La 1 ère GM = une guerre totale caractérisée par la brutalisation des comportements
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Développement de la chimiothérapie
– « la balle magique » : toxicité sélective
– dérivés arsénicaux• arsphénamine – 606 – Salvarsan® (1910)
• syphilis
Paul Ehrlich (1854-1915)
Développement de la chimiothérapie
• Gerhard Domagk (1927)– IG Farbenindustrie
– sulfamidochrysoïdine
– Protonsil®
• In science, the credit goes to the man who convinces the world, not to the man to whom the idea first occurs »– (Charles Darwin)
Développement de la chimiothérapie
• micro-organismes producteurs– Chloramphénicol
– Néomycine
– Terramycine
– Tétracycline
Benjamin Duggar 1948
Auréomycine
Les familles d’antibiotiques
• 1 – Classement selon– Origine
• Bactéries
–Streptomyces sp
–Micromonospora sp Gentamicine
–Bacillus sp Bacitracine
Polymyxine
Amphotéricine BChloramphénicolÉrythromycineKanamycineRifampicineStreptomycineTétracycline
Les familles d’antibiotiques
• 1 – Classement selon– Origine
• Mycètes–Penicillium sp
Griséofulvine
Pénicilline
–Cephalosporium sp
Céphalosporines
Les familles d’antibiotiques
• 1 – Classement selon– Mode d’action
• Inhibition de la synthèse de la paroi
• Action sur la membrane
• Réplication de l’ADN
• Transcription de l’ADN
• Traduction de l’ARNm (synthèse des protéines)
• Antimétaboliques
Les familles d’antibiotiques
• 1 – Classement selon– Spectre d’action
• Étroit (vancomycine, colimycine, …)
• Large (β-lactamines, sulfamides, …)
Spectre étroit Spectre large
Les familles d’antibiotiques
• 1 – Classement selon– Structure chimique
• Bêta-lactamines• Aminosides• Tétracyclines• Phénicolés• Rifamycines• Polypeptides• Sulfamides• Glycopeptides• Quinolones
Pénicillines
Céphalosporines
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Structure de base
noyau β-lactame + noyau thiazolidine
acide 6-aminopénicillanique
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Mode d’action
• Dégradation peptidoglycane
bactéries en dormance ?
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Toxicité
• bien supportées
• oedème de Quincke (choc anaphylactique)• allergie (10-15 %)• inhibiteurs de β-lactamases qqfois troubles digestifs, vertiges
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Pénicilline G ou benzyl pénicilline
• Penicillium notatum puis P. chrysogenum ou Aspergillus fumigatus
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Pénicilline G ou benzyl pénicilline
• Infections à streptocoques, syphilis,leptospires, gangrène gazeuse
• IV ou IM (instable en milieu acide)
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Pénicilline V ou Oracilline®
• Angine à streptocoque groupe A (10 jours)
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Pénicilline M (Oxacilline, Méticilline)
• Bristopen®, Orbénine®
• Infections à Staphylococcus aureus MéthiS
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Pénicilline A (Ampicilline, Amoxycilline)
• Clamoxyl®, Totapen®, Hiconcil®
• Streptocoques, entérocoques• Listériose• Maladie de Lyme• Pasteurellose
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Pénicilline A + inhibiteur de β-lactamase
• Amoxycilline + acide clavulanique (Augmentin®)
• Infections ORL, respiratoires hautes et basses
• Infections urinaires
• Infections à anaérobies
• Infections polymicrobiennes
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Carboxypénicillines
• Ticarcilline (Ticarpen®)
– Infections à P. aeruginosa
• Ticarcilline + acide clavulanique (Claventin®)
– Infections nosocomiales
– Flore mixte aéro-anaérobie
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Uréidopénicillines
–Mezlocilline (Baypen®)
– Pipéracilline (Piperilline®)
– Infections à P. aeruginosa
– Infections chez neutropénique
– Infections mixtes bacilles à Gram négatif et entérocoques ou streptocoques
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Uréidopénicillines
–Pipéracilline + tazocilline (Tazobactam®)
–Activité élargie
–Infections sévères à flore mixte (péritonite, cellulite, …)
–Infections nosocomiales
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Penems
–Imipénem ou Tiénam®
–Ertapénem ou Invanz ®
–Méropénem ou Méronem ®
–Spectre large BLSE (E. aerogenes)
I - Les bêta-lactamines
• 1 – Les pénicillines– Monobactams
–Aztreonam ou Azactam®
bacilles à Gram négatif : entérobactéries (infections urinaires)
I - Les bêta-lactamines
• 2 – Les céphalosporines– Structure générale
noyau β-lactame + noyau 7-aminocéphalosporanique
I - Les bêta-lactamines
• 2 – Les céphalosporines– Première génération
• Céfalexine/Céfazoline (Céporéxine®/Céfacidal®)
• Infections à Staphylococcus aureus méti-S
I - Les bêta-lactamines
• 2 – Les céphalosporines– Deuxième génération
• Céfuroxime (Zinnat®)
• Céfamandole (Kéfandol®)
• Céfoxitine (Mefoxin®)
• Cefotetan (Apacef®)
Prévention en chirurgie
I - Les bêta-lactamines
• 2 – Les céphalosporines– Deuxième génération
• Infections variées
• Surtout utilisées en prophylaxie de l’infection en chirurgie
I - Les bêta-lactamines
• 2 – Les céphalosporines– Troisième génération
• Céfotaxime (Claforan®)• Ceftriaxone (Rocéphine®)
• Infections sévères ou chez sujet à risque en milieu hospitalier
• Infections graves (méningites) à pneumocoques (Péni I)• Infections graves à entérobactéries
I - Les bêta-lactamines
• 2 – Les céphalosporines– Troisième génération
• Ceftazidime (Fortum®)
• Infections à bacilles à Gram négatif dont P. aeruginosa
I - Les bêta-lactamines
• 2 – Les céphalosporines orales– Troisième génération
– Céfixime (Oroken ®)
Pathologie ORL
Sujets à risques (relais oral – domicile)
I - Les bêta-lactamines
• 2 – Les céphalosporines– Quatrième génération
• Cefsulodine (Pyocefal®)• Infections à P. aeruginosa
II - Les aminosides ou aminoglycosides
• Streptomycine
• Aminosides naturels– Gentamicine– Kanamycine– Tobramycine– Sisomycine
• Aminosides semi-synthétiques– Netilmycine– Dibékacine– Amikacine
II - Les aminosides ou aminoglycosides
• Caractéristiques– Large spectre
– Spectinomycine (Trobicine®)
– Inactifs sur streptocoques et anaérobies
– Cas des endocardites infectieuses (péni G-genta)
II - Les aminosides ou aminoglycosides
• Cinétique– Voie parentérale (IV/IM) 95 %
– Voie orale (décontamination du tube digestif)
– Voie intratéchale (méningites)
– Concentration voies urinaires
II - Les aminosides ou aminoglycosides
• Toxicité– Auditive
• Surdosage• Traitement (+ 10 j)• Atteinte auditive préalable
– Rénale• Surdosage• Traitement (+ 10 j)• Atteinte rénale préalable• Sujet âgé• Déshydratation
III - Les tétracyclines
• Toxicité- tératogène
chez femme enceinte
- contre indiqué chez
enfant de – 8 ans
- troubles digestifs (candidoses)
- photosensibilisation cutanée
- > 10 jours dépôts sur os et dents
III - Les tétracyclines
• Utilisation- brucellose (+ rifampicine)
- pasteurellose
- MST (non gonococciques)
- rickettsioses
- pneumopathies atypiques
- acné (petites doses)
III - Les tétracyclines
• Spécialités- Doxycycline (Vibramycine®/Vibraveineuse®)
- Minocycline (Mynocine®)
IV - Les phénicolés
• Activité- large spectre
- bactériostatique
- fièvre typhoïde
- Thiamphénicol®
• Toxicité– lignées sanguines
V - Les macrolides et apparentés
• Spécialités– Macrolides
• Erythromycine (Erythrocine®)• Roxithromycine (Rulid ®)• Clarithromycine (Zeclar ®)• Azithromycine (Zithromax ®)• Spiramycine (Rovamycine ®)• Josamycine (Josacine ®)
– Apparentés• Clindamycine (Dalacine ®)• Pristinamycine (Pyostacine ®)
V - Les macrolides et apparentés
• Activité– Bactéries à Gram positif
• staphylocoques
• streptocoques (pneumocoques)
– Bactéries à Gram négatif• Haemophilus (ORL)
V - Les macrolides et apparentés
• Indications des macrolides– Alternatives aux β-lactamines (allergie)
• angine à streptocoques
– Femme enceinte
– Bonne diffusion dans poumons• bronchites, pneumopathies
– Infections locales • furoncles, panaris
V - Les macrolides et apparentés
• Indications de la clindamycine (Dalacine®)– Infections à anaérobies
• localisations ostéoarticulaires
– Infections staphylococciques• infections cutanées ou ostéoarticulaires
• Indications de la pristinamycine (Pyostacine®)– Infections à streptocoques– Infections à staphylocoques (même méthi – R)– Infections à pneumocoques (sensibilité diminuée àpénicilline G)
V - Les macrolides et apparentés
• Contre indications– Clindamycine (Dalacine®)
Clostridium difficile
Colite pseudomembraneuse
VI - Les polypeptides
• Polymyxines– Colistine (Colimycine®) : P. aeruginosa (++)
– Gram négatif (sauf Serratia, Proteus)
• Bacitracine
• TyrothricineActivité sur bacilles à Gram positif
VI - Les polypeptides
• Toxicité– Rénale (++)
– Colimycine® rarement par voie systémique
– Bacitracine, Thyrotricine jamais
VII - Les sulfamides
• Structure
Triméthoprime – sulfaméthoxazole
Bactrim®
Empêche synthèse
ADN et ARN
VII - Les sulfamides
• Activité– large spectre
• inactif sur P. aeruginosa
• Stenotrophomonas maltophilia
– voie orale ou parentérale
– bactériostatique
– allergie (++)
– hypoglycémiant
VIII - Nitrofuranes
• Nitrofurantoïne, Furadoïne
• Activité– large spectre
– réservée aux infections urinaires• S. aureus
IX - Les glycopeptides
• Activité– spectre étroit
• bacilles à Gram positif• Entérocoques (VRE)• Staphylococcus aureus
– Bristopen® + Gentamicine–MRSA (40-50%)(+quinolones+aminosides)– VRSA (Japon 1997)– GISA
IX - Les glycopeptides
• Utilisation– voie parentérale
– voie orale (Clostridium difficile)
• Toxicité– rénale
Oxazolidinone
• Linézolide (Zyvoxid®)
• Spectre d’action : bactéries à Gram positif dont– S. aureus (MRSA)
– Enterococcus faecium
– Streptococcus pneumoniae
– Essais contre tuberculose (2005)(MDR-TB)
X - Les quinolones
• Quinolones de 1ere génération– Acide nalidixique (1962) (Negram®)
– Gram négatif
– Infections urinaires
X - Les quinolones
Fluor en 6 du noyau
quinoléine
Noyau aromatique en 7
pipérazine
Spectre :
bacilles à Gram positif
cocci à Gram positif
P.aeruginosa
Activité ++
X - Les quinolones
Quinolones de 2ème génération ou Fluoroquinolones Spectre :
• Staphylococcus méthicilline S
• Entérobactéries (E. coli, Salmonella, Shigella)
• Campylobacter
• Pseudomonas
• Legionella
X - Les quinolones
• Fluoroquinolones– Activité faible ou nulle
• Staphylococcus méthicilline R
• Entérocoques
• Bactéries anaérobies
– Activité variable ou faible• Streptocoques (dont S. pneumoniae)
• Listeria monocytogenes
X - Les quinolones
• Contre indications– Allergie
– Déficit en G6PD
– Femme enceinte (1er trimestre et dernier mois)
– Allaitement
– Enfant de moins de 15 ans (cartilages)
X - Les quinolones
• Précautions d’emploi– Troubles digestifs
– Troubles hépatiques
– Céphalées
– Arthralgies
– Myalgies
X - Les quinolones
Fluoroquinolones Spécialités :
• Péfloxacine (Peflacine®)
• Ofloxacine (Oflocet®)
• Ciprofloxacine (Ciflox®)
• Norfloxacine (Noroxine®)
X - Les quinolones
• Nouvelles Fluoroquinolones – Moxifloxacine (Izilox®)
– Levofloxacine (Tavanic®)
– activité ++/fluoroquinolones classiques
– spectre élargi• Gram positif (S. pneumoniae)
• anaérobies
XI - Fosfomycine
• Structure
• Activité– Staphylocoques méti-R (60% sensibilité)– Action synergique sur staphylocoques avec quinolones, aminosides, vancomycine
– Toujours en association
XI - Fosfomycine
• Spécialité– Fosfocine®
• Administration en IV
• Précautions d’emploi– Surcharge sodé (risque d’hypokaliémie)
– Insuffisant cardiaque ou rénal
XII – Acide fusidique
• Principales indications– Infections staphylococciques généralisées ou localisées (en association si formes sévères)
– Prévention des infections osseuses et des parties molles en traumatologie
XII – Acide fusidique
• Toujours en association si infection sévère– bêta-lactamine– aminoside– fosfomycine– glycopeptide– quinolone– rifampicine
• Risque de sélection de mutants résistants
infections chez brûlés
ostéomyélites chroniques
prothèses
XII – Acide fusidique
• Spécialités– Fucidine®
– Fucithalmic® (gel ophtalmique)
• Précautions d’emploi
XIII – Imidazolés non antifongiques
• Composés– Metronidazole (Flagyl®)
– Ornidazole (Tiberal®)
• Spectre– Bactéries anaérobies
• Bacteroides fragilis, Fusobacterium
• Clostridium perfringens, C. difficile
• Gardnerella vaginalis
XIII – Imidazolés non antifongiques
• Principales indications– Infections à germes anaérobies
– Traitement préventif des anaérobies• Chirurgie colorectale, appendiculaire, gynéco-obstétricale
– Vaginites non spécifiques à Gardnerella et anaérobies associés
– Colite pseudomembraneuse
La vaginose bactérienne est caractérisée par :
• une profonde modification de la flore commensale
du vagin
• avec la quasi disparition des Lactobacilles,
• ainsi qu’un développement anormal de trois types de
micro-organismes: Gardnerella vaginalis, Bacteroides et
différents types d’anaérobies
VAGINOSE BACTERIENNE:
DEFINITION
Vaginose
• La prévalence se situe en France entre 15 et 20 %– 16 - 29 % des femmes enceintes
– 5 - 25 % des femmes âgées entre 17 et 25 ans
– 20 - 60% des consultations d’IST
XIII – Imidazolés non antifongiques
• Vaginite à Gardnerella
vaginalis
– leucorrhée blanchâtre, mousseuse, malodorante
– clue cells (test à la potasse)
– métronidazole :• 1 g/j/7 jours
• renouvellement aux règles suivantes
XIV - Les rifamycines
• Rifamycine SV (Rifocine®)
• Rifampicine • Rifadine®, Rimactan®, Rifinah®(+ isoniazide)
• Tuberculose
• Staphylocoque
• Brucellose
• Portage à méningocoque
jamais en monothérapie
XV – Antituberculeux
• Composés majeurs– rifampicine (Rifadine®, Rimactan®)
– INH isoniazide (Rimifon®)• névrite optique, hépatite, troubles psychiques
– pyrazinamide (Pirilène®)• hépatotoxicité, photoxicité, arthralgies
– éthambutol (Dexambutol®, Myambutol®)• névrite optique, vision des couleurs (rouge et vert)
XV – Antituberculeux
• Composés alternatifs– streptomycine, amikacine
– fluoroquinolones (ofloxacine, ciprofloxacine, lévofloxacine, moxifloxacine)
– rifamycine (rifabutine)
XV – Antituberculeux
• Utilisation très rare (BK multirésistant)– clofazimine
– éthionamide
– PAS
– cyclosérine
– capréomycine
XV – Antituberculeux
• Formes associées– Rifater®
• rifampicine + INH + pyrazinamide
– Rifinah®• rifampicine + INH
Nombre de bactéries/ml (log)
Heures
102
103
104
105
106
107
108
109
T et 0,25 mg/l
0,50 mg/l
1 mg/l
2 mg/l
4 mg/l
8 mg/l
16 mg/l
Nombre de bactéries/ml (log)
Heures
T et 0,25 mg/l
0,50 mg/l
1 mg/l
2 mg/l
4 mg/l
8 mg/l
16 mg/l
Bactériostase
Bactéricidie
Culture en phase exponentielle
de croissance
Dilution
106 bactéries/ml
0 0,25 0,50 1 2 4 8
mg/l d’ampicilline
• Bactéricides β-lactamines
– Vancomycine
– Fosfomycine
– Aminosides
– Quinolones
– Rifamycines
– Polymyxines
– Nitro-imidazolé
• Bactériostatiques– Phénicolés
– Tétracyclines
– Macrolides et apparentés
– Acide fusidique
Na
Gen
Coli
C
Amp
Mueller Hinton 106/ml
18 heures à 37°C
Na
Gen
Coli
C
Amp
Na
Gen
Coli
C
Amp
Diamètre d’inhibition
Méthode par diffusion
Correspondance CMI/diamètre d’inhibition
0
0,06
0,12
1
2
0,25
0,5
16
32
64
4
8
10 14 18 22 26 30 34
Diamètre de la zone d’inhibition, mm
Resistance Intermé
diaire
Sensible
Correspondance CMI/diamètre d’inhibition
0
0,06
0,12
1
2
0,25
0,5
16
32
64
4
8
10 14 18 22 26 30 34
Diamètre de la zone d’inhibition, mm
Resistance Intermé
diaire
Sensible
Mécanismes de résistance
• Modification de la cible– affinité diminuée pour l’antibiotique (PBP)
• Accès à la cible entravée– déficit de la pénétration de l’antibiotique– mécanisme d’efflux
• Modification ou destruction enzymatique– bêta-lactamases– aminosides– chloramphénicol acétyltransférase
Conclusion
• Recherche de nouveaux antibiotiques (?)
• Développement de la prévention (+++)– Connaissance des caractéristiques des bactéries (prévention : hygiène antisepsie, désinfection, …)
– Particularités des réservoirs humains et de l’environnement
• Maîtrise de la prescription (+++)