LE NOUVEL AN DES ANCIENS - Ville de Fresnes · tallation d’un réseau hertzien à haut débit ......

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P5 DOSSIER L’ÉCOLE EN NUMÉRIQUE P15 ÉCONOMIE UN CLUB EN VAL-DE-BIEVRE LE NOUVEL AN DES ANCIENS 36 DU MOIS-CIRQUE 360 COMPAGNIE EN RÉSIDENCE # 82 LE MAGAZINE DE LA VILLE DE FRESNES / FEVRIER 2010 FEVRIER 2010

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P5 DOSSIERL’ÉCOLE EN NUMÉRIQUE

P15 ÉCONOMIEUN CLUB EN VAL-DE-BIEVRE

LE NOUVEL AN DES ANCIENS

36 DU MOIS-CIRQUE 360 COMPAGNIE EN RÉSIDENCE

#82 LE MAGAZINE DE LA VILLE DE FRESNES / FEVRIER 2010

FEVRIER 2010

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PANORAMA, mensuel d’information locales édité par la ville de Fresnes. 1 place Pierre-et-Marie Curie, 94260 Fresnes. Tél. 01 49 84 56 56.Fax : 01 49 84 56 57. Portable rédaction : 06 18 89 10 64. Courriel : [email protected] Directeur de la publication : Jean-Jacques Bridey.Rédacteur en chef : Henri Israël. Rédaction en chef adjointe : Raffaèle Laporte. Tél. 01 72 04 55 88. [email protected] et Agnès Le Maoût. Tél. 01 72 04 55 89. [email protected] Photos : Umberto Appa, Raffaèle Laporte. Conception graphique : A noir/Nadine Pellé www.anoir.fr. Dépôt légal : 1-9-89. ISSN : 1245 – 1703 Impression : LVR International (LVRI) 44, rue du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny, 91100 Corbeil-Essonnes. Régie publicitaire : CMP (Conseil Marketing Publicité), 56 bd de Coucerin. 77435 Croissy-Beaubourg. Contact : David Tiefenbach - 06 70 21 07 12. Distribution : Ohé Services, 5 avenue du Général-de-Gaulle, 94240 L’Haÿ-les-Roses. Tirage : 12 500 exemplaires. P5 DOSSIER

L’ÉCOLE EN NUMÉRIQUEP15 ECONOMIEUN CLUB EN VAL-DE-BIEVRE

LE NOUVEL AN DES ANCIENS

36 DU MOIS-CIRQUE 360 COMPAGNIE EN RÉSIDENCE

#82 LE MAGAZINE DE LA VILLE DE FRESNES / FEVRIER 2010

FEVRIER 2010

Passeports jeunes: ilsreviennent en ville pourles vacances d’hiver.

La ville s’est dotée de deux nouveaux cars, de 60 et 63 places.

Médecine de garde: le 12e Sami 94 vient d’ouvrir à Chevilly-Larue.

l’Internet arrive dans les écoles élémentaires de la ville.

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DOSSIER . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5L’Internet arrive dans les écoles, grâce à un réseau hertzien haut débitpropre à la commune. Toutes les écoles élémentaires ont été dotéespar la ville d’un parc informatique de dernière génération.

EN VILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9Le 12e Sami 94 a ouvert.Dossier sur le Club des acteurs économiques, qui souffle sa premièrebougie > Les Dramaticules, côté coulisses, à l’Avara > “Composterc’est futé”.

Retrouvez l’agenda au centre du magazine.Tout ce qui se passe en ville désormais en quatre pages détachables.

TEMPS LIBRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15Bibliothèque sonore : “Le sens de l’écoute”. Passeports jeunes > “Tarets et autres parasites”, projet Co-Pirates,théâtre-cirque-danse > ”Le Petit chasseur de bruits”, spectacle tout-petits > Thibaud Defever (Presque Oui) toujours sur la route desconcerts à domicile >”Yaacobi & Leidental”, comédie.

PAROLES DE GROUPES. . . . . . . . . . . . . . . . 18Le Panorama publie tous les mois les textes fournis par les groupespolitiques représentés au Conseil municipal.

AU QUOTIDIEN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21La ville s’équipe de défibrillateurs. Les nouveaux cars municipaux > “Ô Cœur de Bamako”, projethumanitaire de 83e Avenue > Journée des femmes : du débat enperspective > A6b : “Roulez couverts” > Chiens dangereux : permisde détention obligatoire > Bus 286 : un incident regrettable >Questions à Geneviève Carlier, nouvelle présidente de l’Asclaf.

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Projets de réforme:inquiétude et colère des élusLe leitmotiv est le même dans toutes les cérémo-nies de vœux qui se déroulent en ce début d’an-née, quel que soit l’échelon de la collectivité etquels qu’en soient les élus : l’inquiétude et la co-lère des élus face aux projets de réforme débattusactuellement au Parlement. La seule suppressionde la taxe professionnelle et son remplacementpar une “cotisation” feront baisser notre autono-mie fiscale de 60 % à 40 % et supporter la fiscalitéuniquement par les ménages. Alors même que les effets sociaux de la crise éco-nomique se font ressentir davantage chaque jour(on annonce la sortie des dispositifs d’indemni-sation du chômage de plus de 600 000 personnesd’ici fin juin), on prive les collectivités de leurs ca-pacités d’actions et d’innovations en asséchantleurs finances et en les privant de leur autonomiede gestion et de leur libre décision. On met ainsien danger les services publics et leurs partenairesassociatifs, garants d’une véritable politique desolidarité et de proximité.

Ohé Services, ou “l’envie de se battre”Lors du traditionnel banquet des anciens, devantnos 650 convives, je prenais l’exemple de l’asso-ciation Ohé Services dont le projet, porté dès ledépart par notre Mission locale, a été entière-ment élaboré par des jeunes en recherche deparcours professionnel ou tout simplement deparcours de vie. Malgré un démarrage difficile,ce projet est en plein développement : après lalivraison de repas à domicile pour les personnesâgées, ils ont mis en place en 2009 un portage delivres à domicile en partenariat avec la biblio-thèque. Et en 2010, ils se lancent dans la distri-bution du Panorama, magazine de Fresnes, dansnos boîtes aux lettres.Un beau challenge qui a bien démarré le moisdernier et que ces jeunes vont réussir avec notreconcours à tous : si vous les rencontrez, parlez-leur, encouragez-les, ils sont au service de leurcommune et c’est un beau défi qu’ils se sont lan-cés. Je prends cet exemple non seulement pourvous en parler ici mais pour vous dire que cetteaction, exemplaire de l’innovation de l’action pu-blique, n’aurait pas pu voir le jour sans leconcours de la Région, du département, de lacommune, de la Mission locale et de l’État. Et quemalheureusement, après les réformes décidéesou annoncées, ce type d’action ne pourra plus sedévelopper. Cela donne l’envie de se battre.

La vie associative locale, ou“l’urgence de se battre”Les services publics sont en danger mais, pire, à travers la réfaction des ressources des collectivi-tés, c’est la vitalité de la vie associative qui sera atteinte : certains départements, confrontés à dessituations budgétaires proches de la faillite, ontcommencé à supprimer les aides aux associations.Ici à Fresnes, comme sur le Val-de-Marne, nousn’en sommes pas encore là, mais la poursuite desprojets annoncés nous y contraindra : les clubssportifs, les troupes artistiques, les associations dequartiers, les aides à la personne (transports, in-novation sociale) seront les premiers touchés.À Fresnes, ce sont certaines subventions verséespar la Région ou le département qui pourraientêtre diminuées voire supprimées : entre autrespour exemple, seraient concernés l’Épicerie so-ciale, les Restos du Cœur, l’Avara, la Mission locale,les équipes de volley-ball N3, l’association 83e Ave-nue (voir leur projet p. 24). Ce sont également les partenariats de financementd’équipements publics entre collectivités qui se-raient remis en cause voire interdits : ainsi àFresnes, ne pourraient plus être subventionnés desopérations telles que l’agrandissement de la MJCet de la Grange dîmière, la reconstruction des cen-tres de loisirs et des crèches, la construction de lamaison de quartier, la rénovation du terrain de footGaston Roussel, de l’école Jean Monnet et des jar-dins de Zarzis. Cela justifie l’urgence de se battre.

Des projets publics, ou“la nécessité de se battre”

Le service public c’est également la préparationde l’avenir. C’est ce que je dis à M. le préfet du Val-de-Marne en l’accueillant pour sa visite de notrecommune durant laquelle je lui présente l’ensem-ble de nos projets, et plus particulièrement lesgrands projets sur lesquels l’État devra être unpartenaire : extension de notre réseau de géother-mie, aménagement des rives de la A-86/RN 186et qualification des entrées de ville, constructiondu bassin de rétention, éco-quartier de la Cerisaie,aménagement de la plaine Montjean. Des projets riches en qualité de vie, porteurs debien-être et de mieux vivre qui façonnent l’avenirde notre ville mais qui ne pourront être menés àbien qu’en partenariat avec les autres collectivitéset l’État. Cela confirme la nécessité de se battre. j

Jean-Jacques Bridey, Maire de Fresnes

LE BLOC-NOTES DU MAIRE

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Informatique à l’écoleUne révolution

maîtrisée

Comparée à la déferlante

qui s’engouffre depuisdeux décennies dansnotre quotidien, la vaguede la révolution numé-rique s’insinue douce-ment, mais sûrement,

dans le milieu scolaire, offrant dans lemême temps de nouvelles perspectivesaux équipes pédagogiques. Une évolutioninitiée par l’Éducation nationale, dont lesprogrammes des écoles élémentairesintègrent depuis 2000 le passage du B2I –cf article p. 7 – attestation qui sanctionneles capacités de l’élève à maîtriser l’outilinformatique et en faire un usage“citoyen”.

En écho à ces nouveaux enjeux, la ville adéployé d’importants efforts financiers,prenant notamment à son compte la four-niture et la maintenance d’un matérielinformatique performant à destination desdirecteurs d’écoles maternelles et élémen-taires, dont les 11 postes, non remplacéspar l’Éducation nationale, ont été renou-velés en 2009. Dans la même période, leterritoire communal vivait, à son échelle,une petite révolution numérique. Elle s’est

d’abord illustrée par la mise en œuvre dugrand projet d’interconnexion des bâti-ments municipaux au réseau télépho-nique et Internet, qui vient de s’acheveravec celle des écoles maternelles et élé-mentaires. Un investissement important– 475 000 euros – inscrit dans le cadre dela modernisation des services publics, quia porté dans un premier temps sur l’ins-tallation d’un réseau hertzien à haut débiten complément du réseau de fibresoptiques existant. “Ce réseau est mainte-nant opérationnel”, annonce Martial Jan-narelli, responsable du service informa-tique et téléphonie de la ville.

Équipés d’antennes hertziennes,“pointpar point”, les bâtiments sont ainsi reliésà un réseau homogène de transmission dedonnées propre à la commune. Premieravantage : les antennes directionnellesn’émettant qu’un faisceau d’ondes de fai-ble intensité, son fonctionnement pré-sente une totale innocuité en terme desanté publique. Le second atout est d’or-dre économique puisque, en tant que cir-cuit autonome, l’installation permet des’affranchir des opérateurs téléphoniqueset de réduire considérablement les coûts

DOSSIERLes écoles maternelles et élémentaires sont désormais reliées au réseau

téléphonique et Internet de la ville via une liaison radio à haut débit. Une avancée pour les élèves et leurs enseignants.

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d’abonnement. Enfin, il faut attendre dece nouveau maillage des gains qualitatifs,en terme de stabilité et fiabilité du systèmenotamment. Cette nouvelle configuration à présent ter-minée, ne reste plus qu’à connecter – oureconnecter – l’ensemble du parc élémen-taire au réseau Internet. Attendue par l’en-semble des établissements scolaires, cetteliaison à haut débit est en cours dedéploiement depuis le début du mois, dateà laquelle ont été entrepris des travaux decâblage préalables des locaux, confiés parla ville à des agents “maison”. “D’ici à lafin du mois, toutes les écoles disposerontd’une connexion de bonne qualité”,annonce le responsable informatique.

Parallèlement au maillage du réseau, laville a progressivement doté toutes lesécoles élémentaires d’un parc informa-tique homogène renouvelé tous les cinqans. Chaque année, 20 000 euros sontainsi consacrés au remplacement d’unepartie du matériel. Comme le souligneSylvie Vieillard, conseillère municipaledéléguée à l’éducation, “Notre mission estde fournir aux écoles un matériel perfor-mant de manière équilibrée à l’ensemblede nos écoles et d’en assurer le bon fonc-tionnement. Et d’ajouter dans ce sens :Nous ne pouvons prendre en charge lamaintenance des postes dont nous n’assu-rons pas la fourniture, car nous n’en maî-trisons ni la provenance, ni les licences etleur gestion dans la légalité, ni les risqueséventuels de malfaçons et donc d’accidentgrave. Enfin, ce n’est pas à l’argent publicde financer le recyclage final de cesmachines.” L’époque où les vieux ordi-nateurs familiaux finissaient leur carrièredans les salles de classes est révolue ! Lesnouvelles procédures de gestion du parc

informatique et les coûts de recyclagesupportés par la collectivité doivent inci-ter l’ensemble des citoyens à adopter denouveaux comportements.Derrière ce nouveau paysage numé-rique de la ville, une équipe est déployéepour assurer la gestion du parc et l’as-sistance technique auprès des écoles.Parmi eux, un technicien informatiquea été spécialement délégué à cette mis-sion. Il assure notamment la coordina-tion des interventions de maintenanceet d’assistance à l’utilisation des appa-reils en assurant proximité et de réacti-vité avec les équipes enseignantes .

Enfin, emportée par sonélan, la ville étudie aujourd’hui le projetd’informatisation des présences aux res-taurants et accueils périscolaires. Une pre-mière borne de pointage sera prochaine-ment testée à l’école maternelle desTulipes, choisie à titre expérimental. Lesenfants, munis d’un badge personnel,seront invités à pointer eux-mêmes – avecl’aide de l’adulte l’accompagnant – leurprésence au restaurant scolaire et auxaccueils du matin et du soir. “Si les tests sontconcluants, ces bornes devraient prochai-nement équiper l’ensemble des écolesmaternelles et élémentaires de la ville”,annonce Sylvie Vieillard. Cette nouvelleprocédure, plus fiable, plus rapide etmoins fastidieuse, se substituera progres-sivement au pointage manuel actuelle-ment en place. Autant de perspectives quisimplifieront le quotidien des jeunes fresnois. s’ AGNES LE MAOUT

Aux côtés de François Gellée, directeur del’école maternelle des Marguerites, MartialJannarelli (à g.), responsable du serviceinformatique et téléphonie et Sébastien Louit(à dr.), informaticien, lors d’une intervention demaintenance.

Ci-contre, l’antennehertzienne haut débit dugroupe scolaire desFrères-Lumière. En bas, la salleinformatique de l’écoleBastié, équipée de dixordinateurs, d’un scanneret d’une imprimante.

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DOSSIER

...À l'école, au collège et au lycée, le brevetinformatique et internet (B2i) affirme lanécessité de dispenser à chaque futurcitoyen la formation qui, à terme, le mettraà même de faire une utilisation raisonnéedes technologies de l'information et de lacommunication, de percevoir lespossibilités et les limites des traitementsinformatisés, de faire preuve d'espritcritique face aux résultats de cestraitements, et d'identifier les contraintesjuridiques et sociales dans lesquelless'inscrivent ces utilisations.Dans toutes les disciplines et en diversescirconstances, les élèves recourent auxtechnologies de l'information et de lacommunication qui sont des outils auservice des activités. L'obtention du B2ivalide les compétences acquises au coursde j PRÉNOM NOM

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LE MOT DE L’ÉLUE

SYLVIE VIEILLARD, CONSEILLÈREMUNICIPALE DÉLÉGUÉE AUXAFFAIRES SCOLAIRES

Les écoles vivent actuellementdes évolutions technologiquesimportantes. Comment la villeles accompagne-t-elle ?Les évolutions informatiques ettechnologiques bouleversentnotre quotidien, et notammentcelui de l’éducation. Noustâchons de les accompagner à lafois avec dynamisme et volonté,mais aussi avec raison et dans unesprit d’équité entre toutes nosécoles, de préparation à l’avenir.

On parle désormais de tableauet de cartable numérique...Nous ne souhaitons pas faire duclinquant pour un petit nombre,comme avec le cartablenumérique qui a fait la Une unmoment , et dont on ne parleplus trop, mais du raisonnableet fonctionnel pour tous.

Salle informatique ouordinateur dans chaque classe,quelle est la tendanceaujourd’hui ?L’Éducation nationale a changésa demande, misant moins surdes salles informatiquespuisque le enfants sont touscensés déjà bien connaîtreaujourd’hui le maniement initiald’un ordinateur. Un ou quelques

ordinateurs en fond de classepour l’usage du maître, d’unélève complétant un exercice enclasse, avec connexion internet,seraient le must des moyensinformatiques pédagogiques denos écoles d’aujourd’hui et dedemain. Nous préparons avec sagesse lamutation : pour les écoles touteneuves et en construction biensûr, et également pour les plusanciennes, dans le cadre deleurs rénovations à venir.

Quelles sont les solutionsdéveloppées par la ville pourlutter contre la fracturenumérique ?Nous travaillons aussi à ce quel’ensemble des acteurs del’éducation puissent êtrecomplémentaires sur la ville de Fresnes, dans cetapprentissage pour tous de l’informatique et de sesbons usages. Les structures municipalestravaillent dans ce sens,comme la bibliothèque, qui met à la disposition du publicquatre postes informatiquesconnectés à Internet. Lamaison de quartier ouvertedepuis novembre dans lesecteur Charcot-Zola accueillequant à elle un espacemulti média encadré par des animateurs.

“Le nouveau réseau va améliorer les échanges administratifs quotidiens entre les écoles et la mairie.”

RECYCLER, UN COÛT POUR LACOLLECTIVITÉ

Désormais fournis,

entretenus et renouvelés par

la ville, les postesinformatiques forment unparc homogène etfonctionnel. Il est doncdéconseillé aux parentsd’élèves de déposer dans lesécoles des appareils de

marques et de performances très diverses, qu’ils proviennentdu cercle familial ou d’une entreprise. Pour des raisons desécurité, de responsabilité et de bon fonctionnement du réseau,la ville n’assurera pas leur maintenance. Il faut égalementrappeler que le recyclage des vieux ordinateurs est obligatoire etdoit être prévu dès l’achat. La gestion du parc informatique mise en place auprès desétablissements scolaires maternels et élémentaires impose desrègles du jeu qu’une prochaine charte de bon fonctionnementviendra recenser. Une réflexion est engagée dans ce sens entreles services municipaux et le corps enseignant.

LE B2I C’EST QUOI ?

En France, le Brevet

informatique et Internet

(également appelé B2i)est une attestationdélivrée aux élèves desécoles élémentaires, descollèges et des lycées quisélectionne leur capacité

à utiliser les outils informatiques et Internet mais aussi àévaluer des compétences documentaires et éthiques. Cetteattestation n'est pas un diplôme, mais une preuve que l'élève a acquis une certaine maîtrise de la Technologies del'information et de la communication pour l'éducation (TIC).Instauré en 2000 par Jack Lang, il s'apparente au PCIEeuropéen, et s'inscrit dans la politique de Société del'information de la Commission européenne. Le niveau collègeest intégré en 2008 de manière obligatoire pour l'obtention dubrevet des collèges (excepté pour les candidats libres). Le niveau lycée sera obligatoire pour l'obtention dubaccalauréat dès la session de 2010.Une fois la connexion au réseau Internet effectuée sur lematériel des écoles, les élèves fresnois pourront évaluer leurscompétences en matière de navigation web, une des épreuvesfigurant au programme du B2I.

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Il faisait une températureglaciale (- 5°) en ce ven-dredi ensoleillé de jan-vier, mais il y avait foulepour l’inauguration, à

Chevilly-Larue, du douzièmeSami du Val-de-Marne. Uneouverture qui “boucle la bou-cle” : ce Service d’accueil mé-dical initial clôt une opérationde restructuration nationalede la médecine de garde, ini-tiée en 2003.En 2006, le Panorama avait ren-contré des médecins de l’Asso-ciations médicale de garde dusecteur 12 (AMG 12). “Ici, l’ins-tallation d’un Sami a pris du retard”, expliquait le Dr Éric Fabien (L’Haÿ-les-Roses).“Lorsque ça arrivera, on s’adap-tera” ajoutait son confrère Olivier Laverdure (Chevilly-Larue). Ils étaient là pour l’inau-guration, tout sourires. “Nous ysommes ! Ce Sami remplace lamédecine de garde que nousavions mise en place jusqu’ici.”

Mais un Sami, c’est quoi etpour qui ? L’idée de ces ac-cueils spécialisés est née pour

“désengorger” les urgenceshospitalières mais aussi pourétendre l’accès aux soins auplus grand nombre. Lieux d’ac-cueil et de proximité pour lessoins relevant de la médecinegénérale (et les patients pou-vant se déplacer), ils sont géréspar des médecins généralistesde permanence. Pour l’instant,les Sami, au nombre de douze,n’existent que dans le Val-de-Marne, département pilote,mais leur principe va s’éten-dre, peu à peu, à l’ensemble duterritoire.

Retour au 8 janvier. Le Dr Jean-Noël Lépront, secrétaire géné-ral de l’Association départe-mentale des Sami 94 préciseque “le Val de Marne est le dé-partement où la permanencedes soins est la plus aboutie enFrance. Pour chacun des 12 sec-teurs, il faut compter 80 à 100généralistes pour100000 habi-tants”. “Ces lieux répondent à larègle des trois S”, renchérit leprésident de l’Ordre des méde-cins du Val-de-Marne, le DrBernard Le Douairin.

À savoir la simplicité (un seulnuméro d’accueil, le 15) , lasynergie (coordination et vo-lonté des médecins libéraux,entre autres), et la sécurité. j RAFFAÈLE LAPORTE

Ouvert mi-décembre, le 12e et dernier Sami (serviced’accueil médical initial) du Val-de-Marne a été inauguréle 8 janvier dernier. Il concerne les villes du secteur 12 :Fresnes, Chevilly-Larue, L’Haÿ-les-Roses et Rungis.

Comment ça marche ?Le Sami de Chevilly-Larueregroupe les villes deFresnes, Chevilly-Larue,L’Haÿ-les Roses et Rungis. Il remplace le service desmédecins de garde qui

officiait localement ensemaine de 20 h à 8 h, le week-end (du samedi 16 hau lundi 8 h) et les joursfériés. Il regroupe désormais,dans un même lieu, lesmêmes médecins de gardequ’avant, présents à tour derôle, et aux mêmes horaires :

semaine (20 h à 8 h), week-end (samedi 16 h au lundi, 8 h) et jours fériés (24/24). Attention : il ne faut jamais serendre directement sur placemais impérativement passerpar le 15. Là, un médecinrégulateur (et conseil)décidera de diriger le patientvers le Sami, les urgences, oude lui envoyer un médecin àdomicile voire le Samu.i Adresse : 1 rue de Verdun(rond-point après la mairie),94550 Chevilly-Larue.Bus : TVM et 192.Tél. uniquement par le 15.

EN VILLEACTUS - AGGLO - CHANTIERS

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TÉMOIGNAGELætitia, utilisatrice

“Le 1er janvier dernier, ma fille detrois ans (en photo ci-dessus) s’estréveillée avec de la fièvre, et malaux oreilles. Toute maman dejeunes enfants redoute les joursfériés ! Comme j’habite Chevilly, jesavais que ce Sami avait ouvert à lami-décembre. J’ai appelé le 15 etils m’ont confirmé que nouspourrions nous y rendre l’après-midi à partir de 16 h. Nous n’avonsattendu que vingt minutes, et lemédecin était super-sympa.Maintenant, en cas d’urgence de cetype, j’aurai de nouveau le réflexe,c’est sûr !”

Le 12e Sami 94 a ouvert

Ci-dessus (g. à dr.) Christian Hervy,maire de Chevilly-Larue, BernardLe Douarin, Pt de l’Ordre des mé-decins du VdM, Françoise Aumai-tre-Lopata, maire adjointe auxAffaires sociales de L’Haÿ-les-Roses (pour Patrick Sève, maire),Jean-Jacques Bridey, maire deFresnes, Marc-Étienne Pinault,sous-préfet du VdM, et RaymondCharesson, maire de Rungis.

Deux adorables “ambassadeurs” :Cloé et Mattéo.

Le bâtiment est situé juste après la mairiede Chevilly, en face de l’ancienne poste.

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EN VILLE

L’association regroupeles dirigeants de 90 en-treprises implantéesdans la Communauté

d’agglomération du Val-de-Bièvre – présidée par Jean-Marc Nicolle –, dont une di-zaine d’entreprises fresnoises.Elle a remplacé le Club des en-treprises du Val-de-Bièvre,lancé en 2007 par les élus de laCommunauté d'aggloméra-tion et un comité de pilotagecomposé de responsablesd'entreprises. Dès le départ,l’idée de créer un club qui fa-voriserait le dialogue entre les

entreprises du territoire etcontribuerait à renforcer leséchanges avec les acteurs ins-titutionnels avait séduit leschefs d’entreprises et les éluslocaux. Pendant deux ans, ceclub informel a organisé diffé-rentes réunions thématiques,mis en place plusieurs atelierset réfléchi à la création d’unestructure en vue de poursuivreet développer ses activités.

Ainsi est née il y a un an l’as-sociation. Baptisée “Club Val-de-Bièvre Entreprises”, ellevole désormais de ses propres

ailes. En plus de ses missionsinitiales, l’association s’est fixéplusieurs objectifs. Elle vise,entre autres, à apporter auxentreprises des outils pour ré-pondre aux problématiquesqu’elles rencontrent, permet-tre à leurs responsables de dé-velopper leur réseau ou ap-puyer des projets territoriaux.

Dans cette optique, quatreateliers thématiques – “Nou-velles technologies de l’infor-mation et de la communica-tion”, “Déplacement etdéveloppement durable”, “In-novation” et “Ressources hu-maines” – ont été mis en place.Ces ateliers permettent à ungroupe de chefs d’entreprisesd’approfondir une réflexion

Véritable outil de promotion économique et devalorisation du territoire, l’association Club Val-de-Bièvreentreprises a soufflé sa première bougie le 27 janvier.

Premier anniversaireTÉMOIGNAGE

Philippe ReboulDirecteur régional de Coca-ColaEntreprise et administrateur duClub Val-de-Bièvre“Coca-Cola participe activementaux activités du Club depuis sacréation. La direction régionale deCoca-Cola est basée à Fresnesdepuis quatre ans. Nous mettons à disposition du Club notreexpertise, nos savoir-faire et noslocaux pour certaines réunions.Les contacts que nous entretenonsau sein du Club avec les autresentreprises du territoire sont trèsenrichissants et nous apprenonsbeaucoup de ce qui se fait dansd’autres secteurs d’activité. À Fresnes, Coca-Cola évolue dansun environnement très favorablepour son activité économique et àce titre, nous souhaitons contribueret au développement de la vielocale. C’est une manière de rendreà la collectivité une partie desbénéfices que nous tirons de notreimplantation sur le territoire.”

Le 27 janvier 2009, lors de sonassemblée généraleconstitutive, le Club desentreprises s’est doté du statutassociatif et 14 dirigeants ont étéélus au conseil d’administration,présidé par Jean-Yves Giraud(“Les paveurs de Montrouge”),ici au micro.

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Stéphanie Veyssière, vice-présidente du Club Val-de-Bièvreentreprises

Quel bilan tirez-vous de cettepremière année en tantqu’association ? Elle a étéextrêmement positive. L’adoptiondu statut associatif permet auClub d’être beaucoup plusstructuré. Au niveau de la prise de décisions, nous sommes plusefficaces, plus réactifs et nousavons davantage de visibilité. Le Club est maintenant une entité

à part entière qui veut avancer. Ladynamique du Club est fondée surla rencontre et l’échange. Nous cherchons continuellementà innover. Nous avons, parexemple, réalisé un film pourprésenter les travaux l’atelier“Ressources humaines”. La vidéoest un outil à la fois ludique etpédagogique qui permet de sortirdes sentiers battus.

Quelles sont les perspectivespour 2010 ? Le Club va monter enpuissance et proposer davantagede projets pour répondre auxdemandes des entreprises. Nos adhérents ont exprimé lesouhait de développer leur réseaucommercial. J’ai créé un nouveaugroupe de travail, “Réseau Plus”,auquel participeront desentreprises du club de taillesdifférentes. Le but est d’inciter lesgrandes entreprises à fairetravailler les PME du territoire. En parallèle, nous allons mettreen place dès le printemps des rendez-vous mensuels 100% réseau, le premier vendredi de chaque mois : les“Matinales du club”.

sur des thèmes variés, qui in-téressent aussi bien les PMEque les grandes entreprises. En2009, le Club a ainsi organiséplusieurs conférences, com-prenant des interventions

d’experts, de même que destémoignages d’entreprisesadhérentes, sur des sujets telsque l’utilisation profession-nelle des réseaux sociaux surInternet, les ressources hu-maines ou encore le dévelop-pement commercial…

Comme en témoigne sonnombre d’adhérents, qui apresque doublé en un an, leClub est en plein essor : “L’ob-jectif est de doubler encore leseffectifs en cette année 2010”,explique Stéphanie Veyssière,vice-présidente du club.Cette année, différents projetssont donc prévus : la mise en place de solutions d'accompagnement des entreprises en matière de ressources humaines, et demicro ateliers, ciblés sur la dé-matérialisation de la com-mande publique, la prospec-tion téléphonique ou encoreles logiciels libres. e LAURENT MURARO

i Pour plus de renseignements :www.valdebievreentreprises.com //

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QUESTIONS À…

Vincent Pigeard, gérant-fondateur de La cartouche verte

En 2007, j’ai créé une petite entreprisede recyclage de cartouches d’encre et de toners laser qui est basée à lapépinière de Fresnes. J’ai adhéré au Club l’année dernière, juste aprèsla création de l’association.J’ai pu rencontrer d’autres chefsd’entreprises, notamment de PME,

qui sont confrontés aux mêmes problématiques que moi. Le Club nouspermet d’échanger sur nos expériences, de partager des connaissanceset des informations et de nous sentir un peu moins seul. L’aspect réseaucommercial est également très intéressant pour avoir des relationsprivilégiées avec des clients potentiels. J’ai aussi participé à laconférence sur les réseaux sociaux sur internet et à l’atelier “Ressourceshumaines”. Ce dernier m’intéressait particulièrement car j’envisage de recruter un commercial d’ici la fin de l’année.

i La cartouche verte - 35, rue de Montjean. Tél. 01 49 84 85 15. i www.lacartoucheverte.com

EN VILLE

“L’objectif : répondreaux problématiques,développer les réseauxou appuyer les projetsterritoriaux.”

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En haut. Coca-Cola adhère au Clubdes entreprises, comme une dizained’autres structures fresnoises, àl’instar de la société Ari (ApplicationRéalisation Informatique), visitéepar Jean-Jacques Bridey et YannickPiau en janvier dernier.

Une précieuse partenaire duClub : la pépinière d’entreprises,située rue de Montjean.

10-11-clubsentreprises2_Mise en page 1 26/01/10 14:40 Page11

Volley : trois sets à un pour l’équipe fresnoiseBelle victoire de l’équipe senior masculine, qui recevait Sucy-en-Brieen championnat départemental. Classée actuellement Première,l’équipe est bien placée pour une qualification en “Final four” àl’issue des dernières rencontres “Aller”.

Un “aller sans retour” sur la scène de la MJCProposée par l’association du Cercle familial de L’Haÿ-les-Roses, “Un allersans retour” a subtilement mêlé humour et danse hip-hop pour raconterles péripéties de trois jeunes camerounaises – interprétées par troisélèves de la MJC – arrivant en France. Un spectacle inscrit dans le cadred’un projet d’échanges culturel, humanitaire et environnementalavec le Cameroun.

Médailles du travailÀ l’occasion de la cérénomie deremise des médailles du travailaux membres du personnelcommunal, le maire, Jean-Jacques Bridey achaleureusement remerciéMarie-Paule Broc pour sestrente-cinq annnées de carrièreau service de la commune, oùelle occupait depuis 2001 leposte de responsable du serviceenseignement et enfance.

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La violence en débat àl’AvaraViolence parents/enfants etenfants/parents : un thème àdouble entrée pour cetterencontre mensuelle sur laparentalité réunissant familleset professionnels de l’éducation.L’occasion d’évoquer les nombreuses questions liées à la famille et l’adolescence.

BibliothèqueKveta Pacovska, illustratrice etauteur de livres pour la jeunesse,a exposé ses créations à labibliothèque durant le mois dejanvier. Ses œuvres ontnotamment été récompensées en1992 par le prix “Hans ChristianAndersen”. Une expositionparcourue par les enfants descrèches et les élèves des classesmaternelles de la ville.

82- p12-13 images_Mise en page 1 26/01/10 14:14 Page12

Les plus belles vitrines de Noël récompenséesLa cérémonie de remise des prix du concours de vitrines a couronné six commerçants, parmi lesquels madame Lapergue, du salon Corellecoiffure, heureuse gagnante d’ un bon d’achat de 150 euros offert par laville à valoir chez Darty. Les magasins Toutoustar, Elfilys, Saveursd’ailleurs, Salon pour lui, la pharmacie Charcot et l’auto-école New deal

ont été également été récompensés sous forme de bons d’achatofferts par Casino et Intermarché.

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LA VILLE EN IMAGES

Les jeunes bâtisseurs de l’école Maryse BastiéGrande première les 18 et 19 janvier derniers au gymnase Herriot, oùtoutes les classes de l’école élémentaire Maryse Bastié ont étémobilisées autour d’un ambitieux projet de construction. En guise dematériaux , 36 000 Kapla, célèbres planchettes de bois capables deformer de surprenantes œuvres architecturales. Une façon ludique d’ aborder les notions de géométrie et d’équilibre.

Les anciens à la fêtePlus de 600 convives tout à la joie de leurs retrouvailles, du spectacleen continu, un déjeuner gastronomique : de quoi faire du traditonnelrepas des anciens un nouveau moment fort de la vie fresnoise. Sur le thème des “Gens du voyage”, un défilé d’artistes amateurs etprofessionnels a donné le ton. Parmi les prestations les plusremarquées, citons les extraits de “Carmen”, interprétés par latalentueuse Anne Andreone, chanteuse lyrique fresnoise, et leschorales des Fous du Théâtre-en-rond et Vie et chansons, dirigées parFrançois Colombo, les scènes de mime proposées par l’atelier“spectacle vivant” de la classe de 6e du collège Saint-Exupéry, et lespectacle de haute volée présenté par une artiste circassienne. Sansoublier le bal, grand moment de rassemblement festif etintergénérationnel.De leur côté, ils ont été plus d’un millier de Fresnois à opter pour le coffret garni offert aux personnes de plus de 68 ans par le Centrecommunal d’action sociale (CCAS).

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En novembre, la troupe de Jérémie Le Louëtet Noémie Guedj avait joué à la Grange dî-

mière le premier épisode du triptyque qu’ilsmontent pendant leur résidence de trois ansà la CAVB, intitulé “Plus belle la vie d’unecompagnie”. “Il s’agit d’un regard critiqueporté par une compagnie de théâtre sur la vieculturelle française, sur ses prétentions, sonfonctionnement, ses dérives et sur la vanité deses protagonistes: artistes, directeurs de théâtre,spectateurs”, analyse Jérémie Le Louët.Dans ces “petites formes ludiques et interac-tives” sans décor, costumes ou éclairage, lejeu des acteurs est pour le moins dépouillé.On y découvre ainsi le théâtre côté coulisses,

ce qui se passe lorsqu’un comédien sort descène ou encore les démarches qu’il faut fairepour qu’un spectacle soit joué quelque part.Dans ce second opus, “Les Marchands desoupe”, la compagnie dissèque “le rapport auxinstitutions”, grandes dévoreuses d’illusions.Celles-là même que les artistes aimeraient tantne pas perdre trop vite… i RL

i “Les Marchands de soupe”, 19/02, 19 h, Avara. 3e volet : “Pour toi spectateur !”, 8/04, 20 h 30, MJC.Entrée libre.

Composter, c’est tendance certes, mais ce petit geste écologique – que tout

le monde peut faire –, permet de réduire de30 à 35 % des déchets du quotidien. Initiéeen juillet dernier par la Communauté d’ag-glo, l’opération “composteur”, prévue surtrois ans, redémarre ainsi en mars. Proposés à 20 % de leur prix de vente, grâceau partenariat entre la CAVB, l’Ademe et larégion Ile-de-France, ces composteurs se dé-clinent en bois ou en plastique. Pour réussir son compost, il suffit d’y déposer

des matièresc a r b o n é e s ,dites “matièresbrunes, dures et sèches” (branches broyées,coquilles d’œufs, etc.) et azotées dites “ma-tières vertes, molles et humides” (déchets vé-gétaux, épluchures, etc.). En quelque mois, parun processus d’aérobie couplé à la présencede lombrics et insectes divers et d’un mini-mum d’entretien (aérer et mélanger réguliè-rement), le terreau se fabriquera tout seul, oupresque. e RL

Côté coulisses

Composter, c’est futé

C’est le nombre decomposteurs qui ont étédemandés sur laCommunauté d’agglo depuisle début de l’opération enjuillet dernier. Cinq cents ontété livrés en septembre, lereste sera livré en mars enmême temps que lesnouvelles réservations.

Initiée en juillet dernier par la Communauté d’agglo,l’opération “composteur” recommence en mars.Réservez le vôtre pour votre jardin.

Que se passe-t-il en amont d’un spectacle ?Depuis 2007, la troupe de Jérémie LeLouët et Noëmie Guedj dévoile l’envers(l’enfer ?) du décor. Du théâtre à l’état brut.

Réservation avant le 10 mars

Je choisis le modèle en plastique400 l (9,50 ¤)* 600 l (12,50 e)*

Je choisis le modèle en bois400 l (11 e)* 600 l (14 e)*

Je souhaite une formation au compostageOui

* prix indicatifs. Offre réservée aux personnes n’ayant jamais commandé de composteur par ce biais.

Nom:……………………………………………………………………………………........

Prénom:……………………………………………………………………………….....

Adresse : ………………………………………………………………………………….

…………………………………………………………………………………………………...........

Ville :……………………………………… Tél. ………………………………….........

i CAVB, service environnement, 7/9 av. François-VincentRaspail, 94114 Arcueil cedex. Tél. 01 41 24 32 16.i Retrait les 20 ou 27 mars, CTM de L’Haÿ-les-Roses.

CONSEILLER INFO-ÉNERGIE

Pour optimiser son habitatsans se perdre dans les

crédits d’impôt, toutconnaître de l’isolation ou

les énergies renouvelables,un conseiller “info énergie”

est présent en mairie le 3e lundi de chaque mois,

de 9 h à 12 h.Ces consultations sont

gratuites sur rendez-vousau 01 41 24 32 00.

Horaires d’hiverDu lundi 22 février auvendredi 5 mars, les accueilsde loisirs maternels (Blancs-Bouleaux, Capucines etMarguerites) et élémentaires(Henri Thellier et le stadesud) réceptionneront lesenfants de 7 h 30 à 18 h 30(arrivée : de 7 h 30 à 9 h etdépart : de 17 h à 18 h 30). Unaccueil (matin et soir) est misen place à l’école JeanMonnet pour la navettedestinée aux accueils deloisirs élémentaires.

Non

14-agglo_Mise en page 1 26/01/10 14:28 Page14

Le rez-de-chausséede cette anciennemaison familiale estaussi accueillantque chaleureux, à

l’image des bénévoles qui l’in-vestissent chaque jeudi et sa-medi, jours des permanencesde la bibliothèque sonore.“Nous formons une véritableruche”, observe ChristianeGout, vice-présidente de l’as-sociation. Si les tâches sontréparties avec une telle préci-sion, c’est pour offrir à unecentaine d’aveugles et de mal-voyants l’accès à un cataloguede plus de 1800 ouvrages en-registrés sur CD audio. “Tousnos livres sont lus par des don-neurs de voix bénévoles forméspar un comédien profession-nel, explique Christiane.

Biographies, documentaires,romans historiques oucontemporains : rien nemanque au catalogue decette bibliothèque, en parti-culier les titres suggérés parses adhérents, “Nous sommesau service des audiolecteurs”,résume Christiane. Dans cesens, les bénévoles assurenttous les trois mois l’enregis-trement d’un journal parléadressé par courrier à leursabonnés. “Nous y proposons

un résumé des nouveaux ou-vrages enregistrés” , expliqueAnne, la “voix”du journal.Adressés en franchise postaleau domicile des abonnés, les

les CD enregistrés au formatMP3 prennent place dans unboîtier spécialement conçupour les déficients visuels dé-nommé Victor, compagnonde route des audiolecteurs.“Grâce aux soutiens que nousrecevons de la ville et duConseil général, la biblio-thèque prend à sa charge unegrande partie du coût du ma-

tériel”, précise Christiane.Après presque dix ans d’uneorganisation bien rôdée, leconstat des bénévoles resteidentique : “Nous peinons àrecruter de nouveaux audiolec-teurs, et pourtant nous savonsqu’ils existent”, déplore la vice-présidente. C’est pour cetteraison qu’une campagne na-tionale a été lancé ces derniersmois sous forme de spots TV,avec la participation bénévoledu comédien Pierre Mondy.

À la grande satisfaction desdonneurs de voix, c’est dansles locaux de la bibliothèquesonore de Fresnes que les réa-lisateurs du film ont choisi deposer leurs caméras. De quoirécompenser l’engagementd’une bibliothèque qui fait au-jourd’hui référence dans leVal-de-Marne. j AGNÈS LE MAOÛT

Fournir gratuitement aux aveugles et malvoyants le pluslarge catalogue possible de livres à écouter : telle est la vocation des donneurs de voix, installés dans les vastes locaux de la maison du combattant mis à leur disposition par la municipalité.

Suzanne Pierre et Christiane Gout (au second plan) préparent lescommandes des audiolecteurs.

TÉMOIGNAGERodolphe Bianco, audiolecteur

AU QUOTIDIEN

Le sens de l’écoute

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“Nous souhaiterionsétendre notre action àde nouveauxaudiolecteursdéficients visuels”

S’INSCRIRE

La bibliothèque sonore s’adresse àtoute personne aveugle oumalvoyante sur présentation d’unecarte d’invalidité ou d’un certificatmédical.Aucune cotisation n’est demandée.Les prêts de livres sur CD MP3 (oucassettes) sont réalisés sur placelors des permanences (jeudi de 15 h à 18 h ou samedi de 10 h à 12 h 30) ou en franchise postale.Bibliothèque sonore, 9 rue JulienChaillioux. 01 46 68 46 08.www.bsfresnes.fr

Audiolecteur depuis les débuts dela bibliothèque sonore en 2000,Rodolphe Bianco en a d’abordutilisé les services pour sonépouse, atteinte de cécité.Quelques années plus tard, il estvictime de dégénérescencemaculaire et devient à son touraudiolecteur assidû. “On ne peutque louer les services de labibliothèque sonore, déclareRodolphe, aujourd’hui âgé de 90 ans. Je peux encore m’y rendre à pied une fois par semaine.J’apprécie d’y rencontrer despersonnes très serviables, à notreécoute. C’est un serviceextrêmement précieux offert auxpersonnes mal-voyantes.Quant à qualité desenregistrements, elle estexcellente, tant sur le plantechnique qu’artistique !Je lis environ deux à trois livres parsemaine que je choisis parmi lalittérature du XIXe siècle. Lecatalogue est très varié, puisqueles enregistrements sont réalisésselon le goûts des audiolecteurs.”

TEMPS LIBRESPORT, LOISIRS, CULTURE

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TEMPS LIBRETEMPS LIBRE

Notes de solidarité

Le CRD se mobilise pour lessinistrés d’Haïti et organisedeux concerts caritatifs. Le premier aura lieu ledimanche 7 février, à 15 h. Il sera donné par lesensembles de cordes duconservatoire, dirigés parCarmen Fournier. Le second est programmé le vendredi 19 février, à 20 h :des professeurs du CRD ontuni leur talent afin que lesélèves puissent les écouter –et les voir – en situationd’artistes concertistes. i Participation libre. Les recettes seront intégralementversées à la Fondation de France : Solidarité Haïti.i Les autres initiatives en p. 24.

Fresno-parigots

Ils sont fresnois, les membresdu chœur Arthur Honegger,mais ce mois-ci, c’est à Parisqu’ils jouent “La BelleHélène”, opéra-bouffed’Offenbach, dirigé parDominique Sourisse, avecdeux Fresnois dans les rôlestitres : Jean-Robert Raviot(Pâris) et Anne Andreone(Hélène). 18/02, 20 h, 20/02,19 h et 21/02 15 h, théâtreSaint-Léon, 11 place duCardinal Amette, Paris XV.i Rens. au 01 46 60 37 57 ouwww.choeur-honegger.net

Le grand plongeon

Faites briller vos palmes : la section natation de l’AASFresnes organise le 13 mars“10 h de natation”, pour tous(9-19 h). Article dans n° 83.

“C’est une fable sur la li-berté, la mort, l’amitié,

la rage et la joie. L’histoire despirates résonne beaucoup avecla société d’aujourd’hui”, ex-plique Emmanuel Audibert,metteur-en-scène du nouveauspectacle de la compagniefresnoise 36 du mois-Cirque360 qu’il dirige.Initialement appelée “Co-Pi-rates”, ce spectacle, qui dé-marre avec le monologued’un marin assoiffé et quis’achève par un simulacre deprocès, s’intitule désormais“Tarets et autres parasites”.Un titre énigmatique qui ren-voie à la mer (les tarets sontdes mollusques marins quicausent de gros dégâts dansles bateaux en bois) et à unecertaine idée de l’exclusion(les parasites vivent aux dé-pens des autres). Et qui, parassociation d’idées, rappelleles pirates, qui vivaient de leurprises, sans patrie ni attache. Des hommes méconnus, ca-pables du meilleur (ils libé-raient les esclaves), commedu pire (ils n’avaient rien àperdre et étaient d’une raresauvagerie). Rien à voir avecl’image charismatique et in-ventée d’un Jake Sparrow oud’un Capitaine Crochet…

Hommes (et parfois femmes)de la marge, les pirates (etnon corsaires, envoyés par lesgouvernements) avaientrompu tout lien avec la so-ciété. Ils sillonnaient les merssur de petits bateaux de bois,très maniables, et pillaientceux qu’ils croisaient. Ils fonc-tionnaient en autarcie, selonun mode “démocratique”puisque le capitaine était élu

et pouvait être destitué à lamoindre incartade. Quant auxbutins, ils étaient partagés àparts égales entre tous.“Ils ont été éradiqués en dix

car ils cassaient le commerce”souligne le metteur-en-scène.Nous avons voulu montrer lajoie subversive de ces hommesvoués à disparaître dans unesociété en crise, dure et répres-sive, qui fait écho avec la nôtre.”

Pièce chorale, “Tarets et au-tres parasites” est une aven-ture conjointe, qui a mobilisétrois auteurs, un compositeuret un metteur-en-scène. Lecirque se mêle de danse, lethéâtre s’investit de musique.Sur scène, un immense“Légo” de bois représente letrois mâts où ces marins vontvivre leurs derniers jours.

Modulable à souhait, il évolueau gré de leurs débats, soûle-ries et autres attaques. Modu-lables sont également les in-terprètes, qui jouentalternativement ces person-nages tragicomiques. “Le riresert de soupape à la violenceracontée.” conclut Emmanuel.j RAFFAÈLE LAPORTE

Retrouvez l’événement et sesinformations pratiques dans

Retraçant les vingt derniers jours d’un bateau pirate,“Tarets et autres parasites” (projet Co-pirates) évoque la findes pirates au XVIIIe siècle pour dénoncer l’autodestructioninévitable des exclus. Un thème qui ne résonne que tropaujourd’hui… Du 12 au 14 février à la Grange dîmière.

Autodestruction programmée

BIO EXPRESS

36 du Mois-Cirque 360

La Cie 36 du mois-Cirque 360(“Expect”, “Le jour et la nuit”,“Les petites fuites”…) développeun théâtre choral très axé sur la gestuelle et les déplacementsscéniques, qui mêle danse,musique, cirque et acrobatie.Dirigée depuis sa création en1995 par Emmanuel Audibert, qui met également en scène les spectacles, elle est installée à Fresnes, rue Roper.i www.36dumois.net

16P A N O R A M A / N U M É R O 8 2 / F É V R I E R 2 0 1 0 / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / /

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TEMPS LIBRE

Il interprète l’au-delà

Christian Boltanski,actuellement exposé auGrand Palais (“Personnes”,jusqu’au 21 février), investitparallèlement le MAC/VALInstallation inédite conçuecomme un film à grandspectacle, “Après” incite lepublic à faire l’expérienced’un monde imaginaire, celuide l’au-delà. Jusqu’au 21février des navettes gratuitesseront mises à disposition, ledimanche, entre le GrandPalais et le MAC/VAL. i "Après", jusqu’au 28 marsau Mac/Val, place de laLibération , Vitry-sur-Seine.

Écrivains de demain ?

C’est une jolie initiative – quidevrait séduire les institu-teurs de Fresnes – qu’ont eueles éditions Nathan avec“Plumes en herbe” : unconcours visant à développerle goût de la lecture et del’écriture chez les CP-CE1. Le principe est simple : queles enfants écrivent eux-mêmes une histoire, à partirdes illustrations de MélanieAllag (ci-dessus). Cet ou-vrage, qui paraîtra dans lacollection Premières lectures,ne sera dévoilé qu’à l’issuedu concours. Guidés parleurs professeurs, ces ap-prentis-écrivains titrerontleur hisoitre et dessineront lacouverture. Un jury composéd’enseignants, d’auteurs etd’éditeurs désignera en avrilles six classes gagnantes.i www.plumesenherbe.fr

Ils ne sont pas légion lesspectacles pour tout-petits

et celui-ci en est une trèsbelle illustration. D’ailleurs,il tournera fin février à Paris,à la péniche Antipodes, l’unedes scènes de référence pourles spectacles enfants.Imaginé par la compagnie LaGazelle, à partir du livre épo-nyme de Sylvie Poillevé, “LePetit chasseur de bruits” ra-conte l’histoire d’un peuplemalheureux, muré dans le si-lence. C’est pour lui redonnerjoie et bonheur qu’un jour,

un petit bonhomme part,armé d’un grand sac, à la re-cherche de divers sons etbruits. Vent, vagues, cris demouettes, voitures, klaxons,aboiements… il glane toutsur son passage !Mis en scène façon “théâtrede papier”, ce spectacle illus-tre à merveille la phrase deVictor Hugo : “Tout bruitécouté longtemps devient unevoix”. j RL

i MJC, 17 février, 14 h 30. Dès 2 ans. 6,60/6,20/5,50 et 5 €.Rens. au 01 46 68 71 62.

Avec sa guitare en bandou-lière sur laquelle il joue

des ballades romantiques, lechanteur Thibaud Defever, dugroupe Presque Oui, a en-chanté tous ceux chez qui il

est venu jouer en ville, commeAnne, qui l’a reçu chez elle,via la Grange dîmière, le 20 décembre dernier.“Pour le public, c’est une expé-rience vraiment très agréable,explique-t-elle. Nous étionsenviron 25 dans mon salon,qui fait 30 m2, mais nous étionstrès à l’aise. Thibaud est arrivéavec une personne de laGrange dîmière, et, une heuredurant, il a joué, debout, seschansons, qui sont plutôt “àtexte”. Ensuite, comme j’avaispréparé un petit buffet, les gens

ont discuté avec lui et ceux quile souhaitaient ont pu acheterson CD. La seule condition :qu’il ait une pièce pour se pré-parer avant la représentation,et que les invités soient bien àl’heure.” Une expérience vouéeà se généraliser en ville chezles personnes volontaires car,durant la fermeture de laGrange dîmière pour travaux(un an à partir de juillet), tousles prochains spectacles au-ront lieu “hors les murs”. j RL

i Renseignements auprès de laGrange dîmière au 01 49 84 56 91.

En principe, et selon leconte d’Elsa Devernois et

Michel Gay du même nom, “àtrois on a moins froid”. Enprincipe… Mais pas chez l’au-teur israélien Hanokh Levin(1942-1999) : les trois héros desa pièce, “Yaacobi et Leiden-thal”, n’ont chaud ni à trois,ni à deux, ni même à un ! C’est en effet une satire grin-çante de la solitude humaineque Levin a réalisé avec cettepièce. Un beau jour, Yaacobidécide que, pour réussir sa vieet trouver une femme, il doit

se séparer de son meilleurami, Leidental, soudain causede toutes ses misères. Et sepersuade qu’il est amoureuxde Ruth, qu’il surnomme “dé-licatement” Mme Gros-Popo-

tin… ! En trente tableaux,rythmés par 12 interludes mu-sicaux (pièces klezmer inter-prétées sur scène par troismusiciens), Hanock Levinnous offre ici le spectacle dé-licieusement cruel deshommes, et de leurs petitesbassesses. Centrés sur eux-mêmes, incapables d’ouvrirleur cœur, ces trois olibriussont en quête d’une hauteurqu’ils n’atteindront certaine-ment jamais… j RL

e Grange dîmière, dim. 7 février, 17 h. 12/8/6 €. Rés. 0149845691.

Ballades en balade

À trois on a moins froid

Les bruits tiennent paroleIl était une foisun petitbonhomme enroute vers lebonheur…

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Thibaud Defever vientchanter chez vous.

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Le Panorama ouvre ses colonnes aux cinq groupes politiquesreprésentés au conseil municipal. Ces textes sont rédigés sous la responsabilité de chaque groupeet n’engagent que leurs auteurs.

Avec la politique gouvernementale qui se traduitpar une montée de la précarité, une baisse dupouvoir d’achat des salariés et retraités, le détri-cotage des grands services publics nationaux,maux aggravés par une gestion de la crise éco-nomique dans l’intérêt exclusif des banques, lebesoin de solidarité se fait sentir plus que jamais

dans les territoires et la ville de Fresnes n’échappe pas à ce mou-vement. La municipalité y répond par le renforcement de sesservices publics.L'année 2009 aura été dans notre ville synonyme d'innombra-bles réalisations au profit des populations : halte garderie, mai-son de quartier avec un espace spécifique dédié à la jeunesse,logements sociaux (certains livrés, d’autres en cours de réalisa-

tion), foyer pour jeunes handicapés, maison d’hébergementpour retraités, rénovation des écoles, gymnases et bâtimentspublics, constructions de parking publics... À cela s’ajoutent denombreuses prestations rendues à la population pour les ser-vices municipaux, pour lesquels la mairie ne fait pas l’économiede la modernisation pour une meilleure efficacité et qualité desprestations.Pour mener toutes ces actions au profit des populations – les unesrésultant des engagements pris en 2008, les autres des effets dela crise économique – il faut des moyens. Cela justifie une mobi-lisation de tous contre la réduction des finances de notre villepar le gouvernement. JEAN-JACQUES UM

http://ps.fresnes.free.fr/

GROUPE SOCIALISTE

Le besoin de solidarité

GROUPE FRESNES ECOLOGIE

Taxe carbone, à suivre

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Le Conseil constitutionnel a sanctionné le gou-vernement pour les exemptions multiples ac-cordées. Il condamne le manque d’ambition en-vironnemental de cette mesure et son caractèreinjuste.Le Président Sarkozy doit entendre ce rappel àla cohérence et à la responsabilité, alors qu’il

avait choisi de s’exonérer des compromis trouvés par les ac-teurs du Grenelle de l’environnement. Le Conseil a raison de critiquer les dérogations multiples ac-cordées aux lobbies qui veulent le statu quo, et l’allocation gra-tuite de quotas d’émissions aux entreprises dans le cadre dumarché carbone européen qui crée une injustice fiscale. Legouvernement doit revoir sa copie pour revenir aux fonde-

ments qui rendent la Contribution Climat Energie efficace d’unpoint de vue environnemental et socialement juste. Après lefiasco de Copenhague, c’est la responsabilité qui doit prévaloir.Prix de départ pertinent, prévisibilité à moyen et long terme, in-clusion de tous les secteurs énergétiques dont la productiond’électricité, redistribution privilégiant les ménages les plus vul-nérables, création d’un fonds pour financer notamment un grandchantier de rénovation thermique des logements. Le gouverne-ment doit s’appuyer sur un compromis social, à l’image du Gre-nelle. Ce dernier fournit toutes les bases pour la mise en œuvred’une fiscalité écologique juste socialement et efficace pour leclimat et les économies d’énergie. HERVÉ BOURDIN

[email protected]

82-18-19- paroles 2 _Mise en page 1 26/01/10 14:25 Page18

Monsieur Besson, les élu(e)s communistes et ci-toyens de Fresnes s'insurgent du débat que vouset votre gouvernement tentez par tous les moyensd'imposer. À la veille des élections, la multiplica-tion des dérapages calculés des élus de l'UMP netrompe plus personne. Nous ne vous laisseronspas impunément véhiculer la peur et la haine à

travers vos idées. L'existence même de votre ministère de l'Immigration, de l'Inté-gration et de l'Identité nationale est une insulte aux valeurs quenous défendons. Nous lutterons sans relâche pour sa suppression.Dans ses vœux, Pierre Gosnat, député maire d'Ivry-sur-Seines'adressait à vous en ces termes : “Il est salutaire, Monsieur Besson,que vous soyez le ministre le plus haï de France, tant vous symbolisez

une politique voulue d’en haut, où l’identité nationale n’est que leprétexte à la division, l’exclusion et la répression, avec pour objectif,peu reluisant, de chasser sur les terres d’un certain Jean-Marie LePen.” Entendez que notre détermination à barrer la route à toutesvos tentatives de stigmatisations d'une partie de la population, déjàfort fragilisée par des lois répressives et injustes, restera sansfaille.Nous réaffirmons que lutter contre l'immigration clandestine,c'est avant tous mettre un terme aux pratiques scandaleuses queperpétuent le gouvernement français, la banque mondiale et leFMI en direction des pays du Sud. Nous réaffirmons notre attache-ment à une France du partage des différences, des Droits del'Homme. À une terre de métissage. JOSSELIN AUBRY

06 45 60 45 46

GROUPE COMMUNISTE

À l'attention d'Éric Besson

L’un des grands chantiers lancés par la muni-cipalité socialiste (la ZAC de la Cerisaie) va bou-leverser la vie des Fresnois. Le second, prévudans les dix ans à venir, sera l’aménagement desPépinières de Paris. Il y a quelques années, un premier projet sur la Cerisaie avait été présenté au Conseil municipal ;

aujourd’hui quand on le découvre (dans le Panorama), il a étélargement modifié. Les Fresnois et le groupe d’élus minori-taires restent dans l’ignorance sur l’aménagement et les éven-tuelles modifications apportées au niveau du nombre desconstructions. Quid des infrastructures de ce futur quartier de2 500 habitants ? Ecoles, commerces de proximité, gymnase,voiries, s’adapteront-t-ils avec l’environnement existant (nom-

breuses nuisances : sonores, qualité de l’air, …). Nous voulonset souhaitons que ce concept novateur se développe sur la villemais constatons que le choix du lieu pour cet éco-quartier n’estpas l’idéal dans l’environnement actuel existant (nombreusesnuisances dues à la proximité des autoroutes et des lignes àhaute tension). Quelques années encore pour que le “grand projet” des Pépi-nières de Paris voit le jour …. Il faudra un autre PLU afin derendre les terres agricoles constructibles. Notre vision étantd’offrir aux Fresnois un vrai projet d’éco-quartier qui devraêtre une harmonisation des constructions et des espaces verts.

DIDIER RYCHTER

[email protected]

FRESNES DEMAIN

Quel avenir pour nos futurs éco-quartiers ?

Le Panorama nous offre la possibilité de com-muniquer sur des sujets que nous avons pourhabitude de choisir au plus près de votre quo-tidien. Mais ce mois-ci, victimes d'allusions dé-gradantes, nous nous devons de répondre surun sujet plus général, et non moins important :notre attachement à la laïcité.

Fresnes À Venir rassemble des militants de différents horizonssociaux, politiques, géographiques. Les choix confessionnelsde chacun ne concernent que la vie privée. Et au sein de l'es-pace public, nous soutenons le droit à la différence, nul ne sau-rait le contester, mais pas la différence des droits, selon quel'on se réclame d'une communauté donnée.Depuis plus de cent ans, la loi dite “de séparation des églises

et de l'État” a permis la réconciliation entre les croyants de dif-férentes confessions et entre croyants et non-croyants.Aujourd'hui, la laïcité est attaquée. La loi Carle, adoptée dis-crètement à la rentrée, alourdit les charges de nos communesen les obligeant à couvrir les frais de scolarité des élèves dansl'enseignement privé. Et les discours du Président de la Répu-blique, au Latran ou à Ryad, sont lourds de menaces pour levivre-ensemble républicain. La laïcité, au-delà d'un principe fondateur du modèle françaisest aussi une valeur que tous les membres de Fresnes À Venirdéfendent fermement. Plus d’informations et vos réactionssur www.fresnesavenir.fr ALMAMY KANOUTÉ

http://www.fresnesavenir.fr

FRESNES À VENIR

À Fresnes À venir on est laïc et puis c’est tout

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PAROLE DES GROUPES

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Défibrillateurs en ville

Parce qu’ils ont lepouvoir de sauverdes vie, les défibrilla-teurs entrent désor-mais dans notre

quotidien. “En cas d’arrêt car-diaque, chaque minutecompte”, indique Philippe Vafiadès, conseiller municipaldélégué aux sports, aux an-ciens combattants et au devoirde mémoire. Comment çamarche ? La défibrillationconsiste à délivrer un courantélectrique dans le cœur d’unepersonne victime d’arrêt car-

diaque avant l’arrivée des se-cours. Chaque citoyen est enmesure de réaliser ce geste, quipermet d’augmenter de 30 %les chances de survie du ma-lade. Si la piscine et le gym-nase Mistral en sont déjà dotés,dix nouveaux défibrillateurséquiperont prochainement lamairie, la bibliothèque, le Foyerdes anciens, ainsi que plu-sieurs lieux sportifs de la ville. Même s’il sont entièrement au-tonomes et sécurisés – ils ne sedéclenchent que si l’état du pa-tient le justifie –, les nouveaux

appareils feront l’objet d’unesensibilisation aux gestes quisauvent, prochainement dis-pensée par la Croix-Rouge.“Nous formerons en priorité lesgardiens d’équipements sportifs,les entraîneurs, et certains em-ployés communaux”, précisePhilippe Vafiadès. Deux datessont déjà planifiées : le 6 févrierpour les éducateurs sportifs, etle 9 février pour les employéscommunaux.

Grâce à ce dispositif, la villeentend mettre en place un ré-seau de secours à la personneefficace jusqu’à l’arrivée des se-cours. “Bien répartis sur le ter-ritoire, les appareils pourrontêtre utilisés partout, y comprissur la voix publique”, précisel’élu. Dans cette perspective, laliste et les adresses des lieuxéquipés seront transmises auxpharmacies de la ville et auSamu. Ne reste plus qu’à se fa-miliariser avec ce nouveau ma-tériel utilisable par tout citoyenet capable de sauver chaqueannée des centaines de vie.f AGNÈS LE MAOÛT

Tous les bâtiments publics serontbientôt équipés de défibrillateurs..

Le décretDepuis le décret du 4 mai 2007, “Toute personne, même nonmédecin, est habilitée à utiliserun défibrillateur automatiséexterne... Il convient désormaisd’encourager leur installationdans les lieux recevant du public. Selon l’article L.6311-1 du Code de la santé publique: “À cet effet, lesétablissements recevant dupublic sont équipés d’undéfibrillateur automatique aumoins.”

Les motifs

40 000 à 60 000 personnesdécèdent chaque année enFrance d’un arrêt cardiaquerespiratoire extrahospitalier.Selon l’Inserm, uneintervention rapide, grâce aumassage cardiaque et audéfibrillateur, pourraitpermettre de sauver cinq à 10 000 vies supplémentaireschaque année.

Fermeture du centrede vaccinationSuite à une décisionpréfectorale, le centre devaccination contre la grippeH1N1 du gymnase Mistral a fermé ses portes, commel’ensemble des centres devaccination de ville. Cette évolution de lacampagne de vaccinationcoïncide avec la mise àdisposition des vaccins enpharmacie pour les médecinslibéraux. Si une premièrevague épidémique estdésormais terminée sur leterritoire, d’autres vaguesrestent possibles. Les autorités sanitairesrecommandent la poursuitedu processus de vaccinationafin d’accroître le degréd’immunité de la populationet ainsi d’atténuer l’impactd’une possible vagueépidémique.

AU QUOTIDIENCADRE DE VIE / ILS FONT LA VILLE

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Ddu 22 février au 5 mars,période des vacances

d’hiver, la ville et les structu-tures associatives mettent enplace des stages. Au menu :

f Passeports jeunes.Le Pass découverte proposeaux 8-15 ans un ou deuxstages par semaine parmi lesactivités suivantes : badmin-ton, tennis de table, escrime,multiballons, tir à l’arc, tennis,trampoline, acrogym, fitness,musculation, rollers et activi-

tés aquatiques.Le Pass éva-sion propose des stages endemi-journée ou en journéecontinue. Par ailleurs, des pro-grammes spécifiques multi-ac-tivités ou activités nautiquessont proposés aux plus jeunes(4-7 ans).i Contact : mairie, service dessports. Tel.01 49 84 57 01.

f Stages MJC> Mosaïque (22-23-24 févrierde 10 h à 12 h 30 et de 13 h 30à 15 h 30). Pour les 8-14 ans.

Prix : 50 €( + 6 € pour les nonadhérents).> Écriture slam et rap : du 22au 26 février de 14 h à 16 h.15-20 ans. Lieu : maison dequartier, 16 rue du DocteurCharcot. Prix : 15 €.> Arts et expressions cirque etclown. Du 1er au 5 mars. 10 h -12 h (5-6 ans). 14 h - 16 h (7-9 ans). 15 h - 18 h (9-15 ans).Prix: 50 € pour 10 h de stage,70 € pour 15 h de stage.i Renseignements et inscriptionsà la MJC. Tel. 01 46 68 71 62.

Sport ou loisirs : à vous de choisir !

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Pensé et conçu par son réa-lisateur, Patric Jean,

comme devant susciter la po-lémique, “La dominationmasculine”, sorti en novem-bre dernier, a atteint son but.Sur le Net, les internautess’emportent et prennent vio-lemment partie pour oucontre. Idem dans la presse,où le film a fait débat.C’est normal : l’auteur a lemérite d’appuyer là où ça faitmal ! En partant d’un fait di-vers tragique (en 1989 au Qué-bec, 14 étudiantes d’HEC-Montréal ont été assassinéespar un tireur fou qui refusaitaux femmes le droit auxétudes…), Patric Jean dressel’état des lieux d’un mondedésespérément macho. Quadras qui se moquent bê-tement d’une hôtesse au Sa-lon de l’auto, petites fillesconditionnées à jouer à lapoupée, jouets d’imitation(machines à laver pour lesfilles, voitures pour les gar-çons…), hommes obnubiléspar la taille de leur sexe,femmes qui avouent leur be-soin d’être dominées : le réa-lisateur passe notre société à

la moulinette. Néanmoins,chacun pourra se faire son avisle 7 mars prochain, puisqu’ilsera projeté gratuitement à laMJC, à l’initiative conjointe deGaëlle Chéron, directrice deslieux, et du collectif des femmesfresnois qui avait initié ce ren-dez-vous en ville l’an dernier.

Le but : proposer aux Fres-noises et aux Fresnois de dé-battre de la condition fémi-nine aujourd’hui, notammentdans le domaine de l’ensei-gnement, parallèlement à laJournée internationale desfemmes du 8 mars. “Pour l’oc-casion, nous aimerions faire

venir le réalisateur du film”,espère Gaëlle Chéron. j RAFFAÈLE LAPORTE

i samedi 7 mars, MJC. Film à 14 h(entrée libre) + débat (bar) animépar l’historienne Florence Roche-fort. Initiative MJC/Collectif desfemmes fresnois. 01 46 68 71 62.

Ça va débattre à la MJC le 7 mars après la vision du film dePatric Jean, “La domination masculine”, projeté à l’occasionde la Journée internationale des femmes du 8 mars.

Le chantier de couverture del’A6b devait démarrer dé-

but janvier mais, à cause desintempéries de décembre, iln’a commencé qu’à la mi-jan-vier. Les travaux sur la rue Ga-briel Péri, à Cachan, sont doncentrés dans leur premièrephase (travaux préparatoire,assainissement) avec la créa-tion de la voirie provisoire, cequi implique la suppressiondu stationnement (un parkingprovisoire a été mis en place).Néanmoins, les travaux dits

“lourds” ne seront effectifsqu’à partir du 29 mars, avecla fermeture du sens Paris-province pour dix mois.L’opération durera jusqu’enseptembre 2012, mais la findes travaux de couverture se-ront achevés en décembre2011. j RL

i Point info : angle G. Péri(Cachan) et bd Malleret-Joinville(Arcueil). Sam. : 10h-13 h. Mardiet jeudi : 17 h-20 h.i www.couverture.a6b.fr (chantier en direct par webcams)

Tout le monde monte !

Ce n’est plus “Terminus, toutle monde descend”, maisplutôt l’inverse, sur la lignede bus 187 ! En effet, au regard des flux observés parla RATP et de la fréquenta-tion de plus en plus impor-tante, tout les bus de la ligne187 sont dorénavant articu-lés, ce qui augmente la capa-cité de voyageurs.De même, dans le cadre des travaux de restructura-tion du quartier de la Paix(ZAC Charcot-Zola), le termi-nus “Charcot Zola” du 187 estdéplacé rue Frédéric Mistral.

Nouveau nom

Autonome depuis le 1er janvier 2010, l’UniversitéParis 12–Val-de-Marne a changé de nom et s’appelledésormais l’Université Paris-Est-Créteil–Val-deMarne (UPEC).i www.univ-paris12.fr

Il reste des places

Il reste des places sur les antennes d'aide aux devoirsdu Val-de-Bièvre (2 rési-dence du Val-de-Bièvre,lundi et vendredi, 17 h-19 h)et du Clos-la-Garenne (9 avenue Garennière, mardi, 17 h-19 h).La ville recherche égalementdes bénévoles et vacatairespour le soutien scolaire (élémentaires et collèges). i Rens. au 01 46 68 27 61.

Arrivée

Tip Sécurité, société de sur-veillance, s’est installée enville. Son domaine : locauxcommuns, bureaux, entrepôts,centres commerciaux, maga-sins, laboratoires, établisse-ments publics, etc.i 17 allée du Mali. Tél. 06 69 52 74 06 ou 01 79 61 70 49.

AU QUOTIDIEN

Du débat en perspective

Roulez couverts

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Le débat aura lieu comme l’andernier dans l’espace bar de la MJC.

En 2012, l’A6b seraentièrement recouverte.

22-23-der_Mise en page 1 26/01/10 14:30 Page22

Depuis le 1er janvier, les propriétaires de chiens de types 1et 2 doivent posséder un permis de détention et avoirsuivi une formation. Explications.

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CAMBRIOLAGES

En vacances, je n’oublie rienLes vacances à la neige se profilent : voici quelques conseils simples pourprévenir les effractions pendant son absence. x Pensez à bien fermer à clé toutes les ouvertures, sans oublier les vasistas,portes de garage ou de jardin, quitte à les renforcer de barres en fer.x Prévenez vos voisins de votre absence, ainsi que le commissariat. Vos voisinspourront aussi relever le courrier ou la poste suspendre la distribution jusqu’àvotre retour: les boîtes aux lettres pleines indiquent l’absence.x Si vous songez à vous équiper d’une alarme, contactez votre assureur ou lecommissariat afin qu’ils vous conseillent.x Simulez une présence, soit grâce aux voisins (ouvrir et fermer les voletsmatin et soir), soit par une programmation électrique (radio, TV, lampes).

Un incident regrettableEn décembre dernier, Henri Israël, premier adjoint aumaire, a été témoin d’un incident sur la ligne 286. Il aadressé un courrier de protestation à la RATP. Résumé.“Trop souvent, à la gare d’Antony, les usagers se plaignent de lamauvaise coordination entre l’arrivée des RER et le départ desbus de la ligne 286. Ce mardi, une vingtaine de voyageurs dontmoi-même, nous nous précipitons vers le bus en sortant de lagare. Au moment où nous arrivons devant la porte, le chauffeurtourne la tête feignant ne pas nous voir et démarre. Le bus est vide ! Il commence sa manœuvre et se place derrière des voituresqui attendent au feu. Les voyageurs, excédés, se sont alors placéssur la chaussée, devant le bus, afin de bloquer la circulationjusqu’à l’arrivée de la police municipale. Celle-ci a constaté qu’ils’agissait d’un geste de révolte et de colère de salariés quin’aspiraient qu’à rentrer chez eux et nous a donné raison,constatant l’entêtement et la discourtoisie muette du chauffeur.C’est ce genre d’incidents qui provoque incompréhension ettensions inutiles. J’espère que le chauffeur sera informé de notrecolère et que la RATP pourra améliorer la coordination RER/bus.”i Dans sa réponse à Henri Israël, la RATP a spécifié qu’elle veilleraitdorénavant particulièrement aux relations passagers-machinistesCroix-de-Berny.

AU QUOTIDIEN

Permis de détentionobligatoire

Votée en 1999, la loi relativeaux chiens dangereux n’a

cessé d’évoluer au fil des anset du nombre d’accidents,souvent mortels, causés parces chiens. Elle a été encorerenforcée en juin 2008. Le but : ne pas stigmatisertelle ou telle race de chiens,mais sanctionner ceux qui lesdressent à l’attaque afin de lesutiliser comme des “armes”.Depuis le 1er janvier dernier,certaines de ses dispositionssont entrées en vigueur. Dorénavant, les propriétairesde chiens de catégorie I(chiens d’attaque : pitbull,bœrbulls, tosa…) ou de caté-gorie 2 (chiens de garde et dedéfense : american staffor-shire, rottweiler…) devront

être titulaires d’un permis dedétention délivré par le mairede leur ville. Pour l’obtenir, enplus des pièces habituelles(certificats d’identification, devaccination antirabique, assu-rance et, pour la catégorie 1,stérilisation), le propriétairedevra fournir une évaluationcomportementale du chien,établie par un vétérinaire. Le maître aussi devra fairepreuve de ses capacités et sui-vre une formation de septheures pour obtenir une at-testation d’aptitude. Tel chien,tel maître ! j RL

i Rens. en mairie auprès du secréta-riat général au 01 49 84 56 28.i www.interieur.gouv.fri Liste des formateurs disponible ensous-préfecture.

Geneviève Carlier, nouvelleprésidente de l’Asclaf.

Vous succédez à RuthReifenrath, qui s’est éteinte endécembre dernier… Ruthintervenait depuis 1995 sur lapopulation féline à Fresnes. En1997, elle avait créé cetteassociation et avait pucommencer les contacts avec lamairie. Elle l’a assumée presqueseule, avec passion, pendantdouze ans. Je suis arrivée,bénévolement, en 2001. En2007, lorsqu’elle est tombéegravement malade, je me suisentourée de cinq bénévoles,pour continuer son travail. Après

son décès, nous avons décidé de continuer cette aventured’utilité publique, car nousrecueillons les chats abandonnésou errants sur la ville.Où en est l’association ? Notreobjectif est de sauver tous ceschats, mais nous ne vivons quede dons. Heureusement, l’andernier, d’importants travauxd’amélioration ont été réaliséspar les équipes municipales etnous avons pu accueillir tous les chats qui vivaient chez Ruth.Nous avons aussi un grand debesoin de bénévoles.Combien y a-t-il de chats àadopter actuellement ?Ils sont 46. Une trentaine dechats sont adoptables, dont unedizaine de jeunes, âgés de un anet demi à quatre ans. i Association pour la sauvegardedes chats à Fresnes (Asclaf), 7 rue Julien Chailloux. Tél. 06 70 05 49 17 (Mme Carlier).Adoptions sur RV au refuge. Site : www.asclaf.fr

QUESTIONS À…

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Sans jamais oublier, àl’extérieur, la muselière,obligatoire.

22-23-der_Mise en page 1 26/01/10 14:30 Page23

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Tout beaux, tout neufs, etbientôt personnalisés aux

couleurs de la ville, les deuxcars Volvo 8700 et Irisbus Eva-dys, acquis respectivement en2006 et 2009 par le garage mu-nicipal, disposent des équipe-ments de confort et de sécuritéexigés par les normes euro-péennes : ceinture de sécuritéà chaque siège, éthylotestéquipé d’un système antidé-marrage et, pour le plus récent,panneau de signalisation cli-gnotant sur le pare-brise avant.De quoi assurer l’achemine-ment quotidien des élèves desécoles primaires vers la piscineet les sorties des accueils de loi-sirs maternels et élémentaires

dans les meilleures conditions.Aux commandes de ces véhi-cules aux proportions impo-santes – 12 mètres de long pour

le Volvo et 12, 80 mètres pour le“petit” dernier –, se relaientquatre chauffeurs municipauxexpérimentés : Jean-LucGrandu et Raymond Louis auvolant du modèle Evadys, etAlain Felback et Azdine Otmanià celui du Volvo.s’ ALM

Pour assurer les transports municipaux, la ville estéquipée de deux cars d’acquisistion récente de 60 et 63 places aux dernières normes de confort et de sécurité.

Maimouna et Christophesont confiants sur le de-

venir de l’orphelinat qu’ilssoutiennent depuis trois ansdans le cadre de l’association83e Avenue. En visite au Malien décembre dernier, le maire,Jean-Jaques Bridey, a exprimé

sa volonté d’ac-compagner le pro-jet de reconstruc-tion du bâtiment,dont les locaux si-tués au centre deBamako sont de-venus insalubreset trop exigus.“Notre actionprend une autredimension cetteannée”, observentChristophe et Mai-mouna, à la veillede la troisièmeédition de la soirée

“Ô coeurs de Bamako”.

Si les jeunes bénévoles n’ontpu se rendre sur place en2009, trois mini-containers devêtements et de fournituresscolaires ont pu être achemi-nés auprès des 31 enfants ac-

cueillis dans l’établissement.“Cette année, nous allons pou-voir bénéficier des conseils denouveaux architectes et nouspencher sur les plans du futurorphelinat”, expliquent Chris-tophe et Maimouna, décidésà rejoindre le Mali en aoûtprochain pour préparer lapose de la première pierre.

Une actualité qui sera détail-lée lors de la soirée organiséele 20 février à la MJC. Au pro-gramme, vidéos, conférence,mais aussi chant, théâtre,slam, le tout autour d’un buf-fet de spécialités africaines.Une soirée de soutien desti-née à tous les publics, sursimple réservation.j ALM

i MJC, 2 av. du Parc des Sports.Samedi 20 février, à partir de 19 h.Réservation au 06 21 58 35 05.

Tous solidaires

À l’initiative de Jean-JacquesBridey, la Communautéd’agglomération de Val-de-Bièvre va s’engager avec lesacteurs économiques duterritoire sur des projetsconcrets – envoi demédicaments et de matérielde première nécessité – maisaussi sur des actions à longterme afin d’accompagnerdans la durée lareconstruction du pays,frappé le 12 janvier par unséisme sans précédent.Elle s’associera notammentaux acteurs entretenant desliens avec Haïti depuisplusieurs années.La CAVB a dégagé 50 000 euros de fonds pourvenir en aide à la populationsinistrée.

Où adresser vos dons ?Les dons individuels peuventêtre adressés :

i Au Secours populaireFrançais, comité de Fresnes,30 avenue de la Paix, 94 260Fresnes. CCP 7044-04 M Paris.i À la Croix-Rouge française > par courrier à l’ordre deCRF-séisme Haïti, 75678 -Paris cedex 14. > par Internet sur le sitewww.croix-rouge.fri À la Fondation de France> Par courrier à l’ordre deFondation de France, BP22 75008 Paris.> Par Internet sur le sitewww.fondationdefrance.org

AU QUOTIDIEN

Bienvenue à bord

L’orphelinat de Bamako sera reconstruit

24P A N O R A M A / N U M É R O 8 2 / F É V R I E R 2 0 1 0 / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / /

Le modèle Irisbus acquis en 2009

Sophie Caristan

Nous annoncions dans leprécédent Panorama l’arrivée en ville de SophieCaristan, relaxologue. Suiteà une erreur de saisie, voici l’adresse rectifiée deson site Internet :> www.sophiecaristanlla-mas-relaxologue.com> Tel. 06 71 58 44 00.

82-24 ok_Mise en page 1 26/01/10 14:22 Page24

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AU QUOTIDIEN

Maire et vice-président du Conseil général du Val-de-Marne :Jean-Jacques Bridey> Samedi : 9 h-11h

Communication, démocratielocale, citoyenneté etmédiation:Henri Israël. 1er maire adjoint.> Samedi, 10 h-12 h et sur rendez-vous.

Développement durable,déplacements, environnementet urbanisme: Marie Chavanon. Maire adjointe. > Vendredi, 14 h 30-16 h 30, sur rendez-vous.

Petite enfance, éducation,jeunesse et affaires sociales :Alain Perrigault. Maire adjoint. > Samedi, 10 h-12 h, sur rendez-vous.

Développement des réseaux,assainissement, énergies etquestions de l’eau : Jean-Pierre Thellier. Maire adjoint.> Sur rendez-vous.

Santé, logement, handicap, 3e âge et services à la personne :Brigitte Tironneau. Maire adjointe.> Samedi, 10 h-12 h, sur rendez-vous.

Personnel, culture, sports etdevoir de mémoire :Hervé Bourdin. Maire adjoint. > Mardi, 10 h-12 h et samedi, 10 h-12 h, sur rendez-vous.

Budget et finances : Philippe Pallier. Maire adjoint. > Samedi, 10 h-12 h, sur rendez-vous.

Animation de la ville et de la vieassociative, jumelages etcoopération décentralisée :Laurinda Da Silva. Maire adjointe. > Samedi, 10 h-12 h, sur rendez-vous.

Emploi, insertion,développement économique,économie sociale et solidaire :Muriel Ethève. Maire adjointe. > Samedi, 10 h-12 h, sur rendez-vous.

Conseillère municipale déléguéeà l’éducation : Sylvie Vieillard > Samedi, 9 h 30-11 h 30 h, surrendez-vous.

Conseiller municipal déléguéaux jumelages et à lacoopération décentralisée : Richard Domps. > Samedi, 10 h-12 h, sur rendez-vous.

Conseillère municipale déléguéeà la santé : Claire Lefebvre. > Jeudi, 15 h-17 h, sur rendez-vous.

Conseiller municipal délégué àl’animation des quartiers :Marouan El Amrani. > Samedi, 10 h-12 h, sur rendez-vous.

Conseillère municipale déléguéeà l’ économie sociale et solidaire :Annette Perthuis. > Samedi, 10 h-12 h, sur rendez-vous.

Conseiller municipal délégué ausport, aux anciens combattantset au devoir de mémoire :Philippe Vafiadès. > Samedi, 10 h-12 h, sur rendez-vous.

Cabinet du maire > Contact pour rendez-vous : 01 49 84 56 11.

Permanences des élus du grouped’opposition divers droite :> 4e samedi de chaque mois de 10 h-12 h.> Mail : [email protected]> Blog : Fresnes-demain.over.blog.fr

Avocats, notaires, expertsjudiciaires : > listes consultables en mairie.

MOIS

> Dimanche 7 févrierPharmacie Émile Zola, 39 rueEmile Zla, Fresnes. Pharmacie

Bittante, 43 avenue Franklin-Roosevelt, Chevilly-Larue.Pharmacie Alzy, 151 avenue dela Division-Leclerc, Antony.

> Dimanche 14 févrierPharmacie Lavacquery, 16-18,place Louis XIII, Rungis.Pharmacie du centre Charcot,

10 rue du Docteur Charcot,Fresnes. Pharmacie Arfi Nguyen

Trong, 136 rue Pascal, Antony.

> Dimanche 21 février

Pharmacie Meunier, 47 avenuede la Liberté, Fresnes.Pharmacie Tomasino, 2 rueDispan, L’Haÿ-les-Roses.Pharmacie Attal Tchabath, 2 rue Adolphe Pajeaud, Antony.

> Dimanche 28 févrierPharmacie Centrale, 10 place

Pierre et Marie Curie, Fresnes.Pharmacie du rugby, 55 rue PaulHochart, L’Haÿ-les-Roses.Pharmacie Bader, 8 avenue de laDivision Leclerc, Antony.> Dimanche7 marsPharmacie Bourdier, 7 rue LéonBlum, L’Haÿ-les-Roses.Pharmacie Bonodeau,

51 avenue du Parc des Sports,Fresnes. Pharmacie Bader,

8 avenue de la Division-Leclerc,Antony.

Service disponible en semaine

(de 20 h à 8 h), le week-end

(du samedi 16 h au lundi matin

8h) et les jours fériés (24 h/24).

> Appeler le 15 (cf article p.9)

> Pompiers : 18.

> Police : 17.

> Samu : 15.

> Bureau de police de Fresnes :

01 46 15 42 90.

> Commissariat de

L’Haÿ-les-Roses : 01 49 08 26 00.

> Restos du cœur : 01 46 89 37 46.

DECEMBRE

Ils sont nés

Shanice Ghier. Jowita Ciesielski.Cassie Farlot. Maysa Fanzar.Florentin Roche. Sean John. AliciaLopes. Idris Diakite. Flore deSéze. Nahel Sekroutni. PalomaDoro. Léo Fumex. Lucy CostaMachado. Baba Sy. Maÿlis Louis-Rose. Elana Pires. Maël Merle.Vivek-Aaron Atse. Jahel Lajarille.Sophie Kirishanthan. MariamDiallo. Ilyes Badjouri. KéylaAngloma. Théo Auvray

Ils se sont unis

Edmond Hayano et Liping Zhao.

Tony Amory et Cindy Mondelice.

Ils nous ont quittés

Raymond Guérin, 73 ans,Fontenay-les-Briis (91). MarcelFrançois, 93 ans, Antony (92).Ruth Reifenrath, 74 ans, Villejuif (94) (lire article p. 23).

AAS Fresnes 3 ter rue Auguste Daix. Tél. 01 46 68 89 25. Avara 2 allée du Colonel Rivière. Tél. 01 43 50 93 09. Bibliothèque 26 rue Maurice Ténine. Tél. 01 46 15 46 80. Centre municipal de santé, 22 rue Henri Barbusse Tél. 01 49 84 57 47. Conservatoire d’arts plastiques et des arts de la scène (Capas), 25rue des Frères Lumière. Tél. 01 49 84 57 49. Conservatoire à rayonnement départemental (CRD, conservatoire de musique), 41, rue Maurice Ténine. Tél.01 55 01 04 99. Écomusée, 41 rue Maurice Ténine. Tél. 01 41 24 32 24. Foyer Émile Roux, 1-3 rue du Dr Émile Roux. Tél. 01 42 37 77 20. Grange dîmière.Administration en n mairie. Tél. 01 49 84 56 91. Ludothèque,3 bis rue Émile Zola. Tél. 01 47 02 50 54. Macc, 5, rue Julien Chaillioux. Tél. 01 46 68 58 31. MJC,2 av. du Parc des Sports Tél. 01 46 68 71 62. Théâtre-en-Rond, Compagnie des 7 Sources, chemin de la Tour aux Chartiers. Tél. 01 49 84 25 08.

MAIRIE DE FRESNES 1 place Pierre et Marie Curie. Tél. 01 49 84 56 56

NU

MÉR

OS UTILES

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82-p 26_Mise en page 1 26/01/10 14:27 Page26

LUNDI MARDI SEMAINES MERCREDI JEUDI VENDREDI

• betteraves/macédoine• coquillettes bolognaise • emmental/brie• pomme granny smith• croustatina

• carottes râpées/chou rouge• beignet de poisson au citron• haricots beurre sautés• fromage blanc ou demi-sel• crêpe au sucre ou au chocolat• pain, beurre, confiture

DU 1ER/02

AU 5/02

• salade chinoise• sauté de porc chasseur• pommes frites• saint-paulin• gâteau de riz au caramel • pain, chocolat

• potage potiron • poulet rôti• petit pois paysanne• camembert/tomme noire• clémentine• pompon cacao

• salade verte• brandade de poisson • gouda/yaourt sucré• pêche sirop/compote

pommes-bananes• pain, fromage

• carottes râpées/salade iceberg• potée au chou• chou vert/pommes de terre• tomme blanche/coulommiers• compote pommes/banane• pain, beurre, confiture

• potage de légumes • quenelle financière• riz safrané• camembert/saint-paulin• pomme• pain, beurre, confiture

DU15/02

AU19/02

• friand fromage• pavé de poisson citron• haricots beurre• yaourt sucré/• fruit frais• pain, beurre, chocolat

• salade verte à l’emmental• émincé de poulet savoyarde• fromage blanc aux fruits • pain, fromage

• chou-fleur/salade de h. verts• saumonette sauce oseille• pommes vapeur• pavé demi-sel/gouda• ananas• rocher congolais

• potage minestrone• blanquette de dinde• carottes fraîches• yaourt sucré• pomme pink lady• pain, beurre, confiture

• céleri rémoulade• figger de poisson au citron• haricots verts• saint-paulin• gâteau de semoule • pain, chocolat

DU 1ER/03

AU 5/03

• carottes râpées• sauté de bœuf chasseur• pommes frites• camembert• pompon cacao

• salade verte• couscous boulettes merguez • semoule et ses légumes • emmental• mousse chocolat• pain, fromage

• betteraves rouges• pavé de lieu provençale• riz• brie• prune rouge• merendetto fraise

• pâté/galantine volailles• goulasch• pommes de terre vapeur• yaourt sucré/édam• poire conférence• pain, beurre, confiture

• potage pois cassé • filet de poisson sauce mornay• épinards à la sauce• emmental/petit-suisse sucré• orange sanguinelli• pain, pâte à tartiner

DU 8/02AU

12/02

• salade arlequin• sauté de volaille normande• bouquetière de légumes• brie• tartelette aux abricots • pain, fromage, lait

• chou blanc/carottes râpées• cassoulet • camembert/tomme grise• mousse choco/flan vanille• merendetto fraise

• céleri rémoulade/betteraves• filet de poisson pané au citron• carottes/pommes de terre• vache picon/carré de l’est• compote/poire au sirop• pain, beurre, chocolat

• salade mêlée• hachis parmentier • carré de l’est• compote pommes/abricots• pompon cacao

• soupe au pistou• rôti de dinde normande• carottes rondelles• yaourt arôme• banane caraïbe• pain, pâte à tartiner

DU22/02

AU26/02

• crêpe au fromage• saucisses chipolata• pommes frites• saint-nectaire• merendetto chocolat

• carottes râpées• cordon bleu ketchup• tortis au beurre• crème vanille caramel • gaufre au sucre

• betteraves rouges• merlu sauce bonne femme• épinards et pommes de terre• fromage blanc• orange maltaise• pain, fromage

MENUS DES ÉCOLES ET DES ACCUEILS DE LOISIRS

En maternelle, les goûters sont fournis aux élèves de l’accueil du soir. Ils sont tous composés de fruits frais et de lait et, alternativement, de tartines ou de viennoiserie. Ils sont signaléspar le signe . La main désigne un plat “fait maison”. Les menus peuvent être modifiés selon l’arrivage et les contraintes du marché tout en respectant l’équilibre nutritionnel.

NTIN

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La photo insolite du moisTous les mois, retrouvez une image insolite de la ville, essayez de l’identifier (réponse dans le prochain numéro)

et votre nom sera publié dans le prochain numéro du Panorama. Faites-nous parvenir vos réponses et/ou vos “photos mystères” de la ville sur [email protected] avant le 20 du mois.

Le mois dernier, il s’agissait de la fontaine-aux-mousses, installée dans le petit parc Ténine (situé au milieu de la rue Maurice Ténine). Bravo à Jean-Claude Pourchasse, qui l’a identifiée.

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