Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean...

12
Le MOULIN à PAROLES Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin 12 SOMMAIRE EDITO ACTUALITÉ 2 Attentat à Charlie Hebd Les symboles de la Paix ARTS, CULTURES, EXPRESSIONS 3-4 Nouvelles 1,2,3,4 5 Lycéens au cinéma Le Dictateur Info ciné 6 Chroniques Méditéranéennes 7 La fugue Intervention de J.B Marlin, réalisateur À propos de Dictateur 8 Une expo d'art contemporain au lycée Visite au Mucem Un projet qui ne manque pas de souffle SORTIES 9 Visite au Salon de l'Auto de Paris Ski à Orcières Une journée à Toulon SPORT 10 L'Association Sportive : La muscu Paddle Info EPS 11 Le basket et moi Flash info basket Planche à voile Il était une fois le futsal à Jean Moulin L E COIN DU GAMER 12 Les Lunettes Hololens Don't Starve mars 2015 Directrice de publication : Isabelle Lagadec, Proviseure. Equipe enseignante : L. Norest, V. Ripoll, JC. Durastante. Rédacteurs : Julien Audant, Antonin Barletta, Micaël Bout- tin, Tommy Charalambous, Tom Castell, Julien Coste, Amélie Delabre, Brendan Delaunay, Juan-Mateo Eleria, éo Fovez, Antoine Garcia, Aurélien Lilamand, Eddy Ly, Lukas Medon, Joseph Moreno, Duy khiem N'Guyen, omas Questroy, Ryan Rehabi, Anthony Reissi, Jorick Riberolle, Valentin Richet, Lu- dovic Sachot, Djamel Sayah, Juan Torres, Walid Yajbar. RÉDACTION "A force de tout voir, on finit par tout supporter. A force de tout supporter, on finit par tout tolérer. A force de tout tolérer, on finit par tout accepter. A force de tout accepter, on finit par tout approuver. " Saint Augustin, 430 après J.C Et voilà 1585 années plus tard ces mots gardent toute leur fraîcheur et toute leur modernité…Peut-être est- il arrivé le temps de nous demander ce qui ne nous est plus supportable, tolérable ni acceptable… ? Quelles sont les valeurs auxquelles nous souhaitons donner notre approbation… ? Même si nous entendons le fatalisme dans certains mots qui planent dans notre lycée, nous savons qu’au fond de nous, même infime, reste vivant l’espoir de nous voir grandir dans une société plus égalitaire, plus paisible, plus authentique, plus vraie… Une so- ciété où chacun aura trouvé sa juste place et partici- pera à l’ouvrage universel … Les utopies d’hier sont les réalités d’aujourd’hui… Alors à nous de jouer !! Laure Norest

Transcript of Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean...

Page 1: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

Le MOULIN à PAROLESJournal scolaireLycée des Métiers Jean Moulin

n°12

SOMMAIRE EDITO ACTUALITÉ

2 Attentat à Charlie Hebd Les symboles de la Paix

ARTS, CULTURES, EXPRESSIONS

3-4 Nouvelles 1,2,3,4

5 Lycéens au cinéma Le Dictateur

Info ciné

6 Chroniques Méditéranéennes

7 La fugue Intervention de J.B Marlin, réalisateur

À propos de Dictateur

8 Une expo d'art contemporain au lycée Visite au Mucem

Un projet qui ne manque pas de souffle

SORTIES

9 Visite au Salon de l'Auto de Paris Ski à Orcières

Une journée à Toulon

SPORT10 L'Association Sportive : La muscu

Paddle Info EPS

11 Le basket et moi Flash info basket Planche à voile

Il était une fois le futsal à Jean Moulin

L E COIN DU GAMER

12 Les Lunettes Hololens Don't Starve

mar

s 201

5

Directrice de publication : Isabelle Lagadec, Proviseure.

Equipe enseignante : L. Norest, V. Ripoll, JC. Durastante.Rédacteurs : Julien Audant, Antonin Barletta, Micaël Bout-tin, Tommy Charalambous, Tom Castell, Julien Coste, Amélie Delabre, Brendan Delaunay, Juan-Mateo Eleria, Théo Fovez, Antoine Garcia, Aurélien Lilamand, Eddy Ly, Lukas Medon, Joseph Moreno, Duy khiem N'Guyen, Thomas Questroy, Ryan Rehabi, Anthony Reissi, Jorick Riberolle, Valentin Richet, Lu-dovic Sachot, Djamel Sayah, Juan Torres, Walid Yajbar.

RÉDACTION

"A force de tout voir, on finit par tout supporter.A force de tout supporter, on finit par tout tolérer.A force de tout tolérer, on finit par tout accepter.A force de tout accepter, on finit par tout approuver. " Saint Augustin, 430 après J.C

Et voilà 1585 années plus tard ces mots gardent toute leur fraîcheur et toute leur modernité…Peut-être est-il arrivé le temps de nous demander ce qui ne nous est plus supportable, tolérable ni acceptable… ? Quelles sont les valeurs auxquelles nous souhaitons donner notre approbation… ?Même si nous entendons le fatalisme dans certains mots qui planent dans notre lycée, nous savons qu’au fond de nous, même infime, reste vivant l’espoir de nous voir grandir dans une société plus égalitaire, plus paisible, plus authentique, plus vraie… Une so-ciété où chacun aura trouvé sa juste place et partici-pera à l’ouvrage universel …Les utopies d’hier sont les réalités d’aujourd’hui… Alors à nous de jouer !!

Laure Norest

Page 2: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

ACTUALITÉ 2

Attentat à Charlie Hebdo 7 janvier 2015

Jeudi 08 janvier 2015, à 12h, une minute de silence à été respectée après l’attentat de la veille visant le magazine «  Charlie Hebdo  ». Deux hommes cagoulés sont en-trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion et ont ouvert le feu sur les personnes présentes. On déplore 12 morts  : deux policiers, quatre dessinateurs satiriques célèbres  : Charb, Cabu, Wolinski et Tignous ainsi que 6 autres personnes tra-vaillant pour l’hebdomadaire.

Au lendemain de l’attaque, une

journée de deuil national à été dé-crétée ainsi que l’alerte Vigipirate au niveau maxmal. Les drapeaux sont mis en berne durant 3 jours.Plus que les pertes humaines, c’est la liberté d’expression qui à été touchée. L’attentat à soulevé une vive émotion, et, très vite, les internautes se sont déchaînés sur les réseaux sociaux. Accusa-tions, insultes, prises de position mais surtout une grande vague de solidarité s’est propagée par-tout en France et même ailleurs avec le célèbre slogan «  Je suis Charlie  ». Des rassemblements se sont organisés le soir même à travers toute la France. Hommes politiques, acteurs et célébrités du

monde entier ont réagi en appre-nant la triste nouvelle comme Barack Obama, David Cameron, George Clooney et j’en passe ont condamné cet acte d’une rare vio-lence. Joseph et Antonin, 2BSEN

Les symboles de la Paix

Le rameau d'olivier est un sym-bole de paix car Athéna a offert un olivier à Athènes ce qui a per-mis de faire la prospérité de la ville. (mythe antique)La colombe est un symbole de la paix car dans la Bible, Noé avait réuni les couples de chaque es-pèce sur son arche et la colombe ramena une branche d'olivier pour signifier le retour de la terre, après le déluge. La colombe devint le symbole de la paix pour tout le monde en 1949, lorsque Picasso en dessina une pour une affiche du Mouve-ment De La Paix.

Walid, 2B MEI

Page 3: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

ARTS , CULTURES, EXPRESSIONS 3

Nouvelle n°2

Tout commence lorsque je rentre chez moi après ma journée au lycée...J'ouvre la porte-fenêtre et je constate que toute la cuisine avait changé de place, la cuisinière était à l'opposé de sa place habituelle, la table était retour-née, le lustre était par terre, les meubles étaient en plein milieu du salon. Ma chambre avait changé !!! J'avais une nouvelle chambre !!! La porte était entrouverte et par curiosité je suis allé l'ouvrir puis je me suis aperçu qu'il y avait un long couloir sombre et lugubre. A l'aide d'une torche, je décide de prendre ce couloir mais je n'en voyais pas la fin. Je prends mon courage à deux mains, je com-mence à marcher pas à pas. Tout à coup j'aperçois une lumière dans l'obscurité, je m'arrête de mar-cher, mon cœur bât de plus en plus vite, j'entends des grincements venant de nulle part puis une porte claque derrière moi, je me retourne brusquement : à ce moment là une télévision s'allume, l'écran est

brouillé, des voix de petites filles surgissant de tous les côtés. Je continue mon chemin mais cette fois un tableau qui était accroché au mur me semble familier : ce tableau représente une photo de famille avec en arrière plan une fille assise sur un mur. Dans certains de mes rêves une petite fille est toujours en arrière plan... bizarre !!Une voix lointaine m'interpelle et me dit de conti-nuer d'avancer, un peu fébrile j'ai pas une grande respiration.Je commence à stresser, à avoir peur, puis à la seconde qui suit, une porte s'ouvre devant mes yeux et une lumière intense m'éblouit. J'ouvre les yeux : j'aperçois une vitre face à moi, en regardant de plus près j'y vois mes parents et ma sœur à table entrain de manger. Je me décide et j'ouvre la porte ma chienne me saute dans les bras...Ouf, je suis vraiment chez moi !!

Ecrit par Jorick, 1B CA, Mis en page par Ryan, 1B MEI

Nouvelle n°1

Cela fait un bon moment que je suis assis dans mon canapé, sans attendre quoi que ce soit et je ne com-prends pas ce qui se passe. Dans ma tête tout est em-brouillé, je me lève prends ma veste et descends en ville en me demandant ce qui se passe.Tout est calme dans cette nuit, mais les quelques personnes que je croise ont toutes une tête inexpres-sive comme si j'étais invisible, comme si elles ne me voyaient pas. Que se passe -t-il  ? Je ne comprends pas.Tout le monde à l'air si bizarre que je remonte vite me réfugier chez moi. Je me sens tellement mal que je me couche à nouveau sur le canapé. Je ferme les yeux, essaye de respirer calmement pour retrouver des sensations normales.Mais tout d'un coup alors que j'essaye de retrouver un peu le contrôle de moi, je me retrouve emporté dans un cauchemar profond dont je ne peux m'échapper. Tout est trouble à l’intérieur de moi.Que se passe-t-il ? Deviens-je fou ? La sueur coule le long de mes joues, mes yeux me brûlent, est-ce que j'arriverai à sortir de ce cauchemar - enfin si c'en est un, car tout cela est peut être réel... - ?Je ne sais plus si je dors, si je rêve, mais j'ai dû m'as-

soupir car tout d'un coup une sensation étrange me réveille en sursaut.J'ai le souffle coupé, je suffoque. Je me sens comme quelqu'un qui vient à la mort. Cette sensation est si intense que je ne peux pas expliquer pourquoi des larmes coulent sur mon visage.Bref je ne sais pas vraiment si cela est réel ou irréel, cauchemar ou réalité...Je me passe de l'eau sur le visage, je tremble encore en voyant mon reflet dans le miroir. Soudain mes poumons me font mal comme transpercés par des flèches, mon estomac me brûle...A ce moment il me semble que la force du cauche-mar s’affaiblit un peu, il me semble que je vais pou-voir m'en sortir.Puis je relève les yeux vers le miroir mais ce n'est pas mon visage que je vois  : c'est quelqu'un d'autre quelqu'un que je ne connais bien. Ce visage qui me regarde droit dans les yeux est celui de la femme que j'ai aimé avant...Avant qu'elle ne meurt dans un accident de voiture. Mon cœur frappe contre ma poitrine. Encore la sueur sur mon front, sur mon visage.

Ecrit par Mickaël, 1B 3ECMis en forme par Tommy, 2B SEN

Page 4: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

ARTS, CULTURES, EXPRESSIONS 4

Nouvelle n°3

C'était un matin très tôt à sept heures, moi, Manuel je me réveillais avec l'esprit un peu encombré, je pensais d'avantage à la maladie de ma mère, alors je décidais - vu qu'il était dimanche matin - d'aller à l'église pour assister à la messe et prier pour ma mère. Je mis mes habits et pris ma voiture à toute vi-tesse, pourquoi ? Je ne sais pas. Le rêve que j'avais fait cette nuit m'avait perturbé et je sentais une présence en moi qui me disais "tu iras prier pour tes proches dans le besoin de la guérison" et là de suite je n'avais pas perdu de temps pour filer à l'église. J'arrivais à l'église, je m'assis, regardai autour de moi comme si l'église m'était familière. Un gros ressentis mentale-ment. Je regardai les statues qu'il y avait, j'étais fou ! J'en croyais pas mes yeux ! Les statues bougeaient tout en me parlant. Elles me disaient qu'elles avaient un message pour moi et que ce message venait de Dieu lui-même … « prie pour ton prochain qui est en souffrance ». De mes yeux se sont mises à couler des larmes froides avec une apesanteur comme si le bon dieu était avec moi. Je me suis mis à prier pour

ma mère, puis une fois fini, j'allai dehors et une voix dans ma tête résonnait « regarde-toi dans un miroir et regarde la vraie valeur de la vie  » Arrivé sur le parking de l'église je me précipitais vers la voiture à toute vitesse, je m'asseyais, je regardais dans le rétroviseur intérieur et je me contemplais. D'un coup derrière moi le visage d'un homme appa-rut dans le miroir, le visage d'un grand homme, peu vêtu, une longue barbe. A travers ses yeux je voyais un homme saint et digne puis j'ai réalisé que c'était dieu, puis il s'est mis à disparaître… je suis allé chez ma mère, qui était dans son lit, souffrante, je ne pou-vais que pleurer et veiller sur elle, puis elle s'est mis à se réveiller, s'étirer, se lever de son lit, marcher et elle me demanda si j'allais bien, comme si de rien n'était. Je me suis enfui dans ma voiture en panique et en pleurs en me demandant si cela était réel. Je regardais à l'arrière de ma voiture : sur la banquette il y avait un petit message où était écrit « coïncidence ou rêve ?... »Ecrit par Juan-Mateo, 1B CA Mis en forme par Juan, 2B MEI

Nouvelle n°4

Croyez-vous à tout ce qui concerne le surnaturel ?Pour ma part, je n'y croyais pas vraiment, cela me semblait invraisemblable jusqu'à ce qu'on trouve une mystérieuse peluche en Afghanistan. Mais avant tout commençons par le commencement.Je m’appelle Lukas, nom de code « nalit ».Je suis caporal dans le 3eme régiment d'infanterie de l'armée des États-Unis.Nous étions seulement cinq à être envoyés pour "net-toyer" un village rebelle.Il n'y avait plus rien en bonne état sauf ce singe en peluche. Cela ne m'avait pas paru plus suspect que ça. J'ai donc récupéré la peluche. Sur le chemin du retour nous sommes tombés dans une embuscade. J'ai vu la mort arriver lentement vers moi mais, je ne sais comment, tout est devenu flou autour de moi et lorsque j'ai enfin ré-ouvert les yeux je me trouvai dans une vieille maison abandonnée en plein cœur de New York.J'étais attaché à une chaîne avec ma femme et ma fille. Il y a aussi la peluche dans le coin de la pièce : le singe semblait plus vrai que nature, il me regardait avec insistance cela me faisait vraiment peur. Je ne savais comment réagir. C'était devenu brumeux, impossible de voir à plus de

2 mètres. Mes chaînes aussi avaient disparu, je me mis donc à courir sans m’arrêter mais je faisais du sur-place. J’étais à bout de souffle mais je n'avais pas avancé d'un centimètre, ma vision se brouilla à nou-veau. Tout plein de questions se bousculant dans ma tête « Est-ce un rêve ? » ou encore « Qu'est ce qui m'attend après ?  » J'étais en train de devenir complètement fou, combien de temps pouvais-je encore tenir  ? Je ne sais pas ce que j'avais fait pour subir tout cela. Ce singe complètement psychopathe était entrain de me pousser à bout, tout cela me semblait une éternité.J’aperçus cette peluche, je me mis à courir avec une seule idée en tête, lui arracher la tête.Juste au moment j’atteignis enfin mon lit, tout partit en fumée et me réveillai dans mon lit avec ma femme à mes cotés. Je pris ma douche, descendis dans le sé-jour pour préparer le petit déjeuner de ma fille, tout à coup mon cœur s’accéléra, j’aperçus cette peluche sur le bord du frigo.Est-ce que j'avais fait un cauchemar, ou est-ce que j'avais vraiment vécu tout ça ?Le doute s'installa et je me mis à réfléchir pendant des heures...

Ecrit par Lukas, 2BCAMis en forme par Audant, 2B MEI

Page 5: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

Info ciné

Une série qui va vous faire serrer...mdr!!!!!

ARTS, CULTURES, EXPRESSIONS 5

Lycéens et Apprentis au Cinéma

Cette année, ce sont les classes de 3e DP6, 2 B SEN et 2 CoiffEsth qui sont engagées dans le dispositif mis en place par la Région"Lycéens au cinéma", qui permet aux jeunes d'élargir leur culture cinématographique. Après les projections au cinéma Le Méliès du "Dictateur "de Charlie CHAPLIN le 4 décembre puis de "Chro-niques méditerranéennes", un programme de courts-métrages le 15 janvier, les élèves de 2B SEN nous font part de leurs impressions :

Le "Dictateur" de Charles Chaplin

"J'ai aimé la façon dont il caricature les régimes et les dictateurs. Le discours de fin fait réfléchir sur notre manière de vivre avec les autres." Tom

"Chaplin a réussi à mélanger parfaitement terreur et humour en ridiculisant les nazis, en prenant parti pour les Juifs. Chaplin montre aussi que même les êtres maladroits, faibles, ne doivent pas être maltraités, en diffusant un message de paix à la fin du film."Ludovic

"Le film comprenait des scènes drôles, au début, car Charles Chaplin utilisait des procédés humoristiques comme la parodie, la satire, le comique de gestes et de mots...Aussi avec les discours de Hynkel - caricature d'Hit-ler - quand les micros se baissent, on sent la puis-sance du dictateur.Pour moi ça devient sérieux surtout dans le discours qui sort des haut-parleurs du ghetto : une voix voci-fère pour faire peur aux citoyens et aux soldats alle-mands.Mais à la fin, le discours est contraire à celui du dic-tateur parce que c'est le barbier qui parle et ce dis-cours est doux et non-violent."Julien

"Je n'ai pas vraiment apprécié le film car il m'a paru long et répétitif.Cela dit, on y trouve beaucoup de choses intéres-santes surtout quand on sait que le film est sorti en 1940, soit au tout début de la Seconde Guerre Mon-diale.On voit à quel point Chaplin est visionnaire car il aborde avec humour un sujet grave et arrive à dé-noncer et informer le public américain. De plus, il est important de souligner qu'il réalisa ce film sans l'aide d'Hollywood.Je pense que l'on peut voir le film plusieurs fois pour avoir plusieurs interprétations"Antonin

"J'ai aimé ce film car il était vraiment intéressant. J'aime bien les films qui parlent du passé, comme celui-là de la Seconde Guerre Mondiale, de la souf-france que le peuple juif a subi.Ce film nous fait comprendre et ressentir la souf-france de la guerre.Je n'ai pas aimé que le film soit en noir et blanc et sous-titré, mais c'est un film qui fait rire et qui dé-nonce les dictatures qu'il y a eu en Europe."Eddy

Page 6: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

ARTS, CULTURES, EXPRESSIONS 6

Chroniques Méditerranéennes 

L'ogre de Gérard OLLIVIER

Ce court-métrage a pour personnage principal un ogre qui mange tout ce qui lui passe sous la main. Les éléments du décor, y compris l'ogre, sont dessinés à l'encre de chine, à première vue comme par un en-fant, le style « griboullis » appuie cette hypothèse. Ce style de dessin est là pour que les plus jeunes puissent comprendre l'histoire qui est elle-même racontée par un enfant.D'après moi, cet ogre représente notre désir de ri-chesse, notre place dans cette société et l'importance que l'on a, et notre désir d'en avoir toujours plus.Au départ, l'ogre est petit, il est encore innocent et n'a encore rien mangé. Il se rend compte que pour survivre, il est impératif de manger (métaphore de s'enrichir). Il commence donc à se nourrir de petites choses (métaphore des «  petits boulots  »), puis se met à manger des humains, puis des voitures, et des choses de plus en plus grandes (métaphore du désir d'en avoir toujours plus). Cet ogre va même jusqu'à en dévorer ses propres parents (métaphore de l'égo-ïsme) puis tente de manger la planète (métaphore de l'égoïsme « ultime »).Gérard Ollivier veut nous mettre en garde contre l’égoïsme qui peut anéantir toutes les relations exis-tantes (l'ogre qui mange ses parents) et sur la nature humaine qui nous pousse à en vouloir toujours plus ; ce court-métrage nous touche tous.J'ai personnellement aimé ce court-métrage car il résume de manière très enfantine ce qu'est la société aujourd'hui, qui veut le plus d'argent possible, être à tout prix haut-classé dans l'échelle sociale, au dé-triment des relations avec les autres, la famille entre autre.Ce court-métrage peut être compris par tout le monde, tous âges confondus.Ludovic

Petite blonde d'Emilie AUSSEL

Le film raconte l'histoire d'Angélique, une bour-geoise, voulant faire la rencontre d'un groupe d'ado-lescents qu'elle voit de l'autre côté de la plage. Elle tente d'approcher le groupe mais est rejetée par rapport à son style vestimentaire et sa façon d'être. Puis, un des adolescents du groupe, Noé, vient la voir

pour faire connaissance. Angélique revient les voir avec un garçon qui semble ne pas être de la même classe sociale et est finalement acceptée grâce à son répondant et est mise au défi de sauter du rocher. Elle part avec Noé et, finalement, saute avec lui.

Le désir peut passer outre toutes les barrières, qu'elles soient sociales, raciales ou financières.Car il ne faut pas juger les gens et surtout la première fois que l'on voit la personne ; peut-être qu'Angé-lique peut s'entendre avec le groupe et qu'il faut lui laisser sa chance.Car c'est un moment symbolique, deux adolescents de deux classes sociales différentes, sautant en même temps pour la même chose ; ils ont peur du chemin qu'ils vont emprunter ensemble.Aurélien

Nice de Maud ALPI

Cela s'est passé quand la mère de Martial tombe ma-lade et Martial se voit obligé de venir la voir. Ce court-métrage se situe à Nice, une ville qui est grande mais où les habitants sont pauvres et riches. Martial est un étudiant qui n'est pas heureux et qui cherche à gagner le cœur des autres.Martial cherche sa mère mais ne la retrouve pas car la ville est grande et il ne connaît pas tous les recoins de la ville.Il a beau se renseigner, il n'obtient pas de réponse, il ne trouve pas ce qu'il cherche au fond de lui.Martial sait que sa mère est une chanteuse, plus ou moins connue et qu'elle vit une vie solitaire parce qu'elle est divorcé (ou elle a quitté son mari pour des embrouilles de familles).Les chansons représentent la solitude du jeune homme abandonné par ses parents et le fait qu'il est en train de broyer du noir car il est obligé de se dé-brouiller tout seul.Les chansons nous apprennent qu'il a vécu seul de-puis toujours à la recherche de quelque chose d'im-portant.J'aime ce court-métrage car je comprends ce que les chansons disent car je suis aussi passé par ce chemin mais je me console chaque jour et la lumière du che-min me dit que je ne dois jamais abandonner psy-chologiquement et dois faire face à la vie quotidienne

Duy Khiem, 2BRT

Page 7: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

ARTS, CULTURES, EXPRESSIONS 7

Le réalisateur de la Fugue en visite au lycéeJean Bernard Marlin est intervenu auprès de deux classes pour répondre aux questions des élèves par rapport à son métier de réalisateur et par rapport à son court-métrage, "La fugue". Nous avons donc appris que les comédiens qui ont tourné dans son film n’étaient pas des professionnels mais le fruit de rencontres et d’une recherche atypique. En effet c’est à la sortie des lycées que Jean-Bernard Marlin est allé trouver les jeunes gens avec lesquels il a souhaité travailler.J.B. Marlin a donné de nombreuses indications aux élèves sur les différentes méthodes pour devenir acteur (figu-ration, stage…) ainsi que les endroits où se renseigner (Bureau du cinéma, directeur de casting…).L’essentiel de son propos a porté sur les différentes étapes qui jalonnent la fabrication d’un film, de la recherche d’idée, à la recherche de financement, de la constitu-tion d’une équipe technique au temps de tournage.La raison pour laquelle il a choisi de faire un film sur la délin-quance : c’est la raison pour laquelle on fait n’importe quel film : il s’agit avant tout de tomber amoureux d’une idée… 

La fugue de Jean-Bernard MARLIN

Lakdar, éducateur, accompagne Sabrina devant le tri-bunal pour mineur de Marseille. Après une première confrontation avec la procureure, Sabrina s'enfuit, craignant un verdict trop sévère.Lakdar devrait se méfier de Sabrina, à cause de son comportement instable. Sabrina devrait faire

confiance à son éducateur car son métier est d'assu-rer son avenir.Il est vrai qu'il est dur pour les éducateurs de choisir entre la réinsertion qui ne marche pas toujours et la répression qui peut détruire les jeunes.

J'ai trouvé l'histoire prenante, elle relate bien les dif-ficultés de la jeunesse dans les quartiers sensibles, mais attention à ne pas tomber dans les clichés.Antonin

À propos de dictateur

Ma colère est envers ce conflit qui a touché le monde et surtout un petit pays l'Ukraine (UK), atta-qué par la Russie dirigée par un homme avec une politique qui pour moi est un dictateur, Vladimir Poutine.Le conflit ne débute pas maintenant mais quelques années en arrière par des petits faux conflits d'ar-gent pas encore comme le conflit de 2014 qui atteint le point le plus haut de la violence.Ce conflit a fait en 24 heures 11 morts et des blessés par milliers, des convois ont été envoyés pour aider les opposants ukrainiens mais les convois sont ou

détruits ou arrêtés par l'armée russe à la frontière la Croix rouge intervient aussi sur le terrain pour; apporter de l'aide aux familles détruites par le conflit (près de 500 000 personnes).Le journal "Libération" dit ce que cachent les mé-dias, autant de notre pays que dans d'autres pays du monde - la censure est là - : le compte est de près de 5000 victimes dont au moins 30 enfants.Bien sûr le conflit est toujours en cours malgré son sommeil temporaire, les relations entre les deux pays sont toujours tendus...Pour moi ce conflit entre ces deux pays est illogique car ils sont liés par la politique, l'économie, etc.

Julien, 2B SEN

Page 8: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

Expo d'art contemporain à Jean Moulin

Un projet théâtre qui a du souffle !

La première séance avec Emmanuel Sandorfi, notre intervenant de L'Association "AutrementDit", a été

essentiellement consacrée à la respiration et à l'im-portance du corps. Comment respirer en se dépla-çant, pour se présenter en public, comment placer son souffle pour lire correctement un texte ? Ça paraît évident au premier abord mais comme toutes les évidences, l'acte est tellement habituel qu'il n'est pas toujours facile d'en prendre conscience à chaque fois. Il s'agissait de regarder faire, d'assimiler et d'exécuter les exercices demandés, ensuite de mettre les enseignements en pratique pendant la séance de lecture des textes que nous avions écrits en classe. Séance de travail très enrichissante donc qui a en-thousiasmée les élèves présents et leurs professeurs.

ARTS, CULTURES, EXPRESSIONS 8

Ecole Ouverte MUCEM et Vieille Charité (Marseille)

Nous avons passé une très bonne journée avec le ly-cée professionnel Jean moulin mercredi 25 février à Marseille.Nous avons visité plusieurs musées dont :– MUCEM (Musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée)

– Musée de la Vieille CharitéNous avons appris que l'art n'est pas forcément un moyen de mettre les choses en valeur mais de se faire sa propre opinion et sa propre signification. Nous avons rencontré un homme du Mucem qui expli-quait très bien et qui m'a plu.Petit commentaire personnel :Cette journée m'a beaucoup plus, j'ai appris beau-coup de choses que la nourriture était un moyen d'échange de partage et un moment de bonheur avec les gens qu'on aime.J'ai apprécié l'expo sur l’Afrique parce que les masques africains étaient très festifs mais sombres pour rappe-ler l’Afrique. Après ce qui m'a moins plus et où je ne suis pas rentrée c'est dans la salle de l’Océanie parce qu'il y avait des vrais crânes en miniature.Nous avons bien rigolé et apprécié cette journée ; merci à Yassir, l'assistant d'éducation et à notre pro-fesseur d'arts plastiques.

Amélie, 2Cap Coiffure.

Page 9: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

Une journée sur le thème de la mer

Sortie scolaire au Musée de la Marine Nationale de Toulon, puis, l’après-midi, à la base navale lundi 16 février 2015 avec les élèves de 2REEP, accompagnés

de leurs professeurs de Lettres et d'Atelier.Au musée, nous avons pu observer l’évolution des bateaux dans l’histoire : de l’Antiquité à l’époque mo-derne, les bateaux sont en bois. Au milieu du XIXe siècle, certains bateaux sont cuirassés, c’est-à-dire recouverts de plaques en fer et en cuivre. Le premier cuirassé a été construit à Toulon, en 1859 ! L’après-midi, nous sommes allés sur la base navale de Toulon, arsenal Ouest. Maître Marchand nous a accueilli, et nous a fait visiter les ateliers (corderie, atelier charpente et scierie, résine polyester et com-posite, pneumatique et moteurs).Ensuite, nous avons fait un tour de bateau dans le port militaire sur le remorqueur le Bison. On a pu se rendre compte de l’importance de la base navale, et visiter la cabine de pilotage !

Les élèves de la classe de 2REEP

SORTIES 9

Salon de l'Auto de Paris (Paris) Les élèves de TBAC, Tony de 1BAC et la classe des apprentis du CFA peuvent remercier leur professeur de mécanique accompagné du professeur de carros-serie pour avoir organisé ce magnifique voyage au Salon de l'Auto à Paris. Ils ont pu ainsi admiré les nouveaux prototypes des plus grandes marques automobiles et découvrir en connaisseur les petits détails innovateurs des diffé-rents modèles exposés.

Ski à Orcières

Page 10: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

SPORTS 10

L'AS : La musculation au lycée

Une association prête ses locaux et son matériel de musculation aux lycéens et aux enseignants du Lycée Professionnel Jean Moulin.Pour l'instant seuls 8 élèves profitent de cette acti-vité... qui a démarré il y a quelques semaines à peine.Cette nouvelle activité proposée aux lycéens se déroule le mardi midi (de 12h30 à 13h20). La séance

dure environ 50 minutes.La salle de musculation se situe à côté de l'école primaire. Dans cette salle il y a deux espaces différents :- une salle où il y a des poids, et des machines avec lesquelles on peut faire de la course...- et l'autre salle où il y a des machines pour faire des pompes, des abdominaux, etc.La première fois qu' on va à la salle, on teste toutes les machines et on doit aussi se fixer des objectifs (ce qu'on veut travailler et pourquoi). Pendant la muscu-lation on peut écouter de la musique, ce qui est une aide considérable pour la motivation.Les différentes raisons qui peuvent amener les gens à faire de la musculation sont :- Perdre du poids- Se muscler - Se détendre- Se déstresser - Se retrouver entre amis- Être séduisantJ'ai un ami qui y va pour se muscler et se retrouver entre amis.Et vous pourquoi iriez-vous ?Article de Valentin aidé par Aurélien, 2B SEN

Info EPS : À Castillon, une activité bien plaisante avec le cycle course d'orientation

Pour les 1BSEN, c'est l'occasion de pratiquer en pleine nature une activité riche : apprendre à utiliser une carte, à s'orienter, à gérer ses ressources, à contrôler ses émotions en mode solo dans un site inconnu loin de son prof.

Paddle à l'école ouverte

Le Padel est un sport de raquette dérivé du tennis, se jouant sur un court plus petit, encadré de murs et de grillages.Le calcul du score est le même qu'au tennis et les balles utilisées ont une pression légèrement infé-

rieure. Il est joué uniquement en double et le service doit s'effectuer à la cuillère. Sa plus grande différence avec le tennis, cependant, est que les balles peuvent être jouées après rebonds sur les murs ou le grillage, d'une manière similaire au squash.L'orthographe Padel (de l'espagnol Pádel) permet de le différencier du paddle-tennis, autre sport dérivé du tennis, ainsi que du Stand up Paddle.

Page 11: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

Le Basket-ball et moi

Pour moi le basket-ball est une passion depuis tout jeune. Je joue avec des amis, dehors, après les cours, dans un stade près de chez moi avec quelque amis. Je ne m'inscris pas en club par manque d’intérêt car je préfère jouer avec des amis dehors. Parfois je m’en-traîne tout seul pour devenir plus fort car au fond j 'aimerais devenir joueur de basket professionnel,

même si je sais que c'est impossible. Mon joueur préféré est probablement le meilleur de basketteur de tous les temps à son époque, Michael Jordan. C'est lui qui a popularisé la NBA (National Basket-ball Association). Michael Jordan est l'un des plus grands joueurs de tous les temps et ce n'est pas la presse professionnelle sur le basket-ball qui le nie-ra. Il a malheureusement arrêté sa carrière car il était trop vieux. C'était mon idole depuis tout jeune. Il existe aussi d'autres catégories de joueurs de basket comme la LNB (Ligue Nationale de Basket-ball), la catégorie où les basketteurs professionnels français sont classés, car la NBA est réservée aux Etas-Unis. A cause des cours je n'ai plus le temps de regarder les match NBA - décalage horaire oblige -, mais je serais prêt à reprendre le basket cet été.

Djamel 2BMEi

SPORTS 11

Planche à voile

Quand quelqu'un fait de la planche à voile, on a l'im-pression de le voir voler. La planche a voile ou windsurf est un type d'embar-cation à voile minimaliste. Elle est constituée d'une planche, d'un pied de mât, d'une voile et d'un mât. La planche à voile a été inventée au début des années 1960. Le champion du monde d'aujourd'hui est Antoine Albeau (né le 17 juin 1972) à la Rochelle, depuis 1994, il a été 22 fois champion du monde dans diffé-rentes discipline de la planche à voile. Il fait actuel-lement partie de l'équipe de France de funboard. Il a commencé la planche à voile à l'age 5 ans et a actuellement 42 ans. Le 5 mars 2008, il bat le record du monde de vitesse sur 500 mètres à 49 nœuds soit 90km/h. Le 17 novembre 2012 il améliore son temps avec une vitesse moyenne sur 500 mètres de 96km/h mais il ne battra pas les kite surf.

Tommy 2B SEN

Il était une fois "le Futsal" à Jean Moulin

Comme depuis de nombreuses années, le Futsal demeure l'activité phare - et la plus pratiquée - au sein de notre association sportive. Nos passionnés du ballon rond disposent de deux créneaux durant la semaine - les mardis et jeudis de 12h25 à 13h15 - pour s'entraîner. Le plaisir est laissé à chacun de vivre cette activité selon son ressenti : animation et/ou compétition.Les compétitions ont lieu les mercredis après-midi, selon un calendrier défini.Quel que soit l'engagement du joueur, les mêmes valeurs sont véhiculées par l'ensemble de l'équipe EPS : assiduité, fairplay, respect de ses partenaires, des équipes adverses et des personnes encadrants les manifestations sportives. Applications du règlement et aucune contestation autorisée vis-à-vis des déci-sions de l'équipe arbitrale.A ce jour, deux équipes représentent le lycée en cham-pionnat : une équipe cadets et une équipe juniors... à qui nous souhaitons un bon parcours sportif.

L'équipe d'EPS

Flash Info Basket En décembre, pendant la journée UNSS, l'équipe de basket du lycée a perdu contre l'équipe de Langevin mais Kamel, Kivin, Samy, Ticream, Julien et Brian se sont bien accrochés et en resteront tout de même aux jour-nées de district.

Page 12: Le MOULIN à PAROLES n° Journal scolaire Lycée … · Journal scolaire Lycée des Métiers Jean Moulin n ... trés dans les locaux du magazine à l’heure d’une réunion de rédac-tion

LE COIN DU GAMER 12

Les lunettes 3D du futur : HOLOLENS

Dans le précédant numéro du journal, nous avons parlé de l'Oculus Rift, et bien, aujourd'hui je vous parle d'un projet qui tient la science à cœur, Microsoft a pour projet un casque (ou des sortes de lunettes) 3D capable de créer des hologrammes dans notre monde.Cet appareil aux capacités révolutionnaires se nomme : HoloLens. Le 24 Janvier 2015, Microsoft

présente les premières images du jeux Minecraft - qui devrait d'ailleurs être le premier jeu disponible dessus - sur l'HoloLens. Selon l'équipe qui travaille sur ces lunettes, un prototype de l'appareil devrait voir le jour sous Windows 10, donc dans les meil-leurs délais, il devrait demander entre 3 et 5 années de travail intensif.

Antoine 2B MEI

Don't starve

Aujourd'hui je vous parle d'un jeu aussi addictif que difficile, "Don't Starve", ou alors en français : «Ne meurt pas de faim». Don't Starve est un jeu de survie publié en 2013 par Klei Entertainment, aujourd'hui disponible sur Steam. En début de partie, vous apparaissez dans un monde généré aléatoirement et vous vous réveillez sur le sol. L'interface du jeu est simple, en bas, vous avez libre accès à votre inventaire et sur la partie gauche de votre écran, vous disposez de vos onglets de craft (Construction). Vous pouvez fabriquer ce que vous voulez du moment que vous possédez les ressources dans votre inventaire.Le but du jeu est aussi simple : rester en vie le plus longtemps possible. Si vous mourez, votre partie est automatiquement supprimée ! Seul des moyens de résurrections limités et rares peuvent vous donner une seconde chance... Mais ils ne sont pas sans conséquence.Et des moyens de mourir, oui, il y en a des tas. Mou-rir de faim, être tué par des créatures sauvages, mou-rir de froid, ou même, être assassiné dans le noir, car oui, si vous restez dans le noir à la nuit tombée, un esprit invisible et très puissant viendra vous tuer si vous ne rejoignez pas au plus vite la lumière.Comme je le disais, il est possible de mourir de froid, les sai-sons défilent au fil du temps et le feu et les vêtements chauds peuvent vous empêchez de mourir d’hypo-thermie.Le mécanisme du jeu intègre aussi la santé mentale. Cette jauge à maintenir haute est très instable et peut réduire à chaque fois que quelque chose de fou ou d'effrayant se produit. Si votre santé mentale est trop basse, des hallucinations du nom de nightmares (cauchemars) viendront vous rendre les choses dif-ficiles. .Faire votre base est aussi une chose impor-tante, si vous n'avez aucune défense, les créatures de ce monde pourront facilement venir à bout de vous

et vous achever rapidement.La nourriture est une chose importante car en effet, elle est précieuse et en plus de cela, peut être péri-mée. Vous l'aurez compris, vous n'aurez aucun répit. Pluie, monstres, faim, froid et folie sont là pour vous anéantir le plus tôt possible. Le bestiaire de Don't Starve est aussi très vaste, je vous invite à vous ren-seigner sur les créatures de ce jeu, étant donné que les gens qui ne se sont pas renseignés, n'ont aucune chance de survivre. Il existe aussi un autre monde qui se trouve sous vos pieds, les cavernes : elles sont divisées en deux étages avec au plus profond, les ruines. Les profondes cavernes sont des lieux de sur-vie très dangereux et vous demandent des stratégies de survie très différentes de d'habitude car le monde est plongé dans le noir absolu.Klei a aussi ajouté "Don't Starve Reign Of Giants", c'est un DLC très vaste qui rajoute des mécanismes qui vont corser votre survie : L'ajout d'autres saisons, de nouvelles créatures puissantes et crafts plus élabo-rés et tout aussi coûteux en ressources. La canicule fait aussi son entrée et la mort d’hyperthermie - on peut donc mourir à cause de la chaleur - : l'été qui à la base, est une saison calme, va devenir une sai-son très difficile à supporter, de part les incendies, la sécheresse des plantes et la péremption rapide de la nourriture. Et l'ajout de géants très puissants qui règnent sur le monde au fil des saisons. Pour info, Klei travaille actuellement sur "Don't Starve Toghe-ter," ce qui veut dire «Ensemble».Cette mise à jour très importante intégrera le mode multijoueurs à "Don't Starve", cette MAJ très attendue des joueurs devrait sortir pour le printemps 2015.Et vous combien de temps allez vous survivre ? Mon record est actuellement de 875 jours.Bonne survie et ne mourrez pas de faim !

Antoine 2B MEI