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  • 8/12/2019 lEtude Stylistique

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    fait la littralit du

    texte ?(cf. Nathan n40)

    La rhtorique : lart du

    discours efficace.

    La pragmatique, ltude

    des actes de discours.

    La transtextualit :

    lintertextualit

    (citations), le paratexte

    (titres, sous-titres, dates),

    larchitexte (tout ce qui

    apparente un texte un

    genre.Hypertexte :

    transformation dun

    texte en un autre.)

    II. Outils spcifiques chaque

    genre.

    Thtre :

    1. Relation actantielle.

    2. Situation de communication

    (monologue, double

    nonciation...)

    3. Distribution des rpliques

    (tirades, stychomythies etc.)

    4. Fonction et disposition du

    passage : exposition,

    dnouement.

    5. Rle de la rhtorique et de

    largumentation.

    Posie

    1. Versification

    2. Forme fixe

    3. Rle des figures

    4. Narrativit : ellipse ou

    asyndte, par exemple, dans lastructure discursive.

    quantitative, ellipse.

    Mme le sens lexical est

    susceptible dune variation

    stylistique : dans le

    dictionnaire, il est dj

    actualis.

    Finalement, tout relve de la

    stylistique : structure

    phrastique, transphrastique...

    Sauf le schma actanciel.

    Cela dit, les traces des

    actants sont relever :

    pronoms, forme passive,

    pronominale, impersonnelle,

    factitive etc.

    de discours

    La modalit

    (seulement si

    premire personne) :

    verbes, adverbes,

    adjectifs etc.

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    Lapproche du texte

    A. La premire question se poser concerne le genreet lintentiondu texte. Pour ce dernier point, se

    reporter aux fonctions de Jakobson.

    Il faut tenter pour cela de dfinir la tonalitdu passage : raliste, fantastique, comique, piqueetc. Le

    texte a vocation de produire un effet.De l, on peut sattaquer au problme du type de texteque lon a

    entre les mains : quel est larchitexte?

    B.Qui parle ? Qui voit ? Quand ? A qui ? De quoi ? Et surtout : comment ? Avec quelles intentions

    perlocutoires ?

    12 Dcembre 1997

    Sinterroger sur les lments du texte qui peuvent se contredire peut tre une approche intressante. On

    peut ventuellement sintresser aussi sur le processus de la lecture.

    Lors de la rdaction, il est important de faire apparatre les titres, littraires ou linguistiques. Deux

    dmarches danalyses sont possibles :

    de la forme au sens, et ainsi penser linterprtation.

    de leffet de sens aux lments du texte, leffet inverse du prcdent. On part des ides principales

    dgages dans le plan et on en rapproche les phnomne linguistiques.

    Du Bellay,Les antiquits de Rome, 1558.

    Contient une description gnrale de la grandeur et comme une dploration de sa ruine.

    Dans quelle intention

    Pourquoi

    Sous quelle forme

    Tonalit

    Quand

    Qui parle

    A qui

    De quoi

    1558 : deuxime moiti du XVIe sicle, plein panouissement de la Renaissance.

    A la lecture : dirse, synrse. Locuteur absent, aucune marque de lnonciation, pas de " je ", pas de" maintenant ". Pas de destinataire apparent non plus. Pas de marques de discours : on sadresse au lecteur

    dans sa plus grande gnralit. Thme connu : gloire et dcadence de Rome.

    Analyse: pome descriptif vise argumentative : genre dmonstratif, but rhtorique, avec une tendance

    lpidictique (loge, emphase).

    Cest un texte o il faut relever les diffrents faits dexpression, les rptitions. Dans la posie, Ronsard

    est un crivain qui a beaucoup utilis largumentatif. Lloge ou le blme sont les figures quil emploie

    dans sa lyrique amoureuse, mais il se passe des arguments du logos proprement dit.

    Faits dexpression : rptitions (anaphore, tautologie : rpte le mme mot avec le mme sens.

    Polyptote: utilisation de deux mots de la mme famille). Emphase. Rimes banales(deux infinitifs du

    mme groupe). Paronomase : presque homophonie. Diaphore. Syllepse.

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