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L e m a g a z i n e qui v o u s d i t T O U T ! « L ani mal ne possède ri en, sauf sa vi e, que si souvent nous l ui pr enons » Mar gueri te Y o u r c e n ar Fédération Nationale contre le Martyre des Animaux Une seule adresse : 11, rue de l’Ellé 56770 PLOURAY Tél. 02 97 34 84 59 Octobre, novembre, décembre 2014 À TOUS NOS ADHÉRENTS L a France a été officiellement nommée pays hôte de la 21 e  conférence climat en 2015 lors de la 19 e  conférence des parties à la Conven- tion-cadre des Nations unies sur les changements climatiques de Varsovie. Hier, 23 novembre 2014, nous étions à Lorient pour accueillir la goélette Tara, bateau dédié à la recherche scientifique : il arrivait d’un périple de sept mois en Méditerranée, afin d’étudier les effets des matières plastiques, en mer, sur tous les organismes vivants. Cette mer qui repré- sente moins de 1 % de la surface du globe subit une forte pression, due aux 90 % de toxines et polluants venant de la terre... Le plancton 1 er  élément de la chaine alimentaire, conta- miné par les (micro) particules de plastique, ingéré par les petits animaux marins, consti- tue un danger incalculable pour tous les êtres vivants. En second lieu, nous allons aborder le problème des abeilles, leur disparition nous inquiète, car elles jouent un rôle essentiel pour notre survie, cela entrainerait un déséquilibre alimentaire aux conséquences incommensurables pour l’humanité. Les écologistes de la 1 re  heure ont été souvent raillés, et voilà que maintenant les politiques s’intéressent à l’écologie et aux animaux. MAIS N’EST-IL PAS TROP TARD ? Site Internet : www.sosanimaux.com E-mail : [email protected] Ne pas jeter sur la voie publique. Donnez-le à un ami ou mettez-le dans une salle d’attente. Jacqueline GUILLAUME · Présidente de la Fédération

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Le magazine qui vous dit tout !

« L’animal ne possède rien, sauf sa vie, que si souvent nous lui prenons » Marguerite Yourcenar

Fédération Nationale contrele Martyre des AnimauxUne seule adresse :11, rue de l’Ellé56770 PLOURAYTél. 02 97 34 84 59

Octobre, novembre, décembre 2014

À TOUS NOS ADHÉRENTS

La France a été officiellement nommée pays hôte de la 21e conférence climat en 2015 lors de la 19e conférence des parties à la Conven-

tion-cadre des Nations unies sur les changements climatiques de Varsovie.Hier, 23 novembre 2014, nous étions à Lorient pour accueillir la goélette Tara, bateau dédié à la recherche scientifique : il arrivait d’un périple de sept mois en Méditerranée, afin d’étudier les effets des matières plastiques, en mer, sur tous les organismes vivants. Cette mer qui repré-sente moins de 1 % de la surface du globe subit une forte pression, due aux 90 % de toxines et polluants venant de la terre... Le plancton 1er élément de la chaine alimentaire, conta-miné par les (micro) particules de plastique,

ingéré par les petits animaux marins, consti-tue un danger incalculable pour tous les êtres vivants.En second lieu, nous allons aborder le problème des abeilles, leur disparition nous inquiète, car elles jouent un rôle essentiel pour notre survie, cela entrainerait un déséquilibre alimentaire aux conséquences incommensurables pour l’humanité.Les écologistes de la 1re heure ont été souvent raillés, et voilà que maintenant les politiques s’intéressent à l’écologie et aux animaux. MAIS N’EST-IL PAS TROP TARD ?

Site Internet : www.sosanimaux.comE-mail : [email protected]

Ne pas jeter sur la voie publique. Donnez-le à un ami ou mettez-le dans une salle d’attente.

Jacqueline GUILLAUME · Présidente de la Fédération

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Le magazine de la Fédération Nationale contre le Martyre des Animaux

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Porcherie… surdimensionnée

En Allemagne, pire que la ferme des 1 000 vaches, l’usine aux 10 000 porcs de l’investisseur hollandais Adrian Straa-thof qui n’en est pas à son 1er coup d’es-sai, car il a développé des élevages de taille analogue dans le Lander de l’an-cienne Allemagne de l’Est, tout comme un autre producteur néerlandais : Harry van Gennip, dans le Land de Saxe-Anhalt (cf. notre site). Cette redoutable efficacité trouve sa force dans l’évidente industrialisation de la production et grâce aux voisins roumains, hongrois et polonais qui se contentent de 3 € de l’heure de travail. ◆

Combats de chiens dans les sous-sols

Un véritable com-merce de chiens dit de « combat » pros-père aux mains de voyous, prêts à tout pour gagner de

l’argent sur des paris des plus atroces. Dès leur plus jeune âge, les chiens sont maltrai-tés par leurs tortionnaires, qui organisent avec eux de véritables « boucheries ». En tant qu’association, nous avons sou-vent alerté les forces de l’ordre qui ne sont pas assez souvent déplacées, laissant le champ libre… tant et si bien que ces mal-frats sont devenus de plus en plus dan-gereux, à tout point de vue. Le laxisme mène au pire (exactions…), voire les évè-nements actuels. ◆

CRUAUTÉS INQUALIFIABLES SUR TOUS LES PLANS

BRÈVES · BRÈVES · BRÈVES · BRÈVES

Bravo ChâteaurouxNous remercions de tout cœur les habitants de Châteauroux qui ont distribué beaucoup de tracts dans les rues avant les fêtes ; ainsi de nombreuses personnes ont pu voir notre site internet et ont pris conscience de la souffrance animale, souvent cachée. ◆

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Jamais les décideurs n’avaient jamais considéré le danger de la pollution et ce n’est qu’en dernière extrémité que ce problème majeur va être pris au sérieux.

La conférence à Paris sur le climat à la fin de l’année, en présence de très nombreux chefs d’État, marque un

point majeur.Des voix nouvelles s’élèvent contre la pol-lution et pour le bien-être des animaux :

› Mathieu Ricard, philosophe, boudd-histe, scientifique, a parlé des animaux lors d’une conférence au Grand Rex à Paris. › Franz-Olivier Gisbert vient d’écrire un livre : manifeste pour les animaux. › Les « écolos » de la 1re heure n’étaient pas pris au sérieux, mais voilà que main-

tenant les dirigeants du monde entier s’affolent : n’est-il pas trop tard ?

L’enjeu principal étant la température du globe :

› Pour les animaux que nous défendons sans relâche, nous allons mettre sur pied des actions médiatiques vis-à-vis des décideurs. › Nous préparons aussi des lettres simples et claires, que les adhérents devront tous envoyer. Une pression du plus grand nombre sera indispensable.

Une nouvelle année commence et peut-être une nouvelle vie pour les animaux et la planète !

LES ANIMAUX SONT LES PREMIERS TOUCHÉS PAR LE COMPORTEMENT INCONSCIENT DES HOMMES

PLUS JAMAIS CELA

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Un abattage rituel ne permet pas de protéger la viande contre les risques d’infection bactérienne,

car l’œsophage, brisé, ne plus être liga-turé pour empêcher le versement de l’es-tomac, voire des poumons sur la carcasse. Ainsi, dans 15 à 20 % des cas, les germes se déposent sur le collier (cou de la bête) contribuant à augmenter les risques d’infection par E. coli notamment sur les steaks hachés (viande souvent issue du collier).En ce qui concerne le rituel casher (juif ), la pratique de la betiqua (inspection), lors-qu’elle est réalisée sur des carcasses au sol, peut entraîner la souillure de la peau de l’animal précise Pascale Dunoyer, Chef du bureau des établissements d’abattage à la Direction Générale de l’Alimentation…

Un autre vétérinaire, le docteur Alain De Peretti, explique dans le média Novopress :L’animal continue de respirer, même très fort du fait de l’agonie qui peut durer jusqu’à 1/4

h rappelons le, et inspire ces matières souillées riches en germes de toutes sortes. Ces matières inspirées jusqu’aux alvéoles pulmonaires larguent leurs germes dans le sang d’autant plus facilement que la paroi des alvéoles pulmonaires est très mince et que la circula-tion sanguine, rappelons-le, est toujours en cours dans cette période d’agonie, et même accélérée par le stress au niveau des organes essentiels (...). On observe de plus, du fait du stress intense, deux phénomènes physiolo-giques qui se conjuguent : la chute de tous les mécanismes de défense immunitaires, et la concentration du sang dans les organes essentiels, on peut dire que l’animal « retient son sang ». C’est un processus naturel de sur-vie qui entraîne vraisemblablement d’ailleurs une saignée moins bonne contrairement aux allégations des tenants de cette pratique. Il y a de plus une forte production de toxines. La longueur de l’agonie entraîne enfin des sou-bresauts violents accompagnés de défécation et émission d’urine, le tout éclaboussant toute la zone d’abattage ! ◆

Abattage rituel risque pour la santéSelon Gilbert Mouton, ancien professeur à l’école vétérinaire de Maison Alfort

Qu’ils sont beaux ! Libres !

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Un gigantesque continent se forme dans le Pacifique : dans le nord-est de cet océan, entre la Californie et

Hawaii, les déchets produits par les activités humaines sont acheminés par les courants vers un nouveau Continent, dont la superficie est de 3,5 millions de km2. Jusqu’alors, les débris flottants étaient détruits par les micro-organismes, ce n’est plus pareil avec l’arrivée massive du fameux plastique. En filtrant l’eau, on découvre une mixture de minuscules morceaux, dont la durée de vie va de 500 à 1 000 ans ; toute la chaine alimentaire est affectée en commen-çant par les petits poissons qui le mangent avec le plancton. On compterait des cen-taines de milliards de microparticules de plastique, dont 250 milliards, pour la Médi-terranée : vaste poubelle européenne…

Il y a plusieurs années Maud Fontenoy avait agité la sonnette d’alarme lors de ses traver-sées à la rame ou à la voile. Les poissons accu-mulent des multitudes de polluants, mais, quant à l’impact sur l’homme il est avéré, mais trop peu de scientifiques le clament haut et fort ; cependant dans le monde plu-sieurs laboratoires cherchent des solutions.Et le corps médical : qu’en pense-t-il, que peut-il avouer ? Actuellement, il comptabilise le nombre de cancers et de dégénérescences,

différentes, et de plus en plus nombreuses, certes l’allongement de la durée de la vie est un facteur d’altération, mais la pollution n’est-elle pas un processus aggravant ?

Que dire de la radioactivité dans les océans : que vont devenir les millions de mètres cubes d’eau de Fukushima ? Le 11 mars 2014, la radio canadienne annonçait que l’eau de cette centrale japonaise était arrivée, en février 2014, sur les côtes du Canada : mais rassurons-nous elle est faiblement radioac-tive ! Pierre et Marie Curie suivis des théories d’Einstein n’ont-ils pas ouvert la boite de Pan-dore d’où l’humanité ne sortira pas vivante et disparaitra tout comme le plus petit poisson déjà empoisonné ? ◆

L’atome n’est pas à l’échelle de l’homme…Le plastique, substance polymère des temps modernes, est un poison pour l’homme…

La pollution des mers « Le continent plastique »

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Nous savons tous que les couettes et anoraks doublés de ce duvet sont très prisés et très confortables ;

mais, leur production est liée à une très grande souffrance animale. En Hongrie, on arrache les plumes des palmipèdes totalement conscients : les animaux souffrent le martyre et leurs bles-sures graves recousues à vif, entrainent de nombreux morts quotidiennement.Cette « technique », inhumaine, est inter-dite en Europe, mais dans les pays produc-teurs, Hongrie, Extrême-Orient, les plumes sont arrachés au dos, au cou, à la poitrine, en toute impunité.

La marque ikea a dû supprimer le label, car les clients posaient trop de questions…Actuellement, la Chine produit la plupart des duvets plumés à vif ; elle a également sur son sol des milliers de fermes d’engrais-sement pour le foie gras, je vous laisse ima-giner les tortures endurées par ces pauvres volatiles…Le canard, à priori, ne serait pas concerné, mais allez savoir ! Une alternative végétale existe : le kapok, il remplace à merveille le duvet, car il est fabriqué à base de fibres du fruit du « fro-mager », très isolantes. ◆

Renseignez-vous et vérifiez les étiquettes, vous épargnerez ces supplices.

Connaissez-vous le scandaleux commerce du duvet d’oie ?

Maltraitance animale : des oies vivantes plumées vivantes, jusqu’à quatre fois par an pour la fabrication de doudoune de la société Moncler

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Depuis plusieurs années, des millions d’abeilles disparaissent mystérieusement ?

Un désastre écologique qui mettrait en péril l’humanité tout entière. C’est le syndrome d’effondrement

des colonies, mais sans abeille : pas de pol-linisation des fleurs, donc pas de fruits ni de légumes.Un cinéaste : Mark Daniels a posé sa caméra en Californie : les Californiens saturent leurs plantations d’acacia d’insecticides de toutes sortes, obligeant les abeilles à faire des voyages éreintants. Nous disions

dans notre précédente revue que les pro-duits chimiques avaient surement induit des dégénérescences cellulaires en grande quantité dans notre organisme. Les scien-tifiques pensent aussi que les pesticides combinés à un virus ou à un champignon sont bien plus dangereux.Le film, très documenté de Mark Daniels, montre une fois de plus que jouer à l’ap-prenti sorcier peut avoir des conséquences incalculables et irréversibles. ◆

Le grand mystère de la disparition des abeilles

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PAGE AFFICHEà photocopier et à distribuer

FÉDÉRATION NATIONALECONTRE LE MARTYRE DES ANIMAUX

Présidente : Jacqueline GUILLAUME

Antenne Bretagne : 11, rue de l’Ellé 56770 PLOURAY · 02 97 34 84 59

Site Internet : www.sosanimaux.com · E-mail : [email protected]

TRAVAILLEUR INFATIGABLE…MAIS JUSQU’À QUAND ?

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16 € 32 € 48 € à ma convenance Reçu fiscal : oui non

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MÉGAPORCHERIE EN ALLEMAGNE Monsieur le Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du Territoire78, rue de Varennes – 75349 PARIS 07 SP

Monsieur le Ministre,

L’investisseur néerlandais Harry van Gennip possède une étable de 65 000 porcs dans le Land de Saxe-Anhalt, en Allemagne, mais, un projet d’élevage industriel de 36 000 porcs à Hassleben, situé à quelque 80 kilomètres de Berlin, pourrait bientôt devenir la version allemande de la ferme des 1 000 vaches. « Il s’agit tout simplement d’élever le plus grand nombre possible de suidés communs dans un espace le plus réduit possible. Avec toutes les conséquences connues pour les animaux, l’environnement et les êtres humains ». Environ 58 millions de porcs sont abattus chaque année en Allemagne, ce qui fait du pays le leader européen de viande de porc : créant une exaspération de la part du peuple germanique.

Nous espérons que de tels gigantesques élevages, intensifs, concentrationnaires, ne verront pas le jour dans notre « beau pays » !

Nom – Prénom Ville Signature

FNMA – 11, rue de l’Ellé – 56770 PLOURAY

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