Le Cul de Maman

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1 Le Cul de Maman Quand elle m’a récupéré j’étais une loque, au fond du trou, bon à rien, sans réaction. Les coups portés par la vie avaient été trop forts, ils m’avaient peu à peu détruit. À force de taper sur la tête de quelqu’un, il finit par lâcher prise et en fin de compte à sombrer peu à peu. Elle a été patiente avec moi. Les premiers temps je n’ai fait que dormir dans ma chambre de gosse, dans mon lit d’une personne, celui de mon enfance, mais de mon adolescence aussi. Celui où j’avais rêvé des filles, celui où je m’étais caressé et puis où je m’étais masturbé sans vergogne, maculant les draps de mon sperme. À l’époque, elle s’en était rendue compte mais elle n’avait rien dit, changeant mes draps régulièrement, m’offrant de nouveaux tissus où je me répandais sans retenue. Et puis, avec le temps, je changeais de méthode, j’utilisais mes mouchoirs, et mes draps ne portèrent plus les traces de mes séances de branlette. Je pensais à tout cela dans mon lit, quand je me réveillais, les yeux au plafond, dans mes rêves, je suivais une lézarde dans le plâtre, et mon imagination s’envolait loin de la petite pièce où je reposais. Et puis petit à petit j’ai remonté la pente. Maman, à force de sourires et de bons petits plats, ceux que j’appréciais tant avant, me sortit de ma torpeur douloureuse. Je finis par oublier peu à peu ces coups qui m’avaient mis à terre et je reprenais gout à la vie. Nous parlions ensemble de longs moments. À quarante-six ans, Maman était veuve depuis près de dix ans maintenant, elle me racontait sa solitude, mais aussi ses souffrances avec mon père. C’est vrai qu’il était dur mon paternel, et je les ai entendus s’engueuler plus d’une fois. Des disputes éclataient à propos de tout et de rien. Je ne comprenais pas pourquoi, j’étais terrorisé, moi, le petit enfant tiraillé entre ces deux êtres. Ma mère a toujours fait ce qu’elle devait dans ces cas-là, c’est-à-dire me protéger de la violence paternelle. Me retrouver en tête à tête avec elle, a renoué les liens un peu distendus entre nous, une situation propre à la confidence. Alors Maman m’a dit combien elle fut malheureuse avec cet homme qui n’hésita jamais à la tromper avec la première venue. Et quand je dis la première, je devrais plutôt parler de la dernière, la plus pourrie des putes du coin, comme celle qui lui fourgua la syphilis, alors que Maman était enceinte de moi. Bien sûr, il continuait à baiser sa femme dans le même temps. Le médecin qui suivait Maman a bien vu les dégâts, et il a donné un traitement à ma mère, mais en fin de compte mon père lui piqua ses médocs pour son propre usage, ou bien pour sa salope, allez savoir ! En fin de compte, ce fut sans conséquence pour ma mère et pour moi. Maman me racontait sa vie, je l’écoutais sans l’interrompre, juste une petite question pour préciser un point ou un autre, relancer la machine. Maman se confiait bien volontiers et petit à petit j’appris l’essentiel de sa vie. Une vie morne en fin de compte auprès d’un homme qu’elle n’aimait guère, un homme qui lui faisait subir ses envies perverses qu’elle supportait en serrant les dents. Parfois des larmes lui venaient aux yeux et j’étais tenté de la prendre dans mes bras, une chose dont je n’avais pas l’habitude, mais je savais qu’elle attendait le geste et je le faisais volontiers. Nous restions ensemble ainsi, serrés l’un à l’autre pendant de longues minutes, sa tête contre ma poitrine. Je lui caressais la nuque, le dos, sans oser aller bien plus loin. Je

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Un fils succombe au charme des fesses de sa mère.

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Le Cul de Maman

Quand elle m’a récupéré j’étais une loque, au fond du trou, bon à rien, sans réaction.

Les coups portés par la vie avaient été trop forts, ils m’avaient peu à peu détruit. À force de taper sur la tête de quelqu’un, il finit par lâcher prise et en fin de compte à sombrer peu à peu.

Elle a été patiente avec moi. Les premiers temps je n’ai fait que dormir dans ma chambre de gosse, dans mon lit d’une personne, celui de mon enfance, mais de mon adolescence aussi. Celui où j’avais rêvé des filles, celui où je m’étais caressé et puis où je m’étais masturbé sans vergogne, maculant les draps de mon sperme. À l’époque, elle s’en était rendue compte mais elle n’avait rien dit, changeant mes draps régulièrement, m’offrant de nouveaux tissus où je me répandais sans retenue. Et puis, avec le temps, je changeais de méthode, j’utilisais mes mouchoirs, et mes draps ne portèrent plus les traces de mes séances de branlette.

Je pensais à tout cela dans mon lit, quand je me réveillais, les yeux au plafond, dans mes rêves, je suivais une lézarde dans le plâtre, et mon imagination s’envolait loin de la petite pièce où je reposais.

Et puis petit à petit j’ai remonté la pente. Maman, à force de sourires et de bons petits plats, ceux que j’appréciais tant avant, me sortit de ma torpeur douloureuse. Je finis par oublier peu à peu ces coups qui m’avaient mis à terre et je reprenais gout à la vie. Nous parlions ensemble de longs moments. À quarante-six ans, Maman était veuve depuis près de dix ans maintenant, elle me racontait sa solitude, mais aussi ses souffrances avec mon père. C’est vrai qu’il était dur mon paternel, et je les ai entendus s’engueuler plus d’une fois. Des disputes éclataient à propos de tout et de rien. Je ne comprenais pas pourquoi, j’étais terrorisé, moi, le petit enfant tiraillé entre ces deux êtres. Ma mère a toujours fait ce qu’elle devait dans ces cas-là, c’est-à-dire me protéger de la violence paternelle.

Me retrouver en tête à tête avec elle, a renoué les liens un peu distendus entre nous, une situation propre à la confidence. Alors Maman m’a dit combien elle fut malheureuse avec cet homme qui n’hésita jamais à la tromper avec la première venue. Et quand je dis la première, je devrais plutôt parler de la dernière, la plus pourrie des putes du coin, comme celle qui lui fourgua la syphilis, alors que Maman était enceinte de moi. Bien sûr, il continuait à baiser sa femme dans le même temps. Le médecin qui suivait Maman a bien vu les dégâts, et il a donné un traitement à ma mère, mais en fin de compte mon père lui piqua ses médocs pour son propre usage, ou bien pour sa salope, allez savoir !

En fin de compte, ce fut sans conséquence pour ma mère et pour moi.

Maman me racontait sa vie, je l’écoutais sans l’interrompre, juste une petite question pour préciser un point ou un autre, relancer la machine. Maman se confiait bien volontiers et petit à petit j’appris l’essentiel de sa vie. Une vie morne en fin de compte auprès d’un homme qu’elle n’aimait guère, un homme qui lui faisait subir ses envies perverses qu’elle supportait en serrant les dents.

Parfois des larmes lui venaient aux yeux et j’étais tenté de la prendre dans mes bras, une chose dont je n’avais pas l’habitude, mais je savais qu’elle attendait le geste et je le faisais volontiers. Nous restions ensemble ainsi, serrés l’un à l’autre pendant de longues minutes, sa tête contre ma poitrine. Je lui caressais la nuque, le dos, sans oser aller bien plus loin. Je

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sentais bien que je n’étais pas indifférent à ces étreintes, et que ma bite avait des velléités de redressement quand je sentais ses seins lourds écrasés contre mon corps. Mais je résistais !

Et puis notre intimité a pris un autre tour, Maman a pris l’habitude de me demander de lui soigner de petits boutons, de petites rougeurs. Elle faisait sa toilette, et je l’entendais m’appeler dans la salle de bains. J’arrivais, passant timidement la tête par l’entrebâillement de la porte, je la voyais en combinaison soyeuse, elle me demandait de regarder sous son bras ce bouton qui la gênait. Je me penchais sur son bras levé, je regardais, je la rassurais et je lui passais de la crème apaisante sur le bouton.

Cela devint fréquent qu’elle m’appelle ainsi auprès d’elle. Je venais bien volontiers, parfois troublé de la voir ainsi en dessous devant moi. C’est vrai que j’étais sevré de femme, mais de là à être troublé par ma mère, je n’en revenais pas. Et puis les boutons étaient parfois forts mal placés. Sous les bras souvent, oui mais parfois un peu bas, à la naissance d’un sein ou carrément sous le sein. Dans ces cas-là, elle n’avait pas sa combinaison, même pas son soutien-gorge. Elle se tenait le sein pendant que j’inspectais sa peau et puis je passais gaillardement ma crème, de plus en plus troublé, et même parfois carrément bandant. Une autre fois le bouton se trouva sur sa cuisse. Elle releva sa combinaison pour me dévoiler le haut de sa cuisse, je devrais même dire sa fesse, et je la tartinais de crème à l’endroit qu’elle m’indiqua.

Ce petit jeu très trouble était pourtant assez naïf. Je ne soupçonnais pas Maman de vouloir m’aguicher. Pourtant, je la voyais de plus en plus en petite tenue, c’était son habitude de femme ayant vécu seule un long moment. Elle ne se gênait pas, et parfois je la voyais déambuler en petite culotte et soutien-gorge, sans se soucier aucunement de pudeur à mon endroit. Nous vivions une espèce de vie de couple.

À force de ces jeux, je me mis à la regarder autrement. Je lui trouvais de beaux restes, mais étais-je impartial ? Je regardais son corps rond d’une autre façon, ses fesses surtout, des fesses bien rondes, bien dodues, cambrées, comme une offrande. Ses seins aussi m’attiraient, des seins alourdis par l’âge mais aussi par un forcissement qui les faisaient peser de plus en plus sur son ventre arrondi, lui aussi. Maman était donc ronde, je ne peux le cacher plus longtemps.

De temps en temps je la voyais maussade, surtout le matin mais au début je mettais cette tristesse sur le compte de son veuvage, de sa tristesse naturelle. Mais un jour elle me confia avoir des difficultés de transit. Elle avait du mal à aller à la selle et cela lui ballonnait le ventre pour sa plus grande gêne. Elle me révéla vouloir s’aider avec des produits qu’on lui vendait en pharmacie, mais ce n’était pas toujours efficace, souvent irritants, alors elle se rabattait sur la vaseline, et effectivement, j’avais bien remarqué deux ou trois tubes de lubrifiant dans sa salle de bains, sans que je n’ose lui demander l’usage qu’elle en faisait. Pourtant elle me dit qu’il lui était difficile d’appliquer correctement la vaseline, elle n’était plus assez souple pour le faire toute seule facilement. Je compris instantanément le message et je lui demandais timidement si elle voulait mon aide. Elle me dit oui tout de suite, ce qui eut pour effet de me tétaniser sur le champ : ma mère voulait que je lui tartine le cul de vaseline !

Certes elle ne me le dit pas en ces termes, mais ça revenait à ça en fin de compte, et moi, j’y voyais comme le début d’une concrétisation de mes rêves les plus fous quand je me branlais au fond de mon lit.

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Je lui demandais si elle voulait que j’intervienne tout de suite.

Elle m’entraina vers sa chambre. Nous étions le matin, Maman était encore en robe de chambre, d’où dépassait par dessous sa chemise de nuit, rose et soyeuse. Elle s’allongea sur son lit après avoir sorti de sa table de nuit le tube de vaseline qu’elle me tendit. Elle releva la robe de chambre et sa chemise de nuit, et elle se mit sur son côté gauche.

Oh ! Le spectacle des fesses blanches de Maman devant moi. J’étais en pyjama, et je commençais à le regretter car mon pantalon finissait par ressembler à un chapiteau de cirque. J’essayais de cacher au mieux mon érection, et je lui demandais comment elle voulait que je procède. Elle fit l’effort d’écarter ses globes fessiers et me montra du doigt comment appliquer la crème. Je sentais mon cœur tambouriner dans ma poitrine, au point de me dire que Maman devait l’entendre elle aussi.

De mes mains tremblantes, je pressais le tube de vaseline et en cueillis une noisette sur un doigt. Ce doigt tremblant, je le dirigeais vers le cul de Maman et je déposais le produit sur la rosette bien fermée, un peu sombre, du cul maternel. Toujours troublé j’étalais la vaseline sur l’anus qui me sembla dur et contracté. Je repris une seconde noisette et en rajoutais une couche, mais Maman me dit d’en mettre à l’intérieur. « À l’intérieur, » lui demandais-je ? « Oui, à l’intérieur, il faut que la vaseline pénètre à l’intérieur. »

Bon, me dis-je, et mon doigt força un peu pour entrer dans ma grotte sombre de l’entre-fesses maternel. Je dus forcer le passage, Maman avait l’anus hermétique. La vaseline facilita la pénétration, et une fois passé le sphincter, mon doigt enduit de crème glissa dans la chaleur de son corps. Je ne peux décrire ce que je ressentais, j’étais partagé entre le respect de ma mère et la petite musique érotique qui me susurrait à l’oreille d’en profiter.

« Mets en plus, s’il te plait. »

Je sursautais, perdu dans mes pensées j’en avais oublié qui était là. Délicatement, je retirais mon doigt, et cette fois je l’enduis d’une copieuse quantité de vaseline. Je me repenchais sur les fesses de Maman, elle les écarta et mon doigt retrouva le fourreau chaleureux qu’il avait quitté un instant plus tôt. M’enhardissant, je faisais pénétrer mon doigt plus avant, il glissait sans difficulté, aidé du lubrifiant.

Je me souvenais avoir glissé un doigt de le cul de diverses copines, je me souvenais aussi des réactions toutes aussi variées. Je me souvenais surtout que celles qui avaient apprécié mes caresses anales, m’avaient demandé d’y mettre un second doigt, voir même trois pour les plus hardies. Cette fois je n’osais pas, et pourtant, c’était pour la bonne cause en somme. Mon doigt allait et venait de plus en plus à l’aise dans le fourreau anal de Maman. Dans un geste de recul, je sortis presque entièrement mon médius, mais ce fut pour y adjoindre mon index. Mes deux doigts forcèrent ensemble le sphincter de Maman et pénétrèrent son cul. Maman eut un tressaillement, un petite plainte de surprise, mais elle ne dit rien, enfouissant sa tête dans l’oreiller elle me laissa l’initiative.

Mes deux doigts entraient en elle, forçant le passage je les fourrais jusqu’à entrer presque mes trois phalanges. Je sentis Maman se cambrer en fin de course, ses fesses rondes et blanches se tendaient vers moi. Je fus tenté de tourner légèrement mes deux doigts, je leur imprimais une rotation de mon poignet pour bien imprégner tout le conduit anal de la vaseline. Maman tressaillit, et je vis ses muscles fessiers se tendre pendant je regardais, fasciné son cul ouvert et mes doigts enfouis au plus profond qu’ils pouvaient atteindre. Ainsi je fis plusieurs mouvements de rotation, enduisant bien les parois de son anus de vaseline.

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« Bon, ça va aller. Merci. »

Je retirais mes doigts.

« Va te laver les mains. »

Je regardais Maman, la tête dans l’oreiller, son visage était rouge. Elle rabattit sa chemise de nuit et sa robe de chambre sur ses fesses nues.

« Je vais rester ainsi un moment, le temps que ça fasse de l’effet. »

Je la laissais donc seule, regagnant ma salle de bains non sans avoir senti mes doigts qui avaient plongé dans l’intimité maternelle. Je bandais bien sûr, et je dus me branler vigoureusement pour faire passer cette excitation.

Je pris ma douche, je me rasais en écoutant la radio, essayant de me distraire de cet épisode que je venais de vivre. En bas, j’entendis la chasse d’eau et je pensais que le traitement avait été efficace.

Quand je redescendis, je m’enquis auprès de Maman du résultat.

« Oh ! Tu m’as bien soulagée, me dit-elle, j’ai pu enfin me libérer, je n’avais pas fait depuis deux jours, tu te rends compte ?! »

Si je me rendais compte ! Oui évidement.

Les jours qui suivirent, je tentais d’oublier un peu l’épisode. Maman aussi semblait l’avoir oublié, elle n’en fit plus allusion pendant une semaine. Et puis un jour que je descendais pour le petit déjeuner avec elle, je la retrouvais le visage fermé. Je compris ce qui se passait, et en même temps je m’efforçais de penser à autre chose. Le petit déjeuner se passa sans qu’elle ne dit un mot, et puis quand j’eu vidé mon bol de café, elle me demanda : « Ça t’ennuie de me remettre de la vaseline ? »

« Heu...non Maman, je vais t’en mettre. »

Elle se leva alors et se dirigea vers sa chambre. Je me levais çà mon tour, je lavai mon bol dans l’évier, mon couvert, etc. Prenant bien mon temps pour faire les choses avant de la rejoindre dans sa chambre.

Je la trouvais allongée sur le lit, les fesses à l’air. Sur la table de nuit, il y avait le tube de vaseline. Je m’en emparais, et m’en tartinais l’index et le médius ensemble, avant de me pencher sur les fesses rondes et dodues de ma mère.

Elle écarta elle-même ses fesses, me présentant son sphincter sombre et ridé, serré, je le pressentais, mais qui ne résisterait pas à la pénétration de mes doigts. Cette fois j’étais plus sûr de moi, j’approchais mes doigts, je caressais le sphincter de la vaseline, je l’étendis en tournant mes doigts autour du trou, je massais la chair sombre un moment sans essayer la moindre pénétration. Puis je me relevais-je, remis de la vaseline sur mes doigts et je recommençais, mais cette fois je forçais davantage, et j’eus la surprise de voir l’anus de Maman rendre les armes et s’ouvrir à la pénétration de mes doigts sans que je n’aie à forcer. Elle poussa une espèce de gémissement quand mes deux doigts ensemble lui ouvrirent les fesses.

La tête toujours enfouie dans l’oreiller, elle me cacha son visage pendant que mes doigts entraient en elle en imprégnant son cul de vaseline. Cette fois j’avais plus de maitrise, je fis entrer mes doigts bien profondément, et puis je commençais à tourner mes doigts sur eux-

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mêmes. De plus en plus loin et de plus en plus vite, aussi je me surpris même à imprimer un petit mouvement de va-et-vient, et je sentis alors que Maman resserrait son sphincter sur mes phalanges. Je continuais mon doigtage jusqu’à ce qu’elle me dise d’arrêter, mais l’ordre vint plus tard me sembla-t-il que la première fois.

Comme la première fois, je la laissais seule dans son lit. Cette fois elle garda le visage enfouit dans l’oreiller et ne leva pas le regard sur moi.

Je fis ma toilette comme la semaine d’avant, j’entendis les bruits de la chasse d’eau et Maman qui fit sa toilette à son tour.

Elle me dit par la suite que je la soulageais bien, je lui répondis que j’en étais content de pouvoir la soulager et qu’elle n’hésite pas à me le redemander. Elle me le promit.

Ainsi une semaine encore passa, et puis un matin je vis son visage fermé. Je lui dis que j’allais l’aider, d’aller m’attendre dans sa chambre, que j’allais venir d’un moment à l’autre.

Je la trouvais comme d’habitude allongée sur son lit, elle n’avait que sa chemise retroussée à la taille, ses fesses nues et blanches dans la pénombre du matin, offertes à mes caresses. Le tube de vaseline était là, sur la table de nuit. Je fis jaillir le produit blanchâtre sur mes doigts joints et Maman écarta ses fesses. Comme les fois d’avant, je lui massais bien le sphincter avant de glisser mes doigts en elle. Elle gémit quand mes doigts lui ouvrirent le cul. Je m’enquis un peu hypocritement pour savoir si je lui faisais mal, elle me dit que non. Je poussais mes doigts le plus loin possible, et tournais doucement pour lui assouplir le conduit anal. Mon doigtage dura plus longtemps sans que Maman ne me fasse de remarque, visiblement elle avait pris goût à la chose. Je continuais donc un long moment, alternant les mouvements de rotation avec les allées-et-venues, je la sentais bien lubrifiée maintenant.

Sans lâcher mon massage, je m’allongeais près d’elle. Elle remua un peu pour me faire une place plus grande. Maman était sur le flanc, son dos me faisait face. De ma main libre je baissais mon pantalon de pyjama. Mon sexe bondit hors du pantalon et se dressa contre les blanches rondeurs des fesses maternelles. Je guidais un peu maladroitement mon membre vers son trou sombre. Je sortis un doigt, laissant l’autre agir seul, puis, m’approchant à la toucher, je guidais mon gland contre son sphincter, en même temps je retirais mon dernier doigt et je poussais ma bite contre son trou.

Je poussais, et j’entrais presque sans forcer. Mon cœur était fou et battait à tout rompre. Je ne bougeais plus, Maman non plus. Nous restions ainsi un moment incalculablement long, et puis donnais un coup de reins et ma bite s’engouffra dans le conduit serré. Maman gémit dans son oreiller, elle se cabra un peu, mais je le tenais aux hanches de façon qu’elle ne puisse se dérober.

Encore une poussée et mon sexe entra en elle encore plus loin. Elle gémit encore une fois, je restais là planté en elle sans oser bouger davantage, le sexe tendu au maximum, le sang battant dans la veine qui courait le long de la hampe.

« Qu’est-ce que tu fais ? »

Je tressaille, elle a parlé.

« Qu’est-ce que tu fais ?

« Heu...je ...je t’aide, Maman ! »

« Mais tu as tes mains sur mes hanches ! »

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« Heu...oui, je .... Laisse-moi faire ! »

Je donne mon premier coup de reins. Ma bite entre encore un peu plus, Maman gémit pour de bon, sa main part à la recherche de ma bite, je laisse faire, elle découvre que c’est mon sexe qui la pénètre.

« Ça devait arriver ! »

« Oui Maman ! »

Je prends son fatalisme pour une approbation, je me positionne mieux pour pouvoir la prendre plus aisément, et mes reins se mettent en mouvements doucement d’abord. Mon sexe découvre son environnement, il fait son passage dans le cul serré de Maman. Il va loin en elle, elle soupire maintenant, j’y vais lentement, elle gémit, je me retire, je sens son sphincter me retenir, je reviens son anus se détend et m’accepte. Un coup plus violent propulse mon gland dans des profondeurs inexplorées, Maman se cabre dans un cri, je me retire un peu, elle gémit encore.

Je vais et je viens dans ses fesses, sans retenue, limant son anus d’un sexe dur et conséquent. Maman a commencé par se mordre les lèvres avant de mordre son oreiller. Ses gémissements me sont des encouragements. Je la baise par le cul à coups de bite réguliers, je me tiens à un rythme pas très empressé qui ne m’amènera pas à une jouissance trop rapide. Mes mains quittent ses hanches, elles remontent vers sa poitrine, je lui empoigne les seins, la tenant fermement, massant des mamelles souples débordants de mes doigts, mes reins imprimant le rythme souple et continu qui lui ramone le cul.

Je ferme les yeux, je suis bien, et voudrais que cet instant se prolonge pour toujours. Maman gémit doucement contre moi, ma queue lui fouille le ventre, mes mains massent profondément ses globes mammaires. Je sens même ses tétons dressés sous mes paumes, je les frotte un peu, et Maman frémit davantage, son souffle devient plus rapide. Elle crie désormais, je sens venir sa jouissance, je veux la rejoindre, j’accélère mes coups de reins.

Maman crie, mes reins battent furieusement son postérieur, elle se cambre, je sens son cul offert, mes doigts s’agrippent à ses nichons, elle crie encore plus fort, elle tressaille contre moi, je ne me retiens plus et les soubresauts de ma bite déversent en elle un flot de sperme brulant. Je me vide dans son cul, Maman sent bien le liquide épais et chaud qui envahit son intestin, elle gémit de façon continue le temps que mes spasmes déversent leur flot de sperme.

Enfin nous nous immobilisons l’un soudé à l’autre, elle ne bouge pas, moi non plus. Je la tiens par les seins serrée contre moi. Son cul sublime contre mon ventre, et mon sexe encore dur dans son fourreau anal.

Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi, plus d’une heure sans doute, et c’est elle qui s’est ébrouée la première, en s’excusant elle m’a dit : « Il faut que j’y aille. »

Elle a bondit du lit, j’ai entendu la porte des toilettes se refermer et puis une succession de bruits, de pets et de défécation, Maman chiait bien. Je visualisais son trou, je visualisais la merde qui sortait d’elle, à flot, facilement, ses boyaux se libéraient en soulageant son ventre.

Je me disais que nous avions là une bonne base de relation pour les temps à venir.

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