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Sommaire

Les sœurs du Sauveur (Léonard Paris, Lucien De Peyrronny)……………………………………………………………………………….…….p.4

Le Nouveau-Roubaix (Marilou Lamendin, Lilya Daci, Gaëlle Deroubaix)…………………………………………………………………....p.5

La maison des sœurs ( Matthys Brinkmans, Lenny Sampé, Mohamed Merhoune)……………………………………………. p.6 et 7

Inauguration de l’école Sainte Bernadette (Baptiste Gribauval, Charles Preux)……………………………………………….. p.8 et 9

L’origine du nom de notre école (Léonard Paris, Lucien De Peyrronny)……………………………………………………... p. 10 et 11

Le jardin d’enfants (Léa Martin-Quidey, Lina Salhi, Mélanie Hennion)……………………………..………………………….. p. 12 et 13

L’école d’autrefois (Juliette Deledicque, Myriem De Sousa, Djenna Frid, Faustine Hendryckx)………..…….……… p. 14 à 16

L’agrandissement de l’école – 1952 à 1972 ( Inès Kaddouche, Manel Taleb, Laura Nocca,Lenny Kao)……………. p.17 à 19

Les années difficiles – 1973 à 1983 (Mathis Seignez, Morgan Boucly, Adel Naoui)……………………………………………….. p 20

L’année du renouveau – 1983 (Bilâl Kouka, Justin Géneau)…………………………………………………………………………….…….. p 21

Vers une école moderne – 1984 à 2014 (Louna Ababsi-Catteloin, Sirine Aousalah, Mathéo Habbas)………….…. p 22 à 28

Remerciements et sources…………………………………………………………………………………………………………………………………….p. 30

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Les sœurs du Sauveur

Les sœurs du Sauveur et de la très Sainte Vierge vivent à Villeneuve d’Ascq.

La ville de Villeneuve d’Ascq est une ville martyre de la guerre. Le massacre d'Ascq est un massacre commis pendant

la seconde guerre mondiale dans le village français d'Ascq par des troupes de la Waffen SS. À la suite d'un modeste

attentat contre un convoi militaire aux abords de la gare d'Ascq dans la nuit du 1er avril 1944 au 2 avril 1944, la

population est violentée et quatre-vingt-six civils innocents sont fusillés.

Les sœurs nourrissent les soldats prisonniers et réussissent à en faire évader plus de 60 en leur donnant des

vêtements chauds. Elles soignent les blessés. Elles ont nettoyé et ensevelit les 86 civils tués lors du massacre d’Ascq.

Après la fin de la guerre, elles aident les plus pauvres, se consacrent à l’éducation des enfants et sont très populaires

auprès des populations. C’est dans ce contexte qu’elles vont finir par s’installer dans un quartier complètement

nouveau et gérer l’école Sainte Bernadette.

A gauche, nous voyons des

soldats allemands de la

Waffen SS, responsables du

massacre d’Ascq.

A droite, nous retrouvons

le monument aux morts où

reposent les 86 victimes du

massacre d’Ascq.

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Le « Nouveau Roubaix »

Un quartier tout neuf se construit après la seconde guerre mondiale. Il comprend plus d’un millier de maisons

nouvelles. L’école Ste Bernadette se construit là où jadis il y avait une ancienne ferme et des champs. La population

quitte la campagne pour s’installer en ville et travailler dans les usines.

Sur la première photographie, nous voyons les

anciennes fermes.

Sur l’article du journal, nous observons le nouveau-

Roubaix.

Sur le troisième document, nous remarquons la

présence de champs à côté des habitations.

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La maison des soeurs

Les sœurs du Sauveur s’installent

dans les nouveaux bâtiments le

28 août 1951.

Dans la maison des sœurs, on

retrouve un autel pour les

messes et les cérémonies

religieuses (Noël, Pâques,

Ascension,…).

Les sœurs se retrouvent dans la

salle à manger pour prendre les

repas en commun.

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La maison des soeurs

De gauche à droite :

Sœur Marie Noël

Sœur Louis Marie

Sœur Marie

Sœur Elisabeth

La communauté entre 1954

et 1960 :

De gauche à droite :

Sœur Marie Dominique

Sœur André Marie

Sœur Marie Pierre

Sœur Marie Constance

Sœur Marie Catherine

Sœur Marie Clotilde

La statue de Sainte Bernadette.

Aujourd’hui, elle est encore

visible sur la façade de l’école

maternelle.

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Inauguration de l’école Sainte Bernadette - 1951

L’inspecteur de l’enseignement libre (privé) demande à la congrégation des sœurs du Sauveur de prendre en charge

une nouvelle école dans un quartier en train de se bâtir (le nouveau Roubaix). L’architecte de l’école se nomme

monsieur DELPLANQUE.

Le 5 octobre 1951, le cardinal LIENART prononce le discours d’inauguration. Le service d’ordre de la cérémonie est

assuré par les scouts de Roubaix. Les sœurs du Sauveur sont alors surnommées « les sœurs de l’école ». La première

directrice de l’école Sainte Bernadette est sœur Anne-Marie Dominique.

De gauche à droite :

Monsieur LESTIENNE, président des écoles libres de

Roubaix

Cardinal LIENART , son vicaire général

Abbé OLIVIER, curé de la paroisse

Mère PATRICIA

Debout :

Maitre MOULIN, président du Comité familial de l’école

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Inauguration de l’école Sainte Bernadette - 1951

La façade de l’école Sainte Bernadette

en 1951 située au 275 avenue Gustave

Delory.

La cour de l’école Sainte Bernadette

encore en terre et en herbe.

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L’origine du nom de notre école

D’où vient le nom Sainte Bernadette ?

Notre école porte le nom de l’église la plus proche dont elle dépend à sa fondation, Sainte Bernadette.

La première pierre de l’église Sainte Bernadette est posée en juillet 1935 par le cardinal Liénart, alors que le quartier des

Hauts Champs et du Nouveau Roubaix est encore campagnard, avec des fermes, des jardins ouvriers.

L’église Sainte Bernadette remplace une chapelle de bois construite quelques années plus tôt. René et Maurice DUPIRE en furent les architectes.

L’Evêché a acheté les terrains qui appartenaient à la compagnie de chemin de fer du nord. On a construit une église, un

presbytère et une école. Elle devait s’appeler l’église Sainte Famille, mais l’abbé s’y est opposé. Ce sera donc Sainte

Bernadette.

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L’origine du nom de notre école

Qui est Sainte Bernadette ?

Sainte Bernadette, de son vrai nom, Bernadette Soubirous, est une jeune paysanne vivant à Lourdes. En 1858, dans la Grotte de Massabielle, à Lourdes, la Vierge Marie lui serait apparue à dix-huit reprises. La vie de Bernadette en est complètement transformée. Depuis, les chrétiens viennent en pèlerinage à Lourdes.

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Le jardin d’enfants

En 1951, l’école Sainte Bernadette ouvre une garderie et un jardin d’enfants. Une religieuse et une laïque s’occupent de 75 élèves.

Dans les années 50, le jardin d’enfants regroupe les élèves les plus jeunes. Ils se préparent à rentrer en CP (Cours Préparatoire).

Les écoliers portent des blouses et

travaillent sur des bureaux en bois.

Les élèves utilisent des plumes et des

encriers pour écrire dans leurs cahiers.

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Le jardin d’enfants

Les enfants sont encadrés dans leurs activités par des religieuses. Elles veillent à l’instruction des plus jeunes.

En classe, les élèves apprennent progressivement à tracer des lignes et des boucles avec des plumes. Ils

s’initient au calcul sur des ardoises.

Parfois, les écoliers travaillent en extérieur quand la météo le permet.

Le jardin d’enfants ressemble plus à une garderie qu’à l’école maternelle actuelle.

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L’école d’autrefois

une classe vers 1920 une classe vers 1950 une classe en 2014

Ecole des filles, école des garçons

A l’origine, les écoles n’étaient pas mixtes. Pour les garçons, il y avait un maître et

pour les filles une maîtresse. Le nombre d’élèves pouvait varier de 20 à 60 par classe.

Les habits des écoliers étaient différents. Les filles portaient une jupe, elles ne

mettaient pas de pantalon ni de collant. Elles avaient les cheveux longs. Les garçons

portaient un pantalon appelé culotte qui arrivait jusqu’aux genoux.

Souvent, ils mettaient une blouse pour ne pas se salir. Aujourd’hui encore, les

élèves de l’école Sainte Bernadette portent le tablier.

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L’école d’autrefois

La classe

Les classes vers 1920 sont sombres, sans décoration, sans confort. Pour se chauffer, il y a un petit poêle à bois.

En 1951, à l’ouverture de l’école Sainte Bernadette, notre établissement était déjà beaucoup plus moderne.

Les tables dans les classes sont des pupitres en bois, alignés face au tableau noir. Pour dessiner, les élèves

avaient des crayons de couleur mais pas de feutres. Les enfants observaient des fruits, des feuilles d’arbres,

des objets … qu’ils dessinaient après. Les filles apprenaient la couture et la broderie : le point de croix et le

point de chaînette, par exemple. Les garçons faisaient quelques travaux manuels. Le soir, ils avaient beaucoup

de devoirs et de leçons à apprendre par cœur.

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L’école d’autrefois

.

Le certificat d’études primaires

Vers l’âge de 12 ou 13 ans, certains élèves de l’école Sainte Bernadette

préparaient le certificat d’études primaires.

Le certificat d’études primaires marquait la fin de l'instruction obligatoire et l'entrée dans la vie active. Le plus souvent, les directeurs et enseignants demandaient à leurs élèves de passer les épreuves entre la classe de 6ème et celle de 3ème. En 1959, l’école devint obligatoire jusqu'à 16 ans. Les classes de fin d'études primaires disparurent peu à peu, avec l'allongement de la scolarité obligatoire, puis la mise en place du collège unique en 1975.

Les punitions et les récompenses

Dans les classes des petits, les plus sages étaient

récompensés par des bons points et des images.

Les élèves les plus mauvais avaient le bonnet

d’âne ou une pancarte « paresseux » dans le

dos.

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L’agrandissement de l’école – 1952 à 1973

En 1952, les effectifs de l’école augmentent

considérablement.

On retrouve 41 CP, 3 classes au jardin d’enfants pour

175 élèves et on note la création d’un cours

élémentaire avec 15 élèves.

En 1954, le quartier s’est encore développé et l’école

est devenue trop petite.

Il faut aménager quatre nouvelles classes. Pour cela,

une annexe est construite sur un terrain de l’autre

côté de la rue (la partie primaire actuelle).

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L’agrandissement de l’école – 1952 à 1972

En 1956, il y a 478 élèves dans l’école dont 244 élèves au jardin d’enfants et 234 élèves en primaire.

Sur cette image, on voit des enfants qui jouent dans la cour de l’école primaire. Ils font la ronde.

En 1958, il y a tellement d’élèves qu’on doit encore rajouter deux classes destinées aux collégiens.

Cette même année, 11 élèves sont reçus au certificat d’études.

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L’agrandissement de l’école – 1952 à 1972

En 1959, l’école Sainte Bernadette accueille les écoliers du jardin d’enfants à la fin du collège.

L’école passe sous contrat simple le 20 juin 1961 puis sous contrat d’association le 24 mars 1970. Ainsi,

les maîtresses sont payées par l’Etat français. Les enseignants sont aussi tenus de respecter les

programmes officiels dictés par l’éducation nationale.

Progressivement, le nombre des sœurs enseignantes diminue au profit de maîtresses : cinq en 1959,

quatre en 1962, deux en 1968 et un en 1969.

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Les années difficiles – 1973 à 1983

Le vieillissement du quartier et la construction des écoles publiques stoppent le développement de l’école. Le nombre

d’élèves baisse de 650 à 500 en 1973.

Le 17 août 1973, les sœurs n’habitent plus dans l’école. Elles s’installent au 29, rue Emile Zola à Roubaix. Sœur Marie

Noël BONNET reste directrice et toutes les enseignantes sont laïques.

La chute des effectifs s’accélère au cours de la décennie et les changements fréquents de direction n’arrangent pas la

situation.

Le nombre d’écoliers descend à 112 et la décision de fermer l’établissement semble inévitable. L’école

Sainte Bernadette est alors désaffectée pendant deux années scolaires complètes.

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L’année du renouveau : 1983

Après trois ans de fermeture, l’école

Sainte Bernadette rouvre ses portes en

septembre 1983 à la demande des familles du

quartier et dans le cadre d’une réorganisation

de l’enseignement privé dans le secteur

Roubaix-Hem.

En effet, l’école primaire Saint Paul

devient collège. Sainte Bernadette accueille

donc les primaires.

Ancienne grille de

l’école élémentaire

Sainte Bernadette

Entrée du collège

Saint Paul à HEM

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Vers une école moderne : de 1983 à 2014

L’école Sainte Bernadette va, à nouveau, jouer un rôle éducatif dans le quartier. Les effectifs passent de 115 élèves à

la rentrée 1983 à plus de 400 aujourd’hui.

Après deux décennies marquées par la stabilité, les années 2000 annoncent un tournant.

En 2010, l’école maternelle Sainte Bernadette et l’école élémentaire Sainte Bernadette fusionnent. Ce nouvel

établissement compte 14 puis 15 classes de la Petite Section au CM2. Madame Claie en prend la direction.

Ces dernières années, l’école amorce une série de travaux : reconstruction des bâtiments et de la façade côté

élémentaire, construction d’une cantine, d’une salle polyvalente, d’une nouvelle salle de classe, d’une salle de sport,

aménagement du site informatique, rénovation du bâtiment des Petites Sections, des toilettes en maternelle …

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Rénovation des locaux et de la façade de l’école élémentaire : 2003

En 2003, la façade de

l’école élémentaire située

au 282 avenue G. DELORY

ainsi que les bâtiments

sont reconstruits.

Dans la nouvelle aile, nous

retrouvons :

- 3 classes

- Le secrétariat

- Le bureau de direction

- La salle des professeurs

- Les sanitaires

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Rénovation des locaux et de la façade de l’école élémentaire : 2003

Photographie 1

La nouvelle façade

de l’école.

Photographie 2

Une classe de CP.

Photographie 3

Une classe de

Grande Section.

Photographie 4

Le bureau du chef

d’établissement.

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Construction d’une nouvelle cantine : 2004

Jusqu’en 2004, les élèves de l’école élémentaire Sainte Bernadette se rendaient au collège Saint Paul pour manger. La cantine se

trouvait alors à la place de l’actuelle salle de permanence. Aujourd’hui, l’école et le collège se partagent le nouveau bâtiment.

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Aménagement d’une salle informatique : 2006

En 2006, l’école s’équipe

d’une salle informatique

comprenant :

- des ordinateurs

- un accès Internet

- une imprimante

En 2014, l’établissement

rentre complètement dans

l’ère numérique avec

l’installation d’un tableau

numérique interactif et

d’une armoire avec des

ardoises numériques.

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Construction d’une salle polyvalente et d’une nouvelle classe : 2008 Les anciennes classes de CP La salle polyvalente

A l’origine du projet, il y a une salle polyvalente et une salle de technologie. Avec l’ouverture d’une nouvelle classe en

2008, la partie du fond est devenue une classe.

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Reconstruction de la salle de sport : 2010

L’ancienne salle de sport La nouvelle salle de sport

Equipée de cerceaux, tapis,

balles, raquettes, poutres, plots,

chasubles, la nouvelle salle de

sport accueille les élèves de la

Grande Section au CM2.

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RemerciementsRemerciementsRemerciementsRemerciements

- aux sœurs de la communauté du Sauveur et de la Très Sainte Vierge pour les documents si précieux

- à Monsieur LEPOUTRE pour les photos et plans de l’école

- à Madame CLAIE pour les documents fournis et les informations transmises

- à Madame MONTENS, au personnel de la cantine, aux enseignants.

Sources écritesSources écritesSources écritesSources écrites

- Le discours de cardinal LIENART lors de l’inauguration de l’école

- Les notes, lettres et courriers des sœurs

- L’album photo des sœurs du Sauveur et de la Très Sainte Vierge

- Les articles des journaux (Nord-Eclair et La Voix du Nord) datant de 1954, 1956, 1958 et 1983

- Les plans de l’école et des travaux réalisés depuis 2003.

- Chère école, mémoire de maîtres, paroles d’élèves… de Jean Pierre GUENO et Jérôme PECNARD

- L’école d’Autrefois… vers 1920 de Suzon CHARBONNIER.

Sources oralesSources oralesSources oralesSources orales

- Les informations récoltées auprès des deux anciennes sœurs enseignantes.

- Les échanges avec Madame Claie.

Ressources InternetRessources InternetRessources InternetRessources Internet

- http://fr.wikipedia.org/

- http://www.histoirederoubaix.com (pour le chapitre Le Nouveau-Roubaix).

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