Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01...

21
DOSSIER DE PRESSE 22 OCTOBRE 2009 Les carburants E.Leclerc : Un process qualité exemplaire depuis plus de 30 ans

Transcript of Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01...

Page 1: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

DOSSIER DE PRESSE 22 OCTOBRE 2009

Les carburants E.Leclerc : Un process qualité exemplaire

depuis plus de 30 ans

Page 2: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 2

Sommaire du dossier de presse

- Communiqué de presse de synthèse – Principaux faits & chiffres……………………..... p.3

- E.Leclerc multiplie les points de contrôle sur toute la chaîne d’approvisionnement

pour garantir un carburant de qualité………………………………………………….... p.5

- Le réseau et les performances des stations-service E.Leclerc…………………………... p.8

- E.Leclerc, premier distributeur de carburants verts en France…………………………. p.10

- La SIPLEC, l’outil d’approvisionnement de produits pétroliers du Mouvement

E.Leclerc……………………………………………………………………………............ p.11

- E.Leclerc et les carburants : une histoire de combat……………………………………. p.12

- Annexes : Fiches qualité……………………………………………………………........... p.13

Page 3: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 3

Communiqué de presse

22 octobre 2009

Les carburants E.Leclerc : Un process qualité exemplaire depuis plus de 30 ans

Les stations-service E.Leclerc constituent le 3ème réseau de distribution de carburant en

France en volume avec une part de marché de 9,67% (pétroliers et grande distribution).

Cette part de marché atteint 22% sur le seul marché des GMS1. Première enseigne de la

grande distribution à s’être lancée sur le marché de carburants, E.Leclerc compte

aujourd’hui 526 stations-service (516 au sein de centres E.Leclerc et 10 sur autoroute) et

réalise 70% de ses ventes sur le gazole et 30% sur l’essence.

En 2008, près de 179 millions de pleins (sur la base d’un plein moyen de 30 litres) ont été

effectués dans les stations-service de l’enseigne. Un véritable succès commercial qui

témoigne de la confiance qu’accordent les automobilistes à l’enseigne E.Leclerc.

E.Leclerc, via la SIPLEC (Société d’Importation E.Leclerc, outil d’approvisionnement de

produits pétroliers du Mouvement E.Leclerc), attache une importance toute particulière à la

chaîne d’approvisionnement et de contrôle de ses carburants.

En complément des certificats de conformité et des certificats d'analyses fournis

systématiquement à chaque livraison par ses fournisseurs, la SIPLEC réalise des campagnes

bimensuelles de contrôles qualité des carburants E.Leclerc dans l’ensemble des 43 dépôts où

elle s’approvisionne et effectue ainsi, via trois laboratoires indépendants certifiés COFRAC,

3 000 prélèvements et 30 000 points d'analyses par an. En bout de chaîne, les stations-

service sont elles aussi soumises à un cahier des charges strict, notamment sur la bonne

tenue des cuves de stockage. Grâce à ce plan de contrôle qualité rigoureux, la SIPLEC a

atteint en 2008 un excellent taux de conformité des points analysés, de l’ordre de 99,83%.

L’histoire de E.Leclerc et des carburants remonte à 1979. Après 467 procès, l’enseigne, via

sa société d’importation de produits pétroliers, la SIPLEC, obtenait enfin en 1985

l’autorisation de distribuer du carburant à prix E.Leclerc, mettant ainsi fin à plusieurs

décennies de monopole des compagnies pétrolières. Depuis, E.Leclerc (via la SIPLEC) est

devenu le deuxième opérateur pétrolier national derrière Total et le premier opérateur en

GMS avec près de 8 millions de m3 de carburants et combustibles vendus en 20081.

------------------------- 1 source CPDP 2008

Page 4: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 4

E.Leclerc et les carburants – Dates & chiffres clefs

> E.Leclerc, une enseigne pionnière

! 1979 : l’enseigne s’attaque au monopole des compagnies pétrolières et crée la

SIPLEC (Société d’Importation E.Leclerc) afin de pouvoir vendre l’essence à prix

E.Leclerc.

! 1985 : le gouvernement libère le prix des carburants, victoire pour E.Leclerc et les

consommateurs, après 467 procès.

! 1990 : premier distributeur à s’implanter sur le réseau autoroutier sur l’aire de Dijon

Brognon (A31).

! 1994 : aux côtés de la SIPLEC, les centres E.Leclerc réalisent la première

incorporation de produits d’origine agricole dans des carburants classiques, type sans

plomb ou gazole.

! 2004 : E.Leclerc incorpore pour la première fois de l’éthanol pur dans le

supercarburant sans-plomb 95.

! 2005 : E.Leclerc est le premier opérateur pétrolier à approvisionner une pompe de

Superéthanol E85 (DDE de la Marne).

! 2008 : en décembre, E.Leclerc est le premier à répercuter immédiatement à la

pompe la baisse du prix du marché en faisant passer, pour la première fois depuis

quatre ans, le SP95 et le gazole sous la barre des un euros le litre.

> Les chiffres clefs de l’année 2008

Les stations-service E.Leclerc

- 3ème réseau de distribution de carburant en France en volume

- Parts de marché volume: 9,67% (pétrolier et GMS) et 22% sur le seul marché des GMS

- 526 stations-service dont :

" 516 au sein de centres E.Leclerc

" 10 stations autoroutières - Aires : Haut Koenigsbourg (67), Achères Ouest (77),

Achères Est (77), Niort Canepetière (79), Niort Chateaudrie (79), Garonne (82),

Toulouse Sud (31), Vidauban (83), L’Estérel (83) et Dijon Brognon (21)

- Répartition des ventes : 70% gazole / 30% essence

- Près de 179 millions de pleins (sur la base d’un plein moyen de 30 litres) sont effectués

dans les stations-service de l’enseigne E.Leclerc

La SIPLEC

- CA : 7 milliards d’euros

- 7,9 millions de m3 de carburants et combustibles

- Parts de marché (volume): 17% pour l’essence / 13% pour le gazole

- 30 salariés (département Energies)

- 1100 stations-service livrées aux enseignes E.Leclerc, Système U, Colruyt Dats 24

(Colruyt) et IDS (Kuwait Petroleum)

- Flotte captive : approvisionnement exclusif de la RATP depuis début 2008

Page 5: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 5

E.Leclerc multiplie les points de contrôle sur toute la chaîne d’approvisionnement pour garantir un carburant de qualité

Avant d’arriver dans le réservoir des voitures des automobilistes, le carburant fait l’objet de

nombreux contrôles tout au long de la filière d’approvisionnement. En provenance des pays

producteurs, le pétrole brut est d’abord traité dans les raffineries européennes. On appelle

«raffinage» l'ensemble des opérations visant à transformer le pétrole brut extrait du

gisement en produits utilisables. Passé cette étape, le carburant est ensuite livré aux dépôts

pétroliers.

- Le dépôt pétrolier : maillon central de la chaîne d’approvisionnement et

de contrôle des carburants

E.Leclerc (SIPLEC) s’approvisionne via 43 dépôts à travers toute la France. Le rôle de ces

dépôts est de réceptionner, stocker et expédier les produits pétroliers de leurs clients qui

sont très souvent multiples : les enseignes de grande distribution (GMS), les pétroliers

(Total, Shell…) et autres distributeurs indépendants.

Le carburant qui arrive par bateau, train ou oéloduc jusqu’au dépôt est un carburant dit

« banalisé ». Quelque soit l’opérateur (pétrolier ou GMS), il s’agit du même carburant.

E.Leclerc entrepose d'ailleurs très souvent ses produits dans les mêmes dépôts et les mêmes

bacs que les raffineurs.

Concernant la livraison de carburant par voie maritime, aucun navire ne peut décharger sans

avoir à son bord un certificat de qualité conforme aux spécifications en vigueur (cf. annexes)

qui répondent aux normes européenne EN590 et EN228. Un échantillon "moyen bord",

c’est-à-dire dans chaque cuve du navire, est systématiquement prélevé à bord au port de

chargement mais également avant déchargement du navire, pour être analysé afin de

s’assurer de la conformité du produit livré.

Concernant la livraison par oléoduc, au départ des raffineries, le produit est contrôlé en

continu dans les bacs d'expédition. La société de transport par oléoduc prélève

systématiquement des échantillons au départ et à l'arrivée de l'oléoduc. Ces contrôles

portent sur tous les points de spécifications exigées par les normes européennes (cf.

annexes).

Concernant la livraison par train, comme pour les oléoducs, un échantillon est

systématiquement prélevé à l’arrivée.

Le carburant est ensuite stocké dans des bacs, d’une capacité variable, mais le plus souvent

d’environ 20 000 m3.

Page 6: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 6

Les camions-citernes envoyés par les différents opérateurs (pétroliers, GMS) se présentent

au dépôt pour charger leur

commande. Cette étape est

entièrement informatisée afin d’éviter

toute confusion lors du remplissage

des camions. C’est au moment du

chargement du camion-citerne que le

carburant, jusque-là toujours banalisé,

reçoit des additifs spécifiques à chaque

opérateur. Ces additifs représentent à

peine 0,001% de la composition finale

du carburant.

Plateforme de chargement des camions – Dépôt Rubis Terminal de Rouen

E.Leclerc incorpore l’additif D3061 fourni par la société INNOSPEC qui améliore la qualité

et la performance du carburant : détergence accrue, anti-mousse, stabilité, anti-corrosion,

protection spécifique des injecteurs HSDI, protection contre la contamination

bactériologique.

- La SIPLEC va au-delà des certificats de conformité et d'analyse transmis

par ses fournisseurs

E.Leclerc attache une importance toute particulière à la chaîne d’approvisionnement et de

contrôle de ses carburants.

Au-delà des certificats de conformité ou certificats d'analyse qui

sont fournis systématiquement à chaque livraison par ses

fournisseurs, la SIPLEC réalise des campagnes bimensuelles de

contrôles qualité dans l’ensemble des 43 dépôts où elle

s’approvisionne. Les prélèvements et les analyses sont réalisés par

trois laboratoires indépendants mandatés et certifiés COFRAC

(association chargée de l'accréditation des laboratoires, organismes

certificateurs et d'inspection) : SGS-Ogc, ETSA-Saybolt, ITS-Caleb

Brett. La SIPLEC effectue ainsi 3 000 prélèvements et 30 000 points

d'analyses par an (exemples de points de contrôle : teneur au froid,

point de trouble, tension vapeur, point d'éclair etc...). Tous ces

échantillons sont conservés en moyenne pendant trois mois dans une oléothèque (cf. image)

En bout de chaîne, les stations-service, qui elles aussi sont soumises à un cahier des charges

strict. Le produit pétrolier arrivant dans les cuves est donc certifié conforme aux normes

qualité en vigueur.

Page 7: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 7

Afin de garantir un stockage de qualité en station-service, l’enseigne E.Leclerc a mis en place

un référentiel qualité qui porte notamment sur les points suivants :

- Les cuves de gazole sont nettoyées au minimum une fois tous les 3 ans et les autres

cuves au minimum une fois tous les 5 ans.

- Des tests de détection d’eau sont réalisés sur les cuves à une fréquence définie au

minimum une fois par mois.

- Des prélèvements sont réalisés sur les cuves et sont analysés par un

organisme extérieur au minimum une fois tous les 6 mois (aspect de

produit en fond de cuve, mesure eau libre, recherche des micro-

organismes aérobies sur le gazole...). Les résultats des analyses sont affichés.

Grâce à ce plan de contrôle qualité rigoureux, E.Leclerc atteint, en 2008, un excellent taux

de conformité des points analysés, de l’ordre de 99,83%.

Trois questions à Jean-Philippe Laillé, Directeur des Terminaux de Rouen

1. Quel est le rôle d’un dépôt pétrolier dans la filière « carburant » Notre métier consiste à stocker des produits pétroliers qui restent la propriété de nos clients. A la charnière entre les fonctions d’approvisionnement et de distribution, le dépôt est utilisé par tous les opérateurs du marché : centrales d’achats de la grande distribution, opérateurs indépendants, raffineurs, traders. Le dépôt de stockage, dont la localisation géographique est un facteur clé, permet : - d’organiser la distribution vers les points de consommation (stations-service). - d’assurer la sécurité et la diversité des approvisionnements entre les ressources locales, nationales et l’importation. - de réaliser préalablement à la mise sur le marché des opérations d’additivation des produits, soit en incorporant des additifs de performance, soit par des mélanges avec des biocarburants : ester méthylique d’huile végétale pour le gazole, ou l’éthanol pour l’essence. 2. Quelles sont les différentes étapes de stockage? On distingue 3 grandes étapes dans le stockage : la réception, le stockage et l’expédition.

- La réception : la position géographique du dépôt pétrolier conditionne les modes de réception massive des produits. La Seine offre au port de Rouen un extraordinaire accès maritime à l’intérieur des terres, au plus proche des zones de consommation des produits. Les contrôles et les analyses effectués lors de cette étape sont cruciaux pour le terminal, puisque c’est à ce moment-là que s’effectue le transfert des responsabilités sur le produit, tant sur la qualité que sur la quantité. Dès le produit déchargé dans nos cuves, le dépôt en devient alors le garant, responsable de la restitution en qualité et en quantité du produit confié par le client.

- Le stockage : les volumes importants stockés dans les dépôts nécessitent avant toute chose une vigilance extrême pour assurer la sécurité des personnes et des biens. Les produits sont stockés dans des cuves adaptées aux contraintes de sécurité, de suivi qualitatif et quantitatif des produits. Au cours du stockage, l’exploitant du dépôt effectue des contrôles quotidiens pour s’assurer du suivi qualitatif des produits stockés parallèlement aux remplissages et vidanges des bacs.

- L’expédition : le dépôt s’assure préalablement que le produit en bac est conforme aux spécifications techniques avant la mise à la consommation. Les sorties des produits peuvent s’effectuer par camion (pour approvisionner les stations-service) mais aussi par train, par barge ou par pipeline pour transfert vers un autre dépôt. A titre d’exemple, ce sont près de 100.000 automobilistes chaque jour qui font le plein de leur voiture avec des carburants issus de notre terminal de Rouen.

3. Quelle est la place allouée aux contrôles qualité ? Les contrôles qualité sont omniprésents à chaque étape : réception, stockage et expédition. Le suivi quotidien de certains critères techniques des produits (densité, point éclair…) garantit leur intégrité. De plus, les installations sont conçues pour réduire au maximum le risque de mélange accidentel entre produits. Compte tenu de l’importance des volumes et des flux concernés, la garantie du maintien en qualité du produit est une obsession quotidienne dans un dépôt pétrolier Les contrôles qualité font partie intégrante de notre métier au quotidien.

Page 8: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 8

Le réseau et les performances des stations-service E.Leclerc

- E.Leclerc, 3ème distributeur de carburant en France

Depuis les premières tentatives d’ouverture de stations-service il y a 40 ans et de sa

première station autoroutière en 1990 à Dijon-Brognon, le réseau de l’enseigne s’est

considérablement développé. Il est aujourd’hui constitué de 516 stations-service en magasins

et 10 stations autoroutières (soit au total 4,14% des stations-service en France et 10,96%

des stations en GMS).

La part de marché volume de l’enseigne E.Leclerc représente 9,67 % du marché de gros

(pétroliers, GMS) et 22% sur le seul marché des GMS1. Les stations-service E.Leclerc

réalisent 70% de leurs ventes en gazole et 30% en essence.

Aujourd’hui, la grande distribution est le leader de la distribution de carburants en France.

Bien que possédant moins de stations-service que les pétroliers et indépendants réunis

(4796 vs 79032), la grande distribution s’octroie 58 % du marché de l’essence (en volume) 2,

dont 9,67% pour E.Leclerc. Cela signifie que sur 10 litres vendus aux automobilistes, près de

6 litres sont approvisionnés par les GMS.

En 2008, près de 179 millions de pleins (sur la base d’un plein moyen de 30 litres) sont

effectués dans les 526 stations-service de l’enseigne E.Leclerc. Soit un volume moyen des

ventes annuelles par station de 10 200 m3, soit 340 000 pleins de 30 litres par station par

an. Un véritable gage de confiance de la part des automobilistes.

Page 9: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 9

- Une politique prix performante et pionnière

Pionnier dans la lutte pour la libéralisation du prix du carburant, E.Leclerc doit aussi son

succès à une politique de prix agressive et performante. Ainsi, en décembre 2008, E.Leclerc

est le premier à répercuter immédiatement à la pompe la baisse du prix du marché en

faisant passer, pour la première fois depuis quatre ans, le SP95 et le gazole sous la barre des

un euros le litre. E.Leclerc se distingue également tous les ans par son opération prix

coûtant carburant lors du chassé-croisé de juillet-août.

Au-delà des opérations promotionnelles, l’enseigne E.Leclerc propose les prix les plus bas

toute l’année. Au 15 octobre 2009, en station E.Leclerc, le prix du gazole était de 0,9845 !/l

(moyenne 221 stations) alors que chez Total il s’élevait à 1,0898 (moyenne 546 stations),

soit un écart non négligeable de 10,53 centimes3.

Focus composition du prix d’un litre de carburant2

------------------------- 1 source CPCP 2008 2 source UFIP 3 source site www.prix-carburants.gouv.fr

En France, au 25 septembre 2009,

les taxes (TVA, TIPP) représentent

66% du prix à la pompe pour le SP

95 et 59% pour la gazole. Viennent

ensuite le coût du pétrole brut

(Brent) et son raffinage, puis la

marge du distributeur (comprenant

notamment les coûts liés au

transport, au stockage en dépôt, à

l’incorporation des additifs, à la

logistique d’approvisionnement et

de fonctionnement en station-

service).

Page 10: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 10

E.Leclerc, premier distributeur de carburants verts en France

Aujourd’hui, 516 centres E.Leclerc disposent d’une station-service offrant des carburants

verts : supercarburants additivés d’éthanol, contenant 5 % à 10% d’additifs d’origine agricole

(SP95-E10), Superéthanol (E85) et gazole additivé à 7% d’ester méthylique d’huile végétale.

En portant cet effort sur la majeure partie de son réseau, l’enseigne E.Leclerc se montre très

déterminée dans le développement de cette nouvelle énergie.

Premier distributeur à vouloir faire avancer le développement d’énergies vertes pour lutter

contre l’effet de serre, les centres E. Leclerc ont permis de démocratiser l’accès aux

carburants verts.

C’est en 1994, aux côtés de la SIPLEC, que l’enseigne réalise la première incorporation de

produits d’origine agricole dans des carburants classiques, type sans plomb ou gazole. Une

nouvelle voie est ouverte, celle des biocarburants ! Mais l’enseigne ne s’arrête pas là.

En 2004, elle bouscule le monde pétrolier en incorporant pour la première fois de l’éthanol

pur dans le supercarburant sans-plomb 95.

Puis en 2007, dès l’autorisation de la vente de Superéthanol (E85) aux particuliers, les

Centres E.Leclerc sont les premiers à ouvrir des pompes dans leurs propres stations-service,

tout comme pour le SP 95 E10 en avril 2009.

Dans un contexte de développement des carburants verts toujours soutenu par le Ministère

de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement Durable et de la Mer, et suite au récent

rapport de l’ADEME sur l’analyse de cycle de vie appliquée aux biocarburants de première

génération consommés en France qui conclut à un bilan énergétique et environnemental des

biocarburants nettement favorable par rapport aux carburants fossiles, l’enseigne E.Leclerc

continue son combat en rendant accessible à tous une énergie alternative. A terme, toutes

les stations-service de l’enseigne distribueront uniquement ce type de carburant.

Page 11: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 11

La SIPLEC, l’outil d’approvisionnement de produits pétroliers du Mouvement E.Leclerc

Créée en 1979, la SIPLEC - Société d’Importation E.Leclerc - est le bras armé du

mouvement E.Leclerc dans ses achats à l’international. Spécialisée à l’origine dans l’import de

produits pétroliers dans un contexte de lutte contre le monopole des grandes compagnies

pétrolières, la SIPLEC a propulsé le réseau E.Leclerc au second rang de la distribution de

carburants en France.

Avec près de 8 millions de m3 de carburants et combustibles vendus en 20081, la SIPLEC fait

partie des opérateurs incontournables du marché français avec 17% de parts de marché sur

l’essence et 13% sur le gazole. Le volume qu’elle traite correspond aux ventes de carburants

en France des 526 stations-service E.Leclerc et des 620 stations-service Système U qui

s’approvisionnent tous les jours via 43 dépôts pétroliers (par exemple : Picoty à la Rochelle,

EPG à Bordeaux, Dépôts Pétroliers de Fos à Marseille, Rubis Terminal à Rouen). La SIPLEC

gère un stock quotidien en dépôt de 200 000 m3 de carburants.

Sur le marché de gros, tous opérateurs confondus (pétroliers et GMS), la SIPLEC est

seconde derrière TOTAL et devance Esso, BP ainsi que Shell. Sur le marché de gros en

GMS (en millions de m3), la SIPLEC (E.Leclerc / Système U) est le premier opérateur,

devant Carrefour / Champion (5,1), Les Mousquetaires (4,2), Cora/Géant Casino (2,4) et

Auchan (2,3)1.

La SIPLEC fournit également les stations-service de DATS 24 (Colruyt) et IDS (Kuwait

Petroleum) et approvisionne en exclusivité en gazole les 4 200 bus de la RATP depuis 2 ans.

Afin de pouvoir garantir un approvisionnement continu de tout son réseau, la SIPLEC

bénéficie d’une logistique importante :

! 43 dépôts pétroliers

! 463 000 m3 de capacité de stockage

! 338 navires par an

! 950 camions par jour

! 3 700 000 m3 par pipeline

Forte de son expertise en matière de produits pétroliers, la SIPLEC a élargi son champ

d’action à l’importation de produits alimentaires et manufacturés, ainsi qu’à la gestion de

produit à marque propre. ------------------------- 1 source CPDP 2008

Page 12: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 12

E.Leclerc et les carburants : une histoire de combat

L’histoire du Mouvement E.Leclerc est intimement liée à ses combats dénonçant les atteintes

portées au droit de la concurrence, de la libre-entreprise et du libre-choix des

consommateurs.

Aussi, le Mouvement E.Leclerc n’a jamais hésité à se lancer dans des batailles juridiques, à

s’attaquer à des lobbies, pour faire tomber les monopoles et les clauses abusives de la

distribution sélective. Le premier combat sur le carburant contre les compagnies pétrolières

constitue un véritable symbole.

En 1979, pour fournir une essence moins chère au consommateur, l’enseigne s’attaque au

monopole des compagnies pétrolières et crée la SIPLEC (Société d’Importation E.Leclerc)

afin de pouvoir vendre l’essence à prix E.Leclerc. Amorcée dans les années 1970, la bataille

de l’essence s’achève 15 ans plus tard, en septembre 1985. Le gouvernement libère le prix

des carburants, victoire pour E.Leclerc et les consommateurs, après 467 procès.

Publicité de 1986

Page 13: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

Service de presse E.Leclerc – T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : [email protected] 13

ANNEXES

Page 14: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

SPECIFICATIONS DOUANIERES ADMINISTRATIVES INTERSYNDICALES(cf notas)

REFERENCES Loi Arrêté Arrêtén° 66-923 du 01/03/76 23/12/1999 et 05/02/04, 11/05/04 et 26/11/08

du 14/12/66

J.O. J.O. J.O.du 15/12/66 du 31/03/76 29/12/1999 et 28/02/04, 03/06/04 et 01/01/09

REFERENCE METHODE D’ESSAI Décision DGEC du 03/06/09 J.O. 13/06/09Méthodes d'essai relatives aux caractéristiques

REFERENCE NORME AFNOR Reprend les exigences principales de la NF EN 228 (1)

Mélange d'hydrocarbures d'origine minérale ou de synthèse et éventuellement de composés oxygénés organiques destiné à DEFINITION ADMINISTRATIVE l'alimentation des moteurs thermiques à allumage commandé.

ASPECT (inspection visuelle) Clair et limpide

MASSE VOLUMIQUE à 15 °C (2)(NF EN ISO 3675:1998) Comprise entre 720 et 775 kg/m3

(NF EN ISO 12185:1996+Cor1:2001)

CARACTERISTIQUES DE VOLATILITE (3) Classe A Classe D1+A Classe D

- PRESSION DE VAPEUR (PVSE) kPa min. - max.(NF EN 13016-1:2007)

- INDICE DE VOLATILITE (VLI)VLI = 10 PVSE + 7E70

- DISTILLATION (NF EN ISO 3405:2000) - minimum 90 % à 210 °C (yc pertes)- écart point 5 % - point 90 %

supérieur à 60 °C (yc pertes). % Evaporé à 70 °C (E70) % (v/v) min. / max.. % Evaporé à 100 °C (E100) % (v/v) min. / et max. 46,0 - 71,0. % Evaporé à 150 °C % (v/v) min. 75,0. Point final de distillation .°C max. 210. Résidu de distillation . % (v/v) max. 2

TENEUR EN SOUFRE (4)(NF EN ISO 20846:2004) / (NF EN ISO 20884:2004) 10,0 mg/kg maximum

TENEUR EN MERCAPTANS Maximum 15 mg/kg(NF ISO 3012:1999)

CORROSION A LA LAME DE CUIVRE (3 h à 50 °C) Cotation classe 1(NF EN ISO 2160:1998)

TENEUR EN GOMMES ACTUELLES Maximum 5 mg/100 ml(NF EN ISO 6246:1998)

CARACTERISTIQUES ANTIDETONANTES (10)

(Méthode "Recherche" Indice d'Octane RON) Méthode "recherche" RON(NF EN ISO 5164:2005) Minimum 95,0(Méthode "Moteur" Indice d'Octane MON) Méthode "moteur" MON(NF EN ISO 5163:2005) Minimum 85,0

TENEUR EN PLOMB (NF EN 237:2005) Maximum 5 mg/l

STABILITE A L'OXYDATION (NF EN ISO 7536:1996)

Minimum 360 minutes

TENEUR EN BENZENE (5)(NF EN 238:1996) / (NF EN 12177:1998) / Maximum 1,00 % (v/v)(NF EN ISO 22854:2008)

TENEUR EN PHOSPHORE Aucun composé à base de phosphore ne doit être incorporé

TENEUR EN HYDROCARBURES DE TYPE : (7)Oléfines Maximum 18,0 % (v/v)Aromatiques Maximum 35,0 % (v/v)(NF EN 15553:2007) / (NF EN ISO 22854:2008)

TENEUR EN OXYGENE (6) Maximum 2,7 % (m/m)(NF EN 1601:1997) / (NF EN 13132:2000)(NF EN ISO 22854:2008)

TENEUR EN COMPOSES OXYGENES (6bis)(NF EN 1601:1997) / (NF EN 13132:2000)(NF EN ISO 22854:2008) MaximumMéthanol (avec agents stabilisants) 3,0 % (v/v)Ethanol (avec éventuels agents stabilisants) (8) 5,0 % (v/v)Alcool iso-propylique 10,0 % (v/v)Alcool iso-butylique 10,0 % (v/v)Alcool tert-butylique 7,0 % (v/v)Ethers (à 5 atomes de C ou plus par molécule) 15,0 % (v/v)Autres composés oxygénés (9) 10,0 % (v/v)

- supérieur de 4 points au moins auminimum prévu par l'arrêtéinterministériel fixant les carac-téristiques commerciales ducarburant dénommé essence(indice d'octane Recherche)

- maximum 95 (méthode moteur)

SUPERCARBURANT SANS PLOMB 95 CSR 1-2-011er Juillet 2009

annule et remplace la feuille CSR 120 du 1er Mai 2009

Notes (1) à (10) : voir au verso

1/2

Voir tableau des caractéristiques saisonnières au verso

Page 15: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

CARACTERISTIQUES SAISONNIERES

Spécification intersyndicale

Amont transport massif 16 fév.-28 fév. 1er mars-15 mars 16 mars-25 mars 26 mars-30 avril 1er mai-30 sept. 1er oct.-15 nov. 16 nov.-15 fév.

Classe ............................................ D1 D1 et 70,0 PVSE D1 et 70,0 PVSE ou A A et 58,0 PVSE A D1 DPression de Vapeur PVSE kPa...... 60,0-90,0 60,0-70,0 45,0-70,0 45,0-58,0 45,0-60,0 60,0-90,0 60,0-90,0Indice de volatilité (VLI) max ......... 1150 - - - - 1150 -% Evaporé à 70 °C (E70) .... 22,0-50,0 22,0-50,0 20,0-50,0 20,0-48,0 20,0-48,0 22,0-50,0 22,0-50,0

Spécification intersyndicale en dépôts et en raffinerie voir note (3)

Spécification intersyndicale en amont des transports massifs applicable aux gares routières des raffineries

Spécification Administrative

Station-service 16 mars-30 avril 1er mai-30 sept. 1er oct.-31 oct. 1er au 15 nov. 16 nov.-15 mars

Classe ............................................ D1 ou A A A ou D1 D1 DPression de Vapeur PVSE kPa...... 45,0-90,0 45,0-60,0 45,0-90,0 60,0-90,0 60,0-90,0Indice de volatilité (VLI) max. ........ 1150 - 1150 1150 -% Evaporé à 70 °C (E70).............. 20,0-50,0 20,0-48,0 20,0-50,0 22,0-50,0 22,0-50,0

Classes A D D1

Pression de Vapeur PVSE kPa min 45,0-60,0 60,0-90,0 60,0-90,0Indice de volatilité (VLI) max ......... - - 1150

NOTES ET REFERENCES NORMATIVESNOTES

(1) Ou toute autre norme ou spécification en vigueur dans un autre état membre de l'UE garantissant un niveau de qualité équivalent pour lesmêmes conditions climatiques.

(2) ; (4) ; (5) ; (6) et (6bis) ; (7) ; Normes à utiliser pour l'arbitrage, en cas de litige : (2) NF EN ISO 3675:1998 ; (4) NF EN ISO 20846:2004 ; (5) NF EN 12177:1998 ; (6) NF EN 1601:1997 ou NF EN 22854:2008 ; (6bis) NF EN 1601:1997 ; (7) NF EN 22854:2008.

(3) Pression de vapeur :Les sociétés pétrolières décident d'adopter au cours de la période d'intersaisons "hiver - été" les dispositions communes ci-après : - Les dépôts approvisionneurs de stations-service devront avoir atteint dès le 15 avril 60,0 kPa max. - En raison du non recouvrement des spécifications intersyndicales entre le 30 septembre et le 1er octobre, il est admis que, dans les 7 jours

qui suivent la sortie du grade "D1" (1er octobre), les raffineries puissent être amenées à expédier des essences de pression de vapeurlégèrement inférieure à 60kPa.

(8) L'éthanol utilisé doit être conforme à la norme NF EN 15376:2008.(9) Autres mono-alcools et éthers dont le point final n'est pas supérieur au point final de distillation fixé par les spécifications nationales ou,

lorsqu'elles n'existent pas, industrielles pour les carburants.(10) Un facteur de correction de 0,2 doit être soustrait du MON et du RON pour le calcul du résultat final avant de reporter les données en

conformité avec les exigences de la Directive Européenne 98/70/CE, y compris l'amendement 2003/17/CE.

Toute interprétation des résultats des mesures concernant les spécifications relève de la norme NF EN ISO 4259 (spécifications desproduits pétroliers et application des valeurs de fidélité relatives aux méthodes d'essai).

SUPERCARBURANT SANS PLOMB 95 CSR 1-2-011er Juillet 2009

annule et remplace la feuille CSR 120 du 1er Mai 2009

2/2

Page 16: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

SPECIFICATIONS DOUANIERES ADMINISTRATIVES INTERSYNDICALES(cf notas)

REFERENCES Loi Arrêté Arrêtén° 66-923 du 01/03/76 23/12/1999 et 05/02/04, 11/05/04 et 26/11/08

du 14/12/66

J.O. J.O. J.O.du 15/12/66 du 31/03/76 29/12/1999 et 28/02/04, 03/06/04 et 01/01/09

REFERENCE METHODE D’ESSAI Décision DGEC du 03/06/09 J.O. 13/06/09Méthodes d'essai relatives aux caractéristiques

REFERENCE NORME AFNOR Reprend les exigences principales de la NF EN 228 (1)

Mélange d'hydrocarbures d'origine minérale ou de synthèse et éventuellement de composés oxygénés organiques destiné à DEFINITION ADMINISTRATIVE l'alimentation des moteurs thermiques à allumage commandé.

ASPECT (inspection visuelle) Clair et limpide

MASSE VOLUMIQUE à 15 °C (2)(NF EN ISO 3675:1998) Comprise entre 720 et 775 kg/m3

(NF EN ISO 12185:1996+Cor1:2001)

CARACTERISTIQUES DE VOLATILITE (3)Classe D1 exclusivement

- PRESSION DE VAPEUR (PVSE) kPa min. - max.(NF EN 13016-1:2007)

- INDICE DE VOLATILITE (VLI)VLI = 10 PVSE + 7E70

- DISTILLATION (NF EN ISO 3405:2000) - minimum 90 % à 210 °C (yc pertes)- Ecart point 5 % - point 90 %

supérieur à 60 °C (yc pertes). % Evaporé à 70 °C (E70) % (v/v) min. / max.. % Evaporé à 100 °C (E100) % (v/v) min. / et max. 46,0 - 71,0. % Evaporé à 150 °C % (v/v) min. 75,0. Point final de distillation .°C max. 210. Résidu de distillation . % (v/v) max. 2

TENEUR EN SOUFRE (4)(NF EN ISO 20846:2004) / (NF EN ISO 20884:2004) 10,0 mg/kg maximum

TENEUR EN MERCAPTANS Maximum 15 mg/kg(NF ISO 3012:1999)

CORROSION A LA LAME DE CUIVRE (3 h à 50 °C) Cotation classe 1(NF EN ISO 2160:1998)

TENEUR EN GOMMES ACTUELLES Maximum 5 mg/100 ml(NF EN ISO 6246:1998)

CARACTERISTIQUES ANTIDETONANTES (10)

(Méthode "Recherche" Indice d'Octane RON) Méthode "recherche" RON Méthode "recherche" RON(NF EN ISO 5164:2005) Minimum 95,0 Minimum 98,0(Méthode "Moteur" Indice d'Octane MON) Méthode "moteur" MON Méthode "moteur" MON(NF EN ISO 5163:2005) Minimum 85,0 Minimum 87,0

TENEUR EN PLOMB (NF EN 237:2005) Maximum 5 mg/l

STABILITE A L'OXYDATION (NF EN ISO 7536:1996)

Minimum 360 minutes

TENEUR EN BENZENE (5)(NF EN 238:1996) / (NF EN 12177:1998) / Maximum 1,00 % (v/v)(NF EN ISO 22854:2008)

TENEUR EN PHOSPHORE Aucun composé à base de phosphore ne doit être incorporé

TENEUR EN HYDROCARBURES DE TYPE : (7)Oléfines Maximum 18,0 % (v/v)Aromatiques Maximum 35,0 % (v/v)(NF EN 15553:2007) / (NF EN ISO 22854:2008)

TENEUR EN OXYGENE (6) Maximum 2,7 % (m/m)(NF EN 1601:1997) / (NF EN 13132:2000)(NF EN ISO 22854:2008)

TENEUR EN COMPOSES OXYGENES (6bis)(NF EN 1601:1997) / (NF EN 13132:2000)(NF EN ISO 22854:2008) MaximumMéthanol (avec agents stabilisants) 3,0 % (v/v)Ethanol (avec éventuels agents stabilisants) (8) 5,0 % (v/v)Alcool iso-propylique 10,0 % (v/v)Alcool iso-butylique 10,0 % (v/v)Alcool tert-butylique 7,0 % (v/v)Ethers (à 5 atomes de C ou plus par molécule) 15,0 % (v/v)Autres composés oxygénés (9) 10,0 % (v/v)

- Supérieur de 4 points au moins auminimum prévu par l'arrêtéinterministériel fixant les carac-téristiques commerciales ducarburant dénommé essence(indice d'octane Recherche)

- maximum 95 (méthode moteur)

SUPERCARBURANT SANS PLOMB 98 CSR 1-3-001er Juillet 2009

annule et remplace la feuille CSR 139 du 1er Mai 2009

Notes (1) à (10) : voir au verso.

1/2

Voir tableau des caractéristiques saisonnières au verso

Page 17: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

CARACTERISTIQUES SAISONNIERES

Spécification intersyndicale

Amont transport massif 16 fév.-28 fév. 1er mars-15 mars 16 mars-25 mars 26 mars-30 avril 1er mai-30 sept. 1er oct.-15 nov. 16 nov.-15 fév.

Classe ............................................ D1 D1 et 70,0 PVSE D1 et 70,0 PVSE ou A A et 58,0 PVSE A D1 DPression de Vapeur PVSE kPa...... 60,0-90,0 60,0-70,0 45,0-70,0 45,0-58,0 45,0-60,0 60,0-90,0 60,0-90,0Indice de volatilité (VLI) max ......... 1150 - - - - 1150 -% Evaporé à 70 °C (E70) .... 22,0-50,0 22,0-50,0 20,0-50,0 20,0-48,0 20,0-48,0 22,0-50,0 22,0-50,0

Spécification intersyndicale en dépôts et en raffinerie voir note (3)

Spécification intersyndicale en amont des transports massifs applicable aux gares routières des raffineries

Spécification Administrative

Station-service 16 mars-30 avril 1er mai-30 sept. 1er oct.-31 oct. 1er au 15 nov. 16 nov.-15 mars

Classe ............................................ D1 ou A A A ou D1 D1 DPression de Vapeur PVSE kPa...... 45,0-90,0 45,0-60,0 45,0-90,0 60,0-90,0 60,0-90,0Indice de volatilité (VLI) max. ........ 1150 - 1150 1150 -% Evaporé à 70 °C (E70).............. 20,0-50,0 20,0-48,0 20,0-50,0 22,0-50,0 22,0-50,0

Classes A D D1

Pression de Vapeur PVSE kPa min 45,0-60,0 60,0-90,0 60,0-90,0Indice de volatilité (VLI) max ......... - - 1150

NOTES ET REFERENCES NORMATIVES

A - NOTES

(1) Ou toute autre norme ou spécification en vigueur dans un autre état membre de l'UE garantissant un niveau de qualité équivalent pour lesmêmes conditions climatiques.

(2) ; (4) ; (5) ; (6) et (6bis) ; (7) ; Normes à utiliser pour l'arbitrage, en cas de litige : (2) NF EN ISO 3675:1998 ; (4) NF EN ISO 20846:2004 ; (5) NF EN 12177:1998 ; (6) NF EN 1601:1997 ou NF EN 22854:2008 ; (6bis) NF EN 1601:1997 ; (7) NF EN 22854:2008.

(3) Pression de vapeur :Les sociétés pétrolières décident d'adopter au cours de la période d'intersaisons "hiver - été" les dispositions communes ci-après : - Les dépôts approvisionneurs de stations-service devront avoir atteint dès le 15 avril 60,0 kPa max.- En raison du non recouvrement des spécifications intersyndicales entre le 30 septembre et le 1er octobre, il est admis que, dans les 7 jours

qui suivent la sortie du grade "D1" (1er octobre), les raffineries puissent être amenées à expédier des essences de pression de vapeurlégèrement inférieure à 60kPa.

(8) L'éthanol utilisé doit être conforme à la norme NF EN 15376:2008.

(9) Autres mono-alcools et éthers dont le point final n'est pas supérieur au point final de distillation fixé par les spécifications nationales ou,lorsqu'elles n'existent pas, industrielles pour les carburants.

(10) Un facteur de correction de 0,2 doit être soustrait du MON et du RON pour le calcul du résultat final avant de reporter les données enconformité avec les exigences de la Directive Européenne 98/70/CE, y compris l'amendement 2003/17/CE.

Toute interprétation des résultats des mesures concernant les spécifications relève de la norme NF EN ISO 4259:2006 (spécificationsdes produits pétroliers et application des valeurs de fidélité relatives aux méthodes d'essai).

SUPERCARBURANT SANS PLOMB 98 CSR 1-3-001er Juillet 2009

annule et remplace la feuille CSR 139 du 1er Mai 2009

2/2

Page 18: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

SPECIFICATIONS a) DOUANIERES b) ADMINISTRATIVES c) INTERSYNDICALES(cf nota)

REFERENCES Loi J.O. Arrêté J.O.n° 66-923 du 15/12/66 23/12/1999 29/12/1999

du 14/12/66 29/12/2000 08/02/200105/02/2004 28/02/2004

Arrêté J.O. 27/04/2007 11/05/2007

du 01/03/76 du 31/03/76 21/05/2008 27/06/200806/02/2009 14/03/2009

REFERENCE METHODE D’ESSAI Décision DGEC du 06/02/09 J.O. 18/03/09Méthodes d'essai relatives aux caractéristiques

REFERENCE NORME AFNOR NF EN 590 (1)

DEFINITION ADMINISTRATIVE Mélange d'hydrocarbures d'origine minérale ou de synthèse et, éventuellement, d'ester méthylique d’acide gras, destiné à l'alimentation des moteurs thermiques à allumage par compression.

MASSE VOLUMIQUE à 15 °C (2)(NF EN ISO 3675:1998) de 820 à 845 kg/m³(NF EN ISO 12185:1996)

DISTILLATION (% v/v) récupéré à 250 °C Inférieur à 65 % Inférieur à 65 %% (v/v) récupéré à 350 °C 85 % Minimum 85 % Minimum95 % (v/v) récupéré à (NF EN ISO 3405:2000) 360 °C Maximum

VISCOSITE à 40 °C de 2,00 à 4,50 mm²/s(NF EN ISO 3104:1996)

TENEUR EN SOUFRE (3)(NF EN ISO 20846:2004)/(NF EN ISO 20884:2004) Maximum 10,0 mg/kg

TENEUR EN EAU Maximum 200 mg/kg(NF EN ISO 12937:2001)

CONTAMINATION TOTALE Maximum 24 mg/kg(NF EN 12662:1998)

TENEUR EN CENDRES Maximum 0,01 % (m/m)(NF EN ISO 6245:2002)

INDICE DE CETANE mesuré Minimum 51,0(NF EN ISO 5165:1998) (9)

INDICE DE CETANE calculé Minimum 46,0(NF EN ISO 4264:1997)

RESIDU DE CARBONE Maximum 0,30 % (m/m)(sur le résidu 10 % de distillation) (valeur basée sur un produit exempt(NF EN ISO 10370:1995) (4) d'améliorateur de cétane)

CORROSION A LA LAMEDE CUIVRE (3 h à 50 °C) Classe 1(NF EN ISO 2160:1998)

STABILITE A L'OXYDATION 1 Maximum 25 g/m³(NF EN ISO 12205:1996)

STABILITE A L'OXYDATION 2 Maximum 60 g/m³(NF EN ISO 12205:1996) modifié à 115 °C (11)

VARIATION DE L'INDICE D'ACIDE (10) Maximum 0,30 mg KOH/g(NF ISO 6618)

POINT D'ECLAIR Inférieur à 120 °C Minimum 55 °C(NF EN ISO 2719:2003) (NF T 60-103)

POUVOIR LUBRIFIANT (5) diamètre de marque d'usure corrigée (wsd 1,4)(NF EN ISO 12156-1:2000) - méthode HFRR à 60 °C maximum 460 µm

Du 1er octobre au 31 marsPOINT DE TROUBLE Maximum - 5 °C(NF EN 23015:1994) Du 1er avril au 30 septembre

Maximum + 5 °C

TEMPERATURE LIMITE Du 1er novembre au 31 mars - Classe E Du 1er octobre au 31 mars - Classe E

DE FILTRABILITE Maximum - 15 °C Maximum - 15 °C

(NF EN 116:1998) Du 1er avril au 31 octobre - Classe B Du 1er avril au 30 septembre - Classe BMaximum 0 °C Maximum 0 °C

HYDROCARBURES AROMATIQUESPOLYCYCLIQUES (6) 11 % (m/m) Maximum(NF EN 12916:2000)

CONDUCTIVITE ELECTRIQUE (7) 150 pS/m à 20 °C au minimumISO 6297:1997 (mesure)NF EN ISO 3170:2004 (prélèvements) (seul addititif antistatique autorisé : Stadis 450)

TENEUR EN ESTER MÉTHYLIQUED'ACIDE GRAS (8) 7,0 % (v/v) Maximum (EMAG) (NF EN 14078:2004)

GAZOLECSR 402a1er Juillet 2009

complète et remplace la feuille CSR 402 du 1er Mai 2009

Notes (1) à (11) : voir au verso.

1/2

Page 19: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

NOTES ET REFERENCES NORMATIVES

NOTES

(1) Ou toute autre norme ou spécification en vigueur dans un autre état membre de l'Union Européenne garantissant un niveau de qualitééquivalent pour les mêmes conditions climatiques.

(2) ; (3) Normes à utiliser pour l'arbitrage, en cas de litige : (2) NF EN ISO 3675:1998 ; (3) NF EN ISO 20846:2004.

(4) En cas de dépassement de la valeur limite, utiliser la méthode NF EN ISO 13759:1997 pour rechercher la présence d'un composé nitrateaméliorateur de cétane. En cas de résultat positif, la valeur limite pour le résidu de carbone ne peut pas être prise en compte. L'utilisationd'additifs ne dispense pas du respect de la valeur de 0,30 % (m/m) maximum avant additivation.

(5) Transport par oléoducs autorisé pour le gazole additivé en additif de lubrifiance agréé. Agrément selon le protocole UFIP/TRAPIL. Les additifsagréés, selon les dosages maximum autorisés mentionnés, sont : le PC 30 à 220 ppm (v/v) et sa version concentrée le PC 32 à 320 ppm (m/m) ;le PC 31 (version diluée à 80 % du PC 32) à 390 ppm(m/m) ;l'Infineum R 655 à 200 ppm (m/m) et ses versions diluées R 671 à 400 ppm (m/m) ; R 602 à 600 ppm (m/m) et R 603 à 800 ppm (m/m) avecextension à l'additif de la même famille R 639 à 200 ppm (m/m), le R 650 à 290 ppm (v/v) ;l'Hitec 4848A à 110 ppm (v/v) et sa version diluée l'Hitec 4849 à 220 ppm (v/v), l'Hitec 4140A à 300 ppm (m/m) et sa version diluée l'Hitec4141 à 375 ppm (m/m) ;le Kerokorr LA 99 à 200 ppm (v/v) ;l'OLI9900 à 100 ppm (m/v) et sa version diluée OLI9950 à 155 ppm (v/v).

(6) Les hydrocarbures aromatiques polycycliques sont définis comme la teneur totale en hydrocarbures aromatiques moins la teneur enhydrocarbures mono-aromatiques, ces deux teneurs étant déterminées par la NF EN 12916:2000. La méthode ne permet pas de distinguerles aromatiques polycycliques et les EMAGs. La présence d'EMAG donne un biais qui augmente la valeur des hydrocarbures aromatiquespolycycliques. Une méthode améliorée est en cours de développement.

(7) Conductivité électrique.Les sociétés pétrolières:- décident d'un commun accord, pour obtenir une conductivité d'au moins 50 pS/m à la température de chargement, de porter la conductivité

électrique du gazole moteur en amont des transports massifs, à la sortie des raffineries et des dépôts d’importations, vers d'autres dépôts,à une valeur minimale de 150 pS/m à 20 °C ;

- recommandent à l'ensemble des opérateurs d'assurer, sous leur responsabilité, une vigilance en tout point de chargement camions et fer dugazole moteur, en particulier dès que la température extérieure atteint - 10 °C, ou descend au delà, en assurant un contrôle adapté de laconductivité électrique, aux postes de chargement ;

- rappellent à l'ensemble des opérateurs qu'ils doivent s'assurer sous leur responsabilité, et en particulier dès que les valeurs de la conductivitéaux postes de chargement sont mesurées inférieures à 50 pS/m à la température des opérations, que les recommandations minimalesd'EUROPIA ou du GESIP sont bien respectées.

(8) Les EMAG doivent respecter les exigences de la NF EN 14214:2004 et doivent être additivés dès leur production et avant stockage d'un additifantioxydant ayant des performances au moins équivalentes à celles d'une incorporation de 1 000 ppm de buthylhydroxytoluène (BHT) et dontl'innocuité avec la chaîne logistique (y compris le transport par oléoduc), les autres additifs et les véhicules aura été validée.

(9) D'autres méthodes peuvent être utilisées en cas de litige, elles doivent être reconnues et comporter des critères de fidélité valides, établiesconformément à la NF EN ISO 4259, et démontrant une fidélité au moins égale à celle de la méthode donnée en référence. En outre unecorrélation entre les résultats de la méthode utilisée et ceux de la méthode de référence doit être disponible.

(10) La variation d'indice d'acide est mesurée par la différence entre les indices d'acide mesurés avant et après application de la méthode destabilité à l'oxydation à 115 °C.

(11) Des filtres en fibres de verre (et non pas en esters de cellulose), de diamètre 47 mm et de porosité 0,7 µm doivent être utilisés.L’utilisation de filtres de nylon ou d’ester de cellulose est à exclure.

Toute interprétation des résultats des mesures concernant les spécifications relève de la norme NF EN ISO 4259 (spécifications desproduits pétroliers et application des valeurs de fidélité relatives aux méthodes d'essai).

GAZOLECSR 402a1er Juillet 2009

complète et remplace la feuille CSR 402 du 1er Mai 2009

2/2

Page 20: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

SPECIFICATIONS DOUANIERES ADMINISTRATIVES INTERSYNDICALES(cf notas)

REFERENCES Loi Arrêté Arrêtén° 66-923 du 01/03/76 26/01/2009

du 14/12/66

J.O. J.O. J.O.du 15/12/66 du 31/03/76 31/01/2009

REFERENCE METHODE D’ESSAI Décision DGEC du 03/06/09 J.O. 13/06/09Méthodes d'essai relatives aux caractéristiques

Mélange d’hydrocarbures d’origine minérale ou de synthèse et, éventuellement, de composés oxygénés organiques,DEFINITION ADMINISTRATIVE destiné à l’alimentation des moteurs thermiques à allumage commandé.

ASPECT (inspection visuelle) Clair et limpide

MASSE VOLUMIQUE à 15 °C (2)(NF EN ISO 3675:1998) Comprise entre 720 et 775 kg/m3

(NF EN ISO 12185:1996+Cor1:2001)

CARACTERISTIQUES DE VOLATILITE (3) Classe A Classe D1+A Classe D

- PRESSION DE VAPEUR (PVSE) kPa min. - max.(NF EN 13016-1:2007)

- INDICE DE VOLATILITE (VLI)VLI = 10 PVSE + 7E70

- DISTILLATION (NF EN ISO 3405:2000) - minimum 90 % à 210 °C (yc pertes)- écart point 5 % - point 90 %

supérieur à 60 °C (yc pertes). % Evaporé à 70 °C (E70) % (v/v) min. / max. (1). % Evaporé à 100 °C (E100) % (v/v) min. / et max. (1) 46,0 - 71,0. % Evaporé à 150 °C % (v/v) min. 75,0. Point final de distillation .°C max. 210. Résidu de distillation . % (v/v) max. 2

TENEUR EN SOUFRE (4)(NF EN ISO 20846:2004) / (NF EN ISO 20884:2004) 10,0 mg/kg maximum

TENEUR EN MERCAPTANS Maximum 15 mg/kg(NF ISO 3012:1999)

CORROSION A LA LAME DE CUIVRE (3 h à 50 °C) Cotation classe 1(NF EN ISO 2160:1998)

TENEUR EN GOMMES ACTUELLES Maximum 5 mg/100 ml(NF EN ISO 6246:1998)

CARACTERISTIQUES ANTIDETONANTES (10)

(Méthode "Recherche" Indice d'Octane RON) Méthode "recherche" RON(NF EN ISO 5164:2005) Minimum 95,0(Méthode "Moteur" Indice d'Octane MON) Méthode "moteur" MON(NF EN ISO 5163:2005) Minimum 85,0

TENEUR EN PLOMB (NF EN 237:2005) Maximum 5 mg/l

STABILITE A L'OXYDATION (NF EN ISO 7536:1996)

Minimum 360 minutes

TENEUR EN BENZENE (5)(NF EN 238:1996) / (NF EN 12177:1998)/ Maximum 1,00 % (v/v)(NF EN ISO 22854:2008)

TENEUR EN PHOSPHORE Aucun composé à base dephosphore ne doit être incorporé

TENEUR EN HYDROCARBURES DE TYPE : (7)Oléfines Maximum 18,0 % (v/v)Aromatiques Maximum 35,0 % (v/v)(NF EN 15553:2007) / (NF EN ISO 22854:2008)

TENEUR EN OXYGENE (6) Maximum 3,7 % (m/m)(NF EN 1601:1997) / (NF EN 13132:2000)(NF EN ISO 22854:2008)

TENEUR EN COMPOSES OXYGENES (6bis)(NF EN 1601:1997) / (NF EN 13132:2000)(NF EN ISO 22854:2008) MaximumMéthanol (avec agents stabilisants) 3,0 % (v/v)Ethanol (avec éventuels agents stabilisants) (8) 10,0 % (v/v)Alcool iso-propylique 12,0 % (v/v)Alcool iso-butylique 15,0 % (v/v)Alcool tert-butylique 15,0 % (v/v)Ethers (à 5 atomes de C ou plus par molécule) 22,0 % (v/v)Autres composés oxygénés (9) 15,0 % (v/v)

- supérieur de 4 points au moins auminimum prévu par l'arrêtéinterministériel fixant les carac-téristiques commerciales ducarburant dénommé essence(indice d'octane Recherche)

- maximum 95 (méthode moteur)

SUPERCARBURANT SANS PLOMB 95-E10SP95-E10

CSR 1-4-021er Juillet 2009

annule et remplace la feuille CSR 141 du 1er Mai 2009

Notes (1) à (10) : voir au verso

1/2

Voir tableau des caractéristiques saisonnières au verso

Page 21: Les carburants E.Leclerc : Un process qualit exemplaire ......Service de presse E.Leclerc Ð T. 01 56 03 14 03 / F. 01 56 03 14 42 / Mail : e-leclerc@i-e.fr 3 Communiqu de presse 22

CARACTERISTIQUES SAISONNIERES (1)

Spécification intersyndicale

Amont transport massif 16 fév.-28 fév. 1er mars-15 mars 16 mars-25 mars 26 mars-30 avril 1er mai-30 sept. 1er oct.-15 nov. 16 nov.-15 fév.

Classe ............................................ D1 D1 et 70,0 PVSE D1 et 70,0 PVSE ou A A et 58,0 PVSE A D1 DPression de Vapeur PVSE kPa...... 60,0-90,0 60,0-70,0 45,0-70,0 45,0-58,0 45,0-60,0 60,0-90,0 60,0-90,0Indice de volatilité (VLI) max ......... 1150 - - - - 1150 -% Evaporé à 70 °C (E70) .... 22,0-50,0 22,0-50,0 20,0-50,0 20,0-48,0 20,0-48,0 22,0-50,0 22,0-50,0

Spécification intersyndicale en dépôts et en raffinerie voir note (3)

Spécification intersyndicale en amont des transports massifs applicable aux gares routières des raffineries

Spécification Administrative

Station-service 16 mars-30 avril 1er mai-30 sept. 1er oct.-31 oct. 1er au 15 nov. 16 nov.-15 mars

Classe ............................................ D1 ou A A A ou D1 D1 DPression de Vapeur PVSE kPa...... 45,0-90,0 45,0-60,0 45,0-90,0 60,0-90,0 60,0-90,0Indice de volatilité (VLI) max. ........ 1150 - 1150 1150 -% Evaporé à 70 °C (E70).............. 20,0-50,0 20,0-48,0 20,0-50,0 22,0-50,0 22,0-50,0

Classes A D D1

Pression de Vapeur PVSE kPa min 45,0-60,0 60,0-90,0 60,0-90,0Indice de volatilité (VLI) max ......... - - 1150

NOTES ET REFERENCES NORMATIVES

NOTES

(1) Les valeurs maximales des % évaporés à 70 °C et à 100 °C sont provisoires, ces valeurs restent à définir dans la norme en préparation surla base des travaux en cours relatifs à la formulation du carburant et à l'agrément de conduite.

(2) ; (4) ; (5) ; (6) et (6bis) ; (7) ; Normes à utiliser pour l'arbitrage, en cas de litige : (2) NF EN ISO 3675:1998 ; (4) NF EN ISO 20846:2004 ; (5) NF EN 12177:1998 ; (6) NF EN 1601:1997 ou NF EN 22854:2008 ; (6bis) NF EN 1601:1997 ; (7) NF EN 22854:2008.

(3) Pression de vapeur :Les sociétés pétrolières décident d'adopter au cours de la période d'intersaisons "hiver - été" les dispositions communes ci-après : - Les dépôts approvisionneurs de stations-service devront avoir atteint dès le 15 avril 60,0 kPa max. - En raison du non recouvrement des spécifications intersyndicales entre le 30 septembre et le 1er octobre, il est admis que, dans les 7 jours

qui suivent la sortie du grade "D1" (1er octobre), les raffineries puissent être amenées à expédier des essences de pression de vapeurlégèrement inférieure à 60kPa.

(8) L'éthanol utilisé doit être conforme à la norme NF EN 15376:2008.(9) Autres mono-alcools et éthers dont le point final n'est pas supérieur au point final de distillation fixé par les spécifications nationales ou,

lorsqu'elles n'existent pas, industrielles pour les carburants.(10) Un facteur de correction de 0,2 doit être soustrait du MON et du RON pour le calcul du résultat final avant de reporter les données en

conformité avec les exigences de la Directive Européenne 98/70/CE, y compris l'amendement 2003/17/CE.

Toute interprétation des résultats des mesures concernant les spécifications relève de la norme NF EN ISO 4259 (spécifications desproduits pétroliers et application des valeurs de fidélité relatives aux méthodes d'essai).

SUPERCARBURANT SANS PLOMB 95-E10SP95-E10

CSR 1-4-021er Juillet 2009

annule et remplace la feuille CSR 141 du 1er Mai 2009

2/2