Les datations géologiques

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Les datations géologiques Cours de Terminale S Datations relatives et absolues 1 mercredi 21 mars 12

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Les datations géologiquesCours de Terminale S

Datations relatives et absolues

1mercredi 21 mars 12

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Révisions

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Révisions

2mercredi 21 mars 12

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Révisions

2mercredi 21 mars 12

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Révisions

2mercredi 21 mars 12

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Révisions

2mercredi 21 mars 12

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Révisions

2mercredi 21 mars 12

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Révisions

2mercredi 21 mars 12

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Révisions¤ Lithosphère océanique

2mercredi 21 mars 12

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Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte

2mercredi 21 mars 12

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Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros

2mercredi 21 mars 12

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Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

2mercredi 21 mars 12

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Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

¤ Expansion océanique

2mercredi 21 mars 12

Page 14: Les datations géologiques

Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

¤ Expansion océanique¤ Convergence / Divergence / convection mantellique

2mercredi 21 mars 12

Page 15: Les datations géologiques

Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

¤ Expansion océanique¤ Convergence / Divergence / convection mantellique¤ Dorsales

2mercredi 21 mars 12

Page 16: Les datations géologiques

Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

¤ Expansion océanique¤ Convergence / Divergence / convection mantellique¤ Dorsales¤ Zones de subduction

2mercredi 21 mars 12

Page 17: Les datations géologiques

Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

¤ Expansion océanique¤ Convergence / Divergence / convection mantellique¤ Dorsales¤ Zones de subduction¤ Zones de collision continentale

2mercredi 21 mars 12

Page 18: Les datations géologiques

Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

¤ Expansion océanique¤ Convergence / Divergence / convection mantellique¤ Dorsales¤ Zones de subduction¤ Zones de collision continentale

¤ Nature des roches + Exemples

2mercredi 21 mars 12

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Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

¤ Expansion océanique¤ Convergence / Divergence / convection mantellique¤ Dorsales¤ Zones de subduction¤ Zones de collision continentale

¤ Nature des roches + Exemples¤ Volcaniques : basalte : structure microcristalline

2mercredi 21 mars 12

Page 20: Les datations géologiques

Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

¤ Expansion océanique¤ Convergence / Divergence / convection mantellique¤ Dorsales¤ Zones de subduction¤ Zones de collision continentale

¤ Nature des roches + Exemples¤ Volcaniques : basalte : structure microcristalline¤ Magmatique : granite ou péridotites : structure grenue

2mercredi 21 mars 12

Page 21: Les datations géologiques

Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

¤ Expansion océanique¤ Convergence / Divergence / convection mantellique¤ Dorsales¤ Zones de subduction¤ Zones de collision continentale

¤ Nature des roches + Exemples¤ Volcaniques : basalte : structure microcristalline¤ Magmatique : granite ou péridotites : structure grenue¤ Sédimentaire : calcaire, argiles, marnes, grès… pas de cristal

2mercredi 21 mars 12

Page 22: Les datations géologiques

Révisions¤ Lithosphère océanique

¤ Basalte¤ Gabbros¤ Péridotites

¤ Expansion océanique¤ Convergence / Divergence / convection mantellique¤ Dorsales¤ Zones de subduction¤ Zones de collision continentale

¤ Nature des roches + Exemples¤ Volcaniques : basalte : structure microcristalline¤ Magmatique : granite ou péridotites : structure grenue¤ Sédimentaire : calcaire, argiles, marnes, grès… pas de cristal¤ Métamorphiques : schistes, ardoises : cristallisation lors du métamorphisme

2mercredi 21 mars 12

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Pourquoi dater ?

3mercredi 21 mars 12

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Pourquoi dater ?

¤ Classer

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Pourquoi dater ?

¤ Classer

¤ Reconstituer une histoire, dans un ordre bien précis¤ Evènements – très anciens¤ Dates ou périodes – de très longue durée

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Pourquoi dater ?

¤ Classer

¤ Reconstituer une histoire, dans un ordre bien précis¤ Evènements – très anciens¤ Dates ou périodes – de très longue durée

¤ Echelles de temps : ¤ Géologique : millions ou milliards d’années¤ Historique : milliers d’années¤ Générationnel : 30 années

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Deux types de datations

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Deux types de datations

¤ La datation relative

4mercredi 21 mars 12

Page 29: Les datations géologiques

Deux types de datations

¤ La datation relative¤ Dater les évènements les uns par rapport aux autres

4mercredi 21 mars 12

Page 30: Les datations géologiques

Deux types de datations

¤ La datation relative¤ Dater les évènements les uns par rapport aux autres¤ Des plus anciens aux plus récents

4mercredi 21 mars 12

Page 31: Les datations géologiques

Deux types de datations

¤ La datation relative¤ Dater les évènements les uns par rapport aux autres¤ Des plus anciens aux plus récents¤ Nécessité absolue d’un témoin ou d’un pivot

4mercredi 21 mars 12

Page 32: Les datations géologiques

Deux types de datations

¤ La datation relative¤ Dater les évènements les uns par rapport aux autres¤ Des plus anciens aux plus récents¤ Nécessité absolue d’un témoin ou d’un pivot

¤ La datation absolue

4mercredi 21 mars 12

Page 33: Les datations géologiques

Deux types de datations

¤ La datation relative¤ Dater les évènements les uns par rapport aux autres¤ Des plus anciens aux plus récents¤ Nécessité absolue d’un témoin ou d’un pivot

¤ La datation absolue¤ Date plus ou moins précise de survenue d’un événement

4mercredi 21 mars 12

Page 34: Les datations géologiques

Deux types de datations

¤ La datation relative¤ Dater les évènements les uns par rapport aux autres¤ Des plus anciens aux plus récents¤ Nécessité absolue d’un témoin ou d’un pivot

¤ La datation absolue¤ Date plus ou moins précise de survenue d’un événement ¤ Durée plus ou moins précise d’une période

4mercredi 21 mars 12

Page 35: Les datations géologiques

Deux types de datations

¤ La datation relative¤ Dater les évènements les uns par rapport aux autres¤ Des plus anciens aux plus récents¤ Nécessité absolue d’un témoin ou d’un pivot

¤ La datation absolue¤ Date plus ou moins précise de survenue d’un événement ¤ Durée plus ou moins précise d’une période¤ Calibrage nécessaire

4mercredi 21 mars 12

Page 36: Les datations géologiques

Deux types de datations

¤ La datation relative¤ Dater les évènements les uns par rapport aux autres¤ Des plus anciens aux plus récents¤ Nécessité absolue d’un témoin ou d’un pivot

¤ La datation absolue¤ Date plus ou moins précise de survenue d’un événement ¤ Durée plus ou moins précise d’une période¤ Calibrage nécessaire¤ Base : décomposition d’isotopes radioactifs et modélisation

mathématique

4mercredi 21 mars 12

Page 37: Les datations géologiques

La datation relative

5mercredi 21 mars 12

Page 38: Les datations géologiques

La datation relative¤ 4 principes fondateurs

5mercredi 21 mars 12

Page 39: Les datations géologiques

La datation relative¤ 4 principes fondateurs

¤ Principe de superposition

5mercredi 21 mars 12

Page 40: Les datations géologiques

La datation relative¤ 4 principes fondateurs

¤ Principe de superposition¤ Une couche quelconque est évidemment plus récente que la

couche qu’elle recouvre et plus ancienne que la couche qui la recouvre

5mercredi 21 mars 12

Page 41: Les datations géologiques

La datation relative¤ 4 principes fondateurs

¤ Principe de superposition¤ Une couche quelconque est évidemment plus récente que la

couche qu’elle recouvre et plus ancienne que la couche qui la recouvre

¤ En zone non tectonique, peu plissée ou faillée

5mercredi 21 mars 12

Page 42: Les datations géologiques

La datation relative¤ 4 principes fondateurs

¤ Principe de superposition¤ Une couche quelconque est évidemment plus récente que la

couche qu’elle recouvre et plus ancienne que la couche qui la recouvre

¤ En zone non tectonique, peu plissée ou faillée¤ Seulement pour les roches sédimentaires ou volcaniques

5mercredi 21 mars 12

Page 43: Les datations géologiques

La datation relative¤ 4 principes fondateurs

¤ Principe de superposition¤ Une couche quelconque est évidemment plus récente que la

couche qu’elle recouvre et plus ancienne que la couche qui la recouvre

¤ En zone non tectonique, peu plissée ou faillée¤ Seulement pour les roches sédimentaires ou volcaniques

5mercredi 21 mars 12

Page 44: Les datations géologiques

La datation relative¤ 4 principes fondateurs

¤ Principe de superposition¤ Une couche quelconque est évidemment plus récente que la

couche qu’elle recouvre et plus ancienne que la couche qui la recouvre

¤ En zone non tectonique, peu plissée ou faillée¤ Seulement pour les roches sédimentaires ou volcaniques

¤ Principe de recoupement

5mercredi 21 mars 12

Page 45: Les datations géologiques

La datation relative¤ 4 principes fondateurs

¤ Principe de superposition¤ Une couche quelconque est évidemment plus récente que la

couche qu’elle recouvre et plus ancienne que la couche qui la recouvre

¤ En zone non tectonique, peu plissée ou faillée¤ Seulement pour les roches sédimentaires ou volcaniques

¤ Principe de recoupement¤ Un ensemble de structures géologiques recoupées ou

déformées par le ou les mêmes évènements sont antérieures à l’événement; si l’une d’entre elle n’est pas modifiée par l’événement, sa création doit être postérieure.

5mercredi 21 mars 12

Page 46: Les datations géologiques

La datation relative¤ 4 principes fondateurs

¤ Principe de superposition¤ Une couche quelconque est évidemment plus récente que la

couche qu’elle recouvre et plus ancienne que la couche qui la recouvre

¤ En zone non tectonique, peu plissée ou faillée¤ Seulement pour les roches sédimentaires ou volcaniques

¤ Principe de recoupement¤ Un ensemble de structures géologiques recoupées ou

déformées par le ou les mêmes évènements sont antérieures à l’événement; si l’une d’entre elle n’est pas modifiée par l’événement, sa création doit être postérieure.

¤ Recoupées : déformations cassantes : failles, intrusions, filons¤ Déformées : déformations souples : plissements

5mercredi 21 mars 12

Page 47: Les datations géologiques

La datation relative – suite

6mercredi 21 mars 12

Page 48: Les datations géologiques

La datation relative – suite

¤ Disposition géométrique des strates¤ Discordance angulaire = joints de stratification non

parallèles entre eux¤ Interruption de sédimentation

6mercredi 21 mars 12

Page 49: Les datations géologiques

La datation relative – suite

¤ Disposition géométrique des strates¤ Discordance angulaire = joints de stratification non

parallèles entre eux¤ Interruption de sédimentation

¤ Principe de continuité

6mercredi 21 mars 12

Page 50: Les datations géologiques

La datation relative – suite

¤ Disposition géométrique des strates¤ Discordance angulaire = joints de stratification non

parallèles entre eux¤ Interruption de sédimentation

¤ Principe de continuité ¤ Deux strates éloignées dans l’espace peuvent être datées de

la même période si elles sont comprises entre les mêmes strates repaires

6mercredi 21 mars 12

Page 51: Les datations géologiques

La datation relative – suite

¤ Disposition géométrique des strates¤ Discordance angulaire = joints de stratification non

parallèles entre eux¤ Interruption de sédimentation

¤ Principe de continuité ¤ Deux strates éloignées dans l’espace peuvent être datées de

la même période si elles sont comprises entre les mêmes strates repaires

¤ Utilisation de fossiles repaires également

6mercredi 21 mars 12

Page 52: Les datations géologiques

La datation relative – suite

¤ Disposition géométrique des strates¤ Discordance angulaire = joints de stratification non

parallèles entre eux¤ Interruption de sédimentation

¤ Principe de continuité ¤ Deux strates éloignées dans l’espace peuvent être datées de

la même période si elles sont comprises entre les mêmes strates repaires

¤ Utilisation de fossiles repaires également¤ Les roches peuvent être de nature différente

¤ Conditions de sédimentation différente¤ Evolution de la roche différente selon l’environnement

6mercredi 21 mars 12

Page 53: Les datations géologiques

La datation relative – suite 2

7mercredi 21 mars 12

Page 54: Les datations géologiques

La datation relative – suite 2 ¤ Principe d’identité paléontologique

¤ Utilisation de fossiles stratigraphiques

¤ Ayant vécu dans une zone étendue et un temps restreint

¤ Comparaison des âges de strates distantes

¤ Chronologie relative d’autant plus précise que le nombre de fossiles retrouvés, analysés et datés est important

7mercredi 21 mars 12

Page 55: Les datations géologiques

La datation relative – suite 2 ¤ Principe d’identité paléontologique

¤ Utilisation de fossiles stratigraphiques

¤ Ayant vécu dans une zone étendue et un temps restreint

¤ Comparaison des âges de strates distantes

¤ Chronologie relative d’autant plus précise que le nombre de fossiles retrouvés, analysés et datés est important

¤ Les 4 principes permettent d’établir un calendrier géologique, un ensemble d’évènements qui se sont déroulés dans une région donnée, en un temps donné

7mercredi 21 mars 12

Page 56: Les datations géologiques

La datation relative – suite 2 ¤ Principe d’identité paléontologique

¤ Utilisation de fossiles stratigraphiques

¤ Ayant vécu dans une zone étendue et un temps restreint

¤ Comparaison des âges de strates distantes

¤ Chronologie relative d’autant plus précise que le nombre de fossiles retrouvés, analysés et datés est important

¤ Les 4 principes permettent d’établir un calendrier géologique, un ensemble d’évènements qui se sont déroulés dans une région donnée, en un temps donné

¤ Calendrier de référence : Echelle Stratigraphique Internationale des Temps Géologiques

7mercredi 21 mars 12

Page 57: Les datations géologiques

La datation relative – suite 2 ¤ Principe d’identité paléontologique

¤ Utilisation de fossiles stratigraphiques

¤ Ayant vécu dans une zone étendue et un temps restreint

¤ Comparaison des âges de strates distantes

¤ Chronologie relative d’autant plus précise que le nombre de fossiles retrouvés, analysés et datés est important

¤ Les 4 principes permettent d’établir un calendrier géologique, un ensemble d’évènements qui se sont déroulés dans une région donnée, en un temps donné

¤ Calendrier de référence : Echelle Stratigraphique Internationale des Temps Géologiques

¤ On appelle STRATOTYPE l’ensemble des noms donnés aux périodes successives

7mercredi 21 mars 12

Page 58: Les datations géologiques

La datation relative – suite 2 ¤ Principe d’identité paléontologique

¤ Utilisation de fossiles stratigraphiques

¤ Ayant vécu dans une zone étendue et un temps restreint

¤ Comparaison des âges de strates distantes

¤ Chronologie relative d’autant plus précise que le nombre de fossiles retrouvés, analysés et datés est important

¤ Les 4 principes permettent d’établir un calendrier géologique, un ensemble d’évènements qui se sont déroulés dans une région donnée, en un temps donné

¤ Calendrier de référence : Echelle Stratigraphique Internationale des Temps Géologiques

¤ On appelle STRATOTYPE l’ensemble des noms donnés aux périodes successives

7mercredi 21 mars 12

Page 59: Les datations géologiques

La datation relative – suite 2 ¤ Principe d’identité paléontologique

¤ Utilisation de fossiles stratigraphiques

¤ Ayant vécu dans une zone étendue et un temps restreint

¤ Comparaison des âges de strates distantes

¤ Chronologie relative d’autant plus précise que le nombre de fossiles retrouvés, analysés et datés est important

¤ Les 4 principes permettent d’établir un calendrier géologique, un ensemble d’évènements qui se sont déroulés dans une région donnée, en un temps donné

¤ Calendrier de référence : Echelle Stratigraphique Internationale des Temps Géologiques

¤ On appelle STRATOTYPE l’ensemble des noms donnés aux périodes successives

7mercredi 21 mars 12

Page 60: Les datations géologiques

La datation relative – suite 2 ¤ Principe d’identité paléontologique

¤ Utilisation de fossiles stratigraphiques

¤ Ayant vécu dans une zone étendue et un temps restreint

¤ Comparaison des âges de strates distantes

¤ Chronologie relative d’autant plus précise que le nombre de fossiles retrouvés, analysés et datés est important

¤ Les 4 principes permettent d’établir un calendrier géologique, un ensemble d’évènements qui se sont déroulés dans une région donnée, en un temps donné

¤ Calendrier de référence : Echelle Stratigraphique Internationale des Temps Géologiques

¤ On appelle STRATOTYPE l’ensemble des noms donnés aux périodes successives

7mercredi 21 mars 12

Page 61: Les datations géologiques

La datation relative – suite 2 ¤ Principe d’identité paléontologique

¤ Utilisation de fossiles stratigraphiques

¤ Ayant vécu dans une zone étendue et un temps restreint

¤ Comparaison des âges de strates distantes

¤ Chronologie relative d’autant plus précise que le nombre de fossiles retrouvés, analysés et datés est important

¤ Les 4 principes permettent d’établir un calendrier géologique, un ensemble d’évènements qui se sont déroulés dans une région donnée, en un temps donné

¤ Calendrier de référence : Echelle Stratigraphique Internationale des Temps Géologiques

¤ On appelle STRATOTYPE l’ensemble des noms donnés aux périodes successives

7mercredi 21 mars 12

Page 62: Les datations géologiques

La datation relative – suite 2 ¤ Principe d’identité paléontologique

¤ Utilisation de fossiles stratigraphiques

¤ Ayant vécu dans une zone étendue et un temps restreint

¤ Comparaison des âges de strates distantes

¤ Chronologie relative d’autant plus précise que le nombre de fossiles retrouvés, analysés et datés est important

¤ Les 4 principes permettent d’établir un calendrier géologique, un ensemble d’évènements qui se sont déroulés dans une région donnée, en un temps donné

¤ Calendrier de référence : Echelle Stratigraphique Internationale des Temps Géologiques

¤ On appelle STRATOTYPE l’ensemble des noms donnés aux périodes successives

7mercredi 21 mars 12

Page 63: Les datations géologiques

Datation absolue : radiochronologie

8mercredi 21 mars 12

Page 64: Les datations géologiques

Datation absolue : radiochronologie

¤ Indices biologiques : cernes des arbres

8mercredi 21 mars 12

Page 65: Les datations géologiques

Datation absolue : radiochronologie

¤ Indices biologiques : cernes des arbres

¤ Indices géologiques : couches annuelles de matériaux sédimentés

8mercredi 21 mars 12

Page 66: Les datations géologiques

Datation absolue : radiochronologie

¤ Indices biologiques : cernes des arbres

¤ Indices géologiques : couches annuelles de matériaux sédimentés

¤ Indices radioactifs : présents naturellement à l’état de traces pour certains éléments chimiques

¤ 40Ar/40K¤ 14C/12C¤ 87Ru/Sr

8mercredi 21 mars 12

Page 67: Les datations géologiques

Datation absolue : radiochronologie

¤ Indices biologiques : cernes des arbres

¤ Indices géologiques : couches annuelles de matériaux sédimentés

¤ Indices radioactifs : présents naturellement à l’état de traces pour certains éléments chimiques

¤ 40Ar/40K¤ 14C/12C¤ 87Ru/Sr

¤ Isotope radioactifs -> éléments stables + radiations¤ Élément père radioactif -> élément fils stable

8mercredi 21 mars 12

Page 68: Les datations géologiques

Datation absolue : radiochronologie

¤ Indices biologiques : cernes des arbres

¤ Indices géologiques : couches annuelles de matériaux sédimentés

¤ Indices radioactifs : présents naturellement à l’état de traces pour certains éléments chimiques

¤ 40Ar/40K¤ 14C/12C¤ 87Ru/Sr

¤ Isotope radioactifs -> éléments stables + radiations¤ Élément père radioactif -> élément fils stable

8mercredi 21 mars 12

Page 69: Les datations géologiques

Datation absolue : radiochronologie

¤ Indices biologiques : cernes des arbres

¤ Indices géologiques : couches annuelles de matériaux sédimentés

¤ Indices radioactifs : présents naturellement à l’état de traces pour certains éléments chimiques

¤ 40Ar/40K¤ 14C/12C¤ 87Ru/Sr

¤ Isotope radioactifs -> éléments stables + radiations¤ Élément père radioactif -> élément fils stable

8mercredi 21 mars 12

Page 70: Les datations géologiques

Dégradation des isotopes radioactifs

9mercredi 21 mars 12

Page 71: Les datations géologiques

Dégradation des isotopes radioactifs

¤ Quelle que soit la quantité de matière radioactive à un instant donné, il faut le même temps pour que la quantité radioactive soit divisée par deux

9mercredi 21 mars 12

Page 72: Les datations géologiques

Dégradation des isotopes radioactifs

¤ Quelle que soit la quantité de matière radioactive à un instant donné, il faut le même temps pour que la quantité radioactive soit divisée par deux¤ PERIODE RADIOACTIVE caractéristique d’une espèce chimique

9mercredi 21 mars 12

Page 73: Les datations géologiques

Dégradation des isotopes radioactifs

¤ Quelle que soit la quantité de matière radioactive à un instant donné, il faut le même temps pour que la quantité radioactive soit divisée par deux¤ PERIODE RADIOACTIVE caractéristique d’une espèce chimique

¤ La comparaison d’éléments radioactifs dans un échantillon ou entre échantillons permet de dater précisément quand à commencé la décomposition et donc de dater précisément de la formation de l’échantillon

9mercredi 21 mars 12

Page 74: Les datations géologiques

Dégradation des isotopes radioactifs

¤ Quelle que soit la quantité de matière radioactive à un instant donné, il faut le même temps pour que la quantité radioactive soit divisée par deux¤ PERIODE RADIOACTIVE caractéristique d’une espèce chimique

¤ La comparaison d’éléments radioactifs dans un échantillon ou entre échantillons permet de dater précisément quand à commencé la décomposition et donc de dater précisément de la formation de l’échantillon¤ Utilisation de spectromètres de masse : analyse de la différence

de composition des atomes

9mercredi 21 mars 12

Page 75: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

10mercredi 21 mars 12

Page 76: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage

10mercredi 21 mars 12

Page 77: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche

10mercredi 21 mars 12

Page 78: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche¤ NI FUITE NI APPORT : système fermé

10mercredi 21 mars 12

Page 79: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche¤ NI FUITE NI APPORT : système fermé

¤ Roches magmatique : fin de cristallisation

10mercredi 21 mars 12

Page 80: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche¤ NI FUITE NI APPORT : système fermé

¤ Roches magmatique : fin de cristallisation¤ Roches volcaniques : refroidissement de surface immédiat

10mercredi 21 mars 12

Page 81: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche¤ NI FUITE NI APPORT : système fermé

¤ Roches magmatique : fin de cristallisation¤ Roches volcaniques : refroidissement de surface immédiat¤ Roches sédimentaires : échanges environnementaux : système ouvert =

impossible

10mercredi 21 mars 12

Page 82: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche¤ NI FUITE NI APPORT : système fermé

¤ Roches magmatique : fin de cristallisation¤ Roches volcaniques : refroidissement de surface immédiat¤ Roches sédimentaires : échanges environnementaux : système ouvert =

impossible¤ Roches métamorphiques : fin de la cristallisation

10mercredi 21 mars 12

Page 83: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche¤ NI FUITE NI APPORT : système fermé

¤ Roches magmatique : fin de cristallisation¤ Roches volcaniques : refroidissement de surface immédiat¤ Roches sédimentaires : échanges environnementaux : système ouvert =

impossible¤ Roches métamorphiques : fin de la cristallisation

¤ Choix de l’isotope en fonction de

10mercredi 21 mars 12

Page 84: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche¤ NI FUITE NI APPORT : système fermé

¤ Roches magmatique : fin de cristallisation¤ Roches volcaniques : refroidissement de surface immédiat¤ Roches sédimentaires : échanges environnementaux : système ouvert =

impossible¤ Roches métamorphiques : fin de la cristallisation

¤ Choix de l’isotope en fonction de ¤ la date présumée de fermeture du système

10mercredi 21 mars 12

Page 85: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche¤ NI FUITE NI APPORT : système fermé

¤ Roches magmatique : fin de cristallisation¤ Roches volcaniques : refroidissement de surface immédiat¤ Roches sédimentaires : échanges environnementaux : système ouvert =

impossible¤ Roches métamorphiques : fin de la cristallisation

¤ Choix de l’isotope en fonction de ¤ la date présumée de fermeture du système¤ La période de demi-vie de l’espèce chimique (concentration dans

l’échantillon divisée par deux)

10mercredi 21 mars 12

Page 86: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche¤ NI FUITE NI APPORT : système fermé

¤ Roches magmatique : fin de cristallisation¤ Roches volcaniques : refroidissement de surface immédiat¤ Roches sédimentaires : échanges environnementaux : système ouvert =

impossible¤ Roches métamorphiques : fin de la cristallisation

¤ Choix de l’isotope en fonction de ¤ la date présumée de fermeture du système¤ La période de demi-vie de l’espèce chimique (concentration dans

l’échantillon divisée par deux)¤ Plus le nombre de demi vies est faible, plus la fiabilité et la précision de

l’analyse seront importantes

10mercredi 21 mars 12

Page 87: Les datations géologiques

Méthode d’analyse

¤ Echantillonnage¤ Date à laquelle les isotopes ont été piégés dans la roche¤ NI FUITE NI APPORT : système fermé

¤ Roches magmatique : fin de cristallisation¤ Roches volcaniques : refroidissement de surface immédiat¤ Roches sédimentaires : échanges environnementaux : système ouvert =

impossible¤ Roches métamorphiques : fin de la cristallisation

¤ Choix de l’isotope en fonction de ¤ la date présumée de fermeture du système¤ La période de demi-vie de l’espèce chimique (concentration dans

l’échantillon divisée par deux)¤ Plus le nombre de demi vies est faible, plus la fiabilité et la précision de

l’analyse seront importantes

ATTENTION CEPENDANT :

FAIBLE QUANTITE d'ELEMENTS MESURES

CONTAMINATION DU SYSTEME PAR INTRO APRES FERMETURE

10mercredi 21 mars 12

Page 88: Les datations géologiques

3 ISOTOPES PRINCIPAUX

11mercredi 21 mars 12

Page 89: Les datations géologiques

3 ISOTOPES PRINCIPAUX¤ 14C : adaptée aux périodes récentes (période radioactive de 5370

ans)

11mercredi 21 mars 12

Page 90: Les datations géologiques

3 ISOTOPES PRINCIPAUX¤ 14C : adaptée aux périodes récentes (période radioactive de 5370

ans)¤ A utiliser pour des durées de 50 000 ans max

11mercredi 21 mars 12

Page 91: Les datations géologiques

3 ISOTOPES PRINCIPAUX¤ 14C : adaptée aux périodes récentes (période radioactive de 5370

ans)¤ A utiliser pour des durées de 50 000 ans max¤ Ne peut être réalisée que sur de la matière organique (matière vivante)

composée de C

11mercredi 21 mars 12

Page 92: Les datations géologiques

3 ISOTOPES PRINCIPAUX¤ 14C : adaptée aux périodes récentes (période radioactive de 5370

ans)¤ A utiliser pour des durées de 50 000 ans max¤ Ne peut être réalisée que sur de la matière organique (matière vivante)

composée de C¤ Fabriqué dans la haute atmosphère à partir de l'N

11mercredi 21 mars 12

Page 93: Les datations géologiques

3 ISOTOPES PRINCIPAUX¤ 14C : adaptée aux périodes récentes (période radioactive de 5370

ans)¤ A utiliser pour des durées de 50 000 ans max¤ Ne peut être réalisée que sur de la matière organique (matière vivante)

composée de C¤ Fabriqué dans la haute atmosphère à partir de l'N

¤ 14C/12C est constante chez tous les organismes et dans tous les milieux échangeant CO2 et atmosphère

11mercredi 21 mars 12

Page 94: Les datations géologiques

3 ISOTOPES PRINCIPAUX¤ 14C : adaptée aux périodes récentes (période radioactive de 5370

ans)¤ A utiliser pour des durées de 50 000 ans max¤ Ne peut être réalisée que sur de la matière organique (matière vivante)

composée de C¤ Fabriqué dans la haute atmosphère à partir de l'N

¤ 14C/12C est constante chez tous les organismes et dans tous les milieux échangeant CO2 et atmosphère¤ A la mort, l'incorporation de 14C s'arrête : on est alors en système fermé, et

la désintégration commence...

11mercredi 21 mars 12

Page 95: Les datations géologiques

3 ISOTOPES PRINCIPAUX¤ 14C : adaptée aux périodes récentes (période radioactive de 5370

ans)¤ A utiliser pour des durées de 50 000 ans max¤ Ne peut être réalisée que sur de la matière organique (matière vivante)

composée de C¤ Fabriqué dans la haute atmosphère à partir de l'N

¤ 14C/12C est constante chez tous les organismes et dans tous les milieux échangeant CO2 et atmosphère¤ A la mort, l'incorporation de 14C s'arrête : on est alors en système fermé, et

la désintégration commence...¤ On calcule l'âge de l'échantillon en supposant que le rapport 14C/12C

naturel est resté le même pendant les derniers 50 000 ans.

11mercredi 21 mars 12

Page 96: Les datations géologiques

3 ISOTOPES PRINCIPAUX¤ 14C : adaptée aux périodes récentes (période radioactive de 5370

ans)¤ A utiliser pour des durées de 50 000 ans max¤ Ne peut être réalisée que sur de la matière organique (matière vivante)

composée de C¤ Fabriqué dans la haute atmosphère à partir de l'N

¤ 14C/12C est constante chez tous les organismes et dans tous les milieux échangeant CO2 et atmosphère¤ A la mort, l'incorporation de 14C s'arrête : on est alors en système fermé, et

la désintégration commence...¤ On calcule l'âge de l'échantillon en supposant que le rapport 14C/12C

naturel est resté le même pendant les derniers 50 000 ans.

¤ Mesure des quantités résiduelles de 14C (élément père) dans l'échantillon : ARCHEOLOGIE

11mercredi 21 mars 12

Page 97: Les datations géologiques

3 ISOTOPES PRINCIPAUX¤ 14C : adaptée aux périodes récentes (période radioactive de 5370

ans)¤ A utiliser pour des durées de 50 000 ans max¤ Ne peut être réalisée que sur de la matière organique (matière vivante)

composée de C¤ Fabriqué dans la haute atmosphère à partir de l'N

¤ 14C/12C est constante chez tous les organismes et dans tous les milieux échangeant CO2 et atmosphère¤ A la mort, l'incorporation de 14C s'arrête : on est alors en système fermé, et

la désintégration commence...¤ On calcule l'âge de l'échantillon en supposant que le rapport 14C/12C

naturel est resté le même pendant les derniers 50 000 ans.

¤ Mesure des quantités résiduelles de 14C (élément père) dans l'échantillon : ARCHEOLOGIE

11mercredi 21 mars 12

Page 98: Les datations géologiques

La méthode potassium / argon

12mercredi 21 mars 12

Page 99: Les datations géologiques

La méthode potassium / argon

¤ 40K / 40Ar

12mercredi 21 mars 12

Page 100: Les datations géologiques

La méthode potassium / argon

¤ 40K / 40Ar¤ roches beaucoup plus anciennes :

12mercredi 21 mars 12

Page 101: Les datations géologiques

La méthode potassium / argon

¤ 40K / 40Ar¤ roches beaucoup plus anciennes :

¤ 40K se désintègre en donnant de l'40Ar avec une période de 1,31 Ga

12mercredi 21 mars 12

Page 102: Les datations géologiques

La méthode potassium / argon

¤ 40K / 40Ar¤ roches beaucoup plus anciennes :

¤ 40K se désintègre en donnant de l'40Ar avec une période de 1,31 Ga

¤ Quantité initiale de 40K inconnue… mais 40Ar initiale = 0 !!

12mercredi 21 mars 12

Page 103: Les datations géologiques

La méthode potassium / argon

¤ 40K / 40Ar¤ roches beaucoup plus anciennes :

¤ 40K se désintègre en donnant de l'40Ar avec une période de 1,31 Ga

¤ Quantité initiale de 40K inconnue… mais 40Ar initiale = 0 !!¤ on mesure la quantité d'élément fils 40Ar de l’échantillon

(avant la fermeture du système, l'Ar est libéré dans le milieu)

12mercredi 21 mars 12

Page 104: Les datations géologiques

La méthode potassium / argon

¤ 40K / 40Ar¤ roches beaucoup plus anciennes :

¤ 40K se désintègre en donnant de l'40Ar avec une période de 1,31 Ga

¤ Quantité initiale de 40K inconnue… mais 40Ar initiale = 0 !!¤ on mesure la quantité d'élément fils 40Ar de l’échantillon

(avant la fermeture du système, l'Ar est libéré dans le milieu)

¤ Attention : risques de contamination car bcp d'40Ar dans la nature... mais richesse des roches en K!

12mercredi 21 mars 12

Page 105: Les datations géologiques

La méthode potassium / argon

¤ 40K / 40Ar¤ roches beaucoup plus anciennes :

¤ 40K se désintègre en donnant de l'40Ar avec une période de 1,31 Ga

¤ Quantité initiale de 40K inconnue… mais 40Ar initiale = 0 !!¤ on mesure la quantité d'élément fils 40Ar de l’échantillon

(avant la fermeture du système, l'Ar est libéré dans le milieu)

¤ Attention : risques de contamination car bcp d'40Ar dans la nature... mais richesse des roches en K!

12mercredi 21 mars 12

Page 106: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

13mercredi 21 mars 12

Page 107: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium

13mercredi 21 mars 12

Page 108: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens

13mercredi 21 mars 12

Page 109: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens¤ 87Ru : demi-vie de 50Ga : méthode des PLUS UTILISEES!!!

13mercredi 21 mars 12

Page 110: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens¤ 87Ru : demi-vie de 50Ga : méthode des PLUS UTILISEES!!!¤ Minimum pour détection : 100 Ma… : ne convient pas à des

évènements « modernes »

13mercredi 21 mars 12

Page 111: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens¤ 87Ru : demi-vie de 50Ga : méthode des PLUS UTILISEES!!!¤ Minimum pour détection : 100 Ma… : ne convient pas à des

évènements « modernes »

¤ Quantités initiales inconnues d’éléments père et fils

13mercredi 21 mars 12

Page 112: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens¤ 87Ru : demi-vie de 50Ga : méthode des PLUS UTILISEES!!!¤ Minimum pour détection : 100 Ma… : ne convient pas à des

évènements « modernes »

¤ Quantités initiales inconnues d’éléments père et fils¤ Résolution graphique par une droite isochrone

13mercredi 21 mars 12

Page 113: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens¤ 87Ru : demi-vie de 50Ga : méthode des PLUS UTILISEES!!!¤ Minimum pour détection : 100 Ma… : ne convient pas à des

évènements « modernes »

¤ Quantités initiales inconnues d’éléments père et fils¤ Résolution graphique par une droite isochrone¤ Pente de la droite dépend du temps écoulé : âge de

l’échantillon déterminé

13mercredi 21 mars 12

Page 114: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens¤ 87Ru : demi-vie de 50Ga : méthode des PLUS UTILISEES!!!¤ Minimum pour détection : 100 Ma… : ne convient pas à des

évènements « modernes »

¤ Quantités initiales inconnues d’éléments père et fils¤ Résolution graphique par une droite isochrone¤ Pente de la droite dépend du temps écoulé : âge de

l’échantillon déterminé

13mercredi 21 mars 12

Page 115: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens¤ 87Ru : demi-vie de 50Ga : méthode des PLUS UTILISEES!!!¤ Minimum pour détection : 100 Ma… : ne convient pas à des

évènements « modernes »

¤ Quantités initiales inconnues d’éléments père et fils¤ Résolution graphique par une droite isochrone¤ Pente de la droite dépend du temps écoulé : âge de

l’échantillon déterminé

13mercredi 21 mars 12

Page 116: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens¤ 87Ru : demi-vie de 50Ga : méthode des PLUS UTILISEES!!!¤ Minimum pour détection : 100 Ma… : ne convient pas à des

évènements « modernes »

¤ Quantités initiales inconnues d’éléments père et fils¤ Résolution graphique par une droite isochrone¤ Pente de la droite dépend du temps écoulé : âge de

l’échantillon déterminé

13mercredi 21 mars 12

Page 117: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens¤ 87Ru : demi-vie de 50Ga : méthode des PLUS UTILISEES!!!¤ Minimum pour détection : 100 Ma… : ne convient pas à des

évènements « modernes »

¤ Quantités initiales inconnues d’éléments père et fils¤ Résolution graphique par une droite isochrone¤ Pente de la droite dépend du temps écoulé : âge de

l’échantillon déterminé

13mercredi 21 mars 12

Page 118: Les datations géologiques

Rubidium Rb / Strontium Sr

¤ Rubidium / Strontium¤ mesure des âges plus anciens¤ 87Ru : demi-vie de 50Ga : méthode des PLUS UTILISEES!!!¤ Minimum pour détection : 100 Ma… : ne convient pas à des

évènements « modernes »

¤ Quantités initiales inconnues d’éléments père et fils¤ Résolution graphique par une droite isochrone¤ Pente de la droite dépend du temps écoulé : âge de

l’échantillon déterminé

13mercredi 21 mars 12