L’INDUSTRIE DU PAPIER-CARTON - oref.grandest.fr · Sources :Acoss, données au 31 décembre 2015...

L’INDUSTRIE DUPAPIER-CARTON

Cahier complémentaireAppui au contrat d’objectifs territorial - volet 1

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État des lieux

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2 L’industrie du papier-carton - Juillet 2017 | Observatoires en Grand Est

SOMMAIRE

Avertissement : en raison des arrondis, la somme des composantes présentées dans les graphiques ou les tableaux peut ne pas être égale au total affiché ou à 100 %

Tissu productif 3Plus de 10 000 salariés en Grand Est dans l’industrie du papier-carton 3Près de trois salariés sur dix recensés dans la fabrication de papier et carton 3Des effectifs en baisse constante depuis 2008 312,2 % des établissements employeurs de l’industrie 4Un déclin du volume d’établissements moins marqué qu’à l’échelle nationale 4Un établissement sur six compte au moins 100 salariés 4Une moyenne de 15 créations d’établissement par an entre 2009 et 2015 6

Actifs occupés 7Une large majorité d’ouvriers parmi les actifs occupés 7Près d’un actif occupé sur deux âgé de 40 à 54 ans 7Les femmes moins représentées que dans le reste de l’industrie 796 % d’emplois pérennes 8Peu d’emplois à temps partiel 838 % de diplômés d’un CAP ou BEP 8

Marché du travail 10Plus d’un demandeur d’emploi sur deux est au chômage depuis plus d’un an 10Plus de six demandeurs d’emploi sur dix détiennent au plus un diplôme de niveau V 10Les offres d’emploi 10

Périmètres 11Note méthodologique 16Contexte 20

3L’industrie du papier-carton - Juillet 2017 | Observatoires en Grand Est

Tissu productif Plus de 10 000 salariés en Grand Est dans l’industrie du papier-carton

1 Fabrication de papiers et cartons destinés à être transformés ultérieurement.2 Étiquettes, papier-filtre, carton-filtre, tambours, bobines, busettes, canettes, emballages en pâte à papier, cartes perforées, gadgets, papier fantaisie.

Alors que toutes activités confondues, le Grand Est regroupe 10,5 % des salariés de la sphère privée en France de province, l’industrie régionale du papier-carton représente 17,6 % des effectifs nationaux. Avec 10 029 salariés en 2015, le Grand Est est ainsi la première région de France de province en termes d’effec-tifs recensés dans ce secteur. En région, le papier-carton pèse pour 4,2 % des salariés de l’industrie, soit une légère surreprésentation par rapport à l’échelon national (+ 1,3 point).

On note que les territoires lorrain et alsacien regroupent chacun environ 4 000 salariés du secteur, quand la Champagne-Ardenne en compte moitié moins. Toujours sur le plan de la répartition géographique, il est intéressant de constater à un niveau plus fin que la moitié des effectifs salariés sont localisés sur les départe-ments du Haut-Rhin et des Vosges. Il s’agit des deux départements du Grand Est traversés par le Parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Sources : Acoss, données au 31 décembre 2015 (champ : secteur privé) ; Insee, Sirene, 2016.

Près de trois salariés sur dix recensés dans la fabrication de papier et cartonLa fabrication de papier et de carton1 est la principale activité du secteur en Grand Est en termes de sala-riés, regroupant 29,0 % des effectifs, devant la fabrication d’articles en papier à usage sanitaire ou domes-tique (24,8 %) et la fabrication de carton ondulé (18,1 %). On recense également quatre autres activités qui comptent entre 5 et 8 % (soit plus de 500 salariés) de l’industrie régionale du papier-carton : la fabrication de cartonnages, d’autres articles en papier ou carton2, d’emballages en papier, et d’articles de papeterie.

Par rapport au niveau national, le secteur est caractérisée par un poids nettement plus important de la fabrication d’articles en papier à usage sanitaire ou domestique (+ 14,7 points). Les salariés du Grand Est de cette activité représentent ainsi 43,1 % des effectifs nationaux. La fabrication de papier et de carton apparaît également plus présente en région (+ 4,5 points), tandis que les activités de fabrication de carton ondulé et

de cartonnages sont sous-représentées (- 7,8 et - 7,7 points).

Source : Acoss, données au 31 décembre 2015 (champ : secteur privé).

Des effectifs en baisse constante depuis 2008En 2015, l’industrie régionale du papier-carton compte environ 2 000 salariés de moins qu’en 2008, ce qui cor-respond à une diminution de 16,8 % en sept ans. En moyenne sur la période, le secteur a ainsi perdu chaque année 2,6 % de ses effectifs en Grand Est, un rythme comparable à celui observé en France de province (- 2,3 % par an). Cette évolution est également proche de ce qu’on observe en moyenne dans l’industrie en région (- 2,9 % par an), et apparaît plus soutenue que toutes activités confondues (- 0,9 % par an).C’est dans la fabrication de papier et de carton qu’on relève la baisse d’effectifs la plus significa-tive entre 2008 et 2015, avec environ 1 100 salariés en moins (- 27,9 %). Cette tendance néga-tive est toutefois moins prononcée dans la fabrication d’articles en papier à usage sanitaire ou


domestique (- 2,4 %) et la fabrication d’emballages en papier (- 1,7 %). Ces deux activités affichent ainsi des effectifs salariés proches de la stabilité en Grand Est, alors qu’ils diminuent plus nettement au niveau national (respectivement - 7,3 % et - 21,1 %).

Entre 2014 et 2015, l’activité de fabrication de papier et de carton, la plus présente en région, poursuit sa tendance baissière (- 7,2 %) et explique en grande partie la contraction du volume de salariés dans le secteur sur cette période (- 2,5 %). Les effectifs semblent toutefois se stabiliser quelque peu dans la plupart des autres activités.

Source : Acoss, données au 31 décembre de l’année (champ : secteur privé).

12,2 % des établissements employeurs de l’industrieLe Grand Est compte 134 établissements employeurs dans l’industrie du papier-carton en 2015, soit 12,2 % des entités du secteur en France de province. Ce poids, moindre que celui observé en termes d’effectifs salariés (17,6 %), met en exergue une présence d’entités de taille importante, plus forte en région que sur le reste du territoire.

Avec une trentaine de structures, la fabrication de cartonnages affiche le volume d’établissements employeurs le plus important, devant les activités de fabrication de papier et de carton, de carton ondulé, et d’autres articles en papier ou en carton, comptant chacune une vingtaine d’entités.

La fabrication d’articles en papier à usage sanitaire ou domestique, qui représente 9,7 % des établissements employeurs, recense en moyenne 191 salariés par entité. De même, la fabrication de papier et de carton affiche un effectif moyen de 127 salariés par établissement (contre 75 dans le secteur, 36 dans l’industrie, et 10 toutes activités confondues).

Source : Acoss, données au 31 décembre 2015 (champ : secteur privé).

Un déclin du volume d’établissements moins marqué qu’à l’échelle nationaleLe nombre d’établissements recensés en Grand Est dans l’industrie du papier-carton a baissé de 18 unités entre 2008 et 2015. L’évolution relative apparaît légèrement moins défavorable qu’au niveau national (- 11,8 % contre - 14,3 %), et se rapproche de la tendance observée dans l’industrie au niveau régional (- 10,5 %).

Les activités de fabrication d’autres articles en papier ou en carton, de papier et de carton, et de cartonnages ont été les plus touchées, comptant chacune en 2015 de 5 à 7 établissements de moins qu’en 2008. Les autres activités du secteur sont pour leur part proches de la stabilité.

À plus court terme, entre 2014 et 2015, le nombre d’établissements employeurs dans l’industrie du papier-car-ton apparaît quasiment inchangé.

Source : Acoss, données au 31 décembre de l’année (champ : secteur privé).

Un établissement sur six compte au moins 100 salariés En 2015, 49,5 % des établissements immatriculés en Grand Est dans l’industrie du papier-carton comptent moins de 10 salariés, soit 8,0 points de moins qu’en France de province. Les unités présentes dans la région


sont donc relativement grandes en termes d’effectifs. Ce constat est corroboré par la proportion d’établisse-ments comptant au moins 100 salariés (16,7 %), une donnée plus élevée qu’au niveau national (10,2 %), mais aussi qu’au niveau régional dans l’industrie (4,1 %) et toutes activités confondues (0,6 %).

Source : Insee, Sirene - répertoire des entreprises et des établissements (champ : activités marchandes non agricoles).

F Principaux établissements employeurs de l’industrie du papier-carton en Grand Est

Source : Insee, Sirene, 2016

Note : ne figurent que les établissements de 200 salariés et plus ; depuis le 01/01/2016, certains établissements ont pu fermer ou voir leur effectif évoluer.

Raison sociale Commune Taille Activité

Papeteries de Clairefontaine Étival-Clairefontaine 500 à 999 salariés Fabrication de papier et de carton

Sofidel Frouard 500 à 999 salariés Fabrication d'articles en papier à usage sanitaire ou domestique

Amcor Flexibles Sarrebourg 250 à 499 salariés Fabrication d'emballages en papier

DS Smith Packaging Nord-Est Kunheim 250 à 499 salariés Fabrication de carton ondulé

Kimberly-Clark Villey-Saint-Étienne 250 à 499 salariés Fabrication de papier et de carton

Lucart Laval-sur-Vologne 250 à 499 salariés Fabrication d'articles en papier à usage sanitaire ou domestique

Munksjo Arches Arches 250 à 499 salariés Fabrication de papier et de carton

Norske Skog Golbey 250 à 499 salariés Fabrication de papier et de carton

Paul Hartmann Châtenois 250 à 499 salariés Fabrication d'articles en papier à usage sanitaire ou domestique

Paul Hartmann Lièpvre 250 à 499 salariés Fabrication d'articles en papier à usage sanitaire ou domestique

SCA Tissue Kunheim 250 à 499 salariés Fabrication d'articles en papier à usage sanitaire ou domestique

DS Smith Packaging Velin Éloyes 200 à 249 salariés Fabrication de carton ondulé

GPV France Saint-Amarin 200 à 249 salariés Fabrication d'articles de papeterie

Johnson & Johnson Santé Beauté Sézanne 200 à 249 salariés Fabrication d'articles en papier à usage sanitaire ou domestique

Munksjo Stenay 200 à 249 salariés Fabrication de papier et de carton

Rossmann La Vancelle 200 à 249 salariés Fabrication de papier et de carton

Smurfit Kappa Bag in Box Épernay 200 à 249 salariés Fabrication de cartonnages


Une moyenne de 15 créations d’établissement par an entre 2009 et 2015

3 Source : Banque de France.

Avec 11 établissements créés en 2015, le papier-carton représente 1,0 % des créations dans l’industrie en Grand Est. Ce poids apparaît comparable au niveau national, où l’on a recensé 168 créations (1,2 % de l’industrie).

En région comme en France de province, c’est le statut d’artisan qui est le plus utilisé (plus de 60 % des cas), et la fabrication d’autres articles en papier ou en carton qui enregistre le plus de créations en 2015 (5 en région), devant la fabrication d’articles de papeterie (3 en région).

Entre 2009 et 2015, l’industrie du papier-carton affiche une moyenne de 15 entités créées chaque année, avec un pic de 26 créations atteint en 2014.

Du côté des défaillances d’entreprise, moins de 3 ont été recensées dans le secteur en 2015. Ce volume apparaît ainsi plus faible que les années précédentes, puisqu’entre 2009 et 2014 l’industrie du papier-carton enregistrait en moyenne 5 défaillances par an.3

Source : Insee, Sirene - répertoire des entreprises et des établissements (champ : activités marchandes non agricoles).


Actifs occupés

4 L’indice de vieillissement correspond ici au nombre de personnes de 50 ans et plus pour 100 actifs occupés de moins de 30 ans.5 Dont ouvriers non qualifiés de laboratoire

Pour mémoire, l’exPloitation du recensement de PoPulation, qui a Pour objet de caractériser les actifs occuPés de l’industrie, se fait sur la base d’une entrée croisée Professions (Pcs) et secteurs d’activités (naf) afin d’avoir une analyse ciblée du coeur de métier (métiers de l’industrie exercés dans les activités de l’industrie).un code Pcs Peut être transversal et se retrouver dans Plusieurs secteurs, comme Par exemPle les ouvriers de la comPosition et de l’imPression, ouvriers qualifiés de la brochure, de la reliure et du façonnage du PaPier-carton, les ouvriers qualifiés divers de tyPe industriel, etc. le croisement avec les codes d’activité (naf) Permet d’obtenir une réPartition de ces métiers Par secteur.

Une large majorité d’ouvriers parmi les actifs occupésOn compte en 2013 environ 5 600 actifs occupant une des professions de l’industrie du papier-carton dans une des activités du secteur en Grand Est. Parmi eux, plus de 2 500 sont des ouvriers qualifiés (45,0 %), et près de 2 100 des ouvriers non qualifiés (36,8 %). Au total, les ouvriers représentent 81,8 % des actifs occupés du papier-carton, une présence plus forte que dans l’ensemble de l’industrie (+ 13,7 points). Les deux catégories les plus représentées sont ensuite les ingénieurs et cadres techniques (9,5 %) et les techniciens (6,6 %).

Cette répartition apparaît similaire à celle observée en France de province, bien qu’on note une légère sous-représentation des ouvriers qualifiés (- 1,9 point), contrebalancée en partie par le poids des ingénieurs et cadres techniques (+ 1,2 point).

Près d’un actif occupé sur deux âgé de 40 à 54 ansÀ l’image de l’industrie régionale, les actifs occupés du papier-carton se concentrent pour près de la moitié sur les classes d’âges entre 40 et 54 ans, un constat que l’on retrouve à l’échelle nationale. En Grand Est, les 45-49 ans sont même surreprésentés par rapport à l’industrie prise dans son ensemble (+ 1,9 point), tandis que les 20-24 ans se révèlent moins présents (- 1,3 point).

On retrouve ainsi un indice de vieillissement4 des actifs occupés du papier-carton proche de celui de l’indus-trie, montrant que pour 100 individus de moins de 30 ans, on en compte 203 âgés de 50 ans et plus. Quelques

professions se démarquent sur ce plan : pour les ouvriers de la composition et de l’impression, ouvriers qualifiés de la brochure, de la reliure et du façonnage du papier-carton, ce ratio s’élève à 269, alors qu’il est d’environ 160 pour les ouvriers qualifiés et les ouvriers non qualifiés de la fabrication du papier-carton.

Les femmes moins représentées que dans le reste de l’industrieTout comme au niveau national, l’industrie du papier-carton en Grand Est se révèle plus masculine que dans le reste de l’industrie, avec 83,0 % d’hommes (+ 2,9 points par rapport aux professions de l’industrie régionale).

Les ouvriers non qualifiés divers de type industriel5 se distinguent toutefois par une présence masculine moins marquée (65,1 %), tandis que cette présence est plus forte parmi les ouvriers qualifiés (93,2 %) et non qualifiés (87,3 %) de la fabrication du papier-carton.


96 % d’emplois pérennes

6 Emploi sans limite de durée, CDI, titulaire de la fonction publique

Les actifs occupés de l’industrie du papier-carton sont 95,6 % à travailler en contrat pérenne6, une propor-tion supérieure à celles de la sphère industrielle (93,1 %) et de l’ensemble de l’économie (78,9 %) en région Grand Est. La part de l’apprentissage et des stages atteint 1,5 % des actifs occupés, une proportion similaire à la moyenne relevée dans l’industrie.

La présence d’emplois pérennes apparaît plus forte parmi les ouvriers qualifiés de la brochure, de la reliure et du façonnage du papier-carton (98,2 %), tandis que les CDD sont plus représentés chez les ouvriers non qualifiés divers de type industriel (5,9 % contre 2,9 % dans le secteur). Par ailleurs, la proportion d’actifs occupés en apprentissage est plus élevée parmi les ouvriers, qualifiés et non qualifiés, de la fabrication du papier-carton (3,1 %).

Peu d’emplois à temps partielOn recense 3,9 % d’emplois à temps partiel parmi les actifs occupés de l’industrie du papier-carton, soit une proportion proche de celle de l’industrie (4,1 %), et bien inférieure à ce qu’on observe toutes professions et activités confondues (18,0 %).

On relève une utilisation plus fréquente de ce type de contrat parmi les ouvriers non qualifiés divers de type industriel (9,7 %), quand elle apparaît bien plus faible chez les ouvriers qualifiés de la fabrication du papier-car-ton (1,7 %).

38 % de diplômés d’un CAP ou BEP Bien qu’on observe une élévation du niveau de formation entre 2008 et 2013 (+ 5,5 points pour la propor-tion de diplômés a minima du baccalauréat), les actifs occupés du papier-carton semblent légèrement moins diplômés que dans le reste de l’industrie. Les titulaires d’un CAP ou d’un BEP sont les plus nombreux dans le secteur (38,0 %), bien qu’ils soient moins présents que dans l’ensemble de l’industrie (- 2,6 points), devant les peu ou pas diplômés (22,3 % ; + 1,6 point), les détenteurs d’un baccalauréat (21,5 % ; + 3,4 points), et les

diplômés du supérieur (18,1 % ; - 2,4 points).

Du côté des moins de 30 ans, l’élévation du niveau de formation dans l’industrie du papier-carton est plus visible, puisque 72,2 % d’entre eux détiennent au moins un baccalauréat, contre 39,6 % tous âges confondus. Cette proportion de niveaux IV et plus parmi les jeunes travailleurs du secteur apparaît nettement plus importante que dans l’ensemble de l’industrie (+ 9,0 points).


F Synthèse des caractéristiques des principales professions de l’industrie du papier-carton en Grand Est

Source : Insee, recensements de la population (champ : actifs occupés âgés de 15 ans ou plus).

Notes : pour chaque indicateur, la valeur la plus élevée est colorée en rouge et la valeur la plus faible en bleu ; ne figurent que les professions présentant un effectif d’au moins 300 actifs occupés en Grand Est.

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Toutes professions et activités confondues 2 275 047 - 1,8 % 47,1 % 137 17,6 % 2,3 % 18,0 %

Industrie 196 515 - 14,3 % 19,9 % 195 20,7 % 1,7 % 4,1 %

Papier-carton, dont : 5 578 - 8,2 % 17,0 % 203 22,3 % 1,5 % 3,9 %

Ouvriers de la composition et de l'impression, ouvriers qualifiés de la brochure, de la reliure et du façonnage du papier-carton

1 266 + 9,1 % 16,5 % 269 24,2 % - 2,8 %

Ouvriers non qualifiés divers de type industriel 1 178 + 3,1 % 34,9 % 207 40,0 % 0,8 % 9,7 %

Opérateurs et ouvriers qualifiés des industries lourdes du bois et de la fabrication du papier-carton

855 - 26,6 % 6,8 % 159 17,9 % 3,0 % 1,7 %

Ouvriers de production non qualifiés : industrie lourde du bois, fabrication des papiers et cartons

850 - 20,9 % 12,7 % 156 30,2 % 2,8 % 3,1 %


Marché du travailavertissement : les données relatives à la demande d’emPloi Présentées dans cette Partie, diffusées Par Pôle emPloi, sont arrondies à la dizaine. les Pourcentages affichés sont ainsi aPProximés et les nombres doivent être Pris avec Précaution. les données les Plus récentes concernent le 4e trimestre 2016.figurent dans cette Partie les métiers sPécifiques se référant au secteur, excluant donc les métiers transversaux de l’industrie. les données Pour ces métiers sont Prises en comPte dans le cahier global industrie.

7 DEFM ABC : demandeurs d’emploi en fin de mois tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi et immédiatement disponibles8 Activités destinées à préparer le travail d’impression

Plus d’un demandeur d’emploi sur deux est au chômage depuis plus d’un anAvec 1 260 demandeurs d’emploi comptabilisés au quatrième trimestre 2016, l’industrie du papier-carton représente 2,0 % des DEFM ABC7 de l’industrie. Ce volume a augmenté de 22,3 % par rapport au dernier trimestre 2011 (contre + 15,1 % dans l’ensemble de l’industrie), mais affiche un recul de 7,4 % par rapport à 2015 (contre - 2,3 %). Les métiers sur lesquels la demande se concentre sont ceux de la conduite de machines d’impression (360 DEFM ABC, soit 28,6 %), la pré-presse8 (320 DEFM ABC, soit 25,4 %) et la conduite d’équi-pement de fabrication de papier ou de carton (260 DEFM ABC, soit 20,6 %).

Globalement, on observe une part importante de chômeurs de longue durée parmi les demandeurs d’emploi du secteur (54,8 %). Ils apparaissent ainsi surreprésentés par rapport à l’ensemble des métiers de l’industrie (+ 5,0 points). C’est également le cas des 50 ans et plus (+14,8 points), qui représentent 41,3 % des DEFM ABC sur les métiers du papier-carton.

À l’image des métiers de l’industrie en général, on recense en outre peu de femmes parmi les demandeurs d’emploi (27,8 %) et encore moins de jeunes âgés de moins de 25 ans (11,9 %). Les métiers de la pré-presse se distinguent cependant des autres métiers du secteur par une présence moins importante des 50 ans et plus (- 16,3 points), au profit notamment des moins de 25 ans (+ 16,2 points). On y trouve également une présence féminine plus marquée (+ 16,0 points).Source : Dares-Pôle emploi, données au 4ème trimestre de l’année.

Plus de six demandeurs d’emploi sur dix détiennent au plus un diplôme de niveau VParmi les demandeurs d’emploi inscrits sur les métiers de l’industrie du papier-carton, 65,1 % ont obtenu au mieux un diplôme de niveau V, une proportion comparable à celle que l’on relève sur les métiers de l’industrie (65,6 %).

Les niveaux de formation des demandeurs d’emploi sont pour autant très différents d’un métier à l’autre. Ainsi, pour les métiers de la pré-presse, c’est le niveau III qui est le plus représenté, avec quatre demandeurs sur dix, tandis que ce niveau de formation est détenu par moins d’un demandeur sur dix sur les métiers de la conduite de machines d’impression et la conduite d’équipement de fabrication du papier ou du carton.Source : Dares-Pôle emploi, données au 4ème trimestre 2016.

Les offres d’emploi

les données sur les offres d’emPloi enregistrées Par Pôle emPloi n’ont Pas été communiquées Par la direccte Pour cette Publication


PÉRIMÈTRES

Nomenclature d’activité (Naf) ................................................12

Nomenclature des professions (PCS) ..................................13

Nomenclature de métier (Rome) ...........................................15



Nomenclature d’activité (Naf)La Naf est produite par l’Insee. La version actuelle est entrée en vigueur en 2008. La Naf découpe la produc-tion de biens et services en 732 activités au niveau le plus détaillé.Toute entreprise et chacun de ses établissements se voient attribuer par l’Insee, lors de son inscription au répertoire Sirene, un code caractérisant son activité principale exercée (APE), par référence à la Naf. Il est la base des classements des entreprises et des établissements par secteur d’activité.

Papier-Carton

NAF 732 Intitulé NAF 732

1711Z Fabrication de pâte à papier

1712Z Fabrication de papier et de carton

1721A Fabrication de carton ondulé

1721B Fabrication de cartonnages

1721C Fabrication d'emballages en papier

1722Z Fabrication d'articles en papier à usage sanitaire ou domestique

1723Z Fabrication d'articles de papeterie

1724Z Fabrication de papiers peints

1729Z Fabrication d'autres articles en papier ou en carton

Plus d’info sur la Nomenclature d’activité (Naf),consulter le site

https://www.insee.fr/fr/information/2406147



Nomenclature des professions (PCS)La PCS, produite par l’Insee, est utilisée dans les différentes sources sur l’emploi pour codifier les professions. La version actuelle est entrée en vigueur en 2003. La PCS classe la population selon une synthèse du métier exercé, de la position hiérarchique et du statut (salarié ou non). 486 professions sont ainsi identifiées au niveau le plus détaillé.

Papier-Carton

PCS Intitulé PCS

385a Ingénieurs et cadres d'étude, recherche et développement des industries de transformation (agroalimentaire, chimie, métallurgie, matériaux lourds)

385b Ingénieurs et cadres de fabrication des industries de transformation (agroalimentaire, chimie, métallurgie, matériaux lourds)

386a Ingénieurs et cadres d'étude, recherche et développement des autres industries (imprimerie, matériaux souples, ameublement et bois, énergie, eau)

386e Ingénieurs et cadres de fabrication des autres industries (imprimerie, matériaux souples, ameublement et bois)

626c Opérateurs et ouvriers qualifiés des industries lourdes du bois et de la fabrication du papier-carton

627f Ouvriers de la composition et de l'impression, ouvriers qualifiés de la brochure, de la reliure et du façonnage du papier-carton

674e Ouvriers de production non qualifiés : industrie lourde du bois, fabrication des papiers et cartons


Professions transversales

PCS Intitulé PCS

380a Directeurs techniques des grandes entreprises

383a Ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement en électricité, électronique

387c Ingénieurs et cadres des méthodes de production

387d Ingénieurs et cadres du contrôle-qualité

387f Ingénieurs et cadres techniques de l'environnement

473a Dessinateurs en électricité, électromécanique et électronique

473b Techniciens de recherche-développement et des méthodes de fabrication en électricité, électromécanique et électronique

473c Techniciens de fabrication et de contrôle-qualité en électricité, électromécanique et électronique

477a Techniciens de la logistique, du planning et de l'ordonnancement

477b Techniciens d'installation et de maintenance des équipements industriels (électriques, électromécaniques, mécaniques, hors informatique)

477d Technicien de l’environnement et du traitement des pollutions

482a Agents de maitrise en fabrication de matériel électrique, électronique

486a Agents de maitrise en maintenance, installation en électricité, électromécanique et électronique

486d Agents de maitrise en maintenance, installation en mécanique

622a Opérateurs qualifiés sur machines automatiques en production électrique ou électronique

622b Câbleurs qualifiés, bobiniers qualifiés

622g Plateformistes, contrôleurs qualifiés de matériel électrique ou électronique

628a Mécaniciens qualifiés de maintenance, entretien : équipements industriels

628b Électromécaniciens, électriciens qualifiés d'entretien : équipements industriels

628g Ouvriers qualifiés divers de type industriel

672a Ouvriers non-qualifiés de l’électricité et de l’électronique

676e Ouvrier non-qualifiés divers de type industriel

Plus d’info sur la Nomenclature des professions (PCS),consulter le site




Plus d’info sur la Nomenclature de métier (Rome),consulter le site

Nomenclature de métier (Rome)Le Rome est produit par Pôle emploi pour caractériser les emplois recherchés par les demandeurs inscrits ainsi que les offres déposées par les entreprises, dans une logique opérationnelle de placement. La version actuelle est entrée en vigueur en 2009. Le Rome se compose d’un répertoire alphabétique des appellations professionnelles courantes (près de 11 000 utilisées) qui sont regroupées dans la liste des 531 emplois-métiers.

Papier-Carton

Rome Intitulé Rome

E1301 Conduite de machines d'impression

E1302 Conduite de machines de façonnage routage

E1304 Façonnage et routage

E1306 Prépresse

E1307 Reprographie

H3101 Conduite d'équipement de fabrication de papier ou de carton

H3102 Conduite d'installation de pâte à papier

http://www.pole-emploi.fr/candidat/le-code-rome-et-les-fiches-metiers-@/article.jspz?id=60702

http://www.pole-emploi.fr/candidat/le-code-rome-et-les-fiches-metiers-@/article.jspz?id=60702


NOTE MÉTHODOLOGIQUE

Définitions• La population active est composée de tous

les habitants :- qui travaillent : population active ayant un emploi ;- qui sont à la recherche d’un emploi : population

active au chômage.

• La population active en emploi, au sens du recensement de la population, comprend les tra-vailleurs salariés et non-salariés (indépendants,

employeurs et aidants) qui résident dans le pays, mais pas les travailleurs frontaliers entrants.

> Depuis 2004, sont aussi prises en compte les personnes ayant un emploi occasionnel ou de courte durée, et déclarées étu-diant, retraité ou chômeur.

Voir : recensement de la population, source Insee

• Chômeurs ou demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) :

Cette notion renvoie aux demandeurs d’emploi inscrits au dernier jour du mois à Pôle emploi dans l’une des catégories ci-dessous :A : demandeurs d’emploi n’ayant exercé aucune

activité dans le mois et tenus d’accomplir des actes positifs de recherche, peu importe le type d’emploi demandé (CDI, CDD, intérim, temps plein ou partiel...).

B : demandeurs d’emploi tenus d’accomplir des actes positifs de recherche, ayant exercé une activité réduite courte (moins de 78 heures) au cours du mois.

C : demandeurs d’emploi ayant exercé une activité réduite longue (plus de 78 heures) au cours du mois, tenus d’accomplir des actes positifs de recherche d’emploi.

D : demandeurs d’emploi non immédiatement disponibles : en arrêt maladie, en stage ou en formation, donc non tenus de faire des actes positifs de recherche.

E : demandeurs non immédiatement disponibles, déjà pourvus d’un emploi et à la recherche d’un autre emploi (ex. : bénéficiaires de contrats aidés...). Ils sont non tenus d’accomplir des actes positifs de recherche d’emploi.

• Qualification des demandeurs d’emploi et des offres d’emploi :

La qualification du demandeur d’emploi dans l’em-ploi métier recherché est codifiée en 9 niveaux.Les « non qualifiés » concernent les emplois métiers de manœuvres, ouvriers spécialisés, ouvriers non qualifiés, et employés non qualifiés.Les ouvriers qualifiés et ceux hautement qualifiés, les employés qualifiés, les techniciens, les agents de maîtrise et les ingénieurs ou cadres consti-tuent les autres catégories.

• Le métier est employé : - au sens de la profession exercée par les actifs en

emploi, codifié à l’aide de la nomenclature des Professions et catégories socioprofessionnelles (PCS) ;

- au sens de l’emploi-métier recherché, pour clas-ser les actifs au chômage selon le Répertoire opérationnel des métiers et des emplois (Rome).


https://www.insee.fr/fr/metadonnees/source/s1321


• Un secteur d’activité regroupe des unités économiques de fabrication, de commerce ou de service qui ont la même activité principale (au regard de la nomenclature d’activité éco-nomique considérée). L’activité d’un secteur n’est donc pas tout à fait homogène et com-prend des productions ou services secon-daires qui relèveraient d’autres items de la nomenclature que celui de l’activité principale. Au contraire, une branche regroupe des uni-tés de production homogènes, qui produisent des biens ou rendent des services qui corres-pondent à un seul item de la nomenclature d’activité économique considérée.

Voir : la nomenclature d’activités françaises (Naf)

• L’entreprise est la plus petite combinaison d’unités légales qui constitue une unité organisa-tionnelle de production de biens et de services jouissant d’une certaine autonomie de décision, notamment pour l’affectation de ses ressources

courantes (source Insee).

• L’établissement est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridique-ment dépendante de l’entreprise. Un établisse-ment produit des biens ou des services : ce peut être une usine, une boulangerie, un magasin de vêtements, un des hôtels d’une chaîne hôtelière, la « boutique » d’un réparateur de matériel infor-matique... Selon l’Insee, il constitue le niveau le mieux adapté à une approche géographique de l’économie (source Insee).

• Création d’établissement :Selon le concept harmonisé au niveau européen, il y a « création d’établissement » dans les cas suivants :- création de nouveaux moyens de production ;- reprise d’activité après interruption de plus d’un an ;- reprise après interruption de moins d’un an,

mais assortie d’un changement d’activité ;- reprise par un établissement nouveau, des activi-

tés d’un autre établissement s’il n’y a pas conti-nuité entre la situation du cédant et celle du repreneur, en termes d’activité et de localisation (source Insee).

> Une création d’établissement n’implique pas mécaniquement une création d’emploi.

> En 2009, les créations ont fortement progressé suite à la créa-tion du régime d’autoentrepreneur, devenu micro-entrepreneur en 2014.

> La création de l’autoentreprise est enregistrée à la date de sa déclaration, que l’activité ait effectivement démarré ou non.

Voir : Sirene REE - Insee

• Défaillance d’entreprise :Elle est définie par l’ouverture d’une procédure

judiciaire pour mise en redressement judiciaire ou liquidation judiciaire d’une entreprise à la suite de problèmes financiers. Celle-ci peut avoir dif-férentes issues : liquidation de l’entreprise, pour-suite de l’activité suite à un plan de continuation, reprise de l’entreprise suite à un plan de cession. Les liquidations qui font suite à une défaillance ne représentent que 20 % en moyenne de l’ensemble des cessations d’activité. La majorité des cessa-tions d’activité, avec ou sans reprise par un tiers, a pour origine un des motifs suivants : départ à la retraite, problèmes personnels, décès, difficultés économiques sans dépôt de bilan…> Une défaillance d’entreprise ne doit pas être confondue avec

une cessation d’activité.Voir Insee - Banque de France

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https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/001656092

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Sources mobilisées• L’observation des entreprises et leurs sala-

riés se fait à partir de plusieurs sources :Système informatisé répertoire national des entre-prises et des établissements (Sirene REE) - InseeSirene enregistre toutes les entreprises et leurs établissements, quelle que soit leur forme juri-dique et quel que soit leur secteur d’activité en France. Les entreprises étrangères qui ont une représentation ou une activité en France y sont également répertoriées. Ce répertoire est la base de l’observation de la démographie des entre-prises et des établissements où tous les mouve-ments les affectant sont enregistrés.Il donne lieu :- d’une part, au dénombrement annuel des entités

exerçant une activité économique réelle au 31 décembre,

- et d’autre part au dénombrement des mou-vements de création intervenus au cours de

chaque année.Le champ marchand non agricole (MNA) est uti-lisé pour les analyses et comparaisons. Il couvre les unités légales, productives et marchandes, exerçant une activité économique réelle dans les secteurs d’activité de l’industrie, de la construc-tion, du commerce et des services.> Les autoentreprises créées avant fin septembre de l’année N.

qui n’ont déclaré aucun chiffre d’affaires au titre de l’année N. sont exclues des fichiers de stocks au 31 décembre de l’année N. Par contre, elles sont enregistrées dans les créations de l’année.

Bordereaux récapitulatifs de cotisation (BRC) - Acoss-UrssafPour régler les cotisations sociales, les établisse-ments employant des salariés relevant du régime

général de la sécurité sociale ou d’un régime assi-milé remplissent les bordereaux récapitulatifs de cotisation (BRC) collectés par les Urssaf. Ces BRC fournissent, d’une part, les effectifs en fin de période et, d’autre part, le nombre de salariés rémunérés et les salaires versés au cours de la période (fichier centralisé par l’Acoss).> Les secteurs agricole et non marchand sont peu couverts.

• L’observation des actifs en emploi se fait à partir du recensement de la population (RP) - Insee :

Le recensement repose sur une collecte d’infor-mation annuelle, concernant successivement toutes les communes au cours d’une période de cinq ans. Les données produites sont millésimées à l’année médiane de la période quinquennale : les don-nées 2013 ont ainsi été collectées entre 2011 et 2015.

Le recensement de la population décrit la popula-tion résidant en France et ses principales caracté-ristiques : sexe, âge, professions exercées, secteurs d’activité employeurs, statuts et conditions d’emploi, temps de travail…> Le recensement repose sur le déclaratif des personnes.

> Les chiffres inférieurs à 300 doivent être utilisés avec précaution ; ceux inférieurs à 50 peuvent être non significatifs.

> Seuls les millésimes du RP espacés de 5 années peuvent être comparés (2013 est comparé avec 2008).

> Les personnes venant travailler en France et résidant à l’étranger ne sont pas recensées.



• L’observation du marché du travail :Statistique mensuelle du marché du travail (STMT) - ministère du TravailEnsemble des données sur la demande et l’offre d’emploi collectées par Pôle emploi sur une année selon les emplois métiers demandés et les entre-prises ayant déposés les offres.> Les données sont arrondies à la dizaine par Pôle emploi. Les

valeurs affichées sont ainsi approximées.

• L’observation de la formation :Les niveaux de formation (et diplôme) Créée par la Commission statistique nationale en 1969 et utilisée notamment dans les différentes sources de données sur l’emploi et la formation :- niveau VI et V bis : sorties du primaire, du 1er cycle du second degré (collège), des formations prépro-fessionnelles, de l’enseignement adapté, ainsi que des classes de second cycle court avant l’année terminale (1re année des Certificats d’aptitude professionnelle [CAP] en 2 ans et des Brevets d’études profession-

nelles [BEP] 1re et 2e années des CAP en 3 ans).- niveau V : sorties de l’année terminale de second cycle court (CAP - BEP) et des classes de second cycle long avant la terminale (2de et 1re).

- niveau IV : sorties des classes terminales de second cycle long et des classes post-baccalauréat sans obten-tion de diplôme.

- niveau III : sorties avec un diplôme de niveau bac + 2 ans (DUT, BTS, DEUG, diplômes paramédicaux et sociaux, diplômes des cycles courts des écoles de commerce, d’art…).

- niveau II et I : sorties avec un diplôme de 2e ou 3e cycle universitaire (dernière année de Licence, Master, etc.) ou un diplôme de grande école, des écoles d’in-génieurs, des cycles longs des écoles de commerce, d’art...

Voir : Insee - RNCP

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https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c1389

http://www.rncp.cncp.gouv.fr/grand-public/explorerBaseDocumentaire?dossier=64

Financeurs

GIP LorPM - OPEQ - OREF AlsaceDirecteurs de publication :

Emmanuel JOURNOT, GIP Lorraine Parcours MétiersOlivier LETZELTER, OREF Alsace

Mouna TRIKI, OPEQ-OREF Champagne-Ardenne Rédaction OPEQ : Fabien MONNIER

Maquettage GIP LorPM : Marie-France AUDEBEAU et Estelle MARKOVIC

www.lorpm.eu | www.champagne-ardenne.cci.fr | www.oref-alsace.org

Contexte

Dans le cadre des travaux émanant du Contrat de plan régional de développement de la formation et de l’orientation professionnelles (CPRDFOP), les Oref en Grand Est (Observatoire régional emploi formation) ont été sollicités pour alimenter les réflexions menées autour des Contrats d’objectifs territoriaux (COT).

L’objectif est de produire deux documents synthétiques à partir d’un périmètre sectoriel partagé entre le Conseil régional et les branches professionnelles.

Ce cahier complète le volet générique réalisé sur l’industrie. Il dresse un état des lieux statistique et apporte un éclairage du secteur considéré à travers le tissu productif, les professions « cœur de métiers », le marché du travail.

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http://www.lorpm.eu

http://www.champagne-ardenne.cci.fr

http://www.oref-alsace.org

L’INDUSTRIE DU PAPIER-CARTON - oref.grandest.fr · Sources :Acoss, données au 31 décembre 2015...

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