Les XVI° journées des IAE - Celine...

Les XVI° journées des IAE

En 2002, les XVI° journées des IAE sont organisées, pour la première fois, par l’IAE deParis. Le thème retenu est

Sciences de Gestion et Pratiques Managériales

. Les sciences degestion ont pour objet de fournir un cadre conceptuel permettant d’une part de mieuxcomprendre comment les entreprises (au sens large) s’organisent pour satisfaire des demandesdans des conditions pérennes et, d’autre part, de structurer les instrumentations mises en œuvre,d’en définir les conditions d’efficacité et d’en proposer des améliorations. Cette productionscientifique implique de la part de la communauté des enseignants-chercheurs, une bonneconnaissance des pratiques du terrain et du fonctionnement des organisations. Il s’agit là d’unecondition de la pertinence non seulement du corpus scientifique des connaissances mais aussides enseignements dispensés. Les praticiens de la gestion interpellent légitimement les scienti-fiques, lorsqu’ils ne retrouvent pas dans ce corpus, leurs pratiques ou les problèmes qu’ilsrencontrent. Inversement, les enseignants-chercheurs constatent parfois des pratiques qui sontloin de tirer parti de l’état actuel des connaissances.

C’est d’abord à cette interpellation réciproque qu’est consacré ce congrès. Bien évidemment,des communications scientifiques plus «classiques», en ce sens qu’elles visent à faire évoluerce corpus de connaissances, sont également présentées. Pour amorcer le débat, il a été choisi desusciter la confrontation de points de vue de praticiens renommés et d’universitaires reconnus.Dans chacune des six interpellations réciproques, chacune se focalisant sur un champ discipli-naire différent, le praticien soulignera ce qui lui semble manquer dans les enseignements et larecherche dans son domaine de spécialité et dont il aurait besoin tant du point de vue des compé-tences de ses collaborateurs que des instrumentations mobilisables, tandis que l’universitaireévoquera ses frustrations sur la mobilisation, insuffisante à ses yeux, des démarches et instru-mentations enseignées ou résultant de travaux de recherche fortement validés.

Ces débats se poursuivront par la présentation de nombreuses communications. Plusieursrelèvent directement du thème du congrès mais les autres sont plus «classiques», en ce sensqu’elles visent à faire évoluer ce corpus de connaissances. Comme il est de rigueur dans lescongrès scientifiques dignes de ce nom, les 320 articles effectivement proposés ont été évaluésanonymement par deux rapporteurs, maîtres de conférences ou professeurs, spécialistes dudomaine dans lequel se situe l’article à évaluer. En définitive, 181 de ces articles ont été retenuset deux tiers d’entre eux ont été améliorés grâce aux remarques et suggestions faites par lesrapporteurs. Un comité scientifique composé de cinq directeurs d’IAE, de réputation scienti-fique incontestable, a sélectionné les 46 articles figurant dans l’ouvrage, en fonction de plusieurscritères : adéquation au thème du congrès, recommandations des rapporteurs, originalité etapport scientifique. Le choix a été difficile mais les contraintes de volume ne permettaient pasd’en retenir davantage. Cela étant, comme vous pourrez en juger, l’ensemble des communica-tions présentées, reproduites dans le CD, est de grande qualité et témoigne de la vivacité de larecherche Française en sciences de gestion.

L’IAE de Paris a voulu placer symboliquement ces journées sous le double sceau de la tradi-tion scientifique, avec une partie du congrès se déroulant «en Sorbonne», et de la tradition cultu-relle avec une soirée de gala au musée d’Orsay.

Ces XVIe Journées des IAE ont été pilotées scientifiquement par un comité composé desDirecteurs des IAE qui, à la date du congrès sont les suivants: Alain Antoine (Nancy), Chris-tophe Bernard (Amiens), Caty Camion (Valenciennes), Alain Degage (Perpignan), BernardDelobel (Metz), Jean Desmazes (Tours), Yves Dupuy (Montpellier), Serge Evraert (Bordeaux),Bernard Fioleau (Nantes), Alain Ged (Aix en Provence), Vincent Giard (Paris), Gilles Guyot(Lyon), Pia Imbs (Strasbourg), Patrick Joffre (Caen), Jean-Jacques Lilti (Rennes), Pierre Louart(Lille), Marc Nikitin (Orléans), Hervé Penan (Toulouse), Serge Percheron (Poitiers), Jean-Marie Peretti (Corte), Jean-Pierre Pitol-Belin (Dijon), Didier Retour (Grenoble), Jean-JacquesRigal (Pau-Bayonne), Jean-Pierre Tang-Taye (La Réunion), Nadine Tournois (Nice), Eric Vatte-ville (Rouen), Jean-Pierre Vedrine (Clermont-Ferrand).

Ces journées sont scientifiquement redevables aux Professeurs et Maîtres de Conférences duréseau des IAE qui ont accepté d’être rapporteurs dans le processus de sélection. Il s’agit, parordre alphabétique, de : Richard Abbiteboul, Thérèse Albertini, Michel Albouy, ChristianeAlcouffe, Hervé Alexandre, David Alis, Bruno Amann, François Ambada Belinga, BlandineAnteblian-lambrey, Jean Aubert, Philippe Aurier, Joël Bafcop, Serge Baile, Bernard Ballaz,Christophe Baret, Pierre-yves Barreyre, Nathalie Barriol, Philippe Baux, Mohamed Bayad,Christel Beaucourt, Jean-Paul Bernard, Frédéric Bertrand, Véronique Bessiere, Dominique

2 XVI° journées des IAE • 10-12 septembre 2002 à l’IAE de Paris

Bessire, Bruno Biais, Franck Bietry, Gérard Bijeire, François Blanc, Jean-pierre Boissin,Philippe Boistel, Annie Bonnefont, Afifa Bouguerra, Danielle Boulanger, André Boyer, MartineBrasseur, Jean-pierre Brechet, Joël Bree, Alain Briole, Ferri Briquet, Jean-pierre Brizio, JérômeCaby, Ludovic Cailluet, Emmanuelle Cargnello-Charles, Joseph Carles, Catherine Casamatta,Michel Casteights, Jean-Jack Cegarra, Martial Chadefaux, Camille Chamard, Philippe Chapel-lier, Brigitte Charles-Pauvers, Gérard Charreaux, Jack Chen, Vincent Claustre, Fabrice Cler-feuille, Gérard Cliquet, Gérard Cluze, Françoise Coat, Nathalie Commeiras, Yves Conde,Marie-Antoinette Coudert, Robert Coulon, Jean-Claude Dandouan, Charles-Henri d’Arci-moles, Inès-valérie de la Ville, Jean-marc Decaudin, Fany Declerck, Christian Defelix, Jean-Guy Degos, Véronique Des Garets, Philippe Desbrieres, Michel Deslandes, Sylvie Desq, AlainDesreumaux, Philippe Dessertine, Anne Dietrich, Hubert Drouvot, Anne-Fabienne Dubroeucq,Jacqueline Ducret, Pascal Dumontier, Denis Dupre, Ariel Eggrickx, Claude Fabre, LaurenceFasan Caron, Marc Favier, Sandrine Fernez-Walch, Christophe Fournier, Charles-henriFredouet, Laure Gavard-Perret, Michel Gervais, Jean-claude Gilardi, Patrick Gilbert, RolandGillet, Alain Gintrac, Yvonne Giordano, Isabelle Girerd-Potin, Bérengère Gosse, NathalieGuibert, Michèle Guilbert, Francis Guilbert, Jean-pierre Helfer, Agnès Helme-Guizon, OlivierHerrbach, Gérard Hirigoyen, Emmanuel Houze, Christian Hurson, Jacques-Robert Igalens,Thierry Jacquot, Corynne Jaffeux, Jacques Jaussaud, Sandrine Kopel, Anne Krupicka, AntonyKuhn, Pierre-yves Lagroue, Eric Lamarque, Michel Le Berre, Paul Le Floch, Fabrice Le Vigou-reux, Jean-Fabrice Lebraty, Jean-françois Lemoine, Humbert Lesca, Yves-Frédéric Livian,Thomas Loilier, Pascal Louvet, Christine Maati-Sauvez, Stéphane Magne, Marie-PierreMairesse, Jean-louis Malo, Alain Marion, Alain-Charles Martinet, Isabelle Martinez, BernardMartory, Constantin Mellios, Samuel Mercier, Pierre Mevellec, Géraldine Michel, JeanMontier, Bruno-Laurent Moschetto, Philippe Mouillot, Yves Negro, Jean-pierre Neveu, FlorentNoel, Selmin Nurcan, Brigitte Oger, Bernard Olivero, Stéphane Onnee, Gérald Orange, JacquesOrsoni, Jean-claude Papillon, Simon Pariente, Robert Paturel, Jean-Louis Peaucelle, Jean-Marie Peretti, Stéphane Perier, Christian Pierrat, Jean-Michel Plane, Evelyne Poincelot,Philippe Protin, Hélène Rainelli - Le Montagner, Jean-pierre Raman, Nathalie Raulet-crozet,Philippe Robert, Gilles Roerich, Frédéric Romon, Elyette Roux, Michèle Saboly, Jean Saint-Amand, Francis Salerno, Bertrand Saporta, Géraldine Schmidt, Bruno Sire, Isabelle Sole-Laporte, Jacques Spindler, Robert Teller, Jacques Thevenot, Jacques Trahand, Denis Travaille,Christine Triomphe, Marc Valax, Pierre Valette-Florence, Guy Van Loye, Eric Vernette, PierreVolle, Isabelle Wallart, Björn Walliser, Agnès Walser-luchesi, Michel Wissler, MoniqueZollinger. Mes collègues de l’IAE de Paris, en particulier Jérôme Caby et Géraldine Schmidt,ont accepté de jouer les arbitres dans le cas d’avis divergents des deux relecteurs initialementdésignés.

L’organisation matérielle de ces journées a été assurée par Catherine Zegel, Florence Potelet Dominique Rivière. Paula Berdugo, Brenda Naso, Dalila Benhamed ont été d’une aideprécieuse lors de la mise en forme finale. Enfin, il me faut remercier tout particulièrementFrédéric Gautier qui a coordonné cette opération avec talent et efficacité, tant sur le plan orga-nisationnel que scientifique, tout au long de cette année universitaire 2001-2002.

Enfin, il faut remercier Renault et la FNEGE de l’aide financière apportée à ce congrès quin’a pu bénéficier d’aucune subvention publique.

Au nom de l’équipe qui a préparé scientifiquement et matériellement ce congrès, je voussouhaite de profiter pleinement des échanges que ces rencontres suscitent et espère vivementque ceux-ci renforceront la richesse et la diversité de notre réseau académique.

Professeur Vincent Giard

Directeur de l’IAE de Paris

XVI° journées des IAE • 10-12 septembre 2002 à l’IAE de Paris 3

LE RÉSEAU DES IAE

Les Instituts d’Administration des Entreprises ont pour mission le développement de larecherche et de la formation supérieure en Gestion au sein des Universités.

L’importance de nos équipes d’enseignants-chercheurs, l’étendue de notre offre de forma-tion, la variété du public auquel nous nous adressons, nous confèrent de fait une place privilé-giée dans le système français de formation supérieure. Le réseau national des IAE regroupe 30institutions et propose 400 diplômes d’Etat en Sciences de Gestion (dont 250 diplômes de 3eCycle), à un ensemble de 25000 étudiants. La densité du maillage du réseau des IAE permet àtout étudiant désireux de réaliser un parcours universitaire en gestion, d’intégrer un diplômecorrespondant à son projet professionnel.

La rigueur académique, l’intégration de professionnels de haut niveau, l’ouverture à l’inter-national, tous ces aspects sont adaptés aux objectifs de chaque diplôme et concourent au succèsdes IAE auprès des étudiants et des entreprises. Depuis leur création, les IAE sont progressive-ment devenus les interlocuteurs privilégiés des entreprises désireuses de mettre en place unepolitique active de recrutement des diplômés de l’enseignement supérieur et de promotion dessalariés. En formation initiale, nous apportons aux étudiants les compétences nécessaires à laprise de responsabilité en entreprise. En formation continue, nous accompagnons les salariésdans leur projet professionnel et les entreprises dans leur stratégie de développement desressources humaines.

Le réseau des IAE contribue de manière importante au développement de la recherche ensciences de gestion: publications scientifiques, éditions d’ouvrages et de cahiers de recherche,organisation de colloques, tutorat collectif, permettent à l’ensemble des enseignants-chercheurset des doctorants des IAE de prendre rang dans la compétition académique nationale et interna-tionale.

Le réseau des IAE se situe à un moment clé de son histoire: l’accélération de la constructionde l’espace européen de l’enseignement supérieur et l’évolution des besoins de formation desentreprises, nous conduisent à réfléchir sur nos structures et nos modes de coordination.L’harmonisation européenne des diplômes va de pair avec la nécessité d’apporter la preuvefactuelle de la qualité de nos produits de formation, de notre organisation et de l’informationdiffusée aux tiers (étudiants, partenaires). Elle se traduit par l’émergence d’exigences nouvelles,de codes de bonnes pratiques qui s’imposent à chaque IAE. Dans un environnement très concur-rentiel, le réseau des IAE doit promouvoir un label de qualité scientifique, pédagogique et admi-nistrative.

Articuler excellence scientifique et ingénierie pédagogique innovante, structurer les relationsentre les acteurs nationaux et européens de la recherche, professionnaliser plus encore notreapproche des partenaires privés et institutionnels, voilà les principaux défis que le réseau desIAE doit relever. Fort de son expérience, le réseau des IAE a tous les atouts pour prolonger laréussite des formations universitaires à la Gestion.

Professeur Hervé Penan

Président du Réseau des IAE


PLANNING DES JOURNÉES

Mardi 10 septembre 2002 - après-midi

13h30: accueil des congressistes dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne.14h00 – 14h15: allocutions de bienvenue par Michel Kaplan, Prési-dent de l’Université Paris I - Panthéon Sorbonne, Vincent Giard, Direc-teur de l’IAE de Paris et Hervé Penan, Président du Réseau des IAE.

18h00: cocktail d’accueil (Grands Salons de la Sorbonne)

14h15 à 17h45 - Session plénière: sciences de gestion et pratiques managériales

Champs disciplinaires Personnalité de l’entreprise Universitaire

StratégieMonsieur Jacques

Sarrazin

, Directeur Stratégie du groupe Lafarge

Professeur Alain-Charles

Martinet

(IAE de Lyon)

Gestion financière et comp-table

François

Cavalié

Directeur de Participations de l’IRDI et Président du Directoire de SOCRI

Professeur Hélène

Rainelli-Le Montagner

(IAE - IGR de Rennes)

Gestion commerciale et Marketing

Christian

Guirlinger

, Président d’EULIA

Professeur Marc

Filser

(IAE de Dijon)

Gestion des ressources humaines

Monsieur

Vergne

Directeur des Relations Humaines de Peugeot

Professeur Pierre

Louart

(IAE de Lille)

Contrôle de gestion et AuditJean-luc

Peyret

Directeur financier Invensys France SAS

Professeur Yves

Dupuy

(IAE de Montpellier)

Gestion des systèmes d’information et des con-

naissances

Jean-Pierre

Corniou

Directeur des Techniques et des Systè-mes d’Information de Renault

Professeur Jacques

Trahand

(IAE de Grenoble)


Mercredi 11 septembre 2002 - Matin

Loc

alis

atio

n

9h00-10h30

10h

30-1

1h

00

11h00-12h30

Salle

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Séminaire Administratif

Paus

e

Séminaire administratif

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Président: A-C. Martinet

• Bréchet - Desreumaux (292)• Aurégan - Joffre (296)• Drancourt (331)

Paus

e


Président: P. Louart

• Lebrun - Retour (332)• Davoine (73)• Bellini (22)

Salle

A 2

10

Contrôle et audit

Président: S. Evraert

•

Etat des thèses par

P. Gensse & Y. Dupuy

• Deglaine - Godener - Fornerino• Gervais - Thenet (294)• Maurel (149)

Paus

e

Management comptable

Président: Y. Dupuy

• Evraert - Trébucq (330)• Saghroun (200)• Tort (94)

Salle

A 2

13

Management des Ressources Humaines

Président: D. Retour

•


D. Alis• d’Arcimoles - Saulquin (72)• Guibert (109)

Paus

e


Président: P. Gilbert

• Abramovici - Mugnai• Nkakleu (326)• Crétien - Finstad (71)

Salle

A 3

10

Management des systèmes d’information

Président: J. Trahand

•


B. Fallery• Pérotin (172)• Azan (12)• Chamard (30)

Paus

e


Président: B. Fallery

• Brunetto (264)• Sargis-Roussel (198)• Pensel (235)

Salle

A 3

13

Management juridique et fiscal

Président: M. Chadefaux

•


B. Amann• Cartier (48)• Le Cozler-Le Rudelier (136)• Rossignol (195)

Paus

e

Management stratégique & Marketing (Services)

Président: A. Desreumaux

• Bressolles (40)• Collin (66)• Collin-Delaye (67)

Salle

B 1

16

Management financier

Président: R. Gillet

•


E. Lamarque• Poincelot (178)• Séverin - Dhennin (210)• de Séverac - Trommsdorff (258)

Paus

e


Président: E. Lamarque

• Chatelin (58)• Debaere (74)• Pouget - Stephany (257)


Salle

B 1

25

Management public

Président: J-J. Rigal

•


G. Orange• Chappoz - Girard (239)• Tiberghien (215)• Amans - Loup (248)

Paus

e

Management stratégique

Président: J-P. Bréchet

• Le Roy (135)• Mkhinini (254)• Chabaud - Charrière - Ehlinger (54)

Salle

B 2

17

Marketing

Président: N. Guibert

•


J. Bree• Louis (141)• Marouseau (147)• Moinier (160)

Paus

e

Marketing

Président: J. Bree

• Michel - Vergne (158)• Seltane (205)• Busson-Villa - Le Gall-Ely (43)

Mercredi 11 septembre - Après-midi

Loc

alis

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n

14h30 - 16h00

16h

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6h

30

16h30-18h00

Salle

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Séminaire des Responsables de la Communication

Paus

e

Séminaire des Responsables de la Communication

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e


Président: M. Albouy

• Lamarque (125)• Dupré - Girerd-Potin - Kassoua (83)• Amadieu - Bessière (31)

Paus

e


Président: V. des Garets

• Barth (15)• Filser (293)• Perrigot (318)

Salle

A 2

10


Président: E. Vatteville

• Bertoluci (28)• Chabaud - Ehlinger (88)• Wannenmac (225)

Paus

e


Président: Y-F. Livian

• Baret - Everaere (14)• Dejoux (256)• Pezet (255)

Mercredi 11 septembre 2002 - Matin (suite)

Loc

alis

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n

9h00-10h30

10h

30-1

1h

00

11h00-12h30


Soirée de Gala au Musée d’Orsay

Salle

A 2

13


Président: D. Boulanger

• Deltour - Sprimont (212)• Houzé - Fallery (249)

Paus

e

Logistique

Président: P. Bardelli

• Livolsi (140)• Senkel (206)• Valax (220)

Salle

A 3

10


Président: C. Mellios

• Aubier - Le Saout (9)• El Farissi (21)• Gatfaoui (233)

Paus

e


Président: H. Alexandre

• Atron (7)• Gogard (101)• Broye - Schatt (202)

Salle

A 3

13


Président: D. Retour

• Géniaux (98)• Hollet (115)• Pontier (50)• Hubler - Meschi - Schmidt (116)

Paus

e


Président: D. Alis

• Belghiti (20)• Guibert - Paquerot - Roques (259)• Joyeau (120)

Salle

B 1

16

Contrôle et audit

Président: J-L Malo

• Berland (26)• Godowski (103)• Wegmann (226)

Paus

e

Gouvernance d’entreprise

Président: S. Pariente

• Broye - Paulus - Roth (327)• Chabi, Thépot (55)

Salle

B 1

25


Président: Y. Giordano

• Baile (278)• Larivet (126)• Lassagne - Munier (127)

Paus

e


Président: H. Penan

• Déjean - Gond (75)• Persais (253)• Métais - Meschi - Colin (156)• Gherib (285)

Salle

B 2

17

MarketingPrésident: C. Benavent• Djlassi - Ferrandi (79)• Morisse (161)• Urien (315)

Paus

e

Projets, Organisation et pratiques managériales

Président:V. Giard• Ben Mahmoud-Jouini - Garel -

Midler (23)• Guillement (110)• Messeghem - Pierson (155)• Garel (95)

Mercredi 11 septembre - Après-midi (suite)

Loc

alis

atio

n

14h30 - 16h00

16h

00-1

6h

30

16h30-18h00


Jeudi 12 septembre - Matin

Loc

alis

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n9h00-10h30

10h

30-1

1h

00

11h00-12h30Sa

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il Sciences de Gestion et Pratiques Managériales

Président: H. Penan• Pedon - Schmidt (171)• Philippart (175)• Nikitin

Paus

e


Président: J. Orsoni• Denis - Martinet - Tannery (76)• Marchais-Roubelat (146)• Fray - Callot (275)

Am

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e Sciences de Gestion et Pratiques Managériales

Président: A-C. Martinet• Martin - Rainelli-Le Montagner

(148)• Peaucelle (300)• Zimnovitch (230)


Président: G. Schmidt• Fiol - Fronda (93)• Le Duff - Orange (130)• Demil - Lecoq -Warnier (310)

Salle

A 2

10 Management financierPrésident: H. Rainelli• Khouatra (260)• Parienté - Ducassy - Martinez• Séverin (209)

Management financierPrésident: J-J. Lilti• Rainelli-Le Montagner (301)• Bourghelle - Gillet (295)• Pigé (311)

Salle

A 2

13 Management stratégiquePrésident: M. Gervais• Urso (219)• Castelluccia-Boisard (52)• Hurt (117)

Management stratégiquePrésident: J. Jaussaud• Belarbi (19)• Bonafini (37)• Virgili (222)

Salle

A 3

10 MarketingPrésident: J-F. Lemoine• Akrout (320)• Lepers (286)• Bozzo - Palmero (288)

MarketingPrésident: J. Brée• Boulbry (38)• Rouvrais-Charron (199)• Roullet - Droulers (197)

Salle

A 3

13 MarketingPrésident: F. Blanc• Poubanne (65)• Camus (46)• Rodhain (191)

MarketingPrésident: A. Boyer• Durrande-Moreau (246)• Mann-Niglis (145)• Pichon (176)

Salle

B 1

16


Président: M. Bayad• Abbitboul - Cintas - Gherzouli (24)• Maeder (143)• Honoré (305)


Président: A. David• Roger (192)• Gatignon (97)• Kuhn - Moulin (123)


Salle

B 1

25 Management stratégiquePrésident: P-Y Barrère• Mourtajji (166)• Duyck (85)• Marti - Fallery (269)

Management stratégiquePrésident: B. Fallery• Blanc - Piotrowski (290)• Etrillard (90)• Rival (187)

Salle

B 2

17 Management financierPrésident: P. Navatte• Hervé (114)• Urèche (218)• Deville (78)

Management publicPrésident: R. Leduff• San Martino (201)• Huron - Serdeczny (268)• Cueille (333)• Biot-Paquerot (34)

Jeudi 12 septembre - Après-midi

Localisation 14h30 - 16h00

Salle de Conseil

Sciences de Gestion et Pratiques ManagérialesPrésident: D. Bessire• Goy (105)• Lancini (277)• Prévot (183)

Amphithéâtre

Sciences de Gestion et Pratiques ManagérialesPrésident: B. Aman• Guerrero - Kopel (108)• Plane (236)• Schmitt - Leymarie (267)

Salle A 210

Management des Ressources HumainesPrésident: G. Schmidt• Robert-Demontrond (188)• Mercier - Muller (151)• Mignonac (159)

Salle A 213

Management financierPrésident: P. Desbrières• André-Le Pogamp - Navatte (6)• Bourghelle - Declerck (307)• Lilti - Miloudi (325)

Salle A 310

Management stratégiquePrésident: S. Baile• Guallino (106)• Heitz - Douard (112)• Mermoud - Thomassian (154)

Jeudi 12 septembre - Matin (suite)

Loc

alis

atio

n

9h00-10h30

10h

30-1

1h

00

11h00-12h30


Salle A 313

MarketingPrésident: J-J. Cegarra• Bertrandias (29)• Abidi - Barthe (2)• Coutelle - Labbe-Pinlon (70)

Salle B 116

Management financierPrésident:B. Biais• Chatelin (316)• Jeanjean (279)• Ndoume-Essingone (243)

Salle B 125

Management financierPrésident: E. Lamarque• Heem (247)• Pluchart (314)• Le Maux (283)

Salle B 217

Management stratégiquePrésident: J-M. Plane• Kuter - Freyburger (124)• Dussuc (84)• Lérat-Pytak (134)

Jeudi 12 septembre - Après-midi (suite)

Localisation 14h30 - 16h00


Liste des communications classées par Auteurs

AAbbitbou RichardL’application des 35 heures dans les TPE anticipatrices :implications humaines et managériales ...................... 12061

Abidi AhlemGestion de la relation et orientation individu : un nouveauparadigme d’e-commerce et d’e-management pour fidéliserconsommateurs et employés ? .................................... 12252

Abramovici MarianneDe la culture organisationnelle aux pratiques coopératives desécurité : présentation d’une étude dans le contexteferroviaire ................................................................... 11131

Akrout WafaLa nature et le rôle de la confiance dans la relation client/fournisseur en milieu industriel .................................. 12041

Alis DavidÉtat des thèses en Gestion des RessourcesHumaines....................................................... THESE_GRH

Amadieu PaulAutopsie d’une faillite : le cas Intercall...................... 11213

Amans PascaleRelations entre organisations marchandes et non-marchandes : un cas de coopération entre artisans d’art etmusées ........................................................................ 11083

André-Le Pogamp FlorenceProbabilité de conversion des obligations convertiblescallable et caractérisations des émetteurs ................... 12231

Atron SimonLes performances à court et long terme des titres cotés sur lemarché boursier français suite à l’annonce des résultats : sous- et/ou sur - réaction ou phénomène hasardeux ? ....... 11341

Aubier AngéliqueLa nature du risque de liquidité : Existe-t-il un risquesystématique de liquidité ? ......................................... 11241

Aurégan PascalPour une approche stratégique du projet .................... 11022

Azan WilfridLes projets d’ERP ou penser les pratiques managériales àl’intersection de plusieurs logiques projets :le cas Farman.............................................................. 11052

BBaile SergeLe succès de la planification stratégique des systèmesd’information dans les établissements financiers français :étude empirique de son évaluation par la méthode deséquations structurelles ................................................ 11271

Baret ChristopheProfil des salariés et des compétences dans les sociétésde services informatiques: une comparaison Allemagne /France / Pays-Bas ....................................................... 11321

Barth IsabelleLes représentations de la vente et de ses métiers dans lalittérature - Confrontation avec la « Mort d’un commis-voyageur » .................................................................. 11311

Barthe StéphaneGestion de la relation et orientation individu : un nouveauparadigme d’e-commerce et d’e-management pour fidéliserconsommateurs et employés ? .................................... 12252

Belarbi AmaleMise en oeuvre d’une démarche de modernisation ducontrôle de gestion des projets au sein d’une entreprise detransports publics. Une approche stratégique du changementet de sa mise en oeuvre ............................................... 12131

Belghiti SophiaEtude exploratoire sur le Plafond de Verre : la perception durôle de l’organisation dans la production de cette situation estlimitée ......................................................................... 11351

Bellalah MondherCoûts d’Information, Structure du Capital et Gestion duRisque ......................................................................... 11242

Bellini StéphanePratiques managériales et identité des managers........ 11113

Berland NicolasComment peut-on gérer sans budget ? ....................... 11261

Bertoluci GwenolaMéthode d’amélioration de la cohérence des processusindustriels par transposition d’une méthode d’améliorationdes produits................................................................. 11221

Bertrand MunierLa nouvelle réglementation des risques comme enjeu dumanagement................................................................ 11273

Bertrandias LaurentLa contribution des leaders d’opinion au succès des stratégiesd’annonce préalable de lancement de produit

propositions théoriques................................................ 12251

Bessagnet Marie-NoëlleLe rôle des SSII dans l’intégration des outils informatiques etdes TIC au sein des PME............................................ 11053

Bessière VéroniqueAutopsie d’une faillite : le cas Intercall...................... 11213

Biot-Paquerot GuillaumeDroits de propriété et création de valeur : fondements d’unsystème d’incitations à l’Université ?......................... 12184

Blanc FrançoisEntrepreneuriat : vers de nouvelles approches ........... 12171

Bonafini PascalRéalités et perspectives de la « dynamique réticulaire » dansl’organisation du système de soins français. .............. 12132

Boulbry GaëlleVieillissement cognitif : perspectives dans le domainepublicitaire .................................................................. 12141

Bourghelle DavidNouvelles technologies et compétition entre marchésboursiers...................................................................... 12122

Why Markets should not Necessarily Reduce the Tick

Size ............................................................................. 12232


Bozz CécileLe marketing relationnel : application à une problématiqueRH .............................................................................. 12043

Bréchet Jean-PierreSciences de gestion et pratiques de management Le cas dumanagement stratégique ............................................. 11021

Brée JoëlEtat des thèses françaises en marketing soutenues entre 1998et 2001 ................................................... THESE_Marketing

Bressoud ÉtienneLa force de l’attitude : clarification conceptuelle et impact ausein du processus comportemental ............................. 12254

Broye GéraldineLe rôle des auditeurs dans le gouvernement des entreprises :comparaison des pratiques d’audit d’un « big five » en Franceet en Allemagne.......................................................... 11361

Sous-évaluation à l’introduction et cessions d’actions par lesactionnaires d’origine : le cas français ....................... 11343

Brunetto GéraldLe processus d’intégration des systèmes d’information lorsde fusion d’entreprises : proposition d’unemodélisation ............................................................... 11141

Busson-Villa FlorenceLe marketing au service de la gouvernance ............... 11183

CCallot PhilippeAnalyse du paradoxe de l’unité et de la diversité managérialedans les entreprises globalisées .................................. 12103

Camus SandraL’authenticité et le processus d’authentification. Pour uneétude des perceptions du consommateur .................... 12052

Cartier Jean-BaptisteContribution à la théorie de l’architecture organisationnelle :la SAS (Société par Actions Simplifiée) comme structure defilialisation. Application au cas du GroupeIndustriel G................................................................. 11061

Castelluccia-Boisard SylvieLa diversité, une source d’apprentissage des équipesdirigeantes .................................................................. 12032

Chabaud DidierLa GRH au coeur du Knowledge Management : une lecturecritique des travaux de Nonaka .................................. 11222

Chabi SylvieInfluence et connivence dans les conseils d’administrationdes sociétés françaises ................................................ 11363

Chamard CamilleLe rôle des SSII dans l’intégration des outils informatiques etdes TIC au sein des PME ........................................... 11053

Chappoz YvesProjets de territoire, participation des citoyens et marketingterritorial ..................................................................... 11081

Charrière ValérieEntrepreneuriat, pépinières et incubateurs : un programme derecherche focalisé sur l’impact des structuresd’accompagnement..................................................... 11173

Chatelin CélineLa privatisation d’Air France : un test de la théorie de lagouvernance partenariale............................................ 11161

Quels enjeux théoriques et méthodologiques de la théorie dela gouvernance partenariale ? La privatisation commeillustratio..................................................................... 12261

Cinta CarolineL’application des 35 h dans les TPE anticipatrices :implications humaines et managériale........................ 12061

Clerfeuille FabriceContribution des éléments de services à la satisfaction desconsommateurs : la nécessaire prise en compte de variablesde segmentation .......................................................... 12051

Collin Paul-MarcLe déploiement international des services à forteinfrastructure technique organise en réseau : interprétation ducas de la monnaie électronique par la « traduction » etconstruction d’un cadre méthodologique d’aide à laconception................................................................... 11152

Collin-Delaye SylvieRenouveler les règles du jeu : la contribution de la CNP enmatière d’assurance complémentaire santé ................ 11153

Coutelle PatriciaLe processus d’apprentissage à l’euro : premiers résultatsd’une étude longitudinale ........................................... 12253

Créplet FrédéricLes outils Intranet : une réponse aux dimensions del’entreprise « processeur de connaissances » ............. 11231

Crétien HélèneL’expatriation : une formation au management duchangement ? .............................................................. 11133

Cueille SandrineConfrontation entre théories et pratiques managériales : lecas des hôpitaux publics ............................................. 12183

Dd’Arcimoles Charles HenriRessources Humaines et création de valeur : proposition d’unmodèle d’action .......................................................... 11041

Davoine Éric50 ans de recherche sur le travail quotidien des managers :quelles recommandations pour leur gestion dutemps ?........................................................................ 11112

Debaere Anne-LaurenceAnalyse comparative des pratiques de contrôle exercées parles investisseurs institutionnels américains sur les entreprisesde leur pays et sur les entreprisesfrançaises .................................................................... 11162

Declerck FanyWhy Markets should not Necessarily Reduce the TickSize ............................................................................. 12232

Deglaine JocelyneL’adaptation des pratiques de communication orale auxmissions des contrôleurs de gestion............................ 11031

Déjean FrédériqueLa responsabilité sociétale des entreprises : enjeuxstratégiques & stratégies de recherche........................ 11371

Dejoux CécileValorisation du capital immatériel : Perspectives et limites dela certification des compétences professionnelles ...... 11322

Deltour FrançoisDéterminants directs et indirects de l’acceptation de lamessagerie électronique auprès de personnelsadministratifs .............................................................. 11232


Demil BenoîtLe système Pratique-Recherche : une approche garbage cande la production et de la diffusion des théories .......... 12113

Denis Jean-PhilippeLes configurations comme outil d’aide à la conception d’unschéma directeur de groupe........................................ 12101

Desreumaux AlainSciences de gestion et pratiques de management Le cas dumanagement stratégique ............................................. 11021

Deville LaurentImpact de l’introduction du tracker Master Share CAC 40 surla relation de parité call-put........................................ 12083

Dhennin SolèneStructure du capital et mesures de restructuration...... 11072

Didier ChabaudEntrepreneuriat, pépinières et incubateurs : un programme derecherche focalisé sur l’impact des structuresd’accompagnement..................................................... 11173

Djlassi SouadUn premier test du rôle de la perception du temps et desvaleurs en matière de comportement d’achat parcatalogue..................................................................... 11281

Douard Jean-PierreLes coopérations interentreprises en 2000 et 2001 : état deslieux à partir de l’analyse d’un échantillon de coopérations etregard sur le lien théorie-pratique en management stratégique12242

Drancourt MichelLa réussite d’une stratégie - de projets ou autre - est plusaffaire de management que de méthode ..................... 11023

Droulers OlivierLes effets affectifs de la perception périphérique colorée surla mémoire : proposition d’expérimentation .............. 12143

Ducassy IsabelleTaille et création de valeur : ....................................... 12022

Dupré DenisIntégrer la dimension éthique dans la gestion quantitative deportefeuille.................................................................. 11212

Dupuy YvesPrésentation des thèses récentes en Comptabilité ContrôleAudit ............................................................ THESES_CCA

Durrande-Moreau AgnèsLa clientèle multiple en marketing : proposition de

typologie..................................................................... 12151

Dussuc BernardRéseautage et processus d’escalade coopérative : lesenseignements du cas Superjouet ............................... 12282

Duyck Jean-YvesCrise et discours : ....................................................... 12072

EEhlinger SylvieEntrepreneuriat, pépinières et incubateurs : un programme derecherche focalisé sur l’impact des structuresd’accompagnement..................................................... 11173

La GRH au coeur du Knowledge Management : une lecturecritique des travaux de Nonaka .................................. 11222

El Farissi InassCoûts d’Information, Structure du Capital et Gestion duRisque......................................................................... 11242

Etrillard ClaudeLe passage à l’international dans les PME : des modèles del’internationalisation à la stratégie entrepreneuriale dudirigeant - propriétaire ? ............................................. 12172

Everaere ChristopheProfil des salariés et des compétences dans les sociétés deservices informatiques : une comparaison Allemagne /France / Pays-Bas

Everaere ....................................................................... 11321

Evraert SergeUne analyse quantitative des différences de mesurescomptables dans les contextes français et américain.. 11121

FFallery BernardDes théories de la communication aux pratiques de gestionl’approche par les genres ............................................ 11233

Histoires de management et management deshistoires....................................................................... 12073

Revue des thèses en Systèmes d’Information1998-2001...................... THESE_Systemes_d_Information

Ferrandi Jean-MarcUn premier test du rôle de la perception du temps et desvaleurs en matière de comportement d’achat parcatalogue..................................................................... 11281

Filser MarcFaut-il des théories pour gérer la distribution ? .......... 11312

Finstad KristaL’expatriation : une formation au management duchangement ? .............................................................. 11133

Fiol MichelRevisiter la distance hiérarchique : déconstruction etreconstruction d’un concept depuis le terrain derecherche..................................................................... 12111

Fornerino MarianelaL’adaptation des pratiques de communication orale auxmissions des contrôleurs de gestion............................ 11031

Fray Anne-MarieAnalyse du paradoxe de l’unité et de la diversité managérialedans les entreprises globalisées .................................. 12103

Freyburger RenéConvergence du modèle H et d’un réseau d’entreprises :étude d’un cas dans l’industrie automobile ................ 12281

Fronda YannickRevisiter la distance hiérarchique : déconstruction etreconstruction d’un concept depuis le terrain derecherche..................................................................... 12111

GGarel GillesLes leviers de pilotage de la vitesse dans les projets à coûtscontrôlés...................................................................... 11381

Prototyper pour tester, tester pour innover : des techniques del’ingénierie aux problématiques managériales ........... 11384

Gatfaoui HayetteRisque de défaut et risque de liquidité : une étude de deuxcomposantes du spread de crédit ................................ 11243

Gatignon Anne-LaureRelecture des pratiques de communication à partir de LaThéorie de l’Identité Sociale....................................... 12162


Géniaux IsabelleImpacts d’une innovation organisationnelle sur lesperformances et les compétences de l’entreprise ....... 11251

Gensse PierrePrésentation des thèses récentes en Comptabilité ContrôleAudit ............................................................ THESES_CCA

Gervais MichelComment évaluer la productivité dans les activités de service? .................................................................................. 11032

Gherib JouhainaLes types psychologiques en action et en contexte pour unepersonnalisation de la recherche sur les processus de décisionstratégique .................................................................. 11374

Gherzouli KhaledL’application des 35 h dans les TPE anticipatrices :implications humaines et managériale ....................... 12061

Gillet RolandNouvelles technologies et compétition entre marchésboursiers ..................................................................... 12122

Girard ValérieProjets de territoire, participation des citoyens et marketingterritorial ..................................................................... 11081

Girerd-Potin IsabelleIntégrer la dimension éthique dans la gestion quantitative deportefeuille.................................................................. 11212

Godard LaurencePerformances boursières et conflits d’intérêts aprèsl’introduction en bourse : le cas français.................... 11342

Godener ArmelleL’adaptation des pratiques de communication orale auxmissions des contrôleurs de gestion ........................... 11031

Godowski ChristopheLa dynamique d’assimilation des approches paractivités....................................................................... 11262

Gond Jean-PascalLa responsabilité sociétale des entreprises : enjeuxstratégiques & stratégies de recherche ....................... 11371

Goy HervéContribution à l’étude des conditions d’efficacité desdémarches de planification en PME........................... 12201

Guallino GabrielConditions d’émergence et implications stratégiques d’uneorganisation formelle menant des opérations d’acquisition-intégration dans une entreprise : le cas Lafarge ......... 12241

Guerrero SylvieLe rôle des pratiques de management sur les attitudes desagents de l’État à l’égard de la carrière ...................... 12211

Guibbert Laurie-LineInfluence de la rémunération variable sur la perception decréation de valeur pour les différentes parties prenantes del’entreprise.................................................................. 11042

Guibert NathalieL’humour en management : un essai de structuration dudomaine ...................................................................... 11352

Guillemet RichardGestion de projet et formes organisationnelles .......... 11382

HHeem GrégoryL’apport de la théorie des conventions à la problématique ducontrôle interne dans les banques ............................... 12271

Heitz MichèleLes coopérations interentreprises en 2000 et 2001 : état deslieux à partir de l’analyse d’un échantillon de coopérations etregard sur le lien théorie-pratique en management stratégique12242

Hervé FabriceLa persistance de la performance des fonds de pensionindividuels britanniques : une étude empirique sur des fondsinvestis en actions et des fonds obligataires ............... 12081

Hollet SandrineLa validation d’un instrument de mesure de l’épuisementprofessionnel des commerciaux : le Maslach BurnoutInventory General Survey........................................... 11252

Houzé EmmanuelDes théories de la communication aux pratiques de gestion :l’approche par les genres ............................................ 11233

Hubler JérômeAnnonce de suppressions d’emplois et valeur boursière : lepoids des variables explicatives.................................. 11043

Huron DavidLa communication budgétaire et financière des communessur Internet : obligations ou opportunités ? ................ 12182

Hurt StéphanieLa confrontation des paradigmes :une manière decomprendre le Processus de Transfert international desméthodes organisationnelles et apprentissages........... 12033

JJeanjean ThomasGestion du résultat et gouvernement d’entreprise ...... 12262

Joffre PatrickPour une approche stratégique du projet .................... 11022

Joyeau AnneRegards théorique et pratique sur la gestion du processus dechangement induit par la mise en place d’une instrumentationde gestion.................................................................... 11354

KKassoua RaghidIntégrer la dimension éthique dans la gestion quantitative deportefeuille.................................................................. 11212

Khouatra DjamelCréation de valeur organisationnelle et création de valeuréconomique : le cas d’une entreprise de viennoiserie cotée enBourse......................................................................... 12021

Kopel SandrineLe rôle des pratiques de management sur les attitudes desagents de l’État à l’égard de la carrière ...................... 12211

Kuter PhilippeConvergence du modèle H et d’un réseau d’entreprises :étude d’un cas dans l’industrie automobile ................ 12281

LLabbé-Pinlon BlandineLe processus d’apprentissage à l’euro : premiers résultatsd’une étude longitudinale ........................................... 12253


Lamarque EricL’état des thèses en Finance....................THESES_Finance

La relation banque-entreprise - une grille de lecture issue dela théorie des organisations ........................................ 11211

Lancini AgnèsRéalité de la gestion des connaissances dans les organisations- Le cas de l’adoption d’un système de gestion desconnaissances dans une grande mutuelle d’assurancesfrançaise...................................................................... 12202

Larivet SophieDu concept aux pratiques : construction d’une échelle demesure de l’intelligence économique et application en PME11272

Lassagne MarcLa nouvelle réglementation des risques comme enjeu dumanagement................................................................ 11273

Le Cozler-Le Rudulier KarineLa Société par Actions Simplifiée (SAS) : un outil demanagement commun à toutes les entreprises ?......... 11062

Le Duff RobertLe management social : des relations des hommes aux chosesaux relations entre les hommes .................................. 12112

Le Gall-Ely MarineLe marketing au service de la gouvernance ............... 11183

Le Maux JulienLes bénéfices privés : une atteinte à l’égalité de traitementdes actionnaires .......................................................... 12273

Le Saou ErwanLa nature du risque de liquidité : Existe-t-il un risquesystématique de liquidité ? ......................................... 11241

Lebrun GérardPour demain, quel dialogue social ? ........................... 11111

Lecocq XavierLe système Pratique-Recherche : une approche garbage cande la production et de la diffusion des théories .......... 12113

Lepers XavierVers une représentation de la relation d’échange fournisseurs- grands distributeurs .................................................. 12042

Lérat-Pytlak JérômeManagement par la qualité totale (TQM) : relations entreconception de la direction et pratiques managériales au seinde l’entreprise ............................................................. 12283

Leymarie StéphanePratiques managériales et développement de la valeur enentreprise : entre observation et intervention ............. 12213

Lilti Jean-JacquesLes Modèles à Facteurs : des variables fondamentales auxfacteurs statistiques..................................................... 12233

Livolsi LaurentDualité et logique d’acteur dans la structuration des fonctionsémergentes.................................................................. 11331

Loredana Ureche-RangauLe marché est-il capable d’anticiper le défaut d’un Étatsouverain ? L’exemple de la Roumanie en 1933 ....... 12082

Louis DidierLe parrainage sur Internet : proposition d’une définition etperception d’une distinction avec la publicité. ........... 11091

Loup StéphanieRelations entre organisations marchandes et non-marchandes: un cas de coopération entre artisans d’art et musée . 11083

MMaeder AnneManagement humain des changementsorganisationnels .......................................................... 12062

Mahmoud-Jouini Sihem BenLes leviers de pilotage de la vitesse dans les projets à coûtscontrôlés...................................................................... 11381

Mann-Niglis PatriciaLa prise en compte de la valorisation de la consommationdans le domaine culturel ............................................. 12152

Marchais-Roubelat AnneDu modèle à la pratique les trois règles du réseau ..... 12102

Marouseau GillesLogistique des cybermarchésl : les modèles à l’épreuve desfaits ............................................................................. 11092

Marti CaroleHistoires de management et management des histoires .......12073

Martinet Alain-CharlesLes configurations comme outil d’aide à la conception d’unschéma directeur de groupe ........................................ 12101

Martinez IsabelleTaille et création de valeur : ....................................... 12022

Maurel ChristopheLes Conseils Généraux, vers une généralisation du contrôlede gestion ? ................................................................. 11033

Mercier SamuelLes systèmes de recours internes : outils de justiceprocédurale ou maîtrise de la communication sur le conflitinterpersonnel ?........................................................... 12222

Mermoud-Thomassian MarlèneRepenser le rôle de la mémoire organisationnelle dans ladynamique d’apprentissage ........................................ 12243

Meschi Pierre-XavierAnnonce de suppressions d’emplois et valeur boursière : lepoids des variables explicatives.................................. 11043

Messeghem KarimLe groupe de projet : nouvelle pratique managériale ?11383

Michel GéraldineLa construction du capital-marque d’une e-brand : une étudeexploratoire ................................................................. 11181

Midler ChristopheLes leviers de pilotage de la vitesse dans les projets à coûtscontrôlés...................................................................... 11381

Mignonac KarimÉvénements affectifs et attitudes au travail : une étudeexploratoire auprès d’une population de cadres d’entreprise ................................................................. 12223

Miloudi AnthonyLes Modèles à Facteurs : des variables fondamentales auxfacteurs statistiques..................................................... 12233

Mkhinini HelaUne approche cognitive de la concurrence et de la stratégie dedifférenciation : Application au domaine de la restauration.11172

Moinier Xaviere-parrainage sportif et mémorisation des parrains : l’exemplede l’olympique de Marseille.com ............................... 11093


Morisse BenjaminLes attentes du consommateur en situation d’achat : uneapplication au cas automobile .................................... 11282

Mourtajji LoubnaLe « dire » et le « faire » chez les dirigeants des entreprises :une approche par les actes du langage........................ 12071

Mugnai CoralieDe la culture organisationnelle aux pratiques coopératives desécurité : présentation d’une étude dans le contexteferroviaire ................................................................... 11131

Muller RenaudLes systèmes de recours internes : outils de justiceprocédurale ou maîtrise de la communication sur le conflitinterpersonnel ? .......................................................... 12222

NNavatte PatrickProbabilité de conversion des obligations convertiblescallable et caractérisations des émetteurs ................... 12231

Ndoume Essingone HervéLa répartition de la valeur créée par une entreprise : unequestion de propriété ou de légitimité ? ..................... 12263

Nkakleu RaphaëlLa "tontine d’entreprise" comme modèle de coopération dansles entreprises africaines : Leçons du cascamerounais................................................................ 11132

PPalmero SandraLe marketing relationnel : application à une problématiqueRH .............................................................................. 12043

Paquerot MathieuL’humour en management : un essai de structuration dudomaine ...................................................................... 11352

Parienté SimonTaille et création de valeur : ....................................... 12022

Paulus OdileLe rôle des auditeurs dans le gouvernement des entreprises :comparaison des pratiques d’audit d’un « big five » en Franceet en Allemagne.......................................................... 11361

Peaucelle Jean-LouisComment agir avec des théories en débat ? ............... 12012

Pedon AmédéeL’apprentissage organisationnel en PME : réalité etdéterminants ............................................................... 12001

Pensel Jean-LucL’achat sur le web et les places de marché électroniques :quelles solutions pour l’acheteur d’entreprise ? ......... 11143

Pérotin PascalMise en place de SAP R/3 :........................................ 11051

Perret VéroniqueEntrepreneuriat, pépinières et incubateurs : un programme derecherche focalisé sur l’impact des structuresd’accompagnement..................................................... 11173

Perrigot RozennLa pluralité des formes statutaires au sein d’un réseau depoints de vente : une application à la survie des chaînes depizzas en France entre 1987 et 2001 .......................... 11313

Persais ÉricLe rapport de développement durable.Un outil pour unegouvernance sociétale de l’entreprise ?...................... 11372

Pezet ÉricSciences sociales, gouvernement managérial et négociationcollective : le cas de la gestion par les compétences .. 11323

Philippart PascalLes apprentissages relatifs au traitement des dimensionsjuridiques dans la gestion des alliances : le cas d’uneentreprise de construction automobile ........................ 12002

Pichon Paul-EmmanuelEfficacité des réducteurs de risque marketing et confiance duconsommateur : à propos d’une recherche exploratoire sur lecomportement d’achat du consommateur face à laviande.......................................................................... 12153

Pierson FrançoiseLe groupe de projet : nouvelle pratique managériale ?11383

Pigé BenoîtAudit et gouvernement d’entreprise, les leçons de l’affaireEnron .......................................................................... 12123

Piotrowski MathildeEntrepreneuriat : vers de nouvelles approches ........... 12171

Plane Jean-MichelMéthodes de recherche-intervention en management etdéveloppement de l’entreprise.................................... 12212

Pluchart Jean-JacquesApproche institutionnaliste de la syndication bancaireinternationale .............................................................. 12272

Poincelot DominiquePerformances boursières et conflits d’intérêts aprèsl’introduction en bourse : le cas français .................... 11342

Poincelot ÉvelyneIncidence des facteurs institutionnels dans l’évolution de lastructure financière : une étude exploratoire .............. 11071

Pontier MoniqueQuelles perspectives pour les outils d’évaluation dupersonnel dans les hôpitaux ? ..................................... 11253

Poubanne YannickContribution des éléments de services à la satisfaction desconsommateurs : la nécessaire prise en compte de variablesde segmentation .......................................................... 12051

Pouget JérômeNature du contrat, gouvernance des risques : le cas d’unfinancement par capital-risque.................................... 11163

Prévot FrédéricTransfert de compétences et gestion d’un réseau inter-organisationnel pour l’apprentissage : application au cas deRenault au Brésil ........................................................ 12203

RRainelli-Le Montagner HélèneDes marchés et des hommes....................................... 12121

Retour DidierPour demain, quel dialogue social ? ........................... 11111

Revault NicolasEntrepreneuriat, pépinières et incubateurs : un programme derecherche focalisé sur l’impact des structuresd’accompagnement ..................................................... 11173

Rival MadinaLobbying et performance : une étude de l’action politique desentreprises françaises 1995-2000................................ 12173


Robert-Demontrond PhilippePsychopathologie de l’engagement professionnel :actualitéet portée de l’acédie.................................................... 12221

Rodhain AngéliqueL’école et la socialisation de l’enfant consommateur 12053

Roger AlainL’évolution de la fonction ressources humaines : une analysesur la base des offres d’emploi ................................... 12161

Rolland MarylineLes pratiques de management de la connaissance au sein dudéveloppement des cadres dirigeants ......................... 12003

Rolland NicolasLes pratiques de management de la connaissance au sein dudéveloppement des cadres dirigeants ......................... 12003

Roque OlivierL’humour en management : un essai de structuration dudomaine ...................................................................... 11352

Rossignol Jean-LucFiscalité et sciences de gestion................................... 11063

Roth FabriceLe rôle des auditeurs dans le gouvernement des entreprises :comparaison des pratiques d’audit d’un « big five » en Franceet en Allemagne.......................................................... 11361

Roullet BernardLes effets affectifs de la perception périphérique colorée surla mémoire : proposition d’expérimentation .............. 12143

Rouvrais-Charron ChantalCommunication publicitaire et valeurs....................... 12142

SSaghroun JudithLe résultat comptable : conception par les normalisateurs etperception par les analystes financiers ....................... 11122

Sallaberry ChristianLe rôle des SSII dans l’intégration des outils informatiques etdes TIC au sein des PME ........................................... 11053

San Martino LaurenceAnalyse économique des contrats de délégation : quelle placepour les notions de confiance et de réputation ? ........ 12181

Sargis-Roussel CarolineDe la gestion de l’information au management de laconnaissance : quelle stratégie pour les organisations ? ............................................................ 11142

Saulquin Jean-YvesRessources Humaines et création de valeur : proposition d’unmodèle d’action .......................................................... 11041

Schatt AlainSous-évaluation à l’introduction et cessions d’actions par lesactionnaires d’origine : le cas français ....................... 11343

Schmidt GéraldineAnnonce de suppressions d’emplois et valeur boursière : lepoids des variables explicatives ................................. 11043

L’apprentissage organisationnel en PME : réalité etdéterminants ............................................................... 12001

Schmitt ChristophePratiques managériales et développement de la valeur enentreprise : entre observation et intervention ............. 12213

Seltane MehdiÉvaluation de l’extension de marque par le consommateur :une approche conceptuelle ......................................... 11182

Senkel Marie-PascalL’évolution vers une logistique collaborative : l’exemple desrelations producteur-distributeur dans le secteur del’habillement ............................................................... 11332

Serdeczny VladimirLa communication budgétaire et financière des communessur Internet : obligations ou opportunités ? ................ 12182

Séverin ÉricChangement de dénomination sociale et création de valeur :étude sur le marché français (1991-1998) .................. 12023

Structure du capital et mesures de restructuration...... 11072

Sprimont Pierre-AntoineDéterminants directs et indirects de l’acceptation de lamessagerie électronique auprès de personnels administratifs11232

Stephany ÉricNature du contrat, gouvernance des risques : le cas d’unfinancement par capital-risque.................................... 11163

TTannery FranckLes configurations comme outil d’aide à la conception d’unschéma directeur de groupe ........................................ 12101

Thenet GervaisComment évaluer la productivité dans les activités de service? .................................................................................. 11032

Thépot JacquesInfluence et connivence dans les conseils d’administrationdes sociétés françaises ................................................ 11363

Tiberghien BrunoAction Publique et Solidarité territoriale dans la gestion desrisques « dits » naturels .............................................. 11082

Tort ÉricLa politique comptable semestrielle des sociétés cotées ausecond marché ............................................................ 11123

Trébucq StéphaneUne analyse quantitative des différences de mesurescomptables dans les contextes français et américain.. 11121

UUrien BertrandL’influence de l’anxiété face à la mort sur le comportementdu consommateur : proposition d’un cadre d’analyse 11283

Urso DavidLe renouvellement des connaissances à l’épreuve desrelations interentreprises............................................. 12031

VValax MarcLes obstacles humains à la réussite de l’organisation d’unechaîne logistique ......................................................... 11333

Vergne Jean-FrançoisLa construction du capital-marque d’une e-brand

une étude exploratoire ................................................. 11181

Virgili SandrineLa structuration du changement par les acteurs et les outils degestion : une perspective communicationnelle ........... 12133


WWannenmacher DelphineGRH et Apprentissage Organisationnel - Les apports d’uneétude exploratoire menée au sein de l’industrie du verre et ducristal à la main en Lorraine ....................................... 11223

Warnier VanessaLe système Pratique-Recherche : une approche garbage cande la production et de la diffusion des théories .......... 12113

Wegmann GrégoryLes Tableaux de Bord Stratégiques - ......................... 11263

ZZimnovitch HenriL’histoire : un apport critique et fécond pour les sciences degestion et les pratiques managériales ......................... 12013


Index des Mots-clés

AABC/M.................................................................................... 11262Accruals .................................................................................. 12262Achats ..................................................................................... 11143Actants .................................................................................... 12133Acteurs .................................................................................... 12133Action......................................................................... 12012, 12102Action learning ....................................................................... 12003Action politique ...................................................................... 12173Action publique....................................................................... 11082Actionnaires ............................................................................ 12263Activisme actionnarial, ........................................................... 11162Activités du manager .............................................................. 11112Adéquation au contexte de consommation ............................. 11182Adoption ................................................................................. 12202Affect ...................................................................................... 12143Agressivité concurrentielle ..................................................... 11171Agroalimentaire ...................................................................... 11053Alliance ................................................................................... 12002Alliances stratégiques ............................................................. 12272Altruisme ................................................................................ 11212Analyse en composantes principales ......................... 11241, 12233Analyse en facteurs communs ................................................ 12233Analyse factorielle confirmatoire ........................................... 11281Analyses de survie .................................................................. 11313Analystes financiers ................................................................ 11122Annonce préalable .................................................................. 12251Anomalies ............................................................................... 11341Anticipations .............................................................. 11023, 11022Anti-représentationnisme........................................................ 11142AO........................................................................................... 11223Apprentissage................................... 11132, 12002, 12033, 12253Apprentissage individuel ........................................................ 12032Apprentissage organisationnel ......... 11221, 11223, 11231, 12001Approches par activités........................................................... 11262Approches par activités,.......................................................... 11262Architecture organisationnelle ................................... 11061, 11211Arrêté semestriel ..................................................................... 11123Associations de la marque ...................................................... 11182Assurance santé....................................................................... 11153Asymétrie d’information......................................................... 11213Attentes ................................................................................... 11282Attentes de rôle ....................................................................... 11113Attitude ...................................................................... 12142, 12254Attitudes.................................................................................. 12223Audit .......................................................................... 11361, 12123Authenticité............................................................................. 12052Authentification ...................................................................... 12052Autonomie ................................................................. 11021, 12111

BBalanced scorecard ................................................................. 11263Banque ....................................................................... 11142, 12271Bénéfices de contrôle.............................................................. 12273Biais domestique..................................................................... 11162Biens collectifs........................................................................ 12112Biens premiers ........................................................................ 12112Bilinguisme............................................................................. 12253Budget ..................................................................................... 11261

CCadres ..................................................................................... 12223CAM-I..................................................................................... 11261

Capabilités............................................................................... 12112Capital intellectuel .................................................................. 11263Capital-risque .......................................................................... 11163Carrière ................................................................................... 12211Catégorie cognitive ................................................................. 12162Catégorisation ......................................................................... 11172Ccréation et répartition de valeur............................................ 12184Certification de personnes....................................................... 11322Certification ISO 9001............................................................ 12283Cession d’actions .................................................................... 11343Chaîne d’approvisionnement .................................................. 11092Changement ............................................................................ 11153Changement de dénomination sociale..................................... 12023Changement organisationnel............ 11051, 11052, 12062, 12133Changement stratégique.......................................................... 12131Choix de portefeuille............................................................... 11212Chrono-concurrence................................................................ 11381Citoyenneté ............................................................................. 11372Classification des emplois....................................................... 11323Clientèle .................................................................................. 12151Coalition de contrôle............................................................... 12273Collectif................................................................................... 11131Commerce électronique .......................................................... 11092Communauté de pratique ........................................................ 12003Communautés ............................................................ 11231, 12113Communication............................................. 11031, 11233, 12133Comparaison théories-pratiques.............................................. 12183Compatibilité........................................................................... 12012Compétences 11322, 11031, 11133, 11251, 11321, 11323, 12001

11211Comportement......................................................................... 12254Comportement confiant dans le B to B................................... 12041Comportement du consommateur, .......................................... 12253Comportements au travail ....................................................... 11112Comportements opportunistes ................................................ 12181Composante cognitive............................................................. 11093Comptabilité............................................................................ 11063Comptabilité internationale..................................................... 11121Comptes intermédiaires .......................................................... 11123Conception .............................................................................. 12101Confiance ......................................... 11081, 12041, 12042, 12181Confiance dans l’émetteur ...................................................... 12153Confiance en soi...................................................................... 12153Confiance et GRH................................................................... 12061Configurations......................................................................... 12101Conflit interpersonnel ............................................................. 12222Conflit intra groupe................................................................. 12032Conflits d’intérêts.................................................................... 11342Connaissances ............................................................ 11142, 11382Connaissances en management stratégique ............................ 12101Connaissances managériales ................................................... 12003Conseil d’administration ............................................ 11363, 12262Constructivisme ......................................................... 12062, 12212Contextualisme ....................................................................... 12062Contraintes .............................................................................. 12262Contrat psychologique ............................................... 11333, 12043Contrats ................................................................................... 11273Contrats incomplets ................................................................ 12181Contrôle................................................................................... 12101Contrôle budgétaire................................................................. 11261Contrôle de gestion .................................................... 11031, 11052Contrôle de gestion des projets ............................................... 12131Contrôle de gestion stratégique............................................... 11263Contrôle interne ...................................................................... 12271


Convention ..............................................................................11211Coopération ......................................11131, 11132, 12132, 12282Coopération-concurrence ........................................................12272Couleur ....................................................................................12143Coût caché ...............................................................................12021Coût financier ..........................................................................11212Coûts contrôlés ........................................................................11381Coûts d’information.................................................................11242Coûts de faillite........................................................................11213Coûts de transaction ....................................................12122, 12083Création d’entreprise ...............................................................11173Création de valeur.............................11041, 11163, 11221, 12021Création de valeur pour l’actionnaire ......................................11043Créativité .................................................................................12212Crise économique ....................................................................12072Croissance externe...................................................................12282Culture ........................................................................11131, 12222Cycle de vie de la relation. ......................................................12043

DData Envelopment Analysis ....................................................11032Décision.........................................................11374, 12012, 12102Délégation................................................................................12181Démarche qualité.....................................................................11322Démocratie de concertation.....................................................11081Démocratie de médiation.........................................................11081Déterminants de l’adoption .....................................................12202Détresse financière ..................................................................11213Dette obligataire souveraine ....................................................12082Développement de produits nouveaux ....................................11384Développement organisationnel ..............................................12212Diagnostic et évaluation socio-économiques ..........................12021Différenciation.........................................................................11172Direction par le sens ................................................................12111Discipline.................................................................................11021Disconfirmation.......................................................................11151Discours...................................................................................12072Dispositif d’information ..........................................................12031Dissonance cognitive...............................................................12032Distance hiérarchique ..............................................................12111Distance sociale .......................................................................12111Diversité ..................................................................................12032Document Pédagogique Sponsorisé (DPS) .............................12053Double cotation .......................................................................11121Droit des contrats.....................................................................12272Droits de propriété...................................................................12184Dynamique d’assimilation.......................................................11262

EEchelle de mesure....................................................................11272Ecole ........................................................................................12053Economie de la connaissance ..................................................11231Education du consommateur ...................................................12053Effet de liquidité ......................................................................11243Effet de richesse ......................................................................11343Effet de saturation....................................................................11091Efficacité..................................................................................11093Efficacité publicitaire ..............................................................12141Efficience....................................................................11161, 12261Efficience des entreprises de services .....................................11032Efficience des marchés ............................................................11341Egalité des chances..................................................................12112Emotion ......................................................................12143, 12223Endettement.............................................................................11072Engagement .............................................................................12043Enron .......................................................................................12123Enseignement ..........................................................................11063Entrepôt ...................................................................................11092Entrepreneuriat ...........................................................11173, 12171Entreprise apprenante ..............................................................12001Entreprises africaines...............................................................11132Entreprises françaises ..............................................................11071Entretien .....................................................................11031, 11253Environnement technologique.................................................12201

E-parrainage sportif ................................................................ 11093E-procurement ........................................................................ 11143Equipe dirigeante.................................................................... 12032Equité......................................................................... 12112, 12222ERP............................................................................ 11051, 11052Estimateur de Kaplan-Meier................................................... 11313Ethique.......................................................... 11212, 11372, 12222Ethnométhodologie................................................................. 12212Etude d’événement .................................................... 12023, 12173Etude de cas ............................................................... 11142, 12013Etudes d’événements .............................................................. 11043EVA........................................................................................ 12263Evaluation.................................................................. 11183, 11253Evénements affectifs au travail............................................... 12223Expatriation ............................................................................ 11133Extension de marque .............................................................. 11182Externalités de réseau ............................................................. 11232

FFacteurs institutionnels ........................................................... 11071Femmes cadres ....................................................................... 11351Ffusion .................................................................................... 11141Fidélisation ............................................................................. 12252Filiales à 100 % ...................................................................... 11061Filialisation ............................................................................. 11061Filtre perceptuel...................................................................... 12142Finance comportementale....................................................... 11341Fiscalité................................................................................... 11063Fit association ......................................................................... 11182Fit contexte ............................................................................. 11182Fonds de pension .................................................................... 12081Force de l’attitude................................................................... 12254Formation................................................................................ 11133Formes 20-F............................................................................ 11121Formes juridiques ................................................................... 11061Fourchette de prix................................................................... 12232France ..................................................................................... 11313

GGarbage can ............................................................................ 12113Genres..................................................................................... 11233Gestion.................................................................................... 12013Gestion de l’immatériel .......................................................... 11322Gestion de la relation client .................................................... 12252Gestion de la relation d’emploi .............................................. 12252Gestion de projet........................................................ 11381, 11382Gestion des connaissances............................ 11222, 12031, 12202Gestion des ressources humaines ............................... 11223, 11222Gestion des risques .................................................... 11082, 11273Gestion du résultat .................................................................. 12262Gestion du risque .................................................................... 11242Gestion du temps .................................................................... 11112Gestion économique et financière des projets ........................ 12131Gestion juridique .................................................................... 12002Gouvernance11161, 11163, 11183, 11361, 11363, 11372, 12261Gouvernement ........................................................................ 11323Gouvernement d’entreprise ........................... 12123, 12273, 11162Grande distribution ................................................................. 12042Grande distribution française.................................................. 12033GRH........................................................................... 11223, 11333Groupe de projet ..................................................................... 11383

HHabillement ............................................................................ 11332Hermès.................................................................................... 11311Histoire ................................................................................... 12013Hôpital .................................................................................... 12183Humeur ................................................................................... 12143

IIdentification organisationnelle .............................................. 12162Identité .................................................................................... 11113Identité d’entreprise................................................................ 12162Identité sociale........................................................................ 12162


Image d’entreprise ...................................................................12162Implication durable..................................................................12251Incitations ...................................................................12184, 12262Incubateurs ..............................................................................11173Individualisation ......................................................................11321Industrie du verre et du cristal à la main .................................11223Influence interpersonnelle .......................................................12251Information financière périodique...........................................11123Innovation organisationnelle ...................................................11251Institutionnalisme ....................................................................12272Institutions ...............................................................................12271Intégration...................................................................11051, 11141Intelligence économique..........................................................11272Intention d’achat......................................................................12254Intention stratégique ....................................................11153, 12283Internationalisation .....................................................12033, 12172Internet........................................................................11091, 11332Introduction en bourse................................................11342, 11343Invariants ....................................................................11023, 11022Investissement des universités.................................................12184Investisseur socialement responsable ......................................11212

JJustice distributive et procédurale ...........................................12222Justice sociale ..........................................................................12112

KKnowledge management ............................................11052, 11222

LL’entreprise-réseau ..................................................................11152Leader d’opinion .....................................................................12251Lien social ...............................................................................11363Liquidité endogène et exogène................................................11241Littérature professionnelle.......................................................12183Livraison..................................................................................11092Lobbying..................................................................................12173Logique d’acteur......................................................................11331Logistique .........................................11092, 11331, 11332, 11333Logit ........................................................................................12254Loi de Baumol .........................................................................12112Losange de Porte .....................................................................12171Luminosité...............................................................................12143

MManagement ...............................................................12212, 12221Management de la connaissance .............................................12003Management de projet .............................................................12272Management des groupes ........................................................12101Management des services ........................................................11152Management du changement...................................................11133Management international .......................................................11152Management par la qualité totale, ...........................................12283Management public .......................................12112, 12131, 12211Management social ..................................................................12112Management stratégique.............................................11152, 11261Manager......................................................................11112, 11113Marketing ................................................................................12151Marketing public .....................................................................11183Marketing relationnel ..............................................................12043Marketing social ......................................................................12043Marketing territorial ................................................................11081Mécanisme de persuasion........................................................12142Média.......................................................................................11233Médiation.................................................................................12112Mémoire .....................................................................12143, 12253Mémorisation...........................................................................11093Messagerie...............................................................................11233Mesures de restructuration ......................................................11072Miller .......................................................................................11311Modèle d’acceptation de la technologie ..................................11232Modèle d’équations structurelles multigroupes.......................11281Modèle des ressources et compétences ...................................12203Modèle discursif ......................................................................12133Modèle tétraclasse ...................................................................12051

Modèles à facteurs .................................................................. 12233Modèles H et V....................................................................... 12281Mots du président ................................................................... 12072Mutuelle d’assurances ............................................................ 12202

NNorme sociale ......................................................................... 11232Normes comptables ................................................................ 11122Notation .................................................................................. 11253Numérisation .......................................................................... 11143

OObligations convertible........................................................... 12231OBNL ..................................................................................... 12184Offre créatrice......................................................................... 12171Offre de liquidité ........................................................ 12122, 12232Organisation.................................................. 11221, 11382, 12031Organisation de production .................................................... 12281Organisation du système de santé........................................... 12132Origine .................................................................................... 12052Outil de Gestion des Ressources Humaines ........................... 11253Outils de gestion ........................................................ 11052, 12133Outils Intranet ......................................................................... 11231

PParadigme ............................................................................... 12033Paradigme cognitif.................................................................. 11172Paradigmes stratégiques ......................................................... 12201Parité call-put.......................................................................... 12083Parrainage ............................................................................... 11091Partage de connaissances........................................................ 11222Partenariat ............................................................................... 11081Participation............................................................................ 11081Parties prenantes ........................................................ 11372, 12183Pas de cotation ........................................................................ 12232Pendiscan ................................................................................ 11032Pépinières................................................................................ 11173Perception ............................................................................... 12052Perception de la concurrence.................................................. 11172Perception de la fiabilité ......................................................... 12041Performance.................................................. 11041, 12081, 12173Performance à court et long terme.......................................... 11341Performances ................................................. 11171, 11251, 12081Performance boursière............................................................ 11342Performance et efficacité ........................................................ 11061Personnalisation...................................................................... 12252Personnel ................................................................................ 12161Personnel pluriethnique .......................................................... 11132PGI.......................................................................................... 11051Pilotage ...................................................................... 11261, 12183Pizza........................................................................................ 11313Places de marché .................................................................... 11143Plafond de verre...................................................................... 11351Planification............................................................................ 12201Plans sociaux, ......................................................................... 11043Plateau de carrière .................................................................. 12211PME.............................................................. 11053, 12172, 12201Politique comptable ................................................................ 11123Politique de financement. ....................................................... 11242Pologne ................................................................................... 12033Portail d’entreprise ................................................................. 11231Porte ouverte........................................................................... 12222Post-modernité........................................................................ 11282Practical compatibility............................................................ 12012Pratique...................................................................... 12012, 12113Pratiques de management ....................................................... 12211Pratiques sociales.................................................................... 11041Principe d’incorporation ......................................................... 12153Principe de différence............................................................. 12112Privatisation ............................................................... 11161, 12261Prix.......................................................................................... 12253Probabilité de conversion ....................................................... 12231Probabilité implicite de défaut................................................ 12082Processus ................................................................................ 11141Processus d’innovation ........................................................... 12031


Processus de catégorisation .....................................................12162Processus décisionnel ..............................................................12261Processus décisionnel, .............................................................11161Processus entrepreneurial ........................................................12172Productivisme ..........................................................................12112Productivité, qualité, flexibilité ...............................................11032Produits alimentaires ...............................................................12153Profondeur ...............................................................................11241Profondeur et exposition en carnet ..........................................12232Projet..............................................................11023, 11022, 11052Projet de territoire....................................................................11081Projets de systèmes d’information...........................................11052Prospective stratégique............................................................11153Prototypes ................................................................................11384Prudence ..................................................................................11121Psychologie..............................................................................11374Psychopathologie.....................................................................12221Publicité......................................................................11091, 12142

QQualité perçue..........................................................................11151

RRapport de développement durable .........................................11372Rapprochement........................................................................11121Rationalité................................................................................11374Recherche ...................................................................11063, 12113Recherche ingéniérique ...........................................................11152Recherche-intervention............................................................12212Recrutement................................................................11321, 12161Réduction du temps de travail .................................................12061Réflexivité ...............................................................................12212Réglementation........................................................................11273Règles ............................................................11023, 11022, 12102Règles comptables américaines...............................................11121Règles comptables françaises ..................................................11121Règles comptables internationales, .........................................11121Relation banque-entreprise......................................................11211Relation producteur-distributeur .............................................11332Relations interentreprises ........................................................12031Relations inter-organisationnelles ...........................................12203Relations Verticales.................................................................12042Rentabilité financière...............................................................11121Reporting financier..................................................................11121Représentationnisme................................................................11142Représentations sociales..........................................................11311Réputation................................................................................12181Réseaux.................................12102, 12203, 12282, 12132, 12281Réseautage...............................................................................12282Réseaux de santé......................................................................12132Réseaux électroniques de communication,..............................12122Réseaux mixtes........................................................................11313Résolution de problème...........................................................11221Responsabilité sociétale de l’entreprise...................................11371Responsable de projet..............................................................11383Ressources humaines..................................................12161, 12221Résultat ....................................................................................11122RH............................................................................................11322Risque .........................................................................12153, 12181Risque de défaut ......................................................................11243Risque de liquidité spécifique et systématique........................11241Rites.........................................................................................11282Rôle du client...........................................................................12151Rôles des cadres ......................................................................11333Royaume-Uni ..........................................................................12081

SSaillance ..................................................................................12162SAS..........................................................................................11061Satisfaction ....................................................11151, 12051, 12211Saturation.................................................................................12143Savoir tacite .............................................................................11223Savoir-faire ..............................................................................12281Sciences de gestion..................................................................11063

Sciences sociales..................................................................... 11323Scientificité............................................................................. 12013Sécurité ................................................................................... 11131Segmentation .......................................................................... 12051Seniors .................................................................................... 12141Service ....................................................................... 11151, 12151Signaling................................................................................. 12023Signalisation ........................................................................... 11343Simulation............................................................................... 11384Situations d’achat ................................................................... 11282Socialisation............................................................................ 12053Sociétés cotées au second marché .......................................... 11123Solidarité territoriale............................................................... 11082Sous-évaluation ...................................................................... 11343Sous-réaction .......................................................................... 11341Spread de crédit ...................................................................... 11243SSII ......................................................................................... 11321Stakeholder theory.................................................................. 11372Stakeholders............................................................................ 12263Stakeholders’ report................................................................ 11372Statistique textuelle................................................................. 12072Stratégie ................. 11021, 11023, 11022, 11371, 11374, 12282Stratégie centrée sur les ressources ........................................ 12283Stratégie d’activité.................................................................. 11171Stratégie de globalisation........................................................ 11152Stratégie de recherche............................................................. 11371Stratégie de trading................................................................. 12082Stratégique .............................................................................. 12183Stress organisationnel ............................................................. 11333Structure du capital ................................................................. 11072Structure financière................................................................. 11071Structure optimale du capital .................................................. 11242Structure organisationnelle ..................................................... 11383Styles de temps ....................................................................... 11281Subsidiarité ............................................................................. 12112Supply chain management...................................................... 11332Suppressions d’emplois .......................................................... 11043Sur-réaction ............................................................................ 11341Sustainability report................................................................ 11372Système de gestion des connaissances ................................... 12202Système faiblement couplé..................................................... 12113Systèmes alternatifs de transactions ....................................... 12122Systèmes d’information............................................. 11052, 11141Systèmes d’information,......................................................... 11233Systémique.............................................................................. 12062

TTableau ................................................................................... 11263Tableau de Bord Stratégique Intégré ...................................... 11263Tableaux de bord stratégiques scandinaves,........................... 11263Taux et spread actuariel .......................................................... 12082Teinte ...................................................................................... 12143Téléphonie mobile .................................................................. 11213Tests........................................................................................ 11384Théâtre .................................................................................... 11311Théorie de la gestion du système d’information pour le management

11262Théorie de la structuration...................................................... 11233Théorie de la traduction............................................. 11152, 11262Théorie des conventions ......................................................... 12271Théorie positive de l’agence................................................... 11061Théories .................................................................................. 12012Théories des organisations...................................................... 11331TIC.......................................................................................... 11053Tontine d’entreprise................................................................ 11132TPE ......................................................................................... 12061Tracker.................................................................................... 12083Transactions en ligne .............................................................. 12122Transfert.................................................................................. 12033Transfert de compétences ....................................................... 12203Transport................................................................................. 12151Transversalité.......................................................................... 11021Travail de groupe.................................................................... 11221


Type.........................................................................................11374Typologie....................................................................11272, 11281

UUtilisation de la messagerie électronique ................................11232Utilité.......................................................................................12013

VValeur ............................................................11151, 12021, 12263Valeur client ............................................................................11041Valeur économique..................................................................12021Valeur financière .....................................................................12021Valeur organisationnelle..........................................................12021Valeur partenariale .....................................................11161, 12261Valeur sociale ..........................................................................12021Valeur stratégique....................................................................12021Valeurs.....................................................................................11281Valeurs individuelles ...............................................................12142Variables fondamentales .........................................................12233Veille stratégique.....................................................................11272Vendeur ...................................................................................11311Vente........................................................................................11311Vente par catalogue .................................................................11281Vieillissement cognitif.............................................................12141Vision .........................................................................11023, 11022Vitesse .....................................................................................11381Vulnérabilité ............................................................................11082

WWilly Loman............................................................................11311


RÉSUMÉS DES COMMUNICATIONS1

11021Sciences de gestion et pratiques de management : le cas du management stratégique

Jean-Pierre Bréchet, Alain DesreumauxIAE de NantesIAE de Lille

Résumé : Le management stratégique, au carrefour des théories économiques et des théories d’organisation, mais aussi desautres aspects du management, est sans doute révélateur des interrogations que l’on peut avoir sur le positionnement de ladiscipline à la fois médiatrice, fédératrice emprunteuse et préoccupée d’autonomie. Ces interrogations s’ancrent dans leconstat d’une distanciation progressive des finalités praxéologiques manifestées par le management stratégique. L’histoiremême du management stratégique, les difficultés des relations au terrain, les emprunts aux autres univers disciplinairesfournissent des éléments d’explication d’une distanciation marquée qui appelle aussi une réflexion sur les voies d’un(re)positionnement ambitieux.Mots clés : stratégie, discipline, transversalité, autonomie

11022Pour une approche stratégique du projet

Pascal Aurégan, Patrick JoffreI.A.E. de Caen

Résumé : Economie de projets, économie de l’incertitude, c’est le trait commun de ces deux papiers, l’un écrit par deuxuniversitaires, l’autre en écho au premier, rédigé par un praticien grand journaliste et pionnier des émissions économiques à latélévision.

Le projet est au cœur de la stratégie de l’entreprise et apparaît aujourd’hui comme un forme d’anticipation privilégiée.Cependant, l’acharnement projectif ne doit pas faire oublier les invariants qui fondent le management de l’entreprisecontemporaine. C’est une autre manière, sans doute plus a-temporelle, de réduire l’incertitude.Mots clés : projets, vision, règles, invariants, stratégie, anticipations.

11023La réussite d’une stratégie - de projets ou autre - est plus affaire de management que de

méthodeMichel Drancourt

IAE de Caen

Résumé : Economie de projets, économie de l’incertitude, c’est le trait commun de ces deux papiers, l’un écrit par deuxuniversitaires, l’autre en écho au premier, rédigé par un praticien grand journaliste et pionnier des émissions économiques à latélévision.

Le projet est au cœur de la stratégie de l’entreprise et apparaît aujourd’hui comme un forme d’anticipation privilégiée.Cependant, l’acharnement projectif ne doit pas faire oublier les invariants qui fondent le management de l’entreprisecontemporaine. C’est une autre manière, sans doute plus a-temporelle, de réduire l’incertitude.Mots clés : projets, vision, règles, invariants, stratégie, anticipations

11031L’adaptation des pratiques de communication orale aux missions des contrôleurs de

gestionJocelyne Deglaine, Armelle Godener, Marianela Fornerino

Enseignant-Chercheur – ESC Grenoble, ([email protected])Enseignant-Chercheur – ESC Grenoble, ([email protected])

Enseignant-Chercheur – ESC Grenoble, ([email protected])

Résumé : Les études disponibles sur le métier de contrôleur de gestion soulignent l’importance des compétences encommunication pour l’exercice de ce métier. Dans l’article proposé, les auteurs étudient les pratiques des contrôleurs degestion en matière de communication orale afin de cerner dans quelle mesure les pratiques de communication oraledéveloppées par les spécialistes de ce domaine font partie du registre adopté. Au travers d’une enquête menée à titreexploratoire auprès de 118 contrôleurs de gestion français, il apparaît que pour conduire certaines missions le contrôleur degestion met en œuvre une palette étendue de comportements différents, considérés par les spécialistes de la communicationcomme contradictoires. L’enjeu d’une telle recherche est de mettre en évidence les compétences à maîtriser par les contrôleursde gestion..

1. Les deux premiers chiffres correspondent au jour, les deux suivants au numéro de session dans la jour-née et le dernier est un numéro d’ordre


Mots clés : contrôle de gestion ; compétences ; communication ; entretien.

11032Comment évaluer la productivité dans les activités de service ?

Michel Gervais, Gervais Thenet1 Professeur – Université de Rennes 1, IGR-CREREG, e-mail : [email protected]

2 Professeur – Université de Rennes 2, LESSOR, e-mail : [email protected]

Résumé : L’article compare la méthode DEA au Pendiscan pour apprécier la productivité dans le secteur des services.Mots clés : Data Envelopment Analysis – Pendiscan– efficience des entreprises de services –productivité – qualité– flexibilité

11033Conseils Généraux, vers une généralisation du contrôle de gestion ?

Christophe MaurelDoctorant au CREREG (université de rennes1)

Résumé : des collectivités locales peu étudiées, les Conseils Généraux, connaissent actuellement des évolutions dans leursystème de gestion. En premier lieu, un changement de règle institutionnelle relatif à leur comptabilité, deuxièmement unecertaine évolution des pratiques internes due à un essor de la "culture de gestion", et en troisième lieu une généralisation del'informatique de gestion. Nous nous intéressons aux impacts éventuels de ces évolutions sur le système de contrôle de gestiondont la difficile émergence dans le secteur public est reconnue. Basés sur l'étude de quatre cas, les résultats témoignent depratiques très diverses allant d'aucune évolution dans les pratiques de gestion pour certains jusqu'à un fort développement pourd'autres. Bien que contingentées, nous notons que dans chaque cas, les activités du contrôleur s'orientent vers l'animation dusystème d'information et l'assistance aux services du Conseil Général..Mots clés : Conseil Général, contrôle de gestion, collectivité locale, informatisation

11041Ressources Humaines et création de valeur : proposition d’un modèle

d’actionCharles Henri d’Arcimoles, Jean-Yves Saulquin

Professeur, IAE de Tours ([email protected])Professeur, Groupe ESCEM ([email protected])

Résumé : Dans une première partie, nous faisons le point sur les travaux menés sur les liens GRH - performance. Nousévoquons les débats qui semblent opposer l’approche universaliste et l’approche contingente et nous nous interrogeons sur lesconclusions de nombreuses études et leurs portées opérationnelles.

Nous relevons les difficultés rencontrées par les chercheurs pour s’accorder sur la définition de la performance (intermédiaire/finale). Nous réaffirmons qu’au delà des discours sur l’importance du facteur social, c’est la dimension économique de la per-formance qui, en pratique, domine les autres dimensions et fait de la création de valeur un objectif prioritaire.

La piste la plus utilisée par les dirigeants pour créer de la valeur est celle de la hausse du rendement (au travers de variables deperformance intermédiaire), mais nous soulignons qu’une autre voie peut être suivie : celle de la baisse du risque social (au tra-vers de la valeur client notamment).

Dans une seconde partie, nous proposons un modèle d’analyse du management social et de ses effets induits sur la création devaleur sur la base du cadre suivant :

un objectif dual de création de valeur par le rendement et la baisse du risque social ;

un management centré sur la recherche d’avantages concurrentiels RH identifiés et soutenus par des mesures d’accompagne-ment adaptées ;

un ensemble de pratiques sociales assurant la cohérence interne et la cohérence externe.

En définitive, nous soumettons un modèle d’action managérial qui met l’accent sur la prise en compte des ressources humainesdans la perception du risque. Le risque social s’apprécie le plus souvent au travers des variables conflit, salaires …. Mais qu’enest-il de la valeur salarié, des compétences, de l’innovation, de la valeur client ? Il n’y a pas encore d’études sur ces nouveauxfacteurs de risque dont les conséquences semblent aussi grandes que celles des facteurs de rendement sur la création de valeur..Mots clés : Pratiques sociales, performance, création de valeur, valeur client.


11042IInfluence de la rémunération variable sur la perception de création de

valeur pour les différentes parties prenantes de l’entrepriseLaurie-Line Guibbert

Allocataire- moniteur au LIRHE – Université Toulouse 1 – ([email protected])

Résumé : l’objectif poursuivi est de présenter une synthèse des diverses études réalisées sur les liens pouvant exister entre cesdeux notions. Le travail proposé portera sur deux aspects principaux. En premier lieu, l’explication et la compréhension de lanotion de création de valeur nécessitent de considérer les différents acteurs économiques ainsi que leurs attentes en cedomaine. Ces éléments seront analysés grâce à l’approche stakeholders. Dans un second temps, les relations entre système derémunération et création de valeur seront examinées selon deux perspectives : théorique puis empirique. Seront présentéesdiverses théories qui mettent en lumière ou expliquent les liens existant entre ces deux concepts ainsi que les études réaliséessur l’impact d’une modalité de rétribution incitative sur un ou plusieurs aspects de création de valeur. Ceci permet alors dedégager un modèle théorique de création de valeur et de formuler certaines hypothèses..Mots clés : rémunération variable ; création de valeur ; approche stakeholder ; modèle de l’escalier

11043L'influence de l'annonce de suppressions d'emplois sur la valeur boursière des

entreprises en France : une analyse explicative transversaleJérôme Hubler, Pierre-Xavier Meschi, Géraldine Schmidt

Maître de Conférences à l’IAE de Nancy, Université Nancy 2Professeur à l’IAE d’Aix, Université Aix-Marseille III

Professeur à l’IAE de Paris, Université Paris 1 Sorbonne

Résumé : Cette recherche s'appuie sur un échantillon élargi de plus de deux-cents annonces de suppressions d'emplois paruesdans la presse spécialisée durant les dix dernières années. Outre la mesure de l’impact de l’annonce des suppressionsd’emplois sur la valeur boursière, réalisée à travers une méthodologie d’étude d’événements, cette recherche intègre, dans unevisée transversale et explicative, une série critères qui caractérisent les suppressions d'emplois (nombre d'emplois concernés,taux de suppressions d'emplois, origine de l’annonce,…) et des variables qui caractérisent les entreprises correspondantes(effectif, secteur). Plusieurs résultats sont à noter : 1. l’annonce de suppressions d’emplois n’affecte pas durablementl’évolution des cours boursiers des entreprises concernées ; 2. une nette opposition ressort des résultats entre la période [-5 ;+5] et la période [+6 ; +10], respectivement négatifs et positifs ; 3. le taux d’emplois supprimés s’avère la seule variable pourlaquelle l’effet est clair, significatif et non superposé, négatif en [-5 ; + 5] et positif en [+6 ; + 10] ; 4. peu de résultats sontsignificatifs le jour de l’annonce. Au total, l’effet de l’annonce de suppressions d’emplois sur les cours boursiers s’avère pluscomplexe qu’il n’y paraît ou que les médias ne l’expliquent, résultant d’une série de facteurs souvent combinés, superposés etcorrélés.Mots clés : Suppressions d’emplois, plans sociaux, études d’événements, création de valeur pour l’actionnaire

11051Mise en place de SAP R/3. Résultats d'une étude exploratoire

Pascal PérotinDoctorant ATER - Université Montpellier II - CREGO

Centre de Recherche en Gestion des Organisations

Résumé : Les Progiciels de Gestion Intégrée (PGI) sont devenus en quelques années la clef de voûte du Système d'Informationde gestion des entreprises. A première vue, ils répondent au souhait de contrôle des dirigeants sur leur organisation en mettanten place des processus standardisés, homogènes et en permettant la constitution d'une vision consolidée de l'activité. Cettevision quasi déterministe dans laquelle le PGI fait office de levier du changement est présentée par les éditeurs, consultants,tous ceux qui tirent leur activité principale des projets PGI. Les managers, confrontés à la complexité organisationnelle et à deséchecs lors des projets, sont cependant conscients que le processus de mise en place est complexe, risqué et peut ne pasproduire les effets escomptés.

L'objet de cet article est de présenter les résultats d'une étude exploratoire réalisée au sein de deux entreprises ayant mis enplace SAP R/3. Les observations effectuées transcrivent les questions dominantes que se posent les acteurs lors de telles misesen place. Ainsi émerge une vision processuelle de la mise en œuvre qui insiste sur les zones d'incertitudes propres au projetsPGI. Enfin, nous proposons d'inscrire nos observations dans un cadre conceptuel général de l'étude du processus de mise enplace des PGI, qui met l'accent sur les objectifs d'intégration de l'organisation ainsi que sur la gestion des marges de manœuvreinhérentes au projet.Mots clés : PGI, ERP, Intégration, Changement organisationnel

11052Les projets d’ERP ou penser les pratiques managériales à l’intersection de plusieurs

logiques projets : le cas FarmanWilfrid AZAN

ATER en Sciences de Gestion à l’Université de Marne la Vallée

Résumé : La mise en place d'un ERP - progiciel de gestion intégrée - a permis à l'entreprise Farman de réaliser des gainsappréciables. Mais une telle opération, qui implique l'interdépendance entre les projets automobiles traités par ce spécialiste du


ferrage et les projets informatiques liés au progiciel, ne va pas sans créer des conflits et entraîner de nécessaires arbitragesentre contraintes de l'informatique et exigences des projets automobiles. La dépendance réciproque s’appuie sur l’échange desavoirs entre les groupes d’acteurs transversaux. Elle met en lumière des mécanismes d’interaction entre les groupes deprojets, automobiles d’une part et informatiques d’autre part et annonce dans un contexte d’organisation toujours plustransversale de nouvelles lois de fonctionnement..Mots clés : ERP, Projet, Outils de Gestion, Changement Organisationnel, Knowledge Management, Projets de Systèmes d’information, Systèmes d’Information, Contrôle de Gestion

11053Le rôle des SSII dans l’intégration des outils informatiques et des TIC au sein des PME

Camille Chamard, Marie-Noëlle Bessagnet, Christian SallaberryMaître de Conférences, IAE des pays de l'Adour

Maître de Conférences, Laboratoire d'informatique de l'UPPAMaître de Conférences, Laboratoire d'informatique de l'UPPA

Résumé : Cette communication présente une étude détaillée sur l’utilisation des TIC dans les PME régionales. Les résultatsobtenus nous permettent de différencier deux secteurs d’activités : agroalimentaire et hors agroalimentaire. Ainsi, nousdécrivons l’influence de différents facteurs sur l’intégration des TIC dans ces PME. D’autre part, nous nous intéressons au rôledes SSII et à l’adéquation entre l’offre et la demande régionales..Mots clés : TIC, PME, agroalimentaire

11061Contribution à la théorie de l'architecture organisationnelle : la SAS (Société par Action

Simplifiée) comme structure de filialisation. Application au cas de Lafarge Ciment France

Jean-Baptiste CartierAllocataire-Moniteur, IAE Dijon- FARGO LATEC ([email protected])

Résumé : L’objectif de cette thèse est de construire et tester un modèle théorique expliquant le choix de la SAS comme modede gestion des filiales internes des grands groupes. Il s’inscrit ainsi à l’intersection du droit et de la gestion, ou plutôt, étudie ledroit comme moyen de comprendre et d’améliorer la gestion des organisations. - Le cadre de ce modèle est celui del’architecture organisationnelle, c’est-à-dire l’étude des différentes formes d’organisation au moyen de la théorie positive del’agence et de ses développements actuels, notamment sur les aspects juridiques. La réflexion menée en terme d’avantages/coûts, et s’appuyant sur le principe de sélection naturelle (seules les organisations efficaces survivent à terme), doit doncconduire à observer les choix de formes juridiques différents. L’application aux filiales du Groupe industriel G en Francevalidera ce modèle..Mots clés : Architecture organisationnelle, SAS, formes juridiques, filiales à 100%, filialisation, théorie positive de l’agence, performance et efficacité

11062La Société par Actions Simplifiée (SAS) : un outil de management commun à toutes les

entreprises ?Karine Le Cozler Le Rudulier

Chargée de cours magistraux et de travaux dirigés, IGR-IAE Rennes

Résumé : L'objet de cet article est de confronter les caractéristiques de la société par actions au management des entreprises.Elle est présentée comme un nouvel instrument sociétaire par les auteurs, de la grande entreprise à l'entrepreneur individuel.Nos travaux tentent de remettre en cause cette vision universelle de l’utilisation de la SAS. Les besoins et les contraintes enorganisation de la SAS semblent peu compatibles avec les items de la petite entreprise..Mots clés : Société par actions simplifiée ; petite entreprise ; compatibilité ; avantages et inconvénients.

11063Sciences de gestion et pratiques fiscales

Jean-Luc RossignolMaître de Conférences – CUREGE – Université de Franche-Comté ([email protected])

Résumé : Le paramètre fiscal est peu souvent appréhendé en sciences de gestion. Un état de l’art des thèses « fiscales »soutenues en sciences de gestion depuis le début des années 1970 le confirme. Une revue de la littérature financière anglo-saxonne met en évidence de nombreux articles appréhendant de façon plus ou moins développée des aspects fiscaux, alorsqu’en France la littérature financière porte à ces derniers un intérêt limité. Les développements les plus fournis l'ont été, enFrance, sur les relations entre comptabilité et fiscalité, malgré les difficultés empiriques de mesure de l'influence fiscale. Lesrésultats d’une enquête conduite auprès de l’ensemble des IAE de France mettent, en outre, en évidence la place accordée à lafiscalité dans les diplômes de gestion..


Mots clés : fiscalité, sciences de gestion, comptabilité, recherche, enseignement.

11071Incidence des facteurs institutionnels dans l'évolution de la structure financière : une

étude exploratoireEvelyne Poincelot

Maître de conférences en Sciences de Gestion - Université de Bourgogne, IAE Dijon, LATEC, ([email protected])

Résumé : L’objectif de l’article est de déterminer les principaux facteurs institutionnels susceptibles d’expliquer directementou non l’évolution globale des structures financières des entreprises françaises sur la période 1988-1998. Nous évoquonségalement quelques extensions qui justifieraient pour quelles raisons certaines firmes présentent une évolution de la structurefinancière contraire ou atténuée par rapport à la tendance générale..Mots clés : structure financière, facteurs institutionnels, entreprises françaises.

11072Structure du capital et mesures de restructuration

Eric Severin, Solène DhenninEnseignant Chercheur* Université de Lille 2 ([email protected] et [email protected])

Mots clés : Endettement, Structure du capital, Mesures de restructuration.Résumé : Cet article traite du lien entre la structure du capital et les mesures de restructuration initiées par des entreprises en difficulté. Les principaux résultats de cette étude empirique réalisée sur un échantillon de 53 entreprises françaises montrent que ces dernières utilisent un panel de mesures pour surmonter leurs difficultés. Les régressions logistiques mettent en évidence l’influence positive et significative de l’endettement, et plus encore de l’endettement à court terme, sur les mesures de restructuration opérationnelle. En revanche, le rôle de la structure d’actionnariat apparaît plus brouillé. Aucune relation significative ne se dégage sauf quant à l’influence positive de la concentration de l’actionnariat sur les mesures de réduction de coûts. Par ailleurs, nos résultats suggèrent que l’essentiel de ces mesures est pris sur deux ans à compter de l’année de difficulté, ce qui indique une certaine réactivité des entreprises françaises. Enfin nos résultats suggèrent à la fois des similitudes et des différences dans les pratiques de restructurations françaises face à leurs homologues japonaises et américaines. Néanmoins ces résultats doivent être pris avec précaution en raison des différences existantes entre les différentes études empiriques..

11073Le critère moyenne – variance : un critère de sélection pertinent pour les projets

d’investissement ?Béatrice de Séverac, Robert Trommsdorff

Maître de conférences - Paris X – Nanterre ([email protected])Maître de conférences - IAE de l’université de la Réunion ([email protected])

Résumé : La littérature sur les options réelles se concentre sur la valorisation des différentes flexibilités que peuvent présenterles projets d’investissement et plus récemment sur les interactions qui en découlent. Cependant toutes les valorisationseffectuées correspondent à des prix d’équilibre qui ne tiennent pas compte de la préférence des agents. Le but de cet article estde déterminer un critère de sélection qui tienne compte à la fois de la complexité des projets d’investissement et de l’aversionpour le risque manifestée par les agents. Il remet en cause l’approche moyenne - variance au profit de celle de dominancestochastique..Mots clés : Choix des investissements, critère moyenne - variance, options réelles, dominance stochastique

11081Projets de territoires et participation des citoyens

Yves Chappoz, Valérie GirardProfesseur à l’Université de Lyon 3.

Maître de conférences à l’IAE de Lyon 3.

Résumé : La nouvelle action publique locale tend à mettre le citoyen au cœur du dispositif de conception/mise en actes duprojet de territoire. Il est invité à être auteur du projet, acteur des opérations programmées, utilisateur du produit final… Dudésir de mobiliser tous les citoyens à la réalité de l’implication des habitants dans une dynamique de projet, il y a un longchemin à parcourir qui est de construire et faire vivre le débat public, en s’appuyant sur les ressorts de la démocratie locale quesont l’information, la consultation et la concertation. Cette communication montre que le projet de territoire est le vecteur desdynamiques d’agglomération urbaine et de pays, la démocratie participative, le moteur de la conception du projet de territoireet le marketing territorial, un outil de la construction de la confiance et de la participation des citoyens..Mots clés : confiance, démocratie de concertation, démocratie de médiation, marketing territorial, partenariat, participation, projet de territoire.


11082Action Publique et Solidarité territoriale dans la gestion des risques « dits » naturels

Bruno TiberghienDoctorant à l’IAE d’Aix-en-Provence

Résumé : Si la philosophie des Lumières portait l’homme en maître de son destin, on admet aujourd’hui à travers la notion decomplexité qu’un certain nombre de choses nous échappent, notamment en ce qui concerne les conséquences mêmes de nosactes. L’aversion au risque accompagnant la complexité croissante porte ce dernier au centre des préoccupations actuelles. Parailleurs, la notion d’« unité d’action » s’insérant dans un système de flux permet d’illustrer cette situation dans le sens où lesconséquences d’une action effectuée dépassent le cadre ou le « territoire » de l’unité d’action. Si être éthique signifie « voirplus loin dans la chaîne de causalités », la lisibilité de cette chaîne et la légitimité de la lecture qui en est faite restent soumisesaux méandres de la complexité. Reste une certaine responsabilité « collective » à assumer à travers, peut-être, de nouveauxmodes de régulation dirigeant l’Action « Publique » vers une gestion partenariale du risque faisant appel à une certaineSolidarité Territorialisée..Mots clés : Gestion des Risques, Vulnérabilité, Solidarité Territoriale, Action Publique

11083Relations entre organisations marchandes et non-marchandes : Un cas de coopération

entre artisans d’art et muséesPascale Amans, Stéphanie Loup

Allocataire Moniteur Normalien - CREGO- COSTIAE, Université Montpellier II ATER Université d’Avignon , Doctorante ERFI, Equipe de Recherche sur la Firme et l’IndustrieIAE, Université Montpellier II

Résumé : Cette communication illustre la notion de coopération entre organisations marchandes et non-marchandes, à partirde l’étude des relations entre artisans d’art et musées. Les motivations, ainsi que l’impact de ces relations en matière deconservation du patrimoine culturel, sont présentées. Le cas de la coopération entre l’entreprise « Famille Hata » et le Muséedes tissus et des arts décoratifs de Lyon est étudié plus en détail.Mots clés : Musée, Artisans d’art, coopération, patrimoine culturel

11091Le parrainage sur Internet: proposition d’une définition et perception d’une distinction

avec la publicité.Didier LOUIS

ATER à l’IUT de Dijon, site d’Auxerre, CERMAB-LATEC.

Résumé : Nous constatons une baisse de la part des bannières dans les dépenses publicitaires sur Internet en même tempsqu’une augmentation du parrainage. Après avoir proposé une définition du parrainage sur Internet, nous nous interrogeons surla perception par les individus d’une différence entre le parrainage et la publicité sur ce support. Nous proposons quel’existence d’un effet de saturation puisse dépendre de cette distinction..Mots clés : parrainage ; publicité ; Internet ; effet de saturation..

11092Logistique des cybermarchés : les modèles à l'épreuve des faits

Gilles MarouseauMaître de Conférences en gestion - GAINS - Université du MAINE ([email protected])

Résumé : La relation au consommateur final constitue un facteur clé de la compétitivité des entreprises en commerceélectronique et tout particulièrement des cybermarchés. En examinant ces sites qui concurrencent les hypermarchés et enmenant une série d’entretiens semi directifs auprès des acteurs concernésnous examinerons le passage délicat du monde virtuelau monde réel, moment où la logistique apparaît comme le facteur principal de réussite ou d’échec de ce nouveau mode devente. Nos principaux résultats concernant le développement de la cyber-épicerie seront exposés en deux parties. Tout d’abord,nous examinerons les ruptures engendrées par Internet dans la conception même de la logistique avec l’émergence de modèlesde e-logistique. Puis, dans un second temps, nous examinerons la validité de ces modèles à l’épreuve de la courte histoire de cenouveau canal de distribution..Mots clés : Commerce électronique, logistique, chaîne d'approvisionnement, entrepôt, livraison.


11093E-parrainage sportif et mémorisation des parrains : l'exemple de l'olympique de

marseille.comXavier Moinier

Maître de Conférences- IUT de La Rochelle, Membre du CEREGE-IAE de Poitiers

Résumé : L’article présente un nouveau support pour le parrainage sportif : internet. Après avoir montré l’interactivité du e-parrainage, l’auteur propose les modalités pratiques de cette communication. Il montre principalement qu’il est possible avecle e- parrainage de mesurer son efficacité au niveau cognitif du comportement du consommateur. In fine il s’agit de mesurer lamémorisation du e-parrainage et de comparer ces résultats aux mesures effectuées lors des actions de parrainage traditionnel.Mots clés : e- parrainage sportif ; mémorisation ; efficacité ; composante cognitive

11111Pour demain, quel dialogue social ?

Gérard Lebrun, Didier Retour* Président de l’ESA Grenoble, Président du CADIPPE, ancien directeur des relations sociales des sites industriels de Hewlett-Packard

** Directeur de l’ESA Grenoble, Professeur des Universités

Résumé : .Mots clés :

1111250 ans de recherche sur le travail quotidien des managers : quelles recommandations

pour leur gestion du temps ?Eric Davoine

Maître de Conférences à l’Université de Haute-Alsace(LIO) * Chercheur associé à l’ISEOR

Résumé : Nous nous intéressons aux études réalisées sur le travail et le quotidien des managers avec différentes approchesméthodologiques. Nous présentons les principales études, leurs principaux résultats ainsi que les critiques dont elles ont faitobjet. Nous cherchons à mettre en évidence les contributions de ces 50 ans de recherche sur le travail managérial àl’amélioration des pratiques de gestion du temps..Mots clés : comportements au travail, manager, gestion du temps, activités du manager

11113Pratiques managériales et identité des managers

Stéphane BELLINIMaître de conférences IUT-IAE de POITIERS (CEREGE) * ([email protected])

Résumé : Lors de cette communication, nous traitons des pratiques managériales mises en œuvre dans les ateliers et bureaux,par les managers. Nous observons notamment les pratiques du manager et ses ajustements aux politiques managérialesimpulsées ou imposés par le haut de la hiérarchie. Entre pratiques officielles et actes réalisés, des convergences ou divergencesapparaissent. Parfois, des pratiques se modifient alors que d’autres sont rejetées, confirmant les pratiques antérieures. Parceque les pratiques sont indissociables de celui qui les met en œuvre, le manager, notre approche se centre sur cet « homme dumilieu », personnage relais à la fois objet des politiques managériales et sujet de sa propre action, dont l’identité se construitdans les relations interpersonnelles, au centre de toute pratique de management des Hommes. Il paraît nécessaire de prendre encompte l’intériorité des managers parce qu’elle explique en partie leur mise en œuvre des pratiques managériales..Mots clés : managers, identité, attentes de rôle.

11121Une analyse quantitative des différences de mesures comptables dans les contextes

français et américainSerge EVRAERT, Stéphane TRÉBUCQ

∂Professeur – Directeur de l'IAE de Bordeaux ([email protected] )∑Maître de Conférences – Université Montesquieu-Bordeaux IV, ([email protected])

CRECCI (Centre de Recherche en Contrôle et Comptabilité Internationale)

Résumé : Un échantillon composé d'une vingtaine d'entreprises françaises cotées à la fois en France (Premier ou nouveaumarché) et aux Etats-Unis (NYSE ou NASDAQ), permet de comparer les standards comptables en vigueur dans ces deux pays.Les indices de prudence, calculés selon la méthode de Gray (1980), montrent que le résultat comptable établi selon les règlesfrançaises, entre 1998 et 2000, s’est avéré supérieur de 20 à 50% à l’évaluation effectuée selon les normes américaines.Inversement, les capitaux propres mesurés selon les règles françaises ont été inférieurs de 1 à 15% à leur montant évalué àpartir des règles américaines et l’on constate dans 85% des cas, une surestimation du ratio de rentabilité financièrecomparativement au ratio américain. Au delà des écarts de traitement comptable, essentiellement imputables aux survaleurs,aux immobilisations dépréciées et aux titres non consolidés, une relation linéaire – susceptible d'intéresser les analystesfinanciers – peut être constatée en ce qui concerne les valeurs comptables françaises et américaines. Une simulation montre


que cette relation linéaire est appelée à se renforcer lorsque la France aura adopté les normes internationales..Mots clés : Comptabilité internationale; Double cotation; Reporting financier; Règles comptables françaises; Règles comptables américaines; Règles comptables internationales; Formes 20-F; Rapprochement; Prudence; Rentabilité financière

11122Le résultat comptable : conception par les normalisateurs et perception par les analystes

financiersJudith Saghroun

Maître de conférences –Paris X NANTERRE

Résumé : L'objectif de cette recherche est d'identifier un éventuel écart de représentation entre la conception du résultatémanant, explicitement ou implicitement, des normalisateurs et sa perception par les analystes financiers. Fondée sur desentretiens, cette étude qualitative à visée exploratoire se situe dans le contexte d'une actualité comptable très dense avecl'adoption prochaine des normes IAS par les sociétés cotées européennes et les "révolutions" de la normalisation américaine..Mots clés : Normes comptables, Résultat, Analystes financiers

11123La politique comptable semestrielle des sociétés cotées au second marché

Eric TortDiplômé Expert Comptable – Docteur en Sciences de Gestion

Résumé : suite à la mise en œuvre de la recommandation 99.R.01 du CNC sur les comptes intermédiaires, les entreprisescotées sont amenées, depuis le 30 juin 2001, à établir des comptes semestriels complets. Pour ces sociétés, il s’agit, donc,d’abandonner la publication du tableau semestriel d’activité et des résultats au profit de véritables documents de synthèsecomprenant un compte de résultat, un bilan, un état de variation des capitaux propres, un tableau de flux de trésorerie ainsi quedes notes annexes. Ces documents doivent être établis selon les mêmes principes que ceux utilisés pour la clôture des comptesannuels sachant que la recommandation 99.R.01 autorise certains aménagements comptables. Notre propos, ici, vise àapprécier dans quelle mesure les pratiques comptables des sociétés cotées, en matière d’arrêté semestriel, s’inscrivent dans cenouveau contexte réglementaire..Mots clés : arrêté semestriel, comptes intermédiaires, information financière périodique, politique comptable, sociétés cotées au second marché.

11131De la culture organisationnelle aux pratiques coopératives de sécurité : présentation

d’une étude dans le contexte ferroviaireMarianne Abramovici, Coralie Mugnai

Maître de conférence, Université Marne La ValléeDoctorante, ENS Cachan

Résumé : La notion de Culture Organisationnelle est de plus en plus utilisée dans les travaux de recherche en Gestion, mais lelien avec la sécurité ne va pas de soi. Après une présentation théorique qui nous conduira jusqu’aux pratiques coopératives dela sécurité, nous nous placerons dans le contexte ferroviaire pour démontrer l’existence de ce lien en utilisant uneméthodologie issue de la psychologie sociale..Mots clés : Culture, Collectif, Coopération, Sécurité

11132La "tontine d'entreprise" comme modèle de coopération dans les entreprises africaines :

Leçons du cas camerounais.Raphaël Nkakleu

Chercheur au BETA – UMR n 7522 du CNRS, Université Louis Pasteur – Strasbourg.( [email protected])

Résumé : Cet article présente un outil de coopération dans les entreprises africaines : la tontine d'entreprise. L'approchecontingente de la culture est enrichie par la théorie des représentations sociales et la prise en compte des "valeurs partagées"autour desquelles se créerait une identité au travail. La tontine d'entreprise est creusée dans cette perspective et se révèle, àl'issue d'une recherche empirique sur un échantillon de 40 entreprises camerounaises, comme un levier d'action collective despersonnels pluriethniques. Elle se révèle également comme un "facilitateur" de l'apprentissage dans la coopération. Parconséquent, cet article débouche sur des conclusions utiles tant pour l'évolution de la théorie que de la pratique dansl'environnement culturel africain..


Mots clés : Personnel pluriethnique, tontine d'entreprise, coopération, apprentissage, entreprises africaines.

11133L’expatriation : une formation au management du changement ?

Hélène Crétien, Krista FinstadATER, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines,( [email protected])

Résumé : L’environnement des organisations, mais aussi leurs évolutions internes, rendent nécessaires des changementsorganisationnels. Ceux-ci présentent de nombreuses difficultés. Pour que les acteurs pilotes d’une démarche de changementpuissent faire face à ces difficultés et mener à bien le changement, ainsi qu’anticiper les nécessités du changement, ils doiventdisposer de compétences et de qualités que l’expatriation pourrait leur permettre de développer..Mots clés : Expatriation, management du changement, formation, compétences

11141Le processus d’intégration des systèmes d’information lors de fusion d’entreprises :

proposition d’une modélisationGérald BRUNETTO

CREGO - Université Montpellier II ([email protected]) Directeur de Thèse : Monsieur le Professeur Bernard FALLERY

Résumé : L’objectif de cette présente recherche vise l’étude du processus d’intégration des systèmes d’information lors defusion d’entreprises. Cette étude appelle une réflexion sur le processus d’intégration selon une approche fonctionnaliste et uneapproche constructiviste. Il s’agit d’étudier, tout d’abord la notion d’intégration au sens général, au travers des typologiesrecensées dans la littérature en sciences de gestion, puis de porter une réflexion sur la conduite de ce même processus enproposant une modélisation du processus d’intégration des systèmes d’information..Mots clés : systèmes d’information, fusion, intégration, processus

11142De la gestion de l’information au management de la connaissance : quelle stratégie pour

les organisations ?Caroline Sargis Roussel

Caroline Sargis RousselDoctorante IAE Lille / IESEG

Résumé : Les écrits, tant académiques que managériaux, portant sur la connaissance se multiplient depuis quelques années.Les chercheurs s’interrogent sur la place de la connaissance dans l’organisation et la manière de la gérer alors que lesconsultants en font leur nouveau cheval de bataille auprès des entreprises. Ainsi, le management de la connaissance ouknowledge management est l’objet d’un engouement qui ne se dément pas. Cette contribution analyse ces pratiques enessayant de répondre à la question suivante : « existe-t-il un véritable management des connaissances ? ». Dans cet objectif,une première partie s’interroge sur la nature intrinsèque de la connaissance. En effet, la littérature regorge de définitions de laconnaissance difficilement compatibles la plupart du temps. Une synthèse de cette littérature fait émerger deux visionsprincipales de la connaissance, à savoir vision instrumentale et vision sociale ; ces deux visions étant sous-tendues par deuxpositionnements épistémologiques que sont le représentationnisme et l’anti-représentationnisme. Il en ressort que lepositionnement adopté est loin d’être neutre et implique des modes différenciés de management de la connaissance. Neconsidérant pas les développements précédents comme antinomiques, la seconde partie de notre travail prône un managementdual de la connaissance reposant sur une perspective épistémologique aménagée. Dans ce cadre, nous considérons que laconnaissance prend ancrage dans l’information en lui donnant sens grâce à la compréhension, dans un contexte donné où ellese construit socialement, pour se concrétiser dans l’action effective à travers la compétence, présentant à la fois descaractéristiques tacite et explicite. Cette conception de la connaissance appelle un mode de management ad hoc que nousillustrons à travers l’étude de cas d’un projet coopératif dans le secteur bancaire. En synthèse, l’instauration d’un mode demanagement dual de la connaissance reposant sur une perspective épistémologique aménagée permet de ne négliger aucunefacette de la connaissance et repose sur le développement de modalités ad hoc, telles que le système d’information, les outilstechniques ou les interactions personnelles..Mots clés : connaissance, étude de cas, représentationnisme, anti-représentationnisme, banque

11143L’achat sur le web et les places de marché électroniques : quelles solutions pour

l’acheteur d’entreprise ?Jean-Luc Pensel

Maître de conférences à l’IAE de Bretagne Occidentale

Résumé : La numérisation des achats s’effectue par la mise en place de plusieurs systèmes d’échanges basés sur le web. Cetachat électronique souvent mis en œuvre auprès d’une place de marché électronique, dépend de nouveaux outils d’échanges :catalogues et mécanismes de négociation électroniques..


Mots clés : achats, numérisation, places de marché, e-procurement

11151La qualité de service : conceptualisation et mesure, questions en suspens et pratiques

managérialesGrégory Bressolles

Allocataire de recherche - Centre de Recherche en Gestion - I.A.E. de ToulouseUniversité des Sciences Sociales de Toulouse 1 ([email protected])

Mots clés : service, qualité perçue, satisfaction, disconfirmation, valeurRésumé : Fournir un service de qualité est considéré, à la fois sur le plan académique et managérial, comme une stratégie essentielle pour le succès et la survie des entreprises dans notre environnement concurrentiel. La qualité de service est un concept abstrait et diffus en raison des spécificités associées aux services : intangibilité, hétérogénéité et inséparabilité de la production et de la consommation. A ce jour, la majorité des débats et controverses dans la littérature marketing sur les services, a porté sur la conceptualisation et la mesure de la qualité perçue ; aujourd’hui encore, de nombreuses interrogations demeurent. Cet article présente et distingue la qualité de service des concepts voisins (satisfaction des consommateurs, valeur), synthétise les questions en suspens et propose des pistes pour les résoudre. Les pratiques mises en œuvre par les managers, en matière de gestion de la qualité de service, sont également développées et discutées..

11152Le déploiement international des services à forte infrastructure technique organisés en réseau : interprétation par la «traduction» et construction d'un cadre méthodologique

d'aide à la conceptionPaul-Marc Collin

PRAG, IAE de Poitiers (CEREGE)Doctorant, IAE de Lyon (EURISTIK-STRATEGIA)

Résumé : Un des phénomènes actuels les plus marquants est celui de l’internationalisation des services. Réputés difficilementexportables, ils prouvent pourtant jour après jour leur capacité à se développer à l’international. La banque et les servicesfinanciers en sont une remarquable illustration, les cartes bancaires en particulier. Pourtant, les chercheurs en gestion se sontrelativement peu intéressés à cet objet. Afin de pallier les limites du corpus international usuel nous avons entreprisd’introduire une approche alternative : celle de la traduction. L’idée centrale de l’école de la traduction consiste à montrer quel’élaboration des innovations ignore les frontières organisationnelles, et nécessite une extension considérable des associationsentre acteurs (humains et non-humains). On appelle cette école ‘traduction’ car elle analyse les processus de transformationd’énoncés en solutions acceptables et harmonieuses pour les acteurs. Nous avons ainsi commencé par soumettre notrematériau empirique (études de cas dans le secteur des réseaux bancaires électroniques internationaux) au cadre théorique del’école de la traduction, dans une visée interprétative, avant de compléter ce travail par une étape de conception d’un cadreopératoire de type « framework ». Cette démarche ingéniérique a pour but de mettre à la disposition des cadres dirigeants deces entreprises de services internationales un outil présentant trois qualités centrales : une capacité d’aide à la conception, unecapacité de conception « ex ante » des problèmes, et une capacité de conception collective..Mots clés : management stratégique, management international, management des services, théorie de la traduction, recherche ingéniérique, stratégie de globalisation, l’entreprise-réseau.

11153Renouveler les règles du jeu : la contribution de la CNP en matière d’assurance

complémentaire santéSylvie Collin-Delaye

Doctorante au Laboratoire d’investigation prospective et stratégiqueConservatoire National des Arts et Métiers

Résumé : La capacité d’une entreprise à s’émanciper des contraintes de son environnement en proposant de nouvelles règlesest une problématique actuelle du Management stratégique. Une analyse historique des processus à l’œuvre depuis le débutdes années 90 au sein d’une entreprise d’assurance et leurs échos sur le secteur de l’assurance santé permet d’illustrer le débat« entreprise / environnement » quant à l’origine du changement stratégique..Mots clés : intention stratégique – prospective stratégique – changement – assurance santé


11161La privatisation d’Air France : un test de la théorie de la gouvernance partenariale

Céline ChatelinATER – Université de Franche Comté, membre du LATEC – FARGO – IAE Dijon

[email protected] et site : http://perso.wanadoo.fr/celine.chatelin

Résumé : La théorie de la gouvernance partenariale permet de renouveler la lecture de la privatisation encore très controverséeaujourd’hui. Nous proposons de tester le modèle organisationnel de ce phénomène issu de l’application du cadre théorique dela gouvernance à partir de l’étude du cas d’Air France partiellement privatisée en 1999. Cette étude illustre l’impactorganisationnel de la privatisation sur le processus décisionnel et sur le système de gouvernance de l’entreprise, entamé bienavant l’ouverture du capital. Cette transformation organisationnelle dans le cas d’Air France semble avoir eu un impactvariable (quantitativement et qualitativement) sur la valeur appropriable par chaque partenaire. Nous concluons sur laplausibilité des hypothèses de la théorie de la gouvernance, comme théorie du comportement adaptatif des organisations..Mots clés : gouvernance, processus décisionnel, efficience, privatisation, valeur partenariale

11162Analyse comparative des pratiques de contrôle exercées par les investisseurs

institutionnels américains sur les entreprises de leur pays et sur les entreprises françaisesAnne-Laurence Debaere

Doctorante, IAE de Montpellier

Résumé : le contrôle des dirigeants est un point central de la théorie d’agence. Nous nous proposons de faire une analysecomparative du contrôle des dirigeants exercé par les investisseurs institutionnels américains dans leur pays et en France. Nousverrons que les formes de contrôle diffèrent et nous en expliquerons alors les raisons..Mots clés : activisme actionnarial, gouvernement d’entreprise, biais domestique

11163Nature du contrat, gouvernance des risques : le cas d’un financement par capital risque

Jérôme Pouget, Eric Stephany1 Doctorant en Finance, IAE – CREGO Montpellier, [email protected]

2Maître de Conférence en Finance, IAE – CREGO Montpellier, [email protected]

Résumé : Le financement des entreprises innovantes fait appel à un mode de financement particulier : le capital-risque. Laspécificité de ce financement est induite par l’asymétrie informationnelle et le risque qui en découle. Ce risque est polymorpheet intervient à chacune des étapes du financement. De fait, une gouvernance elle aussi spécifique doit être mise en place. C’estau travers de la contractualisation qu’elle doit permettre la création de valeur..Mots clés : Capital-risque, gouvernance, création de valeur.

11171Agressivité concurrentielle et choix stratégique : une étude empirique

Frédéric Le RoyProfesseur - Université de Montpellier

Résumé : cette étude a pour objectif de mieux comprendre les stratégies des firmes en situation d’affrontement concurrentiel.En s’appuyant sur une étude empirique de nature qualitative, elle montre que plus une entreprise dispose de ressourcesinférieures à celles de ses concurrents et plus l’agressivité concurrentielle est forte, plus elle aura tendance à choisir entre unestratégie de différenciation et une stratégie de coûts bas..Mots clés : agressivité concurrentielle, stratégie d’activité, performances

11172Une approche cognitive de la concurrence et de la stratégie de différenciation :

Application au domaine de la restaurationHela Mkhinini

ATER, IAE de Clermont-Ferrand

Résumé : L’objectif de cet article est de montrer l’intérêt des approches cognitives, et plus particulièrement celles basées sur lacatégorisation, pour comprendre la perception de la concurrence par les dirigeants ainsi que les stratégies de différenciationmises en œuvre. L’analyse des données recueillies par le biais d’entretiens semi-directifs, dans le domaine de la restauration,confirme le fait que l’approche cognitive du système concurrentiel permet de rendre compte au mieux des représentations desdirigeants en ce qui concerne la concurrence. Les résultats obtenus favorisent, en outre, la conceptualisation de la relation entrela rivalité perçue et la différenciation voulue..Mots clés : perception de la concurrence, différenciation, catégorisation, paradigme cognitif.


11173Entrepreneuriat, pépinières et incubateurs : un programme de recherche focalisé sur

l'impact des structures d'accompagnementDidier Chabaud, Valérie Charriere, Sylvie Ehlinger, Véronique Perret, Nicolas RevaultMaîtres de conférencesUniversité Cergy-Pontoise, THEMA – gestion ([email protected])

Résumé : Les travaux sur l’entrepreneuriat se sont multipliés ces dernières années, mettant l’accent sur les traits del’entrepreneur (Bruyat, Verstraete), mais aussi sur les réseaux d’aide à la création d’entreprise (Marchesnay, Sammut). Notreobjectif sera d’analyser le rôle d’une catégorie particulière d’acteur – pépinière d’entreprise & incubateur – dans la dynamiquede développement des jeunes entreprises. A cette fin, nous mobiliserons des travaux issus de la théorie des organisations afinde dégager une grille d’analyse du rôle de la structure d’accompagnement dans le développement de la jeune entreprise. Cettegrille d’analyse sera ensuite confrontée aux observations issues de l’analyse des relations observées entre les pépinières et dejeunes entreprises..Mots clés : création d'entreprise - entrepreneuriat - pépinières - incubateurs

11181La construction du capital-marque d’une e-brand : une étude exploratoire

Géraldine Michel, Jean-François VergneMaître de Conférences à l’IAE de Paris, Centre de Recherche du GREGOR

Maître de Conférences à l’IUT de Cergy-Pontoise

Résumé : L’objectif de cet article est d’analyser les politiques de marque sur Internet et plus particulièrement de mieuxcomprendre la construction de leur capital-marque. Dans cette optique, les différentes stratégies de marque pratiquées surInternet sont analysées et une étude qualitative menée auprès d’une vingtaine de personnes est présentée. Cette étudeexploratoire montre que les e-brands présentent des difficultés à développer un positionnement clair, et révèle qu’ellesdéveloppent un capital-marque fondé sur des dimensions différentes selon le type de site Internet qui leur est associé..Mots clés : marque, internet, capital-marque, Bénéfice fonctionnel, Bénéfice expérientiel

11182Evaluation de l'extension de marque par le consommateur: une approche conceptuelle

Mehdi SeltaneA.T.E.R à l'I.A.E. de Lyon * Doctorant à l’I.A.E de Montpellier

Résumé : L'objectif de cet article est de proposer une nouvelle conception de l'évaluation de l'extension de marque par leconsommateur sur la base de l’intégration du contexte de consommation. Dans un premier temps, nous faisons le point sur laconception traditionnelle qui prédomine dans les recherches et nous en évaluons les limites. Nous proposons par la suite, derecourir à deux courants de littérature rarement associés mais complémentaires. Enfin, la confrontation de ceux-ci permettra deproposer une nouvelle conception de l'évaluation de l'extension de marque par le consommateur et d’en souligner les diversapports..Mots clés : extension de marque, associations de la marque, adéquation au contexte de consommation, fit association, fit contexte.

11183Le marketing au service de la gouvernance

Florence Busson-Villa, Marine Le Gall-ElyMaîtres de conférences à l’Université de Rennes II - LESSOR & CREREG

([email protected] - [email protected])

Résumé : L’évolution des problématiques d’action publique (gouvernance, recentrage sur l’usager…) renforce l’intérêt d’unrecours aux outils marketing. Après avoir rappelé les questions que posent le passage du gouvernement à la gouvernance etl’intégration de multiples acteurs à la décision publique, nous montrons les apports potentiels des outils marketing d’écoute etde communication en nous fondant sur l’analyse du cas concret de la réorganisation du système de transports urbains rennais..Mots clés : Évaluation, Gouvernance, Marketing public

11211La relation banque-entreprise : une grille de lecture issue de la théorie des organisations

Eric LamarqueProfesseur à l’Université de Tours – IAE

CERMAT

Résumé : La relation banque-entreprise est principalement étudiée dans le cadre de l’économie bancaire en terme d’aléa moralet d’opportunisme de l’un des deux acteurs, autrement dit dans une perspective inter-organisationnelle. Cette contribution apour objectif d’aborder cette relation dans une perspective intra-organisationnelle en considérant les difficultés rencontrées par


les banques pour coordonner leurs activités dans le cadre d’une approche globale de l’entreprise. Différentes théories sontévoquées comme grille d’analyse possible de cette question en montrant leur importance dans la compréhension etl’orientation des pratiques managériales.Mots clés : relation banque-entreprise, architecture organisationnelle, convention, compétences.

11212Intégrer la dimension éthique dans la gestion quantitative de portefeuille

Denis Dupré, Isabelle Girerd-Potin, Raghid KassouaMaître de Conférences ([email protected])

Maître de Conférences ([email protected])Doctorant ([email protected])

ESA Université Grenoble 2

Résumé : La théorie et la pratique financières du choix de portefeuille sont fondées sur les dimensions rentabilité et risquefinanciers. Depuis quelques années, beaucoup d’investisseurs prennent en compte un élément supplémentaire : le caractèreéthique, ou plus largement, socialement responsable, des investissements réalisés. Jusqu’à présent, la théorie financièren’intègre pas l’éthique dans le choix de portefeuille. C’est ce que nous proposons de faire, en partant du comportement del’investisseur jusqu’au programme d’optimisation de portefeuille. L’investisseur procède par exclusion pure et simple de titreset/ou par ajout dans la fonction d’optimisation d’un critère social à l’espérance et la variance des rentabilités financières. Lesoptimisations que nous développons sont appliquées empiriquement à un échantillon de 173 firmes européennes cotées pourlesquelles nous disposons des scores sociaux de l’ARESE. Le sacrifice financier que doit consentir l’investisseur socialementresponsable dépend bien sûr de l’importance donnée au social par rapport au financier mais, à ce jour, pour un coût financierproche de zéro, une amélioration sociale est déjà possible..Mots clés : éthique, investisseur socialement responsable, choix de portefeuille, coût financier, altruisme

11213Autopsie d’une faillite : le cas Intercall

Paul Amadieu,, Véronique BessièreMaître de Conférences - Université Montpellier 1 ([email protected])

Professeur à l'IAE de Montpellier - Université Montpellier 2 ([email protected])

Résumé : A travers l’étude d’Intercall, nous mettons en évidence les problèmes d’asymétrie d’information, qui se manifestentlorsque la société entreprend le lancement d’une activité de téléphonie mobile. Les investisseurs modifient leurs anticipationsdes opportunités de croissance de l’entreprise lorsque celle-ci annonce une importante augmentation de capital. Le titre chutefortement, l’émission d’actions est reportée, et des difficultés financières commencent à apparaître. Cette étude de cas illustreles difficultés à évaluer les projets d’investissement dans de nouvelles activités, particulièrement dans les industries à forteévolution technologique et de nature immatérielle. Nous appréhendons les facteurs sous-tendant les révisions des anticipationspar les investisseurs, et analysons la valorisation des opportunités de croissance et des coûts de faillite dans ce contexte..Mots clés : asymétrie d'information, détresse financière, téléphonie mobile, coûts de faillite.

11221Méthode d'amélioration de la cohérence des processus industriels par transposition

d'une méthode d'amélioration des produitsGwenola Bertoluci

Chargée d’enseignement, ENSAM

Résumé : L’objet du travail de recherche présenté est l’élaboration d’une méthode de reconception des processus industriels.L’analyse de la littérature sur ce sujet révèle des lacunes méthodologiques dans les projets d’amélioration menés par les PME.L’originalité de la méthode proposée réside sur le parti pris d’amener les acteurs et gestionnaires des processus à définir eux-mêmes le/les problème(s) et solutions à mettre en œuvre pour y remédier. Ce double objectif requière une démarche, despratiques et des outils qui fassent émerger :

- les informations établissant le fonctionnement formel et informel de l’organisation,

- les différents besoins à satisfaire,

- des solutions créatives, et multi dimensionnelles ( évolution des règles de gestion, des pratiques opérationnelles, des compé-tences…).

L’implication des acteurs des processus étudiés permet de lutter contre le refus du changement. Mais le savoir développé dansce cadre fournit également le substrat à un processus d’apprentissage organisationnel destiné à éviter l’apparition de futursdysfonctionnements.Mots clés : Travail de groupe, organisation, résolution de problème, création de valeur, apprentissage organisationnel


11222LLa GRH au coeur du Knowledge Management : une lecture critique des travaux de

NonakaDidier Chabaud, Sylvie Ehlinger

Maître de Conférences - Université de Cergy-Pontoise, ([email protected])Maître de Conférences - Université de Cergy-Pontoise,( [email protected])

Résumé : Ce papier vise à cerner la place actuelle et le rôle possible de la gestion des ressources humaines (GRH) dans lespratiques de Knowledge Management (KM). Partant du constat de la faible présence de la GRH dans les travaux théoriquesconsacrés au KM, et particulièrement ceux de Nonaka, nous mettons en évidence - par une analyse exploratoire d'études de cas- la nécessité de faire jouer un rôle moteur à la GRH dans le déploiement des pratiques de KM..Mots clés : knowledge management, gestion des connaissances, partage de connaissances, gestion des ressources humaines

11223GRH et Apprentissage Organisationnel. Les apports d’une étude exploratoire menée au

sein de l’industrie du verre et du cristal à la main en LorraineDelphine Wannenmacher

Doctorante – IAE Nancy II, ([email protected])

Résumé : L’industrie du verre et du cristal à la main en Lorraine constitue l’objet du contrat de recherche dans lequel nousnous inscrivons. Elle constitue également le point de départ de notre travail doctoral, et le terrain de recherche sur lequel celui-ci va largement s’appuyer. De ce fait, notre problématique de recherche découle à la fois de l’analyse de la situation du terrain,et d’une revue de la littérature. Cette problématique porte sur les relations entre GRH et Apprentissage Organisationnel. Lesrésultats issus de l’étude exploratoire permettront d’affiner la problématique de recherche..Mots clés : Savoir tacite, Gestion des Ressources Humaines, GRH, Apprentissage Organisationnel, AO, Industrie du verre et du cristal à la main.

11231Les outils Intranet : une réponse aux dimensions de l’entreprise « processeur de

connaissances »Frédéric CREPLET

Chercheur BETA (Bureau d’Economie Théorique et Appliquée)Enseignant Université Louis Pasteur - Strasbourg ([email protected])

Résumé : Il s’agit dans cette contribution de mettre en perspective les implications de l’économie de la connaissance sur lafirme tout en exposant quels sont les outils TIC que cette dernière met en œuvre en réponse. Il est fait appel dans cetterecherche aussi bien aux écrits traitant des concepts d’information et de connaissance que de ceux introduisant la notion decommunautés cognitives dans la firme. Les principaux outils TIC « Intranet » sont catégorisés au moyen d’une typologie.Leurs spécificités sont décrites avec pour objectif de démontrer quelle est leur contribution à l’émergence d’une connaissanceorganisationnelle interne à l’entreprise..Mots clés : économie de la connaissance ; communautés ; outils Intranet ; portail d’entreprise ; apprentissage organisationnel.

11232Déterminants directs et indirects de l'acceptation de la messagerie électronique auprès de

personnels administratifsFrançois Deltour, Pierre-Antoine Sprimont

Doctorant - IAE de Lille, laboratoire CLAREE-GREMCO ([email protected])Doctorant - IAE de Lille, laboratoire CLAREE-GREMCO ([email protected])

Résumé : L'utilisation et l'acceptation des outils informatiques par les utilisateurs finals est une condition nécessaire de leur succès. Dans cette recherche, nous avons retenu le modèle d'acceptation de la technologie (TAM) de Davis (1989) comme cadre conceptuel de référence afin d'examiner les différents déterminants directs et indirects de l'utilisation de la messagerie électronique auprès de personnels administratifs. En accord avec la littérature, des extensions du modèle sont proposées, intégrant les phénomènes d'influence sociale et d'externalités de réseau. Les résultats obtenus auprès d'un échantillon de 195 personnels administratifs de l'université valident le modèle initial formulé par Davis : l'utilité perçue et la facilité d'utilisation perçue de la messagerie déterminent directement son niveau d'acceptation. Cependant, les résultats montrent également que l'influence sociale est un déterminant majeur de l'acceptation de la messagerie électronique. Enfin, en accord avec les approches récentes traitant de la diffusion de l'innovation, il apparaît que le niveau de diffusion perçu a un impact positif indirect sur l'acceptation..Mots clés : modèle d'acceptation de la technologie, utilisation de la messagerie électronique, externalités de


réseau, norme sociale

11233Des théories de la communication aux pratiques de gestion : l’approche par les genres.

Emmanuel Houzé, Bernard FalleryProfesseur à l’ISIM (Université Montpellier II)

Maître de Conférences à l’IAE (Université Montpellier II)

Résumé : Différentes théories essayent d’intégrer la place du médium dans le processus de communication. Pourtant, cettequestion particulièrement importante dans le cas de l’introduction d’une technologie de l’information et de la communicationdans une organisation ne trouve pas de réponse claire au sein des approches les plus couramment avancées. Après avoir montréles limites des approches traditionnelles et déterministes des médias en sciences de gestion, la pertinence de la théorie des «genres de communication » d’Orlikowski dans la compréhension des pratiques de communication sera débattue. Cettedernière, en s’appuyant sur l’analyse sociologique de la théorie de la structuration d’Anthony Giddens, permet une prise encompte de la globalité sociale de l’organisation ainsi que de sa dynamique. Bien que la vocation première d’une approchefondée sur de tels concepts sociologiques soit avant tout descriptive, l’exemple d’une étude de cas réalisée au sein deChambres de Métiers du sud de la France permet d’affirmer la cohérence de la théorie des genres de communication avec lesinterrogations pratiques des directions de ces structures. Sans entrer dans une vision normative et déterministe, la notion de «genre » semble alors permettre d’élargir la réflexion du manager, lui permettant de passer d’une simple vision technologique àune approche plus complexe des situations de communication..Mots clés : Systèmes d’information, genres, média, théorie de la structuration, messagerie, communication.

11241La nature du risque de liquidité. Existe-t-il un risque systématique de liquidité ?

Angélique Aubier, Erwan Le SaoutAllocataire de recherche – IAE-IGR de l’Université de Rennes I, CREREG

([email protected])Maître de Conférences - Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, CREFIB & CREREG

([email protected])

Résumé : Les récentes crises financières ont été à l'origine de nombreux débats. Beaucoup se sont interrogés sur les élémentsconstitutifs de cette crise systémique. Dans le cas de la crise russe, selon le FMI, le facteur qui a déclenché ce processusd'interdépendance des risques est l'illiquidité du marché des changes. En période de crise financière, la liquidité tend às'assécher, ce qui se traduit non seulement par une baisse de l'offre de liquidité mais aussi par une augmentation de lacorrélation des actifs. Ceci a pour effet de rendre inopérant la diversification. Cet article a pour objet de définir au mieux lanature du risque de liquidité. Une meilleure appréciation de ce concept est en mesure de favoriser l'émergence de modèlesappropriés de gestion des risques. A cette fin, nous souhaitons mettre en relief l'existence de facteurs communs de la liquiditéet étudier leur lien avec la rentabilité du titre afin de démontrer la nature systématique du risque de liquidité..Mots clés : Analyse en composantes principales, liquidité endogène et exogène, risque de liquidité spécifique et systématique, profondeur.

11242Coûts d'Information, Structure du Capital et Gestion du Risque

Inass EL FARISSIAttaché d'Enseignement et de Recherche, Université de Paris Dauphine.

Doctorant en Sciences de Gestion, Université de Cergy-Pontoise

Résumé : L'ambition de cet article est de conjoindre l'approche de Modigliani et Miller (1958, 1963) avec celle de Jensen etMeckling (1976) pour ce qui est de la structure optimale du capital dans un contexte prenant en compte les coûtsd'information. En s'appuyant sur les résultats fondamentaux de Merton (1987), Leland (1994, 1996, 1998 et 2001) et Bellalahet Jacquillat (1995), on propose un modèle qui reflète l'interaction des décisions de financement et des stratégiesd'investissement dans un contexte d'incertitude. Dans ce cadre d'analyse, l'étude montre que (i) l'effet de levier augmentelorsque la société opère avec une stratégie de couverture, (ii) la couverture est d'autant plus bénéfique que les coûtsd'information sont faibles, (iii) l'endettement à court terme est plus incitatif à la couverture que l'endettement à long terme. Uneautre implication du modèle est que les sociétés sont incitées à réduire l’asymétrie d’information vis-à-vis des investisseurs.Plus les coûts d’informations sont importants, plus le spread de rendement augmentera et plus l’effet de levier et la valeur de lasociété baisseront..Mots clés : Coûts d'Information, Structure Optimale du Capital, Gestion du Risque, Politique de Financement.

11243Risque de défaut et risque de liquidité : une étude de deux Composantes du spread de

créditHayette Gatfaoui

TEAM Pôle Finance (UMR 8059 du CNRS) de l’Université Paris I - Panthéon-Sorbonne, ([email protected])

Résumé : La marge de taux obligataire ou encore le spread de crédit est réputé(e) pour son rôle de mesure du risque de crédit.Dans ce contexte, l’attention est portée à deux de ses principales composantes : le risque de défaut et le risque de liquidité.L’évolution du risque de crédit dépend alors de l’articulation entre ces deux quantités que l’on ne sait pas encore distinguer


l’une de l’autre. Dans un contexte de crise financière, le risque de défaut l’emporte sur le risque de liquidité, ce qui sematérialise par un phénomène de “flight-to-quality”. Par contre, dans un cadre économique défavorable, le risque de liquiditél’emporte sur le risque de défaut engendrant ainsi un phénomène de “flight-to-liquidity”. En ce sens, nous tentons d’élaborerune méthodologie fondée sur les taux de swaps pour tenter de distinguer l’évolution de chacune de ces deux composantes. Lespread de taux de swaps contre taux du gouvernement jouant le rôle d’indicateur de l’effet de liquidité dans notre étude..Mots clés : spread de crédit, risque de défaut, effet de liquidité.

11251Impacts d’une innovation organisationnelle sur les performances et les compétences de

l’entrepriseIsabelle Géniaux

Maître de conférences en Gestion, Université de Lyon 2, ([email protected])

Résumé : Actuellement, de nombreuses entreprises cherchent à améliorer leurs performances. Pour ce faire, plusieurs voiess’offrent à elles. La plupart d’entre elles mettent en place des démarches d’amélioration continue visant à éliminer tous lescoûts superflus et les gaspillages comme le préconise le « lean management ». En revanche, certains (Jacob (16) ; Ettighofferet Van Beneden, (10)) considèrent que les investissements technologiques étant réalisés, les gains de productivité ne pourrontprovenir que d’une innovation organisationnelle. Jacob (94) préconise une reconfiguration par les processus qui permet demaximiser la valeur pour le client. Ettighoffer et Van Beneden (2000) pensent que la réussite réside dans l’inventivitéorganisationnelle qui apparaît comme un facteur clé de compétitivité dans le contexte actuel où le réseau domine.Mots clés : innovation organisationnelle, performances, compétences

11252La validation d’un instrument de mesure de l’épuisement professionnel des commerciaux

: le Maslach Burnout Inventory General SurveySandrine Hollet

Allocataire de Recherche CREGO – IAE - Université Montpellier II

Résumé : La validation de l’échelle d’épuisement professionnel des commerciaux est étudiée au travers de deux étudesquantitatives. Une première collecte (N=66) nous éclairera sur les qualités psychométriques de l’échelle. Après améliorationdes items, une seconde collecte (N=119) permettra de tester la structure factorielle et la fiabilité de l’échelle de MBI-GS.L’hypothèse théorique des 3 facteurs (assèchement émotionnel, cynisme et efficacité professionnelle) constituant l’instrumentde mesure présente de meilleurs indices d’ajustement aux données qu’un modèle à un ou à deux facteurs. Toutefois, ilsemblerait qu’un item souffre de confusion dans l’esprit des répondants ce qui est conforme aux précédentes études réaliséesdans d’autres secteurs..Mots clés : épuisement professionnel, échelle, commerciaux

11253Quelles perspectives pour les outils d’évaluation du personnel dans les hôpitaux ?

Analyse de la diversité des attitudes des agents d’un établissement hospitalierMonique Pontier

Maître de Conférences en Sciences de Gestion, GERES-GRIL – Université de Saint-Etienne

Résumé : L’évaluation individuelle du personnel au sein du secteur hospitalier se révèle difficilement opérationnelle en raisonnotamment de la coexistence de deux outils aux finalités distinctes : la notation administrative et l’évaluation proprement dite.Cet article a pour objectif de mettre en lumière les difficultés liées à l’usage de ces méthodes, à travers l’analyse des attitudesdes acteurs concernés. Une enquête réalisée dans un établissement hospitalier nous a permis d’étudier les diverses dimensionspouvant être prises par ces techniques. Nous proposons enfin une analyse des facteurs déterminants de l’utilisation del’évaluation comme outil de gestion individuelle du personnel hospitalier..Mots clés : évaluation, notation, outil de Gestion des Ressources Humaines, entretien

11261Comment peut-on gérer sans budget ?

Nicolas BerlandMaître de conférences à la Faculté Jean Monnet – Paris Sud ([email protected])

Résumé : La remise en cause du processus budgétaire s’est intensifiée ces dernières années et a parfois conduit à lasuppression du budget. Les premiers cas d’entreprise gérant sans budget peuvent être maintenant analysés afin de mieuxcomprendre les enjeux et le degré de nouveauté des pratiques à l’œuvre. Au travers du cas d’une entreprise, nous proposonsdans cet article, de faire ressortir les caractéristiques essentielles de « sa » gestion sans budget..


Mots clés : contrôle budgétaire, budget, pilotage, management stratégique, CAM-I.

11262La dynamique d’assimilation des approches par activités

Christophe GODOWSKIATER – Université de Toulon et du Var

Résumé : La profusion d’articles et d’ouvrages ayant accompagné l’émergence des approches par activités a placé cetteinstrumentation au rang des innovations managériales. Après plus d’une décennie, les diverses enquêtes montrent un tauxd’adoption des approches par activités très faible dans les établissements de crédit. En prenant appui sur une enquête par voiepostale dans ce secteur, cette contribution tente d’avancer une explication théorique à cette lente et difficile diffusion enjustifiant d’obstacles se situant à un niveau intra-organisationnel. Sur la base des ces justifications théoriques, une prescriptionest proposée aux praticiens pour minimiser le risque de rejet de cette instrumentation et lui rendre tout son potentiel opératoiredans le cadre du contrôle de gestion stratégique..Mots clés : Approches par activités, dynamique d’assimilation, théorie de la traduction, ABC/M, théorie de la gestion du système d’information pour le management

11263Les Tableaux de Bord Stratégiques Analyse théorique et étude de cas longitudinale

Grégory WegmannMaître de Conférences IAE de Dijon ([email protected]), Chercheur associé au GREGOR (IAE de Paris)

Résumé : Cette communication a pour objectif de démontrer la pertinence d’un instrument de gestion pour résoudre laproblématique de l’articulation du contrôle de gestion au management stratégique, et de préciser les conditions de cettepertinence. Nous montrerons dans un premier temps que le Balanced Scorecard (Kaplan et Norton, 1998, [9]) s’inscrit dans lecadre de cette problématique et se rattache de façon plus générale à un type d’instruments que nous intitulerons le Tableau deBord Stratégique. Après avoir présenté les contours de cet outil générique, nous en développerons une typologie. Ce travailsera l’occasion d’expliquer en quoi le tableau de bord stratégique répond de façon pertinente à la problématique posée. Puisnous proposerons une démarche contingente en expliquant que tel ou tel type de tableau de bord stratégique convient depréférence à tel ou tel type d’entreprise. Cette partie aura pour objectif de montrer sous quelles conditions et selon quellesmodalités un tableau de bord stratégique peut s’avérer pertinent pour une entreprise.

Dans un second temps, nous décrierons un processus de mise en place d’un tableau de bord stratégique dans une grandeentreprise française d’assurances à caractère mutualiste. A cette occasion, nous montrerons à quel type de tableau de bordstratégique peut être rattaché l’outil développé au sein de cette entreprise, ainsi qu’à quel mode de mise en place. Cettedernière partie, en procurant une illustration pratique, appuiera notre propos relatif à l’intérêt du tableau de bord stratégiquepour résoudre notre problématique de l’articulation entre le contrôle de gestion et le management stratégique..Mots clés : Tableau de Bord Stratégique Intégré, Balanced Scorecard, Tableaux de bord stratégiques scandinaves, Capital intellectuel, Contrôle de gestion stratégique.

11271Le succès de la planification stratégique des systèmes d'information dans les

établissements financiers français : étude empirique de son évaluation par la méthode des équations structurelles

Serge BaileProfesseur à l'Université de Toulouse 1 Centre de Recherche en Gestion de l'IAE

Groupe de Recherche en Gestion & Développement des Organisations & des Systèmes d'InformationMastère Spécialisé en Management & Ingénierie des Systèmes d'Information,

Résumé : Evaluer le succès de la PSSI est un problème complexe qui intéresse le développement des organisations et unenécessité pour le management, d'avoir de bonnes pratiques. Cet exercice est d’autant plus important, pour des banques etassurances, que les stratégies de l’information de ces sociétés s'alignent sur leur stratégie globale. Cet article vise à donner uncadre d'analyse systémique pour évaluer le succès d'un tel projet de gestion, et contribue à répondre à la question: Commentévaluer le succès d'un projet de PSSI ? Le modèle conceptuel proposé est articulé autour de trois domaines d’évaluation duprojet; (1) celui des facteurs clés du succès qui conditionnent le processus de planification; (2) celui des facteurs de qualité duprocessus qui conditionnent le succès de la PSSI; et, (3) celui des facteurs d'efficacité des résultats de la PSSI. Ces troisdomaines font l’objet de l’étude d’un "système global de planification stratégique" régi par un ensemble d’hypothèses dedépendances directes et indirectes traitées par la méthode des équations structurelles (AMOS 4.0 de SPSS). Les résultatsconfortent le "fit" du modèle et une structure optimale de dépendances directes et indirectes entre les facteurs. Leurexploitation conduit à formuler des orientations de recherches nouvelles dans le champ de la stratégie des SI, et dans celui deleur exploitation à des fins pratiques et professionnelles dans le domaine du "benchmarking"..Mots clés : Planification des SI, Evaluation des SI, Succès de la Planification des SI, Stratégie des SI


11272Du concept aux pratiques : construction d’une échelle de mesure de l’intelligence

économique et application en PMESophie Larivet

ATER – Doctorante - Faculté de Sciences Economiques et de Gestion, Université de Toulon et du Var

Résumé : Le passage de la théorie en sciences de gestion à la pratique des entreprises pose le problème du repérage d’unconcept sur le terrain. Afin d’illustrer ce point, nous souhaitons présenter le cas de l’opérationnalisation et de la mesure duconcept d’intelligence économique en PME. Les résultats empiriques montrent que ce concept, souvent remis en question dansla littérature, correspond pourtant aux pratiques d’un nombre d’entreprises assez important. Cependant, il apparaît que dans lapopulation étudiée, l’expression « intelligence économique » est méconnue, et est parfois pratiquée sans que le dirigeant en aitconscience. Ces deux résultats apportent des éléments de réponse contradictoires à la question de la légitimité de l’emploi dece vocable dans la littérature académique. Nous nous positionnons sur ce point, en nous appuyant notamment sur la nécessitéd’une différenciation sémantique entre les concepts d’intelligence économique et celui de veille stratégique.Mots clés : intelligence économique, veille stratégique, échelle de mesure, typologie

11273La nouvelle réglementation des risques comme enjeu du management

Marc Lassagne, Bertrand Munier1Agrégé Préparateur - ENS de Cachan, GRID UMR CNRS 8534

2Professeur des Universités, Directeur du GRID, UMR CNRS 8534 - ENS de Cachan

Résumé : Traditionnellement, la réglementation encadre l'activité des entreprises en définissant les limites de leur espace deliberté. Dans le domaine de la gestion des risques, on assiste aujourd'hui à un mouvement profond de remise en cause de cemodèle, notamment par l'introduction de réglementations qui s’intéressent aux risques encourus eux-mêmes plutôt qu’auxcontraintes à poser sur la gestion de ces risques. Cet article présente une analyse en terme de contrats, ou de ce que l’ondésigne ici par quasi-contrats de la logique sous-jacente à cette modification. Nous montrons comment cette nouvelleorientation modifie la stratégie et le management opérationnel des entreprises, par le passage d'une réglementation vécuecomme contrainte à une réglementation qui peut être à la source d'opportunités nouvelles..Mots clés : Réglementation, contrats, gestion des risques

11281Un premier test du rôle de la perception du temps et des valeurs en matière de

comportement d'achat par catalogueSouad Djlassi, Jean-Marc Ferrandi

*ATER **Maître de Conférences

Résumé : L’objet principal de cette recherche est d’explorer les liens possibles entre la perception du temps ap-préhendée àpartir de l’échelle de style de temps développée par Usunier et Valette-Florence (1994, [77]) et le système de valeurs del’individu en fonction de son comportement d’achat par correspondance. Notre étude est basée sur un échantillon de 611femmes de l’agglomération dijonnaise. Une typologie hiérarchique nous a per-mis d’identifier quatre groupes deconsommatrices présentant un comportement d’achat par catalogue différent. Le lien entre le style de temps et le système devaleurs a été testé à un niveau confirmatoire au moyen d’un mo-dèle d’équations structurelles multi-groupes..Mots clés : Vente par catalogue, styles de temps, valeurs, typologie, analyse factorielle confirma-toire, modèle d’équations structurelles multi-groupes.

11282Les attentes du consommateur en situation d'achat : une application au cas automobile

Benjamin MorisseAllocataire de recherche en thèse sous la direction du Professeur Joël Brée, IAE de Caen

Résumé : cette communication se propose d’identifier, suite à une étude exploratoire, quelques dimensions pertinentes desattentes de l’acheteur d’une automobile à partir du cadre d’analyse proposé par le courant post-moderne. L’interview de vingtacheteurs et de cinq professionnels de la vente automobile appuiera l’analyse développée..Mots clés : attentes, post-modernité, situations d’achat, rites


11283L’influence de l’anxiété face à la mort sur le comportement du consommateur :

proposition d’un cadre d’analyseBertrand Urien

Maître de conférences, Laboratoire I.C.IIAE de Bretagne Occidentale

Mots clés : Résumé : Cet article met en évidence un champ d’investigation rarement abordé en marketing : l’influence de l’anxiété face la mort sur le comportement du consommateur. Après avoir défini le concept d’anxiété face à la mort, à partir des nombreuses investigations réalisées sur ce thème en psychologie, nous analysons les différentes variables pouvant l’affecter et ses principaux indicateurs de mesure. Une présentation de différentes implications possibles sur le comportement du consommateur est alors envisagée. Des exemples d’utilisation managériale et des voies de recherche futures sont en outre proposés..

11311Les représentations de la vente et de ses métiers dans la littérature : Confrontation avec

la « Mort d’un commis-voyageur »Isabelle Barth

Maître de conférences en sciences de gestion

Résumé : Mort d’un Commis Voyageur, pièce d’Arthur Miller, connaît depuis sa création en 1949 un énorme succès à traversle monde et Willy Loman, le personnage central est devenu l’archétype du vendeur.. Parce qu’elle véhicule les représentationsd’une société, les captant et les renvoyant, une œuvre littéraire est un objet légitime de recherche en gestion. Une analyse de lapièce Mort d’un Commis Voyageur ciblée sur la vision qu’elle porte du métier de vendeur permet de mettre au jour sixvariables descriptives : l’argent, la mobilité, la conquête, le client, l’apparence, la motivation. Après avoir constaté leurpermanence, nous cherchons à en identifier les causes racines en interrogeant la linguistique, la sociologie et le mythed’Hermès..Mots clés : vente, vendeur, représentations sociales, théâtre, Miller, Willy Loman, Hermès

11312Faut-il des théories pour gérer la distribution ?

Marc FilserProfesseur de Sciences de Gestion * IAE Dijon et CERMAB - LATEC * Université de Bourgogne

Résumé : L'entreprise de distribution est confrontée à des choix stratégiques majeurs. Deux problématiques liées à l'évolutiondu canal de distribution ( la ré-intermédiation et le développement des achats par enchères inversées ) sont analysées. Deuxinterrogations sur l'évoution du commerce de détail sont également abordées : les phénomènes de concurrence oucomplémentarité entre commerce en magasin et e-commerce, les limites des pratiques des théâtralisation des points de vented'autre part. Dans ces quatre cas, les apports des théories de la distribution à la prise de décision stratégique sont évalués. Desorientations de recherche nouvelles sont suggérées..

11313La pluralité des formes statutaires au sein d’un réseau de points de vente : une

application à la survie des chaînes de pizzas en France entre 1987 et 2001Rozenn Perrigot

Doctorante, IAE de Rennes

Résumé : Ce papier présente une application des analyses de survie aux chaînes de pizzas en France. Nous comprenons leterme de survie en termes de non disparition d’une enseigne de pizzas du marché français entre 1987 et 2001. L’hypothèsetestée concerne la propension des réseaux mixtes à avoir une durée de survie plus longue que les réseaux à dominantefranchisés ou succursalistes. Ce travail illustre une méthodologie peu utilisée en recherche en sciences de gestion. Il présenteaussi le développement de la mixité statutaire dans les réseaux de points de vente et de services, et spécialement, dansl’industrie de la pizza en France. De plus, cette étude montre les intérêts d’application des analyses de survie au domaine de ladistribution et du franchising tels que la survie des réseaux, leur échec, leur succès, etc..Mots clés : analyses de survie, réseaux mixtes, France, pizza, estimateur de Kaplan-Meier

11321Profil des salariés et des compétences dans les sociétés de services informatiques : une

comparaison Allemagne / France/ Pays-BasChristophe Baret, Christophe Everaere

Maîtres de Conférences en Sciences de Gestion à l’Université Jean Moulin Lyon3 - chercheurs au Centre de Recherche de l’IAE de Lyon. ([email protected], [email protected])

Résumé : Cet article vise à présenter les résultats partiels d'une comparaison internationale destinée à étudier l'évolution desformes d'emploi et de travail dans des entreprises confrontées à de fortes exigences d'innovation et de compétitivité . Lessociétés de services informatiques concentrent bien ces exigences d'innovation dans les prestations (les services aux


entreprises évoluent rapidement), dans les outils (notamment les logiciels et les réseaux, dont Internet), et préfigurent peut-êtreles modes de fonctionnement des entreprises à activités complexes et à forte valeur ajoutée..Mots clés : SSII, compétences, recrutementindividualisation

11322Valorisation du capital immatériel : Perspectives et limites de la certification des

compétences professionnellesCécile Dejoux

Maître de conférences, Université de Toulon-Var (IUT) ([email protected]), IAE de Paris 1 Panthéon - Sorbonne

Résumé : Avec la version 2000 de la nouvelle norme ISO, la loi sur la modernisation sociale (janvier 2002) et le projet de loisur les nouvelles régulations économiques, le débat sur les compétences n'est pas encore achevé. Considéré comme un conceptpivot, riche en contenu, la notion de compétence intéresse à la fois l'Etat qui la met au coeur de sa politique éducative (D.Colardyn, 1996) dans le cadre de "la formation tout au long de la vie" et les dirigeants d’entreprise qui l'introduisent dans leursréflexions stratégiques.

La certification des personnes est répandue depuis 1986 dans les pays anglo-saxons dans le cadre des NVQs . Elle se déve-loppe actuellement en France dans certaines branches d'activité à l'initiative de l'ACFCI (Association française des Chambresde Commerces et d'Industries). En effet, cette démarche bénéficie d'un regain d'intérêt dans des métiers émergents qui souhai-tent assurer la qualité de leurs prestations autour de référentiels de compétences européens.

Cet article a pour but de présenter les différents aspects d'une problématique sur la certification des compétences. En effet, enamont de la mise en place de cette approche, l'entreprise doit pouvoir répondre à un certain nombre de questions: Quel estl'objet de la certification ? Quel niveau de reconnaissance cherche-t-on à atteindre ? Quelle méthodologie peut être suivie ?Quels risques peuvent être encourus ? Quels sont les liens avec les autres politiques de l'organisation ? Quels apports peut-onattendre ?.Mots clés : compétence – certification de personnes – gestion de l’immatériel – démarche qualité et RH

11323Sciences sociales, gouvernement managérial et négociation collective : le cas de la gestion

par les compétencesEric Pezet

Université d’Évry Val d’Essonne.-CGS-École des Mines de [email protected]

Résumé : Les travaux sur la gestion par les compétences menés par le Medef et restitués au mois d’octobre 1998 lors desjournées de Deauville ont associé des chercheurs en sciences sociales. Par ailleurs, ces travaux soulignent l’importance durecours à la négociation collective pour généraliser dans les entreprises de nouveaux principes de gestion des ressourceshumaines. Cette communication, qui adopte la méthode historique, montre que les sciences sociales ont un lien étroit avec lesprocessus d’innovation sociale négociée et que leur apport essentiel est de permettre aux acteurs de définir de nouveaux objetscommuns de gouvernement de l’entreprise.Mots clés : classification des emplois, compétences, gouvernement, sciences sociales

11331Dualité et logique d'acteur dans la structuration des fonctions émergentes

Laurent LivolsiMaître de Conférences - Université de la Méditerranée (Aix-Marseille II) - CRET-LOG

Résumé : Cette recherche a pour objectif de proposer et de tester un cadre d’analyse du processus de structuration desfonctions de l’entreprise, et, plus précisément, de la fonction logistique qui se caractérise par sa relative émergence au sein desentreprises. Après avoir présenté la filiation théorique de ce modèle, la méthodologie et les résultats d’une étude empirique,conduite auprès de 70 entreprises de l’industrie agro-alimentaire, sont présentés..Mots clés : Théories des organisations, logistique, logique d’acteur.

11332L'évolution vers une logistique collaborative : l'exemple des relations producteur-

distributeur dans le secteur de l'habillementMarie-Pascale Senkel

Maître de conférences associé à l'IUT de Saint-Nazaire, CERL/CRGNA - Université de Nantes * ([email protected])

Résumé : La logistique a profondément évolué au cours des dernières années. Le passage d'opérations logistiques fragmentéesau sein d'une organisation à une réelle coordination des flux tant en interne qu'en externe s'est opéré. L'ouverture de lalogistique vers son environnement s'est accélérée avec l'arrivée d'Internet, lui permettant même de miser sur d'éventuellesrelations avec les concurrents. L'article s'intéresse aux modifications des relations entre les partenaires commerciaux liées à


l'implémentation d'une logistique collaborative..Mots clés : Logistique, supply chain management, Internet, relation producteur-distributeur, Habillement.

11333Les obstacles humains à la réussite de l’organisation d’une chaîne logistique

Marc ValaxMaître de Conférences

CREG – IAE de Pau-Bayonne

Résumé : La maîtrise des coûts dans les chaînes logistiques requiert une mobilisation forte des salariés et notamment del’encadrement. Développant un sur-stress intense, les cadres voient leurs charges de travail s’amplifier et perdre leur qualité devie. Ils ne sont plus seulement soumis à une logique de performance mais à celle d’un dépassement de soi. Cette frénésie dutravail nuît à l’efficacité de tous ; elle présente des risques individuels (burn-out), interpersonnels (conflits de rôles) etorganisationnels (erreurs décisionnelles et stratégiques). Conscients de ce fait, la DRH tente de gérer les contraintes de cessalariés-clés pour limiter les obstacles humains à la réussite de l’organisation de la chaîne logistique.Mots clés : Rôles des cadres, logistique, GRH, stress organisationnel, contrat psychologique

11341Les performances à court et long terme des titres cotés sur le marché boursier français

suite à l'annonce des résultats : sous- et/ou sur-réaction ou phénomène hasardeux?Simon Atron

Doctorant à l’Institut de Recherche en Gestion (IRG) – Pôle Finance. Université Paris 12 – Val de Marne ([email protected])

Résumé : La finance comportementale propose deux modèles opposés mais liés au comportement de l’investisseur : la sous-réaction et la sur-réaction. La rationalité limitée de l’investisseur expliquerait les rentabilités anormales des titres sur lesmarchés financiers. Nous développons une méthodologie qui nous permet de distinguer explicitement les sous et sur-réactionsà l’annonce des résultats. Notre étude montre qu’il y a une sous-réaction initialement puis une sur-réaction finale à long termevalidant ainsi les résultats des modèles comportementaux récents. De plus, nous montrons que cette sur-réaction à long termeest attribuée en partie à une sous-réaction initiale liée au phénomène « momentum » suivant les résultats antérieurs et récentsannoncés.Mots clés : Anomalies, sous-réaction, sur-réaction, finance comportementale, performance à court et long terme, efficience des marchés

11342Performances boursières et conflits d'intérêts après l'introduction en bourse : le cas

françaisLaurence Godard, Dominique Poincelot

Maîtres de Conférences en Sciences de Gestion, Université de Franche-Comté, CUREGE, ([email protected]), ([email protected])

Résumé : Notre étude a pour objectif d’analyser l’évolution de la performance boursière trois ans après l’introduction dessociétés au marché parisien entre 1991 et 1998. Nous supposons que l’existence de conflits d’intérêt entre actionnaires etdirigeants ou entre actionnaires de contrôle et actionnaires minoritaires influence la performance après l’introduction..Mots clés : Introduction en bourse. Performance boursière. Conflits d’intérêts.

11343Sous-évaluation à l’introduction et cessions d’actions par les actionnaires d’origine : le

cas françaisGéraldine Broye, Alain Schatt

Maître de Conférences - Université de Strasbourg 3Maître de Conférences - Université de Besançon

Résumé : De nombreuses théories ont tenté d’expliquer le phénomène de sous-évaluation à l’introduction. Dans ce travail,nous nous focalisons sur l’incidence des cessions d’actions par les actionnaires d’origine pour comprendre l’amplitude de lasous-évaluation. Sur un échantillon de 402 introductions en France entre 1986 et 2000, nous trouvons que la sous-évaluation etla perte de richesse ne sont pas significativement liées aux cessions d’actions, qu’elles soient effectuées par les actionnaires decontrôle ou non.Mots clés : Introduction en bourse, Sous-évaluation, Cession d’actions, Signalisation, Effet de richesse


11351Etude exploratoire sur le Plafond de Verre : la perception du rôle de l'organisation dans

la production de cette situation est limitéeSophia BELGHITI, Alain BRIOLE

Doctorante, A.T.E.RProfesseur

CREGO-IAE, Université Montpellier II ([email protected], [email protected])

Résumé : Le plafond de verre est ce fameux niveau de direction que les femmes n’atteignent jamais. L’objectif de ce papier estde proposer les résultats d’une étude exploratoire, qui montrent que l’organisation n’est pas perçue comme ayant un rôle àjouer dans ces processus qui freinent ou favorisent l’accès des femmes à de hauts niveaux de management.Mots clés : Femmes cadres, Plafond de verre

11352L’humour en management : un essai de structuration du domaine

Nathalie Guibert, Mathieu Paquerot, Olivier RoquesCRIISEA - Université de Picardie Jules Verne

Université de La Rochelle – IUPUniversité d’Aix en Provence – IAE, IUT

Résumé : L’objectif de cette recherche est de réfléchir sur l’importance et les modalités de la prise en compte de l’humourdans le management des entreprises. À partir d’une analyse de la littérature en management, en psychologie, en sociologie eten psychosociologie associée à une enquête auprès d’un échantillon de 28 managers, des propositions structurant le domainede recherche sont formulées et discutées. Les résultats font notamment apparaître l’humour, comme une forme particulière decommunication susceptible d’affecter l’intensité des liens interpersonnels, et donc comme un moyen de management aussipuissant que délicat à manier. 7 axes d’approfondissement apparaissent : la motivation et la performance individuelles, lacohésion des équipes, la communication interne, la hiérarchie, les facteurs de différenciation dans la pratique de l’humour(avec une importance saillante de la question des différences culturelles), les modalités de mise en œuvre et la question deslimites..

11353Harcèlement psychologique au travail : Paradigmes et métaphores

Gwénaëlle Poilpot-RocaboyMaître de Conférences à l’IAE de Rennes, Chercheur au CREREG-UMR-CNRS C6585 (Tel : 02 23 23 78 35 )

Institut de Gestion Rennes – IAE de Rennes

Résumé : La loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002 a officialisé l’existence de pratiques de harcèlementpsychologique au travail en les définissant et en les sanctionnant. Une définition officielle associée à une médiatisationcroissante des cas de harcèlement, à la diffusion de films et de reportages, à la publication d’ouvrages et d’articles font de ceconcept un thème d’actualité en France. Ainsi, après avoir été longtemps ignorées, les pratiques de harcèlement psychologiqueau travail sont devenues au cours des années 90 l’objet de débats, d’études, d’analyses diverses et les écrits se sont multipliés.Spécialistes de diverses disciplines des sciences sociales et médicales, leurs auteurs, sociologues, psychologues, psychiatres,médecins, juristes, gestionnaires… ont tenté de contribuer à l’analyse du harcèlement psychologique au travail. Malgré lajeunesse des travaux, cette communication a pour objet, de proposer une classification des recherches en retenant les critèresde « paradigme » et de « métaphore » proposés par Burrel et Morgan (1979) puis par Morgan (1980, 1983, 1989)..Mots clés : Harcèlement psychologique au travail, classification des recherches, Gestion des Ressources Humaines

11354Regards théorique et pratique sur la gestion du processus de changement induit par la

mise en place d'une instrumentation de gestionAnne Joyeau

Maître de ConférencesIGR-IAE de Rennes – Université de Rennes 1, CREREG – UMR CNRS C6585

Résumé : L’objet de cette communication consiste à analyser la mise en œuvre d’une instrumentation de gestion, en particuliersous l’angle de la place accordée aux acteurs dans ce processus de changement, autrement dit sous l’angle du mode demanagement, plus ou moins participatif, adopté. Nous tenterons de montrer que c’est seulement en portant un regard à la foisthéorique et pratique sur ce type de processus qu’il est possible d’envisager des solutions managériales adaptées en entreprise..Mots clés : Gestion des Ressources Humaines, Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences , instrumentation de gestion, processus de changement, mode de management.


11361Le rôle des auditeurs dans le gouvernement des entreprises : comparaison des pratiques

d'audit d'un "big five" en France et en AllemagneGéraldine Broye, Odile Paulus, Fabrice Roth

Maîtres de Conférences, Université R. Schuman

Résumé : L’audit est un des mécanismes de gouvernance à la disposition des actionnaires, des salariés et des créanciers dans ladéfense de leurs intérêts face au dirigeant. En effet, l’audit garantit la qualité de l’information financière. L'Allemagne setrouve, comme dans de nombreuses études comparatives, singulière: la compétence de l'auditeur y est centrale, les salariés etles créanciers y utiliseraient davantage qu'ailleurs l'audit pour se protéger.

La France se caractérise par l'importance de l’intérêt public et du rôle central du dirigeant dans le processus de décision. Lavoie privilégiée pour atteindre une bonne qualité d’audit semble être celle de l’indépendance de l’auditeur. Cependant, pour lesdeux pays, une évolution permettant l'émergence du modèle anglo-saxon en leur sein semble se dessiner tout en maintenant lesaspects essentiels de leur tradition. Le modèle anglo-saxon place l’actionnaire dans une position centrale et privilégiée.Mots clés : audit, gouvernance

11363Influence et connivence dans les conseils d'administration des sociétés françaises

Sylvie Chabi, Jacques Thepot1 Maître de conférences, LARGE, Université Marc Bloch, Strasbourg, ([email protected])

2 Professeur, LARGE, Université Louis Pasteur, Strasbourg, ([email protected])

Résumé : L'objectif de ce travail est d'étudier le système inter relationnel qui sous-tend les organes de direction et de contrôledes grandes sociétés françaises Ces liens sociaux se nouent et s'entretiennent au gré des participations dans les conseilsd'administration. Nous proposons un double jeu d'indicateurs prenant en compte les relations directes et indirectes mesurantrespectivement : le pouvoir d'influence des individus et le degré de connivence des sociétés. La méthode est appliquée sur unebase de données de 30 grandes sociétés et banques françaises.Mots clés : Gouvernance, lien social, conseil d’administration

11371La responsabilité sociétale des entreprises : enjeux stratégiques & stratégies de recherche

Frédérique Déjean, Jean-Pascal GondAllocataire – Monitrice, CREFIGE, Université Paris IX DauphineAllocataire – Moniteur – Normalien, LIRHE, Université Toulouse I

Résumé : cette contribution se propose de confronter le point de vue théorique et le point de vue des praticiens sur le conceptde responsabilité sociétale qui fait aujourd’hui l’objet d’un regain d’intérêt de la part de la communauté académique commedes entreprises. Après avoir esquissé les fondements théoriques et montré l’importance stratégique des dimensions sociétalesde la gestion dans le contexte contemporain, nous analysons les convergences entre les problèmes théoriques et managériauxliés à la définition, la mesure et l’impact financier de la CSR. Cette analyse nous conduit à souligner certains risques auxquelss’exposent les recherches portant sur le sujet et à proposer de nouveaux modes d’investigation de la responsabilité sociétaletenant mieux compte du rôle des acteurs en formalisant l’idée d’une véritable construction sociale et cognitive de laresponsabilité sociétale..Mots clés : responsabilité sociétale de l’entreprise, stratégie, stratégie de recherche.

11372Le rapport de développement durable : un outil pour une gouvernance sociétable de

l'entreprise ?Eric Persais

Maître de Conférences

Résumé : L’intégration réussie des stakeholders est une des conditions d’une croissance durable de l’entreprise. Pour faireface à ce nouveau défi, l’organisation met en place des dispositifs qui favorisent le dialogue avec l’ensemble des partiesprenantes. La publication d’un rapport de développement durable, qui s’inscrit dans un objectif de plus grande ouverture surl’extérieur, lui permet de communiquer sur ses valeurs, ses principes de fonctionnement, et de faire le point sur les actionsengagées en faveur d’un développement soutenable. Quels sont les véritables enjeux de ces rapports ? Quelle place occupent-ils dans les systèmes de gouvernance de la firme ? Quelles sont leurs limites actuelles et quelles sont les voies d’améliorationde ces dispositifs ? Telles sont les questions auxquelles tente de répondre l’auteur en s’appuyant sur le cas de sept entreprisess’étant engagées récemment dans la publication de stakeholders' reports.Mots clés : stakeholder theory, parties prenantes, éthique, citoyenneté, rapport de développement durable, stakeholders’ report, sustainability report, gouvernance


11373La dynamique du développement des ressources: le cas de la Royale

Emmanuel Métais, Pierre-Xavier Meschi, Jacques Colin1 Professeur – Groupe EDHEC, ([email protected])

2 Professeur – Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, Université de la Méditerranée ([email protected])3 Professeur – IUT Aix-en-Provence ([email protected]

Résumé : Introduite en 1984 dans le champ de la recherche en gestion, l'approche par les ressources est désormaisinstitutionnalisée. Cependant, elle présente encore des points faibles et des critiques peuvent lui être adressées. Ainsi, soncaractère statique: si elle explique comment, à un moment donné, une ressource peut générer un avantage concurrentiel, lesmécanismes qui déterminent la formation de telles ressources demeurent inexpliqués. Quels mécanismes conditionnentl'évolution du portefeuille de ressources d'une organisation, et pourquoi favorisent-ils ou non in fine la formation d'un avantageconcurrentiel? Nous articulons deux concepts clés pour la compréhension du développement d'un portefeuille de ressources: lavision stratégique et l'héritage administratif, puis les illustrons par l'exemple de la Marine Royale française dans la secondemoitié du XVIIème siècle..Mots clés : approche par les ressources, vision, héritage administratif, avantage concurrentiel.

11374Les types psychologiques en action et en contexte pour une personnalisation de la

recherche sur les processus de décision stratégique.Jouhaina Gherib

ISCAE Tunis

Résumé : La confrontation de l’évolution des pratiques des décideurs et celle de la recherche en matière de processus dedécision stratégique (PDS) permet de révéler que cette dernière souffre principalement d’unidimensionnalité, dedépersonnalisation et de manque de contextualisation.Afin de corriger conjointement ces trois limites, nous nous plaçons au niveau individuel et nous nous intéressons au regard dela psychologie. Nous proposons ainsi de recourir au construit de type psychologique et de l'enrichir pour une définition duPDS plus proche des pratiques des décideurs.Le modèle conceptuel construit est un premier schéma global de PDS et une typologie de PDS personnalisée, intégrée et con-tingente, construite à partir des types psychologiques en action et en contexte et permettant de saisir différents types de ratio-nalité. Le modèle conceptuel combine et fait varier la manière d’avancer vers le choix et les manières de percevoir, des’informer, d’analyser et de juger.Les quatre type de PDS émergeant de la synthèse de 16 modèles typologiques existants dans la littérature sont redéfinis enréférence aux variables retenues dans le modèle conceptuel global . La raison d’être de chaque type de PDS est précisée pardes facteurs liés à la situation de décision, à l’organisation et au décideur..Mots clés : décision, stratégie, rationalité, type, psychologie.

11381Les leviers de pilotage de la vitesse dans les projets à coûts contrôlés

Sihem Ben Mahmoud-Jouini, Gilles Garel, Christophe MidlerMaître de conférence - Université Paris XI, ([email protected])

Professeur - Université de Marne La Vallée, PRISM OEP ([email protected])Directeur de recherche - CRG-CNRS & Ecole Polytechnique, ([email protected])

Résumé : Notre communication analyse la notion de vitesse dans les projets à coûts contrôlés où le client est identifié dés ledépart et où le fournisseur s’engage sur un budget, un délai et des spécifications techniques. Malgré cet ensemble despécifications contraignantes, il reste au founisseur des marges de manœuvre lui permettant de choisir le “profil de vitesse”(parmi une variété qui est caractérisée) qu’il souhaite. Il s’agit bien à certains moments du projet d’accélérer pour tenir le délai,voire le réduire. A partir d’une recherche internationale menée dans le secteur du BTP, la communication définit de manièrecontingente les leviers d’action de la vitesse des projets à coûts contrôlés..Mots clés : Vitesse, gestion de projet, coûts contrôlés, chrono-concurrence.

11382Gestion de projet et formes organisationnelles

Richard GuillemetDoctorant - A.T.E.R. à l’Université de Reims-Champagne Ardenne, Laboratoires EUROP et ESSAI ([email protected])

Résumé : Le suivi d’un projet visant la création d’un nouveau type d’emballage a révélé une forme organisationnelleparticulière en raison de connaissances parcellaires. Or, la forme organisationnelle choisie semble déterminante dans la mesureoù elle influe sur les modes de conversion de ces connaissances..Mots clés : gestion de projet, organisation, connaissances.


11383Le groupe de projet : nouvelle pratique managériale

Karim Messeghem, Françoise PiersonMaîtres de Conférences, Université de Franche -Comté - UFR SJEPG

Résumé : La gestion de projet constitue une pratique managériale en plein développement. Pour autant, est-elle nouvelle ? Au-delà de l’engouement pour cette forme de management des organisations, il convient également de s’interroger sur la place desgroupes de projet au sein d’une structure organisationnelle donnée. Les travaux de Nonaka et Takeuchi permettent dedistinguer structure d’entreprise et de groupe de projet qui sont deux couches différentes d’une même réalité. La cohérenceentre les deux est renforcée par la mise en place d’un management de type milieu-haut-bas qui redonne toute son importance àl’encadrement intermédiaire. Le responsable de projet peut être un acteur de cette cohérence. Une étude de cas portant sur uneentreprise de taille moyenne permet d’illustrer ce phénomène. Cette entreprise subit la logique projet à travers les pressionsdes clients. Cela conduit paradoxalement à un renforcement des modes de fonctionnement propres à l’organisation..Mots clés : Groupe de projet, responsable de projet, structure organisationnelle.

11384Prototyper pour tester, tester pour innover : des techniques de l’ingénierie aux

problématiques managérialesGilles Garel

Professeur, Université de Marne la Vallée, PRISM OEP, UFR d’Economie et de Gestion([email protected])

Résumé : Cette communication considère les prototypes et la simulation comme un objet de recherche pertinent pour lessciences de gestion. Elle vise à structurer la littérature qui existe et, dans une moindre mesure, ce qu’il est possible d’explorer.Elle s’articule en trois parties. D’une part, elle précise les “ figures du prototypage ” c’est-à-dire les différentes approches et lesnotions de base et elle fait le point sur les techniques actuelles de prototypage. Dans un second temps, elle définit et discute lesfonctions des prototypes. Enfin, la communication articule les variables de la performance de prototypage et les leviersd’action sur ces variables..Mots clés : prototypes, simulation, tests, développement de produits nouveaux

12001L’apprentissage organisationnel en PME : réalité et déterminants

Amédée PEDON, Géraldine SchmidtMaître de Conférences, IAE, Université Nancy 2

Professeur à l’IAE de Paris, Université Paris 1 Sorbonne

Résumé : Cette communication présente les résultats d'une recherche menée auprès d'une soixantaine de PME sur le thème del'apprentissage organisationnel. A partir d’une enquête par questionnaire, la recherche tente en premier lieu de mesurerl'importance des processus d'apprentissage et d'identifier les pratiques déterminantes. Le repérage des pratiques des entreprisespermet de confronter la théorie et la pratique et conduit à remettre en question l'universalité et la portée du modèle del'apprentissage. Les pratiques d'apprentissage sont adoptées par les dirigeants en fonction des caractéristiques des situations detravail et sans référence explicite à la notion d'apprentissage qu'ils connaissent mal. En second lieu, une monographie d'uneentreprise est présentée. Elle illustre ce que peut être une démarche d'apprentissage et conduit à s'interroger sur les freins et lesmoteurs de l'apprentissage organisationnel. Le rôle du style de management et les obstacles humains et culturels sont ainsi misen évidence.Mots clés : apprentissage organisationnel, entreprise apprenante, compétences

12002Les apprentissages relatifs au traitement des dimensions juridiques dans la gestion des

alliances : le cas d’une entreprise de construction automobile.Pascal Philippart

Prag - IAE de LILLE 1

Résumé : Si de nombreuses recherches sur les alliances mettent en lumière de multiples phénomènes d’apprentissage, peud’entre elles portent sur la prise en compte des dimensions juridiques afférentes, bien que plusieurs enjeux de gestion renvoientau droit : le choix d’un montage juridique pour organiser la coopération, les interrogations sur l’explicitation des modalités decollaboration, sur la nature et le degré de formalisation nécessaire, son adaptabilité, … et ceci en référence aux droits descontrats, des sociétés, de la concurrence, de la propriété intellectuelle, aux droits fiscal, social … Notre travail s’intéresse àl’approche de ces dimensions juridiques au sein d’une entreprise de construction automobile. Nous avons ainsi étudié 14alliances conclues avec 9 firmes de 1971 à 2000. Cette analyse met en lumière plusieurs apprentissages réalisés par cetteentreprise relativement à l’appréhension des dimensions juridiques dans la gestion de ses alliances..Mots clés : alliance, gestion juridique, apprentissage.


12003Les pratiques de Management de la Connaissance au sein du développement des cadres

dirigeantsNicolas Rolland, Maryline Rolland

ActionKM Centre, Laboratoire QEOPS – Université de ToulonDirectrice M&N e-Intelligence

Résumé : Cette recherche menée auprès de 50 entreprises multinationales a pour but de comprendre comment ces firmesutilisent des pratiques de management de la connaissance pour influencer leurs résultats et leurs stratégies.Pour cela, nous focalisons notre analyse sur les pratiques de management de la connaissance au sein des programmes de déve-loppement des cadres dirigeants pour comprendre quelles sont ces pratiques et comment, par leur intermédiaire, l’apprentis-sage et la mobilisation collective des connaissances peuvent avoir une influence sur la stratégie des entreprises. Les principales pistes mènent aux pratiques d’apprentissage par l’action qui assurent à la fois un apprentissage et un partagedes connaissances managériales avec un développement stratégique des entreprises. Les pratiques de management desconnaissances s’articulent alors sur des méthodes facilitant le transfert de connaissances tacites par l’établissement de réseauxde communication intra-organisationnels..Mots clés : Management de la connaissance, Action Learning, Communauté de pratique, Connaissances managériales

12011Pour une approche compréhensive des sciences de gestion

Dominique Philippe Martin, Hélène Rainelli-Le MontagnerMaître de conférences, IGR IAE de Rennes, CREREG UMR 6585

Professeur des universités, IGR IAE de Rennes, CREREG UMR 6585

Résumé : Selon Habermas, « les sciences praxéologiques (autrement dit orientées vers l’action) ne pourraient éviter d’associerles démarches herméneutiques aux démarches empirico-analytique ». L’objet de ce papier est de faire retour sur lesdéveloppements de la philosophie herméneutique, pour interroger la nature compréhensive des sciences de gestion. Nousmontrons que ce détour permet de renouveler la conception que nous avons de nos disciplines. En reconnaissant à cesdernières des spécificités qui restent cachées si on s’en tient au paradigme popperien objectiviste, on découvre un ensembled’implications pratiques centrales dans la conduite des organisations..Mots clés : Approche compréhensive, herméneutique, statut du langage, dimension historique, registres de temporalité, justice, déontologie, éthique.

12012Comment agir avec des théories en débat ?

Jean-Louis PeaucelleProfesseur de Gestion, Université de La Réunion ([email protected])

Résumé : Le scientifique cherche des théories vraies. Le praticien veut des théories qui éclairent son action. Ce n’est pascontradictoire. « Rien n’est plus pratique qu’une bonne théorie » a dit Kurt Lewin. La bonne théorie est une théorie vraie. Elleguide l’action. Ce raisonnement est le modèle canonique du lien entre science et pratique. Mais parfois, notamment dans lessciences de gestion, l’état de la recherche conduit à accepter, en même temps, plusieurs théories. Le praticien doit néanmoinsagir, avant que les recherches ultérieures ne tranchent. Cette situation est examinée de manière exploratoire au travers d’unexemple théorique. Le concept de compatibilité pratique des théories sert à expliquer comment des actions proposées par unethéorie peuvent être acceptables pour d’autres. Des théories compatibles pratiquement peuvent ainsi tout à fait coexister dansles croyances des décideurs sans que ce doute obère leurs actions..Mots clés : décision, action, théories, compatibilité pratique.

12013L’histoire : un apport critique et fécond pour les sciences de gestion et les pratiques

managérialesHenri Zimnovitch

Maître de conférence – IAE de Poitiers ([email protected])

Résumé : Certains travaux en gestion visent à dégager des lois universelles que les managers devraient suivre pour assurer laréussite de leurs entreprises. Souvent ces recherches négligent l’histoire : d’une part en se privant des leçons du passé, jugéescomme inhibantes, d’autre part, en ne respectant pas la méthode historique qui, pourtant, renforcerait leur crédibilité. Pour uneentreprise qui méconnaîtrait ses racines, une stratégie de conquête du futur c’est accroître les risques dans l’aventure. Si lesresponsables d’une organisation ne prennent pas soin de sa mémoire, changer une méthode — au profit d’une techniquedonnée comme plus moderne — peut conduire à les priver du savoir-faire acquis par l’expérience ou empêcher la greffe deprendre et aboutir à un rejet de l’innovation. Ce rappel est l’apport critique de l’histoire à la gestion. Il existe aussi unepositivité de l’histoire pour la gestion. Elle est d’abord d’ordre culturel. L’étude du passé a-t-elle pour autant vocation à êtreutile ? L’utilité est souvent l’intention de l’historien. Mais l’histoire pourrait rendre davantage service si ceux pour qui elle estécrite faisaient l’effort de la bien lire. Il est un autre champ de la gestion où l’histoire peut prêter la main, c’est dans les étudesde cas issues de la recherche clinique. Elle sert alors à garantir, autant que possible, l’authenticité du récit qui rend compte de


l’intervention et fournit un support épistémologique à ce type de recherche. Enfin, l’histoire des sciences de gestion en France,celle de leur institutionnalisation, peut contribuer à faire mieux reconnaître la recherche clinique par l’Université et à favoriserla nécessaire liaison entre les pratiques managériales et les travaux théoriques..Mots clés : Gestion - Histoire - Utilité - Etude de cas - Scientificité

12021Création de valeur organisationnelle et création de valeur économique : le cas d’une

entreprise de viennoiserie cotée en BourseDjamel Khouatra

Maître de conférences en sciences de gestion - ISEOR-Université Lumière Lyon 2

Résumé : Cette communication présente les concepts de valeur organisationnelle et de valeur économique. L’hypothèsecentrale qui est développée est que la valeur organisationnelle détermine la valeur économique et sociale de l’entreprise. Uneétude de cas consacrée à une entreprise de viennoiserie, Brioche Pasquier, cotée en Bourse depuis 1985 permet d’illustrerl’approche conceptuelle et de valider les hypothèses..Mots clés : valeur, création de valeur, valeur organisationnelle, valeur économique, valeur financière, valeur sociale, valeur stratégique, diagnostic et évaluation socio-économiques, coût caché.

12022Taille et création de valeur : une étude empirique sur des groupes français

Simon Parienté, Isabelle Ducassy, Isabelle MartinezProfesseur, IAE de Toulouse

ATER, IAE de ToulouseMaître de Conférences, IAE de Toulouse

Résumé : Cet article étudie la taille, la performance (EVA) et les liens entre les deux à partir de données concernant 85groupes français observés sur trois ans. Les tests effectués montrent des différences significatives de performance selon lataille. Mais la dimension acquise perd en pouvoir négatif quand d'autres facteurs sont combinés à la taille comme lesopportunités d'investissement et la dynamique de croissance. Trois critères discriminants persistent pour différencier lesentreprises selon leur taille : la performance, la structure financière et l'asymétrie informationnelle. On retrouve dans lesvariables à l'origine de la création de valeur la taille et, dans une moindre mesure, le degré d'asymétrie d'information. Enrevanche, des variables comme le risque ou la structure financière n'ont pas l'influence attendue..Mots clés : Taille, création de valeur, classification, vulnérabilité

12023Changement de dénomination sociale et création de valeur : étude sur le marché français

(1991-1998)Eric Séverin

Enseignant Chercheur * Université de Lille 2 ([email protected])

Résumé : Ce papier traite de l’impact du changement de dénomination sociale des firmes françaises sur la période 1991-1998.En nous appuyant sur un échantillon de 55 firmes et sur une méthodologie classique d’étude d’événement, nos résultatssuggèrent que le marché réagit négativement (-0,43% au seuil de 5%) à l’annonce d’un changement de nom. Cela traduit laméfiance des investisseurs à l’égard de ce type d’opération. En outre, en scindant notre échantillon entre changements majeurset mineurs, on observe que le marché sanctionne d’autant plus fortement les firmes qui ont initiées un changement majeur (-0,81% significatif à 1%). Enfin, si l’effet semble transitoire pour les changements mineurs, il est persistant pour leschangements majeurs..Mots clés : Changement de dénomination sociale – Signaling – Etude d’événement.

12031Le renouvellement des connaissances à l’épreuve des relations interentreprises

David UrsoDoctorant – École des Mines d’Albi-Carmaux et Laboratoire de Valorisation de lIinformation,

Université Saint-Jérôme de Marseille ([email protected])

Mots clés : dispositif d’information, processus d’innovation, gestion des connaissances, relations interentreprises, organisationRésumé : Cette communication présente une recherche en cours ayant pour objectif de comprendre l’impact des relations interentreprises sur le renouvellement des connaissances, dans le cadre de la fabrication d’outillages de mise en forme. On présente souvent l’entreprise comme un espace dans lequel la connaissance prend une place toujours plus importante, la firme comme le « terrain d’expression d’un ensemble de connaissances scientifiques et techniques » (Penan, 1995). On pourrait dès lors supposer que les entreprises mettent tout en œuvre pour scruter l’environnement, être à l’écoute de nouveautés, afin de remettre en cause ses connaissances et favoriser l’apprentissage de nouveaux savoirs. Or, malgré l’existence de laboratoires de recherche universitaires dans le domaine, d’informations et d’innovations apparemment disponibles pour les entreprises, l’activité que nous étudions ne semble pas vérifier ce modèle. Les entreprises seraient parvenues à « des optima locaux et à des pratiques difficiles à remettre en cause » (Levaillant, 1998). Certaines interviendraient


de manière relativement isolée, sans se préoccuper des entreprises amonts ou avals. D’autres feraient reposer la réussite de leur activité sur une coopération poussée entre chaque acteur-métier. A la faveur des développements récents sur les relations interentreprises et les nouvelles formes de coopération, nous analyserons les pratiques informationnelles de ces entreprises et nous nous interrogerons sur les conséquences de ces relations sur l’échange d’information et la prise en compte de connaissances plus larges..

12032La diversité, une source d’apprentissage des équipes dirigeantes

Sylvie Castelluccia-BoisardDoctorante – Université de Toulon et du Var, laboratoire QEOPS

Chercheur invité – Université de Stanford, Etats-Unis

Résumé : L’objectif de cet article est l’étude des effets de la diversité des équipes dirigeantes sur leur fonctionnement et enparticulier sur leur apprentissage à un niveau individuel. Il s’agit de mettre en évidence la dimension stratégique d’unepolitique de diversité. Les équipes responsables des décisions stratégiques se composent d’individus aux compétences variéesoù chacun se caractérise par un champ d’expertise bien particulier, et plus généralement par sa propre culture. Nousappréhendons ici la notion de culture de manière très large, elle englobe les origines nationales aussi bien que les domaines decompétence, valeurs partagées, etc.…. L’équipe dirigeante se caractérise en conséquence par une certaine hétérogénéité quipeut s’avérer fructueuse à la seule condition de savoir bien l’exploiter et de susciter des complémentarités. Lorsque certainsmembres possèdent des représentations mentales qui ne sont pas totalement compatibles, leur confrontation peut susciter de ladissonance cognitive chez l’un et l’autre s’exprimant sous forme de conflits. Ces derniers influencent la performance del’équipe. Il semblerait que lorsque les confrontations de représentations engendrent un certain niveau de dissonance alors lesindividus en conflit « apprennent » c’est à dire modifient voire changent leur représentation de manière à être compatibles avecles autres. Un modèle sera proposé pour décrire les effets de la diversité d’une équipe dirigeante sur l’apprentissage de chacunde ses membres : l’hétérogénéité suscite du conflit cognitif, source de dissonance cognitive, elle-même facteur d’apprentissageindividuel..Mots clés : Apprentissage individuel, dissonance cognitive, équipe dirigeante, diversité, conflit intra groupe

12033La confrontation des paradigmes : Une manière de comprendre le Processus de Transfert

international des méthodes organisationnelles et apprentissages - Le cas de l’implanta-tion de la grande distribution française en Pologne durant les années 90.

Stéphanie HurtProfesseur associé EDHEC, Chercheur, CNRS Nord-Pas-de-Calais, GREMCO, IAE Lille [email protected]

Résumé : La difficulté que rencontre une entreprise lorsqu’elle cherche à transférer son modèle organisationnel àl’international vient selon Caves (1996) de ‘la disparition du cadre de certitude’ autant que des différences de structures dumarché et des différences de comportements des consommateurs. Pour réussir dans son nouvel environnement, une entreprisequi s’internationalise peut être amenée à opérer des apprentissages externes et internes.

Dans cet article nous analyserons les étapes de l’expérience que connurent plusieurs grandes chaînes françaisesd’hypermarchés lors des transferts de leurs méthodes et de leur modèle organisationnel en Pologne.Mots clés : internationalisation, transfert, paradigme, grande distribution française, Pologne, apprentissage

12041La nature et le rôle de la confiance dans la relation client/fournisseur en milieu industriel

Wafa AkroutATER-Université Paris XII, [email protected]

Résumé : L’objectif de cette communication est de spécifier la nature de la confiance entre client/fournisseur et de déterminerses antécédents et ses conséquences. En premier lieu, nous proposerons un cadre conceptuel permettant d’approfondir laquestion de la séparabilité entre les trois composantes de la confiance : la perception de la fiabilité, la confiance et lecomportement confiant. En second lieu, nous présenterons les principaux résultats d’une étude exploratoire menée auprés desresponsables achats des entreprises industrielles.Mots clés : Confiance, Perception de la fiabilité, Comportement Confiant dans le B to B

12042Vers une représentation de la relation d’échange fournisseurs – grands distributeurs

Xavier LEPERSATER, Université Paris - Dauphine, CREPA

Résumé : Construites historiquement dans un cadre conflictuel, les relations d’échange entre les grands distributeurs et leursfournisseurs semblent avoir amorcé une inflexion depuis le milieu des années 1990 : d’un état transactionnel et statique, ellesse métamorphosent pour prendre un caractère relationnel et dynamique. Depuis une dizaine d’années, de nombreuses


recherches empiriques, notamment en marketing sont venues compléter ou préciser les antécédents des normes relationnellesdans les relations dyadiques. S’inscrivant dans cette perspective, notre recherche a pour vocation de cerner les contours de larelation d’échange entre la grande distribution et ses fournisseurs. Nos premiers résultats laissent apparaître quatre types derelation d’échange distributeur – fournisseurs. Afin de prendre en compte les quatre types d’échange identifiés, nous proposonsles notions d’échange substantiel lorsque toute la relation n’est focalisée que sur les résultats et la notion d’échange procédurallorsque les procédures de la relation sont perçues comme importantes.Mots clés : relations verticalesconfiance, grande distribution

12043Le marketing relationnel: application à une problématique RH

Cécile Bozzo, Sandra PalmeroMaître de conférences, Université Paris IX-Dauphine – DMSPDocteur, Chercheur associée, IAE d’Aix-en-Provence - CEROG

Résumé : Depuis les travaux de Berry en 1983, les techniques et les outils de marketing relationnel ont permis d’accroître lacompréhension et la gestion des relations client - fournisseur. Le développement de ce courant de recherche en marketing a,entre autres apports, permis de mettre en évidence l’importance de l’engagement dans la continuité relationnelle.Parallèlement, les chercheurs en mis en exergue tout l’intérêt de transposer les acquis du marketing en gestion des ressourceshumaines (Igalens, 1992). L’objet de cet article sera de montrer en quoi des outils développés en marketing relationnelpourraient être transposés en GRH et constituer les outils de management pour les émergents directeurs du marketing RH (LeNagard, 2002) afin de développer l’engagement au travail et ainsi pérenniser la continuité relationnelle salarié - entreprise..Mots clés : Marketing relationnel, Marketing social, Engagement, Contrat psychologique, Cycle de vie de la relation.

12051Contribution des éléments de services à la satisfaction des consommateurs : la nécessaire

prise en compte de variables de segmentationYannick Poubanne, Fabrice Clerfeuille

Doctorant I.A.E. Aix-Marseille IIIMaître de Conférences I.A.E. Nantes

Résumé : L’article envisage la contribution d’éléments de service à la satisfaction des consommateurs vis-à-vis d’une offrecomplexe de service dans un secteur de santé. Les analyses, qui s’appuient sur le modèle tétraclasse de Llosa, cherchent àdéterminer si les contributions sont différentes pour certaines variables de segmentation des consommateurs..Mots clés : Satisfaction - Modèle tétraclasse - Segmentation

12052L’authenticité et le processus d’authentification. Pour une étude des perceptions du

consommateurSandra Camus

Doctorante Allocataire à l’IAE de Dijon, Université de Bourgogne ([email protected])

Résumé : l’article propose d’étudier le concept d’authenticité. A priori intégré par le milieu marketing, il s’avère relativementcomplexe à appréhender et opérationnaliser. De ce fait, nous suggérons une définition de l’authenticité vendue dans les pointsde vente (l’authenticité perçue) grâce à la déclinaison de ses composantes puis de différents mondes qui la caractérisent. Par lasuite, nous mettons en exergue les acteurs du processus d’authentification, avant de présenter une méthodologie qualitative quipermet d’illustrer les travaux théoriques concernant la définition de l’authenticité perçue..Mots clés : authenticité, authentification, origine, perception.

12053L’école et la socialisation de l’enfant consommateur

Angélique RodhainAllocataire-Moniteur

Résumé : L’école, facteur et même outil de socialisation à travers l’histoire, est très peu étudiée dans la recherche enmarketing. L’objectif de cette communication est de proposer de considérer le rôle de l’école en tant que facteur desocialisation de l’enfant consommateur. Cette proposition est basée sur deux plus ou moins nouvelles pratiques éducativesliant l’école à la consommation : la dispense de cours « d’Education du Consommateur » et l’utilisation par les enseignants deDocuments Pédagogiques Sponsorisés (DPS)..Mots clés : école, éducation du consommateur, Document Pédagogique Sponsorisé (DPS), socialisation.


12061L'application des 35 heures dans les TPE anticipatrices : implications humaines et

managérialesRichard Abbitboul, Caroline Cintas, Khaled Gherzouli

Maîtres de conférence - CREGO - Université de Rouen

Résumé : Le présent travail porte sur le passage aux 35 heures dans les très petites entreprises (de moins de 20 salariés) ayantanticipé l’application de la loi. Elle se focalise sur les TPE de la Région Haute-Normandie, tous secteurs confondus. L’objectifest de caractériser le profil de ces entreprises anticipatrices et d’appréhender les implications managériales et humainesassociées à la mise en œuvre de la RTT..Mots clés : TPE, Réduction du temps de travailconfiance et GRH.

12062Management humain des changements organisationnels

Anne MaederATER, Laboratoire Interdisciplinaire de recherches sur les Ressources Humaines et l’Emploi (LIRHE)

Centre de Recherche en Gestion (CRG)I.A.E. - Université de Sciences Sociales de Toulouse I (UTI)

Résumé : Face à la profusion des écrits sur le thème de la gestion du changement organisationnel il est parfois difficile detrouver son chemin. Le lien entre la théorie et la pratique est ténu, la complexité des pratiques demeure opaque, les modèlesd’analyse dont on dispose dans la littérature ne sont pas suffisamment sophistiqués pour cerner à la fois les diverses modalitésde gestion du changement et la dynamique des processus en jeu. Sur la base de deux observations participantes cettecommunication a pour objet de fournir un cadre d’analyse théorique en lien direct avec des pratiques du changementobservées. Ce cadre suggère une analyse du changement dans une perspective à la fois systémique, constructiviste etcontextualiste et amène à la reconsidération de la pertinence des travaux de K. Lewin sur les champs de force et de lamétaphore du jardinier de J.G. March pour ce qui est de la gestion humaine des changements organisationnels..Mots clés : changement organisationnel, systémique, constructivisme, contextualisme.

12063La mise en place de centres d’appels dans une entreprise industrielle : impacts sur les

problématiques de GRHLionel Honoré

Maître de Conférences

Résumé : Le changement organisationnel touche à des dimensions telles que la division des tâches, leur spécialisation, lesvolumes et les rythmes de travail, les communications, les coopérations et les interactions, l’autonomie et la créativité, etc.Bref, ce sont tous les éléments qui déterminent la place de l’individu dans la fonction de production mais aussi ses modalitésd’implication dans son travail et dans l’entreprise ainsi que les modalités de valorisation de cette implication qui sont touchéspar le changement. Dès lors un des problèmes qui se posent est celui ce savoir dans quelle mesure la transformation del’organisation du travail qui suit la rupture stratégique modifie les conditions d’efficacité des actions de GRH et lesproblématiques de gestion que ces pratiques doivent résoudre. Pour étudier cela, nous appuyons notre réflexion sur l’étude del’impact sur l’organisation de la mise en œuvre d’une nouvelle stratégie commerciale chez Averis Electronic, une despremières entreprises européenne dans le domaine de l’équipement électrique.Mots clés : GRH, changement, stratégie, centre d’appels, relation de travail, relation d’emploi

12071Le "dire" et le "faire" chez les dirigeants des entreprises : une approche par les actes du

langageLoubna Mourtajji

Doctorante au CIME à l'IAE de Basse-Normandie, CAEN, ( [email protected])

Résumé : Bien que MINTZBERG et ses prédécesseurs n’hésitent pas à rappeler que le travail du manager consisteessentiellement à communiquer, les approches traditionnelles en management stratégique, axées sur la conception, font peu deplace au langage. Le " dire " est souvent considéré comme un frein à l’action ou une activité concurrente au " faire ". Ne dit-onpas que " les actes parlent plus que les mots " ou encore que " les choses sont plus faciles à dire qu’à faire ". Ce lien entre le "dire " et le " faire ", a été développé partiellement dans certaines théories managériales et rationalistes de la décision et de lastratégie mais également par des sociologues de l’organisation et des chercheurs en communication des entreprises. En effet,ces différents travaux laissent apparaître deux courants contradictoires : un courant volontariste mettant en évidence lecaractère intentionnel de l’action et un autre déterministe insistant sur le caractère rétrospectif du langage. Ces deuxconceptions qui semblent opposées dans la littérature, paraissent sans frontière en pratique. L'approche des actes du langage[AUSTIN 1962 ; HABERMAS 1981], en rejetant le caractère séquentiel du "dire" et du "faire", ne tente pas de les juxtaposermais elle considère que " dire " c’est " faire "..


Mots clés : discours, action, construction de sens, rationalisation, acte du langage, agir communicationnel

12072Crise et discours : quelques réflexions autour du « mot du Président »

Jean-Yves DuyckMaître de Conférences, HDR, Université de La Rochelle, IUP Commerce et Vente ( [email protected]) * Laboratoire CERGE de

l’IAE de Poitiers

Résumé : Cet article se propose de comparer les discours des dirigeants au cours de deux périodes : l’une de crise économiqueavérée (1992), l’autre de sortie de crise (1998). Les prises de positions des dirigeants sont présentées chaque année dans lesrapports annuels par le biais du « mot du président ». Cette étude s'interroge pour savoir si la thématique de crise structure (ounon) le discours des gouvernants d’entreprise. Quatre-vingt-dix-huit « mots du président » sont analysés via la statistiquetextuelle (logiciel ALCESTE) sur deux périodes, l'une située au cœur de la crise (1992), l'autre en sortie de crise (1998).L'analyse textuelle repère quatre discours-types (les attentistes ; les conquérants ; les financiers ; les incantateurs), dontl'articulation peut se comprendre au regard de trois cadres conceptuels : une communication sélective organisée autour del'embellissement par omission ; la rhétorique de crise caractéristique d'un « prêt-à-parler » directorial. In fine la banalisation dudiscours fait s’interroger sur son utilité managériale et sur la spécificité du contexte français..Mots clés : crise économique, discours, mots du président, statistique textuelle

12073Histoires de management… et Management des histoires

Carole Marti, Bernard FalleryDoctorante en Systèmes d’Information. IAE de MontpellierCREGO Centre de Recherche en Gestion des Organisation

Professeur. ISIMInstitut des Sciences de l’Ingénieur de Montpellier, CREGO Centre de Recherche en Gestion des Organisation

Résumé : L’idée de cet article est de théoriser les organisations comme de véritables « système de narrations », où les histoiressont des moyens d’échange des connaissances tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’organisation. Pour le moment le modèle etla méthodologie présentés ici sont des propositions et des pistes de recherches que nous sommes en train de tester à la «Chambre de Métiers »..Mots clés : connaissance tacite, histoire, organisation narrative

12081La persistance de la performance des fonds de pension individuels britanniques : une

étude empirique sur des fonds investis en actions et des fonds obligataires.Fabrice Hervé

ATER à l’IAE d’Orléans - LOG ([email protected])

Résumé : Dans cet article, nous nous proposons d’étudier la stabilité des performances de certains fonds de retraite anglais àcotisations définies : les fonds de pension individuels (Personal Pension Scheme). Il s’agit de fonds – pratiquant une gestionactive - investissant principalement dans les actions britanniques et de fonds détenant majoritairement des obligationsanglaises durant la période novembre 1990 – novembre 2000. Les données sur les fonds de pension individuels proviennent dela base de données UK PENSION de Standard & Poor’s Fund Services et sont de fréquence mensuelle. Nous utilisons des testsparamétriques de l’existence de la persistance, plusieurs mesures de performance (rentabilité, ratio de Sharpe, ratio de Sortino,mesures de Jensen non conditionnelles et conditionnelles) et différents indices de référence afin d’éprouver la robustesse del’analyse. Nos résultats montrent que les fonds investis en actions sont caractérisés par une réversion de leurs performancesalors que les fonds obligataires connaissent une certaine pérennité dans leurs performances. Cependant, les deux types defonds voient les performances des fonds les meilleurs persister. Les performances passées des fonds les meilleurs fournissentdonc une information sur leurs performances futures. Ainsi, un individu désireux d’épargner pour sa retraite aurait eu toutintérêt à choisir son Personal Pension Scheme en considérant sa performance passée..Mots clés : fonds de pension, performance, persistance, Royaume-Uni.

12082Le marché est-il capable d’anticiper le défaut d’un Etat souverain ? L’exemple de la

Roumanie en 1933Loredana Ureche-Rangau

Doctorante • L.E.O. - L.O.G. Université d’Orléans, ([email protected])

Résumé : L’objet de cet article est d’analyser, à l’aide des cours cotés, si le marché boursier est capable d’anticiper le défautd’un débiteur souverain. A cette fin, nous suivons le comportement des emprunts de l’Etat roumain, émis et cotés à la Boursede Paris durant l’Entre-deux-guerres, et qui sont sujets à défaut en 1933. Nous commençons par la compilation et l’étude del’évolution des taux actuariels des titres roumains et leur écart par rapport à une obligation sans risque, qui est représentée parla rente 5% 1920 de l’Etat français. Nous proposons par la suite, une mesure synthétique de la qualité du crédit pour notreéchantillon d’obligations de l’Etat roumain, appelée probabilité de défaut, contenue implicitement dans les cours boursiers deces titres. Nous examinons ensuite les éventuelles différences qui apparaissent entre les probabilités de défaut des différentsemprunts, plus précisément entre les deux rentes roumaines unifiées 4% et 5% 1929. L’hypothèse de départ est que cesprobabilités de défaut sont censées être égales pour deux émissions du même débiteur. Par conséquent, si les différences entreles probabilités reflètent des erreurs de pricing, cela pourrait être utilisé dans la mise en œuvre d’une stratégie simple etprofitable..


Mots clés : dette obligataire souveraine, taux et spread actuariel, probabilité implicite de défaut, stratégie de trading

12083Impact de l'introduction du tracker Master Share CAC 40 sur la relation de parité call-

putLaurent Deville

ATER en Sciences de Gestion – LARGE - Université Louis Pasteur, Strasbourg IPôle Européen de Gestion et d’Economie – Faculté des Sciences Economiques et de Gestion - E-mail : [email protected]

Résumé : Un nouveau type de titres financiers, les trackers ou Exchange Traded Funds, sont échangés sur le marché parisien depuis le 22 janvier 2001. Ces titres, qui répliquent la valeur d’un indice et sont échangés à des conditions et des prix semblables à ceux d’actions, permettent de réduire le risque d’immédiateté supporté en particulier par les arbitragistes. Nous étudions l’impact de l’introduction du tracker Master Share CAC 40 sur la relation de parité des options sur indice CAC 40 à partir d’une base de données intrajournalières comportant l’intégralité des transactions effectuées sur ce contrat entre août 2000 et juillet 2001. A la différence des études existantes, nous observons une diminution significative, consécutive à l’introduction du tracker, des opportunités d’arbitrage basées sur la relation de parité call-put, tant en nombre qu’en importance.Mots clés : parité call-put, tracker, coûts de transaction

12101Les configurations comme outil d'aide à la conception d'un schéma directeur de groupe

Jean-Philippe DENIS, Alain-Charles MARTINET, Franck TANNERYMaître de Conférences – LAREQUOI / EURISTIK ([email protected])

Professeur des Universités ([email protected])Maître de Conférences ([email protected])EURISTIK (UMR CNRS 5055) – Université Grenoble 2

Résumé : L’objectif de ce papier est d’argumenter l’intérêt d’une approche par les configurations pour la recherche enmanagement stratégique. Pour ce faire, on rappellera d’abord que la stratégie appelle plus particulièrement une activité deconception et d’imagination des possibles. Les configurations, conçues comme des formes susceptibles de donner sens à ladiversité des situations concrètes, s’avèrent dès lors potentiellement d’une grande utilité pratique et théorique. Ce repérageeffectué, cette contribution rendra compte d’une recherche menée en partenariat avec l’équipe dirigeante d’un groupeénergétique européen (OMEGA) qui s’interrogeait sur les principes et les critères à forger pour concevoir son système depilotage et de contrôle de la stratégie. Ce cas permettra d’expliciter comment les configurations fournissent une aide audiagnostic et à la (re)conception d’un schéma directeur de groupe et, simultanément, que ces construits sont propres à fournirdes apports théoriques pertinents sur des problématiques clés du management stratégique..Mots clés : conception, configurations, connaissances en management stratégique, contrôle, management des groupes.

12102Du modèle à la pratique : les trois règles du réseau

Anne Marchais-RoubelatMaître de Conférences

Conservatoire National des Arts et Métiers - CEPRIM - CEREM

Résumé : Partant du constat selon lequel, si la diffusion du concept de réseau renvoie à des pratiques de management récentes,ce concept peut également être appliqué à l’analyse de pratiques beaucoup plus anciennes, cette contribution propose unmodèle caractérisant les modalités de fonctionnement et d’évolution d’une organisation en réseau selon une optique demanagement, et indépendamment de l’époque à laquelle on l’étudie. Ce modèle, issu de travaux sur la comparaison entre ledéveloppement du réseau des abbayes cisterciennes aux XIè-XIIè siècles et la constitution du groupe ABB, articule entre ellestrois règles : une règle d’objectif, une règle interne, une règle externe. Dans un second temps, nous appliquerons ce modèle aucas d’un réseau d’observation sociale qui a fonctionné à EDF à la fin des années quatre-vingt-dix, afin de mettre en exergue lesenjeux managériaux de ses modalités particulières de fonctionnement et d’évolution.Mots clés : action, décision, règle, réseau

12103Analyse du paradoxe de l’unité et de la diversité managériale dans les entreprises

globaliséesAnne-Marie Fray, Philippe Callot

Professeur GRH , Groupe ESCEM ([email protected])Professeur Marketing, Groupe ESCEM ([email protected])

Résumé : Dans un contexte définitivement global, le management s’appuie sur des modèles qui intègrent autant le


développement international de l’entreprise, que les valeurs de l’entreprise, source de stabilité dans la continuité et ce dans unbut commun : la pérennité (longévité). Mais c’est sans aucun doute dans la dualité apparente – diversité/unité -, sous formemême de quasi paradoxe, que la "compétence transculturelle" trouve toute sa force, dans un univers des plus contingents.

Les auteurs s’appuient sur le thème général de ces journées pour mettre en valeur la nécessité d’une analyse de cette situationdécrite dépassant leur discipline personnelle et permettant de faire le lien entre l’évolution des recherches et les pratiquesmanagériales sur le terrain.

C’est pourquoi une revue de la littérature sera présentée, mettant en évidence différents modèles managériaux, ainsi que deuxcas d’entreprises observés, montrant combien il est difficile de développer des qualités managériales qualifiées de mondiales.

Celles-ci signifient aujourd’hui adaptations locales synonymes d’enjeux et donc de performances pour demain. Or l’unité del’organisation, cependant préservée, suppose pour réussir cette globalisation, d’intégrer dans son management cette notion dediversité. Acteur, créateur, l’humain novateur, responsable, autonome, participe alors à l’adaptation de la firme conquérante,aux structures organiques.

L’antonyme diversité/unité n’est plus, dans un contexte global, paradoxalement négatif mais au contraire levier de richesses etsource de progrès pour l’entreprise.Mots clés : Diversité, unité, globalisation, management, culture, adaptation, standardisation

12111Revisiter la distance hiérarchique : déconstruction et reconstruction d'un concept depuis

le terrain de rechercheMichel Fiol, Yannick Fronda

Groupe HEC, Département comptabilité –contrôle de gestion ([email protected])Institut National des TélécommunicationsDépartement Sciences de Gestion, ([email protected] )

Résumé : Parmi les risques majeurs qui pèsent sur l’entreprise, celui de divergence des buts et des actions entre différentsniveaux d’un réseau ou d’une chaîne de management est rarement pris en compte. Pourtant, qu’il s’agisse de divergence ausein d’une équipe de direction ou parmi des managers plus opérationnels, il s’agit bien là d’un risque majeur pour laperformance de l’entreprise (Fiol, 1991) et par là même d’un enjeu majeur de gestion des ressources humaines.

Le présent article a pour objectif de montrer que les résultats produits par des recherches classiques sur la distance hiérarchi-que (du type de celles de G. Hofstede), comme facteur de différenciation des cultures nationales, doivent être appréhendésavec précaution et réserve. Nous remettons ainsi en cause le concept de distance linéaire suggéré par de telles études, simplifi-catrices à notre sens ; concept qui reste trop flou et ne tient pas compte du caractère contradictoire des relations entre un supé-rieur et ses subordonnés.

Pour cela, nous proposons une (re)définition du concept de distance hiérarchique, à partir du concept plus global de distancesociale, qui tienne compte des paradoxes dans la relation hiérarchique. Ainsi qu’une méthode de mesure de cette distance hié-rarchique qui aide à mettre ainsi en évidence des fractures possibles entre deux strates hiérarchiques successives.

Enfinnous nous appuierons sur des résultats d’enquêtes menées dans une douzaine de grandes entreprises françaises, certainesponctuellement, d’autres sur plusieurs années, résultats croisés avec ceux d’entretiens qualitatifs individuels et collectifs, afinde questionner les résultats de recherches culturalistes sus-évoquées, qui nous apparaissent par trop simplicatrices..Mots clés : distance hiérarchique, distance sociale, direction par le sens, autonomie.

12112Le management social : des relations des hommes aux choses aux relations entre les

hommesRobert Le Duff, Gérald Orange

Professeur émérite, Université de CaenProfesseur, CREGO-IAE, Université de Rouen

Résumé : Cet article interroge le management public à un moment où il semble d’autant plus indispensable qu’il apparaîtimpuissant. A partir d’un retour sur les fondements théoriques, l’objectif est de montrer que le management public doit prendreen compte les relations entre les hommes. Ce management public devenu social aurait l’ambition de relier les finalités de lasociété et les multiples réalisations sociales qui tentent de combler les vides d’un productivisme contestable..Mots clés : biens collectifs, biens premiers, capabilités, égalité des chances, équité, justice sociale, loi de Baumol, management public, management social, médiation, principe de différence, productivisme, subsidiarité.

12113Le système Pratique-Recherche : Une approche garbage can de la production et de la

diffusion des théoriesBenoît Demil, Xavier Lecocq, Vanessa Warnier

Maître de Conférences – IAE de Lille, ([email protected])Allocataire-Moniteur – IAE de Lille, ([email protected])

Allocataire-Moniteur – IAE de Lille, ([email protected])

Résumé : Depuis une vingtaine d’années, des réflexions alarmistes sont régulièrement produites en sciences de gestion quantà l’utilité, pour les praticiens, des travaux produits. Peu d’études empiriques ont été menées sur ce thème et la plupart descontributions prescrivent aux chercheurs la conduite de recherches « opératoires » pour les entreprises. A partir d’une nouvellereprésentation des liens entre praticiens et chercheurs, nous proposons de dépasser le débat sur l’utilité de la recherche pour


mettre en évidence que les processus de création et de diffusion de théories en gestion peuvent s’apparenter au modèle dugarbage can. Nous exposons les différentes implications de cette nouvelle représentation..Mots clés : pratique, recherche, communautés, système faiblement couplé, garbage can.

12121Des marchés et des hommes

Hélène Rainelli-Le MontagnerProfesseure des universités, IGR IAE de Rennes

CREREG UMR 6585

Résumé : L'hypothèse de rationalité des agents proposées par Von Neuman et Morgenstern (1944) a servi de socle audéveloppement de la théorie financière moderne. Un ensemble de travaux récents remet en cause cette hypothèse et proposeune nouvelle approche de la finance, centrée sur la prise en compte des comportements réels observés chez les financiers..L'objet de cet article est de réfléchir aux implications que pourrait avoir, pour la finance, l'émergence de ce nouveau courant depensée.

12122Nouvelles technologies et compétition entre marchés boursiers

David Bourghelle, Roland GilletMaître de conférence à l'IAE de Lille – Université de Lille 1 ([email protected])

Professeur à l'IAE de Lille – Université de Lille 1 (roland.gillet@ iae.univ-lille1.fr)

Résumé : L’objectif de ce papier est d’analyser les implications économiques et organisationnelles de l’utilisation desnouvelles technologies de transmission et de routage des ordres de Bourse sur le fonctionnement des marchés d’actifsfinanciers. Des innovations technologiques majeures permettent aujourd’hui de réorienter une part non négligeable des fluxd’ordres des systèmes de cotation traditionnels vers des réseaux électroniques parallèles et attractifs (ECNs : « ElectronicCommunication Networks »). Les conséquences de cette évolution sont importantes. Elles relèvent principalement ducomportement des investisseurs, du processus de transmission et d’assimilation de l’information dans les prix, du degré defragmentation des flux d’ordres et de la compétition dans l’offre de liquidité.Mots clés : transactions en ligne, systèmes alternatifs de transactions, réseaux électroniques de communication, coûts de transactions, offre de liquidité

12123Audit et gouvernement d'entreprise, les leçons de l'affaire Enron

Benoît PigéProfesseur agrégé des Universités en Sciences de Gestion, Faculté de droit, économie et gestion, Université de Franche-Comté

([email protected])

Résumé : La faillite d'Enron semble être la défaillance de la gouvernance d'entreprise et de l'audit en Amérique; pourtantlesmanquements relevés ne sont pas spécifiques aux Etats-Unis. Deux conclusions émergent ainsi de l'analyse du cas Enron. Lapremière est que l'indépendance des administrateurs est une condition nécessaire mais non suffisante; le conseild'administration doit également être compétent et disposer d'une information fiable et pertinente. La seconde conclusion estque les auditeurs eux-mêmes sont sujets aux problèmes de contrôle puisque la défaillance d'un associé peut entraîner une perted'indépendance qui, si elle n'est pas immédiatement identifiée, peut conduire l'ensemble du réseau à sa disparition. Selon notreanalyse, les faillites les plus retentissantes interviennent quand on a tout à la fois une défaillance du conseil d'administration etune défaillance des auditeurs. Cependant, la chute d'Enron nous invite également à étudier le rôle critique des analystesfinanciers dans la lecture des informations communiquées par les entreprises et dans la diffusion d'une information synthétiqueaux investisseurs..Mots clés : audit, gouvernement d'entreprise, Enron,

12131Mise en œuvre d'une démarche de modernisation du contrôle de gestion des projets au

sein d'une entreprise de transports publics. Une approche stratégique du changement et de sa mise en œuvre

Amale BelarbiDoctorante-Université de Marne la Vallée

Résumé : De plus en plus, l'entreprise qui nous intéresse sera contrainte de gérer le passage d’une abondance de subventionsétatiques à une rareté relative des ressources financières par une meilleure gestion de ses projets. Il devient nécessaire deréfléchir à une nouvelle manière de gérer les projets, d’instituer le réflexe du « penser coût » au niveau de l’ingénierie, defavoriser la prise de conscience par les acteurs opérationnels projets et les acteurs « métiers » des enjeux liés aux aspectséconomiques et financiers. Il s’agira désormais de rapprocher en permanence coûts, délais, et performances, au lieu de lesconsidérer séparément. Un projet de modernisation de la gestion économique et financière dont nous développerons ladémarche tentera de concilier la philosophie d’ingénierie et celle du management des projets sous le prisme de la gestionéconomique et financière..Mots clés : Gestion économique et financière des projets, contrôle de gestion des projets, changement stratégique,


management public.

12132Réalités et perspectives de la « dynamique réticulaire » dans l’organisation du système de

soins françaisPascal Bonafini

Doctorant - IAE Rouen CREGO - sous la direction du Professeur Gérald Orange([email protected])

Résumé : Le concept de réseau de soins a émergé dans notre pays au début des années 80 avec une diffusion quasiconfidentielle, ou du moins en restant contenu à des cas d’applications bien spécifiques. Si l’on s’en tient à une observationd’ordre purement statistique, on note que la promulgation des textes majeurs que constituent les ordonnances de 1996 aconsidérablement amplifié le succès du phénomène et l’on dénombre désormais plusieurs centaines de « structures » seréclamant de la notion. Dans un secteur largement dominé par la présence de bureaucraties professionnelles, ces nouveauxmodes de coopération semblent ouvrir de larges perspectives en termes de politiques de santé publique. Notre réflexion porteraici tout d’abord sur l’observation de la réalité du phénomène, puis nous proposerons quelques hypothèses et perspectivesvisant, dans une phase ultérieure, à poursuivre ces recherches sur un mode empirique.Mots clés : réseaux, coopération, réseaux de santé, organisation du système de santé

12133La structuration du changement par les acteurs et les outils de gestion : Une perspective

communicationnelleSandrine Virgili

Allocataire-moniteur 3ème année – Université de Nice Sophia Antipolis ([email protected])

Résumé : L’objectif de cet article est de montrer en quoi une approche communicationnelle du changement organisationnelpeut être intéressante pour comprendre le rôle des acteurs et des outils dans cette dynamique. Partant des approchesgestionnaires traditionnelles, nous exposons que malgré leurs apports indiscutables, ces dernières échouent sur un pointparticulier qui est celui de l’articulation du rôle des acteurs et des outils dans le changement, et ce en raison de leursconceptualisations réductrices de la communication. Nous posons alors que cette articulation ne peut être étudiée en dehors del’étude de la communication elle-même, en ce qu’elle est constitutive de ce processus. Dans cette perspective, prenant commecadre conceptuel le modèle discursif développé par Taylor et Giroux, nous montrons en quoi les acteurs et les outils de gestion,par leurs mise en relation, sont les véritables fabricants du social et structurent le changement, mettant en avant par là même ladimension sociale et matérielle de la structuration. Nous illustrons enfin ces propos par des pistes de réflexion issues d’un casexploratoire. En ce sens, la perspective communicationnelle, parce qu’elle fournit un cadre de compréhension pertinent dufonctionnement organisationnel et de son processus de transformation, semble peut-être être une voie prometteuse pourrenouveler les théories du pilotage du changement..Mots clés : changement organisationnel, communication, modèle discursif, actants, acteurs, outils de gestion.

12141Vieillissement cognitif : perspectives dans le domaine publicitaire

Gaëlle BoulbryAllocataire de Recherche Université de Rennes 1 – Institut de Gestion de Rennes (IGR-IAE) ([email protected])

Résumé : Cet article a pour objectif de sensibiliser théoriciens et praticiens sur l’importance de l’étude du vieillissement dansle domaine du senior marketing en s’attachant à un aspect précis : la communication commerciale. Plus précisément, notreobjectif est de souligner l’impact probable du vieillissement de l’individu sur l’efficacité publicitaire en montrant que lesvariables entraînant l’efficacité d’une annonce sont justement celles affectées par le vieillissement..Mots clés : vieillissement cognitif, efficacité publicitaire, seniors.

12142Communication publicitaire et valeurs

Chantal Rouvrais-charronDocteur en sciences de gestion

Résumé : Omniprésent dans l’esprit, le système de valeurs sert de guide de référence à l’individu, dans toutes ses pensées, sesopinions et ses comportements de la vie quotidienne. Dans le processus de persuasion publicitaire, le système de valeursindividuelles assumerait, en amont, une fonction de filtre perceptuel à travers lequel passerait tout stimulus externe. Lesrésultats d’une enquête testant deux publicités (informative vs émotionnelle) de marque inconnue attestent la contribution desvaleurs individuelles dans la formation des attitudes (attitude envers l’annonce et attitude envers la marque), quel que soit letrait dominant de l’annonce. Toutefois, la nature des combinaisons de valeurs influentes (orientation externe vsinterpersonnelle vs interne) est indépendante de la catégorisation des annonces. Nous suggérons également une applicationmanagériale de la prise en considération du système de valeurs du récepteur, dans le cadre de pré-tests et/ou de post-testspublicitaires..Mots clés : valeurs individuelles, attitude, filtre perceptuel, publicité, mécanisme de persuasion..


12143Les effets affectifs de la perception périphérique colorée sur la mémoire: proposition

d’expérimentationBernard Roullet, Olivier Droulers

A.T.E.R. AES Rennes 2 – Doctorant IGR Rennes 1([email protected])Maître de Conférences à l’I.U.T. G.E.A. – Université de Rennes 1 ([email protected])

Résumé : De nombreux travaux de recherche semblent avoir démontré l’existence d’une influence de la couleur sur les affectsde l’individu. Teinte, luminosité et saturation, les dimensions sous-tendant la couleur, contribuent diversement à cet effet, selonles auteurs qui privilégient une ou plusieurs d’entre elles. Par ailleurs, il semble avéré qu’une mémorisation efficace passe parl’intégration d’une composante affective, afin de renforcer l’encodage qui permettra ensuite une bonne récupération del’information. Une hypothèse est donc émise, selon laquelle un stimulus de couleur, aux dimensions contrôlées, est susceptibled’influer sur l’encodage et par conséquent sur la qualité de la mémorisation d’informations textuelles. Une expérimentation estproposée afin de tester cette hypothèse.Mots clés : couleur, mémoire, affect, émotion, humeur, teinte, luminosité, saturation

12151La clientèle multiple en marketing : proposition de typologie

Agnès Durrande-MoreauMaître de conférences à l’IUP THT(transport, hôtellerie, tourisme, loisirs), UFR ATE, Université de Savoie. ([email protected])

Mots clés : clientèle, rôle du client, marketing, service, transportRésumé : Jusqu’ici, la théorie marketing a accordé peu d’attention au phénomène de clientèle multiple, lorsque la relation client-fournisseur n’est pas une simple dyade. Or les observations de terrain montrent que souvent cette relation est multiple, ramifiée, imbriquée. Cet article s’intéresse à ces relations complexes, dans l’optique du producteur cherchant à identifier qui sont vraiment ses clients, pour mieux concevoir et faire évoluer ses produits. Après avoir présenté deux cas manifestes de double clientèle, l’article aborde le niveau théorique des définitions. Il cherche dans la littérature d’autres cas déjà identifiés, pour proposer une typologie comportant 5 formes bien différentes de double clientèle..

12152La prise en compte de la valorisation de la consommation dans le domaine culturel.

Patricia Mann-NiglisMaître de Conférences – Université de Franche-Comté - CUREGE

Résumé : L’objectif de cet article est d’apporter une lecture nouvelle de la manifestation culturelle à travers sa valorisation parle public et trouve son ancrage dans le contexte des travaux actuels en marketing. En effet, la problématique de la valorisationse trouve dans de nombreuses consommations et tout particulièrement dans le domaine culturel. Deux dimensions de lavalorisation de la manifestation culturelle, à savoir la dimension esthétique et la dimension sociale sont mises en évidence etthéorisées à l’aide de deux nouvelles variables propres à l’individu (la sensibilité esthétique et la sensibilité à l’interactionsociale). Nous proposons donc dans cette recherche un modèle explicatif du comportement de fréquentation des concertsclassiques et exposons les principaux résultats obtenus concernant les tests des relations proposées..Mots clés : valeur, consommation, comportement, sensibilité, esthétique, interaction sociale, culture.

12153Efficacité des réducteurs de risque marketing et confiance du consommateur : A propos

d'une recherche exploratoire sur le comportement d'achat du consommateur face à la viande

Paul-Emmanuel PichonDoctorant en Marketing – ATER, IAE de Toulouse ([email protected])

Résumé : A travers une recherche exploratoire portant sur une réunion de groupe et 16 entretiens semi-directifs, l’objectifessentiel de cet article est de comprendre comment s’opèrent les stratégies de réduction du risque du consommateur et quelssont les réducteurs de risque utilisés lors de l’achat de viande.

Nous verrons en particulier, le rôle central de la confiance au moment de l’achat, et nous dresserons une classification desstratégies de réductions du risque alimentaire en fonction de la confiance : confiance en soi et confiance dans l’émetteur duréducteur du risque..Mots clés : risque, confiance en soi, confiance dans l’émetteur, principe d’incorporation, produits alimentaires.


12161L'évolution de la fonction Ressources Humaines : une analyse sur la base des offres

d'emploiAlain Roger

Professeur, IAE de Lyon, Université Jean Moulin Lyon 3, [email protected]

Résumé : L'étude est fondée sur des offres d'emploi pour des postes de généraliste de la fonction Ressources Humaines. Uneanalyse globale de la structure des annonces distingue d'abord plusieurs types d'approches selon que les entreprisesprivilégient leur image, la fonction proposée, ou la personne et ses capacités d'évolution. Une analyse comparative met ensuiteen évidence les différences significatives entre les postes selon qu'ils sont intitulés "Personnel" ou "Ressources Humaines", et"Directeur" ou "Responsable". Enfin, analyse longitudinale sur la base des résultats d'une étude comparable réalisée entre 1973et 1989 montre les évolutions de la fonction sur cette période.Mots clés : Recrutement, Personnel, Ressources Humaines

12162Relecture des pratiques de communication à partir de La Théorie de l'Identité Sociale

Anne-Laure GatignonMoniteur allocataire, 1ère année de thèse au LIRHE, Laboratoire Interdisciplinaire des Ressources Humaines et de l’Emploi, Université des

Sciences Sociales Toulouse I

Résumé : Les pratiques de communication des grandes entreprises ont fortement évolué depuis dix ans pour répondre à denouvelles problématiques centrées sur l'importance de gérer l'image de l'entreprise auprès de l'ensemble de ses partiesprenantes. Ces nouvelles pratiques, qui visent à créer une identité à l'organisation, tendent notamment à influencer lesimpressions de ses propres membres et finalement à agir sur leurs comportements organisationnels. Cet article a pour objet defournir un nouveau cadre théorique à ces dernières, en les réinterprétant comme autant de stratégies d'identification et enpermettant de mieux comprendre leurs effets sur le comportement des salariés. Ce cadre a pour fondement la théorie del'Identité Sociale (Tajfel 1972, 1974, Tajfel et Turner 1979, 1986) et ses applications en gestion développées notamment parAshforth et Maël (1989). L'impact des pratiques de communication sera ainsi étudié en terme d'identificationorganisationnelle..Mots clés : Processus de catégorisation, Saillance, Catégorie cognitive, Identité sociale, Identification organisationnelle, Image d'entreprise, Identité d'entreprise

12163La régulation du processus d’élaboration d’un plan social

Antony Kuhn, Yves MoulinMaître de conférences – Université Nancy2

Docteur ès Sciences de GestionAttaché temporaire d’enseignement et de recherche - Université Nancy2

Résumé : Cet article vise à éclairer le processus de réduction d’effectifs mis en œuvre dans le cadre d’un plan social. Danscette optique, il met en relief, dans un premier temps, les contraintes juridiques qui pèsent sur les différents acteurs (dirigeants,représentants de salariés et fonctionnaires du ministère du Travail et de l’emploi) d’un tel processus. Dans un deuxième temps,il montre, en s’appuyant sur le corpus théorique issu de l’analyse stratégique, que ces contraintes sont toutefois limitées, voirealtérées par de multiples jeux de nature informelle qui se développent entre les acteurs. Enfin, il souligne également le rôle deregistres d’argumentations distincts utilisés par les différentes parties prenantes, en tant que ressources rhétoriques, pourdiscuter la légitimité de la réduction d’effectif et influer sur le contenu du plan social..Mots clés : ressources humaines, plan social, régulation mixte, négociations.

12171Entrepreneuriat : vers de nouvelles approches

François Blanc, Mathilde PiotrowskiIAE de Clermont-Ferrand

Atelier de Marketing Stratégique

Résumé : Les recherches actuelles sur l'entrepreneuriat ont eu tendance à développer des approches à dominante plus tactiqueque stratégique. En particulier la transversalité entre les fonctions semble quelque peu négligée. De nouvelles démarchesreposant sur des références classiques (offre créatrice et gestion de la technologie) autorisent un renouvellement des cadresd'action. La validation de ces derniers schémas a permis la construction d'un modèle fondé sur le losange de Porter ainsi quesur les outils plus récents de la sociologie industrielle..Mots clés : entrepreneuriat, offre créatrice, losange de Porter, réseau


12172Le passage à l’international dans les PME : Des modèles de l’internationalisation à la

stratégie entrepreneuriale du dirigeant - propriétaire?Claude Etrillard

Professeur Agrégé d’Economie-Gestion, IUT de Vannes - STID * Université de Bretagne Sud

Résumé : L’objet de ce travail est de proposer et de légitimer a-priori un renouvellement conceptuel dans l’analyse desdémarches internationales en mettant en évidence qu’il existe déjà des études révélant des analogies entre les approchesparcellaires de l’internationalisation et les concepts utilisés en entrepreneuriat. On se propose donc dans cet article de fairerapidement le point sur les différents modèles existants de l’internationalisation des PME avant de revenir sur la notion mêmede « passage à l’international » dans une PME, sur l’initiative du Dirigeant-Propriétaire, pour ensuite examiner le bien-fondé etla légitimité d’un travail de recherche qui proposerait d’utiliser comme grille de lecture nouvelle de ce passage àl’international, la notion et les concepts du processus entrepreneurial..Mots clés : internationalisation, PME, processus entrepreneurial.

12173Lobbying et performance : Une étude de l’action politique des entreprises françaises

1995 - 2000Madina Rival

AMN à l’IAE de Paris. Université Panthéon-Sorbonne

Résumé : Le lobbying des entreprises auprès des décideurs publics est une pratique de plus en plus courante aujourd’hui maispeu étudiée en Europe. L’étude présentée cherche en particulier à savoir si les actions destinées à influencer les décisions despouvoirs publics permettent aux entreprises d’être plus performantes. Pour répondre à cette question elle présente la manièredont les sociétés françaises mènent leurs opérations de lobbying (construction d’une base de données de 1995 à 2000 etanalyse des données), puis les conséquences de ces opérations sur les résultats boursiers des sociétés (étude d’événement etANOVA)..Mots clés : lobbying, action politique, performance, étude d’événement.

12181Analyse économique des contrats de délégation : quelle place pour les notions de

confiance et de réputation ?Laurence San Martino

Allocataire de Recherche - Lameta , Université Montpellier 1

Résumé : Cet article part du constat que la délégation des services publics locaux par une collectivité locale à une entrepriseprivée a connu une forte expansion ces vingt dernières années. Si la délégation a de nombreux avantages, des difficultés seposent du fait de la différence théorique d’objectifs des parties et de la présence d’une asymétrie d’information en faveur del’entreprise privée. Cette dernière pouvant alors faire apparaître des comportements opportunistes. Après avoir montré que larelation de délégation est risquée grâce à la théorie économique des contrats, nous montrerons le rôle majeur que peut avoir laconfiance dans la réduction du risque de la transaction et dans l’efficacité du service.Mots clés : délégation, contrats incomplets, comportements opportunistes, risque, confiance, réputation

12182La communication budgétaire et financière des communes sur internet: obligations ou

opportunités ?David Huron, Vladimir Serdeczny

Maître de Conférences – Université de Nice-Sophia Antipolis (CRIFP-IDEFI-CNRS), ([email protected])Directeur – IUT de Roanne([email protected])

Résumé : Les communes françaises ont depuis une dizaine d’années l’obligation d’informer leurs concitoyens sur les financeslocales. L’évolution du management public local et l’émergence des sites internet des communes ont impliqué ledéveloppement d’une communication financière spécifique. L’objet de cette contribution est d’insister sur la diversité despratiques observées sur les sites des communes françaises. Il est par ailleurs de montrer que l’utilisation de l’internet s’inscritdans une démarche globale de communication. Cette communication s’appuie sur l’expérience d’un ancien maire-adjoint dela ville de Roanne ainsi que sur l’étude systématique des sites web des villes de plus de 20 000 habitants (hors région Ile-de-France et hors départements d’Outre-Mer)..Mots clés : communication financière, citoyenneté, internet, communication politique.


12183Confrontation entre théories et pratiques managériales : le cas des hôpitaux publics

Sandrine CueilleMaître de Conférences, IAE des Pays de l’Adour

Résumé : Dans un contexte de concurrence accrue pour l’accès aux ressources nécessaires à son fonctionnement, l’hôpitaldoit, afin de mieux prendre en compte les attentes de ses différentes parties-prenantes, conduire simultanément des stratégiesde légitimation, d’acquisition de ressources, et de recherche d’efficacité ou d’efficience. Une revue de la littératureprofessionnelle française récente permet d’identifier comment les pratiques managériales réelles contribuent à la réalisationd’une ou plusieurs de ces trois facettes du pilotage stratégique de l’hôpital. Un classement de ces pratiques est proposé selon lafacette du pilotage stratégique à laquelle elles correspondent et selon la catégorie managériale à laquelle elles appartiennent(finalisation, animation, allocation des ressources, ou contrôle). Cet article ouvre ainsi la voie à une distinction entre lesdémarches managériales qui correspondent à celles existant dans le secteur privé, et qui de ce fait s’inscrivent dans un cadrethéorique stabilisé ou en cours de stabilisation, et celles qui constituent une spécificité des organisations hospitalières. Ladélimitation des facteurs fondant cette spécificité paraît essentielle à la compréhension des évolutions stratégiques de cesorganisations publiques..Mots clés : Hôpital, pilotage stratégique, parties-prenantes, comparaison théories-pratiques, littérature professionnelle

12184Droits de propriété et création de valeur : Fondements d’un système d’incitations à

l’Université ?Guillaume Biot-PaquerotBDI Cnrs-Région Bourgogne

Fargo-Latec, Université de Bourgogne

Résumé : Les universités représentent une forme organisationnelle particulière, relevant du cadre des organisations à but nonlucratif (OBNL). Dès lors, les bénéfices que les individus tirent habituellement d’une relation d’agence sont abandonnés enfaveur de contraintes fiduciaires de management exclusivement liées à la confiance du public envers l’organisation. Lacontrainte de non-distribution des surplus liée aux OBNL affecte alors le système incitatif et peut pousser les agents à sedérober à leur tâche ou à chercher à s’attribuer une part de la valeur créée, sous une forme ou sous une autre..Mots clés : Investissement des universités, OBNL, droits de propriété, création et répartition de valeur, incitation

12201Contribution à l'étude des conditions d'efficacité des démarches de planification en PME

Hervé GoyMCF à l'Université de Saint-Etienne ([email protected])

Résumé : cet article s’attache à l’étude des pratiques de planification de deux entreprises high-tech, En premier lieu, lesinformations récoltées auprès de la société DIGIGRAM tendent à militer en faveur d’une approche émergente de formation dela stratégie. En second lieu, la planification menée par METROLOGIC GROUP, et telle que nous avons pu l’appréhender,conforte davantage le courant rationaliste de formation de la stratégie. Au final, METROLOGIC GROUP comme DIGIGRAMsont deux sociétés en pleine réussite actuellement. Ce constat nous conduit naturellement, sans rejeter une constructionthéorique au profit de l’autre, à nous interroger sur les conditions d’efficacité de la planification..Mots clés : planification, PME, environnement technologique, paradigmes stratégiques.

12202Réalité de la gestion des connaissances dans les organisations - Le cas de l’adoption d’un système de gestion des connaissances dans une grande mutuelle d’assurances française

Agnès LanciniATER - IAE de Toulouse

Résumé : Un intérêt croissant est aujourd’hui accordé au domaine de la gestion des connaissances (GC). Les chercheursproposent une littérature abondante et variée qui souligne l’étendue de ce champ, mais également la nécessité de structurer etconsolider une théorie de la GC. Sur un plan plus opérationnel, l’émergence de ce domaine implique une évolution despratiques manageriales et la mise en oeuvre de technologies telles que les Systèmes de Gestion des Connaissances (SGC). Apartir d’un état de l’art des recherches théoriques et empiriques sur la GC, cet article permet, dans un premier temps, des’interroger sur la réalité actuelle des pratiques de GC dans les organisations. Il s’agit, dans un second temps, de proposer uncadre d’analyse afin d’expliquer l’adoption d’un SGC dans l’organisation. Le cadre conceptuel retenu s’inspire, à la fois, desspécificités des organisations qui ont adopté avec succès un tel système, et des travaux relatifs à l’alignement stratégique et auxthéories de la diffusion des innovations et de la structuration. La validation empirique repose sur une méthodologie qualitatived’études de cas, réalisée auprès de cinq organisations régionales d’une même mutuelle d’assurances, souhaitant mieux gérerses connaissances grâce à la mise en place d’un outil de groupware et d’un intranet. Les principaux résultats de l’étudeempirique sont présentés et discutés..Mots clés : Gestion des connaissances, Système de gestion des connaissances, adoption, déterminants de l'adoption, mutuelle d'assurances.


12203Transfert de compétences et gestion d’un réseau inter-organisationnel pour

l’apprentissage : application au cas de Renault au BrésilFrédéric Prevot

Professeur à l’Ecole Supérieure de Commerce Marseille-Provence

Résumé : Cet article a pour objectif d’analyser les modes et outils du transfert inter-organisationnel de compétences. L’analysede littérature se structure en deux parties. Dans la première, nous présentons une brève définition des compétencesorganisationnelles et nous approfondissons la notion de ressources marginales. Nous analysons ensuite comment cesressources marginales sont mobilisées dans le cadre de relations inter-organisationnelles. Nous définissons ainsi les avantagesde la coopération dans l’objectif de développement des compétences : rentes relationnelles, apprentissage inter-organisationnelet effet en retour du transfert. Dans la second partie, nous étudions les modes de management d’un réseau inter-organisationnelpour l’apprentissage et les modes de management du transfert inter-organisationnel de compétences. Le modèle desconstructeurs automobile japonais illustre le management d’un réseau inter-organisationnel pour l’apprentissage. Nousstructurons les éléments d’analyse du transfert inter-organisationnel de compétences autour de trois éléments : nature de lacompétence à transférer, type de relations entre les partenaires et éventail des outils de transfert utilisés. Nous appliquons cemodèle à l’étude du cas de transfert de compétences logistiques de Renault vers ses fournisseurs locaux au Brésil..Mots clés : Modèle des Ressources et Compétences, Relations inter-organisationnelles, Réseau, Transfert de Compétences.

12211Le rôle des pratiques de management sur les attitudes des agents de l'Etat à l'égard de la

carrièreSylvie Guerrero, Sandrine Kopel

Maîtres de Conférences aux Universités de Toulon et de Rouen

Résumé : Cette communication s’appuie sur le projet de réforme de l’Etat concernant les nouvelles pratiques de management,pour étudier comment ces pratiques peuvent avoir un impact sur les attitudes à l’égard de la carrière. Pour tester la pertinencedu projet gouvernemental, les auteurs proposent de classer les agents de l’Etat selon leur degré de satisfaction, et d’étudierl’impact de deux pratiques de management, l’enrichissement du contenu de travail et le soutien du supérieur, sur cettesatisfaction. Une étude réalisée auprès de 2197 agents administratifs d’université conduit à démontrer la pertinence des choixde l’Etat et invite à revoir et requalifier le rôle des cadres A et B de la fonction publique..Mots clés : pratiques de management, carrière, satisfaction, plateau de carrière, management public

12212Méthodes de recherche-intervention en management et développement de l’entreprise

Jean-Michel PlaneProfesseur des Universités

IAE de Valenciennes

Résumé : Cet article vise à montrer les résultats managériaux produits par la démarche de recherche-intervention du chercheuren sciences de gestion dans les organisations. Il vise, en premier lieu, à s’interroger sur la nature des connaissances produites,des savoirs élaborés ainsi que des principes d’action expérimentés et mis en œuvre. En second lieu, une approcheethnométhodologique de l’organisation est préconisée ; elle implique pour le chercheur en gestion de faire preuvesimultanément de pragmatisme mais aussi de réflexivité. Enfin, l’article vise en montrer dans quelle mesure la recherche-intervention en management contribue au développement organisationnel (O.D). Ce champ théorique et pratique est exploré.Dans un souci de praxéologie, des principes d’action sont discutés.Mots clés : Management – Recherche-intervention – Ethnométhodologie – Constructivisme – Développement organisationnel – Réflexivité – Créativité

12213Pratiques managériales et développement de la valeur en entreprise : entre observation et

interventionChristophe Schmitt, Stéphane Leymarie

Maîtres de conférences en Gestion ([email protected]) -( [email protected]) * ESM/IAE de Metz, Université de Metz

Résumé : Le défi actuel des entreprise est de créer de la valeur dans un contexte qui se complexifie. La capacité des entreprises à relever ce défi dépend essentiellement des pratiques professionnelles qui en découlent. L'objectif de ce travail de recherche est double : apporter des repères conceptuels permettant de comprendre les difficultés des entreprises à gérer cette complexité. Pour cela, notre argumentation se focalise essentiellement sur trois points (situation, temporalité, outil); à partir de ces trois points, nous proposons une démarche de conduite de change-ment favorisant non seulement le partage des connaissances mais aussi la coopération dans une perspective d'actions innovantes. Au final, l'ingénierie de notre recherche a fait l'objet d'une expérimentation en entreprise.Mots clés : valeur – pratiques professionnelles – gestion – recherche ingénierique


12221Psychopathologie de l'engagement professionnel : actualité et portée de l'acédie

Philippe Robert-DemontrondIAE de Rennes

Résumé : Dans une économie où l’importance relative des facteurs de production matériels décroît constamment au profit decelle des immatériels, de nouvelles problématiques surgissent, liées aux nouvelles modalités et techniques de mobilisationpsychique des salariés. Celles-ci sont effectivement au fondement de l’apparition de souffrances, de pathologies d’ordrepsychologique, régulièrement présentées comme sans précédent. Au contraire d’une telle perspective, il s’agit ici de tracerl’histoire de l’acédie, comme maladie psychique liée à une perte de foi, et d’en montrer l’actualité dans une société valorisantle travail comme facteur d’accomplissement de soi.Mots clés : management, ressources humaines, psychopathologie

12222Les systèmes de recours internes : outils de justice procédurale ou maîtrise de la

communication sur le conflit interpersonnel ?Samuel Mercier, Renaud Muller

Maître de Conférence en Sciences de gestion – IAE Dijon – FARGO-LATEC – Université de Bourgogne ([email protected])Professeur à l’ESC Dijon - Doctorant en Sciences de gestion et boursier de la fondation HEC, HEC Pari

Résumé : Cette communication propose d’étudier de façon exploratoire une procédure de recours, hors voie hiérarchique, dessalariés en situation de conflit interpersonnel. Nous présentons, d’abord, une revue de la littérature portant sur ledéveloppement et la performance de ces systèmes organisationnels de résolution des conflits. Ensuite, notre étude empiriqueest centrée sur les perceptions de trois acteurs : le responsable de la procédure dans une grande multinationale, un médecin dutravail interne à l’entreprise et un syndicaliste ayant lui-même utilisé cette procédure. La diversité de ces points de vue permetd’esquisser une réponse à la question suivante : dans quelle mesure une telle procédure est une garantie de justice, d’un pointde procédural et distributif ?.Mots clés : justice distributive et procédurale, éthique, équité, porte ouverte, conflit interpersonnel, culture.

12223Événements affectifs et attitudes au travail : une étude exploratoire auprès d’une

population de cadres d’entrepriseKarim Mignonac

Maître de conférences à l’IAE de Toulouse – Université Toulouse I ([email protected])

Résumé : Les chercheurs et les praticiens du monde de l’entreprise s’accordent aujourd’hui à reconnaître l’importance de ladimension émotionnelle du travail des cadres. Malgré cet intérêt renouvelé, peu de recherches francophones en sciences degestion se sont encore attachées à cette problématique, et les causes ainsi que les effets des phénomènes affectifs au travailrestent encore en grande partie méconnus. L’objectif de cette communication est d’améliorer notre connaissance sur l’origineet les conséquences des phénomènes émotionnels au travail en identifiant plusieurs événements – liés au contexteprofessionnel – susceptibles de produire des états affectifs, et en étudiant l’impact de ces derniers sur diverses attitudes autravail. Le cadre conceptuel utilisé est celui de la théorie des événements affectifs (Weiss & Cropanzano, [64]) qui propose queles événements se produisant sur le lieu de travail génèrent des réactions affectives influençant à leur tour les attitudes et lescomportements organisationnels. En accord avec ce cadre d’analyse et les théories cognitives de l’évaluation, trois hypothèsesprincipales de recherche sont formulées : les facteurs de stress organisationnel ont une influence significative sur l’occurrenced’événements affectifs au travail (H1a) et sur les attitudes au travail (H1b) ; les événements au travail sont significativementliés aux états affectifs au travail (H2) ; les états affectifs au travail sont significativement liés aux attitudes au travail (H3). Uneétude empirique consistant en l’analyse 203 questionnaires administrés auprès d’une population de cadres d’entreprise a étémenée. Les résultats obtenus soutiennent les hypothèses de recherches formulées. Ils montrent que les facteurs psychologiquesde stress organisationnel sont bien liés à l’occurrence d’événements affectifs au travail et, en particulier, à celle d’événementsnégatifs tels que des problèmes avec les collègues ou les supérieurs hiérarchiques. Ces événements expliquent à leur tour unepart importante des états affectifs au travail, puis de manière indirecte, participent à la formation des attitudes..Mots clés : événements affectifs au travail, émotions, attitudes, cadres.

12231Une Mesure Complète de la Probabilité de Conversion des Obligations Convertibles et

Typologie des EmetteursFlorence André-Le Pogamp, Patrick Navatte

Maître de conférences - Université de Rennes 1,([email protected])Professeur - Université de Rennes 1,([email protected])

Résumé : L’objet principal de cet article est de proposer un indicateur pertinent permettant d’identifier le type (dette, mixte ouaction) d’une obligation convertible à clause de remboursement anticipé au gré de l’émetteur, encore dite callable, et d’enfournir une typologie pour éclairer les investisseurs. Cette clause est une caractéristique devenue commune des contratsd’émission et doit donc être prise en compte dans le design de l’actif hybride. L’indicateur proposé est basé sur la probabilitéde conversion d’une obligation convertible callable fournie à partir de la formule d’évaluation d’un capped call américainproposée par Broadie et Detemple (1995 [11]). L’étude empirique réalisée sur le marché français à partir d’un échantillon de129 titres nous permet de constater que les émetteurs d’obligations convertibles de type ''dette'' sont caractérisés par unendettement et un risque important révélant une prédisposition pour les coûts d’agence et une plus grande ancienneté. A


contrario, les émetteurs d’obligations convertibles de type ''action'' sont des entreprises à fortes opportunités de croissancesubissant les effets d’importantes asymétries d’information..Mots clés : obligations convertibles, probabilité de conversion

12232Why markets should not necessarily reduce the tick size ?

David Bourghelle, Fan DeclerckMaître de conférence à l'IAE de Lille – Université de Lille 1 ([email protected])Maître de conférence à l'IAE de Toulouse – Université de Toulouse 1 ([email protected])

Résumé : Ce papier étudie l'impact du changement de pas de cotation sur Euronext Paris. Certains titres bénéficient d'unebaisse de l'échelon. Cela induit une baisse de la profondeur sur les meilleures limites. Cependant, contrairement aux résultatsaméricains, il n'y a pas de diminution de la fourchette de prix ni de dégradation de la profondeur cumulée présente en carnet.D'autres titres voient leur pas de cotation augmenter. De manière similaire, cela n'influence pas la fourchette de prix maisaméliore la profondeur sur la meilleure limite. Nous observons enfin que si une large grille de prix encourage les investisseursà soumettre des ordres à cours limité en carnet, une fine grille de prix induit des stratégies d'undercutting plus fréquente..Mots clés : pas de cotation, offre de liquidité, fourchette de prix, profondeur et exposition en carnet.

12233Les Modèles à Facteurs : des variables fondamentales aux facteurs statistiques

Jean-Jacques Lilti, Anthony MiloudiProfesseur à l’IAE de Rennes

Doctorant à l’IAE de Rennes ([email protected])

Résumé : A l’instar des travaux de Berk, nous pensons que le pouvoir explicatif des modèles à facteurs exogènes, fondé surl’approche de Fama et French, s’appuie sur une définition fallacieuse de la taille de la firme. A ce titre, le recours aux modèlesà facteurs endogènes semble être une alternative judicieuse à la mise en place d’un modèle d’évaluation d’actifs robuste.Néanmoinsl’utilisation de telles modélisations dépend de la pertinence des outils statistiques sous-jacents, en matièresd’extraction et d’estimation des facteurs..Mots clés : Modèles à Facteurs, variables fondamentales, Analyse en Facteurs Communs, Analyse en Composantes Principales.

12241Conditions d’émergence et implications stratégiques d’une organisation formelle menant

des opérations d’acquisition – intégration dans une entreprise : le cas LafargeGabriel Guallino

Professeur vacataire de stratégie au Groupe ESC – MARSEILLEEtudiant en thèse au CRET – LOG, Université Aix – Marseille II

Résumé : La multiplication d’opérations de croissance externe dans l’entreprise pose la question de la formalisation de lacompétence acquisition au sein de son organisation. Doit – elle rester un projet ? Peut – on mettre en place une organisationformelle, à l’instar du marketing ou de la logistique ? Le présent article tente d’apporter quelques éléments de réponse avecpour illustration l’évolution de la compétence acquisition / intégration du Groupe Lafarge vers une fonction acquisition /intégration. Cette étude de cas tente aussi de mettre en valeur les implications de cette évolution..Mots clés : Acquisition, Management de l’Intégration Post Acquisition, Intégration Culturelle, Apprentissage, Lafarge, Etude de Cas

12242Les coopérations interentreprises en 2000 et 2001 : état des lieux à partir de l’analyse

d’un échantillon de coopérations et regard sur le lien théorie-pratique en management stratégique

Michèle Heitz, Jean-Pierre DouardMaître de Conférences en Sciences de Gestion, Université de Metz

Maître de Conférences en Sciences de Gestion Université de Metz, Professeur-associé ICN Nancy II

Résumé : Cette contribution porte sur l’analyse d’un échantillon de 80 articles de presse relatant des coopérationsinterentreprises. La démarche est menée comme une expérimentation dont la portée est analysée, d’une part en fonction dulien de théorie-pratique qui s’y développe et, d’autre part, selon sa teneur dans la discipline globale des sciences de gestion..Mots clés : coopération, analyse multidimensionnelle, lien théorie-pratique, management stratégique.


12243Repenser le rôle de la mémoire organisationnelle dans la dynamique d’apprentissage

Marlène Mermoud – ThomassianAllocataire Moniteur, (1ère année de thèse), Université de Nice Sophia Antipolis – IAE de Nice Laboratoire RODIGE (UMR CNRS 60 44)

Résumé : L’apprentissage organisationnel est un thème qui a passionné de nombreux chercheurs dans différentes disciplines,engendrant de nombreux travaux difficiles à synthétiser. Néanmoins, il est commun de distinguer deux approches :behavioriste et cognitive, que nous considérons davantage comme complémentaires qu’antagonistes. L’apprentissageorganisationnel est un phénomène complexe et multidimensionnel. Une meilleure compréhension de ce phénomène doit tenircompte des concepts connexes qui le structurent, comme par exemple : la mémoire organisationnelle. Les auteurs qui se sontintéressés au concept d’apprentissage organisationnel, en précisant qu’il repose sur une mémoire organisationnelle, ontreconnu le rôle central joué par celle-ci. Mais de quel rôle s’agit-il ?

La mémoire organisationnelle a longtemps été appréhendée comme un stock de connaissances. Dans cette acception, lamémoire a pour fonction de normer les comportements, ce qui engendre un apprentissage comportemental ou behavioriste.Toutefois, des recherches récentes sur la mémoire organisationnelle, en montrant qu’elle est à la fois un support de connaissan-ces et un processus, nous conduisent à proposer une reconsidération de son rôle dans l’apprentissage organisationnel.

A partir d’un cas exploratoire, nous allons tenter d’une part, d’enrichir un cadre conceptuel relatif au rôle de la mémoire orga-nisationnelle dans l’apprentissage, et d’autre part, de proposer un modèle d’apprentissage organisationnel « étendu ».

Pour atteindre ces deux objectifs, nous allons dans une première partie, nous intéresser aux outils utilisés en gestion des con-naissances par les praticiens. Nous focaliserons notre intérêt principalement sur un outil, dénommé KM (Knowledge Manage-ment), que nous pouvons qualifier de mixte dans le sens où il est orienté à la fois « connaissances et relations ». Nous verronsque l’outil KM est un support cognitif tangible à portée organisationnelle qui permet la capitalisation des savoirs générés dansl’entreprise, mais aussi le développement de nouvelles connaissances.

Cette étape initiale, nous permettra dans une deuxième partie, de montrer la nécessité de dépasser une approche matérielle etstatique de la mémoire afin de favoriser l’apprentissage organisationnel.

Enfin, dans une troisième partie, nous présenterons un modèle d’apprentissage organisationnel dans lequel la mémoire tientdeux fonctions et où le concept de compétence tient une place importante..Mots clés : mémoire organisationnelle, gestion des connaissances, apprentissage organisationnel, compétences.

12251La contribution des leaders d’opinion au succès des stratégies d’annonce préalable de

lancement de produit : propositions théoriquesLaurent Bertrandias

Allocataire de recherche, CRG-Toulouse, IAE de Toulouse

Résumé : Les annonces préalables de lancement de produit font courir à l’entreprise un risque concurrentiel, qui peut êtretoléré si l’annonce induit des effets positifs sur le marché. Or les annonces sont relativement peu perçues par lesconsommateurs, et les leaders d’opinion durablement impliqués dans la catégorie de produit, ont plus de chance de prendreconnaissance d’un lancement futur. Les flux de communications interpersonnelles qu’ils déclenchent doivent par la suitecontribuer à la préparation du marché au lancement du produit et accélérer sa diffusion..Mots clés : Annonce préalable, leader d’opinion, influence interpersonnelle, implication durable.

12252Gestion de la relation et orientation individu : un nouveau paradigme d’e-commerce et

d’e-management pour fidéliser consommateurs et employés ?Ahlem Abidi, Stéphane Barthe

ATER à l’IAE de Toulouse, CRG-Toulouse-Université Toulouse I, ([email protected])ATER à l’IAE de Toulouse, LIRHE-CRG-Toulouse-Université Toulouse I, ([email protected])

Résumé : Les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication sont-elles à l’origine de nouvelles pratiquesdes entreprises ? C’est bien le cas si l’on en croit les éditeurs de solutions Marketing et Ressources Humaines qui préconisentde centrer l’organisation sur l’individu, respectivement client et employé en utilisant les NTIC. La finalité est alors lafidélisation. Cette communication a pour objet, dans un premier temps, de clarifier les notions de marketing One-to-One, deCRM (Customer Relationship Management) et de personnalisation, développées en marketing pour caractériser l’orientationclient de l’organisation. Dans un second temps, nous étudierons le problématique de la fidélisation des salariés et lacontribution potentielle du recentrage de l’organisation sur les salariés au défi que représente aujourd’hui la fidélité desemployés. Ce cadre d’analyse nous permettra notamment d’étudier l’offre d’applications dites d’ERM (EmployeeRelationship Management) qui se développe sur le marché des solutions informatiques RH..Mots clés : Gestion de la relation client, Gestion de la relation d’emploi, Fidélisation, Personnalisation.


12253Le processus d’apprentissage à l’euro : premiers résultats d’une étude longitudinale

Patricia Coutelle, Blandine Labbe-pinlonMaître de conférences , IAE Tours

Enseignant-chercheur, AUDENCIA Nantes. Ecole de Management

Résumé : Cet article cherche à caractériser les différentes réactions des consommateurs lors de l’adoption de la monnaieunique européenne. Il analyse l’apprentissage du consommateur à l’euro en comparant les résultats d’une étude exploratoiremenée en juin 2001 et ceux de la première vague d’un baromètre euro mis en place dès février 2002 pour suivre les impacts dupassage à l’euro sur les consommateurs. Cet effet d’apprentissage est mis en perspective avec des théories issues de lamémoire et du bilinguisme. Les principaux résultats mettent en évidence un faible apprentissage des consommateurs à l’euroen raison du maintien du double affichage des prix qui les conduit à raisonner encore en franc. La caractérisation desprincipales réactions des consommateurs avec des variables socio-démographiques et attitudinales donne des résultatssignificatifs pour quelques variables : le sexe, l’attitude préalable à l’égard de l’euro, le montant panier d’achat et le mode depaiement..Mots clés : prix, apprentissage, comportement du consommateur, bilinguisme, mémoire

12254La force de l’attitude : clarification conceptuelle et impact au sein du processus

comportementalEtienne Bressoud

Docteur en Sciences de Gestion de l’Université Paris I, Laboratoire OSES - SIM, A.T.E.R. à l’Université Paris II

Résumé : Le concept de force de l’attitude autorise une qualification de l’attitude en lui attachant une dimension nonévaluative. Si son impact sur la relation entre attitude et comportement semble largement admis, sa conceptualisation resteambiguë. Principalement issu des recherches en psychologie, le rôle de la force de l’attitude n’est que rarement intégrée dansun contexte d’achat au sein duquel l’intention prend une place prépondérante. Une étude empirique permet de valider uneconceptualisation bidimensionnelle de la force de l’attitude, fédératrice des conceptualisations antérieures. Son influencemodératrice sur la relation qui unit l’intention au comportement est démontrée dans un contexte d’achat..Mots clés : attitude, intention d’achat, comportement, force de l’attitude, Logit.

12261Quels enjeux théoriques et méthodologiques de la théorie de la gouvernance partenariale

? la privatisation comme illustrationCéline Chatelin

IAE d'Orléans – LOG; IAE Dijon, LATEC – [email protected] et site : http://perso.wanadoo.fr/celine.chatelin (optimisé pour IE5)

Résumé : Une revue des arguments théoriques et des résultats empiriques sur la relation particulière privatisation-performancemontre que l’hypothèse d’accroissement de performance induit par la privatisation est encore très controversée. Nousdéveloppons une approche partenariale de la théorie de la gouvernance et démontrons sa portée explicative dans lacompréhension de la dynamique organisationnelle sous-jacente à la privatisation. En retour, nous statuons sur les perspectivesde développement de cet axe de la théorie de l’architecture organisationnelle, afin d’approfondir notre compréhension de ladynamique organisationnelle dans son acception la plus large..Mots clés : gouvernance, processus décisionnel, efficience, privatisation, valeur partenariale

12262Gestion du résultat et gouvernement d’entreprise

Thomas JeanjeanDoctorant CEREG (Paris IX)

Résumé : Cette communication est une étude empirique de la gestion du résultat des sociétés cotées au premier marché. Lecadre théorique emprunte à la théorie positive et à la gestion par les seuils. L’apport de ce travail tient essentiellement à la priseen compte de l’indépendance du conseil d’administration (proportion d’administrateurs indépendants) comme contrainte à lagestion du résultat. Les résultats empiriques sur un échantillon d’entreprises françaises cotées au premier marché valident cetterelation..Mots clés : gestion du résultat, accruals, incitations, contraintes, conseil d’administration.


12263La répartition de la valeur créée par une entreprise : une question de propriété ou de

légitimité ?Hervé Ndoume Essingone

Assistant à l’Institut National des Sciences de Gestion de Libreville Université Omar Bongo ([email protected])

Résumé : L’article discute d’abord ce qu’il faut entendre par répartir la valeur créée par une entreprise au regard de deuxthèses dominantes, la thèse de la ‘’propriété’’ et celle dite de ‘’légitimité’’. On apprécie ensuite la pratique des entreprises àpartir d’un échantillon de 58 entreprises cotées à la bourse de Paris en s’interrogeant sur le lien éventuel entre la valeur dontbénéficient les actionnaires, déterminée à partir du critère de l’EVA, et les variables de coût de transaction entre l’entreprise etses différents partenaires, lesquelles traduisent la possibilité pour ceux-ci de capter tout ou partie de la valeur dégagée par unefirme. L’étude montre globalement que tous ces partenaires ne restent pas indifférents à la valeur créée par une firme. Ainsi ilimporte pour toute firme d’avoir une stratégie d’optimisation de la répartition de la valeur qui intègre à la fois les actionnaireset les différents stakeholders..Mots clés : valeur- stakeholders- EVA- actionnaires

12271L'apport de la théorie des conventions à la problématique du contrôle interne dans les

banquesGrégory Heem

Maître de Conférences à l’Université Paris XIII – Laboratoire RODIGE UMR CNRS 6044Centre de Recherches en Gestion et Management (CREGEM)

Résumé : Cet article traite de l’évolution du contrôle interne dans les banques françaises. Nous analysons tout d’abordl’apport de la théorie des conventions à la nouvelle problématique du contrôle interne. Enfin nous effectuons une présentationdes conclusions que nous avons pu tirer de l’étude de quatre banques..Mots clés : Banque, contrôle interne, théorie des conventions, institutions

12272Approche institutionnaliste de la syndication bancaire internationale

Jean-Jacques PluchartMaitre de conférences à l’Université de Paris II Panthéon-Assas

Résumé : L’auteur s’efforce de vérifier l’hypothèse selon laquelle l’évolution des règles et des usages de la syndication acontribué à la régulation de la concurrence entre les banques internationales et à la mise en œuvre de leurs stratégiesrespectives face aux nouvelles contraintes des projets internationaux. L’analyses vise à tester, sur le terrain de la finance deprojet, certains construits des approches néo-institutionnalistes des stratégies collectives. Le développement de la syndications’est accompagné d’une double action - substantielle d’organisation et symbolique d’institutionnalisation -, qui a permisd’améliorer l’efficience de la finance de projet en optimisant la fonction « rendement-risque » des groupes bancairest enenvironnement instable et complexe..Mots clés : Alliances stratégiques, coopération-concurrence, management de projet, institutionnalisme, droit des contrats.

12273Les bénéfices privés : une atteinte à l’égalité de traitement des actionnaires

Julien Le MauxAllocataire Moniteur – C.R.E.F.I.B – Université Paris I Panthéon Sorbonne ([email protected])

Résumé : L’égalité de traitement des actionnaires, régi par le code civil français, semble être mise à mal par les nombreusesinterventions juridiques ou médiatiques des actionnaires minoritaires. En effet, ces derniers tentent, par ces moyens, deprouver qu’ils sont lésés par la « coalition de contrôle » de l’entreprise concernée. L’objet de cette communication est deproposer une synthèse des travaux académiques sur ce concept qui connaît un intérêt croissant. Après une définition duconcept principal et des notions accessoires permettant une meilleure maîtrise du premier, nous établissons une revue de lalittérature des principaux résultats empiriques..Mots clés : Bénéfices de contrôle, coalition de contrôle, gouvernement d’entreprise

12281Convergence du modèle H et d'un réseau d'entreprises : étude d'un cas dans l'industrie

automobilePhilippe Kuter, René Freyburger

PRAG, doctorant, IUT ColmarMaître de Conférences, Université de Haute Alsace

Résumé : La recherche en organisations autour des modèles d'Aoki montre que le modèle horizontal (modèle H) est mieuxadapté à un environnement dynamique et évolutif. Les grandes entreprises industrielles, en raison de la complexification des


technologies, recourent de plus en plus à des fournisseurs sous-traitants. Initialement simples exécutants, ces derniers ontévolué vers un rôle de partenaires, intégrés de plus en plus tôt dans la conception du produit. L'organisation de la production,en se fondant alors sur un réseau de partenaires stables, qu'il faut coordonner et animer, revêt alors une forme similaire à celled'un modèle H. Notre article présente un cas de cette nature dans l'industrie automobile. L'objectif initial de cette structure étaitl'amélioration des performances par diffusion et partage de savoir faire, ce qui a été atteint au vu de l'amélioration des ratios deproductivité. Il a également été constaté l'apparition progressive de relations interpersonnelles, voire amicales, qui ont générédes connexions indépendantes de la firme pivot. Mais les ratios sociaux n'évoluent pas aussi favorablement, ce qui représenteun sujet ultérieur de recherches..Mots clés : réseaux, savoir faire, organisation de production, modèles H et V

12282Réseautage et processus d'escalade coopérative : les enseignements du cas Superjouet

Bernard DussucPRAG Economie et gestion, doctorant en sciences de gestion

Résumé : différents signaux nous incitent à investir le champ des relations interentreprises. En effet, les différentes structuresdîtes "en réseau" sont censées offrir aux organisations qui les adoptent de nombreux avantages : réduction des coûts detransaction, réactivité accrue, accroissement des ressources et compétences. Les travaux portant sur cette problématiquedébouchent, peu ou prou, sur le même type de conclusions, à savoir l'intérêt pour les organisations d'alléger leurs structures, dese recentrer sur leur cœur de compétence, tout en développant des relations privilégiées. Or, un examen empirique nous amèneà interroger ce qui apparaît comme une certaine forme de pensée dominante en sciences de gestion : pour ne citer que deuxexemples, les "systèmes spatiaux de petites entreprises" connaissent des difficultés importantes (Bianchi, 1998, [6]), or nesont-ils pas une forme de réseau (Ebers & Jarillo, 1995, [14]) ? D'autre part, de nombreuses recherches mettent en évidencel'importance des opérations de croissance externe (Paturel, 2000, [32]), ce qui se traduit au niveau des systèmes économiquespar des phénomènes de concentration (Chevalier, 2000, [9])..Mots clés : stratégie, coopération, réseau, réseautage, croissance externe

12283Management par la qualité totale (TQM) : relations entre conception de la direction et

pratiques managériales au sein de l’entrepriseJérôme Lérat-Pytlak

ATER - Laboratoire Interdisciplinaire de recherche sur les Ressources Humaines et l’Emploi (LIRHE) – CNRS Centre de Recherches en Gestion (CRG) de l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE) de Toulouse

Université des Sciences Sociales Toulouse

Résumé : L’article présente les résultats d’une recherche théorique et empirique soulevant l’apport transdisciplinaire desconcepts de la stratégie et de la gestion des ressources humaines dans l’identification des prédispositions de l’entreprisecertifiée ISO 9001 à mettre en œuvre le management par la qualité totale (TQM). Les résultats mettent en évidence l’existencede relations explicatives entre la conception TQM du dirigeant, les pratiques managériales de certification et la résolution parl’entreprise des principaux dilemmes managériaux du TQM..Mots clés : stratégie centrée sur les ressources / intention stratégique / management par la qualité totale / certification ISO 9001.


Keywords

AAcceleration.............................................................................11381Accounting ..............................................................................11063Accounting policies .................................................................11123Accounting standards ..............................................................11122Accounting variables ...............................................................12233Accruals...................................................................................12262Actants.....................................................................................12133Action ..........................................................................12012, 12102Activity Based Cost Management ...........................................11262Actors ......................................................................................12133Adequacy to the context of consumption ................................11182Adoption ..................................................................................12202Adoption determinants ............................................................12202Advertisement..........................................................................12142advertising ...............................................................................11091Advertising efficiency .............................................................12141Affect.......................................................................................12143Affective work events..............................................................12223African firms ...........................................................................11132Agro-food industry ..................................................................11053Alliance....................................................................................12272Alternative trading systems .....................................................12122Altruism...................................................................................11212American depositary receipts ..................................................11121Anomalies................................................................................11341Asymmetric information .........................................................11213Attitude ........................................................................12142, 12254Attitude strength ......................................................................12254Audit ............................................................................11361, 12123Authentication .........................................................................12052Authenticity .............................................................................12052Autonomy................................................................................11021

BBalanced scorecard..................................................................11263Bank.............................................................................11142, 12271Banking relationships ..............................................................11211Bankruptcy costs .....................................................................11213Baumol’s law...........................................................................12112Behaviour ................................................................................12254Behavioural finance.................................................................11341Benefits of control ...................................................................12273Bilingualism ............................................................................12253Board .......................................................................................11363Brand association.....................................................................11182Brand extensions .....................................................................11182Budgetary control ....................................................................11261Budgets ....................................................................................11261Business creation, ....................................................................11173Business incubators .................................................................11173Business intelligence ...............................................................11272Business process reengineering...............................................11052Business strategy .....................................................................11171

CC.E.O address ..........................................................................12072CAM-I .....................................................................................11261Capabilities ..............................................................................12112Capital structure...........................................................11071, 11072Career ......................................................................................12211Career plateauing.....................................................................12211Case study....................................................................11142, 12013Catalog shoppers, time styles, .................................................11281Categorization..........................................................................11172Categorization process.............................................................12162Ccognitive component.............................................................11093

Cellular communication ..........................................................11213Change management................................................................11133Clothing industry .....................................................................11332Clusters analysis, .....................................................................11281Coalition of control,.................................................................12273Cognitive aging........................................................................12141Cognitive category...................................................................12162Cognitive component...............................................................11093Cognitive dissonance...............................................................12032Cognitive paradigm .................................................................11172Cognitivism .............................................................................11142Collective goods ......................................................................12112Colour ......................................................................................12143Commitment ............................................................................12043Communication ...........................................................11031, 12133Communities............................................................................12113Community ..............................................................................11231Comparability ..........................................................................11121Comparison between theory and practice................................12183Competencies...11031, 11133, 11211, 11251, 11321, 11323, 12001Competencies Transfer ............................................................12203Competitive rivalry..................................................................11171Conception...............................................................................12101Concertation democracy ..........................................................11081Confidence...............................................................................11081Configurations .........................................................................12101Confirmatory factor analysis ...................................................11281Conflicts of interests................................................................11342Conservatism ...........................................................................11121Constraints ...............................................................................12262Constructionnism.....................................................................11142Constructivism.........................................................................12062Consumer behavior..................................................................12253Consumer Education................................................................12053Consumer satisfaction..............................................................11151Contextualism..........................................................................12062Contract regulation ..................................................................12272Contracts..................................................................................11273Controlling...............................................................................11052Convention...............................................................................11211Convention theory ...................................................................12271Cooperation .....................................................11132, 12132, 12282Cooperation-competition .........................................................12272Coordination processes............................................................11152Corporate control.....................................................................12101Corporate forms.......................................................................11061Corporate governance..............11161, 11162, 12123, 12261, 12273Corporate identity ....................................................................12162Corporate image ......................................................................12162Corporate social responsibility ................................................11371Creation of value. ....................................................................11163Creativity .................................................................................12212Credit spread............................................................................11243Culture .....................................................................................12222Customer..................................................................................12151Customer Relationship Management.......................................12252Customer value ........................................................................11041Customers’ role........................................................................12151

DData Envelopment Analysis ....................................................11032Decision ...........................................................11374, 12012, 12102Decision-making-process ............................................11161, 12261Default risk ..............................................................................11243Delegation................................................................................12181Delivery ...................................................................................11092Depth .......................................................................................11241


Differentiation .........................................................................11172Digitalisation ...........................................................................11143Discipline.................................................................................11021Disconfirmation.......................................................................11151Discourse .................................................................................12072Discursive model .....................................................................12133Dissemination ..........................................................................11262Distributive and procedural justice..........................................12222Diversity ..................................................................................12032Downsizing..............................................................................11043Dual listed companies..............................................................11121

EEarnings management .............................................................12262Economic crisis .......................................................................12072Economic value .......................................................................12021Economic Value Added...........................................................12263Education.....................................................................11063, 11133Effectiveness............................................................................11093Efficiency ........................................................11061, 11161, 12261Efficiency in services activities ...............................................11032Elderly .....................................................................................12141Electronic commerce ...............................................................11092Electronic communication networks .......................................12122e-mail use.................................................................................11232Emotion ...................................................................................12143Emotions..................................................................................12223Employee Relationship Management......................................12252Endogenous and exogenous liquidity......................................11241Enduring involvement .............................................................12251Engineering Procurement and Construction firms (EPC) .......11381Enron .......................................................................................12123Entrepreneurial process ...........................................................12172Entrepreneurship......................................................................11173E-procurement .........................................................................11143Equal opportunities..................................................................12112Equity ......................................................................................12112ERP..........................................................................................11052Ethics ...........................................................................11212, 12222Ethnomethodological...............................................................12212Evaluation....................................................................11183, 11253Event studies................................................................11043, 12173Event study ..............................................................................12023Exchange Traded Funds ..........................................................12083Executive .................................................................................11333Expatriation .............................................................................11133Expectations ............................................................................11282

FFactor analysis .........................................................................12233Factor models ..........................................................................12233Fairness....................................................................................12222Feeding ....................................................................................12153Financial analysts ....................................................................11122Financial cost...........................................................................11212Financial distress .....................................................................11213Financial management of projects...........................................12131Financial reporting...................................................................11121Financial statements ................................................................11123Financing policy ......................................................................11242Firm portal ...............................................................................11231Fit association..........................................................................11182Fit context................................................................................11182France ......................................................................................11313French firms.............................................................................11071French GAAP ..........................................................................11121Future studies...........................................................................11153

GGarbage can .............................................................................12113Glass ceiling ............................................................................11351Governance......................................................11183, 11361, 11363Governmentality ......................................................................11323Group work..............................................................................11221

HH & V models..........................................................................12281Handmade glass and crystal industry ......................................11223Health care insurance...............................................................11153Health care systems organisation ............................................12132Hermes.....................................................................................11311Hidden cost ..............................................................................12021High-tech .................................................................................12201History .....................................................................................12013Home bias ................................................................................11162Hospital....................................................................................12183HRM ............................................................................11223, 11333Hue...........................................................................................12143Human resource management .................................................11223Human resources .....................................................................12161Human resources management................................................11222

II.A.S.........................................................................................11121ICT...........................................................................................11053Identity.....................................................................................11113Implied default probability ......................................................12082Incentives.................................................................................12184Income .....................................................................................11122Incomplete contracts................................................................12181Individual learning...................................................................12032Individual values......................................................................12142Information ..............................................................................12031Information costs .....................................................................11242Information system theory.......................................................11262Information Systems................................................................11052Information systems ................................................................11141Innovation process...................................................................12031Institution.................................................................................12271Institutional factors ..................................................................11071Integrated .................................................................................11263Integrated Strategic Scorecard.................................................11263Integration................................................................................11141Intellectual capital....................................................................11263Interim financial reporting.......................................................11123Internal control ........................................................................12271Internal marketing....................................................................12043International accounting practices ...........................................11121Internationalization..................................................................12172Internet.........................................................................11091, 11332Inter-organizational relationship..............................................12031Inter-organizational Relationships...........................................12203Interpersonal conflict ...............................................................12222Interpersonal influence ............................................................12251Interview..................................................................................11253Interviews ................................................................................11031Intragroup conflic ....................................................................12032Intranet.....................................................................................11231IPO...........................................................................................11342IPOs .........................................................................................11343ISO 9001 certification .............................................................12283

JJob classification......................................................................11323

KKaplan-Meier estimator...........................................................11313Know how................................................................................12281Knowledge...................................................................11142, 11382knowledge based economy......................................................11231Knowledge management .................................11052, 11222, 12031Knowledge Management Systems...........................................12202Knowledge Management, ........................................................12202knowledge production in strategic managemen ......................12101Knowledge production in strategic management ....................12101Knowledge sharing ..................................................................11222

LLayoffs.....................................................................................11043


Learning...................................................................................11132Learning firm...........................................................................12001Learning process......................................................................12253Legal forms..............................................................................11061Leverage ..................................................................................11072Liquidity effect ........................................................................11243Liquidity offer .........................................................................12122Liquidity supply.......................................................................12232Lobbying..................................................................................12173Logistics ..........................................................11092, 11331, 11332Logit ........................................................................................12254Loosely coupled system, .........................................................12113Loyalty.....................................................................................12252Luminance ...............................................................................12143

MManagement ....................................................11063, 12013, 12212Management control....................................................11031, 11261Management of corporations...................................................12101Management practices, ............................................................12211Management tools ...................................................................12133Manager...................................................................................11112Managerial activities ...............................................................11112Managers .................................................................................11113Market depth and order exposure ............................................12232Market efficiency.....................................................................11341Market performance ................................................................11342Marketing ................................................................................12151Marketplaces............................................................................11143Mass-merchandisers ................................................................12042Measurement ...........................................................................11272Mechanism of persuasion. .......................................................12142Mediation.................................................................................12112Mediation democracy ..............................................................11081Memorisation...........................................................................11093Memory .......................................................................12143, 12253Merger .........................................................................11141, 12282Miller .......................................................................................11311Mood........................................................................................12143Moods ......................................................................................12223Multiethnic employees ............................................................11132Multi-group structural equations model ..................................11281Mutual insurance company......................................................12202

NName change ...........................................................................12023Neo-institutionalism ................................................................12272Net sport sponsorship ..............................................................11093Nets..........................................................................................12281Network ...........................................................12102, 12203, 12282Network externalities...............................................................11232Networking ..............................................................................12282Networks..................................................................................12132New product development.......................................................11384Non-profit organizations (NPO)..............................................12184Notation ...................................................................................11253

OOn-line trading.........................................................................12122Open door ................................................................................12222Opinion leader .........................................................................12251Opportunistic behaviour ..........................................................12181Optimal capital structure .........................................................11242Organisation ............................................................................11382Organisational apprenticeship .................................................11221Organisational architecture......................................................11211Organisational learning ...........................................................11231Organisational stress................................................................11333Organization ................................................................11221, 12031Organization development.......................................................12212Organization theory .................................................................11331Organizational architecture theory ..........................................11061Organizational change .....................................11052, 12062, 12133Organizational identification ...................................................12162Organizational innovation .......................................................11251

Organizational learning ...............................................11223, 12001Organizational structure ..........................................................11383Organizational value................................................................12021Origin.......................................................................................12052Over-reaction ...........................................................................11341

PParticipation.............................................................................11081Partnership ...............................................................................11081Pendiscan .................................................................................11032Pension fund ............................................................................12081Perceived service quality .........................................................11151Perception ................................................................................12052Perception of competition........................................................11172Perception of trustworthiness ..................................................12041Perceptual filter........................................................................12142Performance.........................................11041, 11061, 12081, 12173Performances ...............................................................11171, 11251Periodical financial information ..............................................11123Persistence ...............................................................................12081Personalization.........................................................................12252Personnel .................................................................................12161Pizza.........................................................................................11313Planning ...................................................................................12201Plural form...............................................................................11313Political action .........................................................................12173Portfolio choice........................................................................11212Positive agency theory.............................................................11061Post-modernity.........................................................................11282Practice ....................................................................................12113Preannouncement.....................................................................12251Price .........................................................................................12253Primary goods..........................................................................12112Principal component analysis ..................................................12233Principle of difference .............................................................12112Privatization.................................................................11161, 12261Proactive change......................................................................11153Problem resolution...................................................................11221Process .....................................................................................11141Producer-distributor relationship.............................................11332Production organization...........................................................12281Productivism............................................................................12112Productivity, quality, flexibility...............................................11032Professional literature ..............................................................12183Project group............................................................................11383Project management ........................................11052, 11382, 12272Project management, ...............................................................11381Project manager .......................................................................11383Property rights .........................................................................12184Prototypes ................................................................................11384Prrincipal components analysis ...............................................11241Prudence ..................................................................................11121Psychological contract.................................................11333, 12043Psychology...............................................................................11374Public management..............................11082, 12112, 12131, 12211Public sector marketing ...........................................................11183Purchase intention....................................................................12254Purchases .................................................................................11143Purchasing situations ...............................................................11282Put-call parity ..........................................................................12083

RRationality ...............................................................................11374Recruitment .................................................................11321, 12161Regulation................................................................................11273Relational exchange.................................................................12042Relationship life cycle .............................................................12043Relationship marketing............................................................12043Reputation................................................................................12181Research.......................................................................11063, 12113Research strategy.....................................................................11371Research-intervention..............................................................12212Resource Based Theory ...........................................................12203Resource-based view, ..............................................................12283


Restructuring measures ...........................................................11072Return on equity ......................................................................11121Risk..............................................................................12153, 12181Risk management ................................11082, 11163, 11242, 11273Rites.........................................................................................11282Role expectations.....................................................................11113Rusting behaviour in B to B ....................................................12041

SSales.........................................................................................11311Salesman..................................................................................11311Salience....................................................................................12162SAS..........................................................................................11061Satisfaction ..................................................................12051, 12211Saturation.................................................................................12143Saturation effect.......................................................................11091Scandinavian strategic scorecard.............................................11263Scanning ..................................................................................11272Schools ....................................................................................12053Scientificity..............................................................................12013Segmentation ...........................................................................12051Self confidence ........................................................................12153Service .....................................................................................12151Service management................................................................11152Shareholder activism ...............................................................11162Shareholder value creation ......................................................11043Short and long-horizon performance.......................................11341Signaling..................................................................................11343Signalling.................................................................................12023Simulation................................................................................11384Small business .........................................................................12201SME.............................................................................11053, 12172Social identity..........................................................................12162Social justice............................................................................12112Social management..................................................................12112Social norms ............................................................................11232Social practices........................................................................11041Social representations..............................................................11311Social sciences.........................................................................11323Social tie ..................................................................................11363Social value .............................................................................12021Socialization ............................................................................12053Socially responsible investor...................................................11212Socio-economic diagnosis and evaluation...............................12021Software engineering and consultancy....................................11321Sovereign debt .........................................................................12082Specific and systematic liquidity risk......................................11241Speed .......................................................................................11381Sponsored Educational Material (SEM)..................................12053Sponsorship .............................................................................11091Spread ......................................................................................12232Stakeholder value ........................................................11161, 12261Stakeholders ................................................................12183, 12263Standardization ........................................................................11152Stockholder..............................................................................12263Store.........................................................................................11092Strategic alliance .....................................................................12272Strategic changes .....................................................................12131Strategic intent.............................................................11153, 12283Strategic management .....................................11152, 11261, 12183Strategic management accounting...........................................11263Strategic paradigms .................................................................12201Strategic value .........................................................................12021Strategy................................................11021, 11371, 11374, 12282Subsidiarity..............................................................................12112Subsidiarization .......................................................................11061Supply chain ............................................................................11092Supply chain management...........................................11332, 11333Survival analysis......................................................................11313Systemic ..................................................................................12062

TTacit knowledge ......................................................................11223Tax...........................................................................................11063

Technology acceptance model (TAM) ....................................11232Territorial marketing................................................................11081Territorial project.....................................................................11081Territorial solidarity.................................................................11082Tests.........................................................................................11384Tetraclasse model ....................................................................12051Textual statistics ......................................................................12072Theatre .....................................................................................11311Theory of traduction ................................................................11262Tick size...................................................................................12232Time based competition...........................................................11381Time management ...................................................................11112Tontine d’entreprise.................................................................11132Tool of Human Resources Management, ................................11253Top management team.............................................................12032Total quality management .......................................................12283Trading strategy.......................................................................12082Transaction costs .........................................................12083, 12122Translation theory....................................................................11152Transmiter confidence .............................................................12153Transnational management,.....................................................11152Transport..................................................................................12151Transversality ..........................................................................11021Trust.................................................................12041, 12042, 12181Type .........................................................................................11374Typology..................................................................................11272

UUnderpricing............................................................................11343Under-reaction .........................................................................11341United Kingdom ......................................................................12081University investment..............................................................12184US GAAP ................................................................................11121Usefulness................................................................................12013

VValue............................................................................12021, 12263value.........................................................................................11151Value allocation.......................................................................12184Value creation..................................................11041, 11221, 12021Value creation,.........................................................................12184Values ......................................................................................11281Venture capitalism...................................................................11163Vulnerability............................................................................11082

WWeath effect.............................................................................11343Wholly-owned subsidiaries .....................................................11061Willy Loman............................................................................11311Women executives...................................................................11351Work attitudes..........................................................................12223Work behavior .........................................................................11112

YYield to maturity......................................................................12082

Numerics20-F reconciliations .................................................................11121

Les XVI° journées des IAE - Celine...

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