Le temps de...Les retraités-es du 429 (SFMM)SYNDICAT DES FONCTIONNAIRES MUNICIPAUX DE MONTRÉAL (SCFP) VOL. 12 NO. 3 - SEPTEMBRE 2011

AVIS DE CONVOCATION

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE STATUTAIRE DU REGROUPEMENT DES RETRAITÉS-ES DU 429

LE MARDI 1er NOVEMBRE 2011À 13 H 30

AU SANCTUAIRE MARIE-REINE-DES-CŒURS DE MONTRÉAL3600, rue Bossuet

(Accessible par le métro Cadillac – Vaste stationnement gratuit disponible)

Vous êtes, par la présente, convoqué-e à l’assemblée générale statutaire des Retraités-es du429 (SFMM) qui aura lieu à la date, à l’heure et à l’endroit précités. Conformément à l’article13.03 des Statuts et règlements, vous trouverez, ci-joint, l’ordre du jour de cette réunion.

Nous comptons sur votre présence et vous prions d’accepter nos salutations les meilleures.

Hélène SamsonSecrétaire

Avis est par la présente donnéle 1er septembre 2011

N.B. : rafraîchissements et Voir l’ordre du jourprix de présence en dernière page.

... s’informer

Trucs et astuces André Normand

Bonjour à vous tous, bricoleurs avertis.

Vous tous, qui suivez ma chronique de-puis les 8 dernières années, savez qu'entant qu'homme presque parfait, j'aime àtoucher à des sujets forts délicats, susci-tant l'excitation chez les femmes et lajalousie chez les autres.

En tant qu'autodidacte naturel, il m'estbien aisé d'essayer les sports que lesimple mortel a de la difficulté à maitri-ser.

Après avoir lu et vu de nombreux re-portages sur ce domaine presque faituniquement pour les hommes(cela re-monte aux temps préhistoriques), jeme suis décidé à m'initier à celui-ci: lapêche.

Mon petit canard a bien voulu m'assis-ter dans ce sport.

Après avoir acheté pour plus de 900.00 $ d'équipement ultra moderneque m'a conseillé le vendeur dans uneboutique spécialisée près de chez-moi,

je me suis dit que je serais bientôt prêtpour cette aventure.

Il ne restait qu'à choisir le lieu, la dateet mon expédition commencerait.

Mon amie Hélène, de St-Jean de Matha,nous invite, mon petit canard et moi, àaller la visiter chez elle, dans une ma-gnifique demeure sur le bord de la ri-vière Noire; c'est l'occasion rêvée.

Aussitôt arrivé, je m'en vais sur le bord

de la rivière pour admirer l'endroit oùje ferai certainement des exploits tan-dis que mon petit canard et Hélène dé-chargent le camion bien rempli de toutmon attirail.

Les laissant travailler à leur aise, j'em-barque sur le quai que je trouve trèschancelant; il est fabriqué de planchesde bois et flotte sur de vieux barils.Après avoir fait quelques pas et n'étantplus capable de supporter la houle pro-duite par les quelques bateaux passantà proximité, je me retourne et m'en-

ligne pour m'en aller à gué: crac!!,voilà que mon pied passe à travers uneplanche et je me retrouve soudaine-ment débalancé avec une jambe prisedans le quai et le reste sur le dessus.Je ne vous fais pas dire dans quelle si-tuation embarrassante j'ai dû me rési-gner à appeler à l'aide; moi l'expert dece sport que j'allais pratiquer pour lapremière fois, me voilà pris par unpiège qui aurait pu tuer ou blesser griè-vement n'importe quel homme ordi-naire qui n'avait pas mon agilité et moncorps athlétique.

Remis de mes émotions, j'entreprendsavec ma conjointe, de faire un tour debateau pour taquiner le poisson. C'estsûr qu'après mon aventure sur et dansle quai, j'étais encore fragile et monpetit canard devait se charger d'embar-quer tout l'attirail nécessaire et deconduire l'embarcation à moteur.

Cette rivière est connue pour avoir debeaux spécimens de brochets et d'achi-gans, tel que décrit dans une brochureque le vendeur m'avait gentimentdonné quelque temps auparavant envoyant le potentiel du parfait pêcheurque j'allais devenir.

J'ai demandé à mon épouse de monterma ligne selon mes recommandations,car n'étais-je pas l'expert dans ce ba-teau. Au bout de la ligne, je décide deplacer un appât ressemblant à un méné(sorte de petit poisson) et je lance letout à l'eau; quand je dis que je lance letout, je lance le tout; la canne, le mouli-net et l'appât.

Me voilà encore dans une drôle d'aven-ture; moi l'expert, obligé de ramasser letout dans la rivière; heureusement quemon petit canard avait eu l'idée d'atta-cher ma canne avec un autre câble (carelle avait deviné que cela pouvait m'ar-river).

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SUITE EN PAGE 10

Caisses de retraite Michel Bouliane

Indexation 1.827%

La Régie des rentes du Québec ayant finalement accepté en janvier dernierl’évaluation actuarielle du 31 décembre2007, la Ville de Montréal n’a plus au-cune raison de ne pas verser l’indexa-tion aux retraités du Régime de retraitedes fonctionnaires de la Ville de Montréal.

Les syndicats et la Ville se sont enten-dus en 1998 pour diminuer de façonimportante le déficit actuariel lié àl’acte notarié. Depuis ce temps, le Syn-dicat des fonctionnaires municipaux deMontréal a respecté tous ses engage-ments liés aux gains et aux déficits actuariels.

Les participants actifs et retraités pou-vaient finalement toucher aux gains ac-tuariels dégagés suite à l’évaluation du31 décembre 2007 et ce conformé-ment à l’entente de partage. Selon cette

dernière, la rente des fonctionnairesayant pris leur retraite entre le 1er jan-vier 1983 et le 31 décembre 2007 doitêtre indexée de 1.827%.

Mais voilà que la Ville décide de ne pas verser ce qui revient de droit auxretraités et relie ce versement aux dos-siers des annexes K et M (fonc tion -naires devenus professionnels) et decelui de l’harmonisation des régimesde retraite.

Les retraités n’acceptent pas ce chan-tage d’autant plus que la Ville de Montréal a déjà touché sa part (69 mil-lions $) des gains actuariels depuisbelle lurette.

Monsieur le Maire et représen-tants de la Ville de Montréal,ayez l’obligeance de respectervos engagements !

St-Léonard

Contrairement aux régimes de retraitede la Ville de Montréal et de la CUM, oùle salaire final est établi selon lamoyenne des trois (3) meilleures an-nées, le salaire final des participants auRégime de retraite de St-Léonard estfixé à chacune des évaluations actua-rielles.

Présentement, le calcul de la rente estbasé sur le salaire de 2004. Une évalua-tion actuarielle a été effectuée au 31

décembre 2006 et les parties s’étaiententendues pour reconnaître le salairefinal comme étant celui de 2006. Lesétats financiers du 31 décembre 2006tenaient compte de cette entente etl’argent a même été versé dans les coffres de la Ville.

Une autre évaluation actuarielle a étéeffectuée au 31 décembre 2009 et unnouveau salaire final devrait être fixé àcette date. Plusieurs fonctionnaires deSt-Léonard ayant pris leur retraite de-puis ce temps sont touchés par ce nonrespect des ententes de la part de laVille de Montréal.

Les participants au Régime de retraitede St-Léonard aussi n’acceptent pascette façon de faire de la Ville de Montréal. Selon la loi, dans les casd’harmonisation des régimes de re-traite, le passé des participants ne doitpas être touché.

Encore une fois, Monsieur leMaire et représentants de laVille de Montréal, ayez l’obli-geance de respecter vos enga-gements !

Veuillez prendre note qu’il se-rait important qu’un grandnombre de participants fassentpart de leur mécontentementlors de leur assemblée annuelleet tout particulièrement lesparticipants de ces deux ré-gimes mentionnés.

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S O M M A I R EAVIS DE CONVOCATION.........................1TRUCS ET ASTUCES ................................2MESSAGE DU PRÉSIDENT ......................3… VOUS ÉCRIRE.....................................4... PARTIR ..............................................5... TOUT ET DE RIEN ...............................6... SE SOUVENIR.....................................7... SE DIVERTIR...................................8-9... SOURIRE..........................................10... JOUER AVEC DES LETTRES................11... SE DIVERTIR ....................................12... DU QUÉBEC .....................................13… FAIRE DES ÉCONOMIES ...................15ORDRE DU JOUR DE L’ASSEMBLÉE ......16

Prochaine parution ............12-2011

Date de tombée............11-11-2011

Assemblée annuelle Ex-CUM 19 septembre 2011

Assemblée annuelle Ville de Montréal 21 septembre 2011

Assemblée annuelle St-Léonard 24 octobre 2011

À METTRE À VOTRE AGENDA :

Justice... vraiment ?... vous écrire

Pierre Coderre

Après plus de 2 000 ans de civilisation,on est à même de constater quel’homme a toujours de la difficulté avecla notion de justice. À une certaineépoque c’était ‘’œil pour œil, dent pourdent’’. Tu prends une vie, tu paies de latienne. Brutal peut-être, mais, oh ! com-bien efficace pour certains.

Une étude menée par le Devoir en2010, donnait 62% de canadiens qui sedisaient en faveur du rétablissement dela peine de mort. Aux États-Unis, lapeine de mort fut abolie vers la fin desannées 1960 et fut réintro-duite dans le système judi-caire des États en 1976. En2005, 38 États sur 50 ainsique le gouvernement fédé-ral américain, prévoient lapeine de mort.

On relatait récemment à l’émission“Tout le monde en parlait” à Radio-Canada, l’histoire du criminel RichardBlass qui a fait la manchette de 1965 à1975. Il s’en était pris au système d’in-carcération où il faisait des menaces sion ne changeait pas les conditions dedétention des détenus. Un soir de jan-vier 1975, il a tué le tenancier du barGargantua, rue Beaubien, à Montréal. Ila ensuite éliminé douze personnes in-nocentes, en les enfermant dans un ré-duit derrière le bar et en y mettant lefeu. Lorsqu’on le localisa dans un cha-let des Laurentides, on ne lui laissa au-cune chance en le criblant de 27balles. Comme le disait l’enquêteur Lisacek de la SQ, qui était réputé sepromener avec sa mitraillette datant de1927, la même utilisée par les gangsterde Chicago ; ‘’c’était un corps défen-dant’’ autrement dit c’était lui ou nous.On peut en tirer les conclusions qu’onveut.

On peut également se demander si lespoliciers arrivant sur l’île d'Utoeya enNorvège jonchée de cadavres et en

apercevant le tueur, AndersBehring Breivik, les mains en l’air,qu’une balle bien placée rendrait jus-tice auprès de ces innocentes victimes.Quelle économie, pas de long et fasti-dieux procès, pas de procédures à ten-ter de l’accuser de crime contrel’humanité pour l’emprisonner pluslongtemps que le prévoit la justice nor-végienne dont la peine maximale estde 21 ans.

À mon humble avis, à partir du mo-ment qu’on tue un être humain, il s’agit

d’un crime contre l’huma-nité. Bien sûr, on peut êtrecontre la peine de mort etinvoquer le fait qu’on peuttuer un innocent. Le dernierlivre de John Grisham inti-tulé “La confession”, traitede ce sujet où un jeune est

accusé à tort du meurtre d’une jeunefille et est condamné à mort. Je vous lerecommande, il est excellent.

Mais quand il s’agit d’évidence clairecomme le docteur Turcotte tuant sesdeux enfants par vengeance, on faitquoi ? Même notre système judiciairene semble pas rendre justice auxcrimes qui sont commis. Dans ce cas-ci,la saga continue au moment d’écrireces lignes ; une mystérieuse femme au-rait envoyé un courriel juste avant sacomparution devant la Commissiond'examen des troubles mentaux. Pas deproblèmes, on reporte au mois de no-vembre. Notre système judiciaire estd’une lourdeur qui nous coûte déjà unefortune et il faudrait investir encorelorsqu’on regarde ce qu’il est advenuavec la libération de certains membresde Hells Angels. On investit dans des es-couades mixtes pour contrer le crimeet mettre hors d’état de nuire des cri-minels, mais on investit pas dans le sys-tème judiciaire pour finir le travail. Lagrève des procureurs de la couronne,ça vous rappelle quelque chose ?

Le juge dans sa décision de libérer cer-tains membres associés aux Hells, s’estbasé sur le fait que le dernier accusépourrait n’être jugé que dans 10 ans, lesystème judiciaire étant incapable d’ab-sorber de telles opérations. Ce n’est passeulement lié à des méga-procès, j’aides amis qui ont perdu un fils, il y adeux ans. Le conducteur est accusé deconduite en état d’ébriété et deconduite dangereuse causant la mort.Son procès avait été reporté et devaitavoir lieu cet été et voilà qu’il est re-porté en septembre 2012. La mèrecroyant pouvoir boucler la boucle avecce procès, continue à vivre son deuil,elle en est encore à chercher la lumièreau bout du tunnel.

Notre système judiciaire et la sociétéoublie qu’il y a des victimes. Il y a biendes organismes dédiés aux personnestouchées, mais les torts causés son sou-vent irréparables. On en a encore unbel exemple avec celui que l’on sur-nomme le bourreau de Beaumont qui afait subir les pires sévices aux membresde sa famille et qui devait être incarcé-rer pour 22 ans. Il risque de sortir bien-tôt après 14 ans d’emprisonnement etses enfants ont appris par le biais de latélévision sa possible libération aprèsle deux tiers de sa peine.

Non vraiment la justice est injuste en-vers les meurtriers, les violeurs, les bat-teurs et autres criminels de tout acabit,mais elle est surtout, surtout injustepour ces pauvres victimes qui restentsouvent marquées à vie matérielle-ment, physiquement et psychologique-ment. On pourrait épiloguer longtempssur ce sujet sérieux et je m’en excuse,il fallait que ça sorte. Je pense quecomme Société démocratique et défen-dant des valeurs humaines, on doit re-mettre en question certaines de nosinstitutions, particulièrement notre sys-tème judiciaire.

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... partir

Compostelle... Rencontre

Marc Larose

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Partir pour faire le chemin de la Com-postelle, c’est comme quand on ouvreun grand livre sans savoir ce qui nousattend. Ce que je trouvais réconfor-tant, c’était le fait que je ne partais passeul. Avec Raymond et Stéphen, j’avaisl’impression de partir à l’aventure. Laseule règle que l’on s’était donnée étaitque nous débutions ensemble et après«à chacun son chemin »!

Dès la première journée, des liens sesont tissés avec Rodrigue et Carole (desIles-de-la Madeleine), Jean-Louis (an-cienne grande vedette de rugby), sacousine Annie et non la jolie star del’ile de Gilligan n’était pas là!

Il faut vraiment être sur le chemin pourcomprendre combien forts ces lienspeuvent être. Les rires, les pleurs, lesblessures, les émerveillements…toutest partagé par le groupe. Si tu ne veuxpas te mêler aux autres, il n’y a pas deproblème. Tout le monde va respecterton choix. Sur le chemin, les amitiéssont tellement faciles à créer et devien-nent tellement intenses, qu’il est très

difficile de sesentir seul.

Comme toutebonne chose àune fin, aprèsdeux se-maines, notrepetit groupes’est scindé.Vu la beautédu village oùnous étions(Estaing) et lesurplus detemps quenous avions,Raymond etmoi avions dé-

cidé de prendre un sursis d’une demi-journée. Je dois avouer que laséparation n’a pas été facile. Allions-nous les revoir? Pour Stéphen, pas deproblème car on reprend l’avion en-semble pour le retour. Pour Rodrigueet Carole, c’est différent. Ils sont pres-sés par le temps. Il s nous invitent à lesvisiter aux Iles l’été pro-chain. On ne sait ja-mais, mais ça seraitplaisant en maudit.

Pendant toute la duréede la marche, soit envi-ron 35 jours, les rencon-tres et les séparationssont nombreuses. Mais,dans tout ça, il y a aussiles retrouvailles. De pe-tits moments de bon-heur agrémentés d’unebouteille de vin à se ra-conter nos anecdotes.

Les souvenirs les plusmarquants vont à Angelinaet Liliane qui, dans chaque

église, se faisaient un devoir de chanter.Juste à y penser, j’en ai encore la chairde poule. À Claude, le pâtissier, avecqui j’ai marché les dernières étapes. ÀOlivier et Christian, pour les fous rirespendant presque 2 semaines.

En septembre 2012, je repars pour finirmon périple. Il me reste un p’tit 750kilomètres à marcher. L’idéal serait derepartir avec les deux mêmes clowns,Raymond et Stephen. Mais, si le hasardfait que je suis seul, pas de problème. Ily aura toujours quelqu’un sur la routequi croisera mon chemin. On ne sait ja-mais peut être Carole et Rodrigue? Etoui, ils nous ont reçu cet été commeseul les madelinots savent le faire.

Comme dans la plupart des livres, il y ala section des remerciements. Je tiensà remercier ces gens fantastiques quiont partagé ma route : Raymond, Ste-phen, Carole, Rodrigue, Christian, An-gélina, Liliane, Olivier Thomas, les troisjaponaises, Jean-Louis, Annie, Marie ettous les autres!

Ville d’Estaing

Photo prise aux Îles de la Madeleine. De gauche à droite : Raymond, Carole, Rodrigue et Marc.

Un peu de poésie...... de tout et de rien

Lorraine Roussel

Et si l’on mettait un peu de poésie, unpeu de réflexions dans sa vie. Ça nechangerait pas le monde, mais ça nouschangerait des journaux quotidiens.Tel ce poème que j’ai écrit sur l’amitié.

L’amitié

Pour que la vie te sourieChasse ta mélancolieLaisse ton cœur s’ouvrirEt l’amitié s’épanouir

Ne fuis pas la solitudeMais n’en fais pas une habitudeJe voudrais que la joie Chasse la tristesse de ta voix

Que la vue d’une fleurTe comble de bonheurIl est si rare de s’attendrirQu’il ne faut pas en rougir

Ma vérité

Si je t’apporte un sourireC’est pour moi du bonheurSi tu es triste, il faut me le direN’aie pas de pudeur

Ta vie peut être sereineSi tu t’en donnes la peineIl y a tant de belles chosesQui inondent le monde

Prends ton courageSouris à ta misèreTu deviendras sageEt vivras centenaire

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...et de réflexions dans le bain*Il y en a pour qui le seul temps d’arrêtdans leur vie est au feu rouge.

*Il y a plus de vérité dans le regard quedans les paroles.

*Quand une personne manque de cha-leur, le plus sûr moyen d’en trouver estde prendre un bain chaud!

*Il peut arriver que pour se valoriserl’on recherche la compagnie des per-sonnes pour qui tout va mal oupresque…

*Ce ne sont pas les autres qui nous fontdu mal, mais nos pensées. Éloigner lespensées négatives, c’est éloigner le malà l’âme.

*L’harmonie, la douceur, la tendresse,l’amour, l‘amitié sont l’oxygène de lavie. Aujourd’hui, plusieurs personnesont l’impression d’être branchées à unrespirateur artificiel.

*Il devrait exister des lunettes qui nousrendent invisibles.

*Non, tout n’est pas négatif puisqu’ilnous est permis de changer notre façonde voir. Il n’en tient qu’à soi de voir unverre à moitié plein et non à moitiévide.

P. S. Si vous avez des sujets qui vous in-téressent, C’est avec plaisir que j’enprendrais note. Écrivez-moi sur moncourriel : loriscorpion@sympatico.ca

... se souvenir

L’histoire syndicale au Québec (2)

Roger Lagacé

La reconnaissance des syndicats auQuébec est le fruit de plusieurs luttesouvrières qui ont vu le jour au débutdu XIXe siècle avec la formation despremiers syndicats de métier, des asso-ciations ouvrières regroupant des tra-vailleurs spécialisés, comme lestypographes, les machinistes et les for-gerons. Loin d’être légalement recon-nue à l’époque, une associationouvrière était plutôt considéréecomme une conspiration criminelle vi-sant à entraver la liberté de commerce.Les syndicats étaient donc condamnésà agir dans la clandestinité. Cette situa-tion d’illégalité a perduré jusqu’en1872, lorsqu’elles ont été décriminali-sées suite à la grève d’un syndicat detypographes à Toronto. De 1872 à laguerre de 1939-45, les syndicats ontainsi été « tolérés », leur reconnaissancecomme représentants des salariés étantlaissée à la discrétion de l’employeur.Au cours de cette période, plusieursconflits longs et violents, dont le princi-pal enjeu était la reconnaissance syndi-cale, éclateront. Plusieurs syndicatsdisparaîtront donc de cette façon. Lesseules organisations ouvrières qui réus-siront à résister à ces longs conflits se-ront les syndicats de métiers, quidétenaient une force économique etsociale redoutable, compte tenu du faitque la spécialisation de leur métier né-cessitait un plus haut degré d’éduca-tion et que ces métiers étaient souventindispensables aux employeurs. Il est ànoter que les employeurs détenaient àl’époque une arme de négociation nonnégligeable : la possibilité d’utiliser desbriseurs de grève ou scabs, ils pou-vaient ainsi remplacer facilement lesgrévistes par d’autres personnes.

Il faudra attendre jusqu’en 1944, pourque les syndicats soient finalement re-

connus au Québec et au Canada parl’instauration de l’accréditation, quicontraindra les employeurs à les recon-naître. Les syndicats n’étaient toutefoispas au bout de leurs peines dans unQuébec sous le joug de Maurice Duplessis. À l’époque, quatre centralessyndicales se divisaient la presque tota-lité des personnes syndiquées dans laprovince : la Fédération provinciale dutravail du Québec et la Fédération desunions industrielles du Québec (qui fu-sionneront le 16 février 1957 pour fonder l’actuelle Fédération des tra -vailleurs du Québec); la Confédérationdes travailleurs catholiques du Canada(l’ancêtre de la Confédération des syn-dicats nationaux) et la Corporation desinstituteurs et institutrices de la pro-vince de Québec (qui deviendra la Cen-trale de l’enseignement du Québecpuis, en 2001, la Centrale des syndicatsdu Québec). De la reconnaissance del’accréditation aux années 1960, ces or-

ganisations syndicales (et leurs succes-seurs) développeront de puissants liensintersyndicaux, qui leur permettront delutter contre les politiques antisyndi-cales du gouvernement Duplessis.

Le front commun ainsi formé intervien-dra notamment lors de la grève del’amiante de 1949, pendant les grèvesde Murdochville, de l’Alcan et de LaPresse, en 1957 ainsi que celle des réa-lisateurs de Radio-Canada, en 1959. Cer-tains acquis gagnés lors du règlementde ces conflits existent encore au-jourd’hui. Par exemple, la grève del’amiante de 1949 s’est, pour la pre-mière fois en Amérique du Nord, soldéepar une participation des salariés auxdécisions et à la gestion de l’entreprise.En effet, même si cette grève a été dé-clarée illégale par la Commission desrelations ouvrières et, malgré la vio-lence et la répression policière, la soli-darité intersyndicale a fait échec auxpolitiques duplessistes. Sur le plan poli-tique, les syndicats élargiront aussileurs champs d’intervention au coursdes années 50, et ne se limiteront plusà la seule revendication de conditionsde travail. Ils interviendront ainsi à l’As-semblée législative du Québec afind’obtenir des modifications aux lois dutravail, un meilleur accès aux loge-ments et l’accès universel à l’enseigne-ment, des acquis sociaux quiconstitueront les fondements du Qué-bec post-Duplessis. C’est aussi aux or-ganisations syndicales que lestravailleuses et travailleurs du Québecdoivent leur régime de prévention enmatière de santé et de sécurité du tra-vail, tout comme son régime d’indem-nisation sans égard à la faute, qui forcela participation financière des em-ployeurs en matière d’accidents du tra-vail et de maladies professionnelles.

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Déjeuner

RAPP

EL

... se divertir

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A C T I

CURLINGVous avez joué, vous jouez ou vous voulez vous ini-tier au curling, joignez-vous à nous pour un après-midi de plaisir au club de curling de la Basemilitaire de Longue-Pointe.

4 glaces seront à notre disposition pour un maxi-mum de 32 joueurs avec 4 entraîneurs pour nousinitier à ce sport.

Il sera possible d'observer les exploits des joueurset ce, gratuitement, pour ceux qui le désirent.

Entre le curling et le souper, on pourra visiter leMusée Militaire sur la base.

Le tout sera suivi d’un souper (à vos frais) à17h 00 au restaurant le Joli Cupidon D’Or oùtous sont bienvenus, joueurs ou non.

ÉQUIPEMENT REQUIS: Vêtements chauds car nous

sommes sur la glace. Souliers decourse dont les semelles sont trèspropres (ne pas marcher à l'exté-rieur avec vos souliers de course)

ENDROIT : Club de Curling Longue-Pointe6560, rue Hochelaga, bâtisse 166,Angle Langelier, Monréal

DATE : Jeudi le 17 novembre 2011 HEURE: De 13h 30 à 15 h 30Coût 15,00$ par personne pour le mem-

bre et son escorteSOUPER : 17 h 00 au Restaurant le Joli Cupi-

don d'Or6830 rue Hochelaga, Montréal

Le souper est à vos frais (Apporter votre vin)

Réservation : Avant vendredi le 21 octobre2011.

N.B. : Chaque véhicule devra faire un arrêtobligatoire à la guérite de la base militaireafin d’identifier le chauffeur et le véhiculeavant de poursuivre jusqu’à la bâtisse 166.

Respecter la limite de vitesse de 30km/h etles arrêts doivent être complets.

Notre déjeuner mensuel reprend à compter du 6 septembre vers 8h 30

Et par la suite à tous les 1er mardi de chaque mois

7275 Sherbrooke Est, Montréal (Place Versailles)

A C T I V I T É S R É C E N T E S

En ce mardi 21 juin 2011 tout ensoleillé, les joyeux retraités partent surla route de Berthierville pour une visite au musée Gilles Villeneuve. Onpeut y admirer ses vieilles motoneiges, ses trophées, ses voitures et denombreux souvenirs personnels et aussi s’amuser sur une immensepiste de course.

Une pause pour le lunch au site enchanteur de Floribell. Le repas étaittout simplement délicieux et plusieurs ne voulaient pas quitter laplage, mais ça en valait la peine car nous allions ensuite explorer le vil-lage du conteur Fred Pellerin à St-Elie-de-Caxton. La visite s’est faite encarriole avec des enregistrements sonores nous en apprenant plus surtous les personnages mythiques du film Babine, ainsi que l’arbre à pap-parmanne et la traverse de lutins.

Le transport aller-retour était très confortable à bord du spacieux busmis à notre disposition. Je suis revenu enchanté avec 145 photos deplus dans ma caméra numérique et plusieurs beaux souvenirs de cettejournée comme plusieurs autres.

François Daudelin

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T I V I T É S P R O C H A I N E S

Les réservations pour toutes les activités doivent se faire OBLIGATOIREMENT en téléphonant au 514 842-9463.

Ensuite, un chèque pour chaque activité libellé au COMITÉ LE TEMPS DE VIVRE accompagné d’une note indiquant le

nom de chaque participant et le nom de l’activité.Le chèque doit être encaissable dès réception et doit être envoyé au

429, rue de La Gauchetière Est, Montréal (Québec) H2L 2M7.

Aucun remboursement après la date de réservation indiquée au journal Le temps de vivre.

RÉSERVATIONS

TOUTES LES ACTIVITÉS SONT EXCLUSIVEMENT RÉSERVÉES AUX

MEMBRES ET À LEUR ESCORTE

LES QUILLESRetour d’un incontournable

L’activité quilles et resto se tiendra au salon de quilles Do-maine.

Cette activité sera suivie d’un repas au Resto Pub Aurora àl’intérieur du centre commercial Domaine.

DATE : Lundi le 6 février 2012

HEURES : 09 h00 pour les quilles12 h00 pour le dîner

ENDROIT : Salon de quilles DomaineCentre commercial Domaine (entrée prèsdu marché Métro, au sous-sol, près du bar-bier).

COÛT : 14$ par personne pour le membre et sonescorte quilles et repas (les souliers sont in-clus)10$ par personne pour le dîner seulement(repas, taxes et pourboires inclus) bois-sons à vos frais.

N.B. : Il est préférable de former vos équipes de 6personnes et de le mentionner lors du paie-ment. Poster les chèques de tous les mem-bres de vos équipes respectives dans lamême enveloppe. Si vous ne formez pas voséquipes à l’avance, le Comité Temps de Vivreles formera à sa discrétion.

RÉSERVATION : Avant le lundi 16 janvier 2012

DÎNER DANSANT DE NOËLSuite au succès de l'an passé, nous vous invi-

tons à un dîner dansant. Un buffetchaud et froid vous sera offert. De

plus, nous aurons notre anima-teur M. Denis Morency, qui vous

fera danser tout l'après-midi, etce, jusqu'à 17 h 30.

Un léger goûter vous sera servi vers 16heures.

DATE: Jeudi le 1er décembre 2011

HEURE: Arrivée pour 11 h 30Dîner vers 12 h 00

ENDROIT: Sous-sol de l'Église Ukrainienne6185 - 10e avenue (nord du Boul. Rosemont)Montréal

COÛT: 20.00$ par personne pour le membre et sonescorte

N.B.: APPORTER VOTRE BOISSON (BIÈRE-VIN SEULE-MENT)

RÉSERVATION: Avant le vendredi 18 novembre 2011

Stationnement pour l'Eglise: sur la 10e avenue au norddu Boul. Rosemont et sur les 2 côtés dela rue.

Autobus: Métro Rosemontet autobus 197Métro Joliette etautobus St-Michel67

Nombre de personnes:125

... de sourire

Réal Turnblom

Deux jeunes hommes commencent àrénover le magasin qu’ils viennent d'acquérir. Ils sont assis pour prendre leur café. Tout est vide à l'intérieur, il n'y a quequelques tablettes sans aucune mar-chandise.

Antoine dit à Michel : "Je te parie que d' ici quelques minutesun con va mettre le nez à la vitrine etdemander ce qu'on vend."

Il n'avait pas fini sa phrase que,comme prévu, une dame âgée met lenez à la vitrine et demande: "Que ven-dez-vous ici ?"

Antoine répond sarcastiquement " desidiots ".

Du tac au tac, la dame âgée répond : " Ça a l'air de bien marcher, il n'en resteque deux ! "

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Déclaration de revenus 2011. Trèsimportant!

Cette année sur votre déclaration d'im-pôts à la rubrique "Personnes àcharge", inscrire tous les membres dugouvernement.

Commencez par les députés et les sé-nateurs, puis, progressivement tous lesélus grassement rémunérés.

Vous réaliserez ainsi de substantielleséconomies!

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L’importance de la marche.

Marcher peut ajouter des minutes àvotre vie.Ce qui vous permettrait à l’âge de

85 ans de passer cinq mois supplémen-taire au Centre de soins longue duréeà deux milles dollars par mois!

Mon grand-père a commencé à mar-cher à l’âge de 60 ans. Il est maintenantâgé de 97 ans et nous n’avons aucuneidée où il est rendu!

Je marche très tôt le matin. Juste avantque mon cerveau se demande ce queje suis en train de faire.

Chaque fois que je pense un peutrop à mon apparence physique,comme par hasard, je me retrouvedans un bar pour un 5 à 7. Etlorsque j’en ressors, je me trouvetrès bien!

(écrit après un long 5 à 7)

10

Ayant enfin récupéré tout l'équipement,me revoilà prêt à nouveau; m'étant sou-venu qu'il fallait retenir la canne, je lancel'appât au loin et ma tendre moitié dé-marre la moteur. Cette technique s'ap-pelle la pêche à la traîne; l'appât plongesous l'eau et imite parfaitement la nour-riture qu'adore les monstres marins.

Au bout de quelques minutes ma lignedonne un grand coup et se pliepresqu'en deux; je le savais que je réus-sirais à attraper la plus grosse prise decette rivière grâce à ma techniqueunique d'apprentissage; je mets mesdeux mains sur ma canne et de l'autre jecommence à tourner le moulinet; enfinde ma main libre, je m'agrippe après lebateau ( c'est comme si j'avais 4 mains)

car il a tendance à vouloir changer decap.

Je crie au capitaine de mon navire devirer à babord (comme qu'y dise) et mevoilà devant un énorme ponton (bateautransportant plusieurs personnes); on di-rait que ce ponton suit la même trajec-toire que le monstre que j'ai attrapé,allant même à penser que ce pourraitêtre lui mon trophée ( car ce que l'arti-cle 8.2 paragraphe A du guide de pêchedéclare: qui pogne garde).

Mon petit canard demande au comman-dant du ponton de s'arrêter pour que jepuisse récupérer mon appât pris dansson hélice.

Me voilà tout triste d'être obligé de fairela remise à l'eau de ma première prisemais comme j'ai un grand cœur et que jene veux pas d'affrontement avec la flotteadverse, j'y consens et nous décidons determiner ce voyage de pêche unique enson genre.

Comme vous avez pu le constater, monexpérience servira à d'autres lorsqu'ilsvoudront, tout comme moi, être le roi dela pêche.

Je vous dis à la prochaine et continuezde m'envoyer des trucs et astuces.

SUITE DE LA PAGE 2

... de jouer avec des lettres

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A P A S S I F L O R E A

B O R A N G E C O L A S

C R E L I U R E S A U T

D T C F A R N I E N T E

E E S T N E R F D E R

F G A V E I S E L

G R E R S O C N A S E

H E M I R C H E N E S

I F F I O R I T U R E S

J F I E V R E A I E A

K E L E M E R I E P I

L S E N S E S T I S S E

Horizontalement :A - Qui reprend de l’intensité.B - Chasseur mythique -Souhaitée.C - Omettre –Affluent du Rhône.D - Peu dense –Stupide.E - Préposition –Bourrique.F - Extrait -Contesta –Circule en Éthiopie.G - Révolu –À la main ou à la machine.H - Symbole –Intervenir –Né de.I - Cheveu –En Ukraine.J - Elle a des pales –Pousse sur les vieux arbres.K - Risques –Siège à Bruxelles.L - Coule en Irlande –À distance –Note.

Verticalement :1 - Problème de couple…2 - Période –Mammifère marin.3 - Havanes –Crème aux œufs cuite.4 - Fonctions –Possessif –Atoll.5 - Allier –Commerce.6 - Corvidé –Rêvé.7 - Prénom –Substance calcaire –Direction.8 - Catégorie –Connu.9 - Métal –Bosquet.10 - Qui s’évase.11 - Ténèbres –S’enjambent facilement –Flotte.12 - Proportion –Utilisent.

MOTS CROISÉS

« À MONTER DANS TON CHEMIN »Indice : J’ai milité au Québec pendant plus d’un demi-siècle.

Par: «Au delà de ce but» ( Claude Beaudet)

Instructions pour le carré magique: Placez les lettres de chacune des lignes dans les cases de façon à former des mots dans lesens vertical également.

CARRÉ MAGIQUE

ANAGRAMME

O O N P H

E E S R V

I E T E L

N T E E T

S S E E R

SOLUTIONS EN PAGE 15

12

Les CroonersEn cette belle soirée du 13 juillet der-nier, nous étions 87 joyeux retraités àprendre place au Théâtre Hector-Charland de L’Assomption afin d’assis-ter au spectacle du groupe Les Croo-ners.

Orchestre à la hauteur, jolies danseusesoffrant de superbes chorégraphies etsurtout, trois excellents chanteurs à lavoix chaude et puissante, capable denous remémorer le temps d’un soir, lesFrank Sinatra, Dean Martin., Bobby

Darin, Chris DeBurgh, Michael Bublé etplusieurs autres.

La table était donc mise pour que nousen ressortions rassasiés et réjouis.

Merci aux organisateurs pour cet excel-lent spectacle.

Réal Turnblom

Par un beau mercredi de juillet, nousnous sommes déplacés vers le théâtre

Hector-Charland à l’Assomption, pourassister au spectacle de trois formida-bles chanteurs de pommes, (Les Crooners ). Ils nous ont interprété dessuccès de Sinatra à Bublé. Ces excel-lents chanteurs sont accompagnés de 7 musiciens et de 4 charmantes dan-seuses qui ont sûrement plu à ces mes-sieurs. Nous avons passé une bellesoirée estivale. Merci au Comité d’orga-nisation.

Nicole Shepherd

Rallye bottine – 25 mai 2011Par une belle journée ensoleillée et unpeu fraîche nous avons participé au ral-lye bottine du Comité le Temps deVivre, qui a eu lieu dans le Vieux-Montréal.

Personnellement, cette expérience m’afait voir le Vieux-Montréal avec d’autresyeux, moi qui l’ai côtoyé, comme plu-sieurs parmi nous, pendant 30 ans.

Une douzaine d’équipes de 4, partaitdu Pub St-Paul avec leurs question-naires, instructions et la déterminationde participer. Bien entendu, pendant lajournée les équipes se rencontraient etse saluaient très poliment, faisant atten-tion de ne pas divulguer de réponses à

l‘adversaire, c’était plutôt drôle de voirla compétition, et tout était très convi-vial.

À la fin du rallye, nous retournions fiersde nos réponses et de nos trouvailles,remettre notre questionnaire avec nosprécieuses réponses au maîtred‘œuvre, qui était monsieur Jean-PierreHalley. Le temps du rafraîchissement etdu repos furent très apprécié après unebonne journée de marche et de re-cherches.

Vint le moment tant attendu des ré-ponses avec preuve à l’appui en pho-tos. D’après les résultats, notre équipeavait calculé que notre pointage était

assez moyen. Puis c’estl’appel des gagnants, età notre grande surprisec’est notre équipe(Manon Fortin, Joce-lyne Lavoie, Gaston La-rocque et MoniqueWay) qui est appelée,WOW! Nous avons vrai-ment bien performé, ons’est rendu en avantavec les bras de vain-queurs, mais notre

triomphe n’a pas duré longtemps,puisque nous étions plutôt les der-niers. Comme cadeau nous avons reçuchacun une énorme efface avec l’ins-cription «Pour les GROSSES erreurs».Nous avons bien ri de la supercherie.

Voici la liste des vrais gagnants dela journée;1re position l’équipe de Nicole Sylvain,

Ghislaine Beauregard et JeannetteGodin

2e position l’équipe de Nicole She-pherd, Francine Labranche, MarieBrunelle et François Brunelle

3e position l’équipe de Josée Plaisance,Jocelyne Paillé, Ginette Boyte etDiane Charbonneau.

Félicitations aux gagnants et à tous lesparticipants et surtout félicitation et ungros MERCI aux organisateurs AndréCampeau et Yvon Lacasse.

Après cette belle journée en bonnecompagnie, je suis repartie avec le sou-rire et plein de belles anecdotes à gar-der (entre autres mon efface) dans maboîte à beaux souvenirs.

Monique Way

A C T I V I T É S R É C E N T E S

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De biographie...à auteur de bédé

... du Québec

Après avoir terminé labiographie de MichelChartrand je me suis re-cyclé en auteur debande dessinée.

Pour ce faire je me suisallié à une jeune dessina-trice de grand talent,Carey Chan. Mon frère Lucien Foisy, éditeur à laretraite, s’est joint à nouspour nous faire bénéficierde son expérience.

C’est ainsi qu’est née unetoute nouvelle bédé, à la foishistorique, politique et indé-pendantiste.

Le titre : Le Québec, la vraiehistoire ! … d’un p’tit peupleben accommodant. Tome 1, - LeQuébec : du Big Bang à 1920.

Le livre n’a pas encore été édité,car les éditeurs traditionnels de-meurent très frileux devant ceprojet original et unique.

Je vous livre donc en primeur, et©, la page couverture.

J’attends vos commentaires àfoisy@cgocable.ca

À la revoyure !

Fernand Foisy

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Le temps de ...

Le temps de ...

Bulletin trimestriel Les retraités-es du 429 (SFMM)Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal (SCFP), 429, rue de La Gauchetière Est, Montréal (Québec), H2L 2M7. Téléphone : 514 842-9463, boîte vocale 250, Télécopieur : 514 842-3683Courriel : journalretraite@sfmm429.qc.caWeb : http://retraites.sfmm429.qc.ca

Reproduction permise avec mention de la source

NOTE : Le masculin est employé comme genre neutre uniquementdans le but d’alléger les textes.

Comité du journal : Diane Boucher, Pierre Coderre, Suzanne Lacasse, Marc Larose, Raymond

Martin, Hélène Samson

Rédaction : Les Retraités-es du 429 (SFMM)

COLLABORATEURS : Claude Beaudet, Pierre Coderre, François Daudelin, Fer-nand Foisy, Yvon Lacasse, Roger Lagacé, Marc Larose, Joanne Ménard, AndréNormand, Lorraine Roussel, Nicole Shepherd, Réal Turnblom, Monique Wayet Le Comité Temps de Vivre.

Infographie : Marcel Huot, Atelier québécois Offset inc.

Le temps de ... est publié à 3300 exemplaires

CHANGEMENT D’ADRESSELe Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal (SFMM) possède sa pro-pre banque d’adresses qui fonctionne indépendamment de celles de la Ville oude la CUM. Lorsque vous démé-nagez, il devient important d’enaviser le SFMM, car le Syndicat,notre association de retraités etle Fonds de Secours maladie-accident s’alimentent à cefichier pour acheminer votrecourrier.

I M P O R T A N T

ERRATUMDans la dernière parution,

le texte de l’équité a été écrit par Diane Chevalier.

IMPORTANT Le 19 juin dernier, le SFMM inaugurait

son tout nouveau site internet et offrait aux Retraités-es du 429,

à partir de cette même date, un tout nouvel espace, sur un serveur tout à fait distinct du leur.

Ainsi, pour accéder à notre site, il faut aller sur le

http://retraites.sfmm429.qc.ca.

Il serait donc judicieux d'ajouter et/ou de modifier ce lien à vos favoris.

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15

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RABAIS DE 15 %MOTS CROISÉS CARRÉ MAGIQUE

SOLUTIONS de la page 11

ANAGRAMME : Simonne Monet-Chartrand

P H O N O

R E V E S

E L I T E

T E N T E

E R S E S

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12

A R E C R U D E S C E N T

B O R I O N V O U L U E

C N E G L I G E R A I N

D C A E R E T A R T E

E H O R S A N E G U

F O T E N I A B I R R

G P A S S E C O U S U

H A R A G I R I S S U

I T I F O D E S S A S

J H E L I C E U S N E E

K I A L E A S O T A N

L E R N E L O I N U T

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Les Retraités-es du 429 (SFMM)

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE

Sanctuaire Marie-Reine-des-Cœurs de Montréal3600, rue Bossuet

Le 1er novembre 2011

ORDRE DU JOUR1. Ouverture

2. Présences

3. Moment de recueillement

4. Adoption de l’ordre du jour

5. Adoption du procès-verbal de l’assemblée généraledu 11 novembre 2010

6. Rapport du président

7. Rapport du trésorier

8. Rapport du comité Le temps de vivre

9. Nomination d’un président ou d’une présidente etd’une ou d’un secrétaire d’élections

10. Élections

11. Période de questions

12. Fin de la réunion

Michel BoulianePrésident