n°11 septembre 2010

La lettre BCE

> Mercredi 6 octobre 2010 : Assemblée Générale

> Mercredi 8 décembre 2010 : Visite de La Ferme de la Motte en activité

> Mercredi 2 février 2011 : Soirée Thématique

> Mercredi 6 avril 2011 : Visite des nouvelles installations de St Michel Biscuits

> Vendredi 24 juin 2011 : Soirée Festive

Sommaire> Interview de…

- Johan BLOT

> Rencontre avec… - Yann Madigou - COFELY

> Soirée BCE… - Le Basket Club Entreprises s’est ressourcé aux « Jardins corps et âme » !

Interview de Johan BLOTUne question d’actualité :

as-tu passé de bonnes vacances ?

Je ne suis pas parti en vacances. Je suis

allé dans les Vosges faire du vélo, travail-

ler ma cardio et me remettre à niveau

pour la pré-saison car je n’avais rien fait

depuis le 11 novembre 2009. J’ai grimpé

des cols, j’ai parcouru un peu plus de

800 km en 1 mois.

Comment as-tu vécu les 6 mois

éloignés du parquet ? La balle orange

te manquait-elle ?

J’ai été éloigné des parquets pendant

8 mois. Depuis le 12 novembre 2009

(date à laquelle on m’a annoncé la rupture

de la coiffe de mon épaule), je souffrais

énormément. Je ne dormais plus que 2 à

3 heures par nuit à cause de la douleur.

J’ai galéré pour trouver un bon chirurgien.

J’étais très fatigué mais après l’opération

(25 janvier), je me suis senti soulagé. Le

but de cette dernière était que je puisse

finir ma carrière sans gène, qu’à 50 ans je

ne ressente aucune douleur et que ça ne

recasse pas.Pendant toute cette période, je me suis

senti seul et peu entouré… c’est dans ces

moments là que l’on reconnait les per-

sonnes sur lesquelles l’on peut compter et

se reposer. Heureusement que ma famille

et mes amis m’ont soutenu. Je leur dois

beaucoup : sans eux,

je ne serais pas de

retour à ce niveau.

Dès que j’ai pu re-

jouer un peu avec

l’équipe de Fleury, je

me suis senti revivre.

Le basket me man-

q u a i t b ea u co u p :

c’est ma vie ! Si je

n’avais pas ressenti

de manque, je pense

qu’il aurait été temps

de raccrocher. Mais

cela n’a pas été le cas !

L’amour que j’ai pour ce

sport est toujours présent. Le fait de se

dépasser, de se fixer des objectifs per-

sonnels et collectifs, de se faire mal aux

entraînements : j’aime ça. Même si je n’ai

plus rien à prouver, je n’avais pas envie

d’arrêter ma carrière sur une blessure. J’ai

un tempérament de battant, je n’aban-

donne pas si facilement. Et tout ce qui ne

me tue pas me rend plus fort.

Et comment vis-tu ton retour

sur le parquet ? Mon retour sur les terrains de basket

s’est fait progressivement, j’ai recom-

mencé à shooter fin mars (juste shooter)

avec beaucoup d’appréhension car mon

Suite >

En introduction, pouvez-vous nous présenter votre entreprise COFELY ? COFELY est né de la fusion d’Elyo et de Cofathec en Mars 2009. Nous faisons partie du groupe GDF SUEZ Energie Ser-vices qui emploie 77 000 collaborateurs et conjuguons quotidiennement trois principaux métiers :- l’amélioration de la performance éner-

gétique et environnementale des bâti-ments notamment en développant le bois-énergie,

- la production, l’exploitation et la distri-bution des énergies locales et renou-velables,

- l’intégration de services.En France, COFELY emploie environ 13 600 salariés

Quels sont vos clients ?Le panel de nos clients est large. Nous accompagnons les collectivités locales, à travers notre offre globale d’amé-lioration de l’efficacité énergétique et environnementale des bâtiments communaux et tertiaires (bâtiments administratifs et d’enseignement, équi-pements sportifs et culturels) et nos réseaux de chaleur et de froid.

Nous proposons à l’Etat et à ses prin-cipaux Etablissements Publics (Hôpi-taux, Universités, Prisons) de les aider dans la mise en place de leurs nouvelles politiques d’efficacité énergétique et travaillons dans le cadre de contrat de performance avec les bailleurs sociaux vers l’amélioration de la gestion éner-gétique de l’habitat collectif : gestion optimisée des équipements de produc-tion et de distribution de l’énergie, sen-sibilisation des usagers, amélioration

Rencontre avec…

épaule me faisait encore un peu mal. Le chirurgien m’avait prévenu que les débuts seraient durs donc j’ai persé-véré et c’est revenu petit à petit.Fin mai, j’ai recommencé à réellement jouer mais avec appréhension : la peur de me prendre un mauvais coup ou de faire un mauvais geste. Mais c’était juste pour courir, tâter du ballon et sur-tout me prouver que je savais encore marquer des paniers. Et pour cela, je remercie mes partenaires que j’ai fait souffrir pendant toute ma convales-cence.

Quel est ton sentiment sur la com-position de cette nouvelle équipe ? Le début de saison ? L’équipe est bien composée avec un cadre d’anciens, deux bons étrangers et des jeunes qui ont soif d’apprendre et de progresser. Elle est très bien constituée avec des postes doublés.Le début de saison est à l’image de l’ambiance au sein de l’équipe. Per-sonne ne veut jouer perso. On est conscient que chaque joueur peut sco-rer et qu’à chaque match, un ou plu-sieurs équipiers peuvent prendre feu (comme contre Brest). C’est là-dessus qu’il faudra s’appuyer cette saison car c’est l’un de nos points forts avec la dé-fense qui commence à prendre forme.

Quelles sont tes ambitions sportives pour cette année ?Revenir à mon meilleur niveau et em-mener Blois en ProB. Vivre une mon-tée avec un groupe aussi sympathique ça serait cool et vraiment inoubliable ! Je sais de quoi je parle, je l’ai déjà vécu à Orléans.Prouver à tout le monde que j’ai en-core quelques belles années devant moi à Blois ou ailleurs !

Quel sera ton rôle au sein de cette équipe ?Mon rôle, je ne sais pas trop ; peut-être celui de grand frère. C’est plus à Nicolas qu’il faut poser cette question là.

Après les départs de Zo (Lorenzo ORR) et de Tonton (David CONDOUANT), tu es le dernier «papi» de l’équipe...La concurrence de la jeunesse n’est-elle pas trop rude ?Je ne me considère pas comme un « papi ». Je suis peut être le plus âgé sur le papier mais dans la tête et sur le parquet, je suis encore jeune. La preuve : mon temps de jeu est encore très élevé. Je suis toujours capable de jouer un match entier et j’ai faim de jeu et de défis. Je suis peut-être comme le bon vin : je m’améliore avec le temps !On a des jeunes qui ont soif d’apprendre comme Navid qui souffre aux entraî-nements face à moi mais qui aime ça, Jordan qui se frotte à Pierre à toutes les séances ; sans oublier Edouard, Keylian, Olivier et Benjamin…Même moi je continue à progresser face à Navid et à Chris, il est coriace le jeune !

As-tu imaginé que ta carrière pou-vait se terminer avec ce souci à l’épaule ? Suite à cette épreuve, as-tu une idée plus précise de ta car-rière «après-basket» ?Je me posais pleins de questions… Mais il était inconcevable de finir ma carrière sur une blessure.Oui j’ai un projet sur Dijon avec un ami mais aussi en tant qu’entraîneur peut-être (à condition d’avoir mon BE2 que je passe en juin 2011) et en fonc-tion des opportunités qui me seront offertes. Mais il peut y avoir d’autres ouvertures d’ici la fin de ma carrière !

Le Basket Club Entreprises s’est ressourcé aux « Jardins corps et âme » !Retour sur la soirée festive 2010 orga-nisée au Domaine de Chaumont-sur-Loire La traditionnelle soirée de fin de sai-son se déroulait cette année au sein du superbe site du Domaine de Chau-mont-sur-Loire. Au programme des festivités : visite du Festival Internatio-

nal des Jardins, bilan de la saison et bien sûr dîner convivial. Les membres du BCE étaient plus d’une centaine à avoir répondu présents. La soirée a débuté par la visite quelque peu humide du Festival des Jardins ; en effet la pluie avait, elle aussi, dé-cidé de s’inviter en cette belle jour-

née de juin. Des jardins qui apaisent, qui régénèrent…qui soignent l’« âme et le corps »… Rien de mieux pour ressourcer nos partenaires après cette saison sportive !

des installations, rénovation thermique du bâti, utilisation d’énergies renouve-lables, mini-réseaux de chaleur, etc.

COFELY a également développé des so-lutions pour répondre aux attentes des entreprises industrielles et du sec-teur grand tertiaire (secteur bancaire et des assurances, centres commer-ciaux, grands ensembles de bureaux, hôtellerie, data centers, etc.).

COFELY s’inscrit comme un acteur du développement durable. Pouvez-vous nous dire plus ?Nous concevons, mettons en œuvre et exploitons des solutions qui per-mettent aux entreprises et aux collec-tivités de mieux utiliser les énergies et de réduire leur impact environne-

mental : deux enjeux devenus urgents. En d’autres termes, nous aidons nos clients à répondre aux objectifs du Gre-nelle de l’Environnement !

Dans la région blésoise, nous exploi-tons, avec succès, des chaufferies bio-masse en secteur habitat et industrie depuis quelques années déjà.

En quoi consiste plus particulière-ment le partenariat de COFELY avec l’ADA Blois Basket ? Comment a-t-il été initié ?Le partenariat a été tout simplement initié par la découverte du Basket au cours d’un match de championnat Blois / Saint-Chamond la saison der-nière (avec l’ADA brillant vainqueur). L’ambiance de match et les contacts

envisagés ont convaincu COFELY de s’engager à supporter le sport majeur Basket sur Blois.

La participation aux matchs de cham-pionnat et au Basket Club Entreprise constitue le fondement du partenariat. L’objectif : faire découvrir le basket à nos clients invités dans une ambiance conviviale et de consolider nos contacts blésois.

Pour cette nouvelle saison de l’ADA partons du principe : efficacité éner-gétique à l’ADA et chez COFELY, c’est le même match !

> Soirée BCE…

Yann Madigou - COFELY

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Madame Chantal Colleu-Dumont, direc-trice du domaine de Chaumont-sur-Loire, a eu l’occasion de présenter ce dernier, propriété de la Région Centre depuis 2008. Cet établissement public a pour mission d’assurer, d’une part, la protec-tion et la mise en valeur de l’ensemble des composantes immobilières et mobi-lières du Domaine, comprenant le Châ-teau, les écuries, les dépendances, le parc et les collections, et d’autre part, de développer un ensemble d’activités centrées sur la création contemporaine, dans le château et dans le parc, incluant le Festival international des jardins. Côté BCE, le Président Huet a rappelé les grandes orientations, sonnant le ral-liement autour du club afin que l’ADA Basket puisse continuer à se développer. Pour ce qui est du sportif, suite aux sol-licitations de nombreux partenaires, Phi-lippe Daudin, Président de l’ADA, a déli-vré quelques éléments sur la construction de la future équipe, celle que vous allez être amenés à voir évoluer cette saison

sur le parquet du Palais des Sports. Mais la priorité allant à la convivialité, tous se sont retrouvés autour d’un dîner sous le Grand Velum, climat oblige, où discus-sions, rires et échanges furent une nou-velle fois au rendez-vous.

Informations et renseignements :

Julien Monclar - Tél. : 06 22 19 85 41

27, rue des Ecoles - 41000 BLOIS

E-mail : jm.adabasket@aliceadsl.fr