Le · t. JOURNAL OFFICIEL DU SOIIf !2 Jüi-41.871 toyens indistinctement les bienraits d'une...

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ftD~ mr n usa t sa losit& baiiWnH dedfn&i~­~ 1111111 gtaDde HD•IiooD tl :haine Mison d'atrairtl. L'~ 1, entre aatnll 1uje11, UD .-.: ' ;a"n&. près de ~~~~t ]1le41ile ~J pnnttpale cunosttê · a a ~

les pe11onnes de dealt jea-. Jl6i, l ~es l'une à rutre C1epiiÏI .... éjilite dorsale, et qlli 11011& Ùlcilla.: 11 ljiUl le~ ri v ales dq frères-a.:· 10m les Jllaitreues. Elles ent ._~ ill grand nombre d'babifaata 4tt1 !s· on& trouvée~ merveill,.,~ i l'autr.e, e& pleines d'illtell!~- · tr uliêct e& lecu mailltien • ola.i.o ftélb!él; mai~ ellea ~~ ~une ~~ae '-iüté .... o!e ~· (JiwrtfAJ ""'-/•, 1 0 J ~ de Ca~eres (~lie), ~~~~~~ la * · cent que la ~pulaùon de~· masse, drlpa'ndan& le ~ ~

Etat v1ent d'aliénèr. Le iac• .._ a 1\f.&ta C!t parei Î.miDIÎd-Ïilenf1

!:compa !;né de forces de la garde t.ablir l'ordre menacé. 1 " •

~El AT RES

f h. 1/2. - Ft1'1!4nde. Le Jhitû 0~ · '

li'L - Réou,·orture P.ar les a~: ' Tous les jours, lq. Vr✠IÙ

lBS, et l~ P1•ince Tolo, vaudeville e · ., 1. - 7 h.- 1 ;4.- - Tous les soirs( · r. grllllÀll féetje en (jouzc tabl"ux.,' Eud. T~j!,"rent, ~o.u~on, Çlâra L&­lcuzey, D'itmoulti\S· r Vmgk\llq ,stumc_,, trbc$ et .dêcortJlouve&U; 1 par ùn va•1dlvillc en till acte. t ·

ltlques. - L'Ami Claoutat•tl. - Li ~~

de pcrsdllnes n'ayant pu Dén~ Conce'rt du Pilais dés Tuileo

le, d:&ecord avec la Com­•lemain jeudi, Il mai,

de la République,. li'l!u simultau6ment dnn~ la galerie de .

n "ec le coacoura ct de l'élit tl des artistes '

ui n 'ont pu ()tre r e!;US_ samedi seront admis a s1mple

auF;_mtlnlll\~O•n de vrix, :mx con· ' ces billets denont

it quatre heures, nu palai!'1 ils uo seraient pas \'al&bl5

seront ou,·crts à 6 heures' commenceront ~im~ltanémen'-

, ,,.,rnc•i·~•-' du Dr oi& d~$ gens

TACTIOUE 1 DES'IIUOIRES e!Yila lllltertea •• la ••••bUn. in-18~- Prix : a francs.

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• t.

JOURNAL OFFICIEL DU SOIIf !2 Jüi-41.871

toyens indistinctement les bienraits d ' une udministratioo ferme et équitable.

Forts de la collab01·atioo du comitti de vi· • }iilanc~ institué dans cet arrondissement dès

ORDRE DU JOÙR -~

--une nuire gnp1de puiaeance. D'autre part; ln Iégis· la.Lion de l'empire allémnnd ne contient pas do dis· positions orgàniques d"un EtaL particulier et indé<> jleDdant. Eulin, l'Allemlgne ne verni& dana cette union qu'une garantie de pl\ls.

la rê\·olulion c!Uicale. Cé'19runal rappelle le. roles IIUÏ\-ante&, prp~:~oncéèSd~ nue cïn:ouata&-· récente par'l'êvèqlie deRatï~'onne : ce

, re mais de septembre dernier, nous 4t0mp. tons en outre sUl' l'appui mo.·~ et, au be· soin, sur l'assistance matérielle de toute la 'llOPulatioo, po ar nous aider dans l'accomplis­

. ~ent de notre mission. Lu déUgu.ll cr. la~­

P. GutluN, .oa'l'.t;ma.

Citoyens,

F ermemenL décidé à respeclet• les slatuts de la Fédération, autant qu'à mrri.ntenir dans toute son intégrité l 'autorité de la Commune et deaeac:Wéguéamunici pallX) j 'ai ordonné, d&­concert avec la municipalité du XVII• arron­dissement, et conformément à un avis! anté-

Mais cett~ opinion n'a pas ét~ celle de li\ majo­ritâ"de 1:& COUUIJissi!f.t du conseil fédéral, laquelle a été d'avis que le~ Atsaciens et les Lorrains déai· raient former un Eta~ indépendant et qu'il fallait donner s:~ti~îaction à leur.; vœux. La commis:;ion a. donc accepté Je par,aora.phe~ i<.•spjet ,@. f&i­Eanf obser\"er qu'H est indispensab que f1i"ltiJ." de p~ n'app9(1e.~ucune modi6 aùx priü· minaires consenti! par la France. Da g· ·

« Nous autres ultramODtam&. 1101a ne pouy céder. Lei contTastcs ne peu"\"ê!ll diSJilraft.re GlU par la guerre ou par la ré\'Oiution. Une tran•acJ~e pacifique n'est plus possible. Qui fait 1~s lois tern 11

poreJle,s? !\o?s ne les ob!en·ons que"parce qu'eH: ont. detrlèr3_elle_s la force qtJ~ nous contraint. 1.!; Vél'ltables lou Ylennent. de Dt~u. Les prin~~s elà. ~~~~ei ~ont ~ar la griic~ de Dteu,,e~ s'ils ne •eu. lént plus l'etre, je sera\ le premte'r à bâttre !tl trema& èn brèche pour les _rl!n"l"erser.- ~ ·

rieur du Comité central, que les délégués de .-..""'".firr compagmes, de bataillan, "-de légion;- 1!8 · re-­

. 1IAIRIE DU IX.•, ARRONDIS;:,.I!i.l)l.Jlil.Y~' ·· tremperaient dans une élection nom·elle, et

Solde do la garde nationale-

A fin d'éviter le retour de quelqué9 -abus qui se sont glissés dans la répartition de·l'iÎl· demnité due aux gardes nationaux et à leurs fc.mme~, l'administJ•a tion municipale et le phei de la légion dn IX• arrondissement, in· vi~nt les citoyens et les citoyennes qui au-

. r men t à se plaindt·e , à s'adresser à la mairie, afin . d. obten!-r la réparation • laqu~_ije ib aura1ent dro1t.

je me suis appliqué à entourer ces élections des garanties sérieuses qui semblaieni faire

' cüfaut aux élections précédentes, fait~s préci· pitamment et sous la pression· d'une situation anormhlè.

J 'ai, en outre, xéclamé av.ec inslanceeL ob· tenu qu'il fùt prqcêùé, dans le plus bref dé­lai, à l'élection définitive et.r~guli~re du chef

,de ltigion. Lee chefs de ba~on sdnt Cdb"o­. qués demain soir Jl9Ur s·~ntendre à ce sujet et fixer la date de !élection.

Ces explications suffiront' pour convaincre .. , ... les gardes appartenant à. la t7• légion qu'il

--~ ........ ~_..,;_ .pj, ;......-.;;,;_ "'ill;.; ' . . n'a jamais ét~ dans m a pensée de confisquer

·l\I.URIE DU xte ARRO""-.TDIS~-:.J~ :~ à mon profit le droit de suHrag~, ~e je n 'ai ~., ~.tiNJIOL'f~ cessé de réclamer pour la garde natiOnale, et

pour. la conquête duquel j'ai combattu le 18 L -< . • • ,. mars à la tête des :bataillons de Montmartre,

· es mem>Jres de la CoJ?mune délégù.êt au dont le commandement m'avait été confié par XI• arron,hssement, con11déraDt : le Comité central. ·

· . _Que l~ principes de la Commune sont éta· J 'ai toujours répété q'lle, investi d'un llhs sur Ja moralité et le respec~ de ~hacun; pouvoir par ordre de la Commune et de . . Qu? :es femmes d!J mau'l'aiSe v1e et les so~ délégué à la guerre, j'étais prêt à mt-1\ ro? Je~ sont chaque JOUr ll!l spectacle sean., retU'er SUl' un ordre contrairE:', émané de la daloo_x pour les mœurs publiques ; . , . m ême source. En atte~dant cet ordre, je suis

Qu il. Y a urgence à ce que de parellsdésor• resté à mon poste, comme c'était mon de-d!. e~ sment promptement ré.(lrimés, ~ voir, et m'y suis maintenu. c ·eut été un

· ARRt lT. crime de-haute trahison que de l'abandonner TEN • sur la sommation qui me serait faite par

.1ï'ticle 1miqt11!. Les com:missaires de polka tout autre que le délégué de la Commune, et ct les gardes natiouau.-.,: du XI• arrondisse- de céder deYant une tentatiYe d"agression ment den-out arrêter et mettre en détention· aussi misérable que ce !le dont l"état-maior de toutes les fe}Ilmes de mœurs suspectes exer- la 17• légion a été l'objet dans la nuit du :; au ..:nut leur h outem: métier sur la -voie publi· 6 mai. . que,: <:insi que les ivrognes qui, dans leur Eufin , pour faire disparaître toute équivo­pa~siou funeste, oablient et le respect d'eux- que, satisfait, du reste , d 'avoii' aplani iL mon

· m~l.:J.e :; , e~ leur de·voi.r Ùe citoyens. successeur les difficultés de la situation, je

\'u ïarrét·~ Ju ùélègué au ministère de la t,\:en·e . eu d.,.te du 26 avril dernier, insti• tuunt da us r;ha~e arrondissement un bu­l"I' Ou ~i}it01.ire composé de sept membres et (~l<ll'J_e ue la réqui~ition des armes; dela~ ~· .lQr<:ll:) des ~fracta.ires et de leur enrôl~ n;E'n t _da us 1~ compagnies de marche ou sé• ~.:~~J~tllre :: ,

ü s _merpJbres de la Commune élus du XI• ' . roacl!:;~e?.nent

A.RRÈTENT 1

., .i.. . s citoyens Cap~:>llaro, H. Collin, C. ~ ,n-,a, E. P ic;rrd, J. Bau.'t Feld-Meyer e t .Dt .t_ ' •it sont nommés memb~s du l:iureau !~tu•.t,Jire de l a. XI• légion de In garde na• l '.<',nale.

.i'uri;, la lO mai 1871.

Les membres 4àe la Commune, EUD=:s, MORT.Œl\, vERDuro:, AYRIAL,

D.I::LESCLt:Z~

I Tous le~ jour3, con sulb.tions gratuites par

e ÙOL:tenr t\Ialterre, de neuf heures à dix .heure~ et demie du matin.

dépose entre les mains de · la Commune m a démission de chef de la 17•légion, en ex­primant le désir d"être immédiatement rem­placé.

Paris, le 10 mai t871. Y. JACLAIID.

NOUV~LLES ÉTRANGÈRES

' AI,I,EMAGNE Le rapport de la commission du conseil fédéral

allemand" char~e d'examiner le projet de réunion à l'empire de l Alsace et de la Lorraine, vient d'ê­tre présent~. TI e~t rédigé par 1\[. Von Mittuacht. plénipotentiaire du Wurtemberg et ministre de la JUstice du pnys.

Le rapport constate d'abord que Je retour il. l'Al­lernagne d'anciennes pro,~nces dont les popula­

. tions sont de race germal\.ique, est le prL't légttime de tant de combaLs "l"ictorieux, et, en outre, que la

_possession de ce territoire est, au point de vue ~tratégique, une garantie précieuse contre de nou­vellE-s attaques de la France. Le pri.ncipe de l'in· ~ Jrporat.ion n'est donc pas ùi~cutable. Quant ù la question de Fa voir si l' Alsace·Lorraioe doit être réunie à la Prusse ou former un Etat inil.&pendant, deux opinions se sont prodllJtes : !"one, qui est celle d1.1 rapporteur, consiste à dire que l'annexion à la Prusse doit ëtre prérèrée. Le~ populations d'Alsace-Lorraine, détachées d'un gr met Etat, s·'ac­commoderont mieux sans doute de leur réunion à

Ti•ement ... Si grilce au ciel la famille de ces vous pourrez dire aussi que ,·ous l'aYez ,.u m~udit!:' Yient de s'éteindre, ne pensons plus yembler ! ... Ah! tonnerref l'idée qui me tient .qu à a~5urer notre salut. li'l. que je ne reverrai peut-être pas la terre de

- Ou~, notre salut! dit le mattre d'équi- France, que mon pi~d ne touchera plus ja­page, et it q uel pri~, gra!P Dieu! Trois de ·mais son sol bien-aimé, cette idée-lit m e fait .nos compagnons gisent là sans 'Vie .... nous mal! ••• ne po a v ons pas rnéme leur rendre les der- Tenez, l'e:prit-il après un instant, . j e me ~i crs d!3Yoirs; leur cor~ sera la proie des rappelle qn à mon second naufrage les ::ùammes ?.u ce~e des liêtes féroces ••• pour Peaux-Rouges avaient massacré presque tout l.me dernœre fo1s, notre main n 'a pu serrer entier l'équipage du malheureu.'t navire perdu . !a lc\1r, et. Il faut nous éloigner d'eux à. tout sur leurs côtes infernales, plusieurs de leur3 Jam a1s . .. Allons !... guerriers m 'avaient entraîné derrière les . . t:nc la~me furti~e s"échappa et coulas~ la rocllers et déjà l'un d'eux aYait commen~ à jOUe à.u n eux mann. ·'me scalper, quand un chef de la tribu arre~ ., :- ~~oyez_-•ous , eniants , continua-t--i~, l'œuvra btnie.- et chère a u grand Manitou ~ :11 de,] a , fatt trois iois Je tour du )llOnde, -pour me fa1re son,esclave ... J.us tou e ae me prouver que la terre était ' Eh bien, maintenant, je souhaiterais sen- ; l'Onde et que l'espoir n ' était pas caché dans tN- encore le froid terrible de cette lame qui 'Un de ses coins , cinq naufrages m 'ont ma mettait le crâne à nu, je donnerais mes ·yu passer ?-an~ leurs tourmentes , j'ai deu~ oreilles, j'ajouterais ma main gauche endure les pnvatwns de la faim et de la soif elle111êrne , si l'on "oulait me promettre les )Jaures m 'ont r éduit en esclavage pendanl qu'Ul'l jour je reYerr<Ji ma patrie ... Je don­quau·e années, j'a i subi les }lins cru.els trai- nerais tout cela aYec joie, car ma main droite teme11ts, je le jure! ... Eh bien, dans tOutes me resterait encore -pour saluer la FI-ance 1 ~es misèr es, aucun de ces longs jours de s1..'uf· -Assez, Richard, assez! intetTompit Tom. jrance ne m'a attristé comme celui-ci. }'\{e Ne vois-tu pas que tp nous déehiresle cœur? :recuiant de>'ant rien, riant de tout j'ai bravl\ ·Esc-(:e que les mêmes pensées n e nous assié-

, l e danger com'me j e bravais la mort. •• Mais gent pas tous les' trois? Crois-tu que je ne me .au.jourd'bui l'avenir me fait peur. jettbrais pas dans ces flammes, si j'étais sClr

Ses compagnons baissèrent la tête. de n~e jamais revoir ma vieille Angleterre, - Non, je ne voudrais J>RS vons attrister... s.flr d e ne pas boire un tlon· verre d'ale avec

a reconnn, en outre, que la. coostitlltSdll:.bi • "~E"~téXigeait des c1iangemerits itatri1a:J4 • ti on fédérale~. ét <lue, par suite, il fallait adriiettre la nêcessit6 a'une périOde ·de transition. Elle indi­que <JUelques dispo~itions de la constitution de l!empu't!, notamment celles qui @e rapportentàl'in· • digén:~t, a.u service militaire, aux tklégrapbes, ·comme pou"l"an€ dès ·aujourd'hui eire introduites, et propose de rédiger comme suit"l'article ~ : '

• La constitution de l'empire allemand entrera le i•~ jamicr i8i4 en ,·igueur dans l'AI$ace et la ·Lorraine. J.es dispositions de cette cons;itution peuvent, 1want cette époque. être étendues .à ce pays, sur un décret de l'empereur et du consenLe­meot du con~ei l fédéral.

- Les hatail!o!ls de la lao.dwehr b&moi<• "l"iennent"irlefê· renvo~ dans "leurs fo"l"er$ n; sont remplacés en France pnr des homme~ des dépota de la résel'\"e de"lÎgtle.

• ; • 1 ) 1; 1 '' 1

- - La commission au reichstag- chàrgée d'eu. miner le ~rojet relatif à "l'annexion de l'Al~&ee­Lorrnine a I'AIIemage, a commencé son trarail Elle a nommé deux, rapporteurs : MM. Frieden: thaU et Lamey.

• Les modifications et les dispositions complé­mentaires de la constitution de l'empire, dont on reconnaîtrait la nécessité, seront introduiLes ~elon les formes indiquées par lad iLe constitution. •

La commission est lf.a,•is que ~ndant cette pé· riode transitoire, le pouvoir lég1slatif doit appar· tenir iL l'empereur et au conseil fédéral, puis, après le t•• janvier t874, à la législature de l'em­pire, même dans les matières réservées aux Etats confédérés. Elle propose enfin, ~ous le bénéfice de ses observations et de ses réserve~, 1'1\doption du projet.

- La Ga:etle de l'Allemagne du J\"ord s·auache à réfuter cette déclaration prêtée à !>1. Pouyer-Quer­tier, que le payement de 5 milliards en espèces est chose matériellement impossible. EUe rapJ?elle à. ee propos les paroles suivante5, adressées Je 6 mars t809 au comit6 de Rœdener pu Napoléon I•• à l'occasion des réclamations du roi Joseph qui de­mandait à son irnp~rial frère d'épargner l'Espagne et de ne pas l'épuiser: '' Il se plamt de n'aYoir pas d'argent ? Pourquoi n'en a·t-il pas? Il y en a en Espagne. J 'ai tiré un milliard de la Pru~se. lt ne m'aurait pas été difficile d'en tirer deux de l'Espagne. Allez 1 •

La' Ga:ette dn 1\"ord ajo'\!te : • Ainsi Kapolé0n pounit se nmer d'a...-oir tiré un milliard de la Prusse petite et aiTaiblic, ct cela au milieu de la situation commerciale et financiè:e qu i rég•,ait alors, et aujourd'hui un pays qui a la ~;randeur, ta richesse et les re;;sources dtJ la France, même après !"abandon de l'Alsace, et .de la Lorraine, ne posséderait pas cinq mil!iards ! •.

-La même fellille, rappelant Cëtle prophétie de Napoléon I•• d'après laquelle, an bout de 50 ans, l'Europe ~eviendrait républicaine ou cosaque, fait obsel";er que les cinquante ans sont échus et que l'Europe n'est ni CO~Ile ni répub!ica:jne.

-La Post de Berlin prêt~ au parti ultramontain, en France, le projet d'adresser à l'assemblée natio· nale un memora.ndum, l'adjurant de prendre la dêfemelde 1'l papauté ternporelle, contre les usur· pations pémonLa1ses. La Post ajoute que si le gou­vernement de Versailles cédait â un tel entraine· ment, il contraindrait par le fait même le ~rou ver· nement italien qui. dans la dernière guèrre, a oùserl"é entre la France et !"Allemagne la plus stricte neutralit&, à se déclarer ou,•crtement pour la. Pru~sc •

- Dans la proYinca de Sle;wig a été institllée une commission cl:Jarg~e d'élaborer une insti-JC• tion rrlati\·e à l'introouction riB la langue al· lernnnùe comme partie obligatoire de l'ensei· gnement dans des école3 dano~es du Slesw1g septentrional.

- Les ùernières nou\·elles ùe i\Iunicl:J pul>!icnt un article fort vif mettant le ministre ùo Lutz en demeure de prendre les mesures néce~saires ponr que legouvernernent ce~se de paraître le complice de

patron, n'abandonne pas ainsi se3 enîants ; espère, Richard , courage! mon ,·ieux compa­gnon.

Et il lui serra r!nergiquement la matn. Le maitre d:équipage ne répondit rien ;

comme Saïd, qui parais:;ait abimé dans ses pensées, il pleurait.

La route s'achem sans qu'aucune par~le fùt échangée. Quelques instants après, 1ls arriYèrent au 1·iva!;e .

Pierre Brost et ~le charpentier avaient ra­doubé le canot tant bien que mal; mais les vestes r~unies, qui deYaient défendre l'em­barca tion contre r~au, tenues par les che­mises déchirées en liens, n 'a•aient fait que former une vaste éponge.

Les armes furettt mi. ses à l'avant, et comme l'on considéra que ce lieu était le plus sec, on y mit également les pronsions, composées du restant de biscuit et d"une faible partie de Yiandes boucanées.

Une heure se passa en ·di\·ers aRpr~ts; il fallut faire descendre le canot jusqu à la mer, ce qui ne manqua pas d~ l'éreinter beaucoup, et fà, r esserrer les liens qui menaçaient déjà de laisser disjoindre les Yestes mises avec tant d'efforts. .

La nuit était \"enue lorsqu'on s'embarqua. Apr~ avis, les matelots résolurent de gou­

verner sur une des n es voisines, espérant pouvoir s'y radouber, et de là gagner la grande terre.

Cette résolution adoptée, le canot s'éloigna à force de rames.

- Plo sieur~ journaux allemands font obserw que l'allusion faite n.aa.uère pa~ M. Q.e BiSmark l la sommation de l'emp.ereur Na!>Oléou nt dê cé­der 1\fhéoce à la France, n'est pas nouvelle ~t· icndu qu'elle a-fait déjà trouvé plaœ dans une'cir. culaire adre~sée aux j?Uissances le 29 juillet i810 c'e~t·à-dire quelques JOUrs l péine après la décltÎ ration de guerre.

ALSACE Oa se fait généralement encore une idée fau!le

de l'institution et d11 but du nou;eau J;~"IIInase; il ne sera dono ~s horô de propos dans lïntérét même "de la. "l"tlle et des. environ}, de consacr<!r quel~es lignes ù ce nou\"elétablissernent. On croit que dans lé nouyeau gymDase, qui remplaœ le lYcée irnpérial, et qui doit s'ouvrir ver3 le milieu de mai, Je· français sera complétement écar:é du plan d'enseignement. Un pareil projet n'est nulle· ment dans les vues dn gou"l"emement impérial. Au contraire. et quoique Ja langue aUemande doire former la base de r enseignement, on y compren· dra,,déjù pour les classes inférieures, 3 et 4 leçon; de français par semaine. Le changement. de la !i· tuation natiooa.le de l'Alsace n'est pas une raison pour exclure l'enseignement ùe la langue fr.lnçi;e, qni restera toujours importante pour nos ply> de frontières, ab3traction fuite de toute> les belle.• œuvres qu'elle a produites.

Sans nucnn doute, le gouvernement impéri&! ne t:ourra appeler aux fonctions publiques que ceux qui auront reçu l'enseignement préparatoill', tel qu'il sera donné nu _nouveau gymnase .. Le; déterminatlOns légales qu1 donneront Jo dro1t de sui \Ta les études uni\"ersimires, a;JrèS un enmen passé au gymnase, seront.publiéeij procbainemeot. On peut s'attendre aussi a ce que la même orga· nisation •oit introdp.ite, dans un avenir pen éloi· gné, au gymnase protestant.

ANGLilTEI\RB

CHA:.IBRE DES LORDS. - ~éance du $ mai.

Lord Camanon, dèmandant le rele..-é des f~r• ces d ·artiUerio en ~gleterre, rappelle la. leçon reçue par les Français pendant la dernière guem touchant la supr&me importance de .l'artillerie dans. la stratégie moderne. §uivant le noble lord, l'artillerie anglaise P.St considérablement au·de;­sous de la proportio .. adoptée par les armées COD· tinenta:les1 et le nombre dPs batteries e!t réelle· ment nu-dessous d'un chiffre voulu pour une ar• mée eh ternps de paix. Au lieu d'avoir rnoins de ~00 canons, Je ministère de la guerre devra1t, pour une force d.e 300,000 hommes, .avoir 900 canon; bien équipé~. et cela indépendamment des réser­ves, de la force des garnisons et•dcs défenses do littoral.

Lorrl Har.iinge exprime le regret que l'artillerie n'ait pns r!té plus fortement accrue.

Le dru: d'A rgyll. Je ferai ob serrer quo la ré duc· tion de huit b:~LLerie~ n'artillerie dans les Inde; a été r~solue a>ant que le ministère de lA guerrè a:1 décidé d'a\lgrnenter lt>s forees d'artillerie à f in· térieur.

épomantés quo ceux des fugit iîs. Les nam· mes se projetaien t-sur la-mer à une immense distance; guid~ pa r leur réflexion , le cano: g.1rda longtemps la dirëction projetée.

TouL à coup, ils s'en éloignèrent avec uoe rapidité telle qu'elle les elfraya: les courant; les entrarnaient dans la direction de la haute mer.

- Laisse aller ! commandu Richard, si la Pro\·ideuce nou~ sert de \'Oile, fions-nous à elle ; faire force de rames pour lutLer contra ces courants serait épuiser le peu de force; qui nous l'estent., ne le t~nto~s pas. . .

Comme il se pourra1t qll: un ,·atsseau fut at tiré par la lueur de cet 1mmense foyer, l aisse aller! Nous aurons plus de chan~es çl'être recueillis pa1·lui sur la haute merqu·.en lémgeant les côtes d"où nous ne pourrions 1 a­perc~'·oir ni en êLre aperçus.

- t:~st vrai, dit Tom. Saint Georges t'en· tende! et j9 j ure Diea de. faire neuvaine i la première :t:Q.te chrétienne qui nous ac• cueillera. ·· ,

· A ,·ec l'espérance , la foi renaissait. . Le vent se mit de la pa1·tie, l'embarcauoll

fila plus rapidement. ;., ,_,,,(,oq - Brrou! gromtnelait oaïd, cet ~ e

de N eptune soufD.edans s;~ doigU sans s'aper· cevoir que son courant d ll1r nous frappe.~ le dos . . • Ah 1 mais, ça n 'est pas hnmrun ~ laisser des chrétiens s 'enrhumer de la sorte· Fermez la porte, s'il vous plan?. •• H~ m~nt·.que ma blanchiueuse adn lin~ à ~

_ Jlll.rdonnez, .. . c'est plus !ort que moi !" J'ai m'on frère TholllJlSOn, le boxeur, le jour où ;peur, j'ai pew·r. Oui, plus tard, ai TOUS je .t-erutrerai dans la Cité?... Allons ~one 1 De >ous ét:happez, vous poirrez. dire que ~ viet u matelots comme -nous ·ne dot vent pas ~vez vu un vieux mano de-l'Océan, ~ \!leux Pteu- ·œmme•des fem~es qui assistent à Joull da mer, ple~~ ~.2!1EA~.\\P~Saw.-lUl_ _~~~ ... ~RU.~.~Jll

Entièrement embrasée, l' .ile e"O.t pu être un _ __ --~,!!!tl.~-· ~ ~~ClW!l~eJ. :i"~9.iQA • ._ jLt;IJ4jH_I.aéMJ~ • •. ~

CHAYBJ\E DES COMMD'E5, Sir R. l!llennerhassel dem

taire d'ELat des aflitires ~dance a eu lieu entre et les gp-.,vernements Pru~se et des Etats <O~nnil· • •·ol

touchant la dernande faite gou\'el'tlement franpis, au Chier lla. France la fn.o•or o.e.,.

'partie des provinces prussienne. Dans le cas m) ilallee aurait E':tist~. voit-on la déposer sur Je bureau d~ la

lord Enfield. On a parlé, i866, d' une demande faite par sion de Mayence. à titre de com grandis~ement de la Pru,;se (' demande est tOmbée ('nsuit!', c correspondances à publier à ce

M. Gladstone, répondant :l déclare qne le poste tle lllin · Pékin n'est pas vnc:mt, ~ir Ru~ ministre anglais ; il est venn e~ terre, après quatre an~ de r.!;idl M.. Wa<le y fa1t les fon clion;: ù Ce choix est d'nuLant meilleJ homme d} talent, possède pa.! naifsanœ de la langue chinoise

- Noas avon11 reçu la noLif aprês:

Fore' Lord Lyons télégraphie de

reçu d!J ministre des alfaire> ti~ -un . avts ~rtant. qne tont vo~ nation alliée qu'1l appartienne, duire, à son entrée sur le terr ~aepor~ régul ièrement siqné o tran~ais. (Dai/y Tel1groplt.) ' .

- Les t;rè"l"es et les fermetut nuent d'être jusqu'à présent l1 YuUima ratio des ouvriers et c avions supposé que ln principe fait quelque progrès en diplon l' industrie ; mais no tre suppo• sée de fond en comble dans 1 d:abord par le mnll:Jeureu..x cc œs di:t ~emiers mois, a ravo:.;· second heu par la luttR ii Gntra Ee sont jetés les atelier• de üld Il est difficile de dire iaquol'~

fut !9: p_lus déraisonnab:e. J.a • ~st ridiculement mesquine. ~ 1 ac~ des manufactures, 60 h .est le maximum de la dc rf>e c vrieri de3 manufactures d"Oldl ter_nps trop long et ont in:;iHé J vul deux heures j:.lu; t ôt. le sn l'midi au lieu de t.leu:t heures r gain 'de deux heures par sEma de peu d'imporLa.oce pour chaq1 ti~u li~r. tandis que pour 16s p: phcatton de ces deux heures p: des. ouvriers constitue la pet te portante. Néanmoin~, les pro

htures ont partiellement cédé et eure aux ouvriers. Mais ceux-r

tisf11i~s de cette concession. Ils clllllet· deux henres · rt il en e1 rendant au tra"l"aillu~di matin, .tes closes.

Depuis !orB, les ounier3 se 1 ~!és à abandonner une partie tiona. Ils consentent à renoncer en sorLe que, au moment actue·

dilue dana l'un des pics grands c u Lancashire. et des milliers d

!lacé!! de fairn, taudi!l que rles ;rons d~ ~latures sont exposés i d un_e-d11Terence d'une demi-het e cmquante-huit heures par 1

IJIIe le principe de l'arbitrage tri• ·4~Jkrê.vl~ndra un dé~astre dl\ns . ham. (Globe.)

. . ESPAGNE

~"crlllblée républicaine féd en meme temps ~ue les

~po&itfoil de M. Safvecuea, p ~ nœnaentant de l'assemblét ilét Commune de Paris, llt ~~lv~ véridiques de ce ~

~; ÈnallAJ~agne, la propagatio Il lfllt annanoo. Les idéas ~A la faveur du dé&orc t""!'JIJIIM' Lt..Jtaœ rjpuh\iw

Page 3: Le · t. JOURNAL OFFICIEL DU SOIIf !2 Jüi-41.871 toyens indistinctement les bienraits d'une udministratioo ferme et équitable. Forts de la collab01·atioo du comitti de vi· •

de l.a lan.dv.·ebr ha\"aroise r envoyb dans Jeurs foyen. ns en France p:tr des hommea des

de ligne. ,

du reicbstàg chargée d'eu. à l'annexioli-...de l'Aiaace. a commencé fOn tra;aiJ

r apporteur; : M~f. Frieden:

'JX allemand3 font observer Le naguère par M. qe :aismark à l'empereur Xapoléon JI[ dè cé­France, n'est pas nouvelle, at·

t déjù t rouvé place dan> une cir· f UiSEances fe 29 jui llet j870 purs à peine a près la déclaf

•;. ,,~J,prnor>nt encore une idée fausse du but du n om·eau qymnase; il s bor~ de propo.;. dans !'intérêt

et des en-;i rons, de conaacrer nouvel établissement. On croit

gymnase, qui remplace le doit s'ou\"ri r veu le milieu

sera complétement écarté du t. l: n par!!iJ projet n'est nulle·

u ~ou>ernement im~riai.Au Ja langue aUemande doi•e

on y compren­nfér ieures, 3 ct 4 leçons

Le changement de la si· !sace n' Pst pas une raison

cie la lanr;uc f: ançioe, te fOU r no5 pay3 de

e t.le toutes les Le!le~ •tes.

, le gotn-ernement impérial aux fonctions publiques que

· l'enseignement préparatoi re, ua nou •:eau Œymnase. Les

~• •JUi donr:eron~t" Ir droit de univcr:>itaires, a ;Jrès un enmen ~eront j.IU!:lliéc3 procbainemen.t. aus~i à cc crue la ml!me orga-

dans ur1 avenir peu éloi~ protestant.

GLETERRE

mai.

dè lllandant le relev~ des for"' rappelle la leçon!

pe!ldant la dcrniè~e guer~e :nr i:nportance de 1 aruller;e

moderne. Sui>ant la noble lord, '~ I'St considér:?.blement au-des­

. adootée nar les armées con­nom brP' dPs 'batteries est réelle­d'un ch ïn"rP. ,·oulu pour une ar­

. . Au lieu d'a,·oiL· moins de dr la guc•-re devrait, pour

llotr.mes , a•:oir ~no canons cela indépcndawment des rése:-­des garm; ons et del défenses du

0' prime le r~~rr.t que l'artillerie r,, r· ' me nt ac .:r ;.:, •.

Ju r-':aio :-,;~r·;~r qu e ln réduc­rÎI' " rl"artiiiP:·:., d~ns les Inde~ a rp:e le n:inistere de la ~uerra ait

J ·• iorc'!s d"artill<>rie à l' in-

•:.:ux de; fu:.: i i i!s. Les fla rn-' t sm la mer~ à une immense

IP. m r éfl exion. lo cauot la d irc~tion pr•?jetée.

"' s'e n ,··loi!:: n(•rent a\·ec une · ,,! i·~ le5 etfra;·a : ies couran

t ua n; 1 ~ Ji r~ètion de la bau

l2r! .;ommanJa ll ichard, si ' f~ t·t de \"Oile. fions-nous il uc rames pou i· lutte r contN

t éuu iscr ie peu de t. n e Te tentons p:~~ .

pourrait qu·un ,·aisseau de cet immen :;e nurom plus d o

par lui sur ia ha ute me1· . d"oü nDu: ne pourrions l a­

n .?tre ar .. ~ :·.: u:; . i, d : t 'fow. ·SJint Georges _t'en·

Dieu de Jaire n euvame à chrét ienne qui nous

,~-r t~'t -~~. i~~ ...... ~!!!!!!!!!!!!!!iili!!!~!!lll'll!!!iiii!iii!:i!i!!l!l! .... ~ ·~ - ,., k 2 t LZZSLJ Ad..- . ~! ti

~ord.Malmesbu!J: dema~de si la ~iijco ne po~r- hli, déP,?J.dé par les socialistes et les communis- - Lïnter\liction du congrès do Bordeaui p~r ie gou- "': Pari§·lorcma.~ rappqrte qu'il Rochefort on a Li'Ou'·r, rJit pas êP"~e.rcce auJj.r des ~~ au h eu téS.; ce q,u· n'a pas péh cpntribu~ ;\ce résultat; té i·ernement de Versai~ ei!t tôiisidérec'}ttll'~a presse t.lna~l'llrn& 1,389bllUetins avec oette simpl'l men\ ion: d't!tre résenéC ~ur les ,Pièce} ~art~er1o do gar- sont les ~·mpathic~ exprimées par la minorité .fé- de Puit coQlme devJDt nécéssai~tl!lmt ~r llne u '• Po(lr 1~ ColXUDwie de Pni.s. ,; llÎ'Oll· On po~t ausSI ex.e!'Cer la mthce au ~r· déraie du CO'lgrès en fa\"eur·de la Commune de r~:e:,t pellt~te Il~ fmll[l'IIÇUQll. ~ &I!UU la " ' . 11ce clas m1tr&lll1111es. · - · ..... Paris. les idée~ émi~es et commenté~s dans les Celte uOt.11'elleo. !dut~ Be 'lf. tn1ierJ.et M l'a<J~I!!!Iblfe ~ J~i!llf~'~' c:citillllu'e s~ ~Y~t;me. d'iDil!raÎ et ri~ ca-

Lord Airlie .e:tprime l'espoir "Gue l'artillerie de CO!Jiérence~·dominicales de San I sidro·par les é u · rurale, t\ en juger pal"' 183 protstllions ql(wlle !.OU· Jomm~S. - · C!{al{ne m~su rP. .1m se. cb~qu~ q~~ ret campagne ne set:t pas sacrifiée :ltLt dépem de vrter-3 de llnt~rnationsle. Un. journal de Ynlence lén~ d:l.lll Je:._loùruau" !~s moi11; fu·:or.1 l;l!~• ~In Corn• r~ndu pat· la Commnne ~s1 l" llhjet d~ se~ nppr~r. ia­J'artillerie de gamtson. a été j usqn'.t gtorifij!r l'u~,;assinat· del gi.' nêraux tnun'!; M peut aue :;ago~t· d~ nourelie>.syp:pnthips l ion~ ordur.ùr·?~ : .12 ··rqis. •lu reste. qu',! iui Mt di1H·

Lord :'\orth Brook, r tpondo.ntil lord CartlJlrYon, .Cl<' ment 'l'homas ~t J .er.omt.c. . à 111 c~ u·ë · p~ri~i~no~. 'O!.t'u<IYI•nd:·n+il s1. rom me ç·ilt> d'e11 Q\'oit· d"~urc<~. I.e> b"iP.n>, l-es par;onnes, le è~dare qu'une somJ?le :tdd ilionnelle de _500~000 _!iv. La F.:dcracion, dt;> P.orcelone', appuië c~s id~e~. nous Je croyons. dit Ja l"üitt,J ~~~ quamnto ou ein· 4roit, la, lib~ •· tJ. 5on•. d'c.pr/:3 \',!uillot. chuque jou, ··•rling ,·a etre depensée pour l'arl1llen~. L ne (Tiempo.) i{Utlnte vill~s de France les p!u~ imJlOrtantes nt tien-- maltraitt-s a wc une audace toujour; croissante. ;··rc·e d~ 33ô canons, qui serait le double dr> celle nent plB •:ompte dë cell'j- m,ehage,,e!· em·oient de~ dé· J·e n~'Sals ~i !e n·pe conntt sous le nom de Veuil~ ·• d 1 d · · < rr: · C f l ~gués i! Bord~Jux? ... OD·:~rrll bian alors ~i " la plus lot ~tlt-nous- t'll~yer au couvent de Pic:pui ~ur ,n:retenue ans e> ermere; annrt>;. suwr:itt - , Wê année , \'altado id céléhr~, pc.ur la ,1)€'1!1!. arme.,_ tpùi~ eu~ Je F'rance. , ~t qui ne v1ent apprendrd li respecter les biens, · le5 personoes, le 3!11plement pour la défense. Xotr€- ' arriÎI~ri~ ' est deuXjême fuj!, si n ou; ne nous trompons pns. •le P'S 1\ rll'lut •de Paris. ;·i~nùr.l ù bout <1~ J,yon, de dro;t et la lib~rul: 3"urément p lus for:e qu'aucune autre pour les i.~&lllliversa ire de la mort de C~cvantes, qae lu Bordeaux, do 1Iaroeillt', de Mont,P!liUer, du ilfans, de MAilCISI&-n:x.t.. bèioins d'une armh n~tionale en tempil de habltants de YaUadolid con3idèrent comme étaœ P~ritueux. d'Angers, etc., ~tc ....... 1)-~ Sii'cte ,ral~;·e les pai~ n,6 d!I!JS c~tte , ,ille ;, i i y a demeu ré longtemps, lllO I ~ « d'essises du r.omit\llni~e et tlè fc..r~bellionn • ~ <. ~ duc dé Cambridgelcroit ~'U serait l.mposT ~est l.a qu Il a compos& une P\\rtie de son O!lvra,.;~ · ap_,qli~nés nu congrès par 1"0{"/iciel de . Versallln

.,.ble d'entretenir toujours l'art!Uerie montée et de lJ!lpénssable et que, dans une mode• te mai'son "'d oi ô, s;'tlcrie·t·il, comment, il Versailles, oo ,tra ite 1 ' d 1 le d d " e3 bommes qw ente):!den\ s• vouer'à ÜQe' lUtte pnci· campagne e 'Ang terre 11ur un pie e guerre. ~~l Rustro, prè~ l'~Opital ganéral, encore èoMer~ fiqu~·de3 élus dû ~!ffroge unh·ersel ! •n'- Le 'Rapprl L"année dernière, nous av.i.ons i SO canons, ce Tee, 11 a éprou;e d amères calamités. (/d!m ) qualtfle de ,. menaçoonte et in~olente ,. la l)ote qui

Lea capitulard~ a ~lr*'l••

lin capitaine de bnreau.anbe, M. Trinquant, reçoit le commandement-dû poste d'Ain-~glïroat; , il a a~ec lui une compagnie d'infanlllfie trm6e de chassepot!, trois caïas, des soums, dea~ ·•pab1a . commandés par un officier. . ·.,, '

chill're a été porté à 33G, et a ssurémel)t, cela suffit • ' 1 interdit ce ~oDgrès.ll dum.ontrc, en ,o!ltre, que 11: loi ~ur les besoins dit sen-ice. Il est <louteux que -La dépêche sui Yan te est publ iée dans l'Epoca: !,io]lt Ar. Th1crs menace ln cêufl)onfle Bo•·deaux sap-l'Jrtillerie de la milice, a dmirable auxiliniri! de la JJ!i'!Ue aux c~nseils muhiciP..:tux e t non au:-: délt!gùi!s dHense des garnisons, puisse être exercée u tile- _ I.ondri!s, ft mai, 5 h. 1L2 ùu soir. tle~· ·con~crls: " Nons ne. saVon~, dit ce journal, ~ i le !il2nt pour servir en qualité d'artillerie da campn- Le gouvernement franca i . a autori•é· la libre gouvernement de ·VerM•lles vlel!dra à bout d~· n1ou-

d 1 te ). "té 1 1 •t • · 1 h • · · . , d"E • . xelllen~ q\IC çet~e me; ure ar~1trau·a va déterzpmer .en gne nns e mps tmt pour eque e. e est CO'l• 1n:porr.a:10n uu etat! prc\ enant spagne~ .P•,Jl r ._pro;·mce_, Sculeœenti jl .nura bea a iojurier, CDiommer rO'jcée. J.'c:sentiel est d'entretenit les cadres, ùe 1~~ ~o~b <!e-Cberbour.;'. dn Ha·;:e e r :!u sur.- oue%t cel!e honorabl~et Jiliêrole mDnife$t'on'ptmr la paix, iarlilleric et de la cavalerie . de manil>re à pOU\"Oi r ue 1· • ~ nee. . · · ' 1 et la lrailer "d"assi;e3 da communisme ;;, il ne !lor-10~meoter ces forces si J~s éventualit.és l'exi- ·· ,-iendra pr.s d.;so l'll1a.i~ ù faire c roire 'que Paris a E'aient. Dans toute3 ces ctrconnanc~;. la fore~ · · t'tlillre lu• ' 1<~ Fraqc~. » . , éartillerie, 'pour cette annt!e, doit Nre r egar Jée ·, , j Le t"cngr.ur démontre ~gnlement qve 1~ con~r~s comm~ ~atisfaisantP. Dlo.PÉCRES TËLËGRAPHl.Q UES s·e~t m.is en rêgle \-is-ù-,i~ de·"la loi 'ûont .M. Th1~rs

" b d 1 d · d 1 • ' · 1 le mcn11ce . . L'a~ticle 3 du projel.porte, en ell'at., quo La c .. am n> or on ne a pro t:clton es r(' eYe:l l' Je; inl·itat ions seront aùre$sées nomi.Dat~\'cment aux

demandés. (Times.) Lond1·es 10 mai. conseillers. municipaux, et 'i'ar ticle 4 dit que Je con-C'J.l.l.IERE DE · C0>.'1!L""'ES _ u lon'gue discu·. g~~· eon~ervi!ra 1~ caractère de réunion p_rivée. Ce

cn.1~BRE DES cOu1tn::ms.- Séa11ce du:; mai. . ' · · . , . · · • · . '!e . "' nest donc ·que par la plus flagrahte vtolauoo de ses s1on a h~u au ~UJe_:. de 1!1 p ropouuon ~e M. M1all, propres lois quto Jt gouvernement \olrsaill,is dioiOU·

Sir R. Blennerhassel dem ande au sou;;-secrr- tendant a abohr 1 cta'h's~ment de 1 Eghoe J!ro- dr3•t le conirl!> d~ ra pai~ raire d"Etat des affaires étrangères si une corr<!s- testante en Angleterre. )Hf. GladstOne et D is· · pondnnce a e11 lieu entre le gou\'ernemem anglais r~éli comb~ttent cet te proposition; qui est reJetée N le; goa,·ernements de F rance, d'AQtriche, ùe par 374 VOIX contre 89. Pru~:~ et des Etats secondaires de l'Allemagne touchant la demande faite en aotlt 18G6, par le •ourernement franpis, au cabinet de Beran, de ~der à la France la fortereSle de Mayence et Qne p3rtie des provinces rhénanes dE:" la monarcbic pru;si~nne. Dans le cas oü un~ telle correspon­d.nc~ aurait {':<:istl-, voit-on de> incon\'énients à ia J~poser sur le bureau de la chambra ?

vml En11eld. On a parlé , pend~m !"automne d ~ iWi. d' une demande tilite par la Fra a ce de la ccs­!:on •le Mayence. à t it re de compensation pour l'a ­crn~di~;~ment de la Prusse en Allcma:!ne, cette demanrle est torn bée ensuite, ct il n'existe pas dP. corre;r.ondances à. publier à ce Htjct.

X<!\\"· York, 9 -mai. l e.> trùupes du H ùuduras occupt?nt San Sal­

vador. Le> mouv.:'m<n~s rt.l"olutior.naire; du · p~rou se

soot ét<md;:s ju~qu'à L.irlla , Des ::tvis de Valparaiso. en date du i 7 ani!, an­

n oncem q:Je la nène jnu.ne, dans ~u p:us haute périodP, regne dans cette ville. (Havas-Bullier.)

T a xe d e la v iande d e b oucherie pour lea boncher le s muulclpales.

· Le; jonronux du ~()ir commentent la d~claration du ~;ouv~mement de Versailles au sll,jet · du c.oagràs de Horrl~aux et en tirent de:< conçlusionsqui ~nt toute~ favorab!e; il. la cau!e de l'in(lépendance communale.

Cette r éunion de Bordeaux, die • l'Etoile, devait a mener la solution si :u'Jemmeot désiré~, l:t solutiol1 sans tran::action d'aucune 11art, la !Olution sans vain· queur; ni •.-aincu~. la iolution ~érieuse donnant des q:tro nti 'l~ Il tous ceux qui v~bl ent un 8\•cnir de tra· vailet ùo règénêration; c"êtai t le salut. Mai~ M.'fhiers ne vout p~> de concilia1wn ... , il veut Pnrjs a!fam~, Par.is bomlJ~rJé, le sung partout, et la mis~rè et la moJrt. etc. etc ... Le gouY~rnement de Ver3ailles \"ient ri'l faiN une grande fautè". et sa r~sponsabili~ est chaque jour plus lourde dao; ce conflit int~rmina· bl~. qu"tl n"a su abr~ger n i par la fo r;:c, ni par sa pol ; ti tf U f~.

M. Glaùstonc, repondant à une int0rp~llation. d<'dare que le poste de ministre d'Angleterre i1 i\0 u3 c1·nignons b ien, rlit 1~ Jotcrnal ,de Pm•is, que Pri;in n'm pas vaclnt, ~ir Rutherfor.ù Alcock P~t 1 A tia rt ir ùu il mai, la viande de bœuf et qc la décla•11tion du gouvernement niait d'autre résultat m1mstre anglll>; Il est YemJ _en congP Pn .'\ n;;le - , mouton ~e·m taxée pour ~lr~ Yendue dnns les prix 'lue de changer en un ~v~nemNlt ce _qui ,éta it deswu.; IA!rrc, aji~<s qt:atre an~ de ré:iidencc à ce po>te, ~t ! et conditions ci-d<"s;ous. â n'ètre qu'un {ia<co . Da re>tl•, 111. Hen·é continua à. M. \Va(\• y fa1t les fonction~ de chaqé d" all"u.•r~s. ! Art. 1". L!!~ citoyens marchands boucher; ne , t rnile! ln C~m~une " d'odieux règime qui o~e oc Ce cbo1x · e;t d autant .m ellleu_r _ C]Ue ~L "ade, pourront mettre qu'un qaart d'os par livre de

1

c-3nrrtr de lmfame drapeau rouge. • homme ù l talent, posse~e parla1t~mcnt la corn- viande, à tilre de n!jouiS$:1nc·c. · natesance de 1~ langue chmoise. (Tunes. ) Art. 2. Tout acheteur a la d~oit de faire désos- De ~on eût~ l'Aranl-Gardc s·auaque vigou1·euse-

. . . . ser ea \•iande s.'il prétend qulil y à. trop d'os dans ment il M. Tl;iers·qu'il trnitè d"affreux despote, et -;- Nous a\·on• reçu la not1ÛCat10n offic1elle ct· le morceàu. . j qu'il accuse dA vouloir abuser la province ou fa trom·

apre• : T'l.'i:E DU BOEUF per par des men;ongas od1eux, dans un but de pure Foreign ofûce, 4 mai. · ,. et vulgah·~ ambition.

Lord Lyons télégroph~e d~ Ver~ailles qu'il a il t•• catégorie. ----n!Çu d~ m1mstre des atfam~.s drangeres ~e France · Ln c0 , 11 ,nuru: f~lici~ M. Thiers d'avoir t:;·oqué la un, 111s ~ortan~. que to_ut voyageur, a quelque :-\ !.:.~·au · ·: · · · · · · · · · · · le kil. j' Jloi de 1855, "loi impërialC', loi de despotisme" et cle nat1on alliée qu tl appartienn e, est tenu de pro- .1 Tr:u tl de cu!e. · · · · · • • • • ·- 1 muloir plon!l'er la France entière dans ln guerre ci-du ir~. à son entrée sur le territoire françai~, un 1 Tranche au petit os··· • -'- 2 fr. , vile. A ce dMI, dit la Coumnmt, le~ grandes villes de passeport réguli~r.:>ment sign~ ou \"isé p'r un agent Gîte à .la no.ix: ..... . ·• ~- - ' l'rance oe pNwetlt répondre qu'en proclamant let11' ~nrais. (Daily Tel~oraph .) Tranche grasse.. . . . . . • - mdépcndnnct.l.

• C•tlotte ...• . . . . .... ... -- Le;: grè>es et les fermetur.:>s <l'atelier3 con ti­

nJent d"oltre jusqu'à pré>en t la dernière rni :>on. l'ullima ratio des ouvriers et des patrons. l'ious

1 "':ions supposé que !Cl principe de 1 arbit rage aYait fait quelque progrès en diplomatie comme dam l'industrie; mai~ notre suppo~ition a été rem·er- ~ 1ée dû fond en combll' dnns l'un ct J'autre r.a•, d'abord par le malheureux conflit qui, pendant r CfS dix derniers mois, a ravogl: la France . et en ;~:oncl li!'lt par la lutte à vn trance dans laquelle >!;ont jetés tes a teliers •le OJJh-~m.

Il est dillicile de dire laqttelle des deux nl1hircs fut la plus déraisonnnb:e. L a querc!le cl"Oitl ltam ~t ridiculement mesquine. Sou~ l'autorité dtl lacte d~s manufactures, 60 heures par semaine m le maximum de la durée du •ravail. Les ou­vrier;; de3 munufactures d"Uldham ont trouyé ce tem?; lrop long et ont im;i>té pour quitter le trn· rad <leux be ures plus tôt le sa m~di, r.'est-à-dire à l!lidi au lietl de deux heures de l'après·midi. Ce ~am de deux heures par semaine est une alfaire d~ p~u d'importance pour chaque ou nier <'n par­llcuh~r. tandis que pour les patron s ct la mu lt i­pltcat:on de ces deux heures par le nomLrc total d~;.ouvriers constitue la pe1le d'une som ne irn­PGrtante. l'iéanmoins, les propriétaires de fih­lllr~s ont partiellement cédé en abandonnant une heure aux ouvriers. Mais ceux-ci n'ont pas été fll­l!;fait~ de cette concession. Ils ont persisté à ré­clamer del.! x heures ; e t il en est résulté qu'en se rendant au travail lundi matin, ils ont trouYé por­te; close;.

i • Ctl i!':]OI'."e.

Paleron : ..... .... .. ... le kil. \ Talon collier.. . ... . .. . - 1 Plat de ct1!C'... . ... . ... )• Da rette d'aloyau , .... .

3• mlf!gor ie.

I~v!t.rine de bœuf ...... le kil.~ Lo.her .. . . . ........ . . -Rond de gi'e....... ... -Surlon~c . .. . ... ..... . -(;rai :o!'"e de rognon. . . . . -

80

t 40

La ri ande ile bcrÙ{ d~sOSltie sera tax~c t'O•illl!e suit :

Entrecôte ..... ........ lo kil. Z fr. ia Faux filet. . .. . • • • • • . • • • 2 75 Filet. . . . . . • • • • . . • .. • • . :1 30

TAXll DE LA YIA~OE DE MOUTON

t'" caUgor ie.

~igo~ . ....... ... . ... . le kil. ( Glrre . . . . . . . . • • . . . . • . - )

"F ilet...... ... .... . ... -

i• catégorie.

Epaule .... .... : . ••• .••. le kil. t

a• cattoorie.

Poitrine ......... .... ... le kil.

80

20

Depuis lor>, les ouniers se sont ·montrés dis · · \lôsés à abandonner une partie de leurs prét~:n-1JJns. Ils consentent à renoncer à une demi· heure, REVUE DE LA J?RES&E tl :orte que, au moment actuel, la grève con"ti- . . Ltte dans l'11n des plu3 l?:.ands centres incl uslriels . . . . . rl~ Lancafhire, et des mtlliers d"ouvrier3 ~ont me- Le Temps,_ le 5&11: et le Gaulo1s r~prodmsent le d!s--nact\s d f · d' 1 · · 1 1 cours du prmce B1smnrck au Re1chstag de Berlm. tr · c alm, tan 15 que Ses. vmgt~me~ te P:l· Le Soir anall·se seul aujourd'hui ce document et con· _on~ cle filatures ~ont exposes a la rume a propos • tate quït est forci• d"admirer la profvnde habileté

~ un_e dillërence ~·une demi- heure d~ns un tra\'ail {1olitique du chancelier allemand. ~ui;·ant at~entive­e CIOquante· bUit heures par semame. Espérons ment son discours, M. Et. J unca d1t qu_e. ll•smarck

que le principe de l'arbitrage triomphera cette fois s·est .:mparé d'une situation ~es plus difl!clles et met et pré,nendra un désastre dans l' industrieuse cité du même coup les deme pron nces conqmses en _corn· _d'Uldham. (Globe.) mua par tous les princes allemands dnns la mata de

ESPAGNE

M ~asselllhlée républicaine fédérale, qui siége à a n~ ~ même temps que les cortés, a adopté la

PfOposttton de 111. Safvecbea. portant nomination f ~n représentan t de J'assemblée ch~é d'aller fé­dCiter la Commune de Paris, et de lu1 transmettre

(;s nouvelles ' 'ériiliques de ce qui se passe là-bas. • ]lOfa.)

la Prusse. · . Le même journal et e.vec lui le Français et le P11.r1S·

Journcll signalent les plaintes des journaux allemands au sujet des lenteurs des négociat ions de Bruxelles et les embnrras d'ar~ent résultant pour la France de )"énorme indemnité a J?&yer ù ln Prusse.

C'est encore dans le :Sotr que nous trouvons la nou.­velle des troubles de Foix(Ariége).Oans la nuit du3 nu ~courant des groupes nombreux ont envabi la pré­fecture. Cinq_ délégutls sont allés demander au prëfet des explications sur Je départ pour Toulouse. des batteries d'artillerie des mobiliSés de l'Ariége et voulaient le forcer il donaer sa parole d'&'onneur que cetto arlilfcrie ne 3ervirait -pas coJlltf Pari&. Le pré· fet a refusé de répoadre et · a pu, avee le CQDCOUI"' du ti• de ligne et.de la gendarmeri~, se rendre 111.~!-g~ ~~ti~%~·- .

L'.4 rcnil' nalional q plm loin encon·. Il est impos-siblt', dit-il, dïmagin(;r une pot:liquc plus étroite,

! plu3 a1·eugle, plus capable ria collduU'e Ja f'raru::e à. une rnine déliniliYe, que celle t!Oilt ja nole Ùll gour

11 ,-~rnrment \"èr5a illnis est la mnui(cslation. Co j9urnal c~pèro que 1~> citoyens conYoqué~ au congrès ne tiend•·ont :utcUll compte des ob~er\·allons ou des IDOO nucl•s qui r,•ur sont ad1·~ssées, et termine ainsi :

1 " Nous sommes dans ua liA ces moments oi• les pc<Jples Yirils jel tcnL lés fondements de lem· liberti> · J"nlur.:> en Sllchnnt opposer nux mesures arbitraires une iuûbranlnblc r;',slstauce légale, et nous sommes certain •1u"aucun de; ciloyc>ns qui se proposaient de se rendr~ it Bordeaux no ruilli•·n au de\·oir, qui lui inr:ornbc maint~nnnt plus impérieusement que jnmais, d"a flirmor t•) droit et d!l concourir ù ln reoonnai~­;;a.nce ùe la liberté de réunion. en ne tenaot aucun compte de la nole eomminatoire publiée par te Jour­nal o{ficrel de \"ersa ill es.»

L9 Tillus,qu<' !"on ne pent pas nc~use•· de socialism~, contient rnwréciation suiYante de la conduite bal'­bare des n~sassins de Ver;ailles.

" ÛD ne peut, dit toujours le Times, lira les let tres de Ver~aille~ décrimnt les lJoucheries accompli~s de S3ng·froid à Clamart et au Moulin-Saquet saas fris­s.JnneT d'horreur. Telle e~t la guerre,. civile en France, à la fin du dix-neu'lième siècle, et les ministres qui relatent de pareils exploits il. l"nssembléa de Ver­sailles, foot soigneusement ressortir les actes de fé­rocité par lesqnels ils ~o w nt signalés. Bien mieux, !Il. .Thi~rs est hideusement fa040tieux. quand, dans sa circulaire relat il·o à J'affaire du Moulin-8aquet, il nous dit que " les insurgés laissèrent 150 morts ou blessés snr le champ de fia.taille, (lorsque, pour dire 1~ \"érité>, il n'y &Yait, pa; de blessés) et ros autres (c'est toujours ~L Thier> qui parie) s'eùtuyaieat aussi vite que leurs .tarn beA pom·ment les porter. »

" Enfi n, pen•lant la nuit de mard• à mercredi, les troupes ,·ersaillaises s'avancèrent jusque sous les murs de Pari~, et l'attaque n"eut P,a, ) ieu, pour une raison q ue, d'après le télégramme, 1l serait imprudent de relater. C'est le second coup de main du. même genre .manqué,. nous assure notre corre;pondant: p!ll'ce q uo !"espoir d·un mou·.-ement intérieu r ne s'est pas réalisé. Il est effrayant de penser aux dévusta­tions et à l'effusion de sang que AL Thiers a déjà in· fl igéèS à Paris dans !"espoir <!"un événement heureux à J'aide duquel on arriverait à soumettre cette ville sans e!fasion de sang. » •

L'/nJe/'l!ational se fait le défenseur des princes d'Orléans t't blime vertement .llf. Thiers de les avoir fait expulser du territoil·e français. Par suite, le jour· nal :mglo-frnncais ne contient aucune insinuation bonaparti~te. ~es princes' d'Orléans sont seuls sur le tçis, seuls, ils pel,lvent « assurer i. 1~ Franca le re­tour .de l'ordre et le!! bienfaits d'un gouverDemeot durable. n On le voit, Je mom(\llt de faire pnraltre en scltoe' le héros de Sedan ne semble ~ opportun, ~neme anx machilli$.tes de l'loorAGtio]laL .

l\ reçoit uu convoi de nvres de neuf cm tl mo• lets destin ès· au ra"9itai\lement de la colonne. A11 ' moment de faire partir ce convoi, -tl mûnd diN que l'ennemi est prqde là ; . .!_ussitôt il envoie les troisl:aïas eiït)àrlêmentaïres; ceux-ci re'•iennent !lUe,lqu_el iD5UAllts après 1 • rapporWit o;qu' ill' avatent \ 'U le hach-a~ba, l!!fluel Jes a\'llit chargés de dire au cllpitainè ('îû'illu•~p-.rll!eltait de se re­tirer avec aes qom~e, auxquela il ne aerai~ -rien fait, mais à )a CODdltiOn eX(!reSae d'abandonnêr le convoi de t\·ivres: et ce brave oftlcier, au lieu de: rapouaser a\'ec indWnation une .emblable propo­sition, d'attendre !attaque de pied ferme, •'em• presse d'obt~pêrer à l'mjonction .du Mockl'IDi, e. sans coup férir, S4Iis essayer de tll'eT un coup da fusil, sans a.ttendre,un renfort de i 20 h9mmes, ca-. ulerie et zouaves, qni lui était annoncé .J!Our 1~ journée, maigri l'a vi~ contraire au capitaine .des troupes, ordonne !!évacuation de la place et hvre à. l'ennemi te bordj crénelé d'Aïu-Taghront avec tous les \'iqres don~ s'~mparent aussi tOt quef a• ques.pillards, sous les :feux de cette va.illaiUe ar­mée, qui est fière d 'eif'ecluer sa retraite en hon ordre. . 1:

Il faut que ces ofiiçien soient traduits devant un c~nseil de guerre. (4 /gérie française.)

·FAITS DIVERS l '

L'église Saint-Laurent, qui attire l'attenf.ion depuis la découverte de plnsieurs squelettes hu~· main~, ·est toujours fermée au public. , Le.~ abords de l'église sont gardés par plusieurs

sentinelles; one foule noinbreu.se, com_posée en · grande partie de femmes, !ltatioune slll' la place el dan• les rues adjacenies. ·

Un factionnaire nous a dit qu!op a!lJ.il trouvê~ sous les marches de l'ante! de la Vierge, tro~ !quelettes d:e femmes &Tee des , •êtementa; on au­rait aussi découvert une épaisse chevela re blonde.

Ces ossement1110nt dllposés dan~> l'église e& phoo togrnphiés, en attendant qu' oa fes expose pnb_li• quem.ent. C'est Tendredi, parait.il, que doit a,·oir. lieu l'e:tposition.

L e Courrier de l'Et<re nous donn(3,,ur ~lat dei recoltes dans ce département db nou\·ell!l~ etcel- · lentes. }.es blés, les avoines, lei trèftes ro'Q8è~ même, qu'on avait cru perd~;~s, ~s po~ et l es vesces, sont d:tns un état parfa.1t. Les cobas aeula,. dans cette contrée, ont beau_coup S~)l!!'ert. Les ar· '· bres à fruits sa sont un pen dêd1ts ; q!lant au~ pommie)'S à ci!lre, tout indique qu'ils donneront cette· année unè r~colte a bondante. . :

Dans un grand nombre de \'illes, le ~eond tour de scrutin pour les é lections municipales est en• core plus fa\'ora!Jic au,-; républicai1_1~e le ,·ote du 30 avril. Leg radicaux l'ont emportj à Lyon, à Marseille, à Bordeaux, à Ca)lors, :i ,I?érgax,). A v ignon, à Desan~on, ii Melun et l Toul?"t'~, . -•

Le Monitellr des Communes constate qn ;\ 'Ih1ers, sur 2i élns, 20 appartiennent au parti cUmagogi· que.

No& lecteurs savent ce que veut dire cU~~~agog(qtuJ dans la bouche des. Versaillais.

Lea avis de Bnenos-Ayres portent que Ja fiène jaune continuait à faire de grands ravages dans cette ' 'ille. La moyenne des décès, par jour, l 'éle­vait à 700.

Le Patagonia a ramené l'équipage du navire .America. de Bordeaux, naufragé à 30 lnilles an sud

· du cap Pillar. L'équi,page avait été rec11eilll dans le détroit de l'llagellan, après que le cniainier eut succombé d'épuisement.

Deux fortes secousses de tremblement de terre ont eu lieu le 25 mars 1 Valparaiso. D,ans plusieurs ;illes, l'ébranlement du sol nvait fait tinter les cloches par su ite de l'intensité de la commotion. Les domma.stes constatés sont généralement peu considérable~ Qaelques maisons ~em!!nt ~nt subi de légères a\'Uies; perapnne n 'a p6ri. (Écho de Londres.) ·

Les graYes questions soulevées à fi(anUte pour la réforme de l'éducation publique ont causé une dangereuse excitation dans le pays. Le capitaine général craignant les conséquences de cet état de choses, a consenti à accepter toutes l•s protesta tions et les réclamations qui pbuf1Sient Jui être 10umises, et 4'y faire droit autan& que ~Siible.

On avait appris la noutelle da dêpart de Madrid du -~néral l8lltlierdo, que l'on n' at&eDclai& pu i ' Mllllllle avant les premiers joun d'avriL ·

Une·harque russe était airlvêe dans le pprtavec· des.jotll'llaux des Etats-Unis, contêDID& la ·noa-' veUe que plllllieurs pro-.inces d'Espagne a'êt&lei:ll soulevée&~ a~ie»& proclam6 la ripù!iquë. •

Page 4: Le · t. JOURNAL OFFICIEL DU SOIIf !2 Jüi-41.871 toyens indistinctement les bienraits d'une udministratioo ferme et équitable. Forts de la collab01·atioo du comitti de vi· •

, . ,

W?

ti~idémiea, car ~ous ~von~ ~ ~~ ro~ le c~olêra; le · plKe . prisë. Par ~ éollèp privilêgié, un În(!rt cie , v~eiLl-.Îe· _:. ~ucoup ~van t' pe~ · -t~ ph us, la fièvre Jaunt e~ ~ pett_fe. vprote, qui font rentier .qni apprend le ~de son banquier moW'1'0ii't !-. u~ent r . ·TH:S·ATRES t~n gra~ nom~re de vtctiJJ\es, aurtout parmi les pour les 'Etat!t-'---unis -n~'èst -· plus d.&.ft·;;..,__ • EJpagnO•s et aiù!es étrangers J!OUVJllJement uri- bll di ~· , ...- · ~"""-. . .. ' ' '\'es dans le pays et qui sont sani moyeils-nour 10 .lement ec ~·h~e qw,a fait d~ux~ ll drai' . * * G;:rïDDaSe. - ·'lb. 1/2. ..:. Lè gttiild euccês ~"'-laire soigner. · · · c; . beues JIOur · les PrusSiens devant Saint- . fau 't pourt.ant voir quelque chose pllr Fernantk,_où non~ avons eu le plaisir de~

Denis, •et qui~- parvenu au bord· du ·can&l, avant de rentter. Allons à Montmartre. On un de nos nnctens arttstes, M. All'red Blonde.. rnou s'entend dire: « On ·rie passe pas! 11 • patauge !lans la boue, le long des remparts, on ln direction à retarder de quelques joÎll'$ la ~0~

Nous étions pat·tis avant uu·di, mon com- e_nU.mbe les démolitions, on longe le~ barr1·~ slles ldks ael ll!?!'ame .Attbray. - Aujourd'hui ieu~~ L'officier médical attaché au district de Mary le­bon~, à Lon_drcs, annonce avoir, dans le mois de f~vrter dcrruer. pratiqué avec succès la reve,cèina­tton sur plus de 500 jeunes gens priDciJÎII)Imlent e~!?loyéS dans des ~aisons d'affaires, et. que jas­~1! •.cr pa~ un seul d enlre eux na "été attein\.pàr l,epuiém~e; Le ,.même docLeur

11 ~ute que dans

l msp.ect1on .qll il..a...eU-OCCaiio taire des bras de prè~ de 5,000 jeunes enfants habitant Maryle­bone, tl "-coo.st.a~ que G pour,cenc ;GU_environ du nombre to~l n•a,•aient PM été vaccinés et qu'il se tro1,1vait f f, pour CE'nt au m'oins sur lesquels les Jll&rques db. bras oéta,ien~ si peu nombrêllsea et si ,Jleu appllrenles que le vaccin pratiqué n'offrait aucune· .prot.ection sa\isfaisame. Il a conclu da eette . i~tion que œ sont ces ·deux classes qui fourmssent les maladeii aux hôpitaQx et que c'est aur la premiète 1es (nfln vaccinés) que le plus l;rand nombre de ces cas funestes se produisent. (Pail .Mail ~aulu.) · ... .. - .. ... _, ·-Asaoclatioa latehatioaale de• travalllelll'!l.

, ... t 1 1.

~iclion dts Carritr~s. - (Paris-Montmartre.) ' . S~c~ da 9 ;;1ai .lsïl,. . , ~

· La motion suivante a été votéè à 1'unanimit6.: · i:Ô!Isidérant qlle ta Commune de Paris est entr~e

~nl_lchemeJ!t dans }.a H~~e des l'éf.ormes p_o!iHques et Claies qll,l sont mdiquées darui notre d.:Cln.ra~ion

. e principes en 'tête de nos stàtuts; · ~ . Ln sec hon des .Carrières de l' Asèociation interna.!..

tionale des travailleurs .émet le vcey, . Çue la Commune de Pnri;;i pout persévérer damia

\•o1e.dn pr~rès. de l'esprit lîumain, décrète : • · : L,'mstrud~on laïque,. primaire et professionnelle,

-~bhgatotre et gratuite a tous les degrés.

..,- ~ u:anneet es uc;U;t; Vieili4rdS, laMaùon sam ~n{i r, pagnon et moi, ma,gré pluie, vent et brouil- tades, on se croise avec les tambours qui l'Autographe et le J'oyaye de M. Perricho11• a_nt~ lard; .· nous éti~n.s a'èroutrés en intrépides . bat_~ ut le rappel; on rencontre des gardes . G~té. - ? b,. 1/2. - Roouverture par les artiste., prêts à tout braver; nous avions rencontré ' - ,nati9.naux 9ui font l'ex~rcice, on gravi t. la reuniS en s_octétc.'l'ous le3 Jours, ta Gràce de n· la gare du Nord un cocher. obligeant qui de-' ~chaussée Clignancourt, 1 ean .nous fouette le ~:;a::::~~n cmq- acte~, ct le Prince Tolo, vllude\·i!le

1

~ vait nous dépOser en 'plein Saint-Denis. Un' 'visa~. Mais patience, le terrain ~-~s .. . · cabriolet à deux placet, - cinq voyageuis allons r -être; nous y sommes. . .· • . r ' , D~la;'Jsedme:.ts. - 7dh.· .t / 4_. .... ' Tous les SOir;

d .. " · · " c· t 'Il d Il . .es von.es e recs gran e fecrte en douze ~bit , ..

ont tro1s .emm~s; - . CJ!.lquante ·centimes "' es merve1 eux : e nu e .parr la vtlle joul.'C par JHl". Èud. Laurent Gouv· 0 Cl an~. par p_erS?~ne;, c'était .pal'tà~t,! Notre guide n'offre _qn aussi majestu~~ développemént. , t!D<!ùnier :· .MM. H,euzèy, Dumo'uliii's. L ~Vi 0~lf sentait 1 :nf~ ces~ vra1! mru.s il abondait en De dro1te à gau~he, on dtstmgue les tOurs de. JOhes rem!lles. Costumes. truçs c~ décors n~eaui renseignements;, il était plein d'affabilité et Saint-Sulp)ce, le · dôme du Val-de:.'Gràcè; t Ou commencera ~~r un vaudeville en un·acte. de J)Oii~sse .•• , nous· aurions dll. soupr.onner plus près, le Panthéon;_plus bas, Nott·e-Dame, ~-FolleJ!·Dr!!-matlques. - L·Ami 'Oiroulm·à. _ Lt quëlque· . noir mystère... Citoyens, défiez..: à ~uche, les h~uteurs. sombres du . Pèr!}..J:a- anard a lrOI'S becs ·' . . ' t ' vous WUJOUrs de la prévenance des cochers. chatse; à nos pteds, les deux clochers de l é· ChAteau-d Eau. - 7 h. 112. -Ce S()ir, rèp~ •. ~ous brûlons le pavé; déjà la Grande-Rue glise Saint-Vincent-de .... Paul; enfin un .im-· · ~!l:!~:e d~0Îf!~~ ir.~· M. ré ri~! ct M"•,. Dica-Peu;,

de la Chapelle est derrière nous. Nous· dé- mense labyrinthe de places, de rues, ile toÜs, -" ~ 1 1 ' . rame nn as •que en stx acte~

passons le chem,in de ~er de Ceinture, de v~ de maisons, _grises Sl?us la pluje e.t .ind~cisés $ .;:.~-·· . , k.;·>:'; :•' ... ,"''!l , • .. ., , •· es nu une seconde encemte; nous saluons la dans le brouillard. : ':·' , ·, · ··UllNIIRlrim,hlt.·ÜÏ1.,nedea8&1Dti·Pil11f redoute intérieure qui- le précède; voici le De temps en temps, l'air est travét;st! par · · · •

1

rempart, ses ponts-levis sont tra~èrsés. Nous les grondements de la canonnade. Invisible ) · , f·'·,t;,, ., , voyons, u ous ·.ne voyons plus les chevaux de pour nous, le Mont-Valérien atteste aux Pa-· CHEFS-D'OEUVRE' · frise; la route s'ouvre devant nous. risiens qu'il veille sur 'eux. ·c'

Elle a un aspect animé, malgré la brume A vingt mètres plus haut, nons le distin- i:;-. DB L.t. ·

avec ses deux,large~ trottoirs etsadoubl~ ~rions s~r la droite, et !lous serions bien 'LITTERATURE JRANCAISJ rangée de gros hêtres grisonnants· les pié- m1eux places. Nous ne senons pas gênés par ... ,,.. tons, les cavaliers au manteau blanc; les voi- l'angle occident.al. du plateau. Mais~ on ne FO!IIIAT IN·&· CAVALIER

turcs, les omnibus se croisent remplis de mqnte pas! • · · lmpnmu aHc: •lu:r~ 'Par M. J. CLAY:& soldats, de gardes·Jllf)biles, de joUes femmes LQpgeons la palissade qui contourne la .. :1 ~'· ' aur 'r~s-~upapill', ~ ' · · de j mmes maitt·esses et de vieilles mamans: plate-:forme interdite, nous tournerons· à gau. ornâ ae, grawru .sur aca~r par lu ~~ flfliiiA

C'.est la seule route qui ·reste ouYerte aux flâ- c~e et nous verrons la face opposée de l'ho· n voL. sontlt11 v.&NTE A '1 n. ~o LB .TOt.

neurs; on en profite. nzon. 4!J•n•ge. wr..tae., Une ~uage sur cette gaîté, ce sont des ' N(•us,gravi~sons une ruelle escarpée, en Œu~re.s~omplèùsiÙNolière,&veccommentaires. et~,

gens qw vont en prison : beaucoup de rem- f~rme d esca~e1· : à notre gauche, · 1~ tour des par L'iiuis .Moland ; 7 voL - Euais 114 Niclièt ~ mes, quelques enfants quelques hommes s1gl!aux, pemte de couleurs Rarwlées ; à Montaigne! avec notes ou commeutai~es rev~s pu

, . . d~rrière ·, ils sont attachés deux à deux · le droite, la batterie de' la marine; un matelot J.·V. Le ·c erc et· une étude .par Prévost-Porado! • 1 d 1 4 vol.- t.JEuvre.s de J.-/1. Uou.ueau, introduction el poignet droit de l'mi est réuni par la chaîne agar e, e _ menton appuyé sur son chasse- commentaires1p11r Antoine de Latour~ 1 vol. - 1/i;-

' l.es zouaves de la Répùblique,

au poignet gauche de son voism. Un gen- pot :- « Citoyens! ;lVancez, on ne stationne loire ae Gll 0143 ~ Sai!Cillane; par Le Sage, rr~· ·· ·· "· ; · <larme suit. Uil autre précède et cause d'un pas. » - Nous jetons un coup d'œil rapide cédée ~·une 1!-ollce. par Sainte-B~uve, 2 yo . -

Aua: hommes de c'œur, · te l d . . sur les éllOrm t t 1 · " ! llhe{$-d.auvrehl~raJres!le Buffon, m~rorluollon P'~~' 'CitOyens, · · ~rpa_ rne avec,esvoyageuses ontllala . . es canons e .a pameq1!1s M. ~'Jourens. del'Acudl:mrerrau~,a sc.~\ ol.- !nu-/. . d~recüon. ~es n ont.pas l'air très-émues. Ce domu01.ent au nord-est de l~urs bouches. prt.>tes tatif!n d~ Jt!.111s-Uiwist, tt·uduction nou,elle, _,;.

la \~:U~Tïfu~ ô~tleJeg~id~so:~~~:~~:~~~~3~~s 1: n est sans douJe pas leur pr~mière campagne. à pa~ler. Tout ~st engloull dans la pl mee~ ~e ~ex tons a.la .lin · rl~ ~~1Jt::" .c~ap.t t'<l, par l a~ : .~ - ~ u• ' • • • . ' .

11 l

1. • • ' annotees, revues et pr.:c.otkcs d e la \',•) <le Cl •.

tom. ti des as•al!S,·n· .r.e-"''ers-a·

1·tles, malgré leur tt'tre Dans une heure elles seront sous clef bromllard. Mats au fond de cette obscurite f.de ~aruunnats, 1

1 ol ... '!v~es âeCUnlcttOhr'"'·

v•o!u.~!e de prr.sonni~rs de guern, nos cœurs ont Saint-Denis est devant nous • .Mais que si· on pom-ra~t. m1tra1 . eL' a 1gne d u Nor(l., la ment Marot, par Gh. •f!!énc,mtt, t •·ol. - OE:~rr-. ' !lndt d mdtgnattOn, et nous jetons au milieu de vous, gnifie cet encombrement d~ voitures toutes route de Satui-Dellls, l.es 1Jo1·ds ù u canal, lrs ch:Jisi~s de tiass'i!lon. precédées d'une noti~e hu>• ~~~~n~:a~~~~;;r ~~nf~~i~.tique: Vengeance! Aidet- arrêtées à la tête du JlQUt? Que VeJ!lent dire rues ~'Aubervilliers; tout balayer jns•;t r·a ! gr.tphrque et ll ttéra·l~~ ~~r ~1. Uotlerroy, 'l \'Cl.

~Et yous, enfants de la commune de Lyon, venez à ces mobiles et ces voltigeurs qui fôrment la deux lteues. F.a eou•·•

4 es."~uttn ' ~u.s pour combattre sous le drapeau que les pre- haie en travers; « On ne se p'eut~tre ~ous voici au ~int le plus éle\·é, da us r!e l QE'u ,:re! compti·t;s 1~.:1.ag_ï;:_-.,a·.:ec nn !rava1:. o~u·~e~u, te;s vo1,1s avez arboré.

1 r • . h ~ . . pehtes rues étrottes avec de . ar'•I'C. r•u L j par i\,.<Je~3m.-~ .. L~ t ... ~rd m. t'le 1 Acn.lemrs .r.;n·

L ~ablllemeilt, la solde et Jeg vivres sont llSIUr~s· Pus. " msmue no,tre coc er d'uu au· contrJt. • · -~ · · ~ • . ~a •s~·. (Les tl eux p•·e,n ier~ volurne3 s~nt en w nte.l lt.uss1tôt ~pr~ l'~nr~lement, armes à tir rapide; les Le gredin le savait d 'avance. . passent la tête. at?·dessus ~n mm· rles m_at- - OEtwres co,llp/èl~s ile. lloi/eau, avèc un tr.w~; ~o~mes mscrtts a lnnmce faisaient to11s partie des Nous sautons à bas du véhicule Itrl'p'

055• ~ns. On se crotr:ut en p ronnce . Le,; mat'! IlS nom en•1, pat· 1L GHlel, professenr <!e rhHor1que:,

-.nctennes compagnies tle francs-tireurs. bl d' , L , . · 1

1~ r1ent avec des fillettes. Les garùes nationaux 1 yol. (Le premrer _es t en ,·en le). - OEurres c_o n· Même solde que ln garde natiOnale. e en.rer. es •emmes pr1en~ et es hom- , . , ·1 . . • · p;ctes deL" f?onca.n~. &Yec uu nouvenLL travn•l tf ~ Le. décret de 111. Commune relatif aux veuves, or- mes jurent. Le caporal du 16• bataillon de .la causent attroup~s atr •.our ( n wmptott• des Cl'ttiq•te et J'érudit:on. pnr M. Louis Molaur),,6 1:aJ.

llhehns_et bless~s est nppllcable aux zoun\'es de la mobile hausse les épaules et secoue la tê Le marchands de VJTJ. . 1 T:raga pour nr.:.ateurs : 150 e~emp. nul!lér~~·~ss'lT épublique. d'un air contral'ié: « Que voulez-vous! ce Hâlons-nous, la plme r <!rloublc .

1

p3p•er de llo!l,~nc.l~, 1~ J ~-, 1~ v'!lumr;.- r:~J.llll" <m.~n; ~·bureaux P?ur l'enr~l~menL. sont situés: ·, t <: . , . . Nons passons 1]e\·o,u t une 1·hapPlle. C't;st de c~s cxcmp~a•re. e>. ~· tap_1de <,ne les am aleur>

,.. t buren!'•. 10• arronthssement Faubourg-Saint- ·l!l es _pas ma ·~ute, ' ce n est pas mot qu1 l' · . , . , , , .. , . . . _ qu• f!ll votulra!cn t fat re ! acqmsttlon sont eng~g~s. l .... arlm, mame. ' · · .âonne la consJglle! " Pour passer il nous '1• Sl ,1e ne me. li ~.mtre qu. t,o::s Jem::~ R~ ht1ter. l!~s a pr~~~u t, tl no- reste 11lus qu,:un p~t.; :._. 2' bureau, 11• arrondissement, place Voltaire mai· faudrait" quelque c/t(Jse de la mairi; un · ~:a- gens, Il y a tl'OJS SV!Cl_t!~. ~~ · prom u·e ut tle- . nombre restrem,t o exe:nplar,res de .illOLŒH~: eu ·,.te. ~ ' ch-et bte C

1 « bl l' ' tvnnet·.Ie moncft• en fon r!~tn~ cJu~Lqnc cho~e ctellors de Ja ..::o:lecttou, L! sest vendu sépart;ii!flnl

'til 3• buretn, '8• arrondiss~ment rue des Abbe•ses, 8 Nous1's·o»mme case toe ett ·.~~~sne lavons past • de nCJuveau. 11~ cl'\·(~l·e!J l J:t compagnie tle )W [r)e \'0\· . · ~ . . . .. • .~ , ontmarlre. . ' ' ' e C mme •• ... OISe Sllr a mon a- J · ~ " C t · J' · · · . · t · , X · · b bure~~· !10' a~ronrlisse.me.nt, Bellevtlle, mqirie. gne. Nous pouvons . , ·oir tle loin : eutrm· Ll:!.u.. . es! rOlSd 1~m~:~~~ ";ueth • :1\'Jer, L'ESP.,RIT DE 1A GUERRE

. eneu eures a onze heures et de deux heures i> ·no1l ' !)tnez eL gnace e L O,. o .. t. · . alx heures. ·v··il" b'

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· - . , , . ~ " , . ~en Sqf a . . !Olle, p~r .e1a e ca~~ ~lescen.:lons-le : 1; es~ un esc;:w.~r :t p!C; il est ~ ~ - - ·r. !: r. t tJn d'.··· . . . et le~ ~ai~0\1S, fa vre11le tom gmt', les lJa~1- 1110~{: et fol·me cas,·<~de. Un C'!lr rc!te un rtl)l'i D. LA St!IAT~~Ic. DE L~ t!t.TIOUE & DE~ ~u~RRESCIVIUS

iilterfe 5~~~10n ~e cav~leru3 ect deux bat~ê.~1es dar- · ments de 1 abbaye, les allées de petmliers , 0115 1111 1, ' roit hatP•"ll"trlo•·t· .. 1 une nc' J'r J Pat !t. VlLLTAU!E, !•!storieu de 1~ l!ê.-otulion. , en .ormat10n au orps légJslaW Les an· · · · ' 1 • d · · 1 ·">· l ' ·· ' ' ' c.-' • •· -~ - • 1· · ' • • 6 ·~' ' 1 1 !S 'p · · 2 r 'Ciéns cavaliers et 111t illeurs qut \·oudrlllent ·. • .. _ -cOL:tJees a anges .rOtiS , •J LI L [1 t'O fJ ngent e maison d'un senl ~\tane a rrr- unt> l'ppt~ l r• ' "" 't:an, \·o,umc ,JI· - _r•.~ ,. t•nncs . ier p t • · ~y euru lot· td t 1 t~ · · .. l' " ' · · ' ' 1 Ch z 1 >Cil ' ' o \ ]li"Ce <ht J 'L•· •Ire-Fraort•s uar~~~ro~ne~e1pr1dsentcr, mnm• de leurs pieccs, nu c 1.1!", e on es., des Jallmss~n t o:>s s 1nc 1- lJ:v;-;,• a cou lreYenls \·e :·t>. Jl ll'i o r: am·.ut une 1 . ! . .. :; •' "'·• ' ' ~ '·· -· ' '

r. S'ad- g , ." C< u g~nét;al B.c.rgereL , nen, ~ous le Yen L a orzest, \ï t c ill:.l''T ilique su!' h t.ù:oile <i l . ('i"l ,., ,.11· • j' <·.. .,.; • oçSSer !lU orps h~gt•lahl bureau du ma]' or d- l) ·' . d . . . . . - "' • ' 1

'· " " ~ ' ' M MACHINE VAPliiUR a t·a\'ale~ie, · ' · - ~ ,esc~u ... ous a l'Olle, JUSqu t:tn m o ulm. ü n j cl~meut. Pour lïnstan : on uc mi~ •J tle 1:!. l i f· I A 1!,1 . 'l · . · , grenad1e1· en J:ionnet. de P.ohce, 1 e ll\el?ppé ! ]!luie qni ruissc·lie ·~·t1 tl~~~hes imwmbrables,~,l c~· -.' ~~ nŒXPI.OSIBI.E ' · . , dan~ son mant~ !ln ,no:r raye d"é blane, lu me 1 et, en face, un :l.C<lÇ i~ ràLo1•~•·i, \ igoureusr.-' ;,·@ ·

SAtNT·DENIS & MONT:MARTRE ' ~a. p1~e tle\:ant l eelU~tl : " Halte-la! " liten t S''-"Ollt\ drub ~c s_ leuill~~ \'Cr~es aL te- , +. i"' i LtvreeetmoDt6~ l\domlcll6 " ~ . ~ , ., ., ~ _1! fant h~en r~ven_Jr.l\b~chon5, ··ela nous ~~aces s ènler.:n~ 1mc a une a cha•Jue totu·- ID' · , ,:., GAJIANTJs

E o ... TullR .. . a.~ •,l't'chauffera. Le in·m~ du C<l,non HOn~ .:ttT1v e • tüÏ!ou. o - - ' . J~ r.oti~s; . Yoici toul !4.;:bas la cii!:le du 1\Iolit- (::'ncl ~daircie ! -On en p1·ofi te pour des· •J<

, U:n;am_ateur •. qui comp.te as,;sislel' ·:'1 m1e ' nlct·wu. .. cendre 111 r escal ict•: dét!OJo~ du norn de rue ,pf~m1er~ et vo1t !e théiiLre· 1·em~li, ua .amaut 1 .Quelques l~orum,_es rm 1llOtl~e détenent di\US Dren•t. La 1:1~e ·de~ Tr·oi~·Frerés n~us m&Jle qlll _:spere rPnconlrcr sa m:nl-l'esse. e t ne I les champs des carottes ou]?l_t~~.? · dCVlll,Jt le ~~~~aire Montm;u;!.~·e. Q.u~yJues pas = "7'-'-=- , _tr~m· e P~!'Wlll!e :m l't'lldt:Z-\'01:~ 1 un ·Sul~al- .l'Ürs l•1Lil , Otl r encont.re }'gn~et·rement d'un . de plus , t>t l en es t dans Pans. . . 1 L'l!llp>·imettr-Gél:ant, A. WIITERSHEI'.J et cr• 4 Yarït. t el ne qm a tte.nd de l'avfneem.P rt t et ..-oit lit !!anh• ll &l iona!. - Tné? - :\on· un ser""en• l 1-· · 'l ·l r,1io"H ·\f · =----- !tl· .. ·· d. ' . ' '

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~t d Jruee G ~; .:... ) canq_ "'d' ;~:ir'r . • ~ · f f'"

H t• MARINONI

l"ARXS

---.-----------: -::-...- ~=-=------ ·--- ----·--

1 .. !\. • ' ARRÊTE :

.o.~ 1 ~itoyen · Blchelet ( mtenne), ancien avoué de proscrit de déèèmbre 185 t,

' ! '

,LES

ftEVI·NANJS. DE,