que celle ci obéit avec force zèle faisant gémir Marie, le perceur traverse lentement le téton arrachant à l’esclave un hurlement bestial. Une fois le trou terminé, il vaporise un antiseptique légèrement anti douleur. Et, enfin, il pose un anneau identique à ceux que portaient Sophie aux seins. Marie peut voir son sein en très gros plan sur l’écran et admirer, parce qu’elle l’admire, son mari en train d’enculer Sophie. Pour son seul plaisir. Le perceur procède de la même manière pour le second téton et Marie est désormais annelée aux mamelles. Il se tourne vers Christian qui fait durer son plaisir d’enculeur et ondule de plus en plus lentement en faisant balancer le poids avec sa main pour attiser la douleur de Sophie. - Vous permettez demande t il ? - Bien sur, régalez vous Le perceur se place devant Marie et la prend sans précautions voire avec une certaine dureté

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- Merci oh merciiiiiiii dit elle dans un orgasme très intense. Le mâle gicle dans Marie et explique qu’il l’a fait parce qu’il est bien plus cruel après. Il se met accroupi, ouvre la chatte de Marie et, avec l’aide de Christine, il procède de la même manière avec la pince cruelle et l’outil cautérisé, pour les grandes puis les petites lèvres. Les hurlements de Marie pour les petites lèvres sont atroces mais elle accepte et semble vraiment apprécier le résultat. - Qui veut la dérouiller avant la fin demande le perceur ? - Moi dis je mais dans le cul - Allez y dit Christian mais pour votre plaisir n’ayez pas de retenue J’approche et encule durement Marie qui se détend, s’ouvre et s’offre complètement tout en continuant de mater son mari enculer Sophie. Elle est douce et super excitante et tout en lui torturant les anneaux des seins ce qu’elle accepte volontiers, je lui jouis dans le derrière. Elle a aimé car j’ai senti les contractions d’un orgasme qu’elle s’est retenue de manifester. Puis Marc appelle les six autres mâles et les invite à se soulager ; ils sont toujours en queue de pie, serre queue et bottes de cuir. Leurs queues sont bandées et leur excitation est à l’extrême. - Marc, c’est toi qui officie demande l’un d’eux, laquelle va nous soulager ? - Marie dit Marc et par le cul exclusivement ; ok Christian ? - Oui bien sur dit il en se vidant une seconde fois dans Sophie - Et toi Marie ? - Si mon époux seigneur et maître le souhaite alors je l’accepte … ce sera la première fois que je me fais enculer en série. Allez-y, je suis à vous Les mâles se mettent en ligne sans discuter et le premier la défonce sans ménagement. Marie qui commence à s’habituer s’enflamme immédiatement. Elle hurle et coule de plaisir. Christian décule Sophie qui proteste « nonnnnn » ; il passe devant elle, la gifle pour la faire taire, et se place, toujours monstrueusement bandé devant sa femme. Il se munit de la cravache et lui cingle les seins annelés pendant le premier enculage. Le sodomite se vide en criant et Marie jouit de douleur et de plaisir. Christian la gifle de sa main libre et lui cingle plus doucement la joue avec la cravache. Marie, spontanément murmure : - Le suivant… venez …vite - Salope, putain dit Christian ravi - Oui mon maître - Enculée dilatée des trous - Enculée oh oui mon maître ; oh comme j’aime ce mot - Vas y recommence - Le suivant dit elle plus fort … au cul

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9° chapitre Dernier perçage pour le clitoris de Marie

Ainsi de suite les six hommes enculent Marie pendant que son mari Christian la dérouille à la cravache. Enfin on lui montre le grand écran qui présente son boyau dilaté et ruisselant de sperme. Elle s’admire et s’adresse à Christian - Quand et où vous voudrez Maître ; avec qui vous voudrez ; par le trou que vous voudrez. - Allons-y pour le perçage du clitoris dit le perceur avec un regard cruel - Ooohhh j’ai peur dit Marie - Vas y déclare Christian - Bien sur dit le perceur, Christine prépare moi, vide moi encore une fois… - De quel trou voulez vous profiter Monsieur ? demande l’accompagnatrice - Qu’est ce qui te plairait ? - Mon trou du cul Monsieur, dit elle avec une pointe de jalousie en direction de Marie - Non jeune chienne, mon plaisir dans ta gueule de salope … tout au fond Christine s’accroupit ouverte et excitante comme on lui a appris et avale la queue du perceur jusqu’aux couilles. On voit la gorge de cette dernière onduler et le perceur qui se met à vibrer et se retenant tant qu’il peut finit par se vider dans un râle. Christine avale et sur un geste de moi va embrasser Marie à pleine langue. Etant complètement lâchée dans sa tête, elle descend ses bras, prends les anneaux des petites lèvres de Marie, elle tire et écartèle cette dernière qui, pas encore cicatrisée, hurle de douleur et peut être aussi de plaisir trouble. Cette initiative de Christine mérite une sanction. Aussi, je la prends sans retenue par les cheveux et la mets à genoux, visage au sol, cul dressé et offerte. - Tu vas dérouiller, dis je en lui présentant le plug gonflable qu’elle redoute de voir la déchirer - Où chienne ? - Oh Monsieur oui dans mon cul mais ne le gonflez pas trop ; je voudrais pouvoir continuer à satisfaire vos queues. - Ouvre-toi bien les fesses Christine s’exécute et je lui présente l’objet dans sa taille raisonnable. Pour la faire attendre je lui caresse le cul avec ; elle se tortille et, d’un coup, je la défonce. Elle prend immédiatement un plaisir intense et se tend. Ainsi plantée, je la fais approcher de Marie à qui je détache une main pour lui confier la pompe de gonflage. Tous les mâles bandent et même Sophie est subjuguée par le spectacle : Marie est attachée deux chevilles et une main (l’autre tenant la poire), son cul béant, pas encore refermé, est projeté sur l’un des grands écrans. Christine est face à elle, à quatre pattes, le tuyau de la pompe passant sur son dos et rejoignant son cul godé ; le second écran projette ce cul ouvert et offert à la dilatation (Christine voit l’image) Je donne un ordre : - Christine aspire le clitoris de Marie et toi Marie commence à gonfler Les yeux de Marie brillent dès que Christine la butine et, cruellement, elle se met à gonfler. Le plug atteint sept centimètres de diamètre et le spectacle est à la limite du plaisir supportable pour nous : Marie jouit sans discontinuer sous le branle buccal de Christine sublimée par la dilatation de son anus qu’elle peut voir aussi bien que nous sur l’écran géant. Ses cris sont étouffés par la chatte de Marie.

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J’ordonne à Marie : - Encore un centimètre - Ouiiii dit elle en commençant à appuyer - Nonnnnnnn hurle Christine, libérez moi les tripes Je la cravache avec force sur le dos - Tais-toi pute ouverte - Ogggggrrrr oui maître ahhhhhhhhhhhhh ça y est ? 8 ? - Oui esclave à trous Puis, nous détachons Sophie qui va, sur notre ordre, à cheval sur le dos de Christine et lui tire les cheveux en arrière pour lui dresser la tête afin qu’elle voie Marie en gros plan se faire traverser son clitoris de femelle. Le plug gonflable est déconnecté de la pompe mais reste à sa taille de 8 cm ; on y attache à présent une chaînette qu’attrape Sophie pour la tendre légèrement rendant la présence de l’objet encore plus insupportable. Christine, la belle Christine est donc chevauchée comme une pouliche par une Sophie qui lui relève la tête et lui tire la « queue ». Sophie semble au comble du bonheur. Christine subit des orgasmes qui se succèdent en chaîne dans son cul mais elle a compris le premier stade de dressage ; elle ne bouge ni ne manifeste. Le perceur ordonne que l’on descende l’objet, et, du plafond, descend une croix de saint André très ouverte ; je détache Marie et, dès que la croix a atteint le sol, demeurant verticale, j’y attache Marie (poignets et chevilles, bien écartelée) puis je remonte la crémaillère jusqu’à ce que l’entrecuisse de cette Putain soit au niveau du visage du perceur. Ainsi, ce dernier va pouvoir officier. Nous nous installons devant l’esclave et le perceur se met légèrement de côté pour que le grand écran qui présentait le cul de Marie nous présente son clitoris en gros plan. Le perceur dit à Marie de regarder l’écran, elle est terrorisée. Enfin il se munit d’un outil de perçage plus fin et commence à toucher. Marie vibre et regarde Christian qui lui demande: - Tu es volontaire ? - Oui seigneur époux - Précise esclave - Oui percez moi le bouton, l’organe qui fait de moi votre pute ; ouiiiiii, vous me prendrez en laisse par là vous tirerez dessus après …allezzzzz - Alors bande le dit le perceur, durcis-le - Branlez moi dit Marie aidez moi à « bander » - Je passe derrière et la cravache de bas en haut à l'entrecuisse ; l’instrument de torture atteint à chaque fois le clito et je laisse le temps au perceur de regarder - Voilà, elle bande dit il, regardez sur l’écran En effet, l’écran géant montre le clitoris décalotté et dressé ; la taille de l’image la rend merveilleusement obscène. - Sophie, approche Christine pour qu’elle m’embouche à fond pendant que je travaille La tête de l’accompagnatrice est enfoncée sur sa queue à fond de gorge et Sophie la fait aller et venir. Le perceur respire bruyamment et approche l’aiguille du petit organe bien durci. Christian encule Sophie pour profiter un maximum et dit : - Sophie, branle moi bien de ton cul et toi perceur, vas y lentement, que Marie s’en souvienne. Marie fixe l’écran et voit l’aiguille approcher de son capuchon, commencer à percer puis changer de place. Elle veut se montrer à la hauteur, elle ne criera pas, elle veut donner ce spectacle pour l’infinie jouissance de son seigneur. Le perceur, vicieux et sadique, s’y reprend à trois ou quatre fois et finalement traverse ; l’aiguille entraîne l’anneau qui traverse à présent le bouton et Marie se contemple ainsi

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parée ; le perceur jouit dans la bouche de Christine et, Christian, dans le cul de Sophie ; tout se calme ; Marie continue à regarder l’écran faisant palpiter son sexe et son clitoris puis, sans qu’elle soit touchée, se met à enchaîner plusieurs orgasmes dans des cris sauvages de jouissance. Enfin sa tête retombe, elle est épuisée. On la repose et on la détache. On la vêt d’une longue robe évasée fendue très haut sur le côté afin de pouvoir trousser ; elle est dépourvue de dessous et on lui propose de s’installer dans un fauteuil. Mais elle reste debout et admire les queues dressées … avec envie. La séance a marché et Marie est hyper heureuse de sa situation. Christian qui s’en aperçoit lui dit : - Tu peux t’amuser à présent, l’heure à venir t’appartient - Oh oui seigneur époux dit elle, sous vos yeux, devant vous, pour vous Elle approche et dit : - Allez seigneur jouez avec mon porte clito, soyez le premier Elle se trousse et apparaît magnifique cuisses ouverte les cinq anneaux bien visibles. Marc déclare : - Vas-y Christian qu’elle s’en souvienne Christian prend l’anneau du clito et précise : - Si tu bouges, je te quitte définitivement et te jette à la rue - Oui seigneur … je suis prête Son mari tord lentement l’anneau et fait un tour complet puis tire ; Marie a des larmes qui coulent sur ses joues ; la douleur est intense ; elle gémit mais ne bouge pas, acceptant cette torture. Christian agite lentement l’anneau tordu de bas en haut et lui dit : - Je te dérouillerai ainsi jusqu’à ce que tu en jouisses - Je … je ne …. Pourrai pas ….maître ….arrrrggghhhh (Christian a augmenté la torsion) - Alors tu resteras ainsi torturée toute la nuit - Nonnnnnnnnn - Apportez-moi le poids de deux cents grammes - Pitié mon seigneur Christian tout en tenant l’anneau la gifle : - Accepte - Oui maître, déchirez moi le bouton Sophie qui a quitté le dos de Christine apporte le poids, une sorte de fil a plomb tenu au bout d’une chaînette. Il lâche l’anneau et y met le poids puis il le lance en rotation rapide ; la chaînette s’enroule puis l’anneau tord le clito et repart dans l’autre sens pour y réaliser sa torture. Marie est déroutée. - Oh maître la succession de douleurs et de plaisirs … ohhhhhhh - Tu penses que tu vas jouir ? Christian passe derrière elle et la penche légèrement vers l’avant ; il l’encule d’un coup - Ouiiii votre queue dans mon trou … enfin …la votre… j’attends votre jus … ouiiiiii devant aussi, le poids ohhh je vais démarrer des deux côtés… ha ha ha ha haaaaaaa regardez mâles et femelles … regardez moi … soyez jaloux et jalouses; c’est moi qui ai maintenant le pouvoir sur votre plaisir. - Oh la sale putain hurle Christian en lui jouissant dans le cul, elle me cisaille la queue tellement elle serre - Elle coule à mort dit Christine, je la téterais bien Moi le seigneur de Chris je lui cogne les mamelles au poing et ordonne - Tu supplies si tu veux jouer - Oui maître permettez moi - Vas y dis je en regardant Christian déculer et Marie se redresser retire le poids et joue Christine libère Marie mais lui tord l’anneau la faisant souffrir. - Chienne crie Marie, je vais te couvrir de jus. Maître Christian, puis lui donner ma pisse ? - Merveilleuse idée moitié dans sa gueule ; Christine tu avales tout - Oh nonnnn J’interviens

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- Ta gueule et obéis ; allez reste à quatre pattes et ouvre la bouche…approche …voilà…allez Marie, vide toi Marie s’exécute et Christine avale docilement ; j’arrête le jeu - Stop Marie se retient avec difficulté mais le jet arrête. Je décule Christine du gode gonflable ; le trou reste béant. Je la conduis sur une table basse et l’y allonge à plat ventre afin que son boyau soit à hauteur du trou à pisse de Marie - Allez Marie, remplis-lui le cul Elle approche et se met au bon niveau ; elle s’ouvre avec les mains s’aidant des mains et des anneaux qu’elle s’habitue rapidement à utiliser ; elle recommence à pisser dans le trou béant. Christine se lâche - C’est dégueulasse, j’ai jamais fait, même jamais fantasmé… ça va me faire jouir …ça y est je viens … ! Christine jouit et le groupe se calme. J’interviens et décide de ramener le jouet et l’accompagnatrice ainsi que le mari du jouet Les esclaves remettent les capes et nous accompagnement à la voiture. Elles passent le trajet à l’arrière avec interdiction de se toucher. Arrivés à l’hôtel, Christian et Marie nous quittent pour se rendre dans une chambre et je regagne la mienne accompagné de Christine.

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10° chapitre Christine se dévoile à son mari qui accepte

Arrivés à la chambre, nous sommes épuisés et nous nous alitons tous deux; j’exige simplement que Christine garde le collier et les chaînettes avec les pinces à seins ainsi que les bracelets des lèvres avec les pinces à lèvres gardant sa chatte béante et ses tétons torturés. Quant à moi, je me mets entièrement nu ; nous nous endormons ainsi. Le lendemain matin, je suis éveillé par une immense sensation de plaisir ; en ouvrant les yeux, je constate que Christine me suce doucement mais très profondément. En y regardant de plus près, je constate qu’elle manipule la fine aiguille clitoridienne avec laquelle elle a dormi. - Tu ne jouiras qu’après moi, sinon … - Oui Maître, dit elle en retirant provisoirement sa bouche de ma queue puis elle replonge et m’engloutit. Je ne me retiens pas longtemps et elle me suit de près en se torturant de l’aiguille. Elle se lève alors et va se regarder dans une glace en pieds : les chaînettes, les pinces et l’aiguille forment un tableau de désir étrange mais son corps est peu marqué par les coups. Spontanément elle s’ouvre, se cambre et recommence à se caresser. Je la gifle et lui ordonne d’arrêter. Elle obéit instantanément. - Je ne peux plus reculer, dit-elle - C’est à dire ? - Je veux devenir comme Marie, percée avec en plus un marquage au fer. - Mais Eric ton mari ? Quelle va être sa réaction ? - Il devra assumer ou me laisser partir ; j’ai découvert ce monde, je ne puis revenir en arrière. - Alors ? - Alors il arrive dans deux heures, marquez moi Maître…avec la cravache, marquez moi les mamelles et le pubis. Ainsi je ne pourrai plus reculer ; je n’enlèverai donc pas les pinces et puis advienne que pourra. S’il est positif dans sa réaction je supplierai Christian de lui prêter Marie ; sinon je ne serai plus qu’à vous et il partira. - Mais ta vie … - Soyez rassuré Maître, je ne crois pas qu’il partira… - Bien salope mets toi bien de face, cambrée au maximum - Voilà Maître, oh, votre queue est superbe …je voudrais … derrière … - Tais toi sale chienne, dis je en assénant violemment le premier coup sur la mamelle droite - Aiiiiieeee Ainsi, je distribue 4 coups par sein et quatre sur la chatte. Christine est marquée par ces traces de flagellation qui ne pourront plus partir avant plusieurs jours. Elle ne peut effectivement plus reculer. Nous nous habillons, moi en costume cravate, elle en jupe longue et chemisier échancré perchée sur des escarpins à talons hauts et nous attendons. On frappe à la porte de la chambre et Christine va ouvrir à son mari qui est surpris de me trouver dans cette chambre d’hôtel : - Bonjour Patrick ? - Bonjour Eric, je crois que Christine veut te parler Il la regarde et demande : - Tu m’as trompé ? - Pas vraiment

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- Comment pas vraiment ? - Non laisse moi t’expliquer, assieds toi dans ce fauteuil Eric s’installe et elle s’assied à ses pieds posant sa joue contre sa cuisse et lui caressant discrètement la queue à travers le pantalon ; il réagit et enlève sa main. - Arrête, pas en public - Si, je crois que tu en as envie, considère-moi comme ton jouet, ton animal - Enfin Christine, te rends tu compte ? - Oui je sais, je sais, un jour tu as voulu m’enculer et j’ai refusé ; alors tu m’as giflée et je l’ai mal pris ; tu étais très dépité ; hier soir j’ai tout compris…. - Hier soir, oh non ; et puis arrête de raconter cela devant Patrick - Mais non, il sait ; nous devons maintenant aller jusqu’au bout. Je vais t’avouer que j’ai une terrible envie de te sucer mais je n’y arriverai que si tu l’exiges. Ce disant, Christine avait recommencé ses caresses et une bosse prometteuse déformait le pantalon d’Eric - Il faut que je l’exige … mais je … n’y …arriverai jamais - L’important, dis-je, c’est ce dont tu as envie - Autant de me faire sucer que de l’exiger, se libéra Eric - Ouiiii, exulta Christine ; alors dis le vas y, essaye - Suce moi la queue à fond salope, dit Eric - Ouiiiiiiii Christine ouvre la braguette et embouche la bite de son mari déjà hyper dure ; comme elle l’a appris la veille elle s’embouche à fond de gorge. Eric, pas préparé à un tel érotisme se libère d’un coup dans la bouche de sa femme qui avale tout, …à son grand étonnement. - Mais, je n’avais vu cela que dans les films - Tu en regardes beaucoup ? - Oui parce que … ? - Parce que je n’étais pas assez pute. Désormais tu pourras me demander tout ce qui t’excite ou que tu as vu, je te servirai. Il faut que je te dise, hier soir j’ai assisté aux deux sens du terme (spectatrice et assistante) au dressage et au perçage d’une femme qui maintenant appartient à son maître. Il pourra te la prêter. Je veux aller au bout et devenir ton esclave comme elle est la sienne. Laisse-moi te montrer mais laisse ta queue sortie que je juge de l’effet produit. - Oh, dit Eric, je ne sais plus où j’en suis entre le désir violent et la profonde retenue ; approche « salope », agenouille toi et ouvre la bouche en tirant la langue Les dernières syllabes d’Eric sont un souffle tant il a peur d’être dans un rêve et de s’éveiller brusquement. - Oui mon seigneur époux, dit Christine en prenant la position - Tu as tout avalé, constate Eric ; tu ne m’as jamais sucé de la sorte - Et ce n’est qu’un début, tu verras…j’aime …j’en ai goûté beaucoup… dire que j’étais passée à côté - Beaucoup dit Eric, non, ce n’est pas possible Sentant que c’est le moment, je m’installe dans un fauteuil et j’interviens ; Christine se situe entre nous deux, debout et mains le long du corps ; une sorte d’offrande muette : - Raconte à Eric, ton mari pour hier soir, avec tous les détails obscènes ; sois très chienne ; tu te souviens, tu as décidé de devenir une véritable bête de plaisir. - Oh mais, tu la traites comme cela, dit Eric - Oui bien sur, dit elle, il a le droit mais tu dois savoir que c’est toi qui vas avoir tous les droits. Regarde seigneur amour, tu recommences à bander - Oui, enfin, je … - Tais-toi et écoute, dit Christine ; prends tout le plaisir que tu veux…que tu peux Elle s’approche de moi, me sort la queue et me caresse en regardant Eric ; elle est à genoux à côté de mon fauteuil ; elle est douce ; je bande rapidement ; Eric n’intervient pas ; Christine commence : - Patrick est mon amant depuis quelques temps. Il m’a séduite par son autorité naturelle et je me suis lentement laissée glisser dans l’obéissance ; on peut dire qu’il m’a initiée et

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je me suis rendue compte à quel point j’aimais cela. Et toi, je me suis incidemment souvenue que tu avais également des dispositions. - Oh bien ; enfin, tu crois … ? - Oui d’ailleurs tu es toujours là et tu bandes de plus en plus, ajoute Christine en continuant de me masturber. - Oui c’est vrai ça m’excite de te voir branler Patrick - Bien … je continue : mon premier vrai contact avec la soumission fut une gifle assénée durement par Patrick parce que je ne suçais pas assez profond… tu sais ce que j’ai fait tout à l’heure, c’est lui qui me l’a appris…face à cet acte de violence, j’aurais pu me remettre en tenue de ville et partir mais non, j’ai spontanément embouché sa bite du plus profond que je pouvais ; il a joui et m’a ordonné d’avaler ce que je n’avais jamais fait … j’ai obéi, je ne me reconnaissais plus…tout allait si vite ! Regarde, je vais te montrer. Elle me fait face et m’embouche à fond, jusqu’aux couilles puis se retourne, se place devant Eric et fait de même ; pas habitué à ce niveau d’érotisme, il se retient avec peine. Christine revient vers moi, reprend sa position, son ample masturbation et poursuit : - Après avoir joui dans ma bouche il a décidé…comprends moi Eric, pas demandé, décidé ; il a décidé, donc, qu’il allait m’enculer…mon trou était vierge et j’ai eu peur ; il m’a giflée comme jamais et m’a fait mettre debout devant lui pour me frapper les seins…pardon … les mamelles. Une sensation étrange m’a envahie : je souffrais mais j’adorais cela ; dans mon for intérieur j’ai commencé à accepter l’idée de me faire enculer et je me suis rendue peu à peu jusqu’à le supplier : « enculez-moi maître » - Il l’a fait ? - Oui, il m’a donné une poire pour que je me nettoie le fondement, ce que j’ai fait dans la salle de bains, puis il m’a forcée sans aucune précaution particulière ; je me disais : « je suis enculée » « je suis une salope enculée » …petit à petit, la douleur de la pénétration s’est commuée en plaisir en un immense orgasme a éclaté. - Et maintenant, tu te laisses faire ? - Oh oui seigneur mon époux mais laisse moi poursuivre. Il y a deux jours, nous nous sommes retrouvés ici à Paris dans un sex shop de Montparnasse ; il y avait trois hommes en plus du black qui tenait la boutique ; il a acheté un corset et m’a fait mettre en tenue obscène devant ce public. Puis il a demandé des candidats pour m’enculer ; le noir s’est proposé, les autres sont sortis. Il avait une queue énorme que nous avons mesurée (22 cm sur 6 de diamètre) et garnie d’un préservatif adapté mais il ne parvenait pas à me forcer. Patrick s’est mis en colère contre moi et m’a proposé soit le lubrifiant soit les coups. J’ai immédiatement compris que le lubrifiant, je ne savais pourquoi, serait pire ; j’ai donc choisi les coups. Et puis une étrange sensation me poussait vers cette expérience. - Il t’a corrigée ? - Ouiiii mon seigneur, ce mot est parfait … oh que je suis heureuse. En effet, il m’a forcée à me mettre debout et à écarter les cuisses ; il a frappé six fois de bas en haut ; les coups atteignaient mes deux trous ; douleur intense mais pas de traces ; sur sa demande, j’avais écarté mes fesses et je sentais mon œillet tout propre (sur on ordre je m’étais lavée) palpiter. Le black est revenu derrière moi et m’a fait plier ; puis il a forcé et m’a perforé le boyau de sa grosse queue, inexorablement tout en me maintenant les fesses bien ouvertes. J’ai hurlé de douleur, la sensation de cette pénétration énorme était insupportable bien qu’acceptée ; puis, comme avec Patrick, mon cul s’est ouvert et le plaisir a commencé à monter ; c’est le moment que Patrick a choisi pour m’emboucher à fond de gorge, sauvagement. Ils se sont synchronisés et ont giclé quasi ensemble. C’était ma première expérience de ce type ; deux males en même temps ; bouche et tripes. - Et tu as joui sale petite pute vicieuse ? Christine lâche ma queue et s’approche d’Eric ; elle s’agenouille devant lui, prend sa queue dans sa main et lui déclare : - Oh mon seigneur, la question est merveilleuse mais posez la plus durement ; allez y ; ne vous retenez pas. Pour la première fois Christine Vouvoie Eric et se soumet mentalement.

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Eric comprend spontanément et gifle Christine par quatre fois : - Réponds à ton maître ma belle pute ; sois obscène ; et continue à me vouvoyer Sa tête ballote mais elle est heureuse, elle a gagné : - Merci mon maître ; pour répondre à votre question : oui j’ai atrocement joui et je me suis laissé faire quand leurs doigts m’ont fait goûter ma mouille. Elle se penche et embouche Eric bandé à fond de gorge comme elle a si bien appris ; elle lui torture très doucement les couilles et il gémit en se retenant de jouir ; puis après quelques minutes, il éclate et se vide dans un râle. Christine prend tout en bouche se redresse, montre sa langue couverte de sperme et avale en regardant Eric droit dans les yeux. - Ouahhh, dit il, merveilleuse salope - Je dois continuer : ensuite, dit elle, Patrick a acheté du matériel et nous sommes repartis ; il m’a donné rendez vous pour le lendemain ; pour faire connaissance avec Marie, une autre esclave que j’aurais la latitude de torturer .hummmm. - Du matériel ? Quel genre de matériel ? - Je vous raconte ou je vous montre maître ? … je vous montre, dit-elle Elle se dirige vers la salle de bains et en ramène un sac de voyage fermé ; elle sait que pour faire un maximum d’effet, elle doit sortir tous les objets au fur et à mesure de leur utilisation. - Regardez moi maître…admirez moi Elle retire le haut et apparaît ses gros seins nus avec les quatre grandes zébrures de chaque côté ; Eric est subjugué et rebande terriblement : - Ouahhh tu es marquée - Oui seigneur-maître, vous aimez ? - Oui salope, dit il se levant et ponctuant sa réponse de gifles sur les deux mamelles. Spontanément, Christine se cambre pour en subir plus mais Eric s'assied avec calme, la queue de plus en plus dure.

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11° chapitre Deuxième partie de soirée très hard

Christian, définitivement séduit prend la parole : - Allez montre-moi chienne Christine exhibe du sac le collier de cuir noir large de 4 cm ; elle se le met puis le tourne pour orienter la fermeture dans le dos et, surtout, avoir trois anneaux sur le devant et un derrière. Elle se place de face et se montre, sa longue jupe virevoltant légèrement et ses escarpins maintenant la cambrure de ses reins. - C’est très bandant, remarque Eric, on peut te tenir aux anneaux pendant la suce et te forcer le plus profond possible - Oui mais vous allez voir, on peut faire beaucoup plus mal …mais avant …tenez Elle a sorti la cravache tressée et en a fait don à Eric qui fou de désir l’utilise pour se caresser doucement les couilles ; quant à moi, elle m’a fait don du martinet à quatre lanières garnies de petites boules. Je suis toujours assis queue sortie et bandée ; je me caresse. Christine nous regarde et dit : - Comme vous êtes beaux tous les deux ; hummmm je suis impatiente. Eric donne un coup sec sur le bas des mollets - Tais toi salope … continue Christine sort une chaînette, ajustable en longueur dont un bout se termine par un mousqueton et l’autre par une pince réglable en tension ; elle se place face à Eric bien cambrée sur ses deux jambes ouvertes. Je me déplace avec mon siège et me met à côté de son mari afin de ne rien perdre du spectacle. Elle regarde l’objet et suce vicieusement la pince puis d’un coup sec referme le mousqueton sur l’anneau le plus à gauche du collier. Elle laisse pendre un instant, nous regarde alternativement dans les yeux, puis prend la pince dans sa main gauche et le téton gauche dans sa main droite ; elle pince la base de ce dernier pour bien le faire saillir, crie qu’elle a peur puis referme la pince très serrée en étouffant un cri - Aïe… je suis belle ainsi…je vous plais ? - Oui, dit Eric, mets la suivante et cambre toi … allez excite nous encore plus Christine obéit et pose la seconde pince à la mamelle droite et à l’anneau droit ; je me lève et lui ordonne : - Ma queue salope … touche … branle Elle s’exécute et Eric se lève pour regarder ; je la fixe droit dans les yeux puis lui ordonne de regarder Eric. Elle se tourne et j’entreprends de serrer les pinces et de tendre les chaînettes avec les dispositifs prévus. Elle grimace mais continue à fixer son époux et finalement se met à nous branler tous les deux… fascinant ce que cette chienne a de dispositions… Les chaînettes étant tendues et ses gros pis relevés et étirés par les tétons, nous nous reculons et je lui intime l’ordre de mettre ses mains dans le dos et de se cambrer ce qui a pour effet d’augmenter la tension. Elle est vraiment magnifique. - Splendide, dit Eric, tu crois qu’elle est excitée - Vérifie Eric passe sa main sous la jupe et atteint rapidement la chatte. - Yehhh pas de culotte - Plus jamais maître - Oui tu es une fontaine continue ta démonstration

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La salope retire sa jupe et apparaît en bas noirs auto-fixants sans culotte et chatte rasée ; par ailleurs des marques zébrées apparaissent sur le devant de son ventre. Elle sort du sac quatre petits bracelets de cuir équipés chacun d’un anneau ainsi que deux plus gros, toujours en cuir, également munis d’un anneau. Nous avons repris notre place assise et notre excitation ne fait que croître. Christine fixe les petits bracelets à ses poignets en les serrant moyennement et nous montre ses bras ; elle fait de même à ses chevilles. La tension de ses seins et ses bracelets « menottes » sont du plus bel effet. Elle prend ensuite les deux bracelets restants, les plus gros, et les fixe autour de ses cuisses sur le haut des bas. Elle serre fortement et place les anneaux sur l’intérieur des cuisses. Elle sort alors deux chaînettes, plus longues que celles des seins mais équipées de la même manière ; elle se penche en avant et en attache les mousquetons aux anneaux des bracelets posés en haut de ses cuisses. Les chaînettes pendent terminées par les pinces qu’elle prend tour à tour et qu’elle referme sur les petites lèvres dans un gémissement continu. Elle tend les chaînettes grâce à leurs réglages puis elle écarte bien les cuisses ; elle apparaît ainsi béante, les petites lèvres attachées aux bracelets. Elle se cambre et se présente. - Oh tu es superbe, lui dit Eric. Regarde Patrick comme le clito est dressé et comme elle dégouline - Ce n’est pas fini, dit-elle, mais avant si vous voulez me mettre … - Dans quel trou? demande Eric - Celui qu’il vous plaira …mais - Mais quoi ? - Avant que vous m’enculiez … ce dont je rêve atrocement … j’aimerais que vous ayez tout vu Cette femelle est vraiment naturellement prédisposée à l’obéissance ; en réalité c’est elle qui a le pouvoir et qui joue à augmenter indéfiniment notre plaisir. - Que proposes-tu belle putain - Oh ouiiiii, ce mot, Maître Eric… je propose de me fermer comme pour le rendez vous puis de vous soulager avec ma bouche avaleuse. - C’est bien allons y, dit il, mais sois excellente sinon je te dérouille …. J’en rêve… - Alors n’hésitez pas seigneur maître ; regardez, vous pouvez m’attacher les poignets derrière la nuque avec les anneaux des bracelets et me faire tenir cambrée pour me bousiller le devant - Le devant ? - Mamelles chatte et clito maître - Mets tes poignets en position, ordonne Eric Elle s’exécute et se présente de dos à son mari qui relie les bracelets et en profite pour tirer atrocement sur les chaînettes des mamelles. Christine crie mais ne bronche pas restant offerte de dos et cuisses écartelées à la limite de l’équilibre….elle se calme et halète - Merci maître merci pour cette punition et je …. Oh comme votre queue est dure derrière moi - Mets-toi de face, ordonne Eric - Bien maître, dit-elle en se tournant ; s’il vous plait, ne frappez ni trop bas ni trop haut que mes marques ne se voient plus lorsque je m’habille. - Les marques … oh tu crois - Oui, dis je, c’est incontournable, cravache la durement Christine reste immobile et attend sauf peut être une imperceptible cambrure complémentaire pour déguster la correction de son mari, la première. Je lui mets alors un bandeau afin, non pas de la protéger, mais de lui faire encore plus mal ne sachant pas

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où l’instrument de dressage va s’abattre. Eric hésite, regarde, lève la cravache puis l’assène sur la mamelle gauche en visant pour que la tension de la chaînette augmente d’un coup. Il a frappé avec violence et le téton est à la fois atteint par le cuir de la cravache et malmené par la pince. Christine hurle un très long feulement qui se termine par : - Mamelles 1 … merci maître - Oh putain, que tu es déjà bien dressée … ainsi tu comptes les coups - … Il cogne de la même manière sur la seconde mamelle - aiiiiiiieeeeeee ……Mamelles 2 … merci maître - Veux-tu un bâillon ? - Non maître - Alors arrête de gueuler, nous sommes dans un hôtel - Bien seigneur maître Eric continue de lui torturer les seins et Christine compte tandis que sa poitrine se strie de profondes marques rouges : - Mamelles 3 ….mamelles 12 - Je vais te retirer le bandeau pour que tu regardes ma queue pendant que je te termine pute ; je vais te surprendre - Vos désirs sont des ordres Je retire le bandeau afin de permettre à Eric de se concentrer sur son plaisir. Il se met nu et approche de Christine jusqu’à la toucher de sa queue. Elle vibre instantanément, il se recule et la frustration se lit dans les yeux de l’esclave. - Tu as envie belle pute ? - Oui seigneur maître - Regarde ma queue Elle baisse légèrement les yeux tout en maintenant la position. Eric se plante devant et lui caresse la chatte du bout de la cravache ; sa queue tressaute doucement puis il regarde l’entrecuisse descend l’instrument de torture et frappe très durement de bas en haut. ; Il recommence ainsi plusieurs fois sensiblement plus fort. Christine ne crie pas mais vibre et recommence à compter : - Trous 1, trous 2, ….trous 6 Soudain Eric arrête et crie : - Regarde, comme quand j’étais adolescent Christine heureuse observe la queue de son mari qui éjacule de longs jets sans qu’il n’ait eu besoin de se toucher - Oh seigneur maître, mon époux, votre bête à plaisir vous a réveillé - Agenouille-toi et nettoie le sol et ma queue Christine obéit docilement puis se relève et avale le résultat de son nettoyage. Eric, un peu plus calme demande : - A quoi sert l’anneau central du collier ? Je regarde Christine et lui intime l’ordre de se taire puis je m’adresse à Eric : - A relier le clitoris ; penses tu en être capable ; seras tu assez cruel ? Il faut serrer la pince sur la partie à vif lorsque la femelle est décalottée puis tendre la chaînette. Eric n’a pas débandé, il approche de Christine et murmure : - Tu vas déguster belle putain ; tu es prête ? - Oui maître … ne retenez pas votre cruauté, soyez terrible… que j’apprenne Je sors l’instrument du sac et lui tends. Il s’agit d’un dispositif d’étirement comparable à celui qui équipe les mamelles mais plus long et avec une pince plus étroite (donc plus serrée, plus dure). Il se réinstalle assis dans un fauteuil et ordonne à Christine d’approcher. Elle se place dans la position où son bouton de plaisir est le plus accessible et ferme les yeux tout en restant cambrée. Eric la masturbe doucement et constate

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qu’elle est excitée, que son clitoris est tendu. Il le décalotte et le branle comme une petite bite. Elle ne peut réprimer un orgasme qui, dit-il, lui vaudra une sévère punition. J’attache le mousqueton à l’anneau du collier et je lui laisse pendre la chaînette. Eric, qui est également bien prédisposé, règle la longueur de manière à ce qu’il manque deux bons centimètres puis il se saisit d’une main de la pince tandis qu’il retrousse le clitoris de l’autre. Je penche la tête de Christine en appuyant sur sa nuque où se rejoignent toujours ses poignets entravés ; la longueur est bonne si elle reste ainsi tête basse. Eric pose la pince sur le bouton décalotté et lâche d’un coup les mâchoires. La putain se tend et reste immobile sauf un tremblement accompagné d’un gémissement profond. Je lâche Christine et Eric se relève ; il se place devant elle très soumise dans cette position tête basse. Il lui prend les cheveux, la redresse d’un coup et l’embrasse à pleine bouche. Elle réussit à ne pas crier et à lui rendre son baiser mais sa souffrance est terrible et le spectacle de son clitoris étiré est terriblement obscène. Il la lâche ; elle penche sa tête pour diminuer la tension mais je lui intime l’ordre de se redresser ce qu’elle exécute avec orgueil et douleur ou …. Plaisir ! - Oh mes maîtres, dit elle, même hier soir ce n’était pas aussi dur - Continue, dit Eric - Bien seigneur époux ; voulez vous que je me garnisse devant ou derrière - Le boyau d’abord Christine prend dans le sac le magnifique plug gonflable et se penche en avant ouvrant largement ses fesses ; elle présente l’engin au repos qui ne compte que 3 cm de diamètre et se le force. Je suis devant elle et Eric derrière ; je la prends par les cheveux et la redresse un peu (pas trop à cause du clito, les sensations ne doivent pas se chevaucher). Je la regarde dans les yeux et lui ordonne sèchement : - Vas-y salope, ouvre la bouche, sors ta langue et troue-toi le cul d’un seul coup. J’exige que le mouvement soit fort et continu. - Salaud …, le mot lui a échappé Je la dérouille de gifles en pleine figure et réitère mon ordre ; elle ne peut plus résister et sort sa langue de sa bouche ouverte puis se force durement en criant : - Ouiii mes maîtres, je me défonce les tripes Puis elle ressort sa langue, prend la poire de gonflage et, conservant la position, elle la visse sur le morceau du plug qui sort de son cul. Je lui reprends les cheveux et dirige sa bouche vers ma queue qu’elle embouche sans sourciller mais je la force profond et elle salive très fort. Eric se munit de la poire et commence à gonfler en surveillant la mesure qui est indiquée sur l’instrument. Lorsqu’il atteint six cm de diamètre, Christine est devenue une suceuse de haut vol et je ne puis résister à l’envie de lui gicler dans la bouche ; elle avale avec délices et je la redresse. Son clitoris étiré et torturé lui arrache un cri qui lui vaut un coup de cravache sur les seins. Je sors de ma valise un dispositif démontable qui, une fois assemblé forme une croix de saint André. Je réalise le montage et nous attachons Christine bien ouverte et bras tendus à ce dispositif. Je place entre les deux barres hautes du X une barre transversale qui va permettre, avec le collier de chienne, de lui tenir la tête bien droite étirant ainsi le clitoris au maximum (et aussi tendant les tétons). Elle gémit, son clitoris violacé tendu à fond la fait terriblement souffrir. Eric qui rebande très durement décide qu’il va la prendre ainsi par devant, à la régulière ; les yeux de Christine se mettent à briller de désir trouble ; il approche, prend sa queue raide et l’enfonce d’un coup. La chienne crie de douleur et de plaisir mélangés … son bouton la fait réellement souffrir. Eric va et vient, elle gémit de plus en plus de plaisir et de moins en moins de souffrance. Il déclare : - Oh comme je sens bien le gode qui lui dilate le cul ; ouahhhh c’est génial !!! - Ouiiii, gémit la salope, allez y maître Eric, dérouillez moi

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J’interviens : - Eric, veux tu goûter à quelque chose de très nouveau - Quoi précisément - La pute est bien engagée dans le dressage, tu peux tester sa formation - Oui bien sur mais comment … viiite j’ai du mal à tenir - Rentre-toi bien au fond et ne bouge plus. Toi esclave, branle-le avec les muscles de ta chatte. Sois irrésistible et fais-toi gicler également. Attends Eric, j’augmente le diamètre du plug jusqu’à 8cm de diamètre. Eric, immobile, savoure le massage qu’a commencé Christine qui crie sous la dilatation de son cul. Puis, spontanément, avant que je ne lui en donne l’idée, il se met à torturer la chienne tirant les diverses chaînettes d’ouverture et de tension, insistant sur la longue chaînette clitoridienne. Il sent alors les contractions de la chatte de Christine et se retient avec peine. Je me place alors derrière et cravache l’esclave sur les fesses (la croix est assemblée haute et laisse ses fesses accessibles) … avec force et sans retenue mais en rythmant lentement les coups. Conditionnée, elle énumère : - Fesses 1…fesses 2 … … fesses 8 aïeeee Eric d’une voix rauque déformée par le plaisir déclare : - Ouiiii, elle me branle bien, elle serre à chaque fois que tu tapes son cul. Continue plus fort, demande t il en tirant lourdement sur la chaînette du clito Christine serre crie de plus en plus fort et supplie : - Allez y maître donnez moi votre jus … je vous serre assez fort ??? - Oui tu es bonne salope … oh oh oh - Ouiiii Je vous sens ; vous giclez dans mon trou de femelle … OUIIII … merci Eric continue de se vider puis se retire, toujours bandé. Il retire la pince du clito pour libérer son esclave et la détendre mais il laisse pendre la longue chaînette. Christine est extrêmement désirable ainsi écartelée debout marquée et torturée avec un mince filet de sperme qui s’échappe de sa chatte. Je veux qu’elle le garde, je vais donc la fermer. Il suffit pour cela de croiser les chaînettes des lèvres et de relier la lèvre gauche au bracelet de cuisse droit et réciproquement. Son cul, par contre reste atrocement dilaté. - Tu as joui demande Eric ? - Non seigneur maître - Pourquoi s’il te plait ? - Je n’en avais pas l’autorisation - Tu as envie de jouir? Ajoute t il - Si vous le souhaitez maître - Tu as mal - Oh ouiii seigneur Maître, mon cul est brûlant - Reformule dit il en la giflant sauvagement aux seins - Oui Maître, j’ai le plaisir de souffrir pour votre plaisir - C’est bien, dit il.

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