Ces hauteurs seront déterminées par «l’homme de l’art» en fonc-tion de la nature du sol, de son hétérogénéité, de sa déclivité, de l’éventuelle présence de nappe phréatique, de son innondabi-lité, de l’accessibilité souhaitée en fonction des réseaux installés.

Elles sont souvent des multiples de hauteurs de blocs béton constituant les murs périphériques de soubas-sement, auxquels il faut rajouter la hauteur de l’arase en mortier hydro-fuge, barrière indispensable contre les remontées capillaires par che-minement dans le mur.

• Entre 20 et 60 cm au-dessus de l’arase des fondations, l’ac-cessibilité, si elle est néces-saire, restera très délicate.

• À partir de 80 cm et plus (‹ 1,80m) elle devient possible voire très correcte et permet d’utiliser à sa juste valeur le plénum ainsi réali-sé pour de la maintenance et une éventuelle réparation des canali-sations ou des aménagements.

POUTRELLES EN BÉTONL’AVIS DE L’EXPERT

Quelle est la hauteur minimum d’un vide sanitaire ?